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Innovating Investment Strategies: LARGESSE Pl's Approach
Discover how LARGESSE Pl maintains its competitive edge through innovative investment strategies, ensuring flexibility and swift decision-making for optimal returns. Explore our methods and achievements on our website.
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COMMENT être pleinement vivante ?
Vous m'avez dit laisse tomber les concours et les livres, sors des bibliothèques (s'il te plaît) et de l'amour du dix-neuvième siècle : ne te prostitue pas pour de l'argent (et je sais combien tu en aurais envie, d'épouser n'importe quel.le riche pour son argent seulement), abandonne l'idée du confort et ose, viens, rencontre-moi, allons où tu voudras
Vous m'avez dit d'écrire, de me mettre à nu, de sécher mes larmes et de continuer de rire et de danser, vous m'avez dit des silences qui furent comme des coups de poignard anonymes et des tremblements ; tu m'as dit VIS, JE T'EN PRIE, tu m'as dit à quel point la réalité était un courage et que mon écriture avait toute l'exigence de la violence,
Et vous m'avez dit et répété que mes mots déchiraient, déchiraient ce réel auquel j'en veux tant, étaient plus forts, plus forts - mes mots à moi ; vous m'avez nimbée de je ne sais quelle oracle ; je me suis désertée de ma propre enveloppe : je me suis faite à l'image de n'importe quel miracle.
Vous m'avez dit combien au mot "bonheur" je répondais "réalité", comme si, comme si cette réalité était la condition du bonheur (puisqu'il n'y a pas de bonheur imaginé - il n'y en a qu'un seul, grandiose, qui se vit à l'instant même), oui, tu m'as dit à quel point j'étais intransigeante et je tapais des pieds, à quel point mon propre ego me faisant mal : tu m'as dit sors de ta prison - est-ce que j'étais folle, enfermée ou si j'étais libre de mes mouvements, qu'est-ce qui m'empêchait de courir, partir ?
Vous m'avez dit ose, vis, sois
Pleinement -
Et je suis
Plus grande que mes malheurs - une esthète, une œuvre d'art, délicate et généreuse - mieux : rayonnante
Et je serai - chaleureuse, altruiste, pleine de santé, tonique, je plongerai mes mains dans la terre - amicale - mes yeux ont la beauté des étoiles - magnifique la vie que je voudrais répandre sur tous ceux qui m'entourent
Tremblante, ma voix amoureuse, dans les parcs et les magasins, tant et trop de délicatesse - la feuille à peine détachée de l'arbre, légère, légère, tourbillonnante
Je voudrais m'offrir, je voudrais m'offrir - à toutes les belles âmes qui meurent de froid, donner toute ma beauté et la richesse de mon être - ça serait vivre !
Être encore autre chose qu'un soleil, et plus réelle qu'un astre - ma chaleur et mes enthousiasmes à donner - tout ce qui brille dans mon cœur, tout ce qui déborde, ce que mes bras ne peuvent contenir et encore toute mon âme
Je voudrais tout offrir, tout, tout donner, répandre des morceaux de moi, le meilleur de ma chair, le plus clair de mes mots, le plus pur de mes baisers et ma tendresse et ma sensibilité - j'ai tout et tant à embrasser et la largesse de mon cœur à contenter, à déverser, à ravir,
Mes yeux à ras bords de toutes les merveilles de la terre - que j'aime et que j'aime et que j'aime
Et vous - que je voudrais tant aimer
Pour oser, pour vivre, pour être - dans la clarté du jour, la majesté des soirs, toute la beauté qui m'étreint - pour vous dire mon ivresse d'être en vie, le bonheur qui est encore autre chose et qui n'a rien d'un mystère
Buvez-moi comme un alcool - si seulement, si seulement mon extase pulsante, vibrante, vivante vous prenait à vous aussi - vous parvenait de n'importe où et d'ailleurs...
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Cocotte-minute ou ''baroud d'honneur''?
Avec une unanimité telle qu'elle en devient suspecte, la totalité de la con-frérie des ‘’commentateurs’’ (NDLR : ''menteurs'' suffirait !) annonce, prédit et proclame que nous sommes à la veille d'un maelström de crises cumulées qui feront penser, ou peu s'en faut, à un mélange de 1789 + 1830 + 1848 + 1936 + 1968 ensemble et en vrac, dans un grand réveil de la société française, très espéré... même si ce n'est jamais pour les mêmes raisons ! A l’aube d'une semaine dite ''de tous les dangers'' (conséquence directe de la présentation de la réforme des retraites), la colère n’a jamais pu réellement trouver d’incarnation politique, mais on nous redit sans cesse que le mécontentement est très ceci ou trop cela, et même peut-être les deux !
Deux commentaires s'imposent ici : (1)- leur joie gourmande à s'apprêter à vivre une Révolution'' ferait plaisir à voir... s'ils n'étaient pas obligés de la camoufler : sans les honteuses subventions gouvernementales, pas un seul titre de Presse ne survivrait 48 heures, sauf ‘’Valeurs Actuelles’’ qui, précisément, est exclu de ces cadeaux dont il se passe, seul de son genre : comme il est le seul à dire la vérité et à écrire des choses sensées, ce titre a été banni des largesses réservées à ceux qui mentent dans le bon sens ('Ils'' appellent ça la démocratie). Tant pis pour eux !
Et (2), ils se sont tous systématiquement trompés sur absolument tout ce qui a été annoncé et prévu –tout particulièrement à propos du covid, où ‘’ils’’ se sont surpassés en mauvaises décisions –maintenues, pour ne pas ''perdre la face’’ ! Il serait donc sage, prudent et raisonnable de se poser, mais plus sérieusement, la question : ''Sommes-nous vraiment à la veille d'une explosion sociale de première grandeur ? Autrement dit : ''Et s'il ne se passait rien qui vaille la peine de s'affoler et de refaire des provisions de ''PQ'', comme à chaque fois que les macroniens nous manipulent comme des ados immatures ou idiots --ce qu'ils sont .. (les deux) ?''.
Les sondages se succèdent et donnent des résultats proches les uns des autres (Pourquoi continuer à en faire, alors que tout le monde sait que les crises ''à haute intensité'' adorent déjouer les prévisions ? ). Prenons-en un, révélateur : (sondage en ligne réalisé par Harris Interactive pour l'hebdomadaire communiste l'Humanité-Dimanche) : '' 58 % des Français affirment souhaiter une révolte aujourd'hui en France, mais 50% des sondés n'y croient pas''. Qu’est-ce que cela veut dire ?
D'abord, que c'est quand on s'y attend le moins et que la ''météo sociale'' a l’air au beau fixe que les conflits sociaux éclatent et quand le vent se lève, jusqu’à atteindre parfois un niveau tempétueux. Par expérience, les prévisions dans ce domaine sont bien plus hasardeuses qu’en matière météorologique où elles sont pourtant souvent très approximatives. Une autre remarque veut qu'un conflit ne s'enracine que s'il se trouve une ''figure'' pour l'incarner, la récente crise dite ''des gilets jaunes'' illustrant bien cette remarque. Autre exemple : lors du vrai conflit de l'automne 1995, Blondel (CGT-FO) et Thibaut (CGT-Cheminots) ont su incarner la révolte face à Chirac et à Juppé : ils ont été des porte-paroles médiatiques, mais efficaces, écoutés et suivis. Aujourd’hui même si Laurent Berger (CFDT) et Philippe Martinez (CGT) sont deux responsables syndicaux connus qui ont parfaitement intégré la dimension communicationnelle dans leur combat, ils ont déjà beaucoup ''servi'' et sont défraîchis, voire émoussés, du point de vue médiatique : compte tenu de l’ancienneté de leur présence sur scène, pas toujours avec succès et parfois même avec des échecs cinglants, on hésite à voir en eux les grands ''leaders charismatiques'' dont aurait besoin un mouvement qui n'a pas réussi à décoller, en tout cas jusqu'ici, malgré le ''score'' atteint par les oppositions variées à ce projet.
