#Idées activités hiver enfants
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origami-mama · 5 days ago
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Comment Occuper vos Enfants en Hiver : 15 Idées de Joie et Sérénité
❄️ Fatigué.e des "Maman, je m'ennuie" ? Découvrez 15 activités hivernales 🧤🌟 pour occuper vos enfants SEREINEMENT (et avec joie) 🧸✨. Transformez les journées grises d'hiver en moments en famille inoubliables 💖 #HiverSerein #Joie #Famille
Quand les températures baissent et que les jours raccourcissent, c’est souvent le chaos à la maison. Entre l’énergie débordante de nos enfants et notre fatigue hivernale, il devient difficile de trouver des idées d’activités en hiver qui ne se terminent pas par des disputes ou un “Je m’ennuie…” interminable. Alors, comment occuper vos enfants sereinement, tout en gardant votre santé mentale…
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flowery-letters · 2 years ago
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Flowery secret | [Chapitre 2]
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Neteyam x Lecteur!Féminin!Na'vi
Notes : Je compte utiliser à certains moments du vocabulaire Na'vi, celui-ci sera en italique et vous trouverez la traduction à côté pour fluidifier votre lecture. Cette fanfiction contient une intrigue construite par mes soins, il y aura donc plusieurs parties. Je produirais bientôt un sommaire pour vous présenter mon projet ~
Nombre de mots : 4 165.
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Évidemment, il fallait que ce soit Neteyam.
Le fils du Toruk Makto se tenait près de la tranche et pendant qu’il se glissait dans les eaux froides jusqu’à la taille, ses mains effleuraient la roche. La situation devenait délicate pour toi. Tu te dis que tu l'as effectivement bien cherché, car la Grande Mère te rend le prix de ta couardise. Tu soupire derrière le bruit de la cascade, descendant du banc de pierres afin d’enfoncer un peu plus ton corps sous les chutes. Tu n’avais pas quitté des yeux la scène qui se déroulait de l’autre côté du rideau de flotte. Les lèvres du garçon s'entrouvrent sur l’air qu’il respire. Le changement de température lui faisait tourner la tête. Il avait changé d’environnement après avoir eu sa baignade avec son petit frère, quitter la chaleur pour revenir dans ces eaux froides devait perturber son corps. C’était l’idée de Lo’ak de venir piquer une tête avant la chasse de l'après-midi. Neteyam trouvait que ce serait un luxe de pouvoir retarder sa prochaine responsabilité, qui serait de tenir la première chasse. A chaque saison, ses festivités.
Celle qu’ils commençaient était particulière. Les anciens l’appellent Hwang. Ce mot représente la générosité d'Eywa qui offre pendant l’été ce qu'elle a pris cet hiver. La tradition de leur clan est d’en faire une œuvre de chasse puis des préparations festives pour la future moisson. Pour une fois, il avait sauté sur l’occasion puisqu’il n’y avait que lui pour surveiller Lo’ak et ainsi éviter qu’il ne s’absente trop longtemps. Ils s’étaient retrouvés au sein de la forêt exotique pour une petite heure seulement.
Enfin, ça lui permettrait aussi d’éviter à son frère des ennuis. Il ne s’en plaint jamais, c’est son rôle de grand frère après tout. Il n’aime pas être puni, mais il apprécie encore moins voir son frère se faire gronder. Malheureusement pour l’un comme pour l’autre, les problèmes suivent les actions de Lo’ak depuis que ce dernier sait marcher et il n’y avait pas eu une seule année où son frère n’avait pas provoqué des événements causant du mouron à leurs parents.
Le dernier en date devait se diriger à environ un mois. Au milieu d’une patrouille, Spider les avait accompagnés sur l’insistance du second fils Sully. En plein vol, une tempête les avait surpris et son petit frère eut la mauvaise idée d’entreprendre un virage serré dans deux rochers. Seul, pourquoi pas. Mais avec Spider qui à peu d’appui à l’arrière.. ce n’était au final qu’une question de temps avant que les craintes de Neteyam et Jake à ce sujet ne se réalisent. Spider perdit l'équilibre, Lo’ak également mais de justesse car il resta sur son Ikran alors que son ami n’eut pas cette chance.
Si Neteyam n’avait pas eu le réflexe de voler près d’eux, ils auraient perdu Spider et Lo’ak n'aurait jamais pu se le pardonne, en plus de s'être fait tuer par leur sœur, Kiri. Enfin, même sauvés, ils n'avaient pas échappé à une crise de leurs parents, en particulier leur mère. Neytiri en a voulu à son compagnon pour avoir laissé cette idée se réaliser. Un humain n’avait pas sa place dans des activités telles que les patrouilles ou les périodes de chasse. Résultat, Spider ne peut normalement plus monter un Ikran. Mais les enfants de Jake, en particulier Lo’ak et Kiri, trouveront toujours un moyen pour y parvenir. Neteyam les connaissait suffisamment pour pouvoir parier là-dessus.
Il secoue la tête. Choisissant de se mettre dos à la cascade pour plonger son visage dans ses mains. Le chant de la forêt était le seul bruit capable de l’apaiser en ce moment. Le soleil frappait sa tête et la chaleur enveloppait tout ce qui se trouvait à la surface et non pas sous l’eau. Il avait la chance de profiter en ce moment de ces instants de paix. Pensant seulement à mettre de côté ses obligations et ses responsabilités de frère aîné le temps d’une dernière baignade. Il se détend, les coudes appuyés sur la roche. Ses oreilles remuent au moindre son se trouvant à sa portée, comme le bruit du torrent d’eau. Leur clapotis à la surface et la mélodie mêlant faune et flore bercent son esprit. Il sent en lui que Eywa se renforce au fur et à mesure de son écoute et du touché qu’il fait parcourir sous ses doigts.
Lorsqu’il n’était pas plus grand que Tuk’tirey, c’est Mo’at, leur grand-mère qui est aussi la tsahik du village qui lui a appris à reconnaître et à sentir son lien avec Eywa. On lui avait appris qu'elle se trouvait en chaque chose et chaque être de Pandora. Elle est l'équilibre et l’espace entre toute chose. Elle est le son d’un battement avant le premier et le souffle du dernier. Eywa vit en chacun des êtres de Pandora, elle donne et reprend. Car elle détient l’absolution de toute existence dans ses racines, témoin de toutes vies et toutes existences passées, présentes et futures.
La voie d’Eywa est un tout de toutes choses mais elle est aussi l'espace qui permet à toutes les autres voies d’être entendues et partagées. La sentir autour de lui n’est pas quelque chose dont il a l’habitude, mais il comprend et ressent son attractivité, elle l'étreint comme une mère le ferait avec son nouveau-né. Il se sent apaisé par elle et la remercie dans son souffle.
