#La Femme Chic magazine
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Givenchy Haute Couture Collection Spring/Summer 1955. Jacky Mazel in a V-breasted canvas suit for a suit with a plunging effect of the jacket in a collar. Sarlat umbrella. Photography Séeberger Frères. La Femme Chic Magazine, Summer 1955.
Givenchy Collection Haute Couture Printemps/Été 1955. Jacky Mazel dans un tailleur en toile à boutonnage en V pour un tailleur à effet plongeant de la veste dans col. Parapluie de Sarlat. Photographie Séeberger Frères. Magazine La Femme Chic, Eté 1955.
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La Femme Chic magazine, 1956
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Remembering Jane Birkin, born on this day in 1946.
Remembering Jane Birkin, born on this day (1946-2023).Best Sheet Music download from our Library.Jane BirkinPlease, subscribe to our Library.DiscographyJe t'aime... moi non plusBrowse in the Library:
Remembering Jane Birkin, born on this day (1946-2023).
Jane Birkin - Livre D'orDownload
AMOURS DES FEINTES BABY ALONE IN BABYLONE BALLADE DE JOHNNY JANE LES DESSOUS CHICS DI DOO DAH ET QUAND BIEN MEME EX-FAN DES SIXTIES FUIR LE BONHEUR DE PEUR QU'IL NE SE SAUVE JE T'AIME MOI NON PLUS LOST SONG LE MOI ET LE JEU NORMA JEAN BAKER QUOI UNE CHOSE ENTRE AUTRES
Jane Birkin
Jane Mallory Birkin OBE (14 December 1946 – 16 July 2023) was a British-French actress and singer. She had a prolific career as an actress, mostly in French cinema. A native of London, Birkin began her career as an actress, appearing in minor roles in Michelangelo Antonioni's Blowup (1966), and Kaleidoscope (1966). In 1968, she met Serge Gainsbourg while co-starring with him in Slogan, which marked the beginning of a years-long working and personal relationship. The duo released a debut album, Jane Birkin/Serge Gainsbourg, in 1969, and Birkin appeared in the film Je t'aime moi non plus in 1976 under Gainsbourg's direction. She mostly worked in France, where she had become a major star, and occasionally appeared in English-language films such as the Agatha Christie adaptations Death on the Nile (1978) and Evil Under the Sun (1982), as well as James Ivory's A Soldier's Daughter Never Cries (1998). Birkin lived mainly in France from the late 1960s onwards and acquired French citizenship. She was the mother of photographer Kate Barry with her first husband John Barry; of actress and singer Charlotte Gainsbourg with Serge Gainsbourg; and of musician Lou Doillon with Jacques Doillon. She lent her name to the Hermès Birkin handbag. After separating from Gainsbourg in 1980, Birkin continued to work both as an actress and a singer, appearing in various independent films and recording numerous solo albums. In 2016, she starred in the Academy Award-nominated short film La femme et le TGV, which she said would be her final film role. Discography Je t'aime... moi non plus "Je t'aime… moi non plus" (French for 'I love you… me neither') is a 1967 song written by Serge Gainsbourg for Brigitte Bardot. In 1969, Gainsbourg recorded the best-known version as a duet with English actress Jane Birkin. Although this version reached number one in the UK—the first foreign-language song to do so—and number two in Ireland, it was banned in several countries due to its overtly sexual content. In 1976, Gainsbourg directed Birkin in an erotic film of the same name. The title was inspired by a Salvador Dalí comment: "Picasso is Spanish, me too. Picasso is a genius, me too. Picasso is a communist, me neither". Gainsbourg described "Je t'aime" as an "anti-fuck" song about the desperation and impossibility of physical love. The lyrics are written as a dialogue between two lovers during sex. Phrases include: "Je vais et je viens, entre tes reins" ("I go and I come, between your loins") "Tu es la vague, moi l'île nue" ("You are the wave, me the naked island") "L'amour physique est sans issue" ("Physical love is hopeless" ) "Je t'aime, moi non plus" is translated as "I love you – me not anymore" in the Pet Shop Boys' version. The lyrics are sung, spoken and whispered over baroque pop-styled organ and guitar tracks in the key of C major, with a "languid, almost over-pretty, chocolate-box melody". Some deemed the song's eroticism offensive. The lyrics are commonly thought to refer to the taboo of sex without love, and were delivered in a breathy, suggestive style. The Observer Monthly Music magazine later called "Je t'aime" "the pop equivalent of an Emmanuelle movie". Read the full article
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JustFab : réinventez votre dressing
Envie d'un dressing qui vous ressemble, sans vous ruiner et sans passer des heures à écumer les boutiques ? JustFab est là pour vous ! Cette plateforme en ligne révolutionne le shopping avec son concept unique d'abonnement personnalisé. Prête à découvrir tous les secrets de ce dressing nouvelle génération ? C'est parti ! Comment fonctionne JustFab ? Imaginez avoir votre propre styliste personnel, disponible 24h/24 et 7j/7. C'est la promesse de JustFab ! Après avoir créé votre profil en répondant à quelques questions sur vos goûts, votre morphologie et votre style de vie, vous recevez chaque mois une sélection personnalisée de 5 articles, appelée "Showroom". Vous avez ensuite 5 jours pour faire votre choix : craquer pour une paire de bottines en cuir, adopter une robe bohème ou succomber à un sac à main coloré... C'est vous qui décidez ! Le gros avantage ? Vous bénéficiez de prix réduits exclusifs sur tous les articles de votre Showroom : jusqu'à -50% par rapport aux prix boutique ! Et si vous êtes une vraie fashionista, vous pouvez même acheter l'intégralité de votre sélection pour seulement 39,95€, une véritable aubaine ! De plus, vous pouvez shopper à tout moment d'autres articles sur le site, toujours à prix mini. Avis sur JustFab : les points forts Les JustFab addicts sont unanimes : le choix est immense et la qualité au rendez-vous ! La plateforme propose plus de 500 nouveaux modèles chaque mois, allant des chaussures aux sacs à main, en passant par les bijoux et les accessoires. Que vous soyez plutôt classique, bohème, rock'n'roll ou glamour, vous trouverez forcément votre bonheur. Les matières sont soigneusement sélectionnées, comme le cuir véritable pour les chaussures et les sacs, ou la soie pour les foulards. Les finitions sont impeccables et les modèles suivent les dernières tendances repérées sur les podiums et dans les magazines. Côté prix, JustFab se positionne comme une marque accessible, avec des chaussures entre 30€ et 50€ et des sacs entre 20€ et 40€. Un rapport qualité-prix imbattable qui vous permet de vous faire plaisir sans culpabiliser ! A lire aussi : Quels sont les différents types de chaussures femme ? Site de chaussures pas cher : JustFab se démarque Oubliez les sites de chaussures impersonnels et sans âme ! JustFab se démarque par son approche personnalisée et son sens de la communauté. En devenant membre VIP, vous accédez à des avantages exclusifs : réductions supplémentaires, ventes privées, cadeaux d'anniversaire... De quoi vous sentir vraiment privilégiée ! De plus, JustFab met l'accent sur l'inspiration et le partage. Vous trouverez sur le site et l'application de nombreuses idées de looks, des conseils mode personnalisés en fonction de votre profil et des témoignages de clientes. Une véritable communauté de passionnées de mode qui échangent leurs bons plans et leurs coups de cœur. Chaussures pour femme pas cher : une sélection variée JustFab pense à toutes les femmes et à toutes les occasions ! Que vous cherchiez des escarpins élégants pour une soirée chic, des mules confortables pour le quotidien, des bottines tendance pour l'hiver, des sandales colorées pour l'été ou même des baskets pour vos séances de sport, vous trouverez forcément votre bonheur parmi les centaines de modèles proposés. La nouvelle collection printemps-été 2024, par exemple, met à l'honneur les couleurs pastel, les imprimés fleuris, les matières naturelles et les détails tendance comme les brides à nouer ou les talons sculpturaux. De quoi composer des looks frais et légers pour la saison estivale ! Vente en ligne de chaussures mode : l'expérience JustFab JustFab a pensé à tout pour vous faciliter la vie ! Le site internet et l'application mobile sont ergonomiques et agréables à utiliser. Vous pouvez naviguer facilement entre les différentes catégories, filtrer les produits selon vos critères (taille, couleur, style, occasion...) et créer des wishlists pour ne rien oublier. La livraison est rapide (3 à 5 jours ouvrés en moyenne) et les retours sont gratuits sous 30 jours. Vous pouvez donc essayer vos nouvelles chaussures tranquillement chez vous et les renvoyer sans frais si elles ne vous conviennent pas. Un vrai luxe ! JustFab femme chaussures : témoignages et avis clients "JustFab a changé ma vie de fashionista !" "Je suis accro à leur concept d'abonnement personnalisé !" "Les chaussures sont magnifiques et de très bonne qualité !" Les témoignages enthousiastes ne manquent pas sur les réseaux sociaux et les forums. Les clientes JustFab sont conquises par la qualité des produits, les prix attractifs, le service client irréprochable et l'expérience shopping unique. Sur Trustpilot, JustFab obtient une excellente note de 4,2/5, preuve de la satisfaction des clientes. Alors, pourquoi ne pas tenter l'expérience ? Vous pourriez bien devenir, vous aussi, une JustFab addict ! Read the full article
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Le Chic Français
Images de femmes 1900 - 1950
Snoeck, Gent 2017, 256 pages, 25 x 30,6 cm., ISBN 978-9461614261
euro 18,00
email if you want to buy :[email protected]
Les débuts de la photographie de mode sont timides et peu audacieux. Si de nombreux magazines existent pour diffuser la mode au début du XXe siècle, le dessin y occupe une place centrale. Si dans les médias, la place de la photographie de mode connait un essor similaire à celui de la photographie en général, jusque dans les années 1920, les contraintes liées aux techniques d'impression ne favorisent pas son utilisation. Les poses restent statiques, les photographes travaillent en studio et les mises en pages sont rigides. Cette manière de figurer la mode est à mettre en correspondance avec le statut de la femme dans la société. Dans les années 1920-30, une « Nouvelle vision » s'impose. Des photographes (Jean Moral, Maurice Tabard, André Steiner, entre autres) soutiennent une photographie résolument moderne et différente. Les photographes multiplient les expérimentations formelles (angles de prises de vue spectaculaires, cadrages audacieux, sujets modernes) et proposent une nouvelle image de la femme, enfin libérée de toute contrainte. La photographie va donc accompagner l'émancipation de la femme durant cette période. Véritables touches à tout, ces photographes sont recrutés par le monde de la mode. Ils mettent leur savoir-faire au service des magazines et contribuent à diffuser l'image de plus en plus moderne des femmes. Ils participent à la reconnaissance de Paris comme capitale de la mode.
