#L'école sa sert à rien ...
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L'école sa sert à rien ... Français: je parle déjà Technologie: j'ai déjà Facebook Histoire: De toute façon ils sont tous morts Géographie: J'ai un GPS... Music: J'ai YouTube Maths: facile j'ai la base, 2+2=4 Anglais: je regarde Dora Physique chimie: je regarde c'est pas sorcier EPS: je regarde Eurosport
#L'école sa sert à rien ...#Français: je parle déjà#Technologie: j'ai déjà Facebook#Géographie: J'ai un GPS...#Music: J'ai YouTube#Maths: facile j'ai la base#2+2=4#Anglais: je regarde Dora#EPS: je regarde Eurosport
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2h23
C'est difficile de prendre l'habitude d'écrire ici.
J'ai toujours écrit, mais dans des carnets, des pensées, des petits paragraphes. Surtout lorsque les émotions se mélangeaient, me submergeaient.
J'ai envie d'essayer d'être plus régulière et surtout tenter d'écrire sans être emportée par les émotions, le tourbillons de sentiments qui m'envahie très souvent, surtout ces derniers temps.
Cela fait un an que ma mère est décédée. Mais la douleur que je ressens par rapport à ça n'est plus aussi forte. Mais cela fait 1 mois qu'une relation importante pour moi s'est terminée. Ce n'est qu'une relation, ça ne faisait que 10 mois que je connaissais cette personne et pour autant elle m'a détruit.
Comment une relation plus courte, moins construite, peut me faire plus de mal maintenant qu'elle s'est terminée que le décès de ma propre mère ?
Je ne dois pas tournée très rond. Ma psychologue me dit que c'est une question de manipulation, etc. Elle a sûrement raison, je ne suis peut-être pas assez armée contre ce genre de personnes. Elle parle aussi de difficultés affectives, peur de l'abandon, et j'en passe. Et ouais, elle a raison, et je le sais aussi depuis toujours.
Mais je me suis jetée �� corps perdue dans cette relation pensant qu'il était la solution à toutes mes questions, mes démons, que lui seul comprendrait mes pensées les plus tordues, les plus inavouables.
Lorsque j'avais 10 ans, dans mon lit, dans cette petite chambre, la nuit à travers le velux je regardais les étoiles et je me demandais s'il existait sur cette Terre une autre personne comme moi, aussi perturbée, à réfléchir autant, à ne pas comprendre l'intérêt de son existence, à ne pas se sentir à sa place.
J'ai toujours voulu faire du théâtre, peut-être parce que j'ai inconsciemment une grande facilité à jouer un rôle dans la vie depuis toujours, depuis toute petite. Paraître normale, comme les autres, même si je ne comprenais rien aux codes sociaux, aux façons de se comporter, j'essayais. Les autres enfants voyaient bien que je ne bitais rien à rien, et je finissais seule dans mon coin, dans mon imaginaire, mes questionnements.
Je ne cherchais plus à exprimer ce que je ressentais vraiment, je voyais bien que personne n'arriverait à répondre à mes interrogations ou même à en discuter avec moi. En même temps, à 5 ans, les enfants ont autre chose à faire que de discuter sur l'existence, les inquiétudes du monde et surtout tenter de comprendre à quoi on sert, à quoi ça sert tout ça et surtout le pourquoi, le fameux pourquoi. Non, à 5 ans, on joue à loup, à cache cache, on court dans la cours, on s'imagine un monde, on sociabilise, bref on évolue dans une micro société dictée par les règles de l'école d'une part, de l'éducation donnée par la sphère familiale d'une autre.
Ouais, je n'ai jamais trop compris ma manière de réfléchir, je la subis plus qu'autre chose.
Mais lorsque je l'ai rencontré, que je lui ai parlé de tout cela, de mes angoisses, mes peurs, ma non envie de continuer, mon côté désabusé, ma misanthropie, ça ne lui a pas fait peur à lui. J'ai même cru voir en lui une certaine fascination et surtout j'ai cru qu'il se retrouvait en moi, en mes démons. J'ai plongé dans cette illusion qu'était sa manière de me voir selon moi, selon ce que j'en avais compris.
Au final, il était pareil que les autres, c'est cette façon que j'avais de le considérer qui lui plaisait. Croire qu'il était différent lui donner ce sentiment de l'être, et qui n'aime pas se sentir différent de tous les autres ? On ne va pas se mentir, nous ne sommes pas si exceptionnel que ça, alors lorsqu'une femme plus âgée vous trouve ce quelque chose que les autres ne voit pas, ouais ça flatte l'égo. Surtout si cette femme plus âgée en a un peu chié dans la vie et qui paraît forte malgré toutes ses failles. C'est sûr que ça peut attirer certains hommes, et pas forcément les plus sains.
Bref, j'essaie d'avancer avec toutes ces douleurs qui se mélangent en moi. La colère. La tristesse. La honte. La peur. Le manque. L'amour. Le regret. Autant nuances de couleurs dans ma palette des émotions qui fusionnent. Je n'y vois plus trop clair.
Les anxiolytiques m'aident �� dormir, du moins à me rendre plus molle. Je suis fatiguée, tout le temps. De moi, des autres.
Je lui ai dit au revoir, l'amour c'est surtout des histoires, des menteries comme dirait Gab Bouchard.
Je ne lui ai pas dit au revoir à elle, à ma mère, mais je lui ai écrit une lettre que j'ai glissé dans son cercueil.
J'aurais préféré l'inverse finalement.
Malgré ma bienveillance à son égard, il m'a traité comme si j'étais la pire des personnes qui existent sur Terre. C'est fou comme on peut être la plus belle personne pour quelqu'un et en même temps la pire personne qui n'ait jamais existé.
Les gens peuvent être si méchant, blessant, injuste. La remise en question n'est pas quelque chose d'inné et surtout, j'ai l'impression, ne s'apprend nulle part.
Ouais, je vous écris ma vie, mais je m'en fiche un peu. J'en ai besoin.
Cela fait 20 minutes, que je crache tous ces mots, sans vraiment savoir vers quoi je vais.
J'essaierai de recommencer demain.
Un ami m'a dit que la personne la plus importante c'était moi, que j'étais une personne formidable et donc quelque part que j'avais de la chance d'être seule avec moi, cette fille si formidable.
Il a le don de me faire sourire même lorsque je n'ai qu'une envie c'est de m'endormir pour toujours. Lui, il sait me dire ces mots qui me laisse un jour de sursis. Un jour de plus ici. Un jour de plus à écrire.
Je pleure, encore. Je ne pensais pas avoir autant de réserve de larmes. Lorsque ma mère est décédée, je me retenais de pleurer devant mon père pour ne pas lui montrer que sa fille était aussi effondrée que lui. Il fallait une personne qui garde les yeux le moins embrumés possible pour tout gérer.
Mais pour autant, je me suis surprise à payer les courses à la caisse du carrefour, avec des larmes qui coulaient et tombaient sur le terminal de paiement. Je ne les voyais même plus venir, je ne les ressentais plus. Elles coulaient, juste.
Maintenant, je les sens monter, donc j'arrive plus facilement à les arrêter. C'est déjà un progrès, non ?
Ce même ami, m'a dit que ce n'était pas grave de pleurer, que ça pouvait même faire un grand bien. Il a raison, je crois, mais pourquoi par moment ça m'effraie autant ?
Je n'y arrive plus, à croire en la bienveillance des autres purement. Donc, je réapprend à lire les conseils, à les écouter.
Je suis une femme formidable comme il dit, intelligente, douce, et j'ai une jolie voix. Je vais garder ces mots en tête cette nuit.µ
Possiblement ma nuit sera plus douce grâce à ces mots.
Merci de m'avoir lu, même si ça ne mène à rien.
J'en avais besoin.
A bientôt.
#french#hypersensibilité#pensées#nuit#insomnie#deuil#solitude#douceur#perdu#relationship#rupture#love#peur#depressing life#écrire
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L'IMPÉNITENCE DE NOS NATIONS 💀💀💀
Amos 4 ( 11-13 ) l'impénitence de nos nations !
Je vous ai bouleversés,
Comme Sodome et Gomorrhe que Dieu bouleversa,
Et vous avez été comme un tison arraché de l'incendie.
Malgré cela , vous n'êtes pas revenus à moi .
Oracle de l'Éternel...
C'est pourquoi voilà ce que je vais te faire , ô Israël !
Et puisque je vais te faire cela,
Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu , ô Israël !
Car voici , Celui qui forme les montagnes et crée le vent
Et qui fait connaître à l'homme ses pensées,
Celui qui change l'aurore en ténèbres
Et qui marche sur les hauteurs de la terre :
Son Nom est l'Éternel des armées.🔥
Que voyons-nous depuis des décennies, le monde se transformer en fange, déliquescent et imperméable à toute morale !
La génération d'Amos était dans cette même situation, et l'Éternel a montré sa désapprobation et les a punis .
La délinquance est de plus en plus grande puisque non punie , on voit aux Etats Unis, les ventes d'armes libres augmenter de façon exponentielle, chacun fait sa justice ( tueries quotidiennes) .
Les gens ont peur , la pègre règne partout dans certains quartiers où la drogue et la prostitution se côtoient et deviennent inaccessibles à la police .
Il y a un relâchement total des principes fondamentaux de la famille : divorces et unions libres sont la norme de beaucoup de famille :
Qui deviennent monoparentales, recomposées.
Et nos enfants dans tout ce panier de crabes , que leur sert-on à l'école ?
Déjà qu'ils appartiennent à une république laïque , pas le droit de parler d'un certain Créateur sous peine de sanction mais on leur enseigne l'existence des dieux antiques grecs et latins et égyptiens .
Que leurs ancêtres étaient des petits singes qui par la théorie de Darwin , se sont mis à évoluer en humains...
Une nouveauté : nos enfants dès le plus jeune âge apprennent l'existence du transgenrisme !
Oui, on leur enseigne que leur sexe n'est pas forcément défini , qu'ils pourront s'ils le désirent en changer !
Vos filles seront peut-être vos futurs garçons et vice et versa ...
Ce n'est pas tout : on leur apprend que jouir de leur sexe très jeune est épanouissant ( ça a dû être écrit par des pédophiles) .
Le harcèlement sur internet avec une méchanceté incontournable pousse certains enfants au suicide .
On en vient à parler des avortements ( chez les très jeunes filles , de plus en plus nombreux),
Comme vous savez, on a repoussé la date de l'avortement a plus de 12 semaines.
Que voient-ils ?
Des modes dépravées, portées par des mannequins anorexiques,
La grande faveur du monde pour les LGBT ,(à souligner qu'ils sont invités à l'Elysée, ça ne s'était pas encore vu ! ) .
À leur suite , les gaypride...
défilés de personnes tatouées, arborant drapeaux et croix gammés etc ...J'en passe ...le monde de la chair.
Les gouvernements se succèdent, et les choses demeurent : RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL !
Est-ce que cette société met en avant le mérite, la bienveillance, l'éducation , le civisme et le respect d'autrui ?