Enfin, une autre vague de soulagement le traverse physiquement tandis qu’il se détache du bord. Il se déplace afin de flotter sur l'étendue d’eau. La froideur du fond frappe de plein fouet ses chairs brûlantes marquées et bronzées par la chaude météo. Neteyam se sentait heureux au point qu’un sourire se dessinait lentement sur ses lèvres, il pouvait sentir l’odeur des fleurs de Yovo le survoler et taquiner sa gourmandise pour ce fruit juteux. Le jeune na'vi se retourne sur le ventre, plongeant la tête la première pour apprécier son lien avec Eywa.
Au fond des eaux, il retrouve un cœur de pierres précieuses distillées dans la roche brute. Il se rapproche de plus en plus du fond pour admirer de nombreux poissons s’enfuir à sa vue. C'est là qu'i aperçoit des cristaux d'un blanc transparent aux lignes argentés incrustés dans la roche. En admiration devant leur beauté, il navigue dans leur direction avec l’envie d’en subtiliser un échantillon. Mais il y renonce bien vite, respectant l'équilibre de la nature, ne voulant pas prendre ce que Eywa ne lui offre pas. Bientôt à court d’oxygène, il lève ses yeux vers la façade au-dessus de lui pour observer le déluge des chutes former un rideau face à lui. Il ne peut y voir clair alors il remonte rapidement. Il éclate à la surface au travers du rideau sous lequel ses yeux se ferment aussitôt lors de son impact. Il tend ses deux mains pour former une visière de protection sur son front. Il n’avait pas eu le temps d’apercevoir quoique ce soit ni même de t’apercevoir, toi. Une ombre déformée surplombait le prince omaticaya.
Dès son entrée dans l’eau, il parcourait inconsciemment un chemin pour t'atteindre. Quelque part, tu avais l'impression que tu pouvais veiller sur lui et c’est pour cette raison que tu ne t’étais pas caché de lui. Tu étais captivé par lui. Cette façon que tu as de l’adorer, c’était une chose innocente chez toi. Car chacun des gestes que le guerrier effectuait était doté d’une grâce sans pareille. Tu te perds dans ton admiration, tes yeux se baladant vers son dos brillant sous le soleil brûlant, ses cheveux tressés glissants sur sa peau par des mouvements fluides et gracieux. Sa beauté même était irréelle. Pour toi, Neteyam était le soleil dont tu avais besoin pour te protéger de tes propres ténèbres.
Mais tu savais au plus profond de toi que ce désir était beaucoup trop fou pour être réalisable. Le jeune Sully ne sait de toi que ce que tu laisse les autres voir. Tes airs détachés, ta froideur au combat.. ton nom, ta perte, ta mère. C’est à peine possible d’entrevoir ta solitude, tu es souvent entouré des autres guerriers de ton âge mais aucun n’est davantage proche de toi. Mais c’était dans tes espoirs que cela change. Tu voulais être vu, entendu et accepté. Tu l’avais choisi et tu voulais qu’il en fasse de même. Tu en rêve malgré la cruauté avec laquelle tu assimiles la réalité, celle qui te dit de te réveiller et de sortir ce garçon de tes pensées. Mais perdre ce sentiment, c’était comme perdre de nouveau un être cher et tu étais incapable d’en arriver jusque là.
Te retrouver face à lui avait interrompu le cheminement de tes pensées et rien n’aurait su apaiser cela. La moindre parcelle d’anxiété que tu ressentais t'avait réellement paralysé sur place. Tu peux sentir les effluves de bourgeons en fleur éclore dans tes narines, son odeur te serrait la gorge. Neteyam avait ce pouvoir sur toi, il retenait ton regard. La couleur de tes yeux naturellement orangé s'éclaircit sur des pigmentations plus jaunâtres. Exalté par lui, ta respiration est irrégulière, tu te retrouve à inspirer d'un seul coup. Sans relâcher ton souffle, tu lui jettes un regard écarquillé. Neteyam avait ses paupières mi-close, harassées par la pression de l’eau au-dessus de vos deux têtes. Tout comme toi auparavant, il menait ses mains vers son visage pour protéger ses yeux. Tu ne pouvais plus penser clairement. Il était dangereusement proche de toi et il y avait seulement un faible espace tenait en respect la poitrine de chacun l’une en face de l’autre. Et à son tour, il sentit une odeur différente de la sienne.
Ce parfum mêlait l’odeur pétillante de l’herbe fraîche rejointe par la douceur légère des fleurs de Yovo. Il adorait en cueillir pour sa mère quand il était tout petit. Cette fragrance de nostalgie l’attirait inexorablement. Alors qu’il désirait s'approcher de la source en humectant ses lèvres. Ses mains se sont tendues en avant, de chaque côté de ta silhouette. Tu manquais d’air, ta tête se mettait progressivement à tourner. Tu venais de pencher ton visage dans sa direction, ton regard observant ses lèvres entrouvertes. Oubliant toutes les limites que tu t’étais fixées, tu étais enfin prête à abandonner ta raison dans cette fourberie quand un soupçon d’effroi brisa ton équilibre. Les yeux de Neteyam s’étaient ouverts sur ta peau. Ils s’étaient levés pour se planter dans tes yeux, retenant un son tandis que toi, tu venais de relâcher ton souffle face à lui pour ne pas en mourir.
Neteyam était figé devant toi, ses yeux s'écarquillent lentement de surprise. Il ne s’attendait pas à te revoir ni à te voir tout court face à lui, aussi proche. Sa voix était restée bloquée dans sa gorge. Il n’arrivait pas à réaliser votre proximité ni même la vue de ta silhouette qui était enjolivée par l’eau tombant sur tes épaules. Tes cheveux tressés scintillent d’autant plus par la présence des plumes rouge et orange ornant ta coiffe. Il n'osait pas briser le contact de ses yeux plantés dans les tiens. Il n'arrivait pas non plus à émettre le moindre son, ses doigts effleuraient la surface de l'eau près de ton dos, figés par l'air chaud, par ta présence qui semblait juste inconcevable pour lui.
La lueur dans ton regard avait radicalement changé. Tes pupilles s'étaient recroquevillés en une fente qui déstabilisait le doux na’vi. Il se sentit écrasé par ton regard, lui laissant comme impression d’être la proie et toi, le prédateur. Tes yeux n’avaient pas quitté les siens, il les voyait voyager sur chaque œil que Eywa lui avait offert, sentant sa peau se réchauffer en effleurant ta jambe qui s'était glissée entre les siennes, son cœur frappa subitement contre sa cage thoracique. Il avait déjà oublié comment reprendre son souffle et par réflexe, son visage se recula pour t’observer un peu plus. il relève une salve d'eau pour saisir tes épaules avec ses deux mains.