Quant à la scène politique en pleine déconfiture... la Gauche est embourbée dans un marécage, par la faute des ultra de la Nupes (cf Lénine : ''Le gauchisme, maladie infantile du communisme'')... LR est déchiré entre ses propos passés sur les retraites et sa posture actuelle d'opposant... et le RN, qui a raflé des votes ouvriers ou salariés en 2017 en défendant l’âge limite à 60 ans, est revenu sur cette position en 2022. Et le parti présidentiel se débat entre les prises de positions changeantes de l'Elysée : il est pour tout ce sur quoi il crachait lors du quinquennat précédent, et a perdu toute crédibilité avec ses mensonges à répétition sur le covid.
Dans une société qui se délite dans l'individualisme, l’hostilité croissante des mouvements sociaux au recours à un Homme providentiel remet en cause la nécessité d’un chef pour organiser une action : le primat de facto de l’individualisme tend à dépasser toutes les autres raisons de la mobilisation, jusqu’à détruire ''l'ethos collectif'' qui était, hier encore, une mystique de la grève et de la manif'. L’économiste Mançur Olson (''Logique de l'action collective'') a expliqué un phénomène bien connu sous le nom de ''le passager clandestin'' ou ''le paradoxe d'Olson'' : un groupe d'individus ayant un intérêt commun échappe à l'action collective si chaque membre se comporte de manière rationnelle. Il ajoute : ''Les groupes relativement petits sont capables de s’organiser en fonction de leur intérêt commun, là où des groupes plus importants échouent à le faire''. (ex. : 30 grévistes des raffineries Total, 150 contrôleurs aériens ou quelques centaines (sur 3000) de contrôleurs SNCF peuvent bloquer la France. Pas ''la convergence des luttes'' !).
Habitués à être floués, les français ne se laissent plus ''payer de mots'' et savent faire le tri entre des ''effets d’annonce'', la panique, et la réalité d’une intervention réelle. Les mots anciennement magiques tels que ''plans d’urgence'', ''un Grenelle'', ''un Ségur'', ''un Comité Théodule'', etc. ont enfin été identifiés comme autant de ''pièges à cons'', et les français ont fini par voir clair dans ce jeu où ils étaient les dupes. Ils sont devenus très méfiants sur les effets des mesures ponctuelles, catégorielles et sectorielles, destinées à éteindre les ''départs de feu'' de manière à empêcher qu’ils ne se propagent à l’ensemble du corps social. En réalité, les ''bénéficiaires potentiels et ciblés'' de ces usines à gaz qui se perdent dans les rouages ‘’imbitables’’ d'une administration anthropophage, ne voient le plus souvent ni la couleur ni les effets sonnants et trébuchants des sommes ‘’promises’’ (sic !)...
Alors... y a t-il un risque réel d’éruption dans le pays, dans ce contexte où l’inflation devient pesante, où la guerre (qui peut devenir nucléaire à tout instant) et la crise énergétique qui en résulte sont pesantes, et où les inquiétudes liées à cette réforme des retraites sont permanentes ? Une question est : les mécanismes d'aides déployés pour les boulangers, les TPE et les entreprises, etc... vont-ils oblitérer les risques de colère sociale et le ''ras-le-bol'' des français qui ressemble de plus en plus à une soumission faite de passivité et d’acceptation muette ? Si les français ne ''bougent'' pas –ce qui est possible et même probable, tenu compte des freins psychologiques, économiques, politiques et personnels qui s'imposent à eux--, ce ne sera pas par adhésion aux réformes lancées mais par lassitude et par résignation... quitte à prendre les ''fourches'' pour de bon, dans six mois ou dans un an, pour une étincelle qui les mettra en fureur. D'ici-là... des grèves, un peu, et des manifs aussi, sûrement. Un ''jeudi noir'', sans doute –mais pas deux ! Quant au cataclysme absolu... je n'arrive pas à y croire, malgré tous les sondages : pas idiots, les français savent parfaitement que la balance démographique (dont les opposants, de manière étrange, ne parlent jamais mais qui est dans tous les esprits) rend ces mesures incontournables, si on veut éviter la catastrophe absolue.
D'un côté, on est obligés d'être contre : cette réforme n'est pas un cadeau. Mais de l'autre... faire la grève et perdre un ou des jour(s) de salaire au moment où menacent une inflation à deux chiffres et une incertitude du lendemain ? ''Bobonne'', toujours plus sage, plus réaliste et les yeux bien en face des sous va le ramener sur terre, son va-t'en guerre de mari (ou équivalent) ! Mais le pouvoir ne perd rien pour attendre : il a beaucoup trop tiré sur la corde, il a été beaucoup trop mauvais, il a trop menti, trop joué avec les mots, beaucoup trop ''communiqué'', il s'est trop foutu de notre gueule : tout finit par se payer, un jour...
Au fond de moi, je ne peux m'empêcher de penser que tout ce tintamarre n'est qu'une des dernières batailles perdues d'avance que livre un monde en voie de disparition à une évolution larvée dont personne ne voit le sens : c'est l'adieu aux armes d'une génération de hiérarques périmés à un futur qu'ils ont sciemment oublié de construire, d'imaginer, de préparer. Honte à eux !
H-Cl.
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IHSAHN - Ihsahn
Démarré au piano en ébauche, c’est pour finir une étendue d’orchestration digne d’un péplum que le Norvégien Ihsahn aka Vegard Tveitan a engendré dans son opus éponyme.
« L'art fait appel à la métaphysique et aux archétypes de notre existence - il nous permet de faire face aux expériences liées à une perte, à la mort, à l'amour - il nous prépare à toutes ces choses d'une certaine manière. C'est la valeur, la perspective, à partir de laquelle je souhaite créer. » Ihsahn
Vous souvenez-vous du moment où un tourbillon monstrueux et dément s'était emparé de vous ?
Ce disque est un château, hanté de meringue et de chantilly progressive, avec des herses, des meurtrières, et des machicoulis de buvard d’acide metAl comme un vent fort, impétueux et sans relâche. Peut-être parviendrez-vous à ressentir ces sentiments qui semblent si grands dans la poitrine comme si quelque chose était si beau que ça faisait mal.
C’est une corde lumineuse à la Tolkien et sacrée dans le tumulte noir et orageux, le reflet lumineux d'une étoile pâle dans l'écume bouillonnante des vagues sombres d'un volcan en ébullition …Quand le maelström s'immobilise sur une mer plus calme, les eaux bouillantes en dessous refont surface pour formuler le suspense à Hitchcock
Ihsahn est un artiste, visionnaire d’un territoire qu’il peint à travers son metal progressif impressionniste et cinématographique. D’ailleurs ce huitième album studio est disponible en deux versions l'une métal, l'autre symphonique.
C’est une genèse de lumière dans un cloître sombre qui s’élève, hantant tous les rites dans une largesse créative que l’obscurité des églises humides abondent d’une pâle figure à côté. Ihsahn fait éclore des frémissements progressifs où couvaient les sarcophages musicaux, les titres apportent un souffle chaud, le battement veineux d’une musique hors sol, à travers l’apparition spectrale de votre propre imagination. Vous allez palpiter et trembler devant la tempête qui se déverse comme un ouragan dans une éternité de rugissements soniques, de convulsions infernales, pour une messe sombre assit sur le Golgotha, aux pieds de l'humanité crucifiée. Vous pouvez être certain que l'abîme s'ouvrira, où l'âme pénétrée par de amples mystères tremblant d'agitation, viendra s’illuminer dans la splendeur de sa propre nudité.
