#L'enquête
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saga: Soumission & Domination 347
Florian
Florian est le gymnaste amateur repéré par Jona. Il est un peu grand par rapport à Romain et un peu moins large mais ce que me montre Jona sur son smartphone est quand même impressionnant, surtout quand il est aux barres parallèles. Il n'a pas menti non plus sur sa gueule.
Petite présentation : Florian est issu d'un père ouvrier en agroalimentaire et d'une mère femme de ménage, dans les 1m74 il porte 70Kg de muscles. Brun à la pilosité déjà maitrisée (gymnastes), Jona m'annonce un sexe d'une largeur peu commune si ce qu'il a vu au repos sous les douches se concrétise. Il est en première année de BTS Technique et vit la semaine comme pensionnaire du lycée où il fait son BTS.
Il est homo même si peu de gens sont au courant d'après l'enquête. Jona n'a pas vu de probable " petit copain " parmi les autres adhérents du club où le jeune homme s'entraine.
Je n'ai pas le temps de l'approcher. Je demande à Jona de s'en charger.
Il me le ramène un vendredi soir après m'avoir juste téléphoné et prévenu qu'il a déjà débroussaillé le terrain. En tant qu'ancien paysagiste comment dois-je comprendre ce terme ! L'a t'il déjà enculé ou lui a t'il déjà dit pourquoi il m'intéressait ?
Quand ils entrent dans mon bureau, il est 18h. Jona comme Florian sont en jogging. Si on en m'avait pas dit qu'il n'était qu'amateur je ne l'aurais jamais deviné.
Jona me présente et le présente. Il continu à tenir la parole. Il m'explique qu'il a déjà dévoilé à Florian le but de sa présence et les conditions générales du contrat.
Pendant qu'il parle, je mate le nouveau venu. Son jogging est propre mais pas de première jeunesse et pas du modèle de l'année, tout comme ses baskets. S'il est propre sur lui, avec une tête entretenue, pas de bouton, barbe rasée, cheveux court et même s'ils sont coiffés un peu à la footeux, ils vont bien avec sa tête.
Quand Jona se tait, je demande à Florian ce qu'il en pense et ce qu'il croyait pouvoir accepter de faire.
Il prend le temps de la réflexion. Il mate les photos qui m'entourent. Il montre Romain et me dit qu'il peut doubler mon potentiel dans ce style d'escort.
Ok il a tout compris.
On passe donc direct aux questions personnelles. Les évidentes étant déjà en mémoire, je passe directement à sa bite. Il m'annonce un 18 x 7, pas mal du tout, même si c'est sa rondelle qui va encaisser le plus souvent.
Dépucelage : à l'adolescence par un copain du sport, même âge mais plus avancé sur le sujet.
Vie sexuelle : faible si on ne compte pas les branlettes avec doigts dans le cul.
Outing : nul, ni à la famille ni aux copains.
Revenus : les parents paye l'internat et il a bossé les 2 mois d'été dans leur usine pour les extra.
Je veux le voir nu, même si j'ai confiance en Jona.
Il ne fait pas de difficulté. Et c'est rapide vu ce qu'il a sur le dos. Sous le blouson un marcel (il est réchauffé quand même !) qui dégage ses épaules et c'est impressionnant comme il souligne bien sa musculature. Il retire son slip en même temps que son bas de jogging. Ok il est bien fait et déjà épilé ou rasé. Un peu moins déséquilibré que Romain, ses épaules sont quand même très larges. Son sexe au repos est court mais déjà large. Il repose sur deux grosses couilles lisses. Je lui demande de bander. Il se branle, met un peu de temps à y arriver. Je comprends, c'est pas évident de bander comme ça devant deux inconnus sans aucune tension sexuelle ambiante. Mais ça gonfle et je vois le résultat. 7cm de large même un peu ovale sur 18 seulement c'est encore plus impressionnant que sur une bite de 25 ! Je lui demande de se tourner. Son cul ? Une beauté, petit, très rond il attire la morsure. Sans que je lui demande il se penche en avant écarte les fesses pour que je vois sa rondelle imberbe comme le reste. Je le remercie et il se redresse et me fait face.
Je lui demande s'il pense possible d'interrompre son internat. Avec l'accord de ses parents qu'il se fait fort d'obtenir s'il argumente d'un travail rémunérateur, cela peut se faire dès la fin du mois puisque le paiement est trimestriel.
Je comprends que depuis qu'il a été approché par Jona il a réfléchi à la chose. Je lui demande son cursus. Bac S avec mention bien mais pas les moyens de faire autre chose qu'un BTS. Quand je lui demande ce qu'il aurait voulu faire, il me répond une école d'ingénieur mécanique ou généraliste.
Je lui dis qu'avec ce qu'il va gagner chez moi, il peut de nouveau envisager ce type d'études. Il y pensait mais n'avait pas encore osé l'envisager.
Jusqu'alors Jona ne lui avait pas encore parlé précisément de salaire. Je l'informe que d'ici la fin août, s'il consent à faire une prestation par semaine plus 15 jours à 1 mois de " vacances " il pourra non seulement se payer ses frais de scolarité mais vivre correctement ses 5 années d'études. Et s'il continue de temps à autres à prestater pour moi, ses 5 années seront confortables même.
Là il me dit qu'il se privera un peu mais qu'il assurera pour les études de son petit frère.
Le dossier monté un peu rapidement n'en faisait pas mention. Le gamin n'a encore que 18 ans mais déjà en première S. Il suit Florian en tout sauf en ce qui concerne le sexe et le sport. Il est plus attiré par le design industriel et jusque-là n'envisage qu'un BTS de dessin industriel.
En sexe, il sort actuellement avec une copine de sa classe et en sport c'est un handballeur.
Ma fois ci ça peut le motiver pour le taf, moi ça me va.
Je reviens sur le côté sexe des prestations. Jusque-là il a été aussi bien actif que passif même s'il n'a pas trouvé beaucoup de mecs volontaires pour ses 7cm ! En passif son record est un beur de 25ans monté 25x6 une seule fois. C'avait été un peu difficile et douloureux mais il lui avait quand même tout mis.
Ça me rassure, la base est bonne.
C'est lui qui me demande si je veux tester la " marchandise ". Bon, question vocabulaire y'a un peu de travail à faire mais pour le reste le gamin n'a pas froid aux yeux.
J'appelle João. Maintenant qu'avec lui j'ai une bite de 22x6 sur place, cela pousse mes tests plus avant.
En attendant je lui demande de commencer avec Jona. Il est maladroit, hésitant, gauche pour tout dire. Il va y avoir un peu de travail à faire avant de le lancer même en tant que " bête de sexe ". Ses réponses bravaches cachaient finalement au minimum une certaine appréhension au pire de la peur.
Jona le ressent aussi et il fait tout pour l'aider. Il prend l'initiative de lui rouler un patin. Là, le petit se donne vraiment. A croire qu'on a basculé l'interrupteur. João entre et ma recrue ne s'en rend pas compte. Je fais signe à João d'y aller. Il se colle au dos de Florian. Ce dernier tourne la tête et se laisse embrasser par le nouveau venu. Bien que coincé entre mes deux escorts, je vois sa bite se redresser entre les jambes écartées de Jona.
Il se laisse glisser à leurs pieds. Il commence par une pipe aux 19cm de Jona. Il en prend facile 18. Quand il bascule sur João, le résultat est le même. Je le note comme un point à améliorer. Mais là aussi la base est bonne, 18cm c'est déjà l'entrée de sa gorge.
Alors qu'il suce João, Jona tire son bassin ver le haut pour préparer la sodo. Je lui tends le gel et des kpotes. Il enduit la rondelle et commence à mettre des doigts. Un passe facile tout comme deux d'ailleurs. Le troisième demande un peu de travail mais finit par entrer quand même. Il les retire et présente sa bite emballée. Il l'enfonce entre les deux globes ronds et le pénètre. Pas de modification du pompage de João. Il doit se mettre ses doigts à chacune de ses branlettes !
Après quelques minutes, je demande à ce qu'ils échangent. João " s'habille " à son tour et alors que Jona, lui, se découvre. Là, c'est un peu différent pour Florian.
Il sent bien passer les 22cm de mon brésilien. Les 6cm semblent lui faire assez d'effet et plusieurs fois il écarte la bite de Jona de sa bouche pour respirer plus facilement.
Quand le dernier cm lui écarte la rondelle il serre les dents. Bon prince, je lui passe sous le nez un flacon de poppers ouvert. Il se détend direct et reprend sa sucette.
Moi ça me va, il semble volontaire, endurant à ce que je vois sous mes yeux et comme je vois qu'il bande toujours, plutôt chaud.
João se donne à fond et Florian en profite bien. Il rue du cul pour se le faire prendre plus fort.
Jona se retire et lui jute sur les cheveux. Je le remplace pour tester par moi-même ma nouvelle recrue.
Il pompe bien. S'il n'a pas eu beaucoup d'expérience, il a vite appris alors. Il alterne les tentatives de gorges profondes avec un travail de langue sur gland des plus convaincants. Je comprends pourquoi Jona s'est fait prendre au piège.
Jona se coule entre nous et pompe le petit nouveau. Il n'en devient que plus vorace et João s'aperçoit aussi de la différence. Il l'encule plus sèchement jusqu'à se fixer au fond, les mains crispées sur ses hanches occupé à remplir sa kpote. De mon côté j'ajoute mon sperme à celui de Jona qui lui reçois la production de Florian sur l'épaule.