Non , le monde court à sa perte et nous sommes comme aux temps de Noé !
Pourquoi ?
Parce que DIEU ne fait plus partie de ce monde !
On a chassé notre DIEU de nos pays et celui qui règne en maître est le Prince de ce monde : Satan !
Et sa méthode est d'égarer les personnes par des loisirs malsains , par l'impudicité, par la convoitise, la distraction afin d'influencer les personnes à ne pas réfléchir, à rester sous contrôle, à être manipulables : les élites illuminati et francs maçons qui lui appartiennent l'ont bien compris !
Ce monde a une fin et elle est proche car Dieu ne va pas laisser faire indéfiniment .
Ce qui était un avertissement pour les israélites du temps d'Amos , est valable pour nous aussi !
Car nous sommes l'Israël de Dieu !
Hébreux 12 ( 12-15 )
C'est pourquoi redressez les mains abattues et les genoux paralysés .
Que vos pieds suivent des pistes droites , afin que ce qui est boiteux ne devie pas , mais plutôt soit guéri .
Recherchez la paix avec tous , et la sanctification sans laquelle personne ne verra le Seigneur.
Veillez à ce que personne ne se prive de la grâce de Dieu ; à ce qu'aucune racine d'amertume ne produise des rejetons et ne cause du trouble , et que plusieurs n'en soient infectés.
Prions et veillons bien-aimés dans le Seigneur,
Repentons-nous pour ces blasphèmes faits à Dieu !
Élevons son Nom au dessus de nos nations corrompues, brisons les décrets démoniaques dans le Nom de JÉSUS-CHRIST de NAZARETH ✝️.
Prions par le Saint Esprit 🔥 afin qu'Il nous ouvre nos yeux spirituels et nous fortifie chaque jour , nous conduisant dans toutes les voies qui plaisent à Dieu 🔥.
Soyez bénis mes Biens-aimés Amis, frères et sœurs dans le Nom précieux et parfait de JÉSUS-CHRIST de NAZARETH notre Sauveur et Roi ✝️❤️🔥
Amen ❤️
Ghislaine Wackenier
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peut-être que je suis juste dramatique, mais depuis fin décembre, presque tous les jours, je me sens tellement mal. je me suis senti tellement déprimé/engourdi, je n'ai pas passé un seul jour sans pleurer depuis janvier, j'ai été si douloureusement conscient de ma propre existence et de sa fin inévitable, j'ai cette paranoïa omniprésente comme si quelque chose de terrible allait se produire à à tout moment ou comme si je manquais de temps ; rien ne semble bien. Je me sens constamment mal à l'aise, comme si j'étais mal placé - à l'école, à la maison, n'importe où. j'ai presque peur de dormir la nuit, ce qui ne fait qu'empirer les choses. c'est un peu mieux quand je suis distrait d'une manière ou d'une autre ((famille, amis, devoirs, etc.)), mais dès que je suis seul avec mes propres pensées, je me sens mal. la réalité semble fausse, ou comme si elle n'existait tout simplement pas ; comme si je n'existais pas. j'ai l'impression de me dévorer vivant de l'intérieur mais est-ce vraiment moi si je ne peux pas arrêter les pensées ?? ou est-ce que j'apprécie inconsciemment d'une manière ou d'une autre ?? j'ai peur d'être seul mais j'ai l'impression que j'ai besoin de l'être ?? je pense que j'ai plutôt peur d'être oublié. je ne veux pas exister, mais ce n'est pas d'une manière particulièrement suicidaire. J'ai trop peur d'être oublié après ma mort, mais j'ai l'impression que cela pourrait aussi être un moyen de prouver que quelque chose ne va pas, le cas échéant. mais pourquoi j'essaie de le prouver ?? à qui je le prouve ?? à quoi ça sert si je ne suis pas là pour dire "je te l'avais bien dit", aussi égoïste que cela puisse être ?? je préférerais ne jamais avoir existé pour ne pas pouvoir vivre cette crise dès le départ. Certes, j'ai des jours meilleurs où je me sens à nouveau comme moi-même et je suis relativement heureux, mais ceux-ci sont si rares et espacés. ça n'a jamais été aussi grave auparavant et je suis si fatigué et je ne sais pas quoi faire et j'ai peur et je suis désolé c'est si long et incohérent
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Elle dit *il faut être rusé, introduire de la ruse dans le texte... On ne veut plus du témoignage, on ne veut plus de la voie directe ni de la transparence. Efficace pour quoi faire? Bien écrire ? Quoi? La langue de l'école? Merci bien!* Je me retourne d'un mauvais sommeil sous ses injonctions piquantes, je comprend bien qu'elle dit en gros revenez-en de vos mauvaises imitations d'Annie Ernaux. Quintane aime inquiéter et défaire. Elle est désagréable et je ne suis pas rusée, elle est vive et je ne peux pas m'empêcher de l'écouter, elle ne nous laisse pas tranquille, je la suis tout autant qu'elle me vise mais je ne peux pas trop me défendre, j'essaie de trouver un pantalon à enfiler pour faire mon chiffre, rien ne vient à me mettre sous la main et l'heure tourne. J'arriverai en retard, dans quel état trouverai-je le bar? S'il faut mettre de la ruse dans le texte, il faut du beurre dans les épinards, je dois filer pour mon shift. Je voudrais écrire comme elle pointe et faire des drinks renversants bien qu'équilibrés. Je suis désorganisée, je devrais me faire des fiches comme celles que X m'a montrées hier et qu'il traîne avec lui dans un fatras de documents. J'y noterai tout ce qu'il faudrait et plus encore les choses à éviter, plus deux ou trois recettes on ne sait jamais. Lui dit *J'ai l'esprit d'escalier*. Je dis *comme tes lettres* pointant le titre d'une des fiches que j'oublie mais qui comporte deux mots avec chacun un N dont le trait descendant est dessiné en escalier. Il est déshydraté mais ne touche pas au verre d'eau que j'ai posé à coté de lui. Je passe de ses lèvres sèches à ses yeux noirs pointus derrière le verre graisseux des lunettes métalliques. Je navigue à vue avec l'intuition de l'humour, amollissant mon corps tout en essayant de rester vive, fais gaffe je ne suis pas une dinde. Il me lit un texte qu'il a écrit, sa langue est précise, je reconnais la France là-dessous, une finesse au service de l'arrogance qui blesse celui qui s'en sert. Il est mal fagoté, engoncé dans un corps mal traité par le délire mais ses mots sont choisis, éduqués, joueurs. Son texte ruse-t'il ? Non, je ne crois pas. Il dit *Alors quoi? Il ne me reste que les yeux pour pleurer ?*.
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QUAND LE CRÉATEUR S'EST PROPOSÉ DE CRÉER UN ÊTRE À SON IMAGE ET À SA RESSEMBLANCE, UNE CHOSE QUE NOUS N'AVONS PAS COMPRIS, C'EST QUE POUR QUE DIEU ATTEIGNE CET OBJECTIF AVEC NOUS, MES CHERS AMIS, CELA DEMANDE OBLIGATOIREMENT NOTRE ACCORD ET NOTRE COLLABORATION.
DONC L'ENFER EXISTE UNIQUEMENT POUR RESPECTER LE CHOIX DE TOUS CEUX QUI NE VOUDRONT PAS DEVENIR SUR TERRE L'IMAGE ET LA RESSEMBLANCE DU CRÉATEUR, TOUT SIMPLEMENT.
Jésus par sa vie nous a montré la voie à suivre, en vivant qu'il ne faut rien faire, si Dieu ne nous parle pas personnellement et individuellement.
En effet, Jésus ne faisait rien sans que Dieu ne s'adresse personnellement à lui.
Le Seigneur Jésus par sa vie nous a montré ce qu'est un être humain à l'image et à la ressemblance de Dieu.
Ne l'as-tu toujours pas compris, cher ami(e) ?
DONC QUE CHACUN DE NOUS DEVIENNE COMME JÉSUS, EST POUR LE CRÉATEUR, L'OBJECTIF QU'IL S'ÉTAIT FIXÉ EN NOUS CRÉANT.
Te dire que tu n'arriveras jamais à devenir comme le Seigneur Jésus, c'est donc forcément frustré Dieu.
Car tu as été créé pour uniquement devenir comme Jésus.
Commences-tu à comprendre le vrai message des Livres Saints ?
L'OBJECTIF RÉEL DES LIVRES SAINTS EST DE SIMPLEMENT TE RACONTER L'ÉVOLUTION DE L'HUMANITÉ VERS LE BUT DIVIN, QUI EST QUE NOUS RESSEMBLIONS AU CRÉATEUR.
Considérer donc que tu ne pourras jamais faire mieux que les personnages des livres Saints est contre-productif, car toutes ces personnes nous ont précédées pour nous donner le flambeau, dans le but que nous fassions mieux qu'eux.
Bien sûr, Jésus étant Dieu lui-même, notre objectif est de devenir comme lui.
Donc, vas-tu atteindre l'objectif divin, fixé à chacun de nous ?
Feras-tu partie des élus, c'est-à-dire de ceux qui se laisseront transformer par le Créateur, durant leur séjour terrestre ?
PEUT-ÊTRE AS-TU DU MAL AVEC LE TERME CONTEMPORAIN QUI EST "LA CONSCIENCE".
C'EST EN RÉALITÉ LE MÊME MOT QUE "LE CŒUR" OU QUE LE MOT "ESPRIT", SI TU VEUX.
DIEU VEUT QUE L'ON VIVE PAR NOTRE CŒUR OU PAR NOTRE ESPRIT, DONC PAR NOTRE ÊTRE PROFOND INTÉRIEUR, NOTRE CONSCIENCE.
C'est ce qu'a fait le fils prodigue quand il est arrivé au bout de lui-même.
En réalité, c'est le fait de faire tout ce que l'on veut, en bien et en mal, qui nous pousse petit à petit, à force d'être déçu par nous-même, à vivre, de plus en plus, par notre cœur ou par notre esprit, donc par notre propre conscience.
CAR DIEU NE PARLE PAS À TA TÊTE.
En effet, ta tête ou ton intelligence ou ta logique humaine, tient compte uniquement, de tout ce qu'il est possible aux êtres humains de faire sans l'intervention surnaturelle divine.
L'intelligence humaine, est plus de la mémoire qu'autre chose, en réalité.
Ce qui fait, que tant que tu vivras par ton intelligence humaine, c'est comme si pour toi, Dieu n'existe pas, en réalité.
Car Dieu ne vit pas à ce niveau-là, mes chers amis.
Dieu ne vit dans aucune frontière mentale.
Ton imagination ne saurait limiter le Créateur, tellement ses possibilités et ses capacités sont infinies.
Marcher avec Dieu demande de mettre souvent de côté son intelligence humaine, cher ami(e).