22/09/22
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#Chic Français#Images de femmes#1900-1950#Lepape#Erté#Paris capitale mode#photographie de mode#fashion books#fashionbooksmilano
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Gerda Marie Fredrikke Wegener (née Gottlieb; 15 March 1886 – 28 July 1940) was a Danish illustrator and painter. Wegener is known for her fashion illustrations and later her paintings that pushed the boundaries of gender and love of her time. These works were classified as "lesbian erotica" at times and many were inspired by her spouse, the transgender woman Lili Elbe. Wegener employed these works in the styles of Art Nouveau and later Art Deco.
Gottlieb was born in Hammlev, Denmark, in a conservative family. She had three siblings but was the only child to live to adulthood. She enjoyed art at a young age and began training. Her family moved to Hobro and later she moved to Copenhagen to pursue her education at the Royal Danish Academy of Fine Arts.
Wegener's work was often of confident and elegant woman performing a variety of activities in either a Renaissance inspired style, Art Nouveau or Art Deco style. The images tended to show women posing or participating in artistic endeavors such as theatre, literature, and dance. Later on in France, Wegener created work showing women displaying seductive power or engaging in sexual activities. This risqué art was considered "lesbian erotica" and published in illicit art books. Along with shifting how women are represented in art, Wegener also challenged gender and sex identity roles in her work. She did this in small ways, such as drawing men with slender bodies and soft lines, or by painting her transgender partner, Lili Elbe.
Her career as an artist began to mobilize after graduating from the Academy in 1907 and 1908 when she made appearances in the Politiken newspaper. She then was the center of a controversy called the Peasant Painter Dispute after one of her 1906 works, Portrait of Ellen von Kohl, was rejected from the exhibitions of Den frie Udstilling and Charlottenborg due to the style of the piece. This piece caused concerns of Italian Renaissance plagiarism and split opinions of it showing a weak individual or an elegant beautiful woman. Gottlieb never got involved in the debate. The portrait was displayed by the Winkel and Magnussen's art dealership and received attention that boosted her career as an artist.
Wegener won two sketching competitions in the Politiken newspaper. She was known for her illustrations created for advertisements and was also a portrait painter. She did art in Paris, but was less successful in Denmark, where people found her work very different and strange as it often portrayed her husband as a woman.
In 1912, Wegener and her partner, Lili Elbe, moved to Paris, France. In Paris, Wegener began to push the boundaries in her artwork by creating more provocative paintings of women engaged in sexual activities and seductive positions. She often painted herself with Lili Elbe or Lili alone either portrayed as a man or a woman. Her work gained her attention and she was able to throw parties and experience notorious fame. Along with this, her work in the fashion industry took off as she illustrated for magazines such as Fantasio, Vogue, and La Vie Parisienne. Her illustrations were used in a wide range of platforms from beauty advertisements to political anti-German images in the Le Matin and the La Baïonnette during World War II. In 1925, she won two gold medals and a bronze one for her artwork in competition at the very famous 1925 World Fair in Paris. She befriended Ulla Poulsen (1905–2001), a Danish ballerina, who became a frequent model for her paintings. She and her spouse were also close friends with artist Rudolph Tegner and his wife Elna.
She met fellow artist Lili Elbe – then known as Einar Wegener – at art school. They married in 1904, when Gerda was 18 and Lili was 22. They travelled through Italy and France, eventually settling in Paris in 1912. The couple immersed themselves in the Bohemian lifestyle of the time, befriending many artists, dancers and other figures from the artistic world, often attending carnivals and other public festivals.
During this time Elbe began to wear female clothing, and adopted her female name and persona, becoming Gerda Wegener's favourite model, in paintings of beautiful women with haunting almond-shaped eyes dressed in chic fashions. In 1913, the art world was shocked when they learned that the model who had inspired her depictions of petite femmes fatales was in fact her husband.
As Elbe adopted her female identity, Gerda Wegener commonly introduced her as Einar Wegener's cousin when she was dressed in female attire. In 1930 Elbe underwent one of the first sex reassignment surgeries. As Danish law at the time did not recognize marriage between two women, their marriage was annulled in October 1930 by King Christian X. Elbe died in 1931 from complications of the surgery.
In 1931, Wegener married Italian officer, aviator, and diplomat Major Fernando Porta and moved with him to Morocco. She divorced Porta in 1936 and returned to Denmark in 1938 for unknown reasons. She held her last exhibition in 1939, but by this time, her artwork was out of style as the simpler Functionalism had become more popular in the 1930s. She had no children, lived by herself in relative obscurity, and began to drink heavily. She faced financial instability and kept an income by selling hand-painted postcards.
She died on July 28, 1940, in Frederiksberg, Denmark, shortly after Nazi Germany invaded the country. Her small estate was auctioned, and there was only a small obituary printed in the local paper.
Over the years, beginning with the literary success of a book about Elbe's and her lives together, and further with the release of a movie based on the book, the story of the couple gained a cult following in Denmark and around the world. Their artwork has been rediscovered, and exhibited and auctioned with success. A special exhibition of Gerda Wegener's was on display at the Arken Museum of Modern Art until January 2017, followed by a travelling exhibit of her art shown around the world.
The Danish Girl, David Ebershoff's 2000 novel about them was an international best-seller and was translated into a dozen languages. Gerda Wegener is portrayed by Swedish actress Alicia Vikander in the 2015 film The Danish Girl, also starring British actor Eddie Redmayne as Lili Elbe. The film received some criticism for obscuring the actual story of a historical trans person and omitting certain facts and for being based on a fictional book that does not tell the true story of Einar and Gerda Wegener. The topic of Gerda Wegener's own sexuality, which she never talked about publicly, is not mentioned in the film or book.
(source: Wikipedia)
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Style Flashback: Sophia Loren 🖤
PART TWO
Sophia Loren is well-known as a muse in the fashion world, both to fans and designers alike. Giorgio Armani created a whole collection inspired by the international star, as did designer Sofia Sizzi. And it's easy to see why. Loren has timeless taste and embodies the classic Italian woman. She loves her fur coats and her designer labels, and always has diamonds sparkling from her ears or throat.
Take a walk down memory lane and scroll down to see some of Loren's best looks through the decades. *Courtesy of itsrosy.com
Bold Hats
For Loren, heading to the airport meant she got to don fabulous hats. This pink lace floral number is no exception.
Most of Loren's hats come from designer Jean Barthet, who was Paris' most thriving milliner. His business was booming in the '60s when other milliners were closing down shop. His order book had A-list names like Brigitte Bardot, Queen Farah of Iran, Elizabeth Taylor, and Princess Grace. And each time that Loren visited the milliner, she bought in bulk.