Tous les 4 sous les douches, Florian me demande s'il est embauché. Je lui dis que c'est OK mais qu'il va devoir travailler son vocabulaire et perdre ce petit accent " banlieue ". Pour le reste je lui fais confiance, il saura s'adapter aux physiques de mes clients. Un truc, c'est qu'il devra trouver des positions originales et " sportive " lors de ses rapports avec eux puisque c'est sa spécificité " Gymnaste " qu'ils vont louer. Alors que nous somme secs, il prend devant nous quelques positions. Après un grand écart au sol il nous fait le même debout. A la " Van Damme ", il suit avec un autre entre deux chaises avant de poser ses deux mains au sol et de lentement faire un équilibre les jambes toujours parallèles au sol. Il pivote, descend le bassin et sans toucher le sol, les jambes à l'équerre, il plie les bras et les tend comme un simulacre de défonce sur un mec couché sur le dos.
Ok la démo est faite, il semble avoir suffisamment d'imagination.
On finit l'entretien par la visite des installations sportives le second très orienté muscu l'intéresse et la piscine le surprend. Mais la serre c'est autre chose. Le grand tatami l'attire aussitôt pour le travail au sol. Il me dit qu'il pourra tester là ses positions spécifiques de baise. La piscine de 25m l'interpelle et il me demande s'il devra s'entrainer dedans. Je hoche la tête.
J'ajoute que pour lui et son compère, j'allais voir à acquérir des barres parallèles et s'ils le veulent, j'essayerai d'implanter des anneaux.
Avant qu'il ne parte avec Jona, je lui donne les adresses auxquelles il va devoir faire une visite. Le médecin, le labo d'analyse, pour les vêtements, je demande à Jona de l'accompagner.
Je fais un point avec João. Je lui demande si celui-là lui plait aussi. Il me dit qu'il est bien mais c'est pas son Romain, même s'il a pris du plaisir à l'enculer.
La semaine suivante, les résultats arrivent satisfaisants. Il est clean de HIV comme des MST. Il intègre alors le groupe officiellement. Le changement des soirées d'entrainement auprès des autorités du lycée s'est fait sans questions.
Romain est content d'avoir un collègue même si ce n'est qu'un amateur. Ils nous gratifient d'un petit défi entre eux qui les classent quasiment exæquos. Il apprécie aussi de l'avoir avec lui quand ils se mettent dans le bain (au propre). Ce ne sont pas des nageurs et ce n'en seront jamais, pas le physique. Mais Anthony m'assure qu'ils s'amélioreront quand même et puis nous ne préparons personnes aux compétitions ! Sous les douches il fait sensation avec sa bite extralarge. Plusieurs font remarquer qu'ils pourront s'entrainer sur lui plutôt que des godes pour se préparer à certains de nos clients.
Florian bande sans pouvoir s'en empêcher devant la multitude de corps nu devant ses yeux. Il ne s'est jamais fait de partouze et ça ne lui est jamais encore arrivé de voir autant d'homos, nus devant lui.
Ce premier soir il serait illusoire de se contenter d'une simple douche. Ça vire troisième mi-temps sexe. Si João avait eu des velléités de garder son Romain encore quelques semaines pour lui tout seul (hors clients), c'est râpé ! En tant que petits nouveaux, ils sont sollicités de tous les côtés. Je reste un peu en retrait pour analyser leurs comportements.
Si je vois Romain interroger du regard son João lors des premières dragues et mains à son cul, il s'affranchi vite de son approbation tellement ça vient de partout. Mes autres escorts sont curieux de leurs capacités particulières. Je vois quelques baises acrobatiques. Les bancs de muscu servent de supports à leurs grands écarts, Romain couche Simon au sol à côté d'un banc et je le vois s'installer pour faire les triceps avec ce même banc. Quand il descend il s'encule sur Simon enfin sa bite de 18x5 et quand il travaille ses triceps, il décule. En fait il ajoute une donnée " plaisir " au travail musculaire ingrat. Il pourra faire ça aussi avec mes clients sur leur tapis et lui en appui sur le bord du canapé.
Florian est plutôt sollicité pour défonce mes escorts. Quand je jette un oeil sur lui, il est en train de se faire mes 2 russes. Nikolaï est sur le dos avec Viktor dans les bras à se rouler des pelles. Leurs bites écrasées l'une contre l'autre, ils présentent leurs deux culs à la sodomie.et comme ils sont amant officiels, pas la peine de changer de kpote entre leurs deux trous. Ils apprécient et on entend gémir celui qui reçois les 7cm de Florian. En sourdine puisqu'ils s'embrassent !
Je retiens quelques minutes mes deux nouveaux alors que tous s'en retournent chez eux. Impressions ? Ils sont ravis. Surtout Florian qui n'avait encore jamais connu ça.
Il en profite pour m'annoncer que c'est vu avec ses parents et que c'est ok pour qu'il sorte du pensionnat à la fin du mois. Pour les trajets il me demande s'il pouvait avoir une avance pour s'acheter un scooter. Il en a bien un chez lui mais en panne depuis quelques semaines. Je lui passe le n° de téléphone de Daniel et lui dit de voir directement avec lui, il m'enverra la facture directement.
Dès qu'il nous quitte, j'appelle ce dernier et lui donne mes instructions. Florian à son permis donc il peut conduire des scooters de 125cc3. Daniel me propose qu'il prenne plutôt un 3 roues, y'en a de sympas maintenant et il pourra monter en cylindrée. Et comme il sera obligé de faire une mini formation que ce soit un 2 ou un 3 roues ça changera pas grand-chose. Lui, il opterait pour un Gilera Fuoco 500, plus original qu'un Piaggo ou qu'un Peugeot. Comme il monte à 145Km/h il pourra s'amuser un peu.
Je lui dis de voir ça avec l'intéressé. J'ajoute qu'il s'occupe aussi des protections, blouson cuir et casque de marque ! Il ne faut pas lésiner sur la sécurité !
Il me dit avoir reçu de nouveaux SHARK dont un Raw dual black de toute beauté et avec un look très robot qui plait assez. Il lui proposera en blouson un ICON 1000 HOOD, avec capuche il fait moins spécifique moto tout en étant de la qualité top. En noir avec le casque il devrait avoir une touche qui sort un peu du lot. En pantalon il préconise un Jeans John Doe Kamikaze en Kevlar plus un cuir ICON 1000 Roughshod pour le look. Je lui dis de ne pas oublier les pieds et pour ça me dit qu'il l'équipera soit en ICON field armor 2 ou en AXO Slammer. Les deux sont des boots moins typées moto.
Appel à Éric pour les 7 heures de formations obligatoires et tout est en place.
En une semaine tout est bouclé et il est équipé avant d'entrer dans la coloc. Certificat en poche et vêtu de neuf, il vient me remercier. Il a une bonne touche un peu noire mais le look est là. Je lui pique son scoot le temps de faire un tour dans le coin. La conduite est amusante et les accélérations sont sympas.
Il me dit qu'il pourra même rentrer chez lui avec vu qu'il n'a que 50Km à faire.
Dans un premier temps comme je ne pourrais l'utiliser que dans des contrats sexes, pas besoin de lui prévoir une voiture.
Jardinier
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Jour 14 : Errer
Day 14 : Roam
Dessin traditionnel tracé au crayon à papier puis encré avec les stylos Pigma Micron, de la taille 005 (0,25 mm) à la taille 8 (0,50 mm).
Le lieutenant Hank Anderson (Détroit : Become Human) a quelques problèmes personnels liés à l'alcoolisme et au deuil de son fils, Cole. Dans un moment de creux durant l'enquête, Connor le retrouve en train de boire dans un parc pour enfants, face à l'horizon d'un Detroit nocturne sous les premières neiges de saison.
La présence de l'androïde dans sa vie redonne à Hank de l'espoir en l'humanité et quelque chose en quoi se raccrocher.
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Traditional drawing traced with pencil then inked with Pigma Micron pens, from size 005 (0.25 mm) to size 8 (0.50 mm).
Lieutenant Hank Anderson (Detroit: Become Human) has some personal problems related to alcoholism and the loss of his son, Cole. In a low moment during the investigation, Connor finds him drinking in a children's park, facing the horizon of a nighttime Detroit under the first snow of the season.
The android's presence in his life gives Hank hope in humanity and something to hold on to.
#inktober 2024#detroit become human#dbh fanart#inktoberchallenge#dbh connor#dbh hank#hank and connor#hank anderson#detroit become human fanart#hannor
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Les ombres de l'identité - Une histoire de Batman
Gotham City est plongée dans son habituel voile d'obscurité, l'air nocturne est chargé d'une promesse de pluie. Au-dessus des rues de la ville, Batman est perché sur une gargouille, ses yeux scrutant l'horizon à la recherche d'un quelconque signe de danger. Le Bat-Signal l'avait convoqué, et le ton pressant du commissaire Gordon laissait présager quelque chose d'inhabituel.
Lorsque Batman arriva sur le toit du GCPD, Gordon l'accueillit avec une expression sinistre. « Nous avons un nouveau joueur en ville, Batman. Il se fait appeler 'Chimera'. Ils s'en prennent à des personnalités en vue de la ville, laissant derrière eux une traînée de chaos. »
Batman acquiesce, l'esprit déjà en ébullition. « Que savons-nous d'eux ?
« Pas grand-chose, admit Gordon. « Mais il y a quelque chose que vous devriez voir. Il tendit à Batman un dossier contenant des photos et des rapports. Les images montraient un personnage vêtu d'une combinaison sombre et élégante, le visage masqué par un masque. Les rapports détaillent une série d'attaques, chacune méticuleusement planifiée et exécutée.
Batman étudia le dossier, son instinct de détective se réveillant. « Je les trouverai, Gordon. Et je mettrai fin à tout cela. »
En approfondissant l'enquête, Batman découvre que Chimera n'est pas un criminel comme les autres. C'était un maître du déguisement, capable de se fondre dans n'importe quelle foule et d'endosser n'importe quelle identité. Leurs motivations ne sont pas claires, mais leurs actions suggèrent une vendetta personnelle contre l'élite de Gotham.