"Faites entièrement confiance au Seigneur et ne vous fiez pas à vos propres opinions. De tout votre cœur, comptez sur lui pour vous guider, et il vous guidera dans toutes les décisions que vous prendrez. Devenez intime avec lui dans tout ce que vous faites, et il vous conduira partout où vous irez. Ne pense pas un instant que tu sais tout, car la sagesse vient lorsque tu l'adores avec une dévotion sans faille et que tu évites tout ce qui est mauvais."
DE PLUS, L'ÉCOLE SERT EN RÉALITÉ À FAIRE DE L'INTELLIGENCE HUMAINE, NOTRE VÉRITABLE DIEU.
L'INTELLIGENCE HUMAINE SANS LA CONSCIENCE OU LE CŒUR, CRÉE TOUTES LES HORREURS QUE NOUS AVONS SUR TERRE.
REGARDE, PLUS UNE PERSONNE A DES CONNAISSANCES, PLUS ELLE A DU MAL À CROIRE EN DIEU ET À FAIRE CONFIANCE QUE TOUT SOIT POSSIBLE AVEC LE CRÉATEUR.
J'ai un diplôme d'ingénieur, mais je reconnais aujourd'hui, que ma façon de penser que l'école m'a donné, ne m'a pas aidé à développer la chose la plus importante, qui est le fait d'avoir une relation personnelle avec le Créateur.
Après la fin de mes longues études à l'université, la foi pour moi était compliquée à avoir.
Faire confiance à Dieu pour les choses de la vie était extrêmement difficile pour moi.
En effet, mon refuge à l'époque, était la logique humaine et non ce que Dieu était capable de faire.
J'avoue qu'encore aujourd'hui, je compte encore trop sur mon intelligence humaine pour m'en sortir de mes problèmes.
Mais petit à petit, Dieu me rééduque, à de moins en moins compter sur moi-même.
J'aime d'ailleurs les problèmes, dans le sens, qu'ils m'aident à me situer dans mon évolution vers l'image et la ressemblance de Jésus.
Car sais-tu que compter sur son intelligence humaine pour obtenir des solutions, c'est compter sur soi-même ?
ES-TU SÛR QUE TOUTE LES SOLUTIONS QUE TU TROUVES DANS TA VIE PERSONNELLE, T'ON ÉTÉ DONNÉ PAR DIEU OU VIENNE DE TOI-MÊME ?
DONC AVANT QUE LE CRÉATEUR NE SOIT VÉRITABLEMENT TON DIEU, TU DOIS ARRÊTER D'ÊTRE TON PROPRE DIEU, CHER AMI(E).
C'est justement ce que Job et le Fils Prodigue ont appris, pendant leur parcours de vie terrestre respectif.
Ces deux personnages des livres Saints ont appris que le bonheur ne se trouve ni dans l'argent, ni dans le plaisir, ni dans la famille, ni dans les possessions, ni dans la bonne réputation, etc.
Ils ont appris à valoriser les difficultés de la vie, qui sont quelque part, notre véritable enseignant, si on veut bien suivre notre propre cœur, donc notre propre esprit, ou encore notre propre conscience, qui représente l'esprit de Dieu, en chacun de nous, en réalité.
En effet, rappelle-toi que Dieu se considère en chacun de nous, durant tout le temps de notre séjour terrestre.
T'en rappelles-tu, cher ami(e) ?
"Alors l'Éternel dit : Mon esprit ne restera pas à toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans."
LE JOUR QUE TU RÉALISERAS QUE TOUT EST FAIT POUR T'AIDER À DEVENIR COMME JÉSUS.
TU COMMENCERAS À PRENDRE TON PIED DANS LA VIE ET À TE RÉJOUIR, MÊME DANS LES PROBLÈMES.
CAR TU SAURAS QUE DIEU TE REGARDE ET QU'IL TEST ET ÉPROUVE TA CONFIANCE EN LUI.
En effet, à la fin, plus tu feras inconditionnellement confiance à Dieu, plus tu ressembleras surnaturellement à Jésus ?
Donc forcément, moins tu feras confiance à Dieu, moins tu ressembleras à Jésus.
Autrement dit, plus tu feras inconditionnellement confiance à Dieu, plus tu vivras dans la sainteté surnaturelle de Jésus et plus tu expérimenteras sa vie remplie de miracles.
De même, moins tu feras confiance à Dieu, moins tu vivras dans la sainteté surnaturelle de Jésus et moins tu expérimenteras sa vie remplie de miracles.
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Les Aspid
Amanda Sullivan et Mentis Aspid font leurs études à Poudlard, ils se rencontrent à leurs 16 ans et commencent à sortir ensemble quelques années plus tard. Lorsqu'ils ont 18 ans, Amanda tombe enceinte, et accouche d'un petit garçon : Ezra. Ils décident de prendre leurs responsabilités en main, et se dégottent une petite maison au 22, Charlister Road, grâce à leurs économies. Très vite, Mentis trouve un travail en tant que fonctionnaire au ministère de la Magie. Il est mal payé, doit travailler jour et nuit, mais il n'a pas le choix s'il veut avoir des ressources pour préparer l'arrivée de leur enfant. Amanda trouve un poste de botaniste sur le Chemin de Traverse, mais très vite la grossesse prend le pas, et elle doit se mettre en arrêt. Quatre ans plus tard, ils se marient. Ils hébergent pendant un temps un jeune couple, qui leur rappelle un peu leur propre histoire ; Zoe et Jordan ont quitté leurs familles pour vivre ensemble, sans le moindre sous en poche. Les Archer finiront par devenir leurs voisins.
Aux 6 ans d'Ezra, sa petite sœur naît : Aspen. Leurs parents ont des relations plus ou moins cordiales, mais ont généralement tendance à délaisser leurs enfants. C'est Ezra qui s'occupera le plus de sa petite sœur durant les premières années de sa vie.
Deux ans plus tard, le même schéma a lieu avec la naissance de Graham. Encore une fois, les petits frères et sœurs d'Ezra sont très jeunes, et leurs parents ne leur prêtent pas suffisamment d'attention. Ezra ne se fait pas d'amis à l'école primaire parce qu'il a peur d'oublier ses frères et sœurs.
Aux 11ans d'Ezra, sa deuxième sœur naît : Frida. Ezra se rend compte qu'Aspen commence à développer sa personnalité, qu'elle aime la musique, qu'elle a envie de jouer avec des instruments. Il demandera aux parents de lui acheter une petite guitare pour les enfants, afin qu'elle puisse assouvir ses envies de musique.
Ezra fera sa rentrée à Poudlard. Il culpabilise énormément de laisser ses frères et sœurs derrière lui, il a peur qu'il ne leur arrive quelque chose en son absence. Il passera toute son année à chasser les autres enfants qui veulent devenir son ami, il les trouve trop puériles. Il sera très concentré en classe et sera le premier de sa promotion.
Lorsqu'Ezra a 16 ans, Amanda tombe enceinte de Tyson, le benjamin des Aspid. Amanda et Mentis ont fini par inscrire Aspen à des cours de musique, notamment de guitare, pendant qu'Ezra était à Poudlard. Graham et Frida entretiennent une relation très fusionnelle, ils forment bande à part. De plus, les parents recouvrent Frida de jouets, parce qu'ils ont peur qu'elle se sente rejetée avec l'arrivée imminente de leur dernier enfant.
Ezra est en sixième année à Poudlard, à Poufsouffle. Il brille dans toutes les matières depuis six ans déjà, mais se sent très seul. Il évite systématiquement quiconque voulant se rapprocher de lui. Au fur et à mesure des années, et à force de ne pas vouloir se rapprocher des jeunes de son âge, il a développé une peur de la foule et de l'inconnue. Il ne supporte pas l'idée que quelqu'un qu'il ne connaisse pas vienne vers lui, encore moins s'il s'agit d'un groupe de personnes.
Les élèves croiront que parce que Monsieur est premier, il les snobe. Ezra se fera harceler à partir de sa cinquième année : boulettes de papier lancés sur lui, blagues douteuses, insultes, menaces de mort écrites sous forme de lettre... il ne dormira plus dans son dortoir, mais dans la Salle sur Demande. Mais il ne craque pas, parce qu'il sait que sans lui, sa famille exploserait en mille morceaux.
Jusqu'à ce qu'il se rende compte, durant les vacances de noël, que tout le monde semble avoir appris à vivre sans lui. Aspen va à ses cours comme une grande, Graham surveille, amusé, Frida et ses goûters improvisés... Personne n'a plus besoin de lui, mais Ezra ne vit que pour prendre soin d'eux.
Alors, lorsqu'il comprendra qu'il ne sert plus à rien, il craquera.
En mai 2009, Ezra se suicidera. Un mois plus tard, son petit frère Tyson naîtra.
Très vite, le drame détruit les Aspid. Amanda entre en dépression, traumatisée par la mort de son aîné ; Mentis, lui, ne peut plus rentrer chez lui. Partout, il a l'impression de voir le fantôme d'Ezra. Leur couple se fragilisera, les deux s'éloignant l'un de l'autre peu à peu.
Les voisins des Aspid, les Archer, assistent à l'enterrement d'Ezra. Zoe était devenue la marraine d'Ezra, quelques années après leur emménagement. Elle épaulera Amanda, l'accompagnera consulter des psychomages. Elle gardera leurs enfants de temps. C'est d'ailleurs ainsi qu'Aspen Aspid et Headley Archer se rencontrent, durant leur enfance.
Durant son adolescence, Aspen fuguera quelques jours les Archer. Zoe ne dira rien, mais elle préviendra ses parents pour qu'ils ne s'inquiètent pas. Lorsqu'elle verra qu'Aspen et Headley ont la musique en passion commune, elle encouragera la création de leur groupe de musique. Cependant, quelques temps plus tard, Aspen découvrira les infidélités de son père, Mentis.
Suite à la mort d'Ezra, Zoe verra qu'Aspen veut reprendre le rôle de son frère et s'occuper de tout le monde, au détriment d'elle-même. Mais Zoe ne la laissera pas faire, par peur qu'elle ne finisse comme Ezra. Zoe ne lui dira rien, mais la forcera à prendre du temps pour elle, profiter de son adolescence, pendant qu'elle gèrera les petits.
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2/2 : Chapitre 8 : Ever, dans lequel tout le monde parle pour ne rien dire.
10 octobre 2022, 17 heures 01, Salle commune de Poufsouffle, PDV Estelle McGraw.
GAME OVER.
- Non.
Je secouai mon jeu moldu, que j'avais juste légèrement fait ensorceler par les jumeaux Parrish pour qu'il fonctionne à l'école. Car tout une année sans jeux vidéo, c'était absolument impensable pour une fille telle que moi.
- NON ! hurlai-je, au désespoir.
- Quoi encore, Stella ? me demande Minna, assise à côté de moi, en train - comme à son habitude - de rêvasser en regardant par la fenêtre.
- MAIS CE JEU EST COMPLETEMENT DÉTRAQUÉ ! Je ne sais pas ce que les Parrish lui ont foutu, mais il est pété.
- T'as perdu, c'est ça ? se moqua Roman Joey, un débile qui me drague à longueur de journée.