Roman Chic
Even when Loren played an ancient Roman, her outfits were modern-day chic. Here the actress is in her role of Lucilla, the daughter of Emperor Marcus Aurelius in The Fall of the Roman Empire, a 1964 movie. While she might have been dressed for an ancient empire, her ruched dress and jeweled baubles looked stylish enough to wear during the modern day.
Bold Fall Looks
Loren really knew how to work her outerwear. In 1965, she arrived at London Airport for the premiere of Lady L, and her bundled-up outfit proved to be the epitome of fall style. Her checkered coat was topped with a bold bow, which she accented with a crocheted hat and color-tinted sunglasses.
Fierce Cat Eyes
In 1967, Loren displayed some fierce cat eyeliner while at a Hollywood event. She dressed in glittering accents from head to toe. Her dress was a sequined designer confection, which she matched with a diamond and sapphire necklace. The show-stopping Bulgari necklace is one of her favorites: she also wore the same one to the 1966 Cannes Film Festival a year prior.
Grand Ball Outfits
Forget red carpets — Loren truly shined at balls. She especially turned heads while attending a grand ball hosted in a casino in Monte Carlo in 1969. It was her first public outing since the birth of her son, and she decided to go all out by sporting an elaborate headdress.
The outing was a "Dîner De Têtes" costume ball, where she and her husband rubbed elbows with Grace Kelly. The princess actually had some trouble getting to the party with her own big headdress.
Groovy Seventies Attire
Loren perfectly captured the changing fashions of the seventies with this Mod outfit. It consisted of a floral print mini dress with matching go-go boots. Loren wore this scooter dress ensemble on the set of La Femme du Pretre (The Priest's Wife.)
Street Style
Loren looked every inch of the stylish New Yorker while heading to a movie set circa 1978. Her black silk and lace dress was both daring and elegant, and played up her bombshell status.
Late '70s Style
Loren always looked like she walked straight off of a runway in her airport outfits. Here she arrived in Heathrow from Paris wearing a chunky fur coat, turtleneck sweater dress, and knee-high leather boots. She looked like she hopped out of a Vogue editorial, but in reality she was just waiting to get through customs.
Loren's style has always been so impeccable that in 1999 she received the CFDA Fashion Award for "a lifetime of glamour." The actress made it her mission to embody timeless Italian style and luxury. "During her long film career, Loren made bosom-baring an art, with all manner of sensual dresses and tops. Later, she became the elegant patron of top designers such as Valentino and Gianni Versace," the Philadelphia Inquirer observed.
The Age Of Excess
Loren embraced the Age of Excess in the '80s and piled on the glitz and glamour during her red carpet events. In this outfit, her red dress had elaborate bead and tassel shoulders, which she accented with stacked gold chokers and chandelier earrings.
She wore this outfit to a dinner honoring her as Grand Marshall of 1983's Columbus Day Parade. The annual parade on Fifth Avenue is famous for honoring Italian-Americans, but that year they shined the spotlight on an Italian-Italian. And even a bigger deal: Loren was the first woman to lead the parade in its 39-year history!
Nighttime Florals
Spring time florals aren't just reserved for day dresses and picnic skirts. Loren wore head to toe floral while in Moscow in 1991. She had a matching wrap and a flirty high-low hemline. The floral frock was vaguely familiar of another white floral dress she wore back in 1955, proving that Loren's style was timeless.
This was about the time that Loren began wearing glasses to red carpet events, much to the surprise of many.
"She suddenly began turning up in magazines and at black-tie functions wearing glasses, rather glamorous glasses to be sure, but glasses nonetheless," wrote Vanity Fair in 1991. "Somehow, it was jarring. Somehow, you didn’t want to see Sophia Loren... (in) spectacles. She was... the last of a dying breed, and now she was pushing frames with little curlicues on the side, manufactured by an outfit called Zyloware?"
“I’m doing it for fun,” she insisted. “It’s something I could design, I could draw myself. That’s why I did it.” They were always gorgeous glasses, so why not?
💜💜💜
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Happy Birthday à Helmut Newton 100 ans aujourd’hui !
Photographe australien incontournable dans la sphère Fashion durant son règne absolu au sein des plus grandes rédactions mode. Né le 31 octobre, 1920 en Allemagne 🇩🇪 de père juif allemand et de mère américaine, il trouvera la mort le 23 janvier, 2004 dans un accident de voiture 🚗. Ce photographe provocant au style décadent et ultra sophistiqué a fait les beaux jours des prestigieux magazines de mode comme Vogue, Vanity-case Fair, Playboy ou encore le Elle international, grâce à ses clichés Fashion mettant en scène des femmes puissantes que rien ne semble atteindre, ses portraits intimistes et ses nombreux nus plutôt explicites...Toutes les stars ont peu la pose pour le photographe, ce qui du reste est assez significatif... aujourd’hui, Newton est considéré comme l'inventeur du style porno-chic, en raison de la tonalité fortement érotique de ses clichés. Toujours copié, mais jamais égalé ! Parmi ses nombreuses victimes photographique, on peut citer Catherine Deneuve, Kate Moss, Sylvie Vartan , Karen Mulder, Cindy Crawford, Claudia Schiffer, Jodie Foster ou encore Monica Bellucci...Un grand talent complexe, mais un artiste assez controversé du point de vue humain
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En cette période difficile, nous devrions de nous instruire davantage. Cela passe, parmi d’autres possibilités, par les livres que nous lisons. Aujourd’hui, je vais vous proposer une liste de vingt-et-un ouvrages qui amplifient les voix noires et leurs expériences et qui, selon moi, pourraient éclairer les lecteurs pour mener à bien leur parcours antiraciste.
Nous devons faire mieux, et cela doit commencer dès aujourd’hui. Il ne suffit pas de ne pas être raciste, il faut également être antiraciste et c’est grâce, en partie, à l’éducation (dans son sens large) que l’on pourra faire changer les préjugés tant implicites que explicites que nous avons. La liste que je vous présente aujourd’hui sera constituée de romans, d’ouvrages de non-fiction, mais aussi des autobiographies.
Par soucis de transparence (et de rapidité), les synopsis sont tirés de différents sites Web tels que Livraddict, Babelio, Fnac, Amazon… Certains titres n’ont pas encore été traduit en français, un peu de patience 😉.
Girl, Woman, Other – Bernadine Evaristo
Girl, Woman, Other suit la vie et les combats de douze personnages très différents. Principalement des femmes, noires et britanniques, elles racontent les histoires de leurs familles, de leurs amis et de leurs amants, à travers le pays et au fil des ans. Joyeusement polyphonique et vibrant de contemporanéité, c’est une histoire d’un genre glorieusement nouveau, un roman de notre temps : festif, toujours dynamique et tout à fait irrésistible.
La couleur pourpre – Alice Walker
Depuis leur séparation, depuis des années, Nettie et Celie, deux jeunes Noires, soeurs tendrement unies, n’ont cessé de s’écrire. Mais aucune missive, jamais, n’est parvenue ni à l’une ni à l’autre.
C’est que Celie, restée là-bas, près de Memphis, subit la loi d’un mari cruel qui déchire toutes les lettres venues d’Afrique – où Nettie est missionnaire. Alors Celie, la femme-enfant, écrira via le bon dieu, qui, lui, sait tout… Pourquoi, entre elles, cette correspondance déchirante et sans fin, obstinée, presque immatérielle?
L’oeil le plus bleu – Toni Morrison
Chaque nuit, Pecola priait pour avoir des yeux bleus. Elle avait onze ans et personne ne l’avait jamais remarquée. Mais elle se disait que si elle avait des yeux bleus, tout serait différent. Elle serait si jolie que ses parents arrêteraient de se battre. Que son père ne boirait plus. Que son frère ne ferait plus de fugues. Si seulement elle était belle. Si seulement les gens la regardaient.
Quand quelqu’un entra, la regarda enfin, c’était son père et il était saoul. Elle faisait la vaisselle. Il la viola sur le sol de la cuisine, partagé entre la haine et la tendresse. Tout aurait pu être différent pourtant si Cholly avait retrouvé son père, si Pauline avait eu une maison bien rangée comme elle les aimait, si Pecola avait eu les yeux bleus…
Publié aux États-Unis en 1970, L’œil le plus bleu est le premier roman de Toni Morrison, Prix Nobel 1993.
The walker dancer – Ta-Nehisi Coates
Racontant de façon convaincante le travail clandestin des cellules abolitionnistes enterrées dans le Sud profond du XIXe siècle, The Water Dancer est une tranche profonde et sans peur de la fiction historique des croisades.