Une nuit, alors qu'il patrouillait dans la ville, Batman attira l'attention sur une agitation dans un quartier huppé. À son arrivée, il trouve Chimera face à un riche homme d'affaires, la voix calme mais pleine d'intensité.
« Vous pensez pouvoir vous cacher derrière votre richesse et votre pouvoir », dit Chimera, son masque reflétant les lumières de la rue. « Mais vos actes ont des conséquences.
Batman intervint, sa présence attirant l'attention. « Chimera, ça s'arrête maintenant. »
Chimera se tourna vers lui, ses yeux rencontrant les siens à travers le masque. « Batman. Je t'attendais. »
Les deux hommes se livrèrent un combat acharné, leurs mouvements étant un mélange de vitesse et de précision. Chimera était un adversaire redoutable, dont l'agilité et l'habileté égalaient celles de Batman. Batman ne pouvait s'empêcher de remarquer la fluidité des mouvements de Chimera, reflet de leur identité unique.
Dans un moment de vulnérabilité, le masque de Chimère tomba, révélant un visage à la fois familier et inconnu. Batman le reconnut comme étant Alex, un ancien allié disparu depuis des années. Alex s'était transformé pendant leur absence, embrassant sa véritable personnalité en tant que Chimère.
« Alex », dit Batman, la voix remplie d'un mélange de surprise et de compréhension. « Pourquoi fais-tu cela ?
Les yeux d'Alex s'adoucissent, sa détermination est inébranlable. « J'avais besoin de montrer à Gotham que l'identité n'est pas une arme à utiliser contre nous. Je voulais leur faire voir la vérité. »
Batman acquiesça, son respect pour Alex se renforçant. « Il y a de meilleures façons de se battre pour la justice. Laisse-moi t'aider. »
Avec le soutien de Batman, Alex a trouvé une nouvelle voie, utilisant ses compétences pour protéger la ville plutôt que de chercher à se venger. Ensemble, ils s'efforcent de créer une Gotham où chacun peut s'épanouir sans crainte.
Alors que la pluie commence à tomber, Batman et Chimera se tiennent côte à côte, leurs ombres se fondant dans la nuit. Au cœur de Gotham, une nouvelle alliance s'est forgée, fondée sur la compréhension, l'acceptation et l'objectif commun d'un avenir meilleur.
Par Infosphere
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[It's nothing less, nothing less between the worldly and the one self. All this breathing and the truth that's in your last breath. Don't it make you want to cry?]
VII - Daphnis
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
"Plongez dans les sept mers."
J'étais prêt, mais où était la mer ?
Instinctivement, je savais que cette phrase devait faire allusion aux sept chansons. Les sept mers du son. Depuis le tout début, j'avais le sentiment que quelque chose s'y cachait. Je devais juste plonger et le trouver, quoi que ce soit. Le problème était que j'ai déjà connu ces chansons par cœur. Il n'y avait rien d'autre à découvrir. Mais peut-être que j'ai juste besoin de regarder de plus près. Il existe toujours plus de détails. Toujours un autre monde dans le monde. Les réponses étaient là quelque part.
L'enquête qui a suivi a été compliquée et ardue. J'ai passé ces dix-sept minutes au peigne fin, à la recherche du lapin blanc. Chaque son, chaque bruit de fond, chaque grincement du piano devenait une voix. Aucun détail trop petit, aucune intuition trop farfelue. Je suis allé de plus en plus profondément dans une fractale sans fin. J'ai disparu dans la mer et j'ai perdu de vue ce que je cherchais. J'ai pris chaque murmure et l'ai transformé en un mot de passe. Rien n'a fonctionné.
J'ai également perdu le contact avec le monde extérieur et je n'ai pas parlé avec mes amis pendant plusieurs semaines. Un soir, Christina est passée sans me prévenir pour voir comment j'allais. J'ai rangé en hâte et je l'ai laissée entrer. J'avais définitivement une sale tête, mais elle ne l'a pas commenté. On a parlé un moment et quand il y a eu une pause dans la conversation, elle m'a demandé ce que j'écoutais. Ça jouait en boucle depuis si longtemps que je ne remarquais même plus la musique. J'ai répondu que c'était l'album qu'elle m'avait aidé à trouver au café la dernière fois qu'on s'était rencontrés.
On s'est assis et on a écouté l'album entier en silence, puis j'ai finalement arrêté la boucle.
Christina: C'est étrange.
Moi: Je suis d'accord. Ces chansons sont très courtes et sans aucune structure. Pas vraiment bien écrit. Une seule mélodie presque enfantine et puis c'est fini.
Christina: Non, non, je suis habituée aux musiques expérimentales. En fait, c'est comme la bande originale d'un jeu vidéo. Mais, il y a des choix étranges faits ici. Par exemple, cette chanson que l'on a juste écouté…
Moi: Hořčický.
Christina: Quoi ?
Moi: Ç'est le titre. Ça ne fait rien.
Christina: De plus en plus bizarre. En tout cas, c'est une chanson très calme, mais tout à coup un instrument bruyant joue quatre notes et rien d'autre. Je pense que j'ai entendu ce bruit dans plusieurs chansons. C'est bizarre, non ?
J'ai recommencé à jouer l'album. Je connaissais exactement le son dont elle parlait. Ça apparait une fois dans chaque chanson. Je ne pouvais pas croire que je n'avais pas vu la vue d'ensemble plus tôt, mais j'avais simplement été trop près pour la voir. Christina m'avait donné la clé, maintenant je devais franchir la porte.
Je me suis retrouvé avec ce qui suit écrit dans mon cahier:
Adrogué (−·· = D)
Terra Incognita (·− = A)
Unending Night (·−−· = P)
Hořčický (···· = H)
Who Is The Dreamer? (−· = N)
Adelma (·· = I)
El Barco Velero (··· = S)
En les mettant ensemble, j'ai obtenu DAPHNIS. Un nom si familier. J'ai feuilleté mon carnet et sur la page écrite lors de la visite au Louvre pour voir le tableau Et in Arcadia Ego, j'ai trouvé: "Les bergers sont réunis autour d'une pierre tombale. L'un des bergers pointe le nom gravé sur la pierre tombale : Daphnis."
Je m'en suis voulu de ne pas avoir essayé ce nom plus tôt, mais avec tant de possibilités à parcourir, j'en avais raté quelques-uns évidents. J'essayais de comprendre comment tout était lié. Les cartes de tarot, Nicolas Poussin, le manuscrit de Voynich… tout semblait être un monde à part et impossible à relier. Comment Leonora était-elle connectée à Daphnis? Et qui est la rêveuse? À ce moment, il m'est venu à l'esprit que les réponses à certaines de ces questions pourraient se trouver dans les titres des chansons. Mais d'abord…
J'ai rechargé le site web. Rien n'avait changé. Les pages du manuscrit de Voynich étaient encore légèrement en arrière-plan, tout comme la case pour le mot de passe. J'ai soigneusement tapé Daphnis et cliqué sur la button. La case n'a pas tremblé cette fois-ci. Au lieu de ça, le site a disparu. Après quelques secondes, deux triangles sont apparus; un blanc et un noir. L'image de fond est également passée de Voynich à un dessin d'une mystérieuse créature ressemblant à un cheval avec trois têtes.
Les triangles ont disparu et ont été remplacés par du texte qui s'est estompé ligne par ligne. Je ne pouvais pas le comprendre, encore une fois c'était écrit dans l'alphabet Voynich. Il était tard, mais j'ai écrit un message à Paddington et lui ai demandé s'il pouvait m'envoyer la cartographie qu'il avait utilisé pour le dernier message. Il s'est avéré que Paddington était toujours éveillé. J'ai reçu presque aussitôt cette image:
Avec cette aide, j'ai traduit les mots à l'écran.
S'est-on réunis au-delà des ruines circulaires ? Quelque chose n'allait pas On s'est vu dans le miroir Mais on n'était pas dans la même pièce Les intruses Les témoins La rêveuse Je réside dans un endroit où le temps n'existe pas Détenant les secrets de Dieu
Il y avait un symbole; un carré avec un cercle au milieu, sous le texte. Je l'ai cliqué. Le symbole a tourné et est devenu un diamant, avant de disparaître. La plupart des lettres du texte se sont estompées, ne laissant que celles qui forment la phrase Trouve moi.
C'est alors que j'ai remarqué que l'image de fond avait encore changé. Cette fois, c'était une carte d'un monde.
#s10e11 sweet 'n savory#guy fieri#guyfieri#diners drive-ins and dives#i tego arcana dei#terra incognita
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J'ai eu plusieurs réflexions aujourd'hui et hier:
1) ça m'arrive souvent de devoir rentrer chez moi tard et d'avoir qqn (mes parents et/ou mon mec) qui me dit "préviens quand tu es rentrée". Et souvent j'y pense mais quand je suis pas encore arrivée, du coup, souvent je dis que je suis arrivée alors que je ne suis pas réellement arrivée tout ça pour éviter d'oublier de le dire. Mais je pensais au fait que imaginons, je meurs sur le chemin, ou on m'enlève ou que je disparaisse bah quand on va signaler ma disparition, ils vont dire à la police "on a un message comme quoi elle était rentrée" et donc je vais fausser l'enquête. Ou ils vont capter que j'étais pas rentrée et peut-être vont s'imaginer que j'avais une double vie ou jsp. Bref du coup quand j'envoie un message comme ça où je sais que j'ai peut-être encore 5 min d'incertitude où c'est pas impossible que je meurs pas je culpabilise un peu en mode "je vais lancer la police sur la mauvaise piste, et freiner l'enquête et réduire mes chances d'être retrouvée toute seule genre"
2) j'aime bien les gens, enfin, comment dire, j'aime pas bcp de gens mais ya certaines personnes que j'aime plus que d'autres type des potes, amis mais je ressens jamais de manque ou le besoin de les voir et de parler. C'est trop étrange mais en fait les voir c'est cool mais ça me demande tellement d'efforts cognitifs que ça me braque d'emblée. J'aime bien qu'ils me racontent leur vie mais des fois jsuis là dans ma tête et je me dis "c long quand même, cest quand que je rentre ?"