Même si ce geste était anodin pour lui, ce dernier serra ton cœur au point que tes lèvres se plissent pour former une ligne mince. Cette expression sur ton visage donne l'impression au jeune garçon que son contact te dégoûtait. Il n'irait pas jusqu'à se penser inférieur à tout ce que tu représentes mais plutôt indigne de ta présence.
Après tout, comment pouvait-il penser autrement et dire que vous étiez sur un pied d'égalité. Tu ne lui a jamais accordé le moindre moment en ta compagnie, à chaque fois que tu trouvais un moyen de s'éclipser c'est quand Neteyam se trouvait dans les parages. Il suffisait qu'il se trouve au même endroit que toi et tu disparaissais l'instant d'après. Au début, ça paraissait anodin, puis il a essayé de t'aborder. Mais tu a continué d'avancer et au bout d'un moment, c'était comme si tu ne pouvais pas supporter d'être au même endroit lui parce qu' il s'agissait justement de lui. Tes paupières papillonnent subitement, tu te rends compte de l'absurdité de cette situation, que tu étais certaine d'avoir provoquée. Et comme si son contact te brûlait la peau, tu exécutes un geste pour t’éloigner, enfonçant une main dans sa poitrine pour le repousser. A l'inverse, Neteyam saisit ton poignet et te montre ses crocs dans une tentative d'intimidation mais tu repousse sa prise pour réitérer ton premier geste afin de vous séparer.
Si seulement tu pouvais réfréné ton besoin de le tenir à l'écart et le laisser tenter de comprendre tes agissements. Sur, par exemple, la raison pour laquelle tu n’avais pas révélé ta présence avant. Sur cette proximité, sur le pourquoi tu l’évites. Bientôt les questions se multiplient et se bousculent dans son esprit...
Pourquoi le fuis-tu ?
Pourquoi tu ne veux pas être près de lui ?
Qu’est-ce qu’il peut faire pour que veuilles de lui ?
“ Mawey (calme). Mawey… “ 
Neteyam prononça ces mots sans oser hausser la voix. Il voulait apaiser ton cœur, il voyait les mouvements de ta queue à la surface, fouettant l'eau par une seule et unique claque traduisant ton agitation. Il s’apprêtait à te dire quelque chose, mais une voix familière l’interrompt. Vous vous immobilisez tous les deux. La voix d’un Lo’ak grincheux venait de retentir.
“ Neteyam ! Tes passé où ? Si on rentre pas bientôt, on va rater la chasse ! ”
Qui sait ce que pourrait dire ce skxawng s’il vous trouvait dans une telle posture. Tu ne perds pas de temps à essayer de l'imaginer, tu préfères agir en faisant au mieux pour nager vers le fond. Mais tu avais beau te débattre en même temps pour le repousser, il semblerait que tu aies surestimé ta force face à celle du Sully. Un grognement monte alors subitement dans ta gorge et tu détourne ton regard, coupant votre connexion visuelle comme si elle ne valait rien à tes yeux. Ce qui était évidemment l’inverse. Mais ça sans le savoir, c’était difficile pour ce garçon de le deviner. Il ne t’en voulait en aucune façon et ne désirait qu’un peu de ton temps, des minutes et même seulement des secondes si tu les lui accordait. 
“Attends ! Écoute-moi, je t’en prie...“
Il resserra sa prise sur toi, mais cette fois-ci, tu claqua une gifle sur son front pour le déstabiliser. Avec un “ Aoutch “ consentit de sa part, il venait de te rendre ta liberté. C’était bien la dernière chose qu’il voulait te concernant. Neteyam s’était redressé pour tendre un regard vers toi, une grimace sur ses lèvres. Mais tu t’étais enfuis à la nage pour rejoindre le rebord avant lui et t’enfuir dans la forêt. 
Dans un soupir, il se laisse aller contre la façade humide de la montagne en regardant longuement sa main, pliant et dépliant son pouce et ses trois doigts en un seul geste. Il était perdu et ne savait pas quoi faire de toi. Il doutait de sa propre initiative, peut-être qu'il aurait dû te laisser t'en aller dès que tu en a exprimé l'envie même si elle n'avait été que muette. Tu avais vraiment su exprimer ton rejet et ton abandon l'avait secoué. Son estomac s'était noué, depuis ton départ il mesurait les battements de son cœur encore plein d’énergie. C’est la première fois qu’il se tenait physiquement proche d’une femme na'vi qui ne se trouve pas être une de ses sœurs, sa mère ou sa grand-mère.
Neteyam se remémore les traits de ton visage quand il venait de rencontrer ton regard. Il n’avait jamais vu une telle lumière dans tes yeux. Cela semblait si irréel, il tenta de se rassurer par un mensonge en se disant que ça lui était destiné. Tu étais différente de près. Tu avais beau l'avoir repoussé quelques instants plus tôt, il était certain de t'avoir découvert autrement. Il aurait juré que tu l'attendais. Mais il ne parvenait pas à garder cette théorie viable, de ta part ça le surprendrait assez. Alors que la voix de son frère se rapproche, il sort de sa "cachette" et lui répond d’emblée. 
“ Bouge pas Lo’ak, j’arrive ! “
Ta curiosité s’enflamme misérablement. Tu te redresses sur ta branche, ta tête levé en direction du ciel pendant que les deux banshee s’envolent. Si seulement tu n’étais pas si lâche.. si seulement tu pouvais aller au bout de tes désirs, alors peut-être que Neteyam ne t’aurais pas repoussé. Mais justement, quelque chose cloche et une pensée brise ton équilibre.
N’était-ce pas toi qui venais de le rejeter à l’instant ? 
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Un soupir gagne Neteyam lorsqu’il vole aux côtés de son frère. Il essaye tant bien que mal d'oublier votre rencontre pour reprendre ses esprits. D’oublier que s’il ne t’avait pas découvert face à lui, il aurait écouté sa faim pour ton odeur et aurait tenté de te goûter. Il repense à toi quand il mange son repas dans la hutte familiale, assit entre sa mère qui a sa plus jeune sœur sur les genoux et Kiri. Sa main effleura souvent l’endroit de sa poitrine, juste où tu l’avais frappé. Dans une situation plus comique et moins gênante, le fait de te voir dans tous tes états lui aurait donné envie de te taquiner. Tu aurais pu faire plus et lui faire vraiment mal mais tu t’étais abstenu et le constater le fit un peu rire, attirant l’attention des membres de sa famille à ses côtés. Tandis qu’il piquait une larve dans son bol, Kiri jetait un regard vers Lo'ak, qui haussait lui-même les épaules en réponse à sa question muette.
