#Jim Stoddart
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Hi there, I stumbled on a couple of your post regarding typesetting which Iâm so grateful for. I was wondering if youâd share how you create your penguin classics covers?
Ofc yeah! So if you're wondering about the penguin classics covers specifically, then I just use this generator to make them. It's pretty easy, you type in the author + title and drop in the file image. But if you mean specifically the archive classics covers with the back and spine and al, then that's a bit more of complicated process. To make it easy and accurate, I download the custom cover template that lulu provides for the measurements. I ignore the safety margin, but everything else gets a guideline in InDesign.
To make it penguin specific, I stared for a long time at my own penguin classics. And took measurements. But also, this website is very helpful: https://penguinseriesdesign.com. It's the Penguin Series Design, which goes through all of the different designs that Penguin had done for their covers over the years. This one specifically is for the Penguin classics. In the second link, they provide a link to Jim Stoddart's website, where he diagrams a cover he did for Penguin, and shows the grid, fonts, font sizes, and even CMYK color lol. Jim Stoddart, if you don't know, was the art director of Penguin who redid the covers for the Modern Penguin Classic look. If you want to get more into the specifics of the Penguin Design, Classic Penguin: Cover to Cover was very useful. The sans serif font is FuturaEF Book. The serif is Mrs. Eaves Roman. The glyph is a random one I chose from the font, Davys, which has the cutest glyphs btw. I chose this one because it kinda looks like Hermes to me. And then I usually pull the summary from ao3 or if there isn't one, write one myself. Or I'm feeling particularly lazy, and the ao3 summary is just a quote from the fic, I'll copy + paste that in as is. If the summary is short, I'll sometimes put in reviews from commenters. Ummm that's all I can think of for now, but if you have any more questions/want to know more/need clarification, feel absolutely free to hit me up!
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âPenguin Classics Sci-Fiâ
Royaume-Unis, 2020, offset, 181 x 111 mm
La collection âPenguin Classics Sci-Fiâ est une collection qui prĂ©sente au public une sĂ©rie classique de la littĂ©rature internationale de science-fiction. Elle a Ă©tĂ© créée en 2020 au sein de la maison dâĂ©dition Penguin. Aujourdâhui, la collection compte 21 titres. Son directeur artistique est Jim Stoddart.

1 - Quelle lecture faites-vous du registre iconographique sélectionné pour cette collection ? En quoi vous semble-t-il pertinent dans un tel contexte ? Expliquez.
On peut voir que le registre iconographique est trĂšs important sur les couvertures. En effet, il prend une grande place dans cet espace, qui prĂ©sente Ă©galement le logo de la maison dâĂ©dition, le titre de lâouvrage ainsi que celui de lâauteur. Ă travers lâhistoire des collections de la maison dâĂ©dition Penguin, on peut remarquer la rĂ©pĂ©tition de cet espace important laissĂ© aux images, comme pour la collection Penguin Crime ou encore la collection New Penguin Shakespeare. Cette idĂ©e de reprĂ©senter une image sur un fond blanc/crĂšme, qui prend beaucoup de place, fait Ă©galement penser aux livres Folio de Robert Massin aux Ă©ditions Gallimard (1972).
Pour le traitement graphique apportĂ© aux images, on peut voir des auteurs diffĂ©rents Ă chaque livre. Jim Stoddart a choisi des dessins diffĂ©rents signĂ©s par un maĂźtre de lâart moderne (ex : Le Corbusier pour We de Yevgeny Zamyatin). On retrouve lĂ une constance dans le choix dâavoir un auteur de lâart moderne pour chaque livre. Cette volontĂ© vient peut-ĂȘtre dâune envie de mettre en lien lâunivers singulier et imaginaire dâun artiste et celui dâun monde de science-fiction. Le mouvement moderniste est caractĂ©risĂ© par une recherche dâinnovation et de rupture avec les conventions Ă©tablies ; il valorise l'expĂ©rimentation formelle et lâabstraction, des codes quâon peut facilement mettre en lien avec ceux de la science-fiction.
Les images, bien que provenant d'artistes diffĂ©rents, ont une cohĂ©rence graphique entre elles. On retrouve pour chacune dâelles un dessin fin au trait noir sur un fond blanc/beige. Cette idĂ©e dĂ©note des habitudes quâon peut voir sur les couvertures habituelles de ce genre (images trĂšs chargĂ©es, prĂ©sence iconographique diverseâŠ).



