#La Vénus d'argent
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Sometimes you just need to explain 🟨⬜️🟪⬛️ LA VÉNUS D'ARGENT (2023) [+] LGBTQ 🏳️🌈 [+] ..more French Films 🎬
#La Vénus d'argent#Spirit of Ecstasy#Nonbinary#LGBTQ#Pomme#Jeanne Francoeur#Claire Pommet#Sofiane Zermani#Héléna Klotz#France#Quotes
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new-to-me #686 - La Vénus d'argent (Spirit of Ecstasy)
#2023 in films#La Vénus d'argent#Spirit of Ecstasy#Héléna Klotz#52 films by women#directed by women#TIFF23
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Spirit of Ecstasy (La Vénus d'argent), Héléna Klotz (2023)
#Héléna Klotz#Noé Debré#Emily Barnett#Jacques Audiard#Pomme#Sofiane Zermani#Niels Schneider#Grégoire Colin#Anna Mouglalis#Mathieu Amalric#2023#woman director
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Talking about Pomme did you see La Vénus d'argent ?
No though I did see the trailer on her page haha (I keep adding stuff to the list of shows/movies/books I need to check out and it’s getting ridiculously long 😭 I don’t have enough time LOL)
#i kept telling myself ‘once I’m on winter break I’ll catch up’ but I am now on winter break#and between making art cleaning out the house and planning to catch up with friends I don’t know if I’ll have that much time LOL#we’ll see#ask tag
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La Vénus d'argent
La Vénus d'argent (2023) #HélénaKlotz #Pomme #NielsSchneider #SofianeZermani #DenisMénochet #GrégoireColin Mehr auf:
Spirit of Ecstasy Jahr: 2023 (November) Genre: Drama Regie: Héléna Klotz Hauptrollen: Pomme, Niels Schneider, Sofiane Zermani, Denis Ménochet, Grégoire Colin, Blandine Lagorce, Anna Mouglalis, Niels Schneider … Filmbeschreibung: Jeanne Francoeur, misshandelt von ihrem Vater, einem Gendarmen, und gezwungen, sich um ihren jüngeren Bruder und ihre Schwester zu kümmern, strebt danach, in der…
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Bande annonce de La Vénus d'argent. https://www.cine974.com/actu-cine/bande-annonce-de-la-venus-d-argent/5628/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=tumblr
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La Vénus d'argent - Héléna Klotz
Ange déchu
Dans un vibrant éclat de néons, au cœur des tunnels nocturnes reliant la banlieue à La Défense, Victor Seguin façonne les contours évanescents de La Vénus d'argent, métaphore cinématographique de la célèbre icône rollsienne, la Spirit of Ecstasy. Notre vénus à nous, Jeanne, est incarnée par l'effervescente Claire Pommet. Elle émerge tel un astre errant, chevauchant un modeste scooter, l'allure libre. Comme Takeshi dans le tunnel hong-kongais de Fallen Angels, elle recherche sa liberté, avec une ambition différente : celle de filer vers les hautes sphères du monde financier parisien.
Très tristement, et comme un obscur clin d'oeil au titre de Kar-wai, ce grandiose départ à l'esthétique splendide, s'échoue dès la quatrième coupe du film. Fallen Angel. Cette fracture qui surgit est symptomatique du film entier : de belles idées qui s'effritent sous des choix narratifs superficiels. Jeanne, qui doit se rendre à un entretien d'embauche, brise dans un geste énigmatique les vitrines d'une bijouterie pour s'approprier un modeste costume, une action incongrue face à l'évidence d'une alternative plus plausible. Cette dissonance, telle une rhapsodie absurde, s'étend au-delà, questionnant la crédibilité de chaque acte qui s'égrène à l'écran. La toile du récit se déchire ainsi davantage chaque fois que le scénario tente maladroitement d'ériger son arc, se révélant dans un manège nauséabond d'incohérences toutes de plus en plus flagrantes.
Cela aurait pu en être tout autrement : le premier geste incompressible de Jeanne aurait presque su s'évaporer lorsqu'on comprend qu'elle vient du monde d'en-dessous, issue d'une modeste famille logée dans une caserne de gendarmes. Les fulgurances électriques de la finance d'un côté, avec ses chiffres interminables, ses hauts-lieux de rencontres et ses dérives de richesse ; les péripéties terre-à-terre de la gendarmerie de l'autre, avec ses immeubles presque désuets, son monde clos, ses difficultés, bref, sa réalité crue. Et Pomme, incarnant un insouciant mais habile personnage, totalement irréel et donc cinématographique à souhait, prêt à en découdre. Tout semblait là réuni pour sculpter une bâtisse authentique et habile.
Mais il a fallu réduire toute l'ambition de cette fondation à néant, en érigeant sans cesse Jeanne au milieu d'événements impossibles, comme cette scène où, fraîchement diplômée de l'ESCP, et tandis que, stagiaire, elle sert du café dans un moyen fond d'investissement, elle façonne subitement un algorithme complexe d'un simple effleurement de doigt. Une symphonie improbable dans l'orchestration des possibles, s'éloignant des rythmes réalistes de la finance. On pourrait défendre que filmer les chiffres n'a jamais été chose simple : beaucoup se sont égarés en chemin. Mais dans Margin Call, une fiction pourtant, le jeune ingénieur financier qu'incarne Zachary Quinto, au parcours brillant, prend presque une nuit entière à reprendre les analyses de son chef pour remettre en cause un modèle financier complexe. Jeanne, La Vénus d'argent, modestement diplômée, trace un algorithme de trading automatisé performant en l'espace de quelques heures.