Tout s’effondre – Chinua Achebe
Dans le village ibo d’Umuofia, Okonkwo est un homme écouté dont la puissance et le courage sont vantés par tous, un fermier prospère qui veille sur ses trois épouses et sur ses huit enfants, un sage guerrier jouissant de la confiance des anciens. Son monde repose sur un équilibre cohérent de règles et de traditions, mais l’extérieur s’apprête à violer cette réalité qui semblait immuable : les missionnaires d’abord, les colons britanniques ensuite vont bouleverser irrémédiablement l’existence de tout un peuple.
Tragique roman à la langue limpide, Tout s’effondre rend hommage à l’Afrique précoloniale à l’aube de sa décomposition. “Tant que les lions n’auront pas leurs propres historiens, l’histoire de la chasse glorifiera toujours le chasseur”, dit un proverbe africain. Avec cette fable cruelle, Chinua Achebe devenait l’un des premiers lions du continent à prendre la plume.
Underground Railroad – Colson Whitehead
Evocation cauchemardesque de la torpeur morale et de la brutalité irréfléchie du Sud de l’Antebellum, le récit de Whitehead retentit en même temps que la traction implacable et le mouvement désespéré du système de wagons couverts souterrains qui transportait les esclaves à travers les Etats-Unis. Furieux, sage et insupportablement poignant, The Underground Railroad est la réalisation suprême de Whitehead.
Plus noire est la mûre – Wallace Thurman
“Le drame de sa vie, c’était d’être trop noire ” : de son Idaho natal à la légendaire Harlem, en passant par Los Angeles, le périple d’Emma Lou est celui d’une soeur noire d’Emma Bovary. Forte d’une bouleversante liberté sexuelle, elle doit néanmoins apprendre que la seule façon de construire sa vie est d’opérer une plongée en elle-même, plutôt que de se résoudre aux injonctions que la société lui impose.
Dans la perspective d’une identité afro-américaine en pleine construction, Emma Lou incarne ainsi superbement la possibilité d’un destin individuel audacieux et captivant. Traduit en francais pour la premiere fois, ce roman percutant de 1929 fut le premier à s’attaquer aux préjugés sur la couleur de peau, à l’intérieur même de la race. Il devint ainsi l’un des plus lus et des plus controversés de son temps.
Mais leurs yeux dardaient sur Dieu – Zora Neale Hurston
Janie avait seize ans. Un feuillage vernissé et des bourgeons tout près d’éclore et le désir de prendre à bras-le-corps la vie, mais la vie semblait se dérober. Où donc étaient-elles, ses abeilles chanteuses à elle ?…
Du haut des marches elle scruta le monde aussi loin qu’elle put, et puis elle descendit jusqu’à la barrière et s’y pencha pour contempler la route de droite et de gauche. Guettant, attendant, le souffle écourté par l’impatience. Attendant que le monde vienne à se faire. » Il ne faudra pas moins de trois mariages et trois vies – le vieux Logan Killicks et ses sentiments trop frustes, le fringant Joe Starks et ses ambitions politiques dévorantes, puis la promesse d’égalité, l’étreinte d’amour et le frisson extatique qu’incarne Tea Cake – pour permettre à Janie d’atteindre toute la mesure de son rêve d’émancipation et de liberté.
Portrait d’une femme entière, animée par la force de son innocence, qui brave la rumeur du monde et se révèle à l’existence, Mais leurs yeux dardaient sur Dieu est un chef-d’œuvre – et l’un des tout premiers romans écrits par une Afro-Américaine. Un monument de la littérature, aussi percutant aujourd’hui que lors de sa parution aux États-Unis en 1937. À découvrir ou redécouvrir dans une traduction inédite magistrale.
La haine qu’on donne – Angie Thomas
Starr a seize ans, elle est noire et vit dans un quartier difficile, rythmé par les guerres entre gangs, la drogue et les descentes de police. Tous les jours, elle rejoint son lycée blanc situé dans une banlieue chic ; tous les jours, elle fait le grand écart entre ses deux vies, ses deux mondes. Mais tout vole en éclats le soir où son ami d’enfance Khalil est tué. Sous ses yeux, de trois balles dans le dos. Par un policier trop nerveux. Starr est la seule témoin. Et tandis que son quartier s’embrase, tandis que la police cherche à enterrer l’affaire, tandis que les gangs font pression sur elle pour qu’elle se taise, Starr va apprendre à surmonter son deuil et sa colère ; et à redresser la tête.
Queenie – Candice Carty-Williams
Coincée entre la famille britannique jamaïcaine qui ne semble pas la comprendre, un travail qui n’est pas tout ce qu’elle a promis et un homme dont elle ne peut tout simplement pas se remettre, la vie de Queenie semble être en constante escalade. Tentant désespérément de se frayer un chemin à travers un fouillis de cultures changeantes et de relations toxiques et d’en sortir avec une once de dignité, ses faux pas et ses mésaventures provoqueront des hurlements de rire et des larmes de pitié – souvent sur la même page.
Such a fun age – Kiley Reid
Lorsqu’Emira est appréhendée dans un supermarché pour avoir “kidnappé” l’enfant blanc qu’elle garde, cela déclenche une chaîne d’événements explosive. Son employeur, Alix, une blogueuse féministe avec une “marque personnelle” et les meilleures intentions, décide d’arranger les choses. Mais Emira elle-même est sans but, fauchée et se méfie du désir d’Alix de l’aider. Lorsqu’elle rencontre quelqu’un du passé d’Alix, les deux femmes se retrouvent dans une course effrénée qui va bouleverser tout ce qu’elles pensent savoir – sur elles-mêmes, sur l’autre et sur la dynamique désordonnée des privilèges.
Le racisme est un problème de blancs – Reni Eddo-Lodge
«Quand des Blancs feuillettent un magazine, surfent sur Internet ou zappent à la télévision, il ne leur semble jamais étrange de voir des gens qui leur ressemblent en position d’autorité. Les affirmations positives de la blanchité sont tellement répandues que le Blanc moyen ne les remarque même pas. Être blanc, c’est être humain ; être blanc, c’est universel. Je ne le sais que trop, car je ne suis pas blanche.»
Après l’élection de Barack Obama, certains ont proclamé l’avènement d’une société post-raciale. Avec une liberté de ton décapante, Reni Eddo-Lodge montre ici combien nous en sommes loin. Elle analyse les méfaits d’un racisme structurel persistant d’autant plus sournois qu’il avance masqué. Car le racisme va bien au-delà de la discrimination ou de l’injure personnelle. Il imprègne le récit historique, l’imaginaire collectif, les institutions et les entreprises.
Pourquoi les Blancs pensent-ils ne pas avoir d’identité raciale? Pourquoi la simple idée d’un James Bond noir fait-elle scandale? Comment une fillette noire en vient-elle à se persuader qu’en grandissant, elle deviendra blanche? Le racisme n’est pas une question de valeur morale, mais d’exercice du pouvoir. Entretenir la légende d’une égalité universelle n’aide en rien. Au contraire. Car, pour déconstruire le racisme, il faut commencer par reconnaître l’étendue du privilège blanc.
How to be an antiracist – Ibram X. Kendi
Dans ce livre émouvant et profondément empathique, Ibram X. Kendi, directeur fondateur de l’Antiracism Research and Policy Center, montre que lorsqu’il s’agit de racisme, la neutralité n’est pas une option : tant que nous ne faisons pas partie de la solution, nous ne pouvons qu’être une partie du problème.
So you want to talk about race – Ijeoma Oluo
So You Want to Talk About Race, le rédacteur en chef de The Establishment Ijeoma Oluo propose une vision contemporaine et accessible du paysage racial américain, en abordant de front des questions telles que les privilèges, la brutalité policière, l’intersectionnalité, les micro-agressions, le mouvement Black Lives Matter et le mot “N”. Parfaitement placé pour combler le fossé entre les personnes de couleur et les Américains blancs aux prises avec des complexités raciales, Oluo répond aux questions que les lecteurs n’osent pas poser, et explique les concepts qui continuent d’échapper aux Américains ordinaires.
La couleur de la justice – Michelle Alexander
« Il y a plus d’adultes africains-américains sous main de justice aujourd’hui – en prison, en mise à l’épreuve ou en liberté conditionnelle – qu’il n’y en avait réduits en esclavage en 1850. L’incarcération en masse des personnes de couleur est, pour une grande part, la raison pour laquelle un enfant noir qui naît aujourd’hui a moins de chances d’être élevé par ses deux parents qu’un enfant noir né à l’époque de l’esclavage. »
Dans ce livre devenu un classique des luttes contre la prison et le système judiciaire aux États-Unis, Michelle Alexander revient dans des pages fulgurantes sur les mutations de la domination raciale et de l’enfermement.