Enfin, Neteyam parvenait à se changer les idées en passant prendre un équipement neuf à l'armurerie, il venait de jeter un regard vers un chemin adjacent. En suivant celui-ci sur quatre hutte et en tournant à gauche sur trois d'entre elles, cela le mènerait normalement à ta hutte. Il espérait te voir participer à la chasse. Si c’était le cas, il trouverait un moyen de t’aborder une nouvelle fois. Peut-être quelques minutes avant la chasse, ou après pour gagner du temps avant la prochaine patrouille en te souhaitant d'être libre pour te reposer. C'est important que tu reste en forme, peut-être qu'il pourra demander à sa grand-mère quelques herbes pour préparer élixir de sommeil. Il pourrait dire que c'est pour lui et le faire parvenir. Son idée lui plaît et c'est ainsi qu'il récupère son matériel, repartant dans le sens inverse pour rejoindre les autres chasseurs.
Sur place, il prépara son Ikran, vérifiant la sangle de conduite et son propre équipement, en particulier ses flèches. Il ne s’était pas rendu compte qu’il guettait ton arrivée jusqu’à ce que tu apparaisse enfin dans son champ de vision.
Était-ce son besoin de t'aborder sous un nouveau jour qui le rendait si nécessiteux de te revoir ?
Il ne sut. Mais ce qu’il su en revanche, c’est qu’il n’aimait définitivement pas te voir traîner avec Ingo. Cette brute a souvent provoqué son petit frère en son absence pour s’être moqué de Spider car il se peint le corps afin de ressembler à na'vi aux yeux des animaux. Son père avait donné de nombreux avertissements à son frère et lui, le concernant. Il ne pouvait pas se battre avec Ingo à cause du statut de son grand-père Ikeyni siégeant parmi les anciens au conseil de guerre du clan. Ingo se pense avantagé et plus fort mais Neteyam sait pertinemment que ce skxawng ne ferait pas long feu face à lui. Il ne comprend pas ce que tu peux lui trouver. Même s’il est difficile de dire si vous êtes proche en tant que camarade ou en tant qu’ami, le fait est que tu es arrivé en même temps que lui. Tu es à ses côtés, tu parles avec lui de choses qu’il ne peut pas entendre pendant que tu nourris ton ikran et Ingo semble intéressé.
Qu’est-ce que ça pouvait bien être ?
" Alors, où es-tu passé après ta patrouille de ce matin ? "
Tu t'abstiens de lui répondre tout de suite, ton attention était entièrement reportée sur ta monture. Tu portais dans sa gueule un morceau de gibier provenant de ton repas que tu n’avais pas pu avaler. Ton visage était stoïque. Ton regard revint se planter sur Ingo qui te dominait d’une tête. Vous aviez grandi ensembles, mais s’il fallait définir si oui ou non vous deux étiez ami, tu ne saurais répondre à cela. Ingo était un na’vi robuste, il avait déjà effectué une des trois des épreuves sur le chemin de son ascension en tant que futur adulte mais avait échoué à la deuxième, la chasse aux rêves. Peu de monde en avait connaissance, seulement un groupe réduit dont tu faisais partie. Tu n’avais pas cherché à en savoir davantage ce jour-là, Ingo était venu à ta hutte, tu l'avais aidé à retirer la peinture sur sa peau et seulement à ce moment-là, il s'était confié. Depuis, il ne se passait pas un jour où il ne t’intégrait pas à son cercle.
Il était habituel qu’il vienne te chercher en journée pour que vous effectuiez vos activités ensemble. Cette fois-ci c'était dans l'idée d'aller chasser dans la même équipe. Être entouré ne t'embête pas, tu appréciais ne pas passer tout ton temps seule. Pour autant, tu n’aimais pas vraiment l’attitude d’Ingo. Il changeait souvent en fonction de la personne en face de lui. 
“ Je suis parti faire un tour. “ 
Alors que tu lui répondait tout en le regardant, tu le vois jeter un coup d'œil sur le côté vers Lo’ak qui accourait, son visage maquillé d’une peinture cérémoniale jaunâtre. Son excitation apparente trace un faible sourire sur tes lèvres, Ingo, qui te regardait le remarque et fait claquer sa langue contre son palais.
“ Oh, tu t'es baladé... Toute seule ? “  
Tu venais de reprendre ton sérieux en levant tes yeux vers lui, ses yeux étaient grands ouverts et un sourire avait germé sur ses lèvres, il semblait extatique. On aurait dit qu’il allait te sauter dessus si tu ne répondais pas vite. Seulement, tu n’avais pas répondu de vive voix, te contentant seulement d’hocher la tête en signe d’affirmation. Il enchaîna alors. 
“ Par hasard, t’aurais pas croisé un des deux fils du Toruk Makto en chemin ? Ils se sont baladés eux aussi. “ 
C’était une question à laquelle tu ne voulais pas répondre. Ingo se montrait parfois envahissant. Il suffisait que tu disparaisse une fois de temps en temps et voilà le résultat. Comme s'il avait besoin de se tenir toujours au courant de ce que tu fais ou de tes fréquentations. Tu ne savais pas si tu le trouvais attachant ou simplement agaçant. Un soupir franchit tes deux croissants de chair, tu essayes de ne pas le montrer mais ton expression traduit clairement qu’il venait de te poser la question de trop. Tu venais de pencher ta tête en avant, les yeux tournés vers l'horizon. La lumière éclairait tes yeux dont la pulpe rose ressortait un peu plus que d'accoutumé tant ils étaient secs.
Tu forme le lien avec ta banshee et tu la chevauche en évitant son regard, attrapant seulement pour conduire ton ikran. Tu ne remarquais pas que Ingo était contrarié par ton absence de réponse. Car si tu l’avais su, tu aurais pu voir qu’il s’était tourné pour fixer un point derrière lui. Quoiqu’il ai vu, ça l’avait conforté pour te donner une claque au niveau de la cuisse avant de s’éloigner sous ton regard penaud. Soit ce garçon se moquait clairement de toi, soit il avait une case en moins.
En observant de loin par de petits coups d'œil, Neteyam détestait la sensation qui naissait dans son estomac. Il détourne son regard avant que son repas ne décide de remonter dans sa gorge au dernier geste d'Ingo. Lo’ak qui avait bien vu que son frère ne l’écoutait pas, avait lancé une œillade à son tour pour te voir tourner la tête vers lui. Seulement, tu ne le regardais pas en particulier et curieusement, il se contenta de lever un pouce devant lui. Tu pouvais le voir et Neteyam aussi. Son frère aîné ne comprenait pas son geste, ses yeux s'ouvrirent davantage et sa tête pencha sur le côté, fixant le pouce levé de son petit frère. Ils sont interrompus par un grand bruit, assourdissant et douloureux pour leurs oreilles. La corne de brume venait de retentir, signalant le départ des chasseurs vers les montagnes. 