Bien loin est alors reléguée la promesse initiale, qui s'effiloche à toute vitesse dans les plis d'un scénario fragile, égaré dans les dédales de l'irréalité. C'est d'autant plus triste que l'art cinématographique demeure remarquable de bout en bout : la symétrie des architectures, les faces filmées bord-cadre, et l'opposition flagrante entre artifices grandiose des couleurs du côté du monde de la finance, contre réalisme terne du côté de la caserne de gendarmes, sont tout autant d'atouts perpétués par un montage lui-aussi correct. Pour faire un film, premièrement, une bonne histoire, deuxièmement, une bonne histoire, troisièmement, une bonne histoire. Jamais la citation de Clouzot n'a semble-t-il aussi bien été illustrée.
Il faut dire que les veines tentatives d'à-côté sont aussi bâclées. Jeanne, trop immaculée dans son aisance, s'égare dans les méandres d'une réalité qu'elle peine à appréhender. Son éclat brille, mais ses failles se révèlent comme autant de constellations voilées, notamment lors de son inconfortable tentative de séduction d'une riche héritière pour lever des fonds, éclairant les fractures de son essence. Elle affirme à son boss être non genrée, comme les chiffres, et condamne dans des péripéties inutiles son ex-compagnon pour l'avoir forcée à l'acte. Plus tard, le film la fait revenir à ses côtés. Par quelle utilité ? À quoi diable sert ce personnage, sinon à donner à Jeanne la possibilité de trouver un nouveau regard, alors que le sien est autrement plus pertinent, plus complexe, et plus subtil ?
L'invraisemblance contamine même jusqu'aux décors mêmes, pourtant somptueux dans leurs états. Les opulents lieux filmés, comme la suite du Shangri-la, ne trouvent pas l'écho justifié dans les nuances évoquées, soulevant des interrogations sur la justesse de la représentation : si le n+1 de Jeanne semble être le grand patron des lieux, la réalité le foudroierait en poisson dans une moyenne marre, et il est peu probable qu'un tel homme puisse se loger en permanence dans une suite à 20 000 euros la nuit. Mais qu'importe, car La Vénus d'argent semble parfois vouloir s'incarner en illusionniste, vendeuse de Longines alors qu'elle pourrait simplement faire comme tout le monde : continuer à passer des entretiens.
C'est ainsi que la plume d'Helena Klotz, accompagnée de ses scénaristes égarés, se perd dans les méandres de l'incompréhension du monde de la finance, tachant la pureté du sujet par des éclats d'approximations. Cette lacune, comme une note dissonante, trouble l'harmonie de cette production, tandis que le cinéma français, dans un bal hésitant entre conscience et inertie, semble buter sur des thématiques maladroitement abordées, entre relations lacunaires et identités en quête de clarté. Critique ou soutien au monde frénétique du capital, le plus incroyable est qu'on ne sait pas où se situer, car le film se veut neutre de jugement. Il préfère initier des idées sans les approfondir, c'est bien plus confortable.
Un dernier espoir émerge néanmoins de cette mer d'inconstances : l'apparition éclairée de Mathieu Amalric en banquier d'affaires offre un contrepoint salvateur. Un éclair de lucidité, parmi les tumultes d'une narration défaillante, résonnant comme une poignée d'espoir dans ce panorama éclaté. La force indéniable de la caméra, capturant des entretiens d'embauche d'une surréaliste vérité, émerge comme un îlot de réalisme dans ce flot d'incohérences, suscitant une ambiguïté troublante, reflétant, peut-être, les tourments de ce monde financier impitoyable.
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«À ce moment la porte s'ouvrit, et sur le seuil, précédés par le majordome, quatre valets en livrée apparurent apportant, sur une espèce de brancard recouvert d'un magnifique brocart rouge aux armes des ducs de Tolède, un énorme poisson couché au milieu d'un immense plateau d'argent.
Un « oh ! » de joie et d'admiration parcourut la table, et en s'écriant : « voici la Sirène ! » le général Cork se tourna vers Mrs. Flat, et s'inclina.
Le majordome, aidé des valets, déposa le plateau au milieu de la table, devant Mrs. Flat, et recula de quelques pas.
Tous regardèrent le poisson, et pâlirent.
Un petit cri d'horreur s'échappa des lèvres de Mrs. Flat, et le général Cork blêmit.
Une petite fille, quelque chose qui ressemblait à une petite fille, était étendue sur le dos au milieu du plateau, sur un lit de vertes feuilles de laitue, dans une grande guirlande de branches de corail. Elle avait les yeux ouverts, les lèvres demi-closes : et contemplait d'un regard étonné le Triomphe de Vénus peint au plafond par Luca Giordano. Elle était nue : mais sa peau brune, luisante, du même violet que la robe de Mrs. Flat, modelait exactement comme une robe ses formes encore hésitantes et déjà harmonieuses, la ligne douce de ses hanches, la légère éminence de son ventre, ses petites seins virginaux, ses épaules larges et pleines.