De l’esclavage aux innombrables prisons actuelles, en passant par la ségrégation de l’ère « Jim Crow », ce livre explore la façon dont en quelques décennies, avec la « guerre contre la drogue », les Noirs et les Latinos ont commencé à être enfermés en masse, jusqu’à dépasser aujourd’hui deux millions de prisonniers.
Du quadrillage policier aux cellules, en passant par le profilage racial et une machine judiciaire implacable, l’auteure dévoile tous les mécanismes de cette nouvelle ségrégation qui a créé une nouvelle « sous-caste raciale », une « race des prisonniers ».
Fragilité blanche – Robin Diangelo
POURQUOI EST-IL SI DIFFICILE DE PARLER DE RACISME QUAND ON EST BLANC ?
Nous vivons dans une société racialisée, et le pire est de l’ignorer. Un livre choc.
La sociologue américaine Robin DiAngelo a passé vingt ans à étudier cette question dans des ateliers sur la diversité et le multiculturalisme. Elle en a tiré un concept fondamental pour comprendre le rapport des Blancs au racisme : la fragilité blanche, un mécanisme de défense ou de déni qui permet de détourner la conversation, empêchant d’identifier le racisme systémique qui persiste dans nos sociétés. Et donc de le combattre.
Dans ce livre devenu un phénomène aux États-Unis, en tête des meilleures ventes depuis deux ans, Robin DiAngelo nous donne les clés pour être véritablement antiraciste.
White rage – Carol Anderson
En reliant soigneusement […] les points chauds historiques où le progrès social des Afro-Américains a été contré par une opposition délibérée et intelligemment conçue, Anderson retire le voile qui a longtemps couvert les actions menées au nom de la protection de la démocratie, de la responsabilité fiscale ou de la protection contre la fraude, rendant visible la longue lignée de la rage blanche.
Ne suis-je pas une femme ? – Bell Hooks
“Ne suis-je pas une femme ?”, telle est la question que Sojourner Truth, ancienne esclave, abolitionniste noire des Etats-Unis, posa en 1851 lors d’un discours célèbre, interpellant féministes et abolitionnistes sur les diverses oppressions subies par les femmes noires : oppressions de classe, de race, de sexe. Héritière de ce geste, bell hooks décrit dans ce livre devenu un classique les processus de marginalisation des femmes noires et met en critique les féminismes blancs et leur difficulté à prendre en compte les oppressions croisées.
Je sais pourquoi l’oiseau chante en cage – Maya Angelou
Dans ce récit, considéré aujourd’hui comme un classique de la littérature américaine, Maya Angelou relate son parcours hors du commun, ses débuts d’écrivain et de militante dans l’Amérique des années 1960 marquée par le racisme anti-Noir, ses combats, ses amours. Son témoignage, dénué de la moindre complaisance, révèle une personnalité exemplaire. à la lire, on mesure – mieux encore – le chemin parcouru par la société américaine en moins d’un demi-siècle…
What doesn’t kill you makes you blacker – Damon Young
Pour Damon Young, exister alors que le noir est un sport extrême. L’acte de posséder une peau noire tout en cherchant de l’espace pour respirer en Amérique suffit à induire un état d’angoisse incessant où des questions telles que “Comment dois-je réagir ici, en tant que Noir professionnel” et “La salade de pommes de terre de ce Blanc va-t-elle me tuer ? What Doesn’t Kill You Makes You Blacker fait la chronique des efforts de Young pour survivre tout en luttant et en donnant un sens aux différentes névroses que son pays lui a données.
Devenir – Michelle Obama
“Il y a encore tant de choses que j’ignore au sujet de l’Amérique, de la vie, et de ce que l’avenir nous réserve. Mais je sais qui je suis. Mon père, Fraser, m’a appris à travailler dur, à rire souvent et à tenir parole. Ma mère, Marian, à penser par moi-même et à faire entendre ma voix. Tous les deux ensemble, dans notre petit appartement du quartier du South Side de Chicago, ils m’ont aidée à saisir ce qui faisait la valeur de notre histoire, de mon histoire, et plus largement de l’histoire de notre pays. Même quand elle est loin d’être belle et parfaite. Même quand la réalité se rappelle à vous plus que vous ne l’auriez souhaité. Votre histoire vous appartient, et elle vous appartiendra toujours. À vous de vous en emparer.”
Je n'ai pas la solution pour lutter contre les comportements racistes. Mais je souhaite partager avec vous une liste de vingt-un ouvrages qui permettent, chacun à sa manière, de lutter efficacement. En cette période difficile, nous devrions de nous instruire davantage. Cela passe, parmi d'autres possibilités, par les livres que nous lisons.
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Eileen Gray
1878-1976 Designeuse, architecte Grande-Bretagne/France
Figure du modernisme, Eileen Gray a contribué à révolutionner le design et l’architecture. Un temps négligée, elle est aujourd’hui considérées comme une architecte particulièrement influente.
C’est la fortune de son père qui lui permet de vivre sa passion dès ses débuts. Il l’encourage dans des études de peinture suivies à Londres puis à Paris. De passage à Londres au chevet de sa mère malade en 1905, elle passe par hasard devant une boutique de réparation de laque. Elle se lance alors dans l’apprentissage de cet art asiatique. De retour à Paris, elle rencontre l’artisan laqueur japonais Seizo Sugawara. Avec lui, elle apprend pendant quatre ans les subtilités du laquage. Ils collaborent pendant une vingtaine d’années.
Eileen Gray s’achète un appartement et installe un atelier de tissage puis de laquage. Le soutien financier de sa famille lui permet de vivre alors que la stabilité de son commerce n’est pas assurée. Elle crée des panneaux décoratifs aux motifs géométriques ou d’inspiration japonaise et commence à se faire un nom. En 1917, on lui confie avec Seizo Sugawara la décoration de l’appartement d’une célébrité, rue Lota.
Eileen, qui s’est initiée au tissage, réalise des tapis, mais aussi des lampes, des paravents laqués en briques indépendantes, des panneaux de laque et des pièces originales bientôt emblématiques tels sa chaise longue « Pirogue » en bois laqué ou son fameux canapé japonisant « Lota » dont les coussins reposent sur des cubes. Ce dernier modèle est encore vendu aujourd’hui. C’est un triomphe dans la presse qui loue le luxe absolu de ce design d’intérieur.
Sur cette lancée, elle ouvre la boutique Jean Désert en 1922, un nom d’homme complètement inventé. Elle y vend ses créations de mobiliers et ses laques à une clientèle chic et très en vue. Exposante au Salon des artistes décorateurs en 1923, elle y présente sa chambre Monte-Carlo qui ne fait pas l’unanimité. C’est à cette époque qu’apparaît dans ses créations le tube de métal chromé. Elle se rapproche également de l’influent mouvement artistique néerlandais De Stijl. En 1925, elle crée une de ses pièces iconiques, la table ajustable avec une structure en acier tubulaire, inventée dit-on pour satisfaire le goût des petits déjeuners au lit de sa sœur.
Elle renonce aux raffinements de l’Art déco pour s’engager dans la voie de l’épure et du fonctionnalisme d’un style plus industriel. Elle amorce un tournant moderniste et délaisse la laque pour les structures nickelées ou chromées. Elle crée des formes audacieuses, tel le fauteuil rond « Bibendum ». Au-delà du design de mobilier, elle s'intéresse de plus en plus à l’architecture. Avec Jean Badovici, elle dessine et construit de 1924 à 1929 la Villa E-1027 sur la Côte d’Azur, qui devient un emblème du modernisme. La structure est audacieuse, les meubles sont pliables ou directement encastrés dans les murs, tel le « fauteuil transat E-1027 ». À Menton, elle se fait construire sa villa Tempe a Païa, maison compacte et personnelle.
Eileen Gray s’inspire des cinq points de l’architecture moderne du Corbusier mais les réinterprète et élabore une réflexion critique et personnelle de ces enseignements. Elle donne à son travail une dimension collective en fondant l’Union des artistes modernes en 1929. Dans les années 1930, elle donne à son œuvre une coloration plus sociale. Elle se lance dans la conception de maisons populaires démontables et d’un centre de vacances en phase avec l’irruption des congés payés dans le quotidien des Français. Elle se montre précurseuse dans la réflexion sur le logement et l’urbanisme sociaux, une préoccupation qui imprègne ses créations de manière durable.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la maison qu’elle a dû fuir devant l’avancée allemande est pillée. À la fin de la guerre, alors que Le Corbusier ou Mallet-Stevens sont encensés de toutes parts, elle est peu à peu oubliée. Contrairement à d’autres femmes designeuses ou architectes de l’époque, elle n’a pas pu compter sur un réseau influent pour encenser ses œuvres, ni sur des hommes pour porter ses créations ce fut le cas pour Charlotte Perriand et Le Corbusier ou Annie Albers et son mari Josef.