3) à chaque fois que j'ai une mycose (de plus en plus rare dieu merci) j'imagine toujours les pires trucs, que j'ai une mst, un début de syphilis ou autre. Et jlai dit a mon mec ce WE que j'étais dans l'inconfort et comme un gentleman il m'a apporté tous les médicaments nécessaires et plein de compréhension (si rare mais si précieux mdrr) et quand il m'a tendu les remèdes j'étais en mode "purée ça se trouve il a juste couché avec une meuf pas clean et ma rapporté qqc et il essaie de me retourner le cerveau en agissant bien. C'est sûr il a une double vie et il me ment frontalement". Je sais que j'abuse faut faire confiance un peu mais j'ai tjrs ce truc affilié à cette pensée "roh le con il m'a bien manipulée ça se trouve, c'est fort s'il me ment comme ça dans les yeux". Fin bref un gros délire paranoïaque pas si infondé que ça mais jme dis d'un côté il a l'air sincère et de l'autre à aucun moment il va me dire cash "bah oui jtai trompé tu crois quoi ? Que ta mycose c'est le stress, ton hygiène de vie éclatée, nos rapports à répétition, et un déséquilibre hormonal flagrant ? Mdr tes folle ou quoi ?" Ça se trouve il est en panique de savoir que j'en ai une parce qu'il se dit qu'il a mal préparé son coup mais ça le rassure quand il me voit me radoucir et le croire ptdrrr
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Compte de la 1ère influençeuse noire patriote américaine. Plus d'1 million de vues grâce à deux sources. D'abord l'enquête de F&D. Puis les dossiers de Mar-a-Lago détenus par Trump. Cette Candace Owens est soutien de Trump depuis plusieurs années et est demeurée solide lors du grand test de l'affaire Floyd/BLM de l'été 2021. C'est toujours par les actes en période de crise que l'on reconnaît qui est qui. Quant aux soupçons sur le "couple présidentiel" ils vont beaucoup plus loin que ce que l'on peut en dire. Aucun de ces deux-là n'est vraiment celui qu'il dit être.
Ce qui compte pour nous c'est l'intérêt supérieur du pays, libérer le pays de la tyrannie des canailles décrites par les Drumont, Bernanos, Morand, Céline, Coston, Ratier, nos repères, nos boussoles et principes directeurs dans les brouillards actuels. Relire ces grands anciens là nous mettra tous d'accord et nous fera voir plus loin.
#Candace Owens#John Michael#F&D#Faits et Documents#Egalité et Réconciliation#France#Tradition#Henri Coston#Edouard Drumont#Georges Bernanos#Louis-Ferdinand Céline#Emmanuel Ratier#Paul Morand#BLM#Xavier Poussard#Donald Trump#Brigitte#Brigitte Gate#Youtube
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J'ai peur d'aller dans ce groupe de paroles, pourtant ce n'est pas mon premier.
J'ai acquis de l'expérience, me dis que je suis une victime comme une autre et pourtant la peur d'être jugée est omniprésente.
Ce qui me stresse le plus, c'est de voir qu'en 8 ans j'ai changé de vie, je suis partie plusieurs année en Bourgogne, j'ai fait des reconversions professionnelles, me suis entourée de bonnes personnes.. et pourtant il y a bien un point qui n'a pas changé, c'est cette affaire.
Parce que 8 ans plus tard, j'ai toujours peur du même homme. 8 ans plus tard, on en est toujours à l'enquête. 8 ans plus tard, je me retrouve seule.
Ce sentiment d'avoir un dossier plus fort que des milliers de secrets, qui à tous moments, pourraient crever la poitrine de milliers de vies.
J'étouffe. Cette affaire est anxiogène. Cette affaire me rend folle. Cette affaire c'est mon histoire, une histoire d'une fille qui rêvait d'amour et qui a cajolé la mort.
8 ans plus tard, j'aimerais que l'on me dise si l'affaire va plus loin. Juste ça. Juste une petite lueur d'espoir. Une lueur d'espoir pour toutes les femmes victimes.
Je sais. Je n'ai pas à avoir honte, et pourtant 8 ans plus tard, on met toujours ma parole en doute. 8 ans plus tard, il vit sa meilleure vie. 8 ans plus tard, je crains cette homme qui m'a détruite. 8 ans plus tard, j'ai toujours des réflexes de personnes traumatisées, 8 ans plus tard, j'essaie d'avoir un équilibre de vie que j'ai bataillé pour avoir.
8 ans plus tard. J'ai le droit d'être fatiguée.
Je ne vois ni le bout du tunnel, ni la goutte d'espoir.
Celle de prendre l'adolescente que j'étais dans mes bras et pouvoir lui dire "regarde, tes larmes et ton combat ne sont pas vains".
#lutte#combat#justice#violences conjugales#violences#life#never give up#stay postive#fear#sentiments
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LECTURES DE 2024 : Sherlock Holmes, tome 2: Le signe des quatre - Sir Arthur Conan Doyle
Lecture terminée le 30 décembre 2024 (117/110)
154 pages lues
"He can find something," remarked Holmes, shrugging his shoulders; "he has occasional glimmerings of reasons. Il n'y a pas des sots si incommodes que ceux qui ont de l'esprit?"
Ma dernière lecture de l'année a été le deuxième tome de la saga Sherlock Holmes, Le signe des 4 écrite par Sir Arthur Conan Doyle ! Je l'ai lu en anglais, comme toute cette collection est dans cette langue-là. J'arrête ici pour le moment et j'y reviendrai plus tard pour lire la suite!
Oui, j'ai réutilisé la même photo pour cette partie-ci de ma lecture vu qu'il s'agit du même livre
Résumé: Sherlock Holmes et John Watson se retrouvent à enquêter sur une affaire des plus étranges. En effet, ils reçoivent un jour la visite de Mary Morstan, une jeune femme recevant une perle chaque année depuis la disparition de son père, et qui vient de recevoir une lettre lui demandant de se rendre dans un lieu mystérieux. L'accompagnant, les deux amis se retrouvent mêlés à une affaire d'héritages et de meurtres mystérieux.
CW/TW : meurtres, stéréotypes racistes, clichés racistes, racisme d'époque, misogynie, torture (mention), etc...
Je n'ai pas grand-chose à dire de ce tome, en vrai. Autant je comprends et respecte les raisons qui ont poussé le meurtrier du premier tome, autant je n'en ai eu RIEN A FAIRE de celles du meurtrier de ce tome-ci, ahah :')
L'histoire était un peu intéressante, en vrai! Mary a l'air d'être un personnage avec pas mal de potentiel, sensible mais courageuse, et je me demande si on la reverra! :) Et j'ai aimé aussi, voir des petits fragments de la relation qu'entretiennent Sherlock Holmes et John Watson. On voit que leur amitié est plus forte que dans le premier tome, ils sont plus attachés l'un à l'autre et forment un vrai bon duo! Puis, le fait que Sherlock berce John en jouant du violon, c'est un peu attendrissant. Il connaît ses goûts musicaux, sait ce qui lui plaira et l'aidera à trouver le sommeil, ça montre qu'ils sont devenus proches avec l'année qui s'est écoulée entre les deux tomes!
En revanche, j'avoue ne pas trop me rappeler de l'enquête en elle-même, c'était un peu flou. C'est probablement parce que je lis en anglais, et que c'est d'autant plus compliqué là qu'il s'agit d'anglais soutenu, mais oui, j'ai pas réussi à accrocher à tout. Et bon, j'aime bien retenir ce que je préfère, alors j'ai plus retenu les histoires secondaires que l'enquête qui était le sujet principal. J'ai vaguement retenu quelques informations, mais voilà, pas tout :') C'est peut-être ce qui a joué aussi dans mon (manque d') appréciation des motivations du criminel de ce tome.
Enfin, de manière générale, c'était une chouette lecture! Je pense que c'est vraiment mieux pour moi de lire chaque histoire de façon séparée!
Et c'est ainsi que se conclue mon année 2024! Dans les prochains jours, vous aurez mon top 10 de mes lectures préférées pour cette année, je l'ai déjà commencé.
Bonne année 2025 à vous! J'ai très hâte de vous parler de toutes mes lectures pour cette année-ci aussi!
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tagged by @hoongjong, thank you maaike 💗
song i'm listening to: paper thin by nemahsis
favorite color: blue and green
currently reading: rabelais mène l'enquête by jean-noël delétang
currently watching: nothing lol
sweet, spicy or savory: savory but sometimes you'll catch me having a sweet tooth
relationship status: single lol
tea or coffee: tea, even though i don't drink it often.
first job: translator
a subject you know well: diabetes and its effect on the body (yay! i totally brightened the mood lol).
i'm tagging @xoalsox @seungkwan-s @iamacolor @meltingpointmp3 @yoohyeon
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L’instinct de vérité
chapitre 10 : Vivre ou mourir parti 2
»»————- ★ ————-««
L'hôpital était silencieux, brisé uniquement par le bip régulier des machines surveillant l'état de Maya. Emily était assise à son chevet, les mains serrées autour de celle de Maya, pâle et immobile.