Elle ne devait pas avoir plus de huit ou dix ans, bien qu'à première vue, tant elle était précoce et ses formes déjà féminines, elle parût en avoir quinze. Déchirée çà et là, ou élimée par la cuisson, surtout sur les épaules et sur les hanches, la peau laissait entrevoir à travers les cassures et les fêlures la chair tendre, tantôt argentée, tantôt dorée, si bien qu'elle semblait vêtue de violet et de jaune, tout à fait comme Mrs. Flat.
Et tout comme celui de Mrs. Flat, son visage (qui l'eau bouillante avait fait éclater comme un fruit trop mûr hors de son écorce) était semblable à un masque brillant de porcelaine ancienne. Elle avait, comme Mrs. Flat, les lèvres saillantes, le front étroit et haut,, les yeux ronds et verts. Ses bras étaient courts, des espèces de nageoires se terminant en pointe, en forme de main sans doigts. Une mèche de soies, presque des cheveux, ornait le sommet de sa tête, tombant le long du petit visage, tout ramassé et comme recroquevillé, dans une espèce de grimace pareille à un sourire, autour de la bouche. Les hanches, longues et fines, se terminaient, comme dit Ovide, in piscem, en queue de poisson.
La petite fille gisait dans son cercueil d'argent, et semblait dormir. Mais, par suite d'un oubli impardonnable du cuisinier, elle dormait comme dorment les morts auxquels personne n'a eu le soin pieux de fermer les paupières, elle dormait les yeux ouverts. Elle contemplait les Tritons de Luca Giordano soufflant dans leurs conques marines, les dauphins, attelés au char de Vénus, galopant sur les ondes, Vénus toute nue assise dans son char d'or, au milieu du cortège blanc et rose de ses Nymphes, et Neptune, debout dans sa coquille, brandissait son trident, emporté par la fougue de ses chevaux blancs, encore altérés du sang innocent d'Hippolyte. Elle contemplait le Triomphe de Vénus peint au plafond, cette mer bleue, ces poissons argentés, ces verts monstres marins, ces blancs nuages errant au fond de l'horizon : cette mer, c'était sa patrie perdue, le pays de ses rêves, le royaume heureux des Sirènes.
C'était la première fois que je voyais une petite fille cuite, une petite fille bouilllie : et je me taisais, étreint par une terreur sacrée. Tous les convives étaient pâles d'horreur.
Le général Cork regarda ses hôtes, et d'une voix tremblante s'écria :
- Mais ce n'est pas un poisson !... C'est une petit fille !
- Non, dis-je, c'est un poisson.
- Êtes-vous sûr que c'est un poisson, un vrai poisson ? Me demanda le général Cork en passant sa main sur son front baigné d'une sueur froide.
- C'est un poisson, dis-je, c'est la fameuse Sirène de l'Aquarium. »
Après la libération de Naples, les Alliés avaient, pour des raisons militaires, interdit la pêche dans le golfe : entre Sorrente et Capri, entre Capri et Ischia, la mer était barrée de champs de mines et parcourue par des mines à la dérive, qui rendaient la pêche dangereuse. Et les Alliés, surtout les Anglais, n'osaient pas laisser les pêcheurs aller au large, de crainte qu'ils n'apportassent des renseignements aux sous-marins allemands, ou ne les ravitaillassent en mazout, ou ne missent en danger, d'une façon quelconque, les centaines et les centaines de navire de guerre, de transports militaires, de Liberty-Ships, ancrés dans le golfe. Se méfier des pêcheurs napolitains ! Les croire capables de tels crimes ! Mais ainsi vont les choses du monde : la pêche était interdite.
Il était impossible de trouver dans Naples, je ne dis pas un poisson, mais une arrête de poisson : pas une sardine, pas une sole, pas une langouste, pas un rouget, pas une petit poulpe, rien. Si bien que le général Cork, quand il offrait à dîner à quelque haut officier allié, à une maréchal Alexander, à un général Juin, à un général Anders, ou à quelque homme politique important, à un Churchill, à un Vichinsky, à un Bogomolow, ou à quelque commission de sénateurs américains, venus en avion de Washington pour recueillir les critiques des soldats de la Vème Armée à leurs généraux, et leurs opinions, leurs conseils, sur les plus graves problèmes de la guerre, avait pris l'habitude de faire pêcher le poisson pour sa table dans l'Aquarium de Naples qui, après celui de Monaco, est peut-être le plus important d'Europe.
