#La chamane de Lascaux
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La Chamane de Lascaux de Sophie MARVAUD
La Chamane de Lascaux de Sophie MARVAUD
Fragment de livre : Le dépeçage exige d’excellents outils. Je vais en tailler de nouveaux, décida Mégacéros en s’asseyant en tailleur.-Reconnais plutôt que tu ne veux pas nous aider ! dit L’Affectueuse, mécontente.Elle se tourna vers Le Fonceur, qui ne réagit pas.Armé d’un galet, Mégacéros frappa un bloc de silex de coups précis. Les premiers éclats jaillirent.Je répare le gué, annonça L’Élégant…
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Les Lieux de Pouvoir
Un petit tour des lieux qui renferment une énergie particulière, de par leur emplacement, leur histoire, etc. Leur Genius Loci est en général fort, et vous pouvez donc choisir ce lieu comme endroit sacré pour un rituel.
Les Carrefours :
Les croisements, par leur nature même de jonction de routes, sont des lieux de rencontre. Réputés être une “passerelle” entre les mondes, propices aux pactes, aux rencontres avec les esprits (défunts, petit peuple, démons...) et aux sortilèges (lieux d’offrande, de sacrifice, d’enterrement de certains objets, de rituels d’invocation, etc), surtout de nuit et dans des lieux isolés.
Le carrefour à trois voies est dédié à Hekate, divinité chtonienne reliant les enfers, la terre et le ciel. Le carrefour à quatre voies est lui, dédié à Hermès. Tous deux sont des esprits psychopompes (conducteurs des âmes des défunts). Les actes de nécromancie et de divination spirite sont également mieux réalisés dans de tels lieux.
Une croyance bien de chez nous raconte que tuer une poule noire à minuit à un carrefour permet d’invoquer le Diable en personne pour marchander avec lui.
Les Grottes et cavernes naturelles :
Dans la mythologie grecque, ce sont des voies directes vers le monde souterrain, et il faut donc considérer ces lieux comme sacrés pour les arts de la nécromancie, le travail avec les esprits, pour la néquie/Nekyia (un rituel de sacrifice pour obtenir des connaissances des morts) et la catabase/Katabasis (le fait de s'aventurer dans le monde souterrain, “descendre aux enfers”, qui est fait physiquement dans la plupart des légendes grecques mais qui peut aussi être interprété comme un pèlerinage spirituel).
Historiquement, la France regorge de grottes et cavernes ornées de peintures pariétales (Lascaux, Chauvet, etc). Nos ancêtres n’étaient pas des hommes des cavernes comme on pourrait le penser, ils n’y vivaient pas mais semblaient le considérer comme un lieu sacré, de culte, où le sorcier ou chamane (enfin, son équivalent préhistorique, vous aurez compris) accomplissait ses rites au plus proche des énergies de la Terre. Certaines théories pensent que les peintures de ces grottes pourraient être les visions des esprits se manifestant au chamane/devin.
Les Mers :
Certains esprits résident dans les mers et océans. Selon l’histoire et les légendes qui lui sont rattachés, certains sont considérés très puissants pour les malédictions, les guérisons, les divinations et globalement, tous les domaines liés à l’élément Eau.
Selon le sort qu’on cherche à jeter (en fonction de ce qu’on cherche à attirer à soi ou a contrario repousser au loin), on ira sur le littoral soit à marée haute, soit à marée basse. La magie de la mer est en effet intimement liée à l'influence de la Lune.
Comme pour les grottes, il y a également un certain nombre d'esprits de défunts qui peuvent résider dans les eaux (en fonction de s’il y a eu un naufrage par exemple).
Les Puits et sources sacrées :
Les puits ne sont pas le produit d’une force de la nature, puisque creusés par les hommes. Le culte familier rendu aux puits se retrouve partout, non seulement dans les climats secs, où l’eau vaut plus que de l’or, mais aussi dans les pays tempérés. Ils représentent à la fois la vie et la mort. La vie, puisqu’il procure de l’eau, principe vital essentiel, et que c’est sur son rebord que se nouent les amitiés et intrigues amoureuses dans beaucoup d’histoires, et la mort, puisque plongeant dans les entrailles de la terre, jusqu’au royaume souterrain, d’où le son caverneux qui en remonte. Ils ont aussi la réputation d’exaucer les souhaits. Un puits dont l’eau serait contaminé est particulièrement adapté aux malédictions et magies liées à des esprits infernaux particuliers.