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omagazineparis · 2 years ago
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Pourquoi le barbecue est devenu tendance ?
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Le barbecue est un passe-temps intemporel qui nécessite de créer des flammes, de les contrôler lorsqu'elles s'éteignent et de positionner les aliments exactement comme il faut. Dis comme ça, ça ne semble pas très compliqué, et pourtant il y a plus à faire que de placer des merguez au dessus de braises. En tant qu'activité, la grillade peut être très sociale. Pourtant, traditionnellement, les hommes considèrent qu'il s'agit de leur domaine ; cependant, ces dernières années, les femmes sont de plus en plus présentes derrières les barbecues et les fumoirs, et même en compétition. Mais pourquoi le barbecue est-il devenu tendance ces dernières années ? C'est une activité sociale Le barbecue est une activité sociale agréable, pratiquée depuis des siècles. C'est non seulement un excellent moyen de passer du temps avec ses proches, mais c'est aussi l'occasion de découvrir de nouvelles recettes ! L'une des raisons pour lesquelles le barbecue est devenu à la mode est que les femmes s'y intéressent davantage ! Ce qui est drôle, c'est qu'à l'aube des temps, c'était bien les femmes qui étaient en charge du feu. Les historiens pensent que les hommes allaient à la chasse tandis que les femmes entretenaient le feu de la maison en préparant les repas. Au fil du temps, cependant, les sociétés ont vu une division de plus en plus nette entre les activités d'intérieur et d'extérieur. Les hommes ont eu plus tendance à s'accaparer le dehors, et les femmes le dedans. Le barbecue est avant tout un loisir Aucune autre activité ne vous apportera plus de satisfaction et ne vous donnera un sentiment d'utilité que les grillades ou les barbecues ! Avec ses arômes, ses images et ses goûts, les grillades ou les barbecues vous redonneront certainement le moral ! Le rapport de l'être humain avec le feu est ancestral, et il est toujours plaisant de sentir la chaleur d'un bon feu de bois sur sa peau. Il n'y a qu'à voir comme on aime se mettre devant une cheminée en hiver, sous une bonne couverture, avec un livre et sa boisson préférée. C'est un moyen de resserrer les liens avec votre famille Si vous cherchez un moyen agréable de passer du temps avec votre famille, un barbecue est l'un des meilleurs moyens. Il permet aux membres de votre famille de se rapprocher tout en créant des souvenirs inoubliables. Lorsqu'on cuisine en intérieur, on a souvent tendance à s'isoler des invités et de sa famille, par exemple en fermant la porte pour éviter que des odeurs de cuisson n'aillent jusqu'au salon. Mais en extérieur ? Aucun problème ! Il est tout à fait possible de faire cuire son repas sur son barbecue tout en discutant autour d'un verre avec ses amis, ou en échangeant quelques passes de football avec ses enfants. Une méthode de cuisson plutôt santé Contrairement à plusieurs idées reçues, cuisiner sur le grill permet non seulement de passer des moments de qualité en famille, mais présente également de nombreux avantages pour la santé. Les aliments grillés contiennent moins de graisses que leurs équivalents frits, tout en conservant davantage de vitamines essentielles telles que la riboflavine et la thiamine. Le tout est de cuire de manière indirecte plutôt que de directe, et aucune graisse ne tombera sur les braises pour générer des mauvaises fumées. Vous pouvez lire de plus amples explications à ce sujet dans cet article. Le fait de faire griller la viande, surtout sur une flamme à base de bois, permet de donner bien plus de goût, et ainsi que de savourer des pièces de viandes plus maigres mais bien moins goûteuses si cuites dans une poêle. Une façon de s'exprimer Le barbecue est un moyen incroyable de s'exprimer, de s'amuser et d'améliorer sa cuisine. Des études ont prouvé que le fait de préparer sa propre nourriture peut réduire le niveau de stress et améliorer l'humeur - en plus, c'est très abordable ! Alors, pourquoi attendre ? Sortez le gril, invitez des amis et préparez de délicieux repas ; vous vous sentirez mieux en un rien de temps ! Etes-vous plus grillades ou fumage ? Sachez qu'il existe un large panel de possibilités d'utilisation des barbecues modernes, incluant des marinades, des épices sèches (rubs) ou encore différentes essences de bois de fumage. Vous pourrez facilement créer votre propre style derrière le feu, et impressionner votre famille ainsi que vos amis. A lire également : Le 1947 à Cheval Blanc Courchevel : une expérience gastronomique inoubliable Quel barbecue choisir ? Il existe de nos jours un très large choix de barbecues suivant vos envies : - Rond de feu pour une cuisson entièrement à découvert, raclettes d'hiver et autres partages autour du feu - Barbecues "automatiques" à granules, pour ceux et celles qui ne veulent pas s'embêter avec la gestion du feu et se concentrer sur les saveurs - Fumoirs au bois, pour ceux et celles pour qui de la fumée, il n'y en a jamais assez - Kamado japonais en céramique, si l'on est indécis et qu'on voudrait tout pouvoir faire, peu importe la météo extérieur - Fumoir fait maison, pour ceux et celles qui ne peuvent vivre sans charcuterie Si jamais cet article vous a donné le goût de la grillade, allez faire un tour dans votre magasin spécialisé le plus proche, et suivez votre instinct primaire ! Read the full article
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chantefleur · 2 years ago
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Chantefleur-sur-Mirond, France ✺
Dans le centre du village, aux ruelles pavées de pierres, le vent souffle sur ton visage et te ramène à la réalité, toi qui te baladait. Tu t'étais perdu dans tes pensées. Autour de toi, la douce odeur des champs de lavande, les épices vendues sur un établi du marché, et tous les parfums d'une petite boutique indépendante embaument l'atmosphère et se fraient un chemin jusque dans tes narines. Il te semble presque avoir trouvé le paradis sur terre, l'oasis miraculeux qui rend la vie moins pénible. Cette petite ville et son environnement si unique, pourtant bien propre aux paysages français. Sa verdure, ses fleurs, ses montagnes, ses cours d'eau, son grand lac et ses nombreux champs en font ses particularités. Mais Chantefleur-sur-Mirond, c'est aussi ses habitants, son ambiance familiale, conviviale et accueillante, ains que les petits secrets qui l'animent, les ragots racontés chez le boulanger, ou encore les soirées match que l'on passe tous ensemble sur les banquettes du vieux PMU. Certaines histoires, racontées aux enfants depuis des années, perdurent et font vivre des lieux emblématiques de la ville, rendez-vous des plus curieux et parfois même des touristes: on parle notamment de l'esprit qui se cache dans la grotte près de la source du fleuve, ce n'est qu'une histoire sans fondement mais c'est ce qui permet à cet endroit de garder son caractère magique, unique.
bienvenue à chantefleur-sur-mirond !  voici quelques points importants sur le projet “sous les oliviers” :
✺ l'un des points importants du forum, c'est la vie à la campagne. nous avons choisi de créer une ville fictive (inspirée de certains lieux en France, notamment les Gorges du Verdon, mais plus généralement aussi la région PACA) pour pouvoir créer l'environnement que nous souhaitions. Chantefleur-sur-Mirond c’est une ville où vous pourrez trouver des champs de fleurs, des petites ruelles en pierres avec différentes boutiques artisanales et des produits locaux! vous pourrez aussi y retrouver des marchés, des activités comme le ski dans les montagnes voisines (en hiver uniquement) et profiter du fleuve et de son lac où vous pourrez faire du canoë ou du pédalo en famille, de l’accrobranche, et pleins d'autres activités! bien sûr, c’est une petite ville où l’on se connaît tous entre nous, et l’on se retrouve sur les bancs de la grande place ou même au PMU !