C'est pourquoi aux dîners du général Cork le poisson était très frais et d'espèce rare. Au dîner qu'il avait offert en l'honneur du général Eisenhower, nous avions mangé le fameux « poulpe géant » offert à l'aquarium de Naples par l'empereur d'Allemagne Guillaume II. Les célèbres poissons japonais appelés « dragons », don de l'empereur japonais Hiro Hito, avaient été sacrifiés sur la table du général Cork en l'honneur d'un groupe de sénateurs américains. L'énorme bouche de ces monstrueux poissons, les branchies jaunes, les nageoires noires et vermeilles semblables à des ailes de chauve-souri, la queue verte et or, le front hérissé de pointes, et crêté comme le casque d'Achille, avaient profondément déprimé l'esprit des sénateurs, déjà préoccupés par les difficultés de la guerre contre le Japon. Mais le général Cork, qui à ses vertus militaires joint les qualités du parfait diplomate, avait relevé le moral de ses hôtes en attaquant le « Johnny got a zero » la célèbre chanson des aviateurs américains du Pacifique, que tous avaient chanté en chœur.
Au début, le général Cork avait fait pêcher le poisson pour sa table dans les viviers du lac de Lucrino, célèbre pour ses féroces et exquises murènes, que Lucullus, qui possédait une villa aux environs de Lucrino, nourrissait avec la chair de ses esclaves. Mais les journaux américains, qui ne perdaient aucune occasion d'adresser d'âpres critiques au Haut Commandement de l'U.S Army, avaient accusé le général Cork de « mental cruelty », pour avoir obligé ses hôtes, « respectables citoyens américains », à manger les murènes de Lucullus. « Le général Cork peut-il nous dire, avaient osé imprimer quelques journaux d'Amérique, avec quelle chair il nourrit ses murènes ? »
Ce fut à la suite de cette accusation que le général Cork avait donné l'ordre de pêcher dorénavant le poisson pour sa table dans l'Aquarium de Naples. Ainsi, un à un, tous les poissons les plus rares et les plus fameux de l'Aquarium avaient été sacrifiés à la « mental cruelty » du général Cork : même l'héroïque espadon offert par Mussolini (qui avait été servi bouilli et garni de pommes de terre), même le magnifique thon, présent de Sa Majesté Victor-Emmanuel III, et les langoustes de l'île de Wight, gracieusement offertes par Sa Majesté Britannique Georges V.
Les précieuses huîtres perlières que S.A le duc d'Aoste, vice-roi d’Éthiopie, avaient envoyées en don à l'Aquarium de Naples (c'étaient des huîtres perlières des côtes d'Arabie, en face de Massaouah), avaient relevé le dîner que le général Cork avait offert à Vichinsky, vice-commissaire soviétique aux Affaires Étrangères, alors représentant de l'URSS à la commission Alliée en Italie. Vichinsky avait été très étonnée de trouver, dans chacune de ses huîtres, une perle rose, couleur de la lune naissante. Et il avait levé les yeux de son assiette, regardant le général Cork avec le même regard que s'il avait eu en face de lui l'émir de Bagdad au cours d'un dîner des Mille et une Nuits.
- Ne crachez pas le noyau, lui avait dit le général Cork, il est délicieux.
- Mais c'est une perle ! S'était écrié Vichinsky.
- Of course, is a pearl ! Don't you like it ?
Vichinsky avait avalé la perle, en murmurant entre ses dents, en russe : « ces capitalistes pourris ! »
Il ne paraissait pas moins étonné que Winston Churchill, lorsque celui-ci, invité par le général Cork, avait trouvé dans son assiette un poisson rond et mince, de la couleur de l'acier, pareil au disque des anciens discoboles.
- Qu'est-ce que c'est ? Demanda Churchill.
- A fish, un poisson, répondit le général Cork.
- A fish ? Dit Churchill en observant cet étrange poisson.
- Comment s'appelle ce poisson ? Demanda le général Cork au majordome.
- C'est une torpille, répondit le majordome.
- What ? Dit Churchill.
- A torpedo, dit le général Cork.
- A torpedo ? Dit Churchill.
- Yes, of course, a torpedo, dit le général Cork, et se tournant vers le majordome lui demande ce qu'était une torpille.
- Un poisson électrique, répondit le majordome.
- Ah ! Yes, of course, un poisson électrique ! Dit le général Cork tourné vers Churchill.
Et tous deux se regardèrent, en souriant, les couverts à poisson en l'air, sans oser toucher la « torpille ».
- Vous êtes sûr que ce n'est pas dangereux ? Dit Churchill après quelques instants de silence.
Le général Cork se tourna vers le majordome :
- Croyez-vous qu'il soit dangereux de le toucher ? Est-il chargé d'électricité ?
- L'électricité, répondit le majordome dans son anglais prononcé à la napolitaine, est dangereuse quand elle est crue : cuite, elle ne fait pas mal.
- Ah ! S'écrièrent Churchill et le général Cork.
Et poussant un soupir de soulagement, ils touchèrent le poisson électrique avec la pointe de leurs fourchettes.
Mais un beau jour il n'y eut plus de poissons dans l'Aquarium : il ne restait que la fameuse Sirène (un spécimen très rare de cette espèce de « sirénoïdes » qui, par leur forme presque humaine, ont été à l'origine de l'antique légende des Sirènes, et quelques merveilleuses branches de corail.
Le général Cork, qui avait la bonne habitude de s'occuper personnellement des plus petits détails, avait demandé au majordome quelle variété de poisson on pourrait trouver dans l'Aquarium pour le dîner en l'honneur de Mrs. Flat.