Certaines sources sont considérées comme sacrées selon les régions ou folklores, car leurs eaux auraient des vertus curatives ou magiques. On parle toujours dans les campagnes de ces eaux miraculeuses qui guérissent et rajeunissent (les fameuses fontaines de jouvence, ou eaux aux vertus magiques, concernant les maladies de peau notamment). Dans des croyances et légendes populaires, les sources servent également de refuge à certains esprits (notamment les fées et vouivres).
Les Grecs bâtissaient des bassins artificiels aux jaillissements de leurs sources sacrées, en y associant des représentations de divinités. Les mythes romains comme celtiques offrent tout un répertoire de déesses et de nymphes siégeant dans quelque point d’eau. Le nom des rivières est souvent le même que celui des déesses ; la Seine est par exemple la déesse Sequana des Gaulois.
Les Églises (toujours en usage) :
Les églises ont leurs propres parts d'esprits et de démons ; pour certains c'est un refuge pour les saints et les esprits, pour d'autres, c'est un lieu de pouvoir où l'énergie peut être exploitée à la fois pour des pouvoirs maléfiques et bénéfiques, car elles seraient en effet bâties sur des lieux d’énergies anciennement utilisés par les païens. Les Geni loci de ces sites anciens auraient survécus en trouvant refuge derrière les figures des Saints des églises.
Les sorts effectués ici prennent généralement de nombreuses formes, allant de l'allumage de cierges et bougies de veillée à certaines fins, à des rituels particuliers sous la forme de messes.
Les Cimetières :
Sous l’égide de la Faucheuse et de ses nombreux esprits, le lieu de repos des morts est considérée comme une terre sacrée, et ce depuis l’antiquité. Les empereurs chrétiens promeuvent des lois contre la destruction, la violation et l’atteinte aux sépultures.
Le cimetière est un lieu propice à tous les arts de la nécromancie ou de la magie en général. Il est préférable de l'entreprendre avec une connaissance approfondie du respect du-dit cimetière. Il est important aussi d’avoir la capacité de faire la distinction entre les tombes actives et inactives, et les esprits qui s'y promènent.
La terre de cimetière est réputée avoir comme vertu de renforcer les rituels de magie avec l’esprit des morts, et notamment celui de ses propres ancêtres, lorsqu’on cherche à solliciter leur aide.
Les Lacs :
De par leur nature d’eaux stagnantes et calmes, on leur attribue la capacité d'apporter patience et immobilité. Ce sont aussi des espaces propices à l'invocation de divers esprits, dont certains considérés comme maléfiques, ou au moins malicieux (les esprits du petit peuple notamment).
Parmi des légendes auvergnates, celles des lacs de Guéry et de Servières racontent l’histoire de trois soeurs piégées entre ces deux points d'eau par un génie malveillant, jaloux de leur beauté. Toujours en France, la dame du Lac est une entité lacustre de Brocéliande en Bretagne, fée des eaux et magicienne perçue comme ambivalente, tantôt positive dans son aide à Arthur (elle lui donne Excalibur, et l’amène à Avallon après sa mort) et négative (jalouse, elle enferme l’âme de Merlin dans son palais).
Les lacs peuvent également être utilisés dans des actes de divination, à la nuit tombée, en scrutant le reflet de la lune à la surface de l'eau.
Les Rivières et cours d’eaux :
L'eau courante est un lieu de purification : non seulement le mouvement de l’eau peut permettre de purifier vos cristaux si vous les y faites tremper, mais les esprits des rivières ont la capacité de briser, ‘laver’ ou emporter les choses avec le courant : Tourné.e vers l’aval, les pieds dans l’eau, vous vous videz de ce qui vous pèse ou ce dont vous voulez vous débarrasser dans votre vie, en visualisant le courant tout emporter. Puis, en vous tournant vers l’amont, vous vous remplissez des énergies nouvelles que l’eau vous apporte.