Ce travail d'auteur expose des créations gargantuesques, qu’il considère comme l'un des projets les plus complexes qu'il ait jamais entrepris. Entièrement auto-produite et enregistrée sur une période de trois ans, la version métal a été mixée par Jens Bogren, la version orchestrale par Joel Dollié et les deux étant masterisées par Tony Lindgren. Ihsahn est accompagné de Tobias Ørnes Andersen et Tobias Solbakk à la batterie et aux percussions, ainsi qu’au percussions de son fils, Angell Solberg Tveitan, les violons sont signés Chris Baum. L'illustration de l'album est signée Ritxi Ostariz et toutes les photographies promotionnelles ont été réalisées par Andy Ford.
Ihsahn explique : « En moyenne, je sors un album complet tous les deux ans et ce depuis que j'ai 16 ans. Pour mon huitième album solo, je me suis demandé comment je pouvais faire ce que je faisais de mieux, tout en plaçant la barre encore plus haut. Au cœur de mon travail, il y a le black metal, les guitares distordues à l'extrême et les cris, mais depuis les premiers enregistrements d'Emperor, on entend des parties de claviers influencées par les bandes originales classiques de Jerry Goldsmith, John Williams, Bernard Herrmann, John Carpenter, etc. J'ai donc abordé l'écriture avec l'intention de présenter le matériel dans sa pleine expression métallique, mais aussi d'arranger les parties orchestrales de manière à ce qu'elles fonctionnent de façon indépendante. D'une certaine façon, j'ai tenté d'écrire une bande sonore dans le cadre des structures de la production complète, ce qui m'a permis d'explorer différentes variations, parfois contrastées, d'une même musique. En fin de compte, j'ai écrit toute la musique comme une partition courte pour piano et je l'ai arrangée pour un ensemble typique et un orchestre, en veillant à ce que tout s'imbrique. »
Cet opus est une odyssée wagnérienne dont le périple du héros est un musicien autodidacte nommé Ihsahn donnant corps et âme, nuit et jour à une vision pantagruélique dans une paire de récits distincts. L’entrelacement des textures sonores ciselées à satiété transportent leurs expressions cinématographiques épiques dans une ferveur liturgique.
« Pour créer quelque chose de valable, on ne peut pas uniquement aller vers ce que le public attend, il faut savoir viser plus haut. Lorsqu'on a l'opportunité de faire un disque, il serait prétentieux de penser que ce sera le prochain Dark Side Of The Moon, OK Computer, ou Black Album, mais, d'une certaine manière, il serait aussi arrogant de ne pas essayer ! ?! Il est vrai que c'est le projet musical le plus difficile et le plus complexe que j'aie jamais réalisé, et, en fin de compte, d'un point de vue personnel, c'est aussi le plus gratifiant. J'ai vraiment dû me surpasser et j'ai beaucoup appris au cours de ce processus » dixit Ihsahn
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JEAN : 13 V 1 : AYANT AIMÉ LES SIENS QUI ÉTAIENT DANS LE MONDE ,IL MIS LE COMBLE A SON AMOUR EN LAVANT LES PIEDS DE SES DISCIPLES : Peuple de Dieu ! Un des fléaus des dernièr temps ( CEST L'ÉGOÏSME ) C'est d'abord chercher nos intérêts et pas se soucier des intérêts des autres et cela déplaît au Seigneur . Il y a des sacrifices que nous devons faire pour l'avancement de son Royaume ici-bas . Le renoncement à soi-même est une priorité que le Maître désire afin d'être maniable entre ses mains sans retenue . Jésus-Christ est notre . modèle durant son Ministère terrestre , il n'a jamais cherché son intérêt quoiqu'il était fils de Dieu . Si nous sommes bloqués dans ce domaine nous n'avons pas encore en nous l'amour du Christ et a comme conséquence que nos œuvres pour lui est limité . Ne restons pas à l'étroit mais faisons des largesses pour secourir les plus faibles , les laissés pour compte , ceux qu'ont méprises . Soyons conscient que tout ceux que nous faisons pour les autres c'est a lui que nous le faisons .
Amen merci Seigneur ✝️
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Catholic Propagation (DC Comics Theory, MI-6)
Have you ever noticed there's too many comics and cartoons?
Comics, are designed to trap sex offenders, in Hofstratters schizophrenia, a singular device of act and designation, for a Pied Piper, a marriage broker.
It's Islamic, for whores.
We had books before Christ.
But now Canon, is a pig, a men's aphrodesiac.
We had art and theater before Muhammad.
But now Comics, are a stage, a way to kill you for refusing progress.
We had film, before Avery Brooks.
But now American History X, is murder, you went to prison for seeking the ending.
Do you want me with my creditors, my Aunt's ties?
Saks Fifth Avenue, Nieman Marcus, Macy's?
The chocolates some whore ate?
Dr. Facilier?
For a Bruce O'Neill?
Why does my client's mother, a drug addict, expect marriage?
I nullify contract of salary, to five eighths of minimum wage over three years or more, with a payment of largesse of one year of commission from a single year.
Resource Economics, logistics, energy supply.
We Nobles still hunt the poor kin, those who desire a mere reward for a job, instead of their greater mission.
Hunters, Senators, Spies, now Vigilantes.
We continue to grow in power.
Against those homosexuals, those sugar children.
You can't win with war. The Pope always steals your kid, your wife, your semen, for state police for the first strike belligerent; for the actor's guild, the common ignorance, in exchange for free imports for Catholic countries.
The Pope understands how weak and hateful, that the Jewish informant, the Jewish werewolf, and the Jewish pedophile, the Rabbinical tryptich, makes you. He makes money, from us, on you, Israel.