- Il reste bien peu de chose, avait répondu le majordome, une Sirène et quelques branches de corail.
- La Sirène est-elle un bon poisson ?
- Excellente ! Avait répondu le majordome sans sourciller.
- Et les coraux ? Avait demandé le général Cork, qui était particulièrement méticuleux lorsqu'il s'occupait de ses dîners, sont-ils bons à manger ?
- Non, les coraux, non. Ils sont un peu indigestes.
- Alors, pas de coraux.
- Nous pouvons les mettre comme garniture, avait suggéré le majordome, imperturbable.
- That's fine !
Et le majordome avait inscrit au menu du dîner : « Sirène à la mayonnaise, garnie de coraux. »
Maintenant tous les convives regardaient, muets de surprise et d'horreur, cette pauvre petite fille morte, étendue, les yeux ouverts, au milieu du plateau d'argent, sur un lit de feuilles de laitue verte, entourée d'une guirlande de branches roses de corail.”
Curzio Malaparte - La peau, p-319
Recette : tartare de truite aux pistaches
Hacher le filet de truite, les pistaches, une échalotte et de la ciboulette. Mélanger le tout dans les bols, ajouter 1cs d’huile d’olive par bol, ainsi que sel et poivre.
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Jeanne strives to make a living in the world of finance LA VÉNUS D'ARGENT (2023) [+] LGBTQ 🏳️🌈 [+] ..more French Films 🎬
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Les influences astrologiques de l'étoile Alphecca
Selon Ptolémée, il est de la nature de Vénus et de Mercure, mais Alvidas le considère comme Mars et Mercure. Il donne l'honneur, la dignité et la capacité poétique et artistique. [ Robson * , p. 131.]
Alphecca est connue pour transmettre l'honneur, la dignité et la capacité artistique. Mais comme toutes les étoiles vénusiennes, il peut aussi avoir ses effets indésirables. Les astrologues médiévaux, qui avaient tendance à souligner le côté le plus pervers de l'astrologie, ont affirmé que le soulèvement d'Alphecca indique une vie passée dans une variété d'activités agréables par un individu qui parait son corps d'ornements, se livrait secrètement à des relations amoureuses ou à l'adultère et qui "couchait des garçons et les filles "selon Firmicus Maternus. Si l'étoile se couche, la disgrâce viendra de tout cela. [ Étoiles fixes et astrologie judiciaire , George Noonan, 1990, p.10.]
Avec Sun: Esprit actif et brillant, égoïste, sujet au scandale qui n'affecte pas la position. [ Robson * , p.132.]
Avec Moon: Honneur et dignité publics, souffre de la loi, des partenaires et des voisins, des problèmes liés aux relations sournoises des ennemis mais éventuellement du triomphe sur eux, mauvais pour les amours, des amis fidèles, très estimés par les gens de Vénus et de Mercure. [ Robson * , p.132.]
Avec Mercure: Esprit plus actif que corps, quelque peu indolent, bénéficie d'amis, extravagant mais épargnant de petites choses, perte par les ennemis. [ Robson * , p.132.]
Avec Vénus: Favorable aux amours, bénéficie d'amis, de goûts artistiques et musicaux. [ Robson * , p.132.]
Avec Mars: Esprit actif, meilleur écrivain que conférencier. [ Robson * , p.132.]
Avec Jupiter: Honneur et dignité, capacité artistique, bénéfice à travers les affaires ecclésiastiques, favorables au gain matériel. [ Robson * , p.132.]
Avec Saturne: Studieux, populaire, économique mais pauvre, bénéficie d'amis âgés, de passions fortes mais bien maîtrisées, d'une mauvaise santé, d'une déception amoureuse mais se marie au-dessus de sa propre station, peu d'enfants mais des liens harmonieux avec eux. [ Robson * , p.132.]
Avec Uranus: égoïste, affliction mentale et violence en fin de vie, pouvoir psychique, souffrance par occultisme, trompeur, nombreux faux amis, petit héritage obtenu avec difficulté, pertes par la loi, ennemis et affaires mercurielles, chagrin par les enfants ou un enfant adopté, trouble domestique par ses propres actes, danger de mort violente. [ Robson * , p.132.]
Avec Neptune: agressif, brusque, désagréable, défavorable pour les questions d'argent mais gagner grâce au mariage, à la disharmonie domestique et aux particularités liées au mariage, pas très favorable pour les enfants, gagner grâce à des occupations martiales, peut inventer quelque chose de valeur en chirurgie ou en chimie, écrit sur les sujets occultes, de nombreux changements, beaucoup de voyages par eau dans les premières années de la vie, de nombreux ennemis, susceptibles de souffrir de maladies cardiaques, de mort subite ou violente. [ Robson * , p.132.]