L'équipe était déjà passée, chacun offrant des mots de soutien à Emily avant de lui laisser un moment seul avec Maya. JJ avait posé une main sur l'épaule d'Emily, lui murmurant que Maya était forte et qu'elle se réveillerait, mais Emily ne pouvait s'empêcher de sentir une peur viscérale grandir en elle.
Emily regarda Maya, ses lèvres tremblantes. Elle murmura :
« Tu ne peux pas me faire ça... Je t'interdis de partir, tu entends ? »
Les heures passaient, et Emily ne bougeait pas. Elle se souvenait de chaque instant partagé avec Maya, de ses rires, de ses sourires, de sa force inébranlable. Elle caressa doucement le dos de sa main.
« Maya... Je sais que tu m'entends. » Sa voix était tremblante, presque brisée. « Je n'ai pas eu le courage de te dire à quel point tu comptes pour moi. Tu es entrée dans ma vie, et tu l'as changée... Alors, tu dois revenir. Reviens-moi, s'il te plaît. »
Elle sentit les larmes rouler sur ses joues, mais elle les essuya rapidement. Maya détestait la voir vulnérable. Emily se força à garder une façade solide, mais à l'intérieur, elle était en morceaux.
À ce moment-là, Rossi entra discrètement dans la pièce, un regard inquiet sur le visage. Il posa une main réconfortante sur l'épaule d'Emily.
« Elle est une battante, Emily. Ne perds pas espoir. »
Emily hocha doucement la tête, mais ses yeux restaient fixés sur Maya. Lorsque Rossi quitta la pièce, elle se pencha un peu plus près de Maya et murmura à son oreille :
« Si tu te réveilles, je te promets que je te laisserai m'apprendre à cuisiner, même si je suis une catastrophe. Et je ne m'énerverai plus quand tu fais des plans risqués. Mais tu dois revenir. Je t'en supplie. »
Malgré ses mots, Maya restait immobile. Emily sentit son cœur se serrer, une douleur qu'elle n'avait jamais connue auparavant. Elle posa sa tête sur le bord du lit, toujours en tenant la main de Maya, refusant de partir.
À cet instant, Maya resta entre la vie et la mort, mais Emily ne bougea pas. Pour elle, tant qu'il y avait un souffle d'espoir, elle serait là. Toujours.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
L'équipe était rassemblée dans la salle de réunion, les visages tendus. Penelope venait de présenter une série d'indices glaçants laissés par le tueur, tous pointant vers une cible claire : une femme du BAU.
« C'est un jeu pour lui, » dit Rossi en jetant un regard sérieux à l'équipe. « Il veut nous faire paniquer. »
« Ce qui est inquiétant, » ajouta JJ, les bras croisés, « c'est qu'il connaît nos mouvements, nos vies. Il a un accès à des informations qu'il ne devrait pas avoir. »
Emily, restée en retrait, regarda furtivement la porte. Son esprit était partagé entre l'urgence de cette enquête et l'état de Maya, toujours inconsciente à l'hôpital. Elle serra les poings.
Penelope poursuivit :
« Ces photos ont été prises de loin, mais il est évident qu'il nous suit depuis un moment. Regardez celle-ci. » Elle montra une image sur l'écran, une photo de JJ en train de sortir d'un café avec Tara. Puis une autre montrant Luke dans un parc, probablement lors d'un jogging.
Enfin, une dernière image apparut. Elle montrait Emily et Maya, côte à côte dans un restaurant, il y a quelques semaines à peine. Emily sentit une froideur glaciale lui parcourir la nuque.
« Il nous observe. Il joue avec nous, » conclut Penelope.
Rossi prit les devants. « JJ, Luke, vous prenez la charge de l'enquête active. Penelope, fouillez tout ce que vous pouvez trouver sur ces images, d'où elles viennent, qui les a prises. Je veux des réponses immédiatement. Emily... »
Rossi hésita un instant, voyant la fatigue dans ses yeux.
« Toi, concentre-toi sur Maya pour l'instant. Elle a besoin de toi. »
Emily secoua la tête, refusant.
« Non. Je peux gérer les deux. Ce tueur est une menace directe, et je ne vais pas rester en arrière pendant qu'il vise mon équipe. »
JJ posa une main réconfortante sur son bras. « Emily, on sait à quel point tu tiens à Maya, mais Rossi a raison. On a besoin que tu sois claire d'esprit pour cette affaire, et pour l'instant, on gère. »
Emily détestait admettre qu'ils avaient raison, mais elle acquiesça, à contrecœur. JJ et Luke se rendirent sur les lieux où l'une des photos avait été prise. Ils interrogèrent des témoins, mais les réponses étaient maigres.
« Ce gars est un fantôme, » grogna Luke en jetant un regard vers JJ.
JJ hocha la tête, concentrée. « Peut-être un ancien policier ou un militaire. Il a la formation pour rester invisible tout en surveillant. »
Luke répondit en fronçant les sourcils : « Il a visé Emily et Maya dans cette photo. Peut-être qu'il pense qu'Emily est sa vraie cible. »
JJ réfléchit un instant. « Ou peut-être qu'il voulait les séparer... »
Emily était assise près du lit de Maya, silencieuse, les yeux fixés sur le visage pâle de la jeune femme. La chambre d'hôpital était plongée dans un calme oppressant, seulement perturbé par les bips réguliers des machines qui surveillaient Maya.
Tara entra discrètement, une tasse de café à la main. Elle posa la tasse sur la petite table à côté d'Emily et s'assit dans la chaise voisine.
« Tu devrais boire un peu, » murmura Tara, brisant le silence.
Emily hocha la tête, mais ne bougea pas. Tara observa son amie, remarquant la fatigue qui pesait sur elle.
« Elle est forte, Emily, » dit Tara doucement. « Si quelqu'un peut se battre pour revenir, c'est Maya. »
Emily inspira profondément, comme pour contenir une vague d'émotions. Elle répondit d'une voix basse :
« Elle n'aurait jamais dû être dans cette situation. J'aurais dû être plus prudente, plus... »
Tara l'interrompit calmement. « Tu ne peux pas te blâmer pour ça. Ce tueur a manipulé tout le monde. Il a planifié chaque détail pour nous atteindre. »
Emily détourna les yeux, le regard brillant d'inquiétude. « Tu sais, c'est la première fois que j'ai l'impression de perdre le contrôle. Je ne peux pas... » Elle s'arrêta, cherchant ses mots.
Tara posa une main réconfortante sur son bras. « Emily, ce que tu ressens pour Maya... ça compte. Et ce n'est pas une faiblesse. »
Emily haussa légèrement les épaules, essayant de masquer son trouble. « Ce n'est pas le moment pour ça. Ce n'est jamais le moment pour ça. Elle est... tellement jeune, Tara. Et puis... je suis son supérieur. »
Tara fronça légèrement les sourcils, mais garda son ton bienveillant. « Elle n'est pas aussi fragile que tu le penses. Tu as vu ce qu'elle a traversé et comment elle s'est battue. Mais tu as raison sur une chose : ce n'est pas le moment. »
Emily esquissa un sourire amer. « Merci pour ça. Une analyse franche et logique, comme toujours. »
Tara sourit à son tour. « C'est mon rôle, non ? Mais sérieusement, tu n'es pas seule dans cette histoire. On est tous là pour toi. Pour vous deux. »
Emily hocha la tête, et un silence s'installa de nouveau. Après un moment, elle murmura :
« Merci, Tara. »
Tara se leva, prête à partir, mais elle posa une dernière fois les yeux sur Maya.
« Elle va s'en sortir, Emily. Tu dois y croire. »
Emily resta seule, ses pensées tourbillonnant. Elle attrapa la tasse de café laissée par Tara, mais son regard ne quittait pas Maya.
« Reviens-moi, » murmura-t-elle presque inaudiblement.
Alors qu'Emily était assise, épuisée, à côté de Maya, un mouvement dans le couloir attira son attention. En levant les yeux, elle aperçut Marcus, visiblement inquiet mais gardant un air ferme, entrer dans la chambre.
Il s'arrêta un instant à l'entrée, les yeux rivés sur sa fille allongée sur le lit, branchée à des machines qui surveillaient ses signes vitaux. L'espace d'un instant, son masque d'homme dur faillit se fissurer.
« Qui a fait ça ? » demanda-t-il d'une voix basse et glaciale, son regard se posant sur Emily.
Emily se leva, croisant ses bras pour cacher la tension dans ses mains. « On travaille dessus. Le tueur est toujours dehors, mais on le retrouvera. »
Marcus s'approcha lentement du lit, effleurant délicatement la main de Maya. Il détourna un instant les yeux, tentant de maîtriser l'émotion qui montait en lui, avant de regarder Emily droit dans les yeux.
« Ça ne me suffit pas, Emily. J'ai besoin de savoir que cette ordure va payer. Vous avez une piste ? »
Emily hésita, pesant ses mots. « On a des indices. Rossi, JJ et Luke sont en train d'éplucher les nouvelles informations. Mais je te promets qu'on ne le laissera pas s'en tirer. »
Marcus plissa les yeux, son expression mélangeant colère et protection. « Tu ferais bien de tenir cette promesse. Parce que si le FBI échoue, je m'en chargerai. »
Emily se redressa, adoptant un ton autoritaire. « Ce n'est pas ton combat, Marcus. Maya est l'une des nôtres. Tu n'as pas à te salir les mains, on s'en occupe. Reste avec elle. »
Le regard de Marcus s'adoucit légèrement, mais il était clair qu'il n'abandonnerait pas si les choses traînaient. Il hocha la tête et s'assit à côté de Maya, tenant sa main.
Emily quitta la pièce et attrapa son téléphone. Elle composa rapidement le numéro de Rossi.