C’est à la faveur d’un portrait publié en 1968 dans le magazine Domus, qu’elle est remise au goût du jour. Elle a alors 90 ans. Ses objets mis aux enchères s’arrachent et un industriel décide de relancer la production des fauteuils Bibendum et E-1027. Le succès est foudroyant. Elle s’éteint à 98 ans en 1976, sa notoriété retrouvée.
Photo : Wikipédia - Domaine public
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Megara Tilusi Gonzalez Egan – Character Sheet
i'm bad at love / but you can't blame me for tryin' /you know i'd be lyin' sayin' / you were the one / that could finally fix me / lookin' at my history / i'm bad at love / oh, you know, you know, you know, you know / i'm bad at love / i'm bad at love
i know that you're afraid / i’m gonna walk away / each time the feeling fades / each time the feeling fades / i know that you're afraid / i'm gonna walk away / each time the feeling fades
Archetype — The Adventurer Birthday — November 1, 1985 Zodiac Sign — Scorpio sun, Sagittarius rising, Gemini moon MBTI — ENTP Enneagram — 5: the Investigator Temperament — Melancholic Hogwarts House — Ravendor Moral Alignment — Chaotic Neutral Primary Vice — Greed Primary Virtue — Diligence Element — Earth
Overview:
Mother — Margaret Gonzalez Egan Father — Ahsan Egan (nee Haroun) Mother’s Occupation — Abandoned Meg, so who gives a fuck, right? (She’s a police officer, ex-military, random hc: she works with Copper, bc I always make everyone from Cork.) Father’s Occupation — Writer/stay at home dad. Family Finances — Not great, not terrible. Birth Order — Only child. Brothers — None. Sisters — None. Other Close Family — None, her father doesn’t talk to his family in India and her mother’s family was never in the picture. Best Friend — None. Other Friends — None. Enemies — Ninsun, but she also sorta likes her? It’s fucked up. Her ex--Canis Greenleaf. Pets — None, though Ninsun takes the form of a sandy colored Persian cat. Home Life During Childhood — It started out pretty good, when she was five, they moved to Iraq because of her mom’s work. (She was a technician for the military, high ranking, she wasn’t out in the field.) They moved back to Ireland when Meg was ten. Her mom left abruptly when she was thirteen. She found out later that her parents had been fighting for a while and it wasn’t as abrupt as she thought. Still, her mom didn’t even say goodbye to her or anything, so that sucked. She rebelled as a young teen, smoked, did (minor) drugs, etc, etc. Had a boyfriend at the age 13. Once she got into secondary, she settled down a bit because she was actually being challenged in school and really enjoyed herself. Town or City Name(s) — Cork, Ireland -- Baghdad, Iraq -- Cork, Ireland What Did His or Her Bedroom Look Like — Posters everywhere, always looked like a tornado had blown through. Oscillated between girly and punk. Any Sports or Clubs — Book club, chess club, football Favorite Toy or Game — Crosswords. Also Clue. Schooling — Went to public schools and military schools, got her undergrad at Dublin, masters at Oxford, PhD at Cambridge and then La Sorbonne. Favorite Subject — History Popular or Loner — Loner, but had a loyal group. Important Experiences or Events — Her mother leaving/getting accepted to school/living in Saudi/her experience with her ex Nationality — Irish Culture — an Irish/Indian/Middle Eastern hybrid Religion and beliefs — Spiritual, but doesn’t exactly have a religion, much to her father’s dismay.
Physical Appearance:
Face Claim — Summer Bishil Complexion — Golden/brown Hair Colour — Dark brown Eye Colour — Brown Height — 5’3 Build — short but kind of sporty/curvy Tattoos — probably one or two Piercings — ears, had a septum when she was younger, has a nose piercing. Common Hairstyle — usually down or in a high pony, occasionally a braid. Clothing Style — a little femme punk is probably the best way to describe it. Leather jacket, dark wash jeans, boots. Mannerisms — purses her lips a lot, can talk animatedly with her hands and body when she gets passionate about something, but tends to be rather still otherwise. Usual Expression —
Health:
Overall (do they get sick easily)? — not really? Travel always makes her a little sick though. Physical Ailments — well sometimes her eye sees into the underworld which can give her mad vertigo lol Neurological Conditions — none Allergies — none Grooming Habits — loves a good groom; treats herself to baths n face masks n such all the time Sleeping Habits — not so great these days, underworld nightmares, am I right? Eating Habits — good, she doesn’t eat beef, loves a good salad, a good curry, lots of protein and good for you food. Exercise Habits — tries to exercise regularly in a lowkey way, though she has gotten a little worse in the last few months. Emotional Stability — hot temper but tries to control it behind an air of indifference. Body Temperature — runs a little cold, especially these days Sociability — used to be much more extroverted than she is now. Extroversion is her natural setting. Addictions — knowledge. Drug Use — in secondary Alcohol Use — frequent
Your Character’s Character:
Bad Habits — abrasive, snarky, untrusting Good Habits — loyal af, self care af Best Characteristic — loyalty and being like a dog w a bone when faced with a problem. Worst Characteristic — not letting anyone in Worst Memory — finding Canis cheating Best Memory — going on her first dig! Proud of — her degree Embarrassed by — her feelings lol Driving Style — a lil reckless Strong Points — fierce, loyal, smart, a bad bitch Temperament — easy and quick to anger, always bitter Attitude — needs an adjustment Weakness — her heart and thirst for knowledge Fears — becoming invisible (not successful in her career, with no friends.) Phobias — none Secrets — so many Regrets — Canis. Feels Vulnerable When — she feels emotions for someone Pet Peeves — so many things but mansplaining is the original sin Conflicts — trust v preservation Motivation — being successful af Short Term Goals and Hopes — publish a book Long Term Goals and Hopes — be the best known in her field Sexuality — bisexual Day or Night Person — night Introvert or Extrovert — introverted extrovert Optimist or Pessimist — pessimist af
Likes and Styles:
Movies — Indiana Jones, The Mummy Movies--the classic archaeological films, of course. Also into horror movies and slashers, to the concern of her parents. Though, she also had a soft spot for certain romances: Titanic and Moulin Rouge. Her absolute favorite is Big Fish. Good luck prying that out of her. Books — loves books. Prefers nonfiction but can get into a good fiction. Magazines — none Foods — Indian food. The thing she always missed being away from home was her dad’s cooking. Drinks — Big water drinker. A water with a little lemon is her go to. Also, vodka with a little lemon. She’s not picky. Especially these days. What? She can hold her alcohol. Animals — Owls, or púcaí, which is an Irish creature that was always benevolent to Meg, since she was born on Puca day. Sports — loves a good game of football Social Issues — women’s rights, anything discriminatory she’s fiercely against Favorite Saying — some old middle eastern proverb probably Color — purples and pinks, they’re soft, lovely colors. She doesn’t wear them very often, but they’re definitely her favorites. She has like purple binders and a purple phone case, stuff like that, where you can definitely pick up on her favorite. Though, her favorite shade is probably a magenta kind of color, as that is what the “purple” of the ancient world would look like. She also is a big fan of turquoise and owns a lot of turquoise jewelry, both because she likes it and also because it has protective powers. Clothing — loves her leather jacket, wears lots of boots and darker colors. Jewelry — usually can be seen wearing a decent amount of jewelry. Games — clue is her fave, also likes word games and puzzle games, etc. Music — Dad rock. Loves KISS, Bruce Springsteen, Pearl Jam, The National, Counting Crows. Classics like Queen and the Beatles, etc. She also loves some good girl groups and artists. Definitely a fan of Florence and Beyonce, Elle King, Ginny Wigmore, Aretha Franklin, Christina Aguilera--I could keep going. She’s an avid music-consumer. Definitely that person that hung posters on their wall and was obsessed with certain band members and groups. Greatest Want — to be the very best, like no one ever was Greatest Need — to learn to trust in her heart
Where and How Does Your Character Live Now:
Home — Castle Suites Household furnishings — modern n chic, tho also lots of books Favorite Possession — probably her books Most Cherished Possession — the recipe book her dad gave her when she moved out the first time. Married Before — nope, was secretly engaged though Significant Other Before — a few dates here or there but she was always focused on her studies Children — god no Relationship with Family — she’s a daddy’s girl for sure, but they’ve been distant since the Ifrit. Car — none, she can drive tho Career — archaeologist/professor Dream Career — exactly what she’s doing Dream Life — exactly her life minus the huge betrayal and the Ifrit. Though, the Ifrit has its perks. Love Life — no. Talents or Skills — has access to pretty unlimited knowledge thanks to the Ifrit, but she’s hella smart on her own. Knows several languages, also really sharp reflexes. Intelligence Level — high Finances — stable
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La Femme Chic Collections Hiver 1950
"Amérique"
Christian Dior Haute Couture Collection Fall/Winter 1950-51. "Ligne Oblique". Amérique", airy evening dress, slightly pink and iridescent like foam. Minimal strapless bodice, wide skirt studded with sequins. Embroidery, Dognin and Veron tulle.