Une croyance populaire veut que si vous vous tenez à une rivière et qu'elle coule vers votre demeure, la rivière peut vous apporter des objets, tels des offrandes. Si vous vous tenez plus loin sur la même rivière et qu'elle coule en s'éloignant de votre maison, alors elle peut emporter avec elle vos biens.
Les Églises (abandonnées cette fois ci) :
Il s'agit d'une zone qui peut être adaptée à toute forme de sortilège, car ayant encore un certain degré de pouvoir : des résidus des énergies saintes du lieu.
Mais tenez compte que divers esprits qui ne pouvaient pas entrer dans l'église peuvent y entrer maintenant.
Les Forêts :
Sous la domination de divers esprits, la forêt est un lieu énergétique riche et utile à de nombreuses formes de magie. Un tas de pierres (un cairn) peut être érigé dans la forêt comme lieu de culte où y déposer des offrandes. On peut aussi faire de la magie en utilisant les plantes, les arbres ou les animaux de la forêt comme ressources.
Plus on s'enfonce dans la forêt, plus on approche des forces primordiales qui y résident. Une autre croyance à retenir est qu'il ne faudrait jamais entrer dans la forêt sans faire d'offrande, de peur d'être trompé.e par les esprits et emmené.e hors des sentiers battus.
Les zones frappées par la mort (avec des animaux en décomposition, des mauvaises herbes mortes, des plantes et arbres séchés, des étendues d’herbes mortes où aucun animal ne va) doivent être approchées avec précaution. Toutefois, les pouvoirs qui s'y trouvent peuvent être invoqués dans de puissantes malédictions. A contrario, les zones où prospère la vie (abondance d’espèces végétales, champignons et traces de vie animale) ont généralement une puissance positive.
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Cet article est ma traduction (et aussi une version enrichie et appliquée au folklore français) d’un post anglais originalement écrit par theoldcottage. Dites moi si vous voulez une suite, ou si vous avez une suggestion d’autres lieux !
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La Ilustración del diseño gráfico del mundo y diseño del Ecuador
Estamos viendo actualmente donde el mundo del Diseño ha dado un paso importante en nuestra sociedad, en el cual el diseñador debe estar adaptado a distintas disciplinas como; branding, Ilustración, publicidad, packaging etc…, pero como diseñadores poco hacemos una reflexión sobre este Arte y a su vez como actores fundamentales en los campos social, cultural histórico. Es por tal razón que he decido crear un pequeño aporte destinado en el ámbito de la Ilustración enfocado en el diseño gráfico del mundo y del Ecuador.
Para empezar hablaré un poco de la historia de la ilustración en el diseño gráfico. Cuando nos referimos hablar de este arte hacemos énfasis, a que un dibujo o imagen puede acompañar a un texto enriqueciendo la comunicación destinada al usuario “Una imagen habla más que mil palabras”. La ilustración ha existido desde tiempos prehistóricos remontados en la antigüedad porque las primeras ilustraciones nacen en la pintura rupestre en las cuevas de Lascaux y Altamira, estos artistas pintaban con pigmentos de origen vegetal como; ocre y carbón, en sus cuevas, para comunicar lo que veían a su alrededor y su cosmovisión de vida.
En la época de la antigüedad nacen los libros manuscritos, que eran acompañados con imágenes, y cada uno de estas eran elaboradas a mano lo cual contaba con un gran valor comunicativo, ya que muchas personas no sabían leer, es decir que este valor ya era de mucha importancia, porque están imágenes deberían de tratar de comunicar ideas muy versátiles.
En el siglo XV con la llegada de la imprenta de Gutenberg, y gracias a las nuevas técnicas de impresión, permitieron reproducir textos en serie, esta invención produjo un impacto a una nueva época cultural, en la que la ilustración toma gran importancia, debido a que estas imágenes llegan a un grado de mayores personas.