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Je t'aime, ô doux sommeil ! Et je veux à ta gloire, Avec l'archet d'argent, sur la lyre d'ivoire, Chanter des vers plus doux que le miel de l'Hybla ; Pour t'apaiser je veux tuer le chien obscène, Dont le rauque aboiement si souvent te troubla, Et verser l'opium sur ton autel d'ébène. Je te donne le pas sur Phébus-Apollon, Et pourtant c'est un dieu jeune, sans barbe et blond, Un dieu tout rayonnant, aussi beau qu'une fille ; Je te préfère même à la blanche Vénus, Lorsque, sortant des eaux, le pied sur sa coquille, Elle fait au grand air baiser ses beaux seins nus, Et laisse aux blonds anneaux de ses cheveux de soie Se suspendre l'essaim des zéphirs ingénus ; Même au jeune Iacchus, le doux père de joie, A l'ivresse, à l'amour, à tout divin sommeil.
Au sommeil, Recueil : La comédie de la mort (1838), Théophile Gautier
#theophile gautier#romanticpoetry#frenchpoetry#tomiungerer#lestroisbrigands#childhoodsouvenir#blackandwhitedrawing#robertv27#may2020
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Le musée imaginaire
Samedi 04 avril 2020
Je regardais le ciel, ce soir, un ciel pur dégagé par le léger Mistral d'il y a quelques jours, un ciel où les étoiles scintillaient avec une rare intensité, où Vénus brillait d'un éclat inhabituel, un ciel où une lune pas encore pleine éclairait toute chose d'une lumière franche, mais froide, dardant ses rayons d'argent jusque sur notre modeste jardin. Je contemplais tout ceci et je trouvais ça beau, mais d'une beauté inhumaine, une beauté qui existerait tout de même si aucun œil humain ne pouvait la percevoir. Et je souriais en pensant aux réflexions entendues depuis quelques semaines concernant l'épidémie et la prétendue « vengeance » de la Terre ou de la Nature, qui nous feraient ainsi sentir notre insouciance et notre égoïsme… inepties insignes, la Nature, la Terre, sont évidemment un ensemble de fonctionnements qui n'a ni conscience ni intention, ni sentiment. Si un jour l'être humain attente à ce point aux conditions permettant à la vie de se développer sur Terre, se condamnant lui-même, la Terre continuera d'évoluer, de fonctionner, la vie reparaîtra à coup sûr, et les choses repartiront dans leur grande indifférence. L'anthropocentrisme de notre temps me laisse souvent pantois. Mais cette beauté que mes yeux percevaient ce soir, il n'y a que l'esprit humain pour la saisir, et s'il est un domaine qui est né avec l'homme et périra avec lui, c'est bien le domaine de l'art. Il est heureux de voir la multiplication des offres sur internet nous permettant de fréquenter l'art depuis chez nous, des musées aux opéras, des théâtres aux chanteurs, tous nous offrent de quoi nourrir notre appétit artistique. Mais je dois avouer que la perspective de ne pas pouvoir fréquenter les lieux consacrés à l'art, dans notre ville si bien dotée, me chagrine particulièrement. La fréquentation physique des musées, des galeries, des théâtres ou des salles de concert, apporte une satisfaction de tout l'être, procure un plaisir qui touche l'esprit et le corps, certains diraient l'âme. Alors, reclus entre nos quatre murs, couverts pour certains de livres, dont beaucoup sur l'art, je me promène dans mon musée imaginaire, j'essaie de retrouver la joie de la fréquentation réelle des œuvres. L'émotion esthétique en est un peu émoussée, mais ce qu'elle fait naître demeure : l'étonnement, le questionnement, la quête du sens, ou la réflexion sur l'absence de sens, et mon esprit va cherchant, vagabonde et s'interroge (« Et si la fascination pour Elvis venait de cette moue d'une bouche charnue, exacte réplique de celle des représentations d'Alexandre dans la statuaire antique, archétype ancré à ce point dans l'esprit des hommes qu'un chanteur de rock devint un véritable demi-dieu adulé, adoré, vénéré ? » « Quel artiste doué d'un talent sans égal à sculpté la stèle du code d'Hammourabi en lui donnant la forme très exacte d'un doigt dressé, dont l'ongle serait orné de la scène mythique et le reste, reproduisant avec tant de précision la partie légèrement bombée du « dos » du doigt, entièrement recouvert d'écriture ? Mais pourquoi un doigt, si fidèlement représenté ? », « qu'y avait-il de si diabolique ou de si divin dans le sourire de Salai, pour qu'il hante aussi bien le visage d'un Saint Jean que celui d'une bourgeoise florentine ? »… que sais-je encore ?...). On le voit, l'art, même par procuration, par la stimulation intellectuelle qu'il suscite, contribue plus que tout autre chose à nous faire mieux supporter cet enfermement de bientôt trois semaines.