2 - Comment interprĂ©tez-vous le choix typographique opĂ©rĂ© ici, et la façon dont le caractĂšre est employĂ© dans les couvertures ? En quoi ces options produisent-elles un effet de redondance par rapport aux images quâelles accompagnent ?
Sur les couvertures, on retrouve un seul et unique caractÚre, le Theinhardt, qui a été créé par François Rappo et publié par la fonderie Optimo en 2009.
Cette typographie est utilisĂ©e en deux couleurs : en violet pour le titre (câest Ă©galement la couleur du logo) et en gris clair pour le nom de lâauteur. Elle est situĂ©e en haut, ferrĂ©e Ă gauche pour le titre en violet, et ferrĂ©e Ă droite pour le nom de lâauteur. Le Theinhardt est un caractĂšre sans-serif qui, dans ce cas, est utilisĂ© en un seul corps ainsi quâen tout minuscule. Ce choix appuie lâenvie de crĂ©er une modernitĂ© sur les couvertures, reliant ainsi texte et image. Cette maniĂšre de mettre en place le titre, en tout minuscule et en haut de la page, Ă©voque diffĂ©rentes collections, comme la New Penguin Shakespeare publiĂ©e Ă la fin des annĂ©es 60 et créée par David Gentleman, la collection Penguin Crime, publiĂ©es toutes deux chez Penguin, mais on retrouve Ă©galement ce systĂšme de titrage dans la collection DTV de Celestino Piatti.



3 - Quel semble avoir été le but poursuivi par le directeur artistique en ce qui concerne la perception traditionnelle du genre littéraire concerné par cette collection ?
Le but du directeur artistique Jim Stoddart avec cette collection Ă©tait de sortir des codes traditionnellement attribuĂ©s aux genres de la science-fiction (images colorĂ©es trĂšs prĂ©sentes, souvent en pleine page, caractĂšre typographique trĂšs expressifâŠ). La volontĂ© de mettre en avant des histoires dâautres univers par une illustration plus subjective permet ainsi de ne pas orienter le lecteur directement et dâinsister davantage sur lâaspect de dĂ©couverte. On retrouve Ă©galement une volontĂ© trĂšs prĂ©sente dans les collections de Penguin : celle de crĂ©er un ensemble important, par le placement des images, des titres, des couleurs⊠tout en gardant une singularitĂ© propre Ă chaque livre, qui possĂšde le dessin dâun maĂźtre dâart pour chaque ouvrage. Cela permet de mettre en avant lâaspect unique du texte par rapport Ă un autre ouvrage dans la collection. On le retrouve par exemple dans la collection Great Loves (2007) de David Pearsons : sur chaque livre, une plante/fleur diffĂ©rente est prĂ©sente tout en gardant un cadre et une structure similaires.



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Revaloriser le genre de la science-fiction, le défi de Jim Soddard
En 2020 Penguin Books lance une nouvelle collection nommée Penguin Classics Sci-fi, cette collection dont la direction artistique est confiée à Jim Soddard présente vingt et un titres de classiques de la littérature internationale de science-fiction. La maison britannique a pour but grùce à cette collection de revaloriser le genre de la science-fiction et de rendre ces classiques accessibles à un large public.
La stratĂ©gie utilisĂ©e par Jim Sottard est de proposer une collection qui sort de l'esthĂ©tique traditionnelle associĂ©e au genre de la science-fiction. Afin de revaloriser le genre, il va proposer une collection Ă l'image minimaliste synonyme du savoir-faire de la maison Penguins.Â

1 Quelle lecture faites-vous du registre iconographique sĂ©lectionnĂ© pour cette collectionâ? En quoi vous semble-t-il pertinent dans un tel contexteâ? Expliquez.