En el siglo XVIII hasta finales del siglo XIX se vive una época dorada del ilustrador gráfico, el cual fue un moviente cultural que se desarrolló en países como; Francia. Alemania e Inglaterra, gracias a la revolución industrial y las nuevas técnicas de impresión (litografía y cromolitografía, dieron paso a la imagen de color y por ende nace el cartel publicitario y el Art Nouveau), posibilitaron grades masas de lectores, y se empezó a comercializar una serie de libros y revistas uno de los primeros medios de entretenimiento intensivo que tuvo esta sociedad. También en este siglo parecieron movimientos como la caricatura, el comic o la historieta, y ya entrando a la modernidad apareció la ilustración para cuentos infantiles.
En el cual encontramos a artistas como William Morris, fue uno de los artistas que supo adaptar sus diseños ornamentales y grabados a una producción artesanal, Morris diseño no solo estampados de papeles, también alfombras, tapicerías e ilustraciones de libros, gracias a estos diseños podemos decir que el gran auge que tuvo este señor como ilustrador gráfico, siguen siendo celebrados y utilizados en nuestros días.
Norman Rockwell es un cartelista e ilustrador gráfico en la historia de la prensa estadounidense, su estilo es realista, pero estilizado a ciertas dosis de caricatura, lo que hizo que los espectadores se sintieran a gusto acostumbrados al imaginario consolidado por Hollywood.
A finales del siglo XIX e inicios del siglo XX, se puede decir que hubo dos acontecimientos que dieron lugar al clímax de la Ilustración en el diseño gráfico en el mundo. La primera fue la incorporación de la fotografía en la ilustración gráfica, lo que dio la libertad creativa al diseñador, ya no se limitaba por posibilidades de unos cuantos procedimientos gráficos, era fácilmente re-producible cual fuera su liberta de creación y la forma de observar.
Por otra parte fueron las dos grandes guerras que vivió la humanidad, debido a la gran reclusión de este tema social, producto de esto los ilustradores gráficos, vieron la necesidad de crear estilos propios para dar conocer la empatía, la desolación, que generaba la guerra, avanzando unos siglos se vio el nacimiento de la televisión, la música, la radio, internet y la era digital, cada persona, de manera individual podía expresarse y mostrar su mundo creativo, entonces aquí nace una nueva identidad gráfica de la ilustración.
Ya hablando de la actualidad de la ilustración en el diseño, podre decir que la era digital está tomando con fuerza, ya que la ilustración gráfica toma nuevas formas de matices, y genera una importancia artística impresionante, en los que los artistas puede adaptarse a diferentes técnicas y soportes y en medios que puedan especializarse, y así lograr propuestas de ilustraciones impactantes, las cuales son extraídas a atreves de la historia atreves de los movimientos artísticos; cubismo, Surrealismo, Expresionismo Art Deco, Por art, entre otros.
Aparecen artistitas como Alex trochut, es diseñador gráfico español combina la ilustración y la tipografía, a la perfección, cargados de una tendencia minimalista, con trazos elegantes y detallados, lo cual trasmite cierta pasividad, la tipografía mesclada entre sus diseños es los que siempre destacara en sus trabajos.
Andreas Preis es un diseñador e Ilustrador gráfico, de Alemania, ha hecho trabajos para grandes empresas; Nike, TNT, Bruce Dunlop & Associates, CK one, DC Comics, Digitalarts, ESPN Classic entre otras. Todas sus piezas son obras de arte, porque las dibuja y luego escanea para trabajar digitalmente.
Tomando como otro factor, de la ilustración grafica del diseño en Latinoamérica, tomaré como ejemplo a cuatro ilustradores del diseño gráfico en Ecuador. De este modo el diseño Ecuatoriano cuenta con una historia profundad de expresiones, transcendencia, cosmovisión y una forma de cultura exquisita.
El diseño en Ecuador cada vez evoluciona y crese ahora se valora más a los diseñadores gráficos, el diseño no es simple, va más allá de creatividad e inspiración, nace desde la investigación e innovación, y de la enseñanza que nos rinden los profesores y los libros.