- Je... Je n'étais pas censée perdre ! me défendis-je en agitant la console de jeux comme une preuve accablante de son défaut. Il y a sûrement un fil qui n'est pas branché à sa place, ou bien un...
Je m'interrompis en voyant que Minna était déjà repartie dans son monde, perdue dans ses pensées. Parfois, elle me fait penser à Stella Scamander, en quatrième année à Serdaigle. Je soupirai et pressai le bouton vert, Again. La petite musique horripilante (et que j'adore) du jeu fit sursauter ce brute de Roman. Je souris et recommençai une partie. (J’oubliais qu’Estelle était une gameuse mauvaise perdante c’est rigolo)
J'étais sur le point d'exterminer le maléfique Docteur Wrong (Docteur Wrong hahaha) quand Poema me fit sursauter à mon tour.
- ESTELLE ! MINNA ! cria-t-elle. On devrait se mettre en route.
- Vous allez où ? s'enquit Roman Joey.
- Dans ton c... commençai-je, mais Poema me fit taire d'un regard.
- Au lac noir, répondit Minna d'une voix lointaine.
- Tu n'étais pas censée le dire, mais bon ! soufflai-je en rangeant mon jeu dans un petit sac en bandoulière. (POURQUOI PAS ??? Elles se la jouent tellement mystérieuses pour rien ça m’énerve !!!)
- Sérieux, McGraw, tu prends ton jouet avec ? se moqua Roman en levant les yeux au ciel.
Je dois reconnaître une chose : il est plutôt mignon. Il a des cheveux blond cendré et des yeux d'une couleur indéfinissable, pleins de chaleur et de joie de vivre. Mais mon coeur appartient à quelqu'un d'autre, aux yeux d'un bleu glacé. (Gênant) Quelqu'un qui, malgré ce détail physique, me fait fondre. (Ah ok j’ai compris… fondre… glacé…. C’est hyper mal formulé lol)
- Ouais ! acquiesçai-je en mettant mon sac... eh bien, en bandoulière. (CAN I JUST WRITE NORMALLY ???)
Je me dirigeai ensuite vers le dortoir des filles où je remplaçai ma jupe d'uniforme par un jean slim noir. Poema et Minna avaient remplacé entièrement leur tenues. Poema portait une tenue sage et soignée, un jean anthracite avec un pull jaune pâle, et Minna était habillée dans différents tons de violet, du mauve à l'aubergine. (ON S’EN FOUT)
- Je suis prête, affirmai-je. Au fait, Poema, tu payeras ça.
- De quoi ?
- Tu le sauras bien assez tôt !
- Elle a perdu à cause de toi, traduisit Roman, au centre de la salle commune.
- Ferme-la ! Tu me casses tous mes effets de style, espèce de sale petit... (Y’a aucun effet de style.)
- Estelle. On y va, dit doucement Minna en me prenant par les épaules.
Nous sortons de la salle commune en discutant quand - oh malheur - nous croisons Lilas Ames, l'horrible soeur de mon bien-aimé, qui nous sert le couplet des Ollivander traîtres à leur sang, les McGraw pauvres et roux, des Whisper complètement tarés, et finit en beauté avec les Poufsouffles lâches et faibles. Comme à son habitude, Poema déclare : (Bonjour Drago Malefoy)
- Souviens-toi bien de Cédric Diggory, apprends son histoire et on en reparlera ! Viens aussi me défier en duel et tu verras la puissance de Poufsouffle ! (Je me souviens que j’avais demandé à Manon comment réagirait Poema et copi��-collé sa réponse… gros bref.)
Sur cette réplique, nous dépassons d'infâme Serdaigle et nous sortons du château, direction le lac noir. En chemin, nous croisons Amy. Sa démarche m'intrigue : elle est d'ordinaire déterminée, elle ne dégage là qu'une impression de soumission. (???) On dirait qu'elle avance comme un robot. Quand elle croise notre regard, ses yeux verts sont froids et vides. Elle ne semble pas nous reconnaître, sauf quand Minna l'interpelle.
- Amy !
- Salut.
C'est tout. Pas de "Comment va la rouquine ? J'ai entendu hurler depuis ma salle commune, t'as encore perdu ta partie ?". Ni de "Hey, Whisper, t'es sur Terre ! Ca faisait longtemps !". Et pire encore, pas le moindre "Alors Poema, t'as analysé combien de baguettes aujourd'hui ? Trente ? Non, seulement ?!". (Donc en gros, elle se comporte poliment et respectueusement de ses potes et c’est bizarre ? Lol) Les autres ne semblent pas avoir remarqué l'absence de ces petites répliques assassines qui font le charme absolu de notre Amy. (Elles sont vraiment amies ou…) Je fronçai les sourcils, un peu contrariée. Nous nous dirigâmes, toutes les quatre et dans un silence inhabituel, vers le lac noir. Alice et Diana étaient déjà sur place. Les deux Gryffondor bavardaient insouciemment. Nous prîmes place à côté d'elles et attendîmes Aurélie.
- C'est quand même fou, ça, c'est elle qui fixe le rendez-vous et elle trouve quand même le moyen d'être en retard ! reprochai-je en riant.
- Ah, la voilà ! nous indiqua Alice en pointant une jeune fille aux longues boucles blondes qui arrivait en gambadant vers nous.
- Qui ça ? demanda Minna, toujours dans la lune.
- Rendors-toi, conseilla Amy - et je fus rassurée sur son compte.
- Hi ! nous salua Aurélie en s'asseyant (ou plutôt en se laissant tomber) auprès d'Amy. Désolée pour le retard, je suis allée chercher des Tagadas.
Son visage se décomposa.
- Oh, non... J'ai... Je ne peux pas avoir oublié... Apparemment si... (elle est un peu conne)
Poema éclata de rire.
- Accio Tagadas ! s'écria Aurélie, baguette levée.
Rien ne se produisit. Elle réessaya, et un paquet de Tagada vola enfin vers elle et fonça vers l'eau sombre du lac.
- ATTENTION AU LAC ! cria Alice.
- Oups !
Aurélie tendit la main et arrêta le sachet au vol, par télékinésie. A côté, notre chère Minna semblait un modèle de sérieux et de rigueur. Amy lève les yeux au ciel, et Alice prend une Tagada. (Leur groupe d’amies est nul, voilà.)
- C'est tellement meilleur que vos conneries de Chocogrenouilles, commenta Diana en l'imitant, riant.
- Je ne te permets pas ! bondit Aurélie. Les Chocogrenouilles, c'est du chocolat. Donc, c'est supérieur à tout sur cette planète. T.O.U.T.
- D'accord, agréa Alice sans grande conviction.
- Je ne suis pas venue pour écouter vos enfantillages, les fit cesser Amy en levant les mains. Aurélie.
- Ah, euh, oui, pardon. Posez vos questions. On va procéder de cette façon, d'accord ?
- Je me fiche de la maniète, ce qui compte c'est le résultat, risposta froidement Amy. (Euuuuh…)
Minna, Poema et moi échangâmes des regards perplexes.
- Ca va, Amy ? se risqua Poema.
L'intéressée hocha la tête.
- En fait, vous vous en foutez complètement de mes rêves, crut deviner Aurélie en croisant les bras. (Mais tu leur as même pas dit que t’allais parler de tes rêves si ?)
- Tu ne vas pas bouder ! dit Minna.
- Non, bien sûr. Je n'ai plus trois ans, ronchonna notre amie de Serdaigle.
- Ca fait combien de temps que tu fais ces rêves ? demandai-je, ouvrant ainsi la foire aux questions.
- Peu après la rentrée, répondit Aurélie. Et à chaque nuit avec un rêve, je reçois un message.
Nous étions toutes sans exception suspendues à ses lèvres. Même Minna avait abandonné ses rêveries.
- Des messages ? répéta-t-elle justement.
- Des messages. Comme celui-ci. Il est daté du 29 septembre ; c'est la nuit où j'ai fait le premier rêve.
- Le jour de l'anniv de Poema, remarqua Minna.
Aurélie nous tendit un morceau de parchemin, sur lequel étaient tracés les mots : Per inania regna.
- Ca veut dire quoi ? demandis-je, me sentant bête.
- "Dans le royaume des ombres", traduisit Poema. (elle parle latin en plus wow que ne sait-elle pas faire ??)
- Inquiétant, jugea Alice en reprenant une Tagada. Tu en as reçu d'autres ?
- Oui, un, dit Aurélie en sortant un second message de sa poche après l'avoir un peu fouillée. C'était dans la nuit du 2 au 3 octobre. C'est cette nuit-là que j'ai rêvé de Lethan Molenski.
- C'est qui, Lethan Molenski ? s'intéressa Minna.
Je pris le papier en main. Il y était écrit : Hoc signo vinces.
- Euh... commençai-je, mais Poema me précéda.
- Par... signe... Tu vaincras par ce signe, lut notre amie en me prenant le papier des mains. Ensemble, donc, ça donne "dans le royaume des ombres, tu vaincras par ce signe".
- Sans blague ? ironisa Amy, silencieuse jusqu'à présent.
- T'as raison, Pop... dit Aurélie en reprenant les deux papiers et les mettant côte à côte. Je n'avais jamais songé à les réunir.
- Et c'est à Serdaigle, se moqua notre amie de Serpentard.
- Oh, la ferme, cingla l'autre en haussant les épaules. (L’autre ? Poor, poor writing) Lethan Molenski est le fils d'Ignace Molenski, Ignace Fulgor Molenski d'après Deathly Hallow, et...
Elle frissonna.
- Il est mort quand il a refusé l'allégeance au... Seigneur Noir.
- C'est le nouveau nom de Deathly Hallow ?
- C'est un peu kif-kif comparé au "Seigneur des Ténèbres", expliqua Au' en mimant des guillemets avec ses doigts. (Totalement)
- Raconte-nous ce rêve, Aurélie, s'il-te-plaît... dit doucement Poema. (JE M’ENNUIE. PITIE. JE ME FAIS CHIER. GET TO THE FUCKING POINT.)
- D'accord. Ce... Ca se passait dans une espèce de grange très sombre... Délabrée. Eclairée seulement par la flamme vacillante d'une bougie.
- Oh, ça va, on n'est pas dans un roman, continue ! (Elle se fait engueuler littéralement quoi qu’elle dise on dirait moi avec mes faux potes du collège)
- Tais-toi, Amy ! la rabrouai-je.