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Le soleil est rare par Travi$ Via Flickr : P67 - 105mm f2.4 - TX400 La vénus d'argent du radiateur ..... ♫♫
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Homélie de la messe du 16 juin 2019 à Jouarre - Jour du Seigneur -
À voir autour de nous, comme une couronne, les montagnes qui dormaient, plus noires qu'est noir un mouton noir, à voir, cette nuit-là, le ciel et les planètes, Mars et Vénus et Jupiter, et les Perséides tombant en pluie d'argent, et les étoiles par myriades et les galaxies et la couronne immense de la Voie lactée d'un bout de la Terre à l'autre - à voir tout cela, cette nuit-là, dans le Haut-Atlas marocain, alors que nous avions vingt ans et que nous étions de pleins de rêves et d'idéaux et d'orgueil, alors que nous nous prenions alternativement plusieurs fois par jour pour très nobles ou très misérables mais de toute façon très importants - à voir cette indicible splendeur, cette nuit-là, nous nous sommes demandé : qu'est-ce que l'homme, Seigneur, pour que tu penses à lui ? Que sommes-nous dans cet univers, tandis que la Terre cingle dans l'espace, tout en tournant autour du Soleil, à la vitesse de 700 000 km/h, et nous poussière sur ce vaisseau ? Que sommes-nous devant Dieu si l'œuvre de Dieu est aussi grande, aussi belle, aussi incommensurable à notre petitesse ?
Dieu lui-même répond : nous sommes un peu moindres que lui. Nous sommes à peine moindres que lui.
Dieu répond qu'il met toute son œuvre, sa Création bien-aimée, à nos pieds comme un dépose un cadeau. Qu'il nous a faits maîtres de tout cela, maître du moins de le comprendre. Que par le don de sa Sagesse, c'est-à-dire de l'Esprit, il nous a fait remonter le temps par les causes et les conséquences, découvrir merveille sur merveille, plonger dans l'atome et rejaillir dans les galaxies, enfin qu'il nous a donné l'intelligence. Nous avions vingt ans, et nous pensions face à l'œuvre de Dieu.
Ensuite Dieu répond qu'à nous, dont la taille n'est rien devant celle d'une étoile, il a donné ce qu'aucune créature n'a reçu, c'est-à-dire l'espoir du Salut, la honte d'avoir fait le mal et le désir de faire le bien, la fidélité, la fierté, l'admiration, l'altruisme et la foi. Quand dans le cœur d'un gamin de vingt ans qui regarde les étoiles il y a ce qu'aucune créature dans la Galaxie ne possède : il y a dit saint Paul, « l'amour qui a été répandu dans nos cœurs », et dans nos cœurs seuls, « par l'Esprit saint qui nous a été donné ».
Enfin Dieu répond - c'est l'Évangile, c'est l'annonce incroyable que nous fait Dieu lui-même, puisque Jésus est Dieu lui-même - , Dieu répond qu'à nous seuls il est offert d'entrer dans son mystère à lui, Dieu, et de prendre place en tant que Fils dans la Trinité. Que la vérité que le Père a fait connaître à Jésus il nous la donne, que l'amour que le Père a donné au Fils il nous le donne aussi, enfin que nous, les enfants des hommes, nous sommes ses fils et que dans ses fils il a mis tout son amour.
Ainsi donc, poussières de vingt ans sur une planète cinglant dans l'infini éblouissant d'une nuit d'août, nous étions plus que cette planète, nous étions plus que les étoiles et plus que l'Univers, nous étions à peine moindres que Dieu, nous étions fils de Dieu. Ce que nous contemplions n'était que le reflet de notre propre grandeur et de la grandeur de tout homme, nous, le chef-d'œuvre de Dieu et ses fils bien-aimés.
Frères et sœurs, regardez-vous. Regardez vos amis, regardez vos proches et vos voisins sur ce banc d'église. Vous voyez un fils, une fille de Dieu ; vous voyez l'œuvre, et le reflet, et le visage de Dieu.
Amen.
Prédicateur : Fr. Yves Combeau, dominicainParoisse : Abbaye Notre-Dame de JouarreVille : Jouarre
via Communauté pastorale du Littoral Ouest http://bit.ly/2IkjEnG
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Collection Vénus - Pendentif fleur mi-rose mi-éclats UNE FLEUR MI-ROSE MI-ÉCLATS ! PRODUIT EN STOCK CHEZ VOUS SOUS 24 A 48H* Ce ravissant pendentif fleur viendra apporter de la lumière dans votre vie ! Portez ce pendentif fleur mi-rose mi-éclats autour de votre cou ; il y fera beaucoup d'effets aussi bien aux yeux de vos amies mais aussi de toutes les personnes que vous pourrez rencontrer et qui le remarqueront bien entendu ! Un petit air floral, avec une empreinte de douceur induite par le plaqué or rose et de la brillance grâce à ses pierres brillantes ! Ce pendentif fleur est composé d'argent 925 et de plaque or rose. Des pierres de zircon brillantes viennent sublimer chacune de la moitié de ses pétales ainsi qu'en son centre. Ce pendentif, vendu avec sa chaîne en argent, mesure 28 mm de hauteur avec bélière comprise. Vous pourrez également découvrir ce magnifique pendentif symbolisant l'union en plaqué or et argent. PLUS D'INFOS : https://www.olivier-victoria.fr/pendentif-fleur-rose-brillant
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VÉNUS: La société parfaite
* Choix du nom du pays : Vénus
* Carte du pays : Vénus est la deuxième planète du système solaire par ordre de distance du Soleil, la sixième en taille, du plus haut au plus bas.
* Description de l’organisation du pays :
La division de la planète est très pareille à la configuration de la terre, sauf qu’a venus n’existe pas la différenciation territoriale par pays et a venus il y plus d’eau.