Apitatán
Juan Sebastián Aguirre conocido como Apitatán, es un diseñador e ilustrador, radicado en Quito, su diseño de ilustración se basa en pintar los murales de la ciudad, su obra cuenta con algunos elementos que marca la cultura popular ecuatoriana, con personajes inspirados cosmogonía andina como autorretratos, chamanes y elementos místicos de flora y fauna del ecuador. Ha participado en exhibiciones grupales e individuales en; México, Colombia, Alemania y estados Unidos. También a trabajo para empresas como Adidas y Sprite.
Sofía Zapata Ochoa (Sozapato)
Es una ilustradora con 6 años de experiencias a publicado su trabajos en editoriales de Ecuador. Chile y España. Cuenta con trabajos de cuentos infantiles, retratos, personajes infantiles, experimental, editorial y diseño gráfico. Sofía ha recibido varios premios menciones en publicaciones, pintura, diseño e ilustración en concurso a nivel Internacional y Nacional.
Paco Afromonkey Puente
Ilustrador, humorista gráfico y diseñador de personajes nacido en Quito, ha trabajado en el área de ilustración infantil y comercial para clientes como Manthra Editores, Dinediciones, La Caracola Editores, Banco Procredit, entre otras. Es uno de los fundadores de la revista de humor Azno Cómics y ha publicado humor secuencial en revistas como LesParra Gusanada, Qulturas y El Cuaderno del Yeti, con un estilo cartoon muy definido e único.
RAM PAM DAM
Es el trabajo creativo de tres ecuatorianos Gino Baldeón, Gustavo Catellanos y Miguel Vélez para cartoon network, con la que ganaron la segundad convocatoria internacional de cortos organizada por Cartoon Network y Animation Studio
Conclusión
Podre decir que la ilustración es un apalabra polisémica que abarca una gran trascendencia cultural, por si misma forma parte del diseño, ya que podría considerarse al inicio del diseño gráfico, y el final del arte, pues la ilustración conlleva una cierta forma de expresarse y de comunicar, como he hablado en este blog, este arte viene de una transcendencia histórica hasta los tiempos de hoy. Hoy en día se puede expresar que la ilustración y el diseño gráfico tienen algo en común o van de la mano, ya que si hacemos una marca, primero debemos de coger un sketchbook y rayar hasta que nos salga esa idea principal, o para hacer un personaje de marca, cómic o para hacer un proyecto de ilustración digital tenemos que ilustrar primero. En el ámbito de hoy la ilustración en el diseño gráfico trasciende a nuevos ámbitos de creatividad, innovación e investigación por parte de diseñadores de todo el mundo, estamos viviendo en un época dorada de la identidad gráfica de la ilustración, y que a futuro este arte será fantástico.
Biografía;
https://www.haremoshistoria.net/noticias/marcas-ecuatorianas-sebastian-narvaez
http://www.lanubeartistica.es/dibujo_artistico_2/unidad6/DA2_U6_T1_v01/11_breve_historia_de_la_ilustracin.html
https://www.redilustradoresecuador.com/paco-puente.html
https://foroalfa.org/articulos/el-cuarto-de-hora-del-diseno-en-ecuador
https://es.wikipedia.org/wiki/Ilustraci%C3%B3n_(dise%C3%B1o_gr%C3%A1fico)
http://www.grafitat.com/2014/04/04/diseno-grafico-en-quito-ecuador-1970-2005/
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L’Homme à la tête d’oiseau, considéré comme le Chamane de Lascaux...