Dans un premier temps, nous pouvons dire que la volontĂ© de Jim Sottard pour la composition gĂ©nĂ©rale des couvertures a Ă©tĂ© de crĂ©er une collection qui valorise lâidentitĂ© de chaque titre Ă une valeur un peu plus faible que lâidentitĂ© de la collection en elle-mĂȘme. En effet, les couvertures sont pensĂ©es pour fonctionner toutes de la mĂȘme façon. Le premier quart de la page est consacrĂ© au titre et au nom de lâauteur et le reste Ă l'iconographie. Comme pour la collection Penguin Mystery and Crime de Romek Maber ou la collection New Penguin Shakespeare de David Gentleman, l'iconographie occupe une place trĂšs importante dans la couverture. Cette place laissĂ©e Ă l'iconographie permet de crĂ©er lâidentitĂ© de la collection.Â


Le choix des illustrations est lâĂ©lĂ©ment qui crĂ©e le plus gros contraste avec les couvertures habituelles de science-fiction. En effet les couvertures exubĂ©rantes aux couleurs criardes et aux caractĂšres de titrage Ă©voquant lâespace sont remplacĂ©s par des illustrations aux traits noirs et fins sur un fond blanc. Jim Stoddart dĂ©cide de sâĂ©loigner des couvertures de science-fiction typiques du XXe siĂšcle qui semblent aujourdâhui dĂ©passĂ©es. LâesthĂ©tique sobre de la collection reste nĂ©anmoins ancrĂ©e dans le genre de la science-fiction en reprĂ©sentant des schĂ©mas, des plans, des croquis et autres dessins Ă©voquant des thĂšmes comme la science, le corps dans lâespace, les mathĂ©matiques...Â

Chaque illustration est rĂ©alisĂ©e par un maĂźtre du modernisme tel que Pablo Picasso, Le Corbusier ou Herbert Bayer et reprĂ©sente une facette de son travail tout en Ă©tant en lien avec lâhistoire du livre quâelle illustre. Le choix dâartistes modernistes permet dâillustrer les classiques littĂ©raires grĂące Ă des classiques artistiques et liant le savoir-faire de ces artistes Ă la collection. GrĂące Ă cette idĂ©e Stoddart arrive Ă apporter une dimension plus sĂ©rieuse au genre de la science-fiction et rĂ©ussis Ă Ă©lever le genre au mĂȘme niveau que des textes de littĂ©rature classique. On peut donc dire que son choix est pertinent car il modernise et rafraĂźchit lâimage associĂ©e Ă la science-fiction.Â
2 Comment interprĂ©tez-vous le choix typographique opĂ©rĂ© ici, et la façon dont le caractĂšre est employĂ© dans les couverturesâ? Quelle tendance historique du design graphique de telles stratĂ©gies semblent-elles convoquerâ?
Nous allons maintenant nous intĂ©resser Ă la partie supĂ©rieure des couvertures et notamment au choix typographique fait par Stoddart. Comme dit prĂ©cĂ©demment la partie supĂ©rieure des couvertures contient uniquement le texte et le nom de lâauteur. Le caractĂšre typographique utilisĂ© est le Theinhardt, créé par François Rappo et publiĂ© par la fonderie suisse Optimo en 2009. Ce caractĂšre qui Ă©voque lâAkzidenz Grotesk et L'Helvetica suit lâidĂ©e de modernitĂ© que veut crĂ©er Jim Stoddart. Il utilise le mĂȘme corps et la mĂȘme graisse du caractĂšre (le medium) pour le titre et le nom de lâauteur. Le corps change seulement dâune couverture Ă l'autre en fonction de la taille des informations mais la graisse reste la meme.Â
La distinction entre le titre et le nom de lâauteur se fait uniquement grĂące Ă la justification et Ă la couleur. Le titre est justifiĂ© Ă gauche et le nom de lâauteur Ă droite, les deux sont alignĂ©s. Ensemble ils rappellent la composition de la collection Penguin Mystery and Crime de Romek Maber avec la prĂ©sence dâun rectangle blanc pour en haut pour les informations textuelles.Â
Comme pour beaucoup dâautres collections Penguin, la couleur a une valeur signalĂ©tique dans les couvertures. Câest par exemple le cas pour la collection Penguin Mystery and Crime qui est associĂ©e au vert ou encore Ă la collection Pelican Books qui est associĂ©e Ă un bleu vert.Pour les couvertures de la collection Penguin Classics Sci-fi la couleur sert Ă crĂ©er une distinction entre le titre et le nom de lâauteur mais aussi Ă identifier la collection. Pour la collection de classiques science fiction câest le violet qui est utilisĂ© en plus du titre on le trouve sur le dos du livre ainsi quâen bas Ă droite sur le logo des Ă©ditions Penguin. Le violet et la seul couleur utilisĂ©e en plus du noir, les noms des auteurs sont Ă©crits en gris afin dâĂȘtres moins visible et de crĂ©er une vĂ©ritable hiĂ©rarchie dans la page.
Lâutilisation du Theinhardt a avant tout pour but dâĂȘtre fonctionnel c'est-Ă -dire lisible et discret pour laisser un maximum dâespace Ă l'iconographie.
 Le choix d'utiliser Theinhardt comme le faisaient les typographes suisse du style international accentue le positionnement de Stoddard et son envie d'élever le genre de la science-fiction en faisant référence à des classiques de la typographie moderniste.