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Pour la première rencontre du groupe F entre l’Allemagne et le Mexique au Stade Loujniki de Moscou, le tenant du titre s’est fait surprendre par la furia aztèque (0-1). Emmené par un Hirving Lozano intenable dans son couloir gauche et un Chicharito Hernandez reconverti en attaquant altruiste, le Mexique a profité des espaces laissés par la défense allemande pour piquer en contre-attaque. Revire le film de la rencontre Mexique Vs Allemagne (1-0) Lozano avait donné un premier frisson dès la deuxième minute, mais Boateng était parvenu à tacler en catastrophe la frappe de l’ailier du PSV. On sentait tout de suite que les petits bonhommes verts allaient poser de sérieux problèmes à cette Allemagne. Deux minutes plus tard, Timo Werner disposait d’une cartouche dans la surface, mais son tir croisé du pied droit filait de peu à côté de la cage d’Ochoa. Alors que l’on voyait dans cette réaction un début de révolte, les Mexicains ne pliaient pas et, à force d’insister en contre, profitant des largesses défensives allemandes, finissaient par ouvrir le score. Hirving Lozano, toujours lui, filait à toute vitesse, pénétrait dans la surface, crochetait Ozil et terminait d’une frappe croisée imparable pour Neuer (1-0, 35e). Une ouverture du score qui réveillait les Allemands, mais le sublime coup franc de Toni Kroos était dévié du bout du gant par Guillermo Ochoa sur sa transversale (38e). Dans le deuxième acte, l’Allemagne se réveillait mais la tentative de retourné de Kimmich filait juste au-dessus (64e) et la frappe de Draxler connaissait le même sort (68e). La Mannschaft infligeait une pression de tous les instants à ses adversaires lors du dernier quart d’heure, mais la bande à Rafa Marquez, entré en cours de jeu et qui dispute son 5e mondial (record co-détenu par 4 joueurs), tenait bon. El Tri avait même l’opportunité de plier la rencontre à plusieurs reprises, mais les contre-attaques mexicaines péchaient dans la finition. Malgré quelques frayeurs sur les dernières offensives allemandes, une tête de Mario Gomez et un missile de Julian Brandt, sortis du banc, le Mexique s’imposait et faisait sensation d��entrée. A lire aussi: Mondial 2018 - Revivez les temps forts du match Serbie vs Costa Rica (vidéo)
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Pour la première rencontre du groupe F entre l’Allemagne et le Mexique au Stade Loujniki de Moscou, le tenant du titre s’est fait surprendre par la furia aztèque (0-1). Emmené par un Hirving Lozano intenable dans son couloir gauche et un Chicharito Hernandez reconverti en attaquant altruiste, le Mexique a profité des espaces laissés par la défense allemande pour piquer en contre-attaque. Revire le film de la rencontre Mexique Vs Allemagne (1-0) Lozano avait donné un premier frisson dès la deuxième minute, mais Boateng était parvenu à tacler en catastrophe la frappe de l’ailier du PSV. On sentait tout de suite que les petits bonhommes verts allaient poser de sérieux problèmes à cette Allemagne. Deux minutes plus tard, Timo Werner disposait d’une cartouche dans la surface, mais son tir croisé du pied droit filait de peu à côté de la cage d’Ochoa. Alors que l’on voyait dans cette réaction un début de révolte, les Mexicains ne pliaient pas et, à force d’insister en contre, profitant des largesses défensives allemandes, finissaient par ouvrir le score. Hirving Lozano, toujours lui, filait à toute vitesse, pénétrait dans la surface, crochetait Ozil et terminait d’une frappe croisée imparable pour Neuer (1-0, 35e). Une ouverture du score qui réveillait les Allemands, mais le sublime coup franc de Toni Kroos était dévié du bout du gant par Guillermo Ochoa sur sa transversale (38e). Dans le deuxième acte, l’Allemagne se réveillait mais la tentative de retourné de Kimmich filait juste au-dessus (64e) et la frappe de Draxler connaissait le même sort (68e). La Mannschaft infligeait une pression de tous les instants à ses adversaires lors du dernier quart d’heure, mais la bande à Rafa Marquez, entré en cours de jeu et qui dispute son 5e mondial (record co-détenu par 4 joueurs), tenait bon. El Tri avait même l’opportunité de plier la rencontre à plusieurs reprises, mais les contre-attaques mexicaines péchaient dans la finition. Malgré quelques frayeurs sur les dernières offensives allemandes, une tête de Mario Gomez et un missile de Julian Brandt, sortis du banc, le Mexique s’imposait et faisait sensation d’entrée. A lire aussi: Mondial 2018 - Revivez les temps forts du match Serbie vs Costa Rica (vidéo)
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Pour la première rencontre du groupe F entre l’Allemagne et le Mexique au Stade Loujniki de Moscou, le tenant du titre s’est fait surprendre par la furia aztèque (0-1). Emmené par un Hirving Lozano intenable dans son couloir gauche et un Chicharito Hernandez reconverti en attaquant altruiste, le Mexique a profité des espaces laissés par la défense allemande pour piquer en contre-attaque. Revire le film de la rencontre Mexique Vs Allemagne (1-0) Lozano avait donné un premier frisson dès la deuxième minute, mais Boateng était parvenu à tacler en catastrophe la frappe de l’ailier du PSV. On sentait tout de suite que les petits bonhommes verts allaient poser de sérieux problèmes à cette Allemagne. Deux minutes plus tard, Timo Werner disposait d’une cartouche dans la surface, mais son tir croisé du pied droit filait de peu à côté de la cage d’Ochoa. Alors que l’on voyait dans cette réaction un début de révolte, les Mexicains ne pliaient pas et, à force d’insister en contre, profitant des largesses défensives allemandes, finissaient par ouvrir le score. Hirving Lozano, toujours lui, filait à toute vitesse, pénétrait dans la surface, crochetait Ozil et terminait d’une frappe croisée imparable pour Neuer (1-0, 35e). Une ouverture du score qui réveillait les Allemands, mais le sublime coup franc de Toni Kroos était dévié du bout du gant par Guillermo Ochoa sur sa transversale (38e). Dans le deuxième acte, l’Allemagne se réveillait mais la tentative de retourné de Kimmich filait juste au-dessus (64e) et la frappe de Draxler connaissait le même sort (68e). La Mannschaft infligeait une pression de tous les instants à ses adversaires lors du dernier quart d’heure, mais la bande à Rafa Marquez, entré en cours de jeu et qui dispute son 5e mondial (record co-détenu par 4 joueurs), tenait bon. El Tri avait même l’opportunité de plier la rencontre à plusieurs reprises, mais les contre-attaques mexicaines péchaient dans la finition. Malgré quelques frayeurs sur les dernières offensives allemandes, une tête de Mario Gomez et un missile de Julian Brandt, sortis du banc, le Mexique s’imposait et faisait sensation d’entrée. A lire aussi: Mondial 2018 - Revivez les temps forts du match Serbie vs Costa Rica (vidéo)
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Excerpt from Ronald Hutton’s Station’s of the Sun:
During the early modern period, information upon harvesting increases, and most of it is summed up in three different sets of verses, spread across the span between 1570 and 1650. The earliest is Thomas Tusser’s famous rhyming treatise on farming, the first edition of which appeared in 1573. He described how a good employer gave gloves to his field-hands, how the latter cried for ‘largesse’, and how a “harvest lord” was appointed to lead and supervise the work. Tusser attached expecial importance to the food and drink given during the reaping and the entertainment at the end:
In harvest time, harvest folke,
servants and all,
should make all togither good
cheere in the hall:
And fill out the black boule of
bleith to their song
and let them be merie all harvest
time long.
Once ended thy harvest, let none
be begilde,
please such as did helpe thee, man,
woman and childe.
Thus dooing, with alway such
helpe as they can,
thou winnest the praise of the
labouring man.
He added that on the departure each “ploughman” should be presented with a “harvest home goose”.
The author of the late Elizabethan ballade “The Mery Life of the Countriman”, which has been much quoted earlier in this book, was as concerned to celebrate the process as Tusser was to give practical advice upon it:
When corne is ripe, with tabor and
pipe, their sickles they prepare;
and wagers they lay how muche in a
day they meane to cut downe there.
And he that is quickest, and cutteth
downe cleanest the corne,
a garlande trime they make for him,
and bravely they bringe hime home.
And when in the barne, without any
harme, they have laid up their corne,
In hart they singe high praises to him
that so increast their gaine.
And unto the parson, their pastor,
and teacher also,
With harts most blyth, they give their
tyth--their duties full well they knowe.
The standpoint of this writer, detached, external, and preoccupied with hierarchy and obligation was occupied in the early seventeenth century by a genuine poet, in a famous piece of literature. Robert Herrick’s “The Hock-cart, or Harvest home”, was pointedly dedicated to an earl and so concerned with the dues to a secular lord rather than to a clergyman. It depicts the cart carrying the last load from the fields, “dressed up with all the country art”, and followed by adults crowned with ears of corn and a whooping “rout of rural younglings”. A piper accompanies a harvest-home song. “Some bless the cart, some kisss the sheaves; some prank them up with oaken leaves”. the landowner has prepared a feast at his seat for them, of beef, mutton, veal, bacon, custard pies, boiled wheat and beer. The peopldrink first to his health, and then to “maids with wheaten hats” and to a succession of agricultural tools. The poem ends with a homily in favour of social deference and against drunkenness at the feast.