« Rossi, c'est Emily. Écoute, Marcus est ici, et il est prêt à tout. On doit accélérer le rythme, sinon il risque de prendre les choses en main, et ça ne finira pas bien. Où en êtes-vous ? »
De l'autre côté de la ligne, la voix de Rossi était grave. « On a trouvé un lien potentiel entre le tueur et une victime précédente. JJ et Luke interrogent une connaissance de la victime en ce moment. Mais si Marcus est là, on doit effectivement bouger vite. Je te tiens au courant dès qu'on a quelque chose de solide. »
Emily raccrocha, prit une grande inspiration et retourna à la chambre de Maya. Marcus n'avait pas bougé, ses yeux toujours fixés sur sa fille.
« Tu restes ici avec elle, Marcus, » dit Emily d'un ton ferme mais respectueux. « Et je te promets qu'on va le trouver. Tu as ma parole. »
Marcus hocha la tête lentement, mais ses mâchoires serrées trahissaient sa frustration. Emily quitta à nouveau la chambre, déterminée plus que jamais à résoudre cette affaire avant que Marcus ne décide d'intervenir lui-même. Marcus était assis près du lit de Maya, son visage habituellement impassible marqué par la fatigue et l'inquiétude. Sa grande main enveloppait celle de sa fille, froide et immobile, tandis que les machines rythmaient la pièce d'un bip régulier mais angoissant.
Il baissa les yeux sur elle, luttant pour contenir les émotions qui le submergeaient.
« Cariña, » murmura-t-il doucement, sa voix rauque, « je t'ai toujours dit que tu étais trop têtue pour ton propre bien. Mais là, je vais te demander d'être têtue encore une fois. De te battre. Parce que si tu crois une seconde que je vais te laisser partir, tu te trompes. »
Sa voix vacilla, mais il serra sa mâchoire pour garder le contrôle. Il posa son autre main sur celle de Maya, la tenant plus fermement comme si sa chaleur pouvait lui transmettre sa force.
« Tu sais... » continua-t-il, baissant légèrement la tête, « je n'ai pas toujours été le père que tu méritais. J'étais trop souvent absent, toujours à courir après des ennemis, à poursuivre des missions, comme si elles étaient plus importantes que toi. Mais elles ne l'ont jamais été. Tu es la meilleure chose qui me soit arrivée, Maya. »
Il inspira profondément, ses épaules s'affaissant sous le poids de sa culpabilité et de sa peur.
« Je sais que tu es forte, Cariña. Tu es bien trop forte pour laisser une chose comme ça t'arrêter. Mais tu dois me prouver que j'ai raison. Tu dois revenir. Parce que je ne peux pas te perdre. Pas toi. »
Il leva son regard vers le visage pâle de Maya, cherchant un signe, un mouvement, quelque chose. Mais rien. Juste le silence.
L'infirmière entra alors discrètement, venant vérifier les constantes. Marcus leva les yeux vers elle, plein d'espoir, mais elle se contenta de secouer doucement la tête.
« Toujours pas de changement, » murmura-t-elle avant de quitter la pièce, laissant Marcus seul avec sa fille.
Il se leva et commença à marcher lentement dans la pièce, le regard perdu dans le vide.
« Cariña, tu as toujours été mon roc, même quand je ne le méritais pas. Alors, je vais te demander une dernière chose : ne m'abandonne pas. Reste avec moi. Je ne quitterai pas cette pièce tant que tu ne reviendras pas. »
Revenant s'asseoir, il posa doucement son front contre la main de Maya. Sa respiration était lente, presque étouffée par l'émotion. Les heures passaient, et malgré son désespoir, il resta là, immobile, fidèle à sa promesse.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
Le soleil déclinait doucement, projetant une lumière orangée à travers les rideaux de la chambre d'hôpital. L'équipe du BAU était rassemblée dans la pièce, un silence pesant régnant entre eux. Rossi était adossé contre le mur, les bras croisés, observant la scène avec son calme habituel. JJ et Luke étaient près de la fenêtre, discutant à voix basse, tandis que Tara restait assise près de Maya, surveillant les moniteurs avec attention. Marcus était toujours à son chevet, tenant sa main, ses yeux rivés sur elle comme s'il attendait un miracle.
La porte s'ouvrit doucement, et Emily entra. Ses traits étaient tirés, et son habituel masque de chef imperturbable semblait fissuré. Elle balaya la pièce du regard, s'arrêtant sur Maya, qui restait immobile, inconsciente, ses respirations faibles mais régulières.
« Toujours rien ? » demanda Emily en s'approchant, sa voix un murmure.
Tara secoua la tête en silence, tandis que Marcus levait les yeux vers Emily, une expression à la fois inquiète et fatiguée.
Emily se plaça à côté de Marcus, déposant une main réconfortante sur son épaule avant de s'accroupir près du lit.
« Allez, Maya, » murmura-t-elle doucement, ses doigts effleurant ceux de la jeune femme. « On t'attend tous ici, alors ne nous fais pas attendre plus longtemps. »
Le silence fut soudain rompu par un faible gémissement.
Tous relevèrent brusquement la tête, leurs regards convergeant vers Maya. Ses doigts bougèrent légèrement, et un soupir s'échappa de ses lèvres.
« Maya ? » murmura Marcus, sa voix pleine d'espoir.
Maya cligna lentement des yeux, ses paupières papillonnant alors qu'elle semblait lutter pour s'orienter.
« Cariña, je suis là, » dit Marcus en serrant doucement sa main.
Maya ouvrit enfin les yeux, ses prunelles troublées balayant la pièce avant de s'arrêter sur son père, puis sur Emily, qui retenait visiblement son souffle.
« Qu'est-ce qui... s'est passé ? » demanda-t-elle, sa voix rauque et faible.
Emily sentit un poids immense quitter ses épaules, un souffle tremblant s'échappant de ses lèvres.
« Tu as fait ce que tu fais toujours, » répondit Emily, son regard brillant d'émotion. « Tu t'es battue. Et comme d'habitude, tu as gagné. »
Maya tenta un faible sourire, mais elle grimaça légèrement de douleur.
« Ça... ressemble pas à une victoire. »
Rossi s'approcha, un sourire soulagé éclairant son visage. « Tu es en vie, Maya. C'est la plus grande victoire qu'on pouvait espérer. »
JJ et Luke se rapprochèrent également, chacun offrant des mots d'encouragement et de soulagement.
Emily, toujours agenouillée à côté d'elle, attrapa doucement la main de Maya.
« Tu nous as fait une sacrée peur, » murmura-t-elle, son regard plongé dans celui de Maya.
Maya hocha doucement la tête, ses paupières commençant déjà à s'alourdir à nouveau. Marcus posa une main sur son épaule.
« Repose-toi, Cariña, » murmura-t-il avec tendresse. « Tu es entourée. Rien ne peut t'arriver. »
Maya ferma les yeux, un soupir paisible s'échappant d'elle alors qu'elle retombait dans un sommeil plus calme.
Emily se releva, sa main glissant doucement de celle de Maya. L'équipe se dispersa peu à peu, laissant Marcus et Emily seuls dans la pièce. Marcus se tourna vers Emily, un mélange de gratitude et de respect dans ses yeux.
« Merci d'être restée à ses côtés. »
Emily hocha simplement la tête, son regard toujours fixé sur Maya.
« Elle est forte. Mais elle ne devrait pas avoir à l'être autant, » murmura Emily, plus pour elle-même que pour Marcus.
Ce dernier sourit doucement, mais avec une pointe de gravité.
« Elle a des gens comme vous pour veiller sur elle. Ça lui suffit. »
La nuit tombait doucement, plongeant la chambre d'hôpital dans une semi-pénombre, seulement éclairée par les lumières tamisées des machines. L'équipe, après s'être assurée que Maya était hors de danger, avait commencé à quitter la pièce une à une. JJ avait donné un sourire rassurant à Emily avant de partir, suivie de Rossi, Tara et Luke. Marcus, après un dernier regard tendre vers sa fille, s'était tourné vers Emily.
« Veillez bien sur elle, » dit-il doucement avant de quitter la pièce, la laissant seule avec Maya.
Emily se rapprocha du lit, s'asseyant doucement sur la chaise à côté de Maya. Elle observa son visage apaisé, ses traits bien plus détendus que lorsqu'ils étaient attachés, vulnérables face à leur tortionnaire. Pourtant, même endormie, Maya semblait porter le poids de tout ce qu'elle avait traversé.
Emily soupira, son regard baissant sur la main de Maya qui reposait près d'elle. Hésitant un instant, elle tendit la sienne et entrelaça leurs doigts, un geste protecteur et intime à la fois.
« Maya, » murmura-t-elle, sa voix presque un souffle. « Je suis désolée de t'avoir mise dans cette situation. J'aurais dû te protéger mieux que ça. »
Le silence lui répondit, mais Emily resta là, ses doigts légèrement serrés autour de ceux de Maya.
« Tu es tellement forte, tu n'as même pas idée. Mais tu ne dois pas tout porter seule. Je serai là, toujours. Même si... » Elle hésita, les mots lui brûlant les lèvres. « Même si je ne suis pas toujours à la hauteur de ce que tu attends de moi. »
Emily ferma les yeux un instant, se maudissant pour la douleur qu'elle avait causée à Maya en essayant de nier ce qu'elles ressentaient l'une pour l'autre.
Une faible voix la tira de ses pensées.
« Tu parles toute seule, maintenant ? »
Emily releva brusquement la tête. Les yeux de Maya étaient ouverts, légèrement plissés, mais fixés sur elle avec un éclat amusé malgré la fatigue.
« Maya... Tu es réveillée. » Emily sentit son cœur s'emballer, incapable de cacher son soulagement.