3 Quel semble avoir été le but poursuivi par le directeur artistique en ce qui concerne la perception traditionnelle du genre littéraire concerné par cette collection?
GrĂące Ă sa volontĂ© de faire rĂ©fĂ©rence au modernisme autant dans ses choix iconographiques que typographiques, Jim Sottard revalorise et Ă©lĂšve le genre de la science-fiction afin quâil ait la mĂȘme reconnaissance auprĂšs du public que les autres collections de Penguin. Il apporte un nouveau regard sur la science-fiction et change la perception traditionnelle du public en proposant des couvertures radicalement Ă©loignĂ©es de lâesthĂ©tique des couvertures utilisĂ©es traditionnellement. De plus, il parvient Ă crĂ©er une ligne graphique uniforme qui permet dâidentifier immĂ©diatement la collection tout en Ă©tant cohĂ©rent avec le sujet de la science-fiction.Â
6403 signes
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In the worst of Americaâs Jim Crow era, Black intellectual W.E.B. Du Bois found inspiration and hope in national parks
A view of the Grand Canyon after a snowfall. Tom Stoddart/Getty Images by Thomas S. Bremer, Rhodes College In his collection of essays and poems published in 1920 titled âDarkwater,â W.E.B. Du Bois wrote about his poignant encounter with the beauty of the Grand Canyon, the stupendous chasm in Arizona. As he stood at the canyonâs rim, the towering intellectual and civil rights activistâŠ

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Ab Stoddart Catches a Wolf 1970s -- Des and Jean Moore Clippings
Des and Jean Moore Clippings thanks to the Moore gals. The Ottawa Citizen Ottawa, Ontario, Canada Wed, Apr 26, 1978 · Page 84obituary Obituary Stoddart, Elizabeth âBettyâSuddenly at home on Wednesday February 1, 2012 at the age of 71.Loving wife of Joe Kelly. Dear mother of Tammy (Ian Edmison), Kevin (Bobby), Laurie (Doug Morley), and Joanne (Jim Cameron). Proud grandmother of T.J., Abby,âŠ

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#Carleton-Place#Des and Jean Moore Clippings#genealogy#History#Lanark-County#ontario#stoddart#wolf#wolves
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Stanislaw Lem: The Star Diaries - Penguin Modern Classics
Cover Illustration: Hayley Warnham Art Direction: Jim Stoddart
#sci fi#books#graphic design#illustration#spacesuits#artists#websites#penguin books#hayley warnham#jim stoddart#stanislaw lem#the star diaries
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MRS & MR BRIDGE / Evan S. Connell
Penguin Classics
(text design, typography, typesetting)
#thomas heatherwick#books#book design#Penguin Books#penguin classics#book typography#Typography#jim stoddart#claire mason#caslon#bookstagram#book#booklr#book inspiration#bookinhand
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My Favourite Spitfire #6 the Mk.VIII
Hush KitJuly 12, 2019
Supermarine Spitfire IMG_6280.jpg
Colour photos: Jim Smith
âMy favourite fighter was the Spitfire VIII with clipped wings. It had power and good armament. It could roll quickly and out-turn any enemy fighter we encountered.â
â Robert Bracken, Spitfire, The Canadians

âThe Mk VIII lacks the fame of its relatives. It did not fight in the Battle of Britain as did the Mk I and II. It was not built in the greatest numbers; that was the 6,787-fold Mk V. It did not reset the balance against the Focke-Wulf 190 in 1942; that was the immortal Mk IXâs achievement. Yet the Mk VIII deserves attention. As was not uncommon in the tangled Spitfire family, the Mk VIII entered service 13 months after the Mk IX. It was the intended successor to the (rather out performed) Mk V but necessity prompted the very successful interim option of the Mk IX that remained competitive from its introduction in mid 1942 to the end of the war. 308th-spit8.jpg
The Mk VIII was the most advanced Merlin powered Spitfire. It was designed from the start for the two-stage 60-series engine and had a beefed up fuselage structure to handle the increased weight and power. It carried more fuel (leading edge tanks) and had the retractable tail wheel (designed for the Mk III) that cut drag and cleaned up the aft lines.

Later versions featured the bigger fin and rudder (for lateral stability) with a better proportioned outline that the original, rather minimal design. In short, it had the performance of the Mk IX and the best looks of any Spitfire, Merlin or Griffon powered. It was suave, refined and very effective; the finest of the Merlin generation.
Paul Stoddart served in the Royal Air Force as an aerosystems engineer officer and now works for the Ministry of Defence. His interests include air power and military aircraft from the 1940s onward. He is a Fellow of the Royal Aeronautical Society.