- Et là, une voix d'homme, glaciale, a dit un truc du genre : "Alors, Molenski ! Après toutes ces années, tu devrais savoir qu'il ne vaut mieux pas me faire attendre !" Et j'ai aperçu un homme dans la pénombre, il devait avoir l'âge de ma mère, trente-sept ans, il avait des cheveux châtains rasés presque entièrement, le teint très pâle et d'immenses cernes sous les yeux. Il avait vraiment l'air mal en point, il bafouillait. "N-non, mon Maître", a-t-il bégayé. Il hésitait, raconta Aurélie. Ensuite, Deathly Hallow a haussé le ton, il parassait très, très contrarié. "Je ne me répèterais donc pas deux fois. Avez-vous la fille, Molenski ?" L'homme s'est crispé. Il semblait sous le point de pleurer, ou de hurler. "La-la-la-laquelle ?" a-t-il demandé, les yeux exorbités par la peur. Là, Deathly Hallow a hurlé : "LA SECONDE !". Molenski était tout tremblant, si ce n'était pas un Mangemort, j'aurais eu de la peine pour lui, c'est dire... Il était terrorisé. "Eh... Eh bien, mon Maître, disons que nous y... nous y travaillons." "VOUS Y TRAVAILLEZ ?!" s'est emporté Hallow. "Sans cette petite sotte, sottement nommée et tout aussi sottement douée, je ne peux rien !" Ignace Molenski voulait s'enfuir, avidement, ça se voyait sur son visage. Il s'est mis à bafouiller, tremblant plus que jamais. "Ce... Je... Nous sommes..." "Nous ? Mais qui ça, nous ?" a demandé Deathly Hallow avec un rire... vous avez vu Star Wars ? Bah, c'est Dark Vador, en pire.
(J’ai vraiment littéralement recopié le dialogue, no way she remembers all of this, -200 000 pour le réalisme.)
Nous nous regardâmes, perplexes, sauf Diana bien sûr. Aurélie a soupiré en souriant légèrement.
- C'est un film moldu... Sept films, en fait. Ou six, je ne sais plus. Huit ? Bref... Vous voyez le méchant dans Le Seigneur des Anneaux ? Comme il s'appelle déjà...?
- Le Seigneur des quoi ?
- Anneaux... Laissez tomber. Un vrai rire de méchant de dessin animé, comme le méchant dans "L'Inspecteur Gadget"... Ne me dites pas que vous ne connaissez pas "L'Inspecteur Gadget"..!
- Alors là, même moi je ne connais pas, Aurélie ! a ri Diana.
- Bon, ben, tout ça pour dire que son rire était sombre, cruel. Méchant, quoi ! Je ne vais pas vous faire un dessin ! Comme ça : ouha, ha, ha, ha, haaaaa, imita Aurélie en prenant une voix grave et froide. (Sept lignes de dialogue pour ça, mais putainnnn)
- On voit bien, oui, s'amusa Poema en prenant également un bonbon. Continue...
- "G-Grace Ruewen, enfin Underwood..." a dit Molenski. Et là, DH... J'abrège, hein, c'est long de dire à chaque fois "Deathly Hallow, Deathly Hallow, Deathly Hallow". (J’avais surtout la flemme de l’écrire.)
- Oui, oui.
- Donc DH a ri encore une fois. "Mais Grace Underwood n'a absolument rien à se reprocher. Elle a été parfaite. Par-faite. Et vous, Ignace Fulgor Molenski, quand donc allez-vous cesser cette double-vie ridicule, et renier votre vie de sale Sang-de-Bourbe ?" a-t-il demandé cruellement. Molenski s'est raidi, et j'ai vu quelque chose en lui différer de l'homme apeuré qu'il était quelques secondes auparavant encore. Une lueur de culpabilité déterminée... "C'est que j-je... Mon fils... " Il bafouillait quand même. "Ta famille est ici. Ton fils nous rejoindra un jour ou l'autre, malgré son sang impur." lui a affirmé Deathly Hallow. Ensuite, Molenski a dit un truc du genre "Ouais, il sera ravi de servir le Nouveau Seigneur des Ténèbres". Il s'est interrompu, comme s'il avait oublié la suite, et s'est recroquevillé. Mais son Maître a seulement dit : "Le Seigneur Noir, Molenski. Le monde sorcier me connaîtra bientôt sous le nom du Seigneur Noir... " (Mot pour mot… ennuyeux et irréaliste)
- Ca fout les jetons, confiai-je.
- Sans doute, admit Aurélie.
- Bon... On fait quoi maintenant ? On va en parler à McGo ? suggéra Alice, qui s'aperçut avec horreur que le paquet de Tagada était vide lorsqu'elle voulut s'en servir une autre.
- Je ne sais pas, hésita Aurélie. Elle va me prendre pour une folle.
- Pour être franche, elle ne sera pas surprise, dit Amy avec un sourire narquois.
Aurélie soupira. Elle reprit ses papiers et les remit dans ses poches.
- Non mais en vrai, on fait quoi ? questionna Alice pour la deuxième fois.
- Tu veux dire... hésita Minna. Pour McGo, ou pour... L'avenir en général ?
Cette question réveilla quelque chose en moi, une inquiétude brûlante qui m'ôta toute envie de répondre. Ainsi, nous restâmes toutes silencieuses, attendant un on ne sait quoi qui ne viendra peut-être jamais. (DRAMA D’UN SEUL COUP ALORS QU’ELLES L’ONT PRIS A LA LEGERE TOUTE LA CONVERSATION YAY)
17 heures 44.
- I'm a Hufflepuff We're true to the end. United we stand So I'll stand with my friends
- I'm a Gryffindor, entonna Alice. (What the hell is that) I'll fly with my friends We'll never back down And fight to the end - I'm a Slytherin I am very rich I'll go on a date With whoever gets the snitch (C’est quoi cette chanson de merde btw)
Poema, Minna, Amy, Alice, Diana et moi-même nous retournons vers Aurélie.
- Euh... I'm a Ravenclaw I like to read books When I cast spells
They're off the frickin' hook, chanta-t-elle.
C'était notre hymne, composé par Minna (la plus créative d'entre nous, bien qu'elle ne soit pas à Serdaigle), lors de notre deuxième année. (Un HYMNE ???? Gênant) Depuis, nous le chantons quand ça ne va pas bien, ou quand ça va très bien, quand nous nous sentons heureuses, tristes, effrayées, en colère, et qu'on a besoin de savoir que le monde peut bien s'écrouler, si nous restons toutes les sept ensemble. (ohlàlà… je n’arrive pas à être touchée, juste ça sort de nulle part et c’est gênant au possible.)
- Ew, who brought the Hufflepuff ? demande Amy à Poema. (CA SE VOIT QUE JE COMPRENAIS PAS L’ANGLAIS ET QUE JE COPAIS COLLAIS JUSTE LES PAROLES LOL) - Hey, I'm just trying to have a good time over here. Have a good time, a good time... - I'm a Ravenclaw I got wit beyond measure I can catch a snitch like it's caught up in a tether
- I'm a Slytherin The house of the snake Come get in my way And get tossed in the lake - I'm a Gryffindor And we own the sky Yeah, we always win With our rally cry - I'm a Slytherin The top of my class If you disagree I'll kick your Muggle ass (no fucking way Amy sings this)
I'm a Slytherin A big fan of Snape If it's a MoM album We have to say Snape (et cette chanson est MAUVAISE) - I'm a Hufflepuff We're true to the end. United we stand So I'll stand with my friends - I'm a Gryffindor Aas brave as the come And my namesake sword Will get the job done. - I'm a Ravenclaw My brain is super fast Like Sheldon Cooper (j’ai découvert hier qui c’était avec des reels Insta) But not a total ass.
Poema me tend la main, ainsi qu'à Aurélie. Je la prends, de même que nous toutes, même Amy, même peu réceptive au contact qu'elle est. Nous nous dirigeons vers le château, quittant le lac et l'air froid de l'extérieur en ce début octobre. Nous devons avoir une drôle d'allure, formant une chaîne étrange, sept filles portant les couleurs des différentes maisons. (Le truc spécial c’est pas qu’elles soient de maisons différentes, mais qu’elles soient SEPT DANS LE GROUPE genre quoiii ??)
- We are better together
Ever
Ever
Ever
Ever...
(Passage inutile, fight me.)
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LA PRÉSENCE DE DIEU
LUNDI 1 MAI GOÛTER LA PRÉSENCE DE DIEU
« ON TROUVE UNE JOIE PLEINE EN TA PRÉSENCE » PSAUMES 16.11, BFC
Si on était dans la détresse et malheureux avant de rencontrer Jésus, on commet souvent l'erreur de penser que le seul endroit où profiter de sa présence est l'église. Non, on peut en profiter partout : chez soi, au travail, à l'école, dans les affaires, et même dans les moments de souffrance et d'adversité. Frère Laurent, un moine carmélite français, a écrit un livre intitulé La pratique de la présence de Dieu. Il détestait sa routine quotidienne dans la cuisine du monastère. Puis Dieu lui a montré que tout ce qu'il faisait chaque jour pouvait être fait pour Dieu et avec Dieu. Cette vérité a transformé sa vie. On peut cultiver son esprit pour être plus productif, mais aussi pour être plus sensible à Dieu. On peut aller jusqu’à goûter sa présence dans tous les gestes du quotidien. Croire que Dieu est présent à mes côtés ne me sert à rien si je pense qu'il est toujours en colère contre moi. Mais si je me sens accepté en Christ, je réalise qu'il est non seulement présent à tout moment, mais qu'il est content de moi (voir Ep 1.6). À partir de là, je verrai Dieu autrement. Il y a des douzaines d’actions dans la vie de tous les jours, et on peut toutes les apprécier si on le décide : s'habiller, aller au travail, organiser ses affaires, faire ses courses au supermarché, etc. Après tout, la vie est faite de ça. La joie ne vient pas simplement des occasions de se divertir, mais de la décision d'être reconnaissant pour chaque instant donné comme un cadeau rare et précieux de Dieu.
B365 — Plan de lecture Jérémie 33
Prière du jour Merci Seigneur car tu es présent dans mon quotidien.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2023 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2023 PHARE MEDIA, 39-41 avenue de Colmar, 68200, Mulhouse, France
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MORIARTY vs MORTENSEN
— Je suis désolé pour ce que mon oncle vous a fait subir.
— Vous êtes la nièce de Deyn ?
— Oui.
— C'est vous qui avez tué ces filles ?
— Non.
— C'est vous qui avez incendié cet entrepôt, provoquant la mort de l'inspecteur McKenzie ?
— Non.
— Alors on parle de quoi, là ?
— Il...
— Vous n'êtes pas responsable des saloperies des autres, quand bien même ils font partie de votre famille. Vous êtes seulement responsable de vos propres actes. Et si un jour quelqu'un vous dit le contraire, crachez-lui à la gueule, parce que c'est tout ce que cette personne méritera comme réponse de votre part.
— Hm. Merci... Bon, euh, commençons...
— Je vous en prie, c'est vous le reporter.
— Comment percevez vous le XXI° siècle avec tous ces problèmes géopolitiques, le réchauffement climatique etc... ?
— Pour ce que ça m'intéresse... la politique je la laisse volontiers aux connards narcissiques... J'ai eu un mal fou à coller les criminels en taule, alors les restes du monde, trop peu pour moi. L'écologie c'est un sérieux bordel, mais l'humain est trop con pour se remettre en question, alors quand il aura tout cramé, il crèvera dans sa merde et franchement c'est pas moi qui vais pleurer la disparition de cette espèce de parasites.