✺ nous aimerions également intégrer, au sein de Chantefleur-sur-Mirond, différentes associations qui seraient présentes dans le quotidien des habitants. par exemple, une association qui chercherait à initier un mouvement écologique dans le but de créer une ville/communauté plus verte, des lieux protégés, des systèmes de consignes, des boutiques où vous pourrez acheter tout en vrac avec vos propres bocaux... (coucou les sims eco-lifestyle) vous pourrez également retrouver différentes associations concernant par exemple: la préservation des poissons, des associations qui veulent défendre les producteurs locaux...
✺ à Chantefleur-sur-Mirond, les plus grands adorent raconter des histoires aux enfants, alors ici c'est devenu une tradition. depuis des années on raconte notamment qu'un esprit se cache dans une grotte près du fleuve, et c'est pour cette même raison que vous pourrez y retrouver, enfouies sous l’eau, pleins de pièces. les habitants aiment croire que s'ils y jettent quelques centimes en faisant un vœu, l'esprit le réalisera, et les touristes raffolent aussi de cette idée là. mais ça ne reste qu'une croyance parmi tant d'autres. il y aura pleins de secrets et de légendes à découvrir à Chantefleur-sur-Murond!
✺ plus d’informations à venir!  n’hésitez pas à nous contacter sur notre tumblr en cliquant sur le petit symbole enveloppe à gauche du blog :)
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markwilsonindn441-blog1 · 5 years ago
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Vous voulez vous amuser en camping ?
Le camping est un moment merveilleux et magique où vous et vos amis pouvez profiter du grand air. Les avantages comprennent le temps passé loin de l'agitation des villes pour un rythme de vie plus lent pendant un week-end, en profitant des plaisirs simples de la vie. Pour tirer le meilleur parti de votre prochain voyage de camping, lisez les paragraphes suivants. Réservez votre place dans un terrain de camping le plus tôt possible. Surtout en été, de nombreuses personnes sont intéressées à faire du camping en famille. Si vous faites votre réservation en hiver, vous avez beaucoup plus de chances d'obtenir le meilleur tarif possible. Ces économies peuvent se traduire par des plaisirs supplémentaires pour la famille pendant vos vacances. Si vous êtes intéressé par le camping, et que vous êtes nouveau dans cette activité, alors vous ne devriez jamais commencer seul. Cela peut être très dangereux si vous ne savez pas ce que vous faites, alors il est important d'amener un ami expérimenté pour vous aider à apprendre les ficelles du métier.
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Vous pouvez préparer des repas savoureux même lorsque vous campez. Vous n'avez pas nécessairement besoin de manger seulement des saucisses et des haricots ou des hamburgers. Préparez une boîte camping avec des herbes et des épices, de l'huile d'olive, de la cassonade ou tout ce que vous aimez. Vous pouvez préparer des repas qui ont de la saveur même lorsque vous la " dégrossirez ".
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Assurez-vous d'avoir une source d'eau appropriée. Même si vous apportez de l'eau avec vous, prévoyez avoir besoin de plus d'eau et sachez où vous pourrez en obtenir davantage. C'est une bonne idée de savoir où sera votre source d'eau avant de partir en camping, mais sûrement juste après votre arrivée. Prévoyez des lampes de poche et des piles supplémentaires. Il peut faire assez sombre la nuit, loin de toutes les lumières de la ville. Une source de lumière est très importante. Apportez quelques lampes de poche de rechange, au cas où. Assurez-vous d'emporter aussi des piles supplémentaires. Une source de lumière est quelque chose dont vous ne voulez pas vous priver. Si vous campez avec d'autres personnes, assurez-vous qu'il y a quelque chose de disponible pour divertir tout le monde. Il n'y a rien de pire qu'un camarade de camping qui s'ennuie, car il vous harcèlera constamment pour ses activités. Parlez à votre famille et �� vos amis avant de partir et assurez-vous qu'ils savent comment se divertir pour le voyage. Comprenez comment votre nourriture sera cuite. Vous devez penser à la façon dont vous allez préparer tous les repas. Aurez-vous besoin de charbon de bois ? Vous aurez peut-être besoin d'une petite bonbonne de propane. Il peut être difficile de faire cuire tous les repas sur un feu ouvert ; peu importe à quel point cela peut sembler amusant. Évitez le temps violent lorsque vous allez camper et prêtez attention aux prévisions. C'est horrible d'essayer de monter une tente sous la pluie, et ce n'est pas très amusant de rester assis dans une tente pendant une tempête de pluie. C'est tout aussi dérangeant de s'approcher d'un terrain de camping boueux et d'essayer d'en faire un week-end. Bien que vous vouliez vivre le moins possible en camping, vous devez vous préparer pour votre voyage. Vous aurez besoin d'un sac de couchage, ainsi que de couvertures supplémentaires. Elles peuvent être très pratiques lorsque la température du soir baisse. Si vous n'en avez pas besoin pour vous réchauffer, elles peuvent servir de rembourrage supplémentaire à partir de la terre ferme en dessous. Si vous campez avec des enfants, placez chaque ensemble de leurs vêtements dans un sac de plastique à fermeture éclair ou un sac d'épicerie en plastique attaché. En triant et en emballant leurs vêtements de cette façon, votre enfant peut, chaque matin, prendre un paquet et avoir un ensemble complet de vêtements pour la journée. Lorsqu'il est temps d'aller au lit le soir, chaque enfant peut remettre les vêtements souillés dans le sac de plastique et les remettre dans sa valise et ne pas salir les vêtements non portés. Mettez l'accent sur la sécurité pendant votre voyage. Renseignez-vous, ainsi que les autres membres de votre groupe, sur ce que vous devez faire si vous rencontrez un animal sauvage. Renseignez-vous le plus possible sur les ours et sur ce qu'il faut faire en cas d'attaque. Rafraîchissez votre mémoire sur les morsures de serpent. Espérons que vous n'aurez pas à utiliser ces connaissances, mais il est important qu'elles soient à votre disposition. Le camping signifie que vous, votre famille et vos amis peuvent passer du temps à l'extérieur et loin du monde moderne, avec tout son stress, son rythme effréné et sa technologie. Lorsque vous gardez à l'esprit tous les conseils de cet article, vous pouvez dormir dans votre tente en toute tranquillité, sachant que toutes vos bases sont couvertes.