Christian Dior Collection Haute Couture Automne/Hiver 1950-51. "Ligne Oblique". Amérique", robe du soir aérienne, légèrement rose et irisée comme de l'écume. Corsage minimal sans bretelles, large jupe constellée de paillettes. Broderies, tulles de Dognin et Véron.
Photo Eugène Rubin
#la femme chic#haute couture#christian dior#fashion 50s#fall/winter#automne/hiver#amérique#eugène rubin#dognin fabric#véron fabric#ligne oblique#vintage fashion#vintage magazine
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Remembering Jane Birkin, born on this day in 1946.
Remembering Jane Birkin, born on this day (1946-2023).Best Sheet Music download from our Library.Jane BirkinPlease, subscribe to our Library.DiscographyJe t'aime... moi non plusBrowse in the Library:
Remembering Jane Birkin, born on this day (1946-2023).
Jane Birkin - Livre D'orDownload
AMOURS DES FEINTES BABY ALONE IN BABYLONE BALLADE DE JOHNNY JANE LES DESSOUS CHICS DI DOO DAH ET QUAND BIEN MEME EX-FAN DES SIXTIES FUIR LE BONHEUR DE PEUR QU'IL NE SE SAUVE JE T'AIME MOI NON PLUS LOST SONG LE MOI ET LE JEU NORMA JEAN BAKER QUOI UNE CHOSE ENTRE AUTRES
Jane Birkin
Jane Mallory Birkin OBE (14 December 1946 – 16 July 2023) was a British-French actress and singer. She had a prolific career as an actress, mostly in French cinema. A native of London, Birkin began her career as an actress, appearing in minor roles in Michelangelo Antonioni's Blowup (1966), and Kaleidoscope (1966). In 1968, she met Serge Gainsbourg while co-starring with him in Slogan, which marked the beginning of a years-long working and personal relationship. The duo released a debut album, Jane Birkin/Serge Gainsbourg, in 1969, and Birkin appeared in the film Je t'aime moi non plus in 1976 under Gainsbourg's direction. She mostly worked in France, where she had become a major star, and occasionally appeared in English-language films such as the Agatha Christie adaptations Death on the Nile (1978) and Evil Under the Sun (1982), as well as James Ivory's A Soldier's Daughter Never Cries (1998). Birkin lived mainly in France from the late 1960s onwards and acquired French citizenship. She was the mother of photographer Kate Barry with her first husband John Barry; of actress and singer Charlotte Gainsbourg with Serge Gainsbourg; and of musician Lou Doillon with Jacques Doillon. She lent her name to the Hermès Birkin handbag. After separating from Gainsbourg in 1980, Birkin continued to work both as an actress and a singer, appearing in various independent films and recording numerous solo albums. In 2016, she starred in the Academy Award-nominated short film La femme et le TGV, which she said would be her final film role. Discography Je t'aime... moi non plus "Je t'aime… moi non plus" (French for 'I love you… me neither') is a 1967 song written by Serge Gainsbourg for Brigitte Bardot. In 1969, Gainsbourg recorded the best-known version as a duet with English actress Jane Birkin. Although this version reached number one in the UK—the first foreign-language song to do so—and number two in Ireland, it was banned in several countries due to its overtly sexual content. In 1976, Gainsbourg directed Birkin in an erotic film of the same name. The title was inspired by a Salvador Dalí comment: "Picasso is Spanish, me too. Picasso is a genius, me too. Picasso is a communist, me neither". Gainsbourg described "Je t'aime" as an "anti-fuck" song about the desperation and impossibility of physical love. The lyrics are written as a dialogue between two lovers during sex. Phrases include: "Je vais et je viens, entre tes reins" ("I go and I come, between your loins") "Tu es la vague, moi l'île nue" ("You are the wave, me the naked island") "L'amour physique est sans issue" ("Physical love is hopeless" ) "Je t'aime, moi non plus" is translated as "I love you – me not anymore" in the Pet Shop Boys' version. The lyrics are sung, spoken and whispered over baroque pop-styled organ and guitar tracks in the key of C major, with a "languid, almost over-pretty, chocolate-box melody". Some deemed the song's eroticism offensive. The lyrics are commonly thought to refer to the taboo of sex without love, and were delivered in a breathy, suggestive style. The Observer Monthly Music magazine later called "Je t'aime" "the pop equivalent of an Emmanuelle movie". Read the full article
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JustFab : réinventez votre dressing
Envie d'un dressing qui vous ressemble, sans vous ruiner et sans passer des heures à écumer les boutiques ? JustFab est là pour vous ! Cette plateforme en ligne révolutionne le shopping avec son concept unique d'abonnement personnalisé. Prête à découvrir tous les secrets de ce dressing nouvelle génération ? C'est parti ! Comment fonctionne JustFab ? Imaginez avoir votre propre styliste personnel, disponible 24h/24 et 7j/7. C'est la promesse de JustFab ! Après avoir créé votre profil en répondant à quelques questions sur vos goûts, votre morphologie et votre style de vie, vous recevez chaque mois une sélection personnalisée de 5 articles, appelée "Showroom". Vous avez ensuite 5 jours pour faire votre choix : craquer pour une paire de bottines en cuir, adopter une robe bohème ou succomber à un sac à main coloré... C'est vous qui décidez ! Le gros avantage ? Vous bénéficiez de prix réduits exclusifs sur tous les articles de votre Showroom : jusqu'à -50% par rapport aux prix boutique ! Et si vous êtes une vraie fashionista, vous pouvez même acheter l'intégralité de votre sélection pour seulement 39,95€, une véritable aubaine ! De plus, vous pouvez shopper à tout moment d'autres articles sur le site, toujours à prix mini. Avis sur JustFab : les points forts Les JustFab addicts sont unanimes : le choix est immense et la qualité au rendez-vous ! La plateforme propose plus de 500 nouveaux modèles chaque mois, allant des chaussures aux sacs à main, en passant par les bijoux et les accessoires. Que vous soyez plutôt classique, bohème, rock'n'roll ou glamour, vous trouverez forcément votre bonheur. Les matières sont soigneusement sélectionnées, comme le cuir véritable pour les chaussures et les sacs, ou la soie pour les foulards. Les finitions sont impeccables et les modèles suivent les dernières tendances repérées sur les podiums et dans les magazines. Côté prix, JustFab se positionne comme une marque accessible, avec des chaussures entre 30€ et 50€ et des sacs entre 20€ et 40€. Un rapport qualité-prix imbattable qui vous permet de vous faire plaisir sans culpabiliser ! A lire aussi : Quels sont les différents types de chaussures femme ? Site de chaussures pas cher : JustFab se démarque Oubliez les sites de chaussures impersonnels et sans âme ! JustFab se démarque par son approche personnalisée et son sens de la communauté. En devenant membre VIP, vous accédez à des avantages exclusifs : réductions supplémentaires, ventes privées, cadeaux d'anniversaire... De quoi vous sentir vraiment privilégiée ! De plus, JustFab met l'accent sur l'inspiration et le partage. Vous trouverez sur le site et l'application de nombreuses idées de looks, des conseils mode personnalisés en fonction de votre profil et des témoignages de clientes. Une véritable communauté de passionnées de mode qui échangent leurs bons plans et leurs coups de cœur. Chaussures pour femme pas cher : une sélection variée JustFab pense à toutes les femmes et à toutes les occasions ! Que vous cherchiez des escarpins élégants pour une soirée chic, des mules confortables pour le quotidien, des bottines tendance pour l'hiver, des sandales colorées pour l'été ou même des baskets pour vos séances de sport, vous trouverez forcément votre bonheur parmi les centaines de modèles proposés. La nouvelle collection printemps-été 2024, par exemple, met à l'honneur les couleurs pastel, les imprimés fleuris, les matières naturelles et les détails tendance comme les brides à nouer ou les talons sculpturaux. De quoi composer des looks frais et légers pour la saison estivale ! Vente en ligne de chaussures mode : l'expérience JustFab JustFab a pensé à tout pour vous faciliter la vie ! Le site internet et l'application mobile sont ergonomiques et agréables à utiliser. Vous pouvez naviguer facilement entre les différentes catégories, filtrer les produits selon vos critères (taille, couleur, style, occasion...) et créer des wishlists pour ne rien oublier. La livraison est rapide (3 à 5 jours ouvrés en moyenne) et les retours sont gratuits sous 30 jours. Vous pouvez donc essayer vos nouvelles chaussures tranquillement chez vous et les renvoyer sans frais si elles ne vous conviennent pas. Un vrai luxe ! JustFab femme chaussures : témoignages et avis clients "JustFab a changé ma vie de fashionista !" "Je suis accro à leur concept d'abonnement personnalisé !" "Les chaussures sont magnifiques et de très bonne qualité !" Les témoignages enthousiastes ne manquent pas sur les réseaux sociaux et les forums. Les clientes JustFab sont conquises par la qualité des produits, les prix attractifs, le service client irréprochable et l'expérience shopping unique. Sur Trustpilot, JustFab obtient une excellente note de 4,2/5, preuve de la satisfaction des clientes. Alors, pourquoi ne pas tenter l'expérience ? Vous pourriez bien devenir, vous aussi, une JustFab addict ! Read the full article
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20- LA MOUSSE AU CHOCOLAT
Michel est simplement bizarre. Vraiment bizarre. Je suis encore amoureux de Max mais sans espoir.