— La rencontre. Pour vous qu'est-ce que c'est ?
— Ouh ! De la philo ! Hum, aller vers l'autre, mais c'est pas trop mon truc... ou alors, ce moment surprenant qu'on ne s'imagine pas, même dans ses fantasmes les plus fous.
— Avez-vous essayé de vous mettre à la place d'un dirigeant, que ressentiriez-vous si l'on vous donnait les rênes d'un pays ?
— Je serais dictateur. Faut pas venir m'emmerder, j'ai fait l'armée. Alors à la dure, ça me va. Donc ce sera marche droit ou crève. Mais évitez de me filer ce genre de responsabilités, j'ai déjà assez à faire dans ma vie.
— Faut-il s'intéresser à la politique, avoir une instruction politique ?
— Pour éviter de se faire baiser la gueule... mais pour ce que ça sert, on se fait quand même baiser la gueule. Après, si tu veux comprendre une structure, le droit, la sociologie, l'anthropologie, si t'as que ça à faire...
— La technologie, qu'en pensez-vous ?
— Tant qu'on ne me colle pas un mouchard au cul, ça me va. C'est pratique. Faut apprendre à s'en servir par contre et éviter de bosser avec des collègues qui n'y comprenant rien, alors que c'est pas la lune. D'ailleurs, il attendent quoi à la NASA pour nous faire un remake de Star Trek ? Parce que là on file plutôt droit dans Un meilleur des monde à la sauce 1984 !
— Que pensez-vous de la place de la culture dans le monde ?
— Je suis obligée de répondre ?... L'école c'est pour conditionner. Le reste de la culture c'est trop cher pour les pauvres, parce que les bourgeois et les arrivistes veulent garder leurs foutus privilèges. Ce monde a subit un lavage de cerveau. Il faut aimer Citizen Kane et autres conneries du genre, parce qu'un bobo a décidé que ce sont des œuvres d'arts ! La Dolce Vita c'est bien plus parlant. Vous saviez que Van Gogh est mort dans la pire misère ? La culture... heureusement que mon éditeur ne me demande pas du Shakespeare !
— Avez-vous fait des recherches spécifiques pour les aspects techniques de votre roman ? Sciences, géographies... ?
— Oui. La trame et le personnage sont inspirés de mon vécu mais, comme j'ai transposé les récits dans l'univers SF, il a fallu que je fasse des recherches poussées pour élaborer une nomenclature à peu près potable. La géographie... des galaxies… Théorie des cordes, théorie du chaos, les mathématiques avec les nombre magiques, pour encoder certains de mes textes, quand un personnage cherche à percer un secret... Oui, je fais pas mal de recherche, j'ai l'encyclopédie comme livre de chevet, puis internet pour les détails à la con. Wikipédia est très bon. L’information est juste. Il doit y avoir une boulette sur dix mille. Je lis des livres, des magazines sur la physique quantique, puis je regarde des émissions scientifiques, parce que Doctor Who, faudrait pas pousser !
— Quelle est la part de virtuel dans votre vie ? Réseaux sociaux, games, lecture de romans...
— J'ai lu le dernier Griffiths. Behaviors, un policier plus axé sur la vie des perso que sur les enquêtes, j’aime bien le côté psycho. Et j'ai commencé Elements d'Archer, franchement c’est sympa, un roman sur des gens avec des super-pouvoirs, ça change des comics. Sinon rien. Les réseaux sociaux c'est antisocial, que des egos dégénérés qui cherchent à devenir le centre du monde, ces trous d'cul ! Ma part de virtuel, c'est mon nouveau métier.
— Comment percevez-vous le journalisme ? La parole médiatique, aujourd'hui ?
— Le masse-média c’est de la merde sans vouloir vous offenser, mais votre job c'est pas du JT pour les bœufs ou la gazette des bofs avec les info sur le pire du pire et les dernières perles enfilées par la ménagère du coin, donc...
— En effet, nous publions plutôt des reportages photo, des biographies et des carnets de voyages. Un journal culturel, en somme.
— Ouais, ça me plaît, j'aurais pas dit « OK » à ce rendez-vous, sinon. Donc, revenons à nos roastbeef... les médias... de la merde pour voyeuristes et autres pétasses en manque de sensations fortes. Du gros myto pour décérébrés.
— Comment jugez-vous le bizness du cinéma Hollywoodien, la suprématie de l'économie sur la culture ?
— Les bons films résistent. Les British, on n'arrêtera jamais d'être cyniques. Chez les ricains certaines grosses productions sont pas mal. Le film d'action à la Bruckheimer me manque un peu, mais il suffit d'acheter les DVD, un bon projecteur et John McLane peut venir défoncer votre salon ! Sinon, restent les séries, qui ont pris du galon dans le monde de l'image en mouvement.
— Le manichéisme, oui, non, pourquoi ?
— Non. On ne vit pas en noir et blanc. Trop simpliste. Même l'électricité a compris le truc : plus, moins et masse. Trinité. Le père, le fils, le saint esprit. Mais que les gens ne comprennent toujours pas, ça me dépasse ! C'est écrit clairement dans leur foutu bouquin ! Ils continuent de croire à l'éternel combat entre le bien et le mal. C'est la vie. Une expérience. La mort aussi est une expérience. Croire qu'il y a quelque chose après, j'en sais rien. J'ai sans doute halluciné pendant mon coma. Mais l'enfer n'existe pas. C'est nous l'enfer. Tout ce que t'as dans les tripes et que tu ne digères pas. Bien ou mal, ça instruit, c'est tout. On en découvre toujours un peu plus sur soi, sur les autres, chaque jour. Tu te prends une baffe dans la gueule, tu sais que celui là c'est un connard. Rien de mal. Que de la connaissance pour avancer.
— Votre livre parle de ça ?
— Si on veut, oui. La vie. L'absurdité de l'existence, si on ne lui en trouve pas un. Pour soi, à partir de soi. Je vis pour moi, pas pour les autres. C'est moi qui ressens ce que j'ai dans mon esprit, pas les autres.
— Peut-on tout dire et comment ?
— Moi je dis tout sans détour. Que ça plaise ou non, je m'en bats… Après, il faut savoir faire la différence entre la vérité et les pensées. Ce qu’on pense n’est pas forcément vrai, alors parfois il faut savoir fermer sa gueule. Blesser les gens pour se défouler, c’est idiot.
— Quelle est la place de l'artiste, par rapport à la voix citoyenne ?
— On a eu Huxley, Orwell et beaucoup d'autres... ça change quoi ? Rien. Les gens sont cons. Ils continuent de croire que voter les rend libres. La liberté est un concept. C'est dans votre tête. Tu peux vivre en taule et être libre. Certains ont tout, mais crèvent quand même de maladies de merde, enfermés dans un corps à l’agonie. Et ne me dites pas qu'ils ont la conscience tranquille, que c'est exclusivement la faute de la génétique. Un peu facile de tout coller sur le génome pourri des parents. L'humain n'est pas qu'un sac de chair.
— Si vous deviez réaliser un film, quel genre, quelle inspiration ?
— Le genre Blade Runner à la David Lynch, pour la blague. Mais plutôt en série, façon Au delà du réel. Le Twin Peaks de la science fiction. J'imagine bien une inspectrice galactique, amie avec une hors-la-loi et... spoilers !
— Songez-vous à votre prochain roman ?
— Déjà en cours.
— Un indice ?
— C’est toujours sur l’inspecteur de Brixton, qui enquête sur des phénomènes étranges… Il va rencontrer une équipe d’étudiants qui font la même chose que lui. Ils squattent une friche, dans laquelle ils se réunissent toutes les semaines pour se répartir les missions. J’en dis pas plus, sinon je risque de vendre la mèche sur l’intrigue.
— L’inspecteur Valentine. Inspiré par votre collègue.
— Oui, totalement.
— Bien. Merci beaucoup de m'avoir accordé un peu de votre temps si précieux.
— Suis en vacances. Je chine pour le prochain bouquin, ça va, c'était plutôt agréable. Je sors par là ?
— Oui, je vous en prie. Merci encore.
— Oh, si vous pouviez m'envoyer la marque de votre thé. C'était paradisiaque, j'ai jamais bu meilleur !
— La prochaine fois que j'irai en Suisse, je vous en ramènerai. C'est du thé noir, iranien.
— Une merveille ! Au revoir, Alisson.
— Au revoir, miss Mortensen.
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Wolf Pack - Jeff Davis
Il s'avère que je n'ai pas encore pu voir la fin de Warehouse13 pour le moment, alors à la place, avec mon père, on a regardé Wolf Pack, une série créée par Jeff Davis (et avec pleins de noms à la production !). C'est une petite série d'une saison en 8 épisodes pour laquelle une suite n'est pas impossible mais vu le nombre de séries qui sont annulées, je ne promets rien. La série est aussi adaptée du roman homonyme de l'auteur Edo van Elkom.
Résumé : Alors qu'un feu d'origine criminelle s'approche un peu trop de leur ville, un matin où ils sont censés aller à l'école, plusieurs élèves tentent de fuir leur bus et les flammes, se faisant alors attaquer par une créature qui n'a rien d'animal. Parmi eux, deux étudiants, Everett et Blake se font mordre par ce monstre, et ils ressentent alors quelque chose d'étrange en eux, devenant plus forts, plus rapides, et ressentant surtout un instinct lupin s'éveiller en eux, les attirant à deux élèves de leur lycée qui ne parlent pas personne.
CW/TW: horreur visuelle/physique/psychologique, mort, meurtre, nudité complete et partielle, violence physique et psychologique, armes à feu et armes blanches, sang, incendie, tentative de meurtre, hospitalisation de force...
Désolé, j'avoue ne pas me rappeler de tous les TW
Alors! Pour commencer, si le roman se présente clairement comme un roman d'horreur, la série, elle se dit plutôt du genre surnaturel. Mais croyez-moi, l'horreur est bel et bien au rendez-vous et ça claque! Je ne peux donc pas le conseiller à tout le monde, mais c'est bien sympa! En revanche, j'ai mis un temps FOU à retenir ne serait-ce que les prénoms des protagonistes, et j'ai toujours pas mémorisé le nom de l'un d'entre eux, alors je leur ai donnés des surnoms. Le frère et la sœur qui restent à l'écart sont respectivement Grincheux (Harlan) et Simplette (Luna), et les deux mordus sont Atchoum (Everett) et Prof (Blake).
Pas que ce soit quelque chose d'extraordinaire qui reste dans les mémoires, c'est vraiment une série plutôt cool! En dehors de certaines transitions brutales voire inexistantes, les personnages sont intéressants, la bande son est cool, en termes d'images c'est agréable à regarder et même vraiment impressionnant à quelques petits moments... Bref, c'était bien sympa! Après, y'a deux-trois clichés parfois un peu lourds, mais on peut faire avec, je pense.