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Post 0208
Toren Adamcik; Idaho inmate 86328, born 1990, incarceration intake 2007 at age 17, sentenced to life
Murder
In 2011, four years after his conviction; the Idaho Supreme Court finally published that decision roughly 14 months after hearing arguments in Adamcikâs appeal. The High Court upheld Adamcikâs convictions and sentences on both counts.
In all, Adamcikâs attorney, Dennis Benjamin, specified eight different points of concern with Adamcikâs conviction, including the lack of evidence proving he actually stabbed Cassie Stoddart or that any stab wound he may have inflicted was a deadly wound.
Benjamin argued the court erred in denying a motion to suppress statements Adamcik made while in custody, that the jury was not properly instructed, and prosecutors made mistakes in their closing argument at trial. The attorney also challenged the district courtâs denial of his post-trial motion for a reduction in sentence because the sentence itself amounted to cruel and unusual punishment, given that Adamcik was just 16 years old when the crime was committed.
Adamcik and another man were convicted in 2007 of the stabbing murder of Cassie Jo, their Pocatello High School classmate, in September of 2006. Both were charged with first-degree murder and conspiracy to commit first-degree murder. Each was convicted on both counts in separate trials.
Both were sentenced to life in prison without parole. Each defendant filed appeals for multiple reasons, which were denied by the Idaho Court of Appeals and subsequently appealed to the stateâs top court.
The Idaho Supreme Courtâs 63-page decision in Adamcikâs case, written by Justice Jim Jones, the court denied Adamcikâs appeal on all eight arguments. Concurring with Jones were Justice Daniel T. Eismann, and Justice Warren E. Jones.
Justice Roger S. Burdick and Justice Joel D. Horton each dissented in part, while also concurring in part.
Adamcikâs attorney said he was obviously disappointed with the high courtâs decision.
2m
Last reviewed June 2025
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5 Hollywood Celebrities Who Are Zimbabwean.
Danai Gurira is an actress, playwright and a producer who is based in the United State of America (USA) who rose to fame in the early 2000, when she starred in a drama series Law and Order. Danai has been a force to reckon with, producing, directing and starring in many films. She has also won many awards.
Law and Order: Criminal Intent (2004) In the Continuum (2005) The Visitor (2007) Ghost Town (2008) Come and Gone, Life on Mars (2009) 3 Yard, My Soul to Take (2010) Treme, Restless City (2011) The Convert, Treme, The Walking Dead (2012) Mother of George (2013) Familiar (2015) Black Panther (2018)
Tongayi Arnold Chirisa was born on 8 August 1981. After finishing his secondary education, Chirisa graduated with a Diploma in Hotel Management. He graduated also with a Bachelor of Arts Degree in Live Performance at AFDA.
Television Series The Jim Gaffigan Show (2015) Sleepy Hollow (2013) American Horror Story (2012) NCIS Los Angeles (2011) Barack Obamaâs Cousin (2010) Redemption (2009) Rough (2009) Crouse (2008) Studio 263 (2003â2005) Films Whitney (2015) Asylum (2012) Mr Bones 2 : Back from the Past (2008) Zimbabwe (2008) Skin (2008) Tanyaradzwa (2004) Blood Covenant (2003) Happiness Is A Four-letter Word (2016)
Chipo Tariro Chung was born on August 17, 1977 and is a Zimbabwean actress and activist based in London. She is of half Zimbabwean and half Chinese descent. Her given name Chipo means âgiftâ and Tariro means âfaithâ in the Shona language.
Films and TV series. Absolute Power (1 episode, 2003) as Miriam Proof (2005) as University Friend Sunshine (2007) as Icarus II (voice) Dalziel and Pascoe (2 episodes, 2007) as Layla Jadwin Holby City (1 episode, 2007) as Dr. Nicola Wood The Last Enemy (2 episodes, 2008) as Lucy Fox Doctor Who (2 episodes, 2007â2008) as Chantho and Fortune Teller Doctor Who Confidential (2 episodes, 2007â2008) as Herself Casualty (1 episode, 2009) as Dan Dan National Theatre Live (1 episode, 2009) as Ismene Identity (1 episode, 2010) as Michelle Fielding In the Loop (2009) as Annabelle Hsin Camelot (8 episodes, 2011) as Vivian Sherlock (1 episode, 2012) as presenter Fortitude (2015) as Trish Stoddart A.D. The Bible Continues (2015 miniseries) as Mary Magdalene Thirteen (2016)
Chloe Traicos is a Zimbabwean born actress based in the United States of America. Before she moved to the United States, Chloe lived in Australia where she made the award-winning Indie film â I Wish I Were Stephanie Vâ which opened the New York City International Film Festival in 2011, with a special screening outside in Times Square.