Max préfère les Danois. Max adore toutefois mon corps maigre, comment le ventre se creuse quand je m'allonge. Max vit seul avec sa mère et finit ses études d'avocat. Sa mère m'aime bien. Il y a moi à Paris, seulement moi je crois -au moins dans son appartement- et il y a tous les Danois, mais c'est loin de chez elle. Le père de Max n'a pas accepté l'homosexualité de son fils. Il a demandé à sa femme de choisir entre lui et son fils. Elle a choisi. Max déteste son père, il s'appelle Atlani mais il veut qu'on l'appelle Geldfeld, le nom de sa mère. Elle nous laisse son grand lit quand je viens, elle dormira dans le lit d'appoint. Max a une belle queue circoncise. Je suis allongé dans le lit des parents de Max et je ne dois pas crier si fort, sa mère est à côté. Il part à Copenhague pendant deux semaines et il emporte beaucoup de vins français, là-bas, ҫa coûte une fortune. Les Danois sont extrêmement reconnaissants quand on leur apporte du vin français. J'imagine très bien le genre de reconnaissance que montrent les beaux Danois à Max. Je me console de Max avec Martial.
Martial adore le sexe et ҫa tombe bien, moi aussi. Il a une chambre de bonne au deuxième étage, rue Nicolo dans le 16ème. L'immeuble est moderne et tellement chic que les chambres du personnel sont au même étage que les appartements dont ils dépendent. C'est un vrai studio de 18 m2 avec une mini terrasse. Martial n'est pas au service de madame Poincaré, il est infirmier. Il admire mes veines saillantes et me dit qu'il me ferait bien une prise de sang. Je préfère enlever mon pantalon que ma chemise. Il se laisse déshabiller et son braquemart est déjà tout excité. Il faut baisser les stores. Ils sont électriques et si l'on ne les baissent pas jusqu'au bout, il y a des rais de lumières qui passent entre les lamelles. J'ai les yeux grands ouverts et je peux crier comme je veux, c'est insonorisé. Notre marathon de sexe vient de commencer, va-t-on pouvoir battre notre record de 29 heures et 8 éjaculations chacun? Nous sommes très synchrones, tout va de soi. C'est une vraie drogue, plus on en prend et plus on en veut. La première éjaculation est pour décharger la tension, le plaisir commence avec la deuxième. Nous sommes là, il fait une chaleur à crever, nous sommes couvert de sueur. Il faut faire une petite pause. On sort le batteur électrique dessous la ban-couette Cinna, les plaques de cuisson dans la salle de bain, les ingrédients dans la penderie sans oublier la "maryse en caoutchouc" dans le verre à dent. On va faire une mousse au chocolat. Les mousses au chocolat de Martial sont les meilleures. Il y a des morceaux de blancs en neige au milieu et des zestes d'orange. "Mais tu es bête Philippe, s'il y a des morceaux de blancs en neige dedans, c'est parce que j'ai pas assez mélangé avec le chocolat, c'est pas fait exprès!" Quoiqu'il en soit, c'est super léger et aérien, ... et délicieux. Les blancs sont bien durs, on a rajouté du sucre glace à la fin. Il y a le chocolat fondu d'un côté mais pas trop chaud sinon ҫa "casse" les œufs en neige, et on incorpore l'un à l'autre en soulevant délicatement ... avec la maryse ... en caoutchouc. En fait c'est plutôt comme si le chocolat déteignait sur les blancs. On a pas d'orange pour les zestes, c'est une horreur. Le Monoprix de la rue de Passy est beaucoup trop loin, on va aller chez Hédiard en face, avenue Paul Doumer. Les Japonais et les gens vulgaires vont chez Fauchon mais les vrais Parisiens vont chez Hédiard. C'est un monde à part entière. Des thés dans des boîtes empilables en métal, du saumon fumé, des fruits confits. Les odeurs sont magiques, les couleurs chatoyantes et chaque produit raconte un voyage. Des oranges de Séville? De Sicile? Ou de Casablanca? Une orange du Maroc, oui, ce sera très bien. Pendant que l'orange est enveloppée dans du papier de soie, nous nous rendons à la caisse pour régler. Nous tendons notre petite facture écrite à la mains par la vendeuse et la caissière n'en revient pas. En trente ans de maison, elle n'a jamais vu un montant aussi bas. Elle crie incrédule du haut de son perchoir à la vendeuse de l'autre côté du magasin "5 francs 5???" Il doit y avoir une erreur! La vendeuse, très gênée, soulève l'unique orange dans le champ de vision de la caissière qui est atterrée par la pauvreté de ses clients. Hédiard a bien changé! Nous ressortons en nous esclaffant "Mademoiselle Madeleine? 5 franc 5???"
Il n'y a aucun romantisme entre Martial et moi mais une extrême camaraderie ... et du cul. Martial préfère les New-Yorkais mais ҫa ne me dérange pas. Il prétend que là-bas un dollar, c'est comme un franc en pouvoir d'achat. Je ne peux pas comprendre qu'en une seule soirée il puisse gagner 200 dollars de pourboire. 1700 francs? Le prix d'un loyer mensuel à Paris! Il a ramené une cassette avec le nouveau tube de Cindy Lauper "She bop". On a jamais entendu ici. Il comprend les paroles, ҫa parle d'une fille qui se branle en feuilletant les pages d'un magazine gay, c'est incroyable. Est-ce qu'il pourra ramener un "Blueboy Magazine"? Et un 501 aussi? Non, je ne veux pas un répondeur téléphonique Panasonic, qu'est-ce que j'en ferais?
Max Geldfeld me donne rendez-vous pour aller au Grand Palais. Il y a une expo à ne pas manquer, son copain "Maître conférencier" à l'abbaye de Royaumont sera là aussi. Je préférerais voir Max tout seul. Il n'y a pas seulement Bernard Malewski que je connais déjà, il y a aussi Michel van Lierde que je n'ai jamais vu. Tout le monde est très affecté, se donne du monsieur, et parle avec un accent qui traine un peu. Je suis fasciné, il faudra que je m'entraine à parler d'une façon aussi distinguée. Michel est vraiment bizarre, contredit tout le monde et sort en permanence sa science. Il se force à rire et se la joue très condescendante. Comme c'est rafraichissant, quelqu'un qui n'a jamais lu Julien Green! Il clame comme on réciterait du Corneille "Avec des alternatives de froideur et des velléités de résistance..." Et Bernard de continuer avec emphase "j'étais faible et sensuel" Les deux se regardent très fiers d'eux-mêmes en déclarant que s'il n'y avait qu'un livre, ce serait Léviathan! Est-ce qu'ils connaissent tout Green par cœur, ces deux là? Ils sont dans un film et très loin de la réalité. En fait, c'est même plus un film, c'est un livre. Je ne sais pas si je jeux l'ouvrir ou le fermer ce livre. Je connaissais des versets entiers des Saintes Écritures et je les ai finalement closes à tout jamais. Je n'en parlerai jamais à personne. Max m'observe. M'a-t-il invité pour me donner en pâture à ces hurluberlus? Max est-il en train de faire ses adieux? Je sens que je suis ici seulement pour être présenté à Michel qui ne sort jamais en boîte. Pour impressionner Michel qui donne beaucoup trop d'attitude et qui est toujours tout seul. Je n'aime pas Michel mais au moment de se séparer, il me laisse négligemment sa carte "Appelez-moi donc si vous voulez vous instruire, je vous prêterai des livres!". Il habite sur la très cossue rue de la Pompe dans le 16ème. Je le remercie mais j'habite en banlieue et je ne vais presque jamais dans le 16ème.
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