Maya tenta un sourire, faible mais sincère. « Tu t'inquiètes trop, Madame Prentiss. »
Emily leva les yeux au ciel, un sourire moqueur sur les lèvres, mais ses yeux brillaient d'émotion. « Tu es impossible, tu sais ça ? »
Maya la regarda, son sourire s'effaçant légèrement. « Tu es restée tout ce temps ? »
Emily hocha doucement la tête. « Évidemment. Je n'allais pas te laisser seule après tout ça. »
Maya détourna les yeux, son expression se faisant plus grave. « Je t'ai entendu parler, tu sais. »
Emily sentit son cœur se serrer. « À quel moment ? »
Maya tourna lentement la tête pour la regarder. « Juste là. Quand tu disais que tu serais toujours là pour moi. Tu le pensais ? »
Emily hésita, mais face au regard de Maya, elle savait qu'elle ne pouvait plus mentir. « Oui, je le pensais. »
Maya chercha son regard, comme pour y lire quelque chose de plus profond.
« Alors reste, » murmura-t-elle, sa voix presque inaudible.
Emily sentit sa gorge se nouer, mais elle serra un peu plus la main de Maya. « Toujours, » répondit-elle simplement.
Un sourire paisible se dessina sur le visage de Maya, et ses yeux se refermèrent doucement. Cette fois, elle semblait se rendormir sans inquiétude, sachant qu'Emily était là.
Emily, quant à elle, resta près d'elle, veillant dans le silence de la nuit, tenant toujours sa main, comme une promesse silencieuse qu'elle n'avait plus besoin de prononcer.
Alors qu'Emily veillait en silence, Maya ouvrit à nouveau les yeux, cette fois complètement lucide. Son regard se posa sur Emily, et un léger sourire étira ses lèvres.
« Tu es toujours là, » murmura Maya, d'une voix rauque mais douce.
Emily hocha la tête, incapable de se détacher de son regard. « Je t'ai dit que je ne partirai pas. »
Maya fixa leurs mains toujours entrelacées, avant de relever les yeux vers Emily. « Tu sais... J'ai cru que je ne te reverrais jamais. »
Emily baissa légèrement les yeux, sa voix se faisant plus grave. « J'ai cru la même chose. Quand je t'ai vue là-bas, au sol... » Sa voix se brisa un instant. « J'ai eu peur de te perdre. Et ça m'a fait réaliser des choses. »
Maya fronça légèrement les sourcils. « Quelles choses ? »
Emily hésita, ses doigts se resserrant instinctivement autour de ceux de Maya. « Que... je tiens à toi. Beaucoup plus que je ne le devrais. »
Maya la regarda, ses yeux brillants d'émotion malgré la fatigue. « Pourquoi tu crois que tu ne devrais pas ? »
Emily secoua la tête, un sourire triste sur les lèvres. « Parce que je suis ton supérieur. Parce que je suis censée te protéger, pas me laisser distraire par ce que je ressens. »
Un silence s'installa entre elles, chargé de non-dits et d'émotions. Finalement, Maya brisa ce silence.
« Emily, » murmura-t-elle en tendant doucement la main pour effleurer la joue de l'aînée. « Arrête de lutter contre ce qui est évident. »
Emily sentit son souffle se couper à ce contact. Elle ferma les yeux un instant, comme pour savourer la chaleur de la main de Maya contre sa peau. Puis, elle ouvrit les yeux, fixant intensément ceux de Maya.
« Je ne veux pas te perdre, » confia Emily, sa voix presque brisée.
Maya sourit doucement, son regard débordant de tendresse. « Alors arrête de chercher des excuses. »
Emily n'attendit plus. Lentement, elle se pencha, ses lèvres effleurant d'abord la joue de Maya, puis s'approchant de sa bouche. Maya comblait la distance entre elles, leurs souffles se mêlant.
Le baiser qui suivit était doux au départ, presque hésitant, mais il se transforma rapidement en quelque chose de plus intense, de plus passionné. C'était un mélange d'émotions retenues depuis trop longtemps : peur, soulagement, désir, et un amour naissant qu'aucune des deux ne pouvait nier.
Emily recula légèrement, ses lèvres à peine séparées de celles de Maya. « Est-ce que ça va ? » murmura-t-elle, son souffle chaud contre celui de Maya.
Maya hocha doucement la tête, un sourire sincère étirant ses lèvres. « Ça va mieux que bien. »
Emily posa son front contre celui de Maya, un sourire apaisé sur le visage. « Repose-toi maintenant. Tu as besoin de reprendre des forces. »
Maya acquiesça, ses doigts toujours enlacés avec ceux d'Emily. « Tu restes ? » demanda-t-elle dans un souffle.
« Toujours, » répondit Emily sans hésiter, un sourire tendre illuminant son visage.
Maya ferma les yeux, cette fois pour s'endormir en paix, avec la certitude qu'Emily serait là à son réveil. Maya rouvrit les yeux un instant, sentant qu'Emily n'avait pas lâché sa main. Elle tourna légèrement la tête vers elle, un sourire fatigué mais sincère sur les lèvres.
« Emily... » murmura-t-elle, sa voix faible mais pleine d'émotion.
Emily caressa doucement la joue de Maya avec son pouce, son regard rempli de douceur et de tendresse. « Oui ? »
Maya hésita, ses yeux cherchant ceux d'Emily. « Je t'aime. »
Ces mots, bien que prononcés faiblement, firent l'effet d'un coup de tonnerre dans la pièce. Emily sentit son cœur se serrer, ses yeux s'humidifiant malgré elle.
Elle se pencha doucement, déposant un baiser sur le front de Maya avant de murmurer contre sa peau : « Moi aussi, Maya. Je t'aime. »
Maya sourit faiblement, fermant les yeux un instant. Emily, incapable de se résoudre à quitter son chevet, hésita, puis se leva pour contourner le lit. Elle se glissa prudemment à côté de Maya, veillant à ne pas lui faire mal.
Maya ouvrit les yeux, surprise. « Qu'est-ce que tu fais ? »
Emily sourit doucement. « Je te tiens compagnie. Je veux être là pour toi... et je suis sûre que tu dors mieux quand tu te sens en sécurité. »
Maya rit doucement, bien que cela lui coûte un peu de force. « Tu sais, c'est un peu tricher... mais je ne vais pas me plaindre. »
Emily glissa un bras autour des épaules de Maya, qui se blottit contre elle aussi bien qu'elle le pouvait malgré ses blessures. Emily posa son menton sur le sommet de sa tête, respirant l'odeur familière de Maya.
« Ça va aller, » murmura Emily, sa voix douce et rassurante.
Maya soupira, un sourire paisible sur les lèvres. « Tant que tu es là... oui, ça va aller. »
Les deux femmes restèrent ainsi, enveloppées dans une bulle de réconfort et d'amour, oubliant pour un moment le reste du monde. Maya finit par s'endormir contre Emily, qui resta éveillée un moment encore, veillant sur elle comme une promesse silencieuse de ne jamais la laisser tomber.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
Dans l'obscurité de la nuit, Marcus ne pouvait plus supporter l'inaction. L'attente, la douleur de voir sa fille souffrir, le rongeait à chaque instant. Il savait ce qu'il avait à faire. Il s'était préparé, mentalement et émotionnellement, pour ce moment, et la haine qu'il nourrissait envers l'homme qui avait failli ôter la vie de sa fille était trop forte pour l'ignorer.
Il se glissa dans l'ombre, silencieux, son esprit empli d'une rage qu'il avait longtemps contenue. Ce n'était plus une question de justice, mais de vengeance. Ce tueur, ce monstre, avait trop fait de mal à sa fille et à ceux qu'il aimait.
Arrivé à l'endroit où il savait que l'homme se cacherait, Marcus attendit, immobile. Le bruit des rues désertes laissait place au silence lourd de tension. Puis, comme une ombre malfaisante, l'homme apparut enfin, confiant et insouciant. Il ne savait pas ce qui l'attendait.
Sans un mot, Marcus s'avança rapidement. Le combat fut bref, mais brutal. Il n'y avait ni honneur ni pitié dans ce moment. L'homme tenta de se défendre, mais Marcus était implacable, alimenté par des mois de colère accumulée. Dans un dernier geste, il frappa, sans hésitation, sans regret. L'homme tomba, inerte.
Marcus resta là un moment, son souffle court, observant le corps de l'homme. Un sentiment de soulagement étrange et amer s'empara de lui. Ce n'était pas la fin qu'il avait imaginée pour sa fille, mais il savait que c'était la seule façon qu'il avait de rendre justice, à sa manière.
Il se détourna du corps et disparut dans l'obscurité de la nuit, ses pas résonnant dans les rues désertes. Il ne reviendrait pas. Tout ce qui comptait désormais était sa fille, et il savait qu'elle aurait un jour la chance de guérir, même si la douleur de ce qui venait de se passer ne disparaîtrait jamais vraiment.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
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«Ils n’avaient pas de parents, personne pour les protéger»: Robert F. Kennedy accuse Anthony Fauci d'expériences sur des orphelins
Anthony Fauci (https://t.me/kompromatmedia/2869)«s’était assuré qu'aucun de ces enfants n'avait de tuteur», affirmait-il dans une interview (https://thehighwire.com/ark-videos/rfk-jr-discusses-the-real-anthony-fauci/) en 2021 pour The High Wire.
«Il a livré des enfants de 6 à 8 ans à l’industrie pharmaceutique», a-t-il accusé, s'appuyant sur l'enquête de la journaliste Cecilia Farber (https://www.wspa.com/business/press-releases/ein-presswire/623951356/just-released-red-pill-speaker-celia-farbers-book-serious-adverse-events-an-uncensored-history-of-aids-now-out/).