MacGyver (2018 US TV Series) Devilâs Cove (2018) The Verdict with Judge Hatchett (2016 -) I Wish I Were Stephanie V (2011) Next Door to the Velinskyâs (2011) Maoâs Last Dancer (2009) A Stranger in my Homeland(2005) Garage Days (2002)
Sibongile Mlambo is a Zimbabwean actress based in the United States. Mlambo has been the face of Nivea campaigns across Africa and is represented by Ice Genetics in Cape Town. In 2007, Mlambo was the second princess in Miss Zim-USA.
Films Honey 3: Dare to Dance (2016) The Last Face (2016) Ladygrey (2016) Message from the King (2016) While You Werenât Looking (2015) Back to school mom Felix Ants Kini and Adams Almost Half Good Killer Detour TV Series Teen Wolf Homeland Season 4 Mad Dogs Season 3 Jamillah and Aladdin Beaver Falls Season 2 Strike Back Season 3 90 Plein Street Season 4 Stokvel Season 8 America Has Got Talent Season 4 The Apple Side of Life Pearson E, Learning Online W.A.P Pilot Theater Georges Marvelous Medicine Vagina Monologues Great Women in Song Festival Empire State of Mind
- IAMZIMBABWE
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LAST COPIES! The Most Beautiful Swiss Books - The Future Issue / Available at www.draw-down.com / This annual publication showcases the results of the competition âThe Most Beautiful Swiss Books,â coordinated by the Swiss Ministry of Culture and aimed at promoting #Swissbookdesign. The Future Issue is the third catalogue in the Back To The FutureTrilogy, which reflects on the past, present and future of book design. With contributions by Susanna Bliggenstorfer, Lionel Bovier, Mercedes Bunz, Hans Burkhardt, Hans ten Doornkaat, Paul Elliman, Experimental Jetset, Matias Faldbakken, Hans-Peter Feldmann, Jesko Fezer, Dominique Gonzalez-Foerster, Will Holder, Richard Hollis, Christophe Keller, Emily King, Aude Lehmann, JĂŒrg Lehni, Beat Mazenauer, NORM, Peter Piller, Martin Schmitt-Lewen, Guy Schraenen, Gerhard Steidl, Erik Steinbrecher, Jim Stoddart, Daniel van der Velden, Daniel B. Visel, Lawrence Weiner, and Gabriel Zaid. Designed by #LaurenzBrunner #Graphicdesign #typography (at Switzerland) https://www.instagram.com/p/BsndFBHA221/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=oe1xmosdr2ts
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La science-fiction, une littérature peu sérieuse
La maison Penguin Books sâinscrit dans lâhistoire de lâĂ©dition britannique, une histoire incontournable pour tous les curieux du livre de poche. Cet article nâest pas le lieu oĂč je cherche Ă cultiver les mots dâauteurs, dĂ©jĂ trĂšs nombreux. La reconnaissance suffisamment dĂ©ployĂ©e de la maison dâĂ©dition londonienne est pourtant une des raisons spĂ©cifiques qui lui permet de tendre vers un design Ă©ditorial plus variĂ© sans que cela mette en pĂ©ril sa rĂ©putation. Câest bel et bien lâidentitĂ© graphique forte de la maison dâĂ©dition qui permet au directeur artistique de la collection Penguin Classics Sci-Fi dâexploiter cette libertĂ©. Lâapproche Ă©ditoriale de Jim Stoddart se dĂ©tache de lâesthĂ©tique traditionnelle des Ă©ditions Penguin Ă travers vingt et un titres de Science-fiction et non sans raison ; rĂ©ajuster un genre littĂ©raire tenu par des idĂ©es prĂ©conçues, voilĂ le tour de main dont il fait preuve.
I. Quelle lecture faites-vous du registre iconographique sĂ©lectionnĂ© pour cette collectionâ? En quoi vous semble-t-il pertinent dans un tel contexteâ?