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LE CINÉMA COMME CHAMANISME
Par Léone Metayer
Certains aspects du rôle de réalisateur nous invitent à penser le cinéma comme une forme de chamanisme. Dans une société où l’image, omniprésente, est contaminée par les enjeux commerciaux du capitalisme, ne perdons pas de vue l’essence du processus de fabrication des images animées. Pour l’artiste et réalisateur français Clément Cogitore qui voit les débuts de la peinture religieuse dans les grottes de Lascaux, « à l’origine, fabriquer des images, c’est parler avec les esprits. (…) Aujourd’hui, malgré toutes les révolutions technologiques, très peu de choses ont changé. Entrer dans une salle de cinéma pour s’asseoir devant un écran, c’est aussi un peu entrer dans une caverne pour y voir danser des ombres. »[1]
Nourrir la magie
Le rapprochement le plus évident entre cinéma et chamanisme s’articule autour du sacré. Le chamanisme implique un ensemble de croyances et de pratiques religieuses, en puisant par exemple dans le système de pensée animiste qui considère que les éléments naturels sont animés par un esprit mystique, une âme, une force vitale. Cette dimension magique est présente dans le cinéma. Si l’homme continue, depuis plus d’un siècle, à s’engouffrer joyeusement dans des salles de cinéma, c’est parce qu’il a la volonté de croire. Nous avons bien conscience que les films de fiction sont de pures inventions, pourtant, face à l’écran nous pleurons, nous rions, nous frissonnons, inlassablement. On sort de la salle encore imprégné d’émotions fortes, authentiques, comme lorsque nous confondons, au petit matin, notre rêve et la réalité encore quelques instants. Le coeur vulnérable, toujours happé par le pouvoir de l’image, nous aimons nous faire avoir par l’immense duperie du cinéma. C’est bien là le rôle des cinéastes comme celui des chamans : entretenir la croyance, nourrir la magie. Ils en ont d’ailleurs conscience, Ingmar Bergman écrit en 1997 dans son ouvrage Laterna magica : « Faire un film c’est planifier une illusion dans le moindre détail ». Un réalisateur est, depuis l’origine du cinéma, un magicien, un créateur de mythes. La qualité des trucages et la précision du montage de Georges Méliès font de lui le père des effets spéciaux au cinéma - et peut-être aussi le premier « chaman-cinéaste ». Dans son film Escamotage d’une dame chez Robert Houdin en 1896, il s’appuie sur des procédés d’apparitions, disparitions, transformations, dédoublements, grossissements et rétrécissements pour manipuler le regard de son spectateur. Nos yeux se laissent volontiers trompés, même encore aujourd’hui, bien que les nouvelles technologies aient pris le relais de l’illusion !
Toute croyance a besoin de rites pour durer. Le chaman, selon les cultures et les époques, a recours à plusieurs rituels: les prières, les purifications, les danses. Le cinéma aussi ne pourrait se défaire de certains phénomènes au caractère cérémoniel: les étapes successives qui constituent la création d’un film du scénario à la post-production, les grands événements publics qui reviennent chaque année comme le festival de Cannes, sans oublier la rédaction systématique de critiques par la presse. Notre rapport au cinéma est sans aucun doute teinté d’une dimension sacrée. Nous l’expérimentons d’ailleurs nous-mêmes à travers la douce excitation qui nous anime quand on s’apprête à voir un film. Nos petites habitudes nous rassurent, du choix du film jusqu’à celui de l’emplacement du siège dans la salle. Ces actes répétitifs, presque invariables, sont autant de pratiques religieuses qui font vivre le monde magique du cinéma, autant à l’échelle des créateurs que des spectateurs.
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Maîtriser la technique
Faire ainsi bouillir la magie nécessite l’usage d’une méthode adaptée. Pour communiquer avec le monde des esprits, le chaman fait appel à diverses techniques comme la transe, l’extase, le voyage initiatique. Quant au cinéaste, il a à sa disposition la particularité de l’outil-caméra. Encore faut-il savoir explorer ses possibilités… En 1979, le réalisateur iranien Kianoush Ayari arrive à Téhéran, presque un an après la révolution qui s’est opposée au pouvoir du Shah. Une question s’impose : comment la caméra peut-elle comprendre une telle crise ? Ayari réalise Taze-nafas-ha (Les Arrivants), un film dans lequel il tente de capter la pulsion de vie de la révolution, les traces de son ébullition quelques mois plus tard. Il filme essentiellement l’espace public : le quartier de l’université de Téhéran, les livres et journaux à vendre empilés sur les trottoirs, les corps libres qui marchent, les cheveux et les jambes libérés des femmes, les visages qui s’exclament au coeur des débats, les discours retranscrits par radio attentivement écoutés, les pièces de théâtre qui rejouent la révolution. Ayari saisit une population en train de construire un avenir. Le mouvement, phénomène propre à la caméra, embrasse l’effervescence révolutionnaire, la fluidité d’un élan vers la liberté. Mais l’outil-caméra ne serait rien sans l’imagination. Qu’il s’agisse d’un documentaire ou d’une fiction, elle est l’essence du travail du cinéaste, son carburant. Nous définissons souvent l’imagination comme un mouvement psychique qui vise à former des images, mais au-delà de ça, son enjeu est plutôt de déformer les images fournies par notre perception. Elle défigure, renverse, déstructure le réel.