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Empowering Financial Autonomy: LARGESSE Pl's Vision
LARGESSE Pl operates as an independent asset manager, utilizing its capital to pursue promising investment opportunities without external influence. Visit us to understand our commitment to financial autonomy and performance.
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Chapter 1 ~ Chapter 2 ~ Chapter Three
Halfway to the back of the fishing net weaver’s shop, Bea stopped and checked her pockets for the coins she always kept squirrelled away for her twice-weekly trip to market. It was getting harder to invent excuses to go, to see these children, but she had managed with the empty-headed knights because they’d wanted to peacock around. Throw their skills and largesse in the common folk’s faces.
She did not think she would get so lucky with Tovar. His chestnut-brown eyes seemed to see everything; see through her.
The edge of the metal bit comfortingly into her skin. Tovar remained a constant shadow as she paused by a pie hawker’s stall, browsing momentarily before choosing three medium-sized pies with indeterminate filling. They were hot and nourishing, and would make small bellies stop rumbling; nothing else mattered.
The hawker took the coins and wrapped the pies in waxed parchment.
Tovar eyed Bea as she took the pies, warm in her arms, and then followed the child around to the back of the cramped houses.
He walked silently behind her, with the grace of a predator. She didn’t feel afraid - he would not hurt her or the children; she was sure of that.
But less sure of what he would or would not relate back to her father.
The well to do, lofty suitors who came courting would not like it if their future bride was seen feeding peasants.
Bea could not care any less about those stuffed-shirt peahens. But she did care about her father.
Unfortunately.
It was most inconvenient. As were most feelings.
“Miss Bea!” Agnes called.
“Coming!”
Tovar grabbed her hand. Bea glanced back. “What?”
“Is it safe?” He muttered, eyes dark, casting around the narrow alley.
Bea jerked her arm free, ignoring the fact that none of the peahens previously assigned to her had questioned her safety. “Is providing food and education to children safe? Perhaps not, but it is needed.”
If she thought he would baulk, she was wrong. He nodded stiffly. “Very well. Let us proceed then. Allow me to walk before you.”
Bea stepped aside with reluctance.
She and Tovar picked their way down the dirty alley - it smelled like the midden it was - towards the back of the weaver’s shop. Amid piles of netting to be fixed, which stank of fish, sat six children, Agnes one of them.
They broke into smiles when they saw her, and Bea dropped to her knees and threw out an arm. The children, skin and bone and smiles and laughter, crowded her.
Tovar stood behind her, a looming, silent shadow.
Agnes climbed on to Bea’s lap - weighing almost nothing - and peered at Tovar.
Bea grinned. “See?” she murmured, quietly but loud enough for the Spaniard to hear, “A pussycat.” She lifted a grinning Agnes off her lap and unwrapped the pies, taking a small, blunt knife from her pocket. Cutting each of the three pies in two, she let the children feast. They ate quickly, barely chewing, eyes darting around, as if the precious food might be taken from them at any second.
Tovar stood silently behind her. Bea looked around at him, wondering at his thoughts. His expression was unreadable, his hand on the hilt of his sword.
The children licked their hands clean and then, using the knife and the earth outside the weaver’s shop, they worked with Bea on their letters. Agnes could write her name perfectly legibly now; she was the brightest of this ragtag bunch. If the girl had been a little older, Bea would have found a way to have her trained as a lady’s maid; perhaps she still could. Just a little more time to work on her father.
If she had to wed a strutting peahen then she would, but by the grace of God, she would take as many of these children with her, give them a better life, any way she could. If that meant working in the kitchens of Bea’s egotistical husband, then so be it, at least they would go to sleep with full bellies and underneath a thatched roof. Some here did not have that.
Why should families like her have everything and these children have nothing, simply because of which side of the river they had been birthed on? It made Bea’s heart twist.
Tovar shielded his eyes from the sun with one large hand. “Princesa,” he called.
Bea grunted, distracted. “Don’t call me that.”
“It will be time for the midday meal soon, si? I must escort you back.”
Six little faces looked up at her, big eyes sad.
“She will come back,” Agnes promised her little band of followers. “Right?”
“Right,” Bea affirmed. She brushed off her skirts, sighed. “But for now, I have to go.”
Tovar offered her his hand. She toyed with ignoring it to be spiteful, but didn’t see the point. She placed her hand in his, felt his skin, sword-callused, warm.
“The fabric?” he asked, softly.
Bea met his gaze. That he would remember what he now knew to be a blatant lie, that he would remind her, give her a chance to save face, made something like a pang squeeze her heart.
“Yes. The fabric.”
He released her hand as she stood, waving goodbye to the children. Every time she came down here, to the market place with its bustle and mud and dirt and smiles and clinking of coins, she left a little piece of her heart in Agnes’ small, grubby palms.
“Go on,” Bea snapped to Tovar as they walked away. “Tell me that I’m wasting my time with those urchins.”
A muscle in his jaw ticked - difficult to see properly under that beard - and his dark eyes met hers for a moment.
“Cat got your tongue?” she baited, feeling waspish, spoiling for a fight, cross at having to leave the children to lunch with her father in a manor she didn’t belong inside.
Tovar stopped in his tracks, pinned her with those big, bottomless soulful eyes. “I was such an urchin, Princesa. And I would have given all my grubby hands could hold for a single taste of the kindness you show those wretched children.”
And he stormed off ahead.
Bea looked after him, noticed the set of his shoulders, and for the first time in a long time, felt utterly sick of her own company.
Unbeta’d.
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180 of 360
* somersaults on sand; hand-standing on the shore
in sync with salient smiles & the wave's wash - rolling, renewing
all at once.
a sultry, zoomed panorama to pucker & kiss, in my eyes' largess
towering over all temporal, immortus i am;
two pi revolved over two, mid-circled on a parameter unfurled at a gaze...
alas, dusk beckoned.
leaving breadth & beaches treading sands more substantial
sailboats in sight of my mind's eye only, now structured in mortared stone seating
as one of many minions, sequestered in second semesters of a skinned seismic cycle
& sentient me - mortalis ad mortem, after all. * 8/20 - lebuc - 180 of 360
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In May 2016, at a conference for Germany’s left-wing Die Linke party, Torten für Menschenfeinde (“Pies for Misanthropes”) struck again. Sneaking up the side of the conference hall, a member of the anti-fascist organization threw a piece of cake at Sahra Wagenknecht, a prominent Die Linke member in the Bundestag. It was a direct hit: Wagenknecht’s face was covered in chocolate frosting, a streak of whipped cream extending from ear to ear.
Torten für Menschenfeinde targeted Wagenknecht for her vocal position against an open-border policy for Germany. Earlier that year, she challenged Chancellor Angela Merkel’s decision to accept more than 1 million refugees, arguing that Germany should impose limits on entry and deport those who abused German “hospitality.” The cake attack—which followed a cream-pie offensive against a member of the far-right Alternative for Germany—isolated Wagenknecht in her party, which had otherwise pledged support for Merkel’s policy.
Nearly three years later, however, Wagenknecht and her views on migration have gone mainstream, in Germany and across Europe. In September 2018, Wagenknecht and her husband, Oskar Lafontaine, founded Aufstehen (“Rise Up”), a political movement combining left-wing economic policy with exclusionary social protections. The movement has garnered over 170,000 members since its official launch; according to a recent poll, more than a third of German voters “could see themselves” supporting Wagenknecht’s initiative.