Le design de la collection Penguin Classics Sci-Fi opte pour mettre lâiconographie au premier plan. DĂ©jĂ vu, me direz-vous. Il est vrai que la maison dâĂ©dition a dĂ©jĂ fait usage dâune intention similaire, notamment avec sa collection Penguin Great Loves. Le directeur artistique Jim Stoddart sâempare dâune stratĂ©gie Ă©ditoriale ayant dĂ©jĂ fait ses preuves auparavant. Pour chacun des titres, lâiconographie occupe Ÿ de lâespace de la couverture, comme lâavait initiĂ© le graphiste britannique Romek Marber. Mais son intention va encore plus loin. En faisant usage du trait, il propose un rĂ©pertoire dâĆuvres des maĂźtres de lâart qui mettent Ă mal lâesthĂ©tique de la science-fiction traditionnelle. Ce registre iconographique est sĂ©lectionnĂ© non pas sans lien avec le contenu du livre de science-fiction, bien quâil ne soit pas Ă©vident du premier coup dâĆil. En effet, chaque Ćuvre dâart moderne explore des rĂ©alitĂ©s fictives par leur interprĂ©tation du monde rĂ©el en lien Ă©troit avec la littĂ©rature de science-fiction.
Quoi quâon en dise, les couvertures de livres de science-fiction ont tendance Ă ĂȘtre associĂ©es Ă une esthĂ©tique bien plus exubĂ©rante et colorĂ©e. Penguin Classics Sci-Fi est bien plus sobre et mesurĂ©e. Câest dâailleurs ce choix graphique qui permet aux ouvrages dâĂȘtre individuellement associĂ©s Ă la mĂȘme collection. En revanche, on reconnaĂźt lĂ©gĂšrement lâesthĂ©tique du livre de science-fiction par ce traitement du trait. Les couvertures nous Ă©voquent des schĂ©mas qui font Ă©chos aux mathĂ©matiques et aux sciences. Puisque la reprĂ©sentation de lâespace-temps est indĂ©niablement liĂ©e au genre littĂ©raire de la science-fiction, Jim stoddart sâempare de cette mĂ©canique. Par la sĂ©lection iconographique quâil nous livre, il nous offre aussi un voyage entre diffĂ©rentes temporalitĂ©s : des classiques littĂ©raires plus rĂ©cents aux Ćuvres de lâhistoire de lâart datĂ©es. Alors ce ne sont effectivement pas des images futuristes peu digestes qui nous sont habituelles, mais ces iconographies font bien Ă©chos au livre de science-fiction.
II. Comment interprĂ©tez-vous le choix typographique opĂ©rĂ© ici, et la façon dont le caractĂšre est employĂ© dans les couverturesâ? Quelle tendance historique du design graphique de telles stratĂ©gies semblent-elles convoquerâ?
Le choix du caractĂšre typographique Theinhardt, dessinĂ© par François Rappo parle dâune intention, celle de rĂ©investir les codes de lâĂ©cole du Bauhaus et des praticiens de lâĂ©cole de ZuÌrich. Les tentatives de composition, avec une prĂ©sence majeure de lâiconographie, trouvent leur origine en Suisse. Ă la recherche dâune neutralitĂ© pourtant utopique, Jim stoddart sâempare alors des expĂ©rimentations de ces prĂ©dĂ©cesseurs. Il opte pour un caractĂšre typographique sans serif quâil emploi en une seule graisse et avec le mĂȘme corps de texte. Attendiez-vous Ă des lettres complĂštement fantaisistes ? Ce nâest pas le cas. Loin des caractĂšres fantasques traditionnellement prĂ©sents sur le design des couvertures de sciences-fictions, le Theinhardt ne prĂ©sente pas de relation directe avec le thĂšme de la collection.
PubliĂ© par la fonderie Optimo en 2009, le caractĂšre combine fonctionnalitĂ© et clartĂ© de sorte Ă rĂ©pondre aux besoins contemporains quâexige le design de collection. DĂšs le dĂ©part, lâidĂ©e est de rendre le caractĂšre lisible et discret. Lâutilisation de la couleur est un autre moyen de produire un effet dâunification de ces titres. Auparavant, Penguin Books sâest servi de cet outil pour identifier certaines collections, comme avec lâapplication du orange pour la collection Fiction. Cette fois-ci, le directeur artistique fait usage du violet pour les titres qui sont justifiĂ©s Ă gauche, le logotype ainsi que le dos de lâouvrage. Cet Ă©lĂ©ment monochrome agit comme un signe qui permet au lecteur de faire correspondre le roman Ă la collection Penguin Classics Sci-Fi. Les noms dâauteurs sont imprimĂ©s dans un gris chaud et justifiĂ©s Ă droite pour parvenir au lecteur plus tardivement. Visiblement, ces livres de poche convoquent la tendance suisse pour laquelle lâimage est un matĂ©riau Ă privilĂ©gier et le caractĂšre le moyen de transmettre lâinformation.