Ah, s'il y a quelque chose qu'on peut noter, c'est que le petit frère de Prof/Blake est un petit garçon de moins de 10 ans qui est autiste! C'est une représentation plutôt clichée de l'autisme, mais je n'ai pas été choqué non plus? Quand Prof présente son frère à Atchoum, elle lui explique aussi que le terme "asperger" ne s'utilise plus et qu'on parle plutôt de spectre autistique, et elle lui parle aussi de comment elle l'aide (ou essaie) dans ses crises autistiques, puis montre son stim toy (et en passe même un à Atchoum quand il fait une crise d'angoisse, montrant que le fait de stimmer peut aussi se faire pour des personnes non autistes ou non-diag). De la même façon, Atchoum (que j'appelle comme ça parce que c'est évoqué qu'il s'inquiète souvent pour sa santé, et qu'il n'est pas pris au sérieux pour ça) est la victime de nombreuses crises de panique et d'anxiété, et s'il en a de moins en moins de part sa transformation en loup-garou, il se sert de son expérience pour aider les autres quand ceux-ci commencent à paniquer à cause de leur situation (enfin ça dépend pour qui, il aide plus facilement Prof que Grincheux).
D'ailleurs, j'ai expliqué le surnom de Atchoum, alors pour le surnom des autres:
- Prof/Blake: elle a tendance à reprendre les autres de façon plutôt condescendante par moments, et à partager un avis plutôt tranché sur ses opinions, ce qui est une technique pour se protéger des gens
-Simplette/Luna: elle essaie toujours de voir le positif en tout le monde, et veut donner sa confiance en les autres, même quand on lui rabâche que c'est trop risqué, attitude qui finit par lui passer plus tard dans la série
-Grincheux/Harlan: c'est juste un petit con qui adore se plaindre et critiquer les autres, il est en pleine crise d'ado, mais il essaie d'aller mieux par la suite de la série
Par contre, je peux pas le conseiller à n'importe qui, ça dépend franchement de vos goûts! Mais moi, j'ai passé un moment sympa (je dirais pas non plus que ça rentrerait dans mon top 10 mais c'est la première série de l'année, on verra bien ensuite).
J'ai bientôt fini ma première série de l'année alors j'ai aussi envie de tenir un thread des séries que je regarde cette année 🤔 je ne sais pas encore si c'est mieux que je le up à chaque fin de série ou chaque fin de saison par contre? En tout cas, j'en regarde beaucoup car ça me fait un excellent fond sonore quand j'ai besoin de travailler ou réfléchir (je devrais peut-être écouter des séries audio ou des podcasts mais flemme)
En tout cas, j'ai hâte de faire un petit post sur ma série bientôt finie car il s'agit de Warehouse13 et c'est un banger absolu (franchement, mon HC de Pete egg transfem là 🙏)
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L'école sa sert à rien ... Français: je parle déjà Technologie: j'ai déjà Facebook Histoire: De toute façon ils sont tous morts Géographie: J'ai un GPS... Music: J'ai YouTube Maths: facile j'ai la base, 2+2=4 Anglais: je regarde Dora Physique chimie: je regarde c'est pas sorcier EPS: je regarde EuroSport...
#L'école sa sert à rien ...#Français: je parle déjà#Technologie: j'ai déjà Facebook#Géographie: J'ai un GPS...#Music: J'ai YouTube#Maths: facile j'ai la base#2+2=4#Anglais: je regarde Dora#Physique chimie: je regarde c'est pas sorcier#EPS: je regarde EuroSport...
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Resident débile.
J'ai vu le premier épisode de la série Résident Evil sur Netflix.
En premier lieu (et sauf surprise dans la suite de la série) cette série est complètement détachée des jeux où des films, c'est une totale relecture de nouveaux personnages. Des noms reviennent mais ce ne sont pas les même personnes et seul pour l'instant le nom de la compagnie fait le liens avec les précédentes productions.
Ce n'est absolument pas un défaut d'être totalement déconnecté de son matériel de base, l'important n'est pas d'être fidèle mais que l'âme y soi.
Niveau décor c'est franchement franchement sympa, on a une Umbrella étouffante avec tout un quartier résidentiel blanc éclatant très symétrique, très étrange, pareil pour l'école où tout est pastel, très (trop) ouvert, on se croirait dans un épisode de squid game. Environnement parfait pour que le personnage ne sente rejeté de l'endroit qu'il veut intégrer.
J'ai vraiment aimé aussi le design de la grosse larve / chenille, très colorée avec du jaune, du vert du rouge. Visuellement c'est plutôt intéressant, tout comme les mercenaires qui ont leur équipement de protection jaune pétant, ça tranche bien avec le gris / vert de la ville en ruine.
Par contre qu'est ce que c'est con..... L'univers est bête (le laboratoire secret qui visiblement ne ferme pas à clé, on l'œuvre avec une boîte vocale, pas de vigile ?) et surtout in consistant : les gamines libèrent un chien zombie (il suffit d'appuyer sur un bouton), elles sont poursuivies, s'enffui, le chien prend l'ascenseur ?? L'alarme se déclenche (pourquoi ? Et pourquoi faire parce qu'à part faire de la lumière ça sert à rien).
Mais ce n'est pas que l'univers qui est bête, la série est bête dans son écriture, exemple : le personnage est poursuivi par un ver géant qui lui attrapé les pieds, l'envoi en l'air et le fait atterir à moitié dans les vapes sur une voiture. La je me suis dis "et c' est la qu'un perso va sauver l'héroïne qui ne peut plus se défendre pendant que le ver qui était ultra énervé va prendre toooooooout son temps"
Et la ? Le ver géant est à 20 cm du visage de l'heroine, il la regarde, il attend... Ça dure bien 10 secondes puis raffale de fusil dans sa face voilà la cavalerie qu'on avait pas vu venir.....
Cavalerie qui sort au calme "oh my god, elle a une hemmoragie interne et une commotion cérébrale !", une seconde plus tard l'héroïne de réveille et va se promener.
Bref je vais continuer à regarder mais soit l'écriture arrête d'être autre chose que "Nan mais ça va.. On s'est fou" (non on s'en fout pas, un chien zombie ça ne prend pas un ascenseur), soit ça reste débile au point d'être drôle soit ça reste débile au point que ce soit énervant, auquel'ca j'aretterais.
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|•Wife Of Bonten•| Chap 1 |
/!\ DISCLAIMER /!\
Histoire de sexe-polygamie et comportement abusif et yandere.
Yandere! Exécutive Bonten x Reader
+18
Disponible sur Wattpad
Bonten, organisation criminelle numéro 1 du Japon. Intraçable par les forces de l'ordre, aucunes informations sur l'organisation et ses membres. Comme un fantôme, impossible de les trouver, de les attraper, ce sont eux qui vous trouvent... et si ils vous attrapent votre vie sera sous leurs désirs
Kirari Yukihira, jeune femme de 20 ans, et étudiante à l'école supérieur d'économie et gestion, veut devenir expert-comptable. Elle mène une vie plutôt simple, se lève tout les matins dans son petit appartement, repassage de sa tenue professionnelle obligatoire et petit déjeuner, généralement composé d'une tartine beurré et d'une autre recouverte de pâte au chocolat et de noisette, le tout accompagné d'une salade de fruit et d'un jus de pomme bio. Petite routine du matin qui peut varier du petit déjeuner à la maison ou au petit déjeuner dans sa pâtisserie préféré se situant à quelque pâtés de maison de son lieu de vie. Elle s'habille de sa tenue préalablement repassé, et chaude avant de prendre son sac, ses clefs de maison et sortir de son immeuble en direction la gare pour prendre le prochain train de 7h45.
Kirari est une personne très studieuse, perfectionniste et juste. Avec de très « bon goûts » selon ses camarades de l'université. Kirari a beaucoup pour plaire, de la même façon qu'elle a beaucoup de choses qui lui plaise, mais ce qu'elle aime par-dessus tout, c'est sa petite boutique de pâtisserie préféré « Wagashi and... » qui sert les meilleures pâtisseries traditionnelles.
Mais bientôt elle deviendra friande d'un tout autre type de pâtisserie. Plus sucré, avec une pointe de sel et un zeste de citron, plus crémeuse et fondante, plus corsée, plus croquante, plus divine, plus alléchante. Elle en deviendra ivre. Une véritable drogue, pire qu'un toxicomane se shootant à un mélange de cocaïne et d'héroïne, pire qu'un alcoolique buvant un verre d'Everclear, qui est composé à 95 % d'alcool.
Et ce « bientôt » pourrait être plus proche que vous ne le croyez.
Tokyo, École supérieur d'Économie et Gestion, 8h45...
Déjà quarante-cinq minutes que son premier cours en langue a commencé, assise à sa place habituel au septième rangs à côté d'une jeune femme, de 3 ans de plus qu'elle qui est de très bonne compagnie quand il s'agit de travailler. Kirari écoute attentivement son professeur, qui fait le point sur les prochains devoirs de ce semestre. Le reste de la journée passe tranquillement, sortant de l'université elle monte à bord d'un shinkansen, un train à grande vitesse qui la dépose à destination à 17h35 pile. Passant par les portes de la gare, l'air frais du soir vient doucement caresser la peau de son visage. Kirari se met en marche et ouvre les portes du « Wagashi and... ». La délicieuse odeur de chocolat et de biscuit se fait encore sentir dans le magasin. Elle regarde la vitrine vérifiant qu'il reste toujours un de ses gâteaux gourmands, mais dont elle adore tant.
Bingo ! Il en reste encore quelques un !
Elle s'adresse à la vendeuse vêtu d'un tablier rose pastel et blanc avec l'enseigne du magasin.
- « Bonsoir, je voudrais un dorayaki s'il vous plaît.
- Bien sûr mademoiselle, je vous sert ça tout de suite. »
La vendeuse emballe le dorayaki dans du papier à gâteau avant d'annoncer le montant. Kirari paye et prend sa commande qu'elle place dans son sac à main. Elle remercie la vendeuse et sort de la pâtisserie. Mais en sortant elle bouscule quelqu'un. Un homme, assez grand, au cheveux rose, yeux bleu et avec deux cicatrices sur chaque extrémités de la bouche.
- « Je suis désolée monsieur, je ne vous avez pas vue !! »
L'homme l'aida à se relever. Il regarde Kirari comme si c'était la première fois qu'il voyait une personne du sexe opposé.
- « Vous allez bien monsieur ?
- Oui je vais bien, merci.
- Je suis vraiment désolée de vous avoir bousculé !
- Ce n'est rien mademoiselle. Au-revoir. »
Sans même laisser la jeune fille répondre, l'homme fait demi-tour et monte dans une voiture noir. Il sort une carte de sa poche de sa veste. La carte étudiante de Kirari. Il l'avait discrètement prise sans qu'elle ne se rende compte de rien.
- « Tu peux démarrer Rindo.
- Qu'est ce que tu as dans la main Sanzu ?
- Une carte étudiante il semblerait.
- Et qu'est-ce que dit cette carte ?
- École supérieur d'Économie et Gestion de Tokyo, Mlle Kirari Yukihira, 20 ans, sexe féminin.