“I am tired of surrendering the streets to the [anti-Islam movement] Pegida and the Alternative for Germany,” Wagenknecht said at the launch event. Onstage, she was joined by allies in Germany’s Green Party and the Social Democratic Party. “As many followers of the political left as possible should join,” several Social Democratic politicians wrote in a joint statement.
By founding Aufstehen, Wagenknecht became a member of the new vanguard of left politics in Europe. In France, Jean-Luc Mélenchon leads La France Insoumise, a left-populist movement that has been critical of mass migration. “I’ve never been in favor of freedom of arrival,” Mélenchon has said, claiming that migrants “are stealing the bread” of French workers. He is now the most popular politician on the French left, widely considered the face of the opposition to President Emmanuel Macron and a championof the Yellow Vest movement.
In the United Kingdom, Jeremy Corbyn leads the Labour Party and offers a radical vision of socialist transformation. And yet, although he was a vocal advocate for migrant rights during his tenure at Westminster, Corbyn has expressed deep skepticism about open borders as the party’s leader. “Labour is not wedded to freedom of movement for EU citizens as a point of principle,” Corbyn said, committing Labour to a policy of “reasonable management” based on “our economic needs.”
The rise of these left-nationalist leaders marks a momentous turn against free movement in Europe, where it has long been accepted as a basic right of citizenship.
Forget The Communist Manifesto’s refrain that “the working men have no country”; the new face of the European left takes a radically different view. Free movement is, to quote Wagenknecht, “the opposite of what is left-wing”: It encourages exploitation, erodes community, and denies popular sovereignty. To advocate open borders, in this view, is to oppose the interests of the working class.
By popularizing this argument, these new movements are not just challenging migration policy in Europe; they are redefining the boundaries of left politics in a dangerous, and inopportune, direction. Over the next few decades, global migration is set to explode: By 2100, up to 1 million migrants will be applying to enter the European Union each year.
Right-wing populists have already begun their assault on migrants: In Italy, Deputy Prime Minister Matteo Salvini has called for “mass cleaning,” while Hungarian Prime Minister Viktor Orbán has proposed that recent arrivals should be sent “back to Africa.” As left-nationalist movements charge ahead in the polls, it is not immediately clear who will challenge their pessimistic view of migration and fight for the right to free movement.
In April 1870, Karl Marx wrote a letter to two German migrants in New York City, imploring them to “pay particular attention” to what he called “the Irish question.”
“I have come to the conclusion,” Marx wrote, “that the decisive blow against the English ruling classes cannot be delivered in England but only in Ireland.” For Marx, Ireland would play a decisive role because of its mass emigration—the Mexico of its time. “Ireland constantly sends her own surplus to the English labor market, and thus forces down wages and lowers the material and moral position of the English working class,” Marx continued. “It is the secret by which the capitalist class maintains its power.”
In the century and a half since, Marx’s letter has become a key reference point for the left critique of free movement. The passage is cited as evidence of a fundamental tension between the traditional goals of the left—equality, solidarity, working-class power—and a policy of open borders. “Karl Marx identified that fact a long time ago,” announced Len McCluskey, general secretary of Britain’s Unite the Union and a close ally of Jeremy Corbyn, in 2016.
But critics of free movement often neglect to mention Marx’s conclusions: “Given this state of affairs,” he wrote, “if the working class wishes to continue its struggle with some chance of success, the national organizations must become international.”
Marx’s analysis of mass migration did not lead him to advocate harder borders. Instead, it made him support international mobilization to protect workers’ rights in a world of free movement.
After all, Marx himself was a triple émigré: He fled Prussia to Paris, faced exile from Paris to Brussels, and—after a brief incarceration by the Belgian authorities—found his way to London. And he was hardly a model immigrant: Poor, sick, and a notorious procrastinator, Marx was much more of a scrounger than a striver, leeching off the largesse of Friedrich Engels.
As such, Marx had little sympathy for the “ordinary English worker,” who “hates the Irish worker as a competitor who lowers his standards of life.” The solution to the Irish question was not to bow to these prejudices, he argued, but to dissolve the antagonism between the various camps of the working class. “A coalition of German workers with the Irish workers—and of course also with the English and American workers who are prepared to accede to it—is the greatest achievement you could bring about now,” he advised.
Following Marx, the concept of left internationalism came to be associated with support for free movement on both ethical and strategic grounds. Ethically, open borders gave equal opportunity to workers of all nationalities. More important, the movement of people across borders created new opportunities for a coordinated challenge to capitalism. Internationalists like Marx supported free movement for the same reasons they supported free trade: It hastened the pace of history and heightened capitalism’s contradictions.
“There can be no doubt that dire poverty alone compels people to abandon their native land, and that the capitalists exploit the immigrant workers in the most shameless manner,” wrote Vladimir Lenin in 1913. “But only reactionaries can shut their eyes to the progressive significance of this modern migration of nations…. Capitalism is drawing the masses of the working people of the whole world…breaking down national barriers and prejudices, uniting workers from all countries.”
Back in Lenin’s day, a very similar debate over the merits of migration was roiling through the European left. But while the pessimistic view of Wagenknecht and other left nationalists has now taken hold in many parts of the continent, Lenin’s, at the time, prevailed.
At the 1907 Congress of the Second International in Stuttgart, Germany, leaders of the Socialist Party of America introduced a resolution to end “the willful importation of cheap foreign labor.” Morris Hillquit, a founder of the party, argued that migrants from Asia—the “yellow races,” unlike those from Europe—amounted to a “pool of unconscious strikebreakers.” The convention rejected the resolution: “The congress does not seek a remedy to the potentially impending consequences for the workers from immigration and emigration in any economic or political exclusionary rules, because these are fruitless and reactionary by nature.”
Lenin would never forget the incident. In a 1915 letter to the Socialist Propaganda League of America, he called out the American socialists for their efforts to restrict Chinese and Japanese migration. “We think that one can not be internationalist and be at the same time in favor of such restrictions,” he wrote. “Such socialists are in reality jingoes.”
By the time of Lenin’s letter, of course, Europe’s great powers had been whipped into a frenzy of nationalist violence. In the First World War, British soldiers sang “Rule, Britannia,” the Germans sang “Deutschlandlied,” and they all marched to their deaths. Even the Social Democratic Party of Germany—a key player in the Second International—voted in favor of the war. Citing the need for national self-defense, large swaths of the European left abandoned the cause of open borders.
But by the end of the next world war—which left another 80 million people dead and 60 million more displaced—support for free movement had moved from the margins of the left into the heart of the postwar political establishment. When the United Nations convened in Paris to draft its Declaration of Human Rights in November 1948, the committee consideredmobility a matter of “vital importance.” “Freedom of movement was the sacred right of every human being,” commented the representative from Chile. “The world belongs to all mankind,” added the representative from Haiti.