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slashqs-blog · 5 years ago
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Conseils de camping pour vous aider en camping
Le camping est une excellente activité à faire en famille et entre amis. Le camping est une activité qui devrait être vécue par tous si l'occasion se présente. Vous devez savoir ce que vous faites quand vous allez camper. Dans cet article, on vous présentera de bons conseils de camping, alors continuez à lire. Cherchez où vous allez installer votre abri avant la tombée de la nuit. Une fois qu'il devient noir dans les bois, vous pouvez avoir de la difficulté à monter votre tente, à préparer la nourriture et à obtenir le bois de chauffage nécessaire. C'est particulièrement vrai pour les personnes habituées à la vie en ville et peu familières avec les bois sombres. Ne vous mettez pas dans cette situation, et trouvez votre abri pendant le jour. Pré-refroidissez votre glacière en la remplissant de glace au moins six heures avant le départ. Lorsque vous êtes sur le point de partir, emballez vos boissons réfrigérées et bloquez les glaçons, pas les cubes. Les boissons à température ambiante prennent une précieuse durée de vie et les cubes fondent beaucoup plus vite qu'un bloc de glace ! Réservez votre place dans un terrain de camping dès que possible. Surtout en été, beaucoup de gens sont intéressés à camper avec leur famille. Si vous faites votre réservation en hiver, vous avez beaucoup plus de chances d'obtenir le meilleur tarif possible. Ces économies peuvent se traduire par des plaisirs supplémentaires pour la famille pendant vos vacances. Apportez un grand sac à ordures pour le linge sale et gardez-le dans un endroit central, convenant à tous les membres de votre groupe. Laissez-les emballer leurs vêtements individuellement, car cela les rendra beaucoup plus faciles à trouver que si vous les emportiez tous dans une boîte ou un sac de rangement communautaire. Mettez une feuille de séchage dans le sac que vous voulez pour qu'il sente bon. Les insectes sont une grande préoccupation pour de nombreuses personnes qui vont camper. Ne restez pas coincé au milieu de nulle part sans avoir une sorte d'insectifuge. Avant d'installer votre campement, vérifiez les environs pour voir s'il y a des nids de guêpes ou des fourmilières qui pourraient vous causer des problèmes. Portez des pantalons longs et des manches longues dans la mesure du possible et inspectez-vous de temps en temps pour détecter les tiques. Sachez ce qui est disponible dans les environs de votre campement. Vous pourriez être chanceux et avoir du beau temps tout le temps. Cependant, vous pourriez aussi être confronté à du mauvais temps. Ayez un plan de secours au cas où vous auriez besoin d'une diversion. C'est particulièrement crucial si vous avez des enfants, mais les adultes ont aussi besoin d'un peu de divertissement ! Lorsque vous partez en camping, assurez-vous d'avoir en tête quelques activités autres que... " camping ". L'expérience de camping est enrichie par la randonnée, la baignade, l'exploration et d'autres choses du genre. Assurez-vous de vous adonner à certaines de ces autres activités afin de vivre l'expérience de camping la plus complète que vous ayez jamais eue. Pensez à acheter des talkies-walkies peu coûteux que vous pourrez emporter avec vous lors de votre prochain voyage de camping afin de pouvoir rester en contact avec tous les membres de votre groupe dans les régions où la réception du téléphone cellulaire n'est pas disponible. Cela peut être particulièrement important si vous campez avec des enfants et que vous devez suivre leurs déplacements. Assurez-vous d'avoir une source d'eau appropriée. Même si vous apportez de l'eau avec vous, prévoyez avoir besoin de plus d'eau et sachez où vous pourrez en obtenir. C'est une bonne idée de savoir où se trouvera votre source d'eau avant de partir en camping, mais sûrement juste après votre arrivée.
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Achetez un outil multi-usage à ranger avec votre équipement de camping. Cet outil devrait comprendre une hache, un marteau et une scie. L'outil multi-usage vous sera utile lorsque vous chercherez du bois de chauffage, que vous déblayerez un sentier et que vous monterez votre tente. Lorsque vous achetez un outil multi-usage, procurez-vous un outil de bonne qualité pour des années de plaisir. Apportez toujours une quantité suffisante de nourriture et assurez-vous d'apporter les bons types d'outils. Cela dépend de la durée de votre séjour, mais vous devez avoir de la nourriture qui ne se gâtera pas pendant votre voyage. N'oubliez pas qu'une intoxication alimentaire pourrait rapidement mettre fin à votre aventure de camping. Il existe de nombreuses sources d'information en ligne sur la façon de préparer et de conserver correctement la nourriture pour votre voyage de camping en Nouvelle-Zélande.
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Préparez une partie de la nourriture à l'avance afin de ne pas avoir à la manipuler sur le terrain de camping. Préparez quelques sandwiches, précuisez les pâtes et emportez des aliments qui peuvent être consommés tels quels pour rendre chaque repas moins fastidieux. D'autres repas peuvent être agréables à préparer dans le bois, mais certains devraient être prêts à partir les jours où le temps n'est pas parfait. Comme nous l'avons déjà mentionné, le camping peut être agréable, mais il implique beaucoup de préparation et de recherche. Utilisez toujours les conseils de cet article lorsque camping vous voulez commencer à planifier vos futurs voyages de camping. Lorsque vous utilisez ces nouvelles connaissances, vous ne pouvez pas vous empêcher de faire un bon voyage.
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ramiroromosao-blog · 5 years ago
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Faites un voyage dont vous vous souviendrez toujours
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Beaucoup de gens souhaiteraient pouvoir se rendre dans des pays lointains. Bien qu'il soit agréable de rêver aux nombreux endroits à visiter, les meilleures vacances commencent par une bonne planification et un peu de connaissances. Les conseils contenus dans ce document vous aideront à tirer le maximum de votre voyage vers un nouvel endroit. et trouvez également des conseils pour votre prochain voyage: billet avion dakar conakry
Lors de l'emballage
assurez-vous de séparer vos objets de valeur. Si vous faites plusieurs sacs pour un voyage, répartissez vos articles les plus chers entre eux. Évitez toujours de mettre tous vos objets de valeur dans un seul sac au cas où ce sac serait perdu ou volé. Perdre un seul sac est toujours terrible mais ne gâchera pas votre voyage.