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Révéler l’invisible
Cette imagination mène donc à un autre monde, un au-delà que le chaman est justement chargé d’explorer. Il est le seul, au sein de son groupe social, à pouvoir s’échapper de la sphère des vivants pour aller là où vivent les forces et les esprits de notre monde. Au cinéma, cette dimension spirituelle se retrouve à travers les notions d’immatériel, autrement dit les mystères, les énergies, les vibrations, les ondes insaisissables qui nous entourent. Chaman et cinéaste ont tous deux le don de créer des ponts entre le visible et l’invisible. Le réalisateur y parvient en manipulant le temps, l’espace, les formes. En 1925, le film Le miracle des fleurs de l’Allemand Max Reichmann - censé promouvoir un engrais - met en oeuvre des vues accélérées de la croissance de plusieurs plantes sur fond noir. Elles semblent étrangement se mouvoir comme un animal, la nature prend vie, et soudain les voies de l’animisme chères au chamanisme s’ouvrent à nous. En faisant apparaître un aspect du monde jusqu’alors imperceptible, le cinéma nous « réapprend à nous étonner devant une réalité dont peut-être rien n’a encore été compris, dont peut-être rien n’est compréhensible ». Ces mots de Jean Epstein résonnent avec la signification originelle du terme chaman en sanskrit : « celui qui sait » ou « celui qui voit ».
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Les réalisateurs, sans aucun doute, transforment notre perception du réel. Il arrive aussi qu’ils nous offrent une vision alternative de l’avenir, pour nous donner espoir ou nous mettre en garde. Le 4 octobre dernier, le film français d’Alexandre Lumbroso et Jonathan Attias Des clics de conscience met en lumière la puissance du pouvoir citoyen en racontant comment une pétition lancée sur Internet a obtenu victoire en faisant voter par le Sénat une loi permettant aux maraîchers d’utiliser librement leurs semences traditionnelles, garantissant leur autonomie. Finalement, le cinéaste s’éloigne ici du chaman car il ne se prétend ni devin ni guérisseur. Il ne décèle pas un futur déjà existant mais fabrique le sien. Les films comme Des clics de conscience - qui ose nous faire espérer une reconquête démocratique - peuvent avoir un réel impact sur l’action des hommes en élargissant les limites de l’impossible.
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LA MÉMOIRE ET L’OUBLI
Anna Maisonneuve
Le Centre Pompidou fête cette année ses 40 ans partout en France. À Libourne, sous la houlette de Thierry Saumier, l’espace dédié aux expositions temporaires du musée des Beaux-Arts accueille un ensemble de vingt-cinq dessins très rarement montrés de Miró en provenance de la collection du Musée national d’art moderne.
« C’est vraiment une chance extraordinaire de recevoir Miró », s’enthousiasme Thierry Saumier, le directeur du musée des Beaux-Arts de Libourne. Cinq ans après la venue du Pompidou mobile, trois ans après l’accrochage d’un ensemble de dessins de la collection Guerlain, le Musée national d’art moderne revient en territoire libournais avec une exposition d’envergure dédiée cette fois-ci au maître catalan. Côté contexte, cette manifestation s’inscrit dans le cadre des festivités qui accompagnent les 40 ans du Centre, inauguré le 31 janvier 1977 par le président de la République Valéry Giscard d’Estaing. Libourne rejoint ainsi un peloton constitué de 40 villes. Au total, 50 expositions viennent alimenter cette programmation nationale.