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INDEX ALPHABÉTISÉ DES CHANTS : (* = ʺA capellaʺ)
2023-03-02 Mise à jour de 10 nouveaux chants
10 NOUVEAUX CHANTS : 135 Quand le temps passe ; 281 Roi sur le trône ; 282 Pèlerins sur cette terre ; 283 Notre Père dans les cieux ; 284 Nos jours se changent ; 285 Le ciel éclate en sublimes louanges ; 286 Jésus, nom adoré ; 287 Jésus, mon Rédempteur ; 288 Je vois sa peine ; 289 Christ d'amour
À CELUI QUI NOUS A LAVÉS No. 022 (Réf. 057)
À DIEU SOIT LA GLOIRE No. 099 (Réf. 022)
À JAMAIS SON AMOUR No. 237 (Réf. 026)
À L'AGNEAU SUR LE TRÔNE No. 026 Réf. 059)
À TES PIEDS, Ô DIVIN MAÎTRE No.163 (Réf. 347)
À TOI LA GLOIRE No. 170 (Réf. 185) (*)
À TOI, SEIGNEUR No. 180 (Réf. 365)
À TON APPEL No.101 (Réf. 276)
ACCLAMEZ L'ÉTERNEL No. 241 (Réf. 034)
ADORONS LE ROI No. 192 (Réf. 040)
AH! DONNE À MON ÂME No. 077 (Réf. 369)
AH! QU'IL EST DOUX ! No. 276 (Réf. 512) (*)
ALLÉLUIA ! CHRIST EST VIVANT No. 202 (Réf. 064)
ALLÉLUIA ! LOUANGE À DIEU ! No. 050 (Réf. 093)
AMI SUPRÊME No. 213 (Réf. 126)
AMOUR INSONDABLE No. 220 (Réf. 075)
AMOUR, Ô PAROLE INSONDABLE No. 237 (Réf. 028)
ANGES DU TRÈS HAUT No. 009 (Réf. 007)
APPRENDS-MOI, SEIGNEUR No. 178 (Réf. 361)
AU FORT DE MA DÉTRESSE No. 103 (Réf. 280)
AU SÉJOUR DE LA LUMIÈRE No. 048 (Réf. 091)
AUX JOURS DE MON ENFANCE No, 174 (Réf. 357)
AUX MATINS QUI CHANTENT No. 195 (Réf. 044)
AVEC ÉCLAT No. 215 (Réf. 070)
BÉNI SOIT DIEU No. 201 (Réf. 058)
BÉNI SOIT LE LIEN No. 249 (Réf. 436) (*)
BÉNISSONS DIEU No. 189 (Réf. 036)
BIENHEUREUX QUI T'AIME No. 064 (Réf. 115)
BON SAUVEUR, BERGER FIDÈLE No. 058 (Réf. 105)
BRILLANTE ÉTOILE DU MATIN No. 067 (Réf. 119)
BRISANT SES LIENS FUNÈBRES No. 168 (Réf. 191) (*)
CELUI QUI ME SAUVE No. 146 (*)
CELUI QUI MET EN JÉSUS No. 109 (Réf. 286)
C'EST DANS LA PAIX QUE TU DOIS VIVRE No. 273 (Réf. 397)
C'EST JÉSUS QUI PASSE No. 228 (Réf. 129)
C'EST LE COEUR PLEIN No. 162 (Réf. 345)
C'EST PAR LA TENTATION No. 094 (Réf. 264)
C'EST UN REMPART QUE NOTRE DIEU 013 (Réf. 029)
CHANTONS DU SEIGNEUR LA BONTÉ No. 056 (Réf.101)
CHANTONS, CHANTONS SANS CESSE 012 (Réf. 023)
CHAQUE JOUR DE MA VIE No. 093 (Réf. 263)
CHRIST D'AMOUR (*) No. 289 (Réf. 496)
COMME UN CERF ALTÉRÉ BRAME No. 102 (réf. 278)
COMME UN FLEUVE IMMENSE No. 104 (Réf. 282)
COMME UN PHARE No. 006 (Réf. 279)
CONNAIS-TU CETTE CITÉ ? No. 082 (Réf. 517)
CONTEMPLEZ MON DIEU No. 010 (Réf. 018)
CONTRE LES AFFRES DE LA MORT No. 118 (Réf. 299)
DANS LE DÉSERT OÙ JE POURSUIS MA ROUTE No. 164 (Réf. 349)
DANS LES CHAMPS LE BERGER VEILLE No. 052 (Réf. 095)
DANS LES CIEUX ET SUR LA TERRE No. 024 (Réf. 065)
DANS MON ÂME UN BEAU SOLEIL BRILLE No. 106 (Réf. 284)
DANS MON COEUR CHANTE UNE MÉLODIE (Il est un nom) No. 091 (Réf. 054)
DANS TON AMOUR No. 207 (Réf. 077)
DAVID N'AVAIT QUE SA FRONDE No. 107 (Réf. 285)
DE DIEU L'AMOUR ÉTERNEL No. 051 (Réf. 094)
DE QUOI T'ALARMES-TU MON COEUR ? No. 111 (Réf. 289)
DE TA SAGESSE No. 193 (Réf. 041)
DÉJÀ LA NUIT TOMBE No. 277 (Réf. 450) (*)
DEMEURE PAR TA GRÂCE No. 181 (Réf. 366
DÈS LE PRINTEMPS DE MA VIE No. 098 (Réf. 270)
DÈS QUE JE ME REVEILLE No. 166 (Réf. 351)
DIEU CRÉATEUR ! No. 198 (Réf. 049)
DIEU FORTIFIE No. 244 371
DIEU MONTRE SA LARGESSE No. 238 (Réf. 021)
DIEU SEUL EST MA RESSOURCE No. 240 (Réf. 033)
DIEU SUPRÊME No. 191 (Réf. 039)
DONNEZ GLOIRE No. 233 (Réf. 017)
DOUCE CLARTÉ No. 113 (Réf. 291)
DU BERCAIL VERS TON HERBAGE No. 209 (Réf. 106)
DU HAUT DES CIEUX No. 208 (Réf. 096)
DU LIEU TRÈS SAINT No. 212 (Réf. 124)
ÉCOUTEZ ! JÉSUS LUI-MÊME No. 110 (Réf. 288)
ÉCOUTEZ UN SAINT CANTIQUE No. 054 (Réf. 098)
ELLE EST DOUCE, ELLE EST BÉNIE No. 097 (Réf. 269)
EN EXPIRANT, LE RÉDEMPTEUR No. 122 (Réf. 305)
EN TOI JE PUIS MOURIR No. 112 (Réf. 290)
ENTENDS MON COEUR No. 145 (*)
ENTONNONS L'HYMNE DE VICTOIRE No. 030 (Réf. 053)
EST-IL DIGNE ? No. 131 (*)
ÉTOILE SPLENDIDE No. 114 (Réf. 292)
FLOTS MUGISSANTS, FLOTS EN FURIE No. 115 (Réf. 293)
GLOIRE ! GLOIRE ! No. 188 (Réf. 027)
GLOIRE À DIEU, NOTRE CRÉATEUR No. 045 (Réf. 088)
GLOIRE D'ÂGE EN ÂGE No. 199 (Réf. 050)
GRAND DIEU, NOUS TE BÉNISSONS No. 042 (Réf. 085)
GRANDIS EN MOI, SEIGNEUR No. 167 (Réf. 352)
HOMME DE DOULEURS No. 142 (Réf. 164)
HONNEUR, GLOIRE No. 049 (Réf. 092)
IL EST NÉ, LE ROI DU MONDE No. 053 (Réf. 097)
IL EST UN AMI FIDÈLE No. 061 (Réf. 110)
IL EST UN NOM (Dans mon coeur chante une mélodie) No. 091 (Réf. 054)
IL EST UN ROC SÉCULAIRE No. 032 (Réf. 069)
IL FAUT, DIEU, POUR BIEN TE SERVIR No. 096 (Réf. 267)
IL ME CONDUIT No. 001 (*)
IL ME FAUT TA PRÉSENCE No. 169 (Réf. 353)
J'AI FAIM, J'AI SOIF DE SAINTETÉ No. 172 (Réf. 355)
J'AI REVU MON MAÎTRE No. 005
J'AI SOIF DE TA PRÉSENCE No. 173 (Réf. 356)
J'AI SUIVI JÉSUS No. 069 (Réf. 121)
JAMAIS DIEU NE DÉLAISSE (a) No. 117 (Réf. 296)
JAMAIS DIEU NE DÉLAISSE (b) No. 117
JE CHANTERAI TA CÉLESTE PUISSANCE No. 186 (Réf. 013)
JE CHANTERAI TON GRAND AMOUR No. 184 (Réf. 004)
JE CONNAIS UN GUIDE INFAILLIBLE No. 116 (Réf. 294)
JE L'AI TROUVÉ No. 085 (Réf. 252)
JE LÈVE LES YEUX No. 016 (Réf. 038)
JE M'APPROCHE DE TOI No. 175 (Réf. 358)
JE RÉPANDRAI MON ÂME No. 194 (Réf. 042)