- Économie et Gestion ? C'est pour Koko. Tu penses qu'elle est la bonne ?
- Si elle est la bonne ? C'est le boss qui l'a choisit, pour lui, pour nous.
- Mouais on verra. En tout cas elle a l'aire d'être naïve. Imagine qu'elle fait tout foiré.
- De toute façon, le boss a dit que si jamais elle pose problème au Bonten on se débarrassera d'elle.
- Montre-moi sa photo.
- Pas mal hein ?
- Elle est belle, ce serait du gâchis si on devait la tuer. »
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Auteur : XxSANOxX (Tumblr/Wattpad)
Correctrice : Ax
Merci.
10/07/2022.
#tokyo revengers#bonten mikey#bonten kokonoi#sanzu haruchiyo#ran and rindou#kakucho hitto#akashi takeomi#bonten#smut#reverse harem
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Merci pour ta gentillesse, j'ai voulu parler à une personne que je connais pas et j'ai trouvé ton compte au hasard. J'ai bientôt 31 ans et je me sens dépassée par la vie.. J'ai une vie professionnelle stable mais pas de vie à moi, le tout est donné aux autres (mes étudiants et ma famille). Avant, j'étais épanouie maintenant j'ai l'impression que tout me va de travers, notamment y a qlqs jours j'ai vu les photos de maman qd elle était de mon âge et elle avait 4 enfants. Je veux être maman mais voilà j'ose dire ça à personne même à mon compagnon, même au fond de moi, je me dis je suis peut-être pas suffisante. Je ne sais plus quoi faire, j'ai peur de tout rater en attendant être à la hauteur. Je suis désolée pour tant de négatives vibes. J'espère que tu puisses me comprendre. Merci de me lire.
Je te comprends tellement bien ma chère ! Et à vrai dire c'est très pertinent car on peut dire qu'on est dans le même bain toi et moi 😅 y avais beaucoup de points où je me suis dite " moi aussiiiiii !!!!!! " Y a des pensées qu'on vit avec, et que même si elles nous échappent pendant la journée, tard la nuit quand il n'y plus de bruit et tout le monde s'endort, elles reviennent.. et on ne peut plus leurs échappé.
Ma mère avait déjà eu 2 enfants quand elle avait mon âge. mais les choses étaient différentes à cette époque. ma mère a dû quitter l'école et c'est la décision qu'elle regrette le plus dans sa vie. Je ne pense pas que nos parents étaient vraiment heureux ou qu'ils aient tout compris à l'époque, je pense qu'ils faisaient simplement ce qui était la norme et ce que la société leur disait / les forçait à faire. Je ne pense pas qu'ils aient même vécu une vie profonde et significative qui dépasse la surface de l'ordinaire. Je ne pense pas que ma mère s'est assise un jour après avoir terminé son roman préféré et a beaucoup réfléchi au sens de la vie ou appris l'amour de soi.
ce que je veux que tu saches, c'est que 1) tu n'es PAS seule dans ce cas, tu n'es pas la seule à avoir ces sentiments... C'est une situation très courante pour beaucoup d'entre nous dans le monde.
Et 2) les temps ont changé! et seulement au pire ! notre génération n'est qu'une victime des précédentes. nous vivons dans les ruines d'un monde détruit par les guerres, le chaos, les pandémies, les catastrophes et les crises économiques. Nos parents vivaient dans un monde différent et maintenant ils nous mettent la pression en fonction de leur réalité et non de la nôtre. il y a une dépression mondiale et un TSPT mondial en cours. et nous sommes esclaves d'un système auquel nous ne pouvons pas échapper, c'est le capitalisme 🤦🏽♀️. De plus, la terre est en train de mourir, le réchauffement climatique, le changement climatique, bla bla .. partout où nous regardons, on est coincé.. et on s'attend à ce que nous ayons résolu et réussi notre vie ? N'importe quoi!
Entk, s'il te plaît, ne te mets pas la pression. il y a suffisamment de pression dans le monde, ne te stresses pas.. s'tp, accorde-toi la priorité à toi-même et à ta santé mentale et prends soin de toi et de ton bien-être en premier lieu. Parce qu'il ne sert à rien d'avoir une bonne vie tous ensemble si tu peux pas être là pour en profiter.
Sois fière de toi, de tes réussites, de ta vie que t'as maintenant dans tes mains. Sois reconnaissante pour tes bénédictions et aime toi-même stp. Il est bien claire que t es quelqu'un de gentil, de sympa, d'intelligent, de réussi. Tu n'es pas définie par ce que tu n'as pas. Sois fière de ton parcours et de ton présent, et sois optimiste pour le future. On ne sait jamais ce que la vie nous réserve.
Tout le bonheur et la chance du monde,
Bon courage 🤍🤍
#LOOK AT ME WRITING PARAGRAPHS IN FRENCH LMAO#at one point I had to google translate because my French expired lmao#but I could still recognize the mistakes and correct them#proud of me wallahiii
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Je continue le 6persoschallenge organisé par @mysterious-corvidae / @corvidae-challenge avec un personnage qui m’a tout particulièrement marqué et que je n’oublierai jamais. Chose très rare pour moi, c’était un scénario de membre. Je me souviens m’être dit « je veux ce perso » en lisant sa présentation et celle de son lien (Moe si tu me lis, merci !). Qui plus est, le forum en question, hp alternatif, était une véritable merveille… Et parce que la fiche rédigée par pipelette était la plus belle que j’ai pu lire, qu’elle explique bien mieux la relation entre ces deux tourtereaux que tout oppose, voici sa petite introduction :
Hector Blackfyre ft. Jason Momoa VIPERA EVANESCA by killer from a gang, clyde, balaclava & vinyles idylles (2017)
simon et hector. le rossignol et le vautour. simon se faisait croquer la chair dans un bordel, hector venait de se faire voler son épouse. emportée à azkaban après avoir participé à la bataille du département des mystères. il goûta pour la première fois au délice de la chaleur masculine contre la sienne. vidange. vie d'ange. l'extase complète. simon, enfant perdu. simon, môme de la perdition. simon, roi à la couronne brisée. simon le fait vibrer. alors hector passe, deux fois, trois fois. rien que pour lui. et il négocie à galatea, la mère maquerelle, le prix de sa vente. il l'achète pour une somme honorable auprès d'elle. alors même qu'elle clamait ne pas vendre ses filles, son fils. le seul, simon. si mon âme vibre autant rien que pour lui, alors je dois l'avoir rien que pour moi. hector l'emmène aussitôt au chaudron baveur, enferme l'oiseau chanteur dans une cage dorée où il sifflera des mélodies pour lui éternellement. il lui fait comprendre qu'il l'aime, il lui fait comprendre l'effet qu'il a sur lui. quelque chose qu'il n'a jamais ressenti auparavant. quelque chose de transcendant. quelque chose de divin, de cosmique. simon est sa nouvelle galaxie, ses yeux sous les plus belles étoiles et il aime tant s'y perdre quand il le baise généreusement. parce qu'il ne sert qu'à ça, simon. pas à faire l'amour, non. c'est bien trop propre et bien trop consentant. alors c'est un entre-deux. il abuse de lui, hector, il est le seul à pouvoir le faire, il est son propriétaire. et simon, naïve créature, frêle, fragile, minable, niaise - simon il croit bien qu'hector est amoureux et qu'hector le protège des méchants qui rôdent à l'extérieur. il croit bien qu'il lui assure une certaine sécurité dont il a toujours rêvé. il croit bien que c'est pour ça, qu'il impose des règles, comme ne jamais ouvrir aux inconnus, ne pas faire de bruit, ne jamais dire où il se situe... hector ne le laisse que peu de libertés, et il croit que c'est pour son bien. parce que c'est un cracmol et qu'il n'est rien. rien sans un sorcier pour le protéger. et simon, il ne comprend rien à ces histoires de guerre. il ne suit pas l'actualité. ça ne fait que trois ans qu'il est là, dont une année qu'il a passé enfermé. ça fait un an, oui, que simon est là, à l'attendre chaque soir. ça fait un an que simon se fait battre parce qu'il ne respecte pas les règles, un an qu'hector l'embrasse sur tout le corps, quand il est satisfait. un an qu'hector lui ment. parce qu'hector ne protège pas simon. hector se protège lui-même, parce qu'il risque tout avec cet immonde amant, un cracmol qui ne mérite que de mourir. parce qu'il risque tout avec sa femme qui vient de s'échapper d'azkaban et qui est aujourd'hui souffrante à cause d'un putain de maléfice. et simon rêve de partir. simon rêve de voir le monde extérieur. parce qu'il commence à s'ennuyer sans ses baisers. sans ses mots pour le rassurer. parce qu'il commence à s'ennuyer sans lui, maintenant qu'il ne passe plus qu'en coup de vent, pour s'assurer que tout va bien. qu'il ne lui manque rien. hector s'est peut-être attaché, au final, à ce gamin. (copyright © pipelette)
Pourquoi Hector est-il un 6persos ? Tout simplement parce que je suis tombé amoureux de lui. Son lien, son histoire et sa personnalité en ont fait un personnage particulièrement fort, dont je me souviens encore aujourd’hui. C’était LE bad boy parfait, subissant son destin plus qu’il ne le contrôlait. Si tout semblait lui échapper (son mariage, son engagement chez les deatheaters…), sa relation avec Simon, elle, était le strict opposé. Comme s’il refoulait sa frustration et qu’il se libérait en présence du cracmol, reprenant peu à peu le dessus sur sa vie. Une sorte de thérapie. Bref, c’était un personnage complexe et particulièrement ambigu. Et puis il y avait le style d’écriture initié par Moe qui me plaisait, à la fois rude, dur, violent, mais doux et intime. J’ai adoré RP différemment, suivant cette ligne directrice, et ai cherché à l’entretenir tout du long. Hector, tu me manques…
avatars by @heybabine & rastamachine
Le contexte de VE
30 juin 1997, la Grande-Bretagne bascule dans l'horreur et les ombres s'étendent brutalement au soir. Au dessus de l'école de sorcellerie Hogwarts, la marque des ténèbres fend le ciel et l'effroi s'empare de toute la communauté sorcière. Tandis que la société magique se remet à peine du décès brutal et horrible de Albus Dumbledore, le ministère rassemble ses forces pour faire face à l'attaque des mangemorts et de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. Dans l'ombre, l'armée de Voldemort se rassemble. De nombreux sorciers lui prêtent fidélités et se rangent à sa cause simplement pour éviter d'être des victimes dans cette guerre ou de recevoir la visite des agents du Seigneur des ténèbres, les terribles mangemorts. La guerre approche à grands pas, elle est silencieuse pour le moment, mais ce n'est qu'une question de mois ou peut-être même de jour avant qu'elle éclate. Chacun le sait et alors que l'Ordre du Phoenix est plus divisé que jamais, rien ne semble empêcher Voldemort d'obtenir ce qu'il souhaite, le pouvoir absolu. (copyright © le contexte de VE appartient à ses créatrices)
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