Passionné par le dessin, Thierry Saumier a fait le choix de mettre à l’honneur Joan Miró avec une série de très grands formats datés des années 1960 à 1975. « Une période assez tardive, éclaire le commissaire d’exposition. Miró est alors d’une liberté absolument incroyable. Ce vieux monsieur retombe volontairement en enfance, il développe une recherche de l’innocence présumée pour se laver de la culture, des traditions académiques, etc. C’est une problématique inséparable des avant-gardes du XXe siècle. Les Surréalistes s’y sont penchés, Picasso a aussi beaucoup travaillé là-dessus. »
Cette frénésie juvénile se dépiste formellement dans l’emploi de couleurs primaires (comme le font les jeunes enfants) mais aussi dans cette fabuleuse liberté créatrice. « Miró expérimente totalement. C’est encore plus manifeste dans ses dessins que dans ses peintures. Il utilise tout type de matériaux de récupération : du carton, des plans d’architecture, du papier journal, du papier kraft… Il mélange les techniques : la colle, le pastel, la peinture à l’huile, l’encre de Chine, la gouache… Du point de vue de l’iconographie, on retrouve ses thèmes de prédilection : la terre, le ciel, les animaux (en particulier les oiseaux) et la femme. »
À cette spontanéité stylistique empruntée à l’esprit enfantin s’ajoute une autre influence, celle de l’art pariétal. La grotte de Lascaux vient d’ouvrir ses portes, Miró est natif du pays où la première grotte ornée a été découverte en 1879, celle qui abrite les peintures d’Altamira. Un bouleversement esthétique qui contamine de nombreux artistes et bien sûr le Catalan. Comme l’écrit Thierry Saumier, « Miró emprunte à l’art préhistorique quelques traits caractéristiques comme la netteté du dessin noir et le pouvoir d’évidence qui fait que l’oeuvre s’impose au regard, et que, même si elle semble avoir été exécutée en très peu de gestes et de temps, elle n’en est pas moins absolument achevée et suffisante. Si ces qualités se manifestent avec une égale puissance à toutes les époques, elles semblent exacerbées dans les dessins des années 1960-1970 lorsque culmine l’éclectisme dans les matériaux et l’allusion à des symboles ou des signes énigmatiques. La surface est alors saturée de pictogrammes ou de psychogrammes, de taches, de griffures, de mains imprimées, etc. L’artiste engage tout son être dans le geste créateur et, tel un chaman des temps modernes, il cherche à rétablir le lien entre terre et cosmos, par la reconquête magique des origines, mais c’est pour mieux irriguer l’avenir ».
Cette double portée métaphysique mêlant inspiration espiègle et suggestion préhistorique irrigue l’exposition libournaise. La grandeur des dessins invite à l’immersion, leur fragilité rappelle le caractère incontournable de l’événement comme cela n’a pas échappé à une partie du public qui a d’ores et déjà pris d’assaut les créneaux destinés aux scolaires.
« Joan Miró : entre âge de pierre et enfance », du samedi 13 mai au samedi 19 août, chapelle du Carmel, Libourne. www.ville-libourne.fr
1 : Personnages guidés vers une étoile par des oiseaux sans ailes, 1977 Mine graphite sur papier, 63,3 x 7,6 cm © Centre Pompidou, MNAM-CCI/Georges Meguerditchian/Dist. RMN-GP 2 : Personnage et oiseaux, 1969 Encre de Chine et gouache sur plusieurs papiers et cartons contrecollés, 53 x 53,5 cm © Centre Pompidou, MNAM-CCI/Jacques Faujour/Dist. RMN-GP © Successió Miró / Adagp, Paris /
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? #239
Hey, Je tiens à vous remercier car vous êtes de plus en plus nombreux à me suivre, à participer et à échanger. ça me booste et qu'est-ce que ça me fait du bien. Mon moral est bien meilleur, grâce aux traitements. Je me retrouve ainsi que l'envie d'écrire
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. Je tiens à vous remercier car vous êtes de plus en plus nombreux à me suivre, à…
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