Pour éviter d'être victime d'un voleur à la tire, gardez la main sur vos affaires. Presque toutes les grandes destinations touristiques ont leur part de résidents moins savoureux, qui cherchent à tirer profit des voyageurs imprudents. Les cibles principales sont les zones surpeuplées, où les gens peuvent se cogner et ne pas ressentir le vol à la tire. Pour éviter cela, si vous vous rendez dans une situation de surpeuplement, gardez toujours une de vos mains sur vos affaires. Cela rend impossible pour quelqu'un de voler sans votre avis.
Obtenez des menus locaux en ligne pendant que vous voyagez
Il existe souvent d'innombrables restaurants situés autour des hôtels. Si vous avez une connexion Internet là où vous séjournez, utilisez-la pour les rechercher en ligne. Vous pouvez souvent trouver des menus sur leurs sites Web. Vous pouvez également trouver des directions et des critiques pertinentes.
Si vous restez dans un hôtel et que vous aimez le café, n'utilisez pas l'eau du robinet pour le préparer. Au lieu de cela, prenez de la glace à la machine à glaçons et mettez-la dans la cafetière la nuit avant de fondre. Les machines à glace utilisent de l'eau filtrée pour obtenir un café de meilleur goût!
Partir en croisière peut être un moyen attrayant de voyager pour ceux qui veulent visiter de nombreux endroits différents. Ils peuvent le faire sans avoir à conduire eux-mêmes ou à s'embarquer dans des avions et / ou des trains différents. Les croisières ont également l'avantage de proposer de nombreux lieux de restauration de qualité et de nombreuses animations, assurant ainsi un bon voyage.
Choisir une période saisonnière spécifique pour faire son voyage peut mener à un voyage plus agréable. Pour ceux qui aiment les sports de neige, ils devraient viser un voyage en hiver. Quelqu'un qui aime la chasse devrait planifier un voyage qui coïncide avec la saison de chasse de leur choix. Des différences comme celle-là peuvent changer considérablement un voyage.
Voyager léger peut faire la différence pour des vacances réussies et une expérience tortueuse
Pensez-y. Si vous ne le prenez pas avec vous, vous pouvez presque toujours l'acheter là-bas. Il y a bien sûr des exceptions, mais même en y réfléchissant un peu, il est possible de réduire considérablement votre charge de travail et de rendre votre voyage beaucoup plus agréable.
Il est facile de s'ennuyer en attendant dans les aéroports ou dans les gares routières. L'un des meilleurs objets que vous puissiez emporter est un petit ordinateur de poche, un ordinateur ou un smartphone. Avant le voyage, vous pouvez les emballer avec des jeux et même des livres pour toujours avoir quelque chose à faire en attendant votre tour.
Avoir un petit kit de couture et un kit de réparation de lunettes dans votre bagage peut sauver la journée! Que vous déchiriez vos vêtements, que vous deviez enlever une écharde, remplacer un bouton ou remplacer les minuscules vis situées à l'arrière du jeu vidéo portable de votre enfant, ces outils sont parfaits!
Essayez de connaître le plus possible la destination vers laquelle vous allez voyager avant votre arrivée.
Vous voulez avoir une idée de ce que vous voulez faire plutôt que d'arriver finalement à l'hôtel et de vous sentir perdu et ennuyé. Vous pouvez également demander aux employés de l'hôtel et aux habitants de l'endroit où trouver de bons endroits pour vérifier.
Lorsque vous faites vos bagages pour un bébé ou un enfant en bas âge, réfléchissez aux choses que vous pourriez éventuellement ramasser une fois sur place. Les couches et les lingettes prennent beaucoup de place, surtout si vous partez pour une semaine ou plus. Cela vous laissera plus de place et vous aurez besoin de moins de temps pour faire vos bagages.
Lorsque vous organisez votre voyage, envisagez de louer une maison de vacances auprès des propriétaires de la résidence.
Il existe un grand choix de propriétés en ligne et les propriétaires sont généralement disposés à négocier le prix de la maison. Dans un hôtel, les employés ne peuvent pas toujours autoriser ce type de modification du taux. Demandez toujours des références et assurez-vous de regarder beaucoup de photos de la maison avant de réserver vos vacances.
Ne pliez pas vos vêtements lorsque vous faites vos bagages - roulez-les. Rouler vos vêtements dans des cylindres étroits est beaucoup plus efficace pour ranger une valise. Vous pourrez insérer plus d'articles dans votre valise, ce qui est très important maintenant que les compagnies aériennes facturent des frais élevés pour chaque bagage enregistré.
Pensez à échanger des souvenirs lorsque vous voyagez
Beaucoup de gens dans d'autres pays sont intéressés par les chapeaux, les chemises et beaucoup d'autres articles qui viennent de ce pays. Si quelque chose attire votre attention dans l'étal d'un vendeur, voyez s'il souhaite faire un échange avec vous. Vous aurez également l’occasion de parler aux habitants de la région et de créer des histoires intéressantes pour vos amis et votre famille.
Essayez de localiser les compagnies aériennes qui ne sont pas populaires. Il existe de nombreuses petites compagnies aériennes et bon nombre d’entre elles sont d’excellentes alternatives moins chères aux grandes compagnies aériennes les plus populaires. Beaucoup d'entre eux existent pour l'international, mais vous pouvez en trouver aussi au niveau national. Essayez de prendre un vol qui s'arrête à votre destination, mais va un peu plus loin aussi.
Profitez de temps d'arrêt pendant vos vacances
Tous ceux qui voyagent pensent qu'il est essentiel de tout voir et de tout faire. Il peut être stressant d’essayer de tout concilier et de faire en sorte que vous profitiez moins de vos vacances. Prévoyez du temps pour une sieste ou un film chaque jour et vous aurez tous plus de plaisir pendant les activités prévues.
Maintenant que vous possédez beaucoup de points de repère, vous aurez plus de facilité à planifier vos prochains voyages. Les autres voyageurs admireront votre ingéniosité au fur et à mesure que vous montrerez votre conscience de tous les obstacles, puis les vaincrons. En utilisant ces astuces, vos voyages seront moins stressants et plus relaxants.
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de-gueules-au-lion-d-or · 6 years ago
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Honneur et Fidélité,
Ce sont des mots que tu connais bien, puisque tu les as naguère salués et jurés, les deux doigts unis sur le bord du casque d’acier. Et comme disait l’autre :
le plus difficile, ce n’est pas la bravoure qui ne dure que quelques instants fulgurants, mais la fidélité, qui, elle, se prolonge même au-delà de la mort, où nous restons unis à jamais, «compagnons de jeunesse, témoins des temps meilleurs», comme le disait en une admirable traduction Jacques Benoist-Méchin.
Notre dernière rencontre aura