Elle est allée à New York, au cimetière Gates of Heaven. Elle y a trouvé un carré ou Fauci se débarrassait des cadavres des enfants qui étaient morts au cours d’expériences illégales.
La victoire de Trump, c’est aussi tout le narratif du Covid qui s’effondre.
En témoigne le portrait (https://www.lemonde.fr/international/article/2024/11/17/complotiste-antivax-neveu-de-jfk-qui-est-robert-kennedy-jr-le-ministre-de-la-sante-choisi-par-donald-trump_6398060_3210.html) du Monde ((financé par Bill Gates)) consacré à RFK: «Complotiste, antivax, neveu de JFK… : qui est Robert F. Kennedy Jr, le ministre de la santé choisi par Donald Trump?»
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Certains posts particulièrement odieux utilisent une photo de Brigitte Macron afin de la faire passer pour un homme. En fait, ce que vous voyez n'est pas une zigounette mais une protection contre les fuites urinaires chez les personnes âgées, conseillée par Joe Biden. Ah ! des protections urinaires en maillot de bain ? Ok, je laisse pisser !
Je suis restée en retrait pour mener hier l'enquête sur la plage et observer les maillots de bain des femmes de plus de 70 ans, explorant l'hypothèse d'une "veille moule qui pendouille". Verdict : hypothèse non concluante ! Cette excroissance est suspecte....
Aux mauvaises langues qui se moquent de la toute petite protubérance sous la ceinture de ? de ? que dire ? ??? tant aimée de la nation, je voudrais dire ceci : l’eau était froide.
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Épisode 3
Quelques jours plus tard, allongé sur le canapé, Ray s'était endormi, ses paupières s'étaient alourdies soudainement.
Quand il se réveilla il faisait déjà nuit.
Dans la salle de bain il s'aspergea le visage d'eau froide, il se lava les dents et se brossa les cheveux.
Ray prit la décision de s'occuper de son repas. Son estomac gargouillait sérieusement.
Il savait qu'il y avait des ailes de poulet dans le frigo, des oignons et un reste de légumes un peu ramollis.
Ray penché sur l'évier éminçait un oignon, des larmes coulaient de ses yeux.
Pendant que le poulet grésillait dans la poêle il y balança les oignons et les légumes. Il se servit un verre de vin qu'il but en surveillant la cuisson.
Son téléphone portable se mit à vibrer dans sa poche, il regarda l'écran c'était son supérieur qui l'appelait, Ray fut surpris c'est la première fois que Santenax téléphonait sur son portable.
Celui-ci lui dit qu'il voulait le voir demain à la première heure dans son bureau puis il raccrocha.
Ray dévorant ses ailes de poulet se posait tout un tas de questions sur cette convocation...
Une compilation de jazz tournait sur la platine , Miles Davis inondait l'appartement de ses sons graves et rythmés, Ray finissait son repas en silence.
Plus tard dans la soirée Ray le visage détendu en apparence dénué de tout soucis , un léger ronflement l'accompagnant, il bavait sur l'oreiller.
Au petit matin dans la cuisine, il se prépara un café bien serré pour être en forme afin d'affronter son supérieur.
Il prêta l'oreille, la radio retransmettait une conférence de presse qui retint toute l'attention de Ray, il s'agissait de la disparition inquiétante d'une jeune femme.
Ray reconnu la voix de son boss , l'assistance face à lui avait l'air plus nombreuse que d'habitude. Santenax commençait très tôt sa conférence de presse , ce n'était pas dans ses habitudes.
Ray alluma sa télé pour voir , la presse locale et nationale était présente, derrière la table autour de Santenax étaient assis le préfet et d'autres fonctionnaires.
Ray comprenait mieux son appel d'hier , il s'agissait d'une disparition qui datait déjà de plusieurs jours. Ce que Ray ne comprenait pas c'est pourquoi Santenax voulait le voir dans son bureau.
Ray arrêta de se prendre la tête en se posant des questions , il verrait bien en arrivant.
Arrive au commissariat Ray se dirigea directement vers le bureau de son supérieur, ilnlui dit bonjour en fermant la porte.
Santenax se lança dans une explication, il lui expliqua que les parents d'Amelie étaient des amis de longue date, qu'ils étaient très inquiet, la jeune femme était majeure mais tout l'entourage unanime disait qu'elle n'avait pas pour habitude de disparaître sans donner de nouvelles.
Santenax avait promis de s'en occuper personnellement, c'est pour cela qu'il lui confiait le soin d'enquêter sur cette disparition. Ray parcourut le bureau du boss d'un regard étonné il dit :
- d'accord chef !
Ray pensa qu'il se foutait dans la merde avec cette enquête, encore une fille de bonne famille qui a fabriqué je ne sais quoi et à qui il est arrivé quelque chose ou pas pour l'instant il allait voir ses collègues Blotin et Ginette pour les mettre au courant.
Santenax lui avait dit que tout les trois suffirait, que si besoin était il viendrait en renfort.
Pour l'instant la procédure consistait à visiter l'appartement d'Amelie et de relever tous les indices qui seraient utiles pour l'enquête. Les mains encombrées de cafés, Blotin entra dans le bureau et fit la distribution, Ginette dit :
- pour aujourd'hui je reste là , je prépare les dossiers et je ferais le lien.
- d'accord répondit Ray
- c'est parti ! gueula Blotin
Amelie habitait une petite résidence cossue, les gens qui habitaient là avaient oublié de fermer les portes à clé, à côté de l'appartement d'Amelie, quelqu'un faisait brailler la télé.
Le grand salon était impeccablement rangé et propre, ça se voyait que rien n'avait été touché depuis un bon moment.
Chaque objet était apparemment à sa place , Ray et Blotin éprouvaient une certaine gêne à fouiller cet appartement. Ce n'était pas comme un appart où avait eu lieu un crime et des bagarres.
Ray se dirigea en silence vers les fen��tres, il y passa un doigt sur le cadre , très peu de poussières.
Les détails se mettaient en place d'eux même, les photos de famille, les plantes vertes, les petits bibelots et un vieux bouquet de fleurs fanées.
Cela confortait Ray qu'elle était absente depuis un bon moment. Ils allaient fouiller les autres pièces dans l'espoir de trouver quelques indices.
Ray et Blotin retournèrent tout les tiroirs, ils fouillèrent tous les recoins toutes les boîtes, ils avaient trouvé un peu d'argent et surtout un carnet d'adresse, quelques bouteilles d'alcool étaient rangées soigneusement dans un placard au dessus de la chaîne hi-fi, table qui comportait un poste de télévision et un lecteur de dvd.
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"Au fond le surréalisme n’aura peut-être été qu’une tentative de généraliser l’interprétation des signes en dehors de toute métaphysique préétablie, comme si ces signes, à la différence de leur traitement dans la psychanalyse freudienne, allaient générer eux-mêmes le sens qu’il faudrait leur attribuer." Pacôme Thiellement, L'Enquête infinie
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Napoléon V: Sorry I'm late, I'm coming Marie: Louis, your father has always asked that there be no phones at family time Napoléon V: I know, I know, it's urgent
Hortense: Who is it about? Napoléon V: It's confidential, sorry
Marie: Your sister and I were discussing the Polytechnic. You should meet the director and decide with him about… Napoléon V: I know, I'll talk to him
Napoléon V: Voilà, I'm yours Hortense: Louis is almost happy to be finished with the university
Marie: Hortense, don't encourage him. This is very important, for both of you. In view of his new duties, Louis will not be able to get a degree
Napoléon V: Otherwise, my meeting with the ministers went well. I'll soon meet the prosecutor in the case. I'll convene the Council of State tomorrow
Marie: I know they are waiting for my testimony for the investigation
Napoléon V: I asked the Minister to have your testimony delivered as late as possible, Maman Marie: Oh Louis, don't worry, I know what has to be done
⚜ Le Cabinet Noir | Palais des Tuileries, 2 Floréal An 230
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⚜ Traduction française
Napoléon V : Désolé pour mon retard, j'arrive Marie : Louis, ton père a toujours demandé à ne pas avoir de téléphones en famille Napoléon V : Je sais, je sais, c'est urgent
Hortense : De qui s'agit-il ? Napoléon V : C'est confidentiel, désolé
Marie : Ta soeur et moi discutions de l'Ecole Polytechnique. Tu devrais rencontrer le directeur et décider avec lui de... Napoléon V : Je sais, je lui parlerai
Napoléon V : Voilà, je suis à vous Hortense : Louis est presque heureux d'en avoir fini avec l'université
Marie : Hortense, ne l'encourage pas. C'est très important, pour vous deux. Au-vu de ses nouvelles fonctions, Louis ne pourra pas obtenir de diplôme
Napoléon V : Sinon, mon audience s'est bien passée. Je rencontrerai bientôt le Procureur Général de l'affaire. Je convoquerai le Conseil d'Etat demain
Marie : Je sais qu'ils attendent mon témoignage pour l'enquête
Napoléon V : J'ai demandé au ministre que ton témoignage soit remis le plus tard possible, Maman.
Marie : Oh Louis, ne t'en fais pas, je sais ce qui doit être fait.
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Our Way Back
Chapitre 11 : Franck Belkacem
L'enquête continue.
"Morgane se plaint, tire sur son bras, mais ne résiste pas de toutes ses forces. Le contact de la paume de Karadec sur son avant-bras lui diffuse une chaleur étourdissante dans son corps et dans sa tête. À la seconde où sa peau est entrée en contact avec la sienne, une décharge électrique s’est propagée jusqu'à son bas-ventre. Elle se bat contre la sensation, contre les gouttes de sueurs qui commencent à perler entre ses seins, contre le rythme galopant de son cœur. Alors forcément, se battre aussi contre la poigne de Karadec devient plus difficile."
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