*situation géographique :
Après Mercure, nous atteignons Vénus, à une distance d’environ 0,72 unité astronomique du Soleil (108 millions de kilomètres). Vu de la terre, Vénus ne s'éloigne jamais du Soleil, avec une séparation angulaire atteignant un maximum de 45 degrés
*origine :
Chaque dix mil ans, Lorsque l’étoile se condense et se compacte, elle chauffe encore plus, brûlant l’hydrogène restant et entraînant l’extension de ses couches extérieures. Dans cette phase, l'étoile devient un géant rouge qui évoluera comme vénus
*population : vénusiens, vénusiennes. Les Vénusiens ont un corps parfait : front large ou large, yeux bleus, nez droit, cheveux blonds et une intelligence surprenante. Mesurer plus ou moins de 1,30 à 1,40 mètres de haut, il n'y a pas plus haut ou plus bas
* Description des activités économiques propres du pays : La pêche est la plus importante des activités agricoles de la Vénus. Ils ont des secteurs de la mer où ils nourrissent les poissons avec beaucoup de vitamines et quand ils ont besoin d'en manger, ils regardent le plus gros ou celui qu'ils veulent utiliser, pour mettre un filet avec soin sans maltraiter les autres poissons ou les effrayer. L’agriculture
des légumes et des fruit propres de venus avec vitamines nécessaires pour sous vivre aux conditions de la planète.
* l’organisation du travail dans le temps (horaires, congés, retraites, etc.)
* la répartition du travail : Les Vénusiens, hommes et femmes, travaillent deux heures par jour, chacun dans leur profession. Il n'y a pas d'argent là-bas et personne ne possède rien ; Tout le monde a le droit de tout et ils travaillent pour tout le monde, car il y a égalité. La loi est de travailler deux heures par jour, il n'y a donc pas de faim ou de misère. Alors qu’ils travaillent seulement deus heures par jour il n’as pas des jours de congés et l’âge de retraite
*La propriété des entreprises (national – international), l’agriculture :
L’administration des entreprises nationaux, international et n’importe quel type change comme change le conseil supérieur.
*les services offerts pour aider la population :
Les conditions économiques et la situation des employés permets avoir des benefit soucieux comme bons systèmes de la sante, éducatifs, sécurité sociale et servis publics
* la monnaie : le Venn. 1 Venn= 10 millions de pesos
*le drapeau :
* Description de l’organisation sociale :
*organisation de la famille : À Vénus, il n’existe pas de conception de la famille, quand un couple de Vénusiens a un enfant, tout de suite après sa naissance, il est conduit dans un centre spécialisé d’intelligences multiples où il se prépare de manière holistique jusqu’à ses 22 ans. Liés à la société pour exercer la profession préparée et remplir leur rôles dans la société
*organisation de la société en générale :
À Vénus, car il n'y a pas le concept de la propriété ; au moment de dormir, d'aller aux toilettes ou de manger ; Les habitats de Vénus doivent seulement entrer dans la maison la plus proche (il n’a pas des clés ou d’insécurité) qui soit disponible, entrer et faire ce qu’ils doivent faire. Bien sûr ils doivent laisser tout dans l’ordre où ils l’ont trouvée.
En ce qui concerne les moyens de transport, dans les rues de Vénus, il n’y a pas ni d’accidents ni d’embouteillages, car ils sont transportés à l’aide d’une plate-forme flottante fonctionnant à l’énergie solaire, ainsi que de tous les dispositifs, ce qui évite toute type de pollutions.
Si un habitant a besoin de voyager, il peut le faire sans consulter personne parce qu’Il n'y a pas des frontières ou de paperasse ; il y a une liberté totale d'utiliser un véhicule ou un navire, il faut simplement la prendre du parc commun avec la condition de le rendre en parfait état, la garer correctement et assumez la responsabilité des dommages éventuels.
Les Vénusiens n'ont pas la conception de père ou de mère, car après la naissance, l’enfant est immédiatement emmené dans un grand centre d'intelligences multiples, où il est formé de manière holistique jusqu'à l'âge de 22 ans, après l’enfant est lié à la société afin d’exercer le métier qu’il choisit pour contribuer à la stabilité et au développement de Vénus. Il faut tenir compte que chaque couple peut seulement avoir deux enfants.
*le rôle de l’homme et de la femme : égalité totale
* Description de l’organisation et l’administration politique :
* l’organisation administrative : * les pouvoirs politiques (type, attributions, mode d’élection) :
* le système d’élections et de décisions : Les décisions d'ordre public et administratif sont sous la responsabilité du conseil supérieur, conformé par cinq habitants de Vénus. Chaque année, le conseil est renouvelé et les nouveaux membres du conseil supérieur sont choisis au hasard.
Malgré le fait que le conseil règle les décisions, tous les habitants ont une voix et un vote dans chacune des décisions. Les conseillers sont choisis au hasard, car chacun a la même éducation et peut donc y appartenir.
*la división territorial:
La planète venue est territorialement divisée en zones nommé avec lettres et nombres. Il y a 1123 zones et dans chaque zone le conseil supérieur est le même.
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