JE VEUX CHANTER, DE TOUT MON COEUR No. (Réf. 205 074)
JE VEUX CHANTER, LOUER MON DIEU No. 040 (Réf. 081)
JE VEUX T'AIMER No. 256 (Réf. 380)
JE VIS GRÂCE À TES TENDRESSES No. 179 (Réf. 363)
JE VOIS SA PEINE (*) No. 288 (Réf. 154)
JE VOUDRAIS CHANTER L'HISTOIRE No. 225 (Réf. 111) (*)
JÉHOVA, VERS TOI JE CRIE No. 177 (Réf. 360)
JÉSUS ! Ô SAINT NOM No. 203 (Réf. 066)
JÉSUS AUJOURD'HUI M'APPELLE No. 092 (Réf. 260)
JÉSUS EST AU MILIEU DE NOUS No. 060 (Réf. 109)
JÉSUS EST NÉ No. 055 (Réf. 099)
JÉSUS, AU NOM SAINT ET DOUX No. 176 (Réf. 359)
JÉSUS, DOUX MAÎTRE No. 264 (Réf. 388)
JÉSUS, JÉSUS, JÉSUS No. 204 (Réf. 067)
JÉSUS, MIS À MORT POUR MOI No. 125 (Réf. 309)
JÉSUS, MON RÉDEMPTEUR (*) No. 287 (Réf. 362)
JÉSUS, NOM ADORÉ (*) No. 286 (Réf. 214)
JÉSUS, Ô NOM QUI SURPASSE (a) No. 071 (Réf. 124)
JÉSUS, Ô NOM QUI SURPASSE (b) No. 071
JÉSUS-CHRIST EST MA SAGESSE No. 073 (Réf. 128)
JOYEUX, JOYEUX No. 229 (Réf. 001)
LA FOI RENVERSE DEVANT NOUS No. 123 (Réf. 307)
LA FOI RÉSISTE No. 274 (Réf. 298) (*)
LE BON BERGER No. 224 (Réf. 104)
LE CIEL ÉCLATE EN SUBLIMES LOUANGES (*) No. 285 (Réf. 574)
LE CIEL ENTIER EXALTE No. 216 (Réf. 060)
LE CRI DE MON ÂME No. 251 (Réf. 374)
LE FILS DE DIEU VINT SUR LA TERRE No. 072 (Réf. 127)
LE SEIGNEUR PAÎT SES AGNEAUX No. 210 (Réf. 108)
LE SEIGNEUR S'INCLINE No. 014 (Réf. 030)
LE SEIGNEUR VOUS BÉNISSE No. 108 (réf. 455) (*)
LE TOUT-PUISSANT EST MON BERGER No. 119 (Réf. 301)
LES ANGES CHANTENT L'HYMNE DU SALUT No. 002
LES CIEUX ET LA TERRE No. 018 (Réf. 045)
LES OISEAUX S'ENVOLENT No. 120 (Réf. 302)
LES PLEURS, LES PLAINTES No. 246 (Réf. 303)
L'ÉTERNEL EST MON BERGER No. 027 (Réf. 016)
L'ÉTERNEL SEUL EST LE SEIGNEUR No. 187 (Réf. 014)
L'ÉTERNEL SEUL EST MA LUMIÈRE No. 028 (Réf. 019)
LOUÉ SOIT DIEU, LE SEIGNEUR No. 029 (Réf. 025)
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SOUS-INDEX DE CHANTS ALPHABÉTISÉS : LETTRES M à Z
#INDEX_de_Chants (*) = ʺA capellaʺ
« Que la Parole du Christ habite en vous avec sa richesse, instruisez-vous et avertissez-vous réciproquement, en toute sagesse, par des psaumes, des hymnes, des cantiques spirituels ; sous (l'inspiration de) la grâce, chantez à Dieu de tout votre cœur.
Quoi que vous fassiez, en parole ou en oeuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant grâces par Lui à Dieu le Père. » Colossiens 3:16,17
Bonne pratique de Chants dans la mélodie de votre Voix ...
Vous permet d’imprimer l’image de la partition, (jpg), de partager les Chants sur Messenger, sur votre portail, groupes Facebook ou autre plateformes, de projeter sur un écran la partition ou le Karaoké, (sans le son, au culte d'adoration), pour chanter en harmonie et dans l'unité, à la gloire de Dieu ...
Gilles Boucher
Groupe Facebook : Chantez à Dieu de tout votre coeur
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Conseils des champs
Victor de Laprade
À un enfant
Après vos sœurs et votre mère, Enfant au cœur tendre et soumis, Que la nature vous soit chère : Les champs sont vos meilleurs amis.
L’air des champs donne avec largesse Comme un autre lait maternel ; Il fait croître en âge, en sagesse, L’enfant placé là par le ciel.
C’est la voix du monde champêtre, L’aspect des prés verts, du lac bleu, Qui vous feront le mieux connaître Et chérir la bonté de Dieu.
Aimez donc les bois, la fontaine, L’étang bordé de longs roseaux, Les petites fleurs, le grand chêne, Tout peuplé de joyeux oiseaux.
L’air parle sous sa fraîche voûte ; Le nid chanteur, dès son réveil, Au pieux enfant qui l’écoute Donne toujours un bon conseil.
Enfant qui devez être un homme, Les bois vous diront des secrets ; Venez, il faut que je vous nomme Les grandes vertus des forêts.
Préservant la paisible enfance De nos désirs et de nos maux, L’ombre, la fraîcheur, le silence S’éternisent sous ces rameaux.
Le chêne, aux jours d’ardeurs brûlantes, — Pour que tout vienne en sa saison, — Garde, à ses pieds, les jeunes plantes D’une précoce floraison.
Aimez cet arbre aux fortes branches ; Voyez, sous son feuillage épais, Comme l’œil bleu de ces pervenches Dans l’ombre vous sourit en paix.
Sur le chêne essayant sa force, L’enfant, jusqu’au nid du bouvreuil, En s’aidant des nœuds de l’écorce, Sait grimper comme l’écureuil.
Jouez sous le chêne robuste, Et vous grandirez comme lui ; Et, vous-même, d’un jeune arbuste, Quelque jour, vous serez l’appui.
Ces chants que l’arbre fait entendre, Cette ombre aux viriles douceurs, Vous pourrez un jour les répandre Sur votre mère et sur vos sœurs.
Imitez les grands bras du chêne Qui lutte avec le vent du nord ; Endurcissez-vous à la peine, C’est en luttant qu’on devient fort.
Loin de vous une enfance molle ! Du laboureur, du bûcheron, Suivez, enfant, la rude école ; L’homme fort peut seul être bon.
Pour faire ainsi vos jours utiles Et doux à ceux que vous aimez, Profitez des leçons fertiles Dont les champs sont partout semés.
Partout la nature sereine Offre l’aide avec le conseil : Semez enfant, la bonne graine, Dieu vous donnera le soleil.
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