III. Quel semble avoir été le but poursuivi par le directeur artistique en ce qui concerne la perception traditionnelle du genre littéraire concerné par cette collection?
Bien que la maison Penguin Books soit indĂ©niablement associĂ©e Ă des Ćuvres littĂ©raires de grande qualitĂ© et d'une valeur culturelle certaine, la science-fiction reste un genre dĂ©valuĂ©. Jim Stoddart cherche Ă cĂ©lĂ©brer les classiques de ce genre littĂ©raire en lui attribuant une nouvelle image. En tout Ă©tat de cause, la science-fiction grand public est associĂ©e Ă une imagerie extravagante qui la rend peu sĂ©rieuse. De ce fait, le directeur artistique a conçu la collection avec lâintention de changer la perception traditionnelle de la science-fiction comme un genre littĂ©raire de divertissement. Lâiconographie est donc le moyen de rendre la science-fiction lĂ©gitime, en lâassociant Ă lâhistoire de lâart. Ces dessins au traits laissent beaucoup plus dâespace au blanc et Ă lâimagination de ses lecteurs. Ces livres de poche remettent en question les idĂ©es prĂ©conçues liĂ©es Ă la perception traditionnelle de ce genre littĂ©raire tout en honorant les grands classiques du genre. Un tour de main rĂ©ussi. Non seulement Jim Stoddart est parvenu Ă la conception dâune unitĂ© graphique de collection, mais aussi, il offre un regard nouveau sur ce genre littĂ©raire en rendant justice Ă lâĂ©criture de science-fiction.
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Great Ideas collection of Penguin Books: When typography becomes illustrative by references
When you look at the covers of the Penguin Books âGreat Ideasâ collection, you see typefaces. When I look at the covers of the Penguin Books âGreat Ideasâ collection, I see allusions, references, pastiches.
When the young graphic designer David Pearson was commissioned to make the covers of this collection of books, while he was at the interior layout department, he participated to re-emerge Penguin Books as a strong and identifiable brand. For this first series of twenty books by radical thinkers throughout history that are supposed to have changed the world, Pearson had the brilliant idea to make typographic covers. No boring illustrations, thank you Pearson.
Because Jim Stoddart, the artistic director of Penguin Books, had imposed that each cover should contain title, author name and a key quote from the texts, Pearson explained that âIt seemed obvious to go straight to the text for inspiration and let the flavor of the writing directly influence the look of the coverâ. Having the idea is good. Having the means is even better. However, Pearson had not listened too much to his courses in the history of typography a few years earlier. He decided to hire Alistair Hall, an ex-student, and Catherine Dixon and Phil Baines, their former tutors at Central St Martins, who have an important culture and many references in mind.
The two important things in these covers are typefaces and references. References are more or less explicit or abstract. For example, the cover of Seneca by Phil Baines seems to be a good cover. Because Seneca is the most famous representative of ancient Stoic philosophy, Baines decided to make a centred arrangement with a sans serif typeface which reflects early carved inscriptions of Antiquity. He referred to the ancient inscription but the use of a a sans serif typeface allows him not to make a simple pastiche. The cover of The Communist Manifesto (1848) of Marx and Engels by Pearson is also interesting because he only used the flush-left with a sans serif typeface. In contrast, the cover of The Christians and the Fall of Rome of Edward Ribbon is a pastiche from the title page of the Baskervilleâs Holy Bible. According to the references and the typographical treatment and composition, the covers are more or less successful.
Going back to typographic covers that once defined Penguin Books is not nostalgic. An illustration would have been just superfluous and irrelevant for a collection like Great Ideas. The period very different of each book is neatly referenced in the choice of typeface or lettering, and in the layout. The power of typography is to illustrate itself through itself, and also demonstrates the power of words. Pearson also shows here that the covers, even if they are treated individually because of a different typeface or lettering for each, form a collection. And what a collection!
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Penguin Books, Great Ideas, Vol. I, 2004, Art Direction:Â Jim Stoddart, Design: David Pearson, Phil Baines, Catherine Dixon and Alistair Hall.
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A very happy birthday to Jim Moir, aka Vic Reeves, a frighteningly talented artist, comedian, actor and musician, born 24 January 1958. From a photo by John Stoddart taken in 1991. #vicreeves #jimmoir #thewonderstuff #reevesandmortimer #onthisdayinmusic #artonpaper #brushpen #watercolour (at Leeds West Yorkshire) https://www.instagram.com/p/CZF0YCQsh5N/?utm_medium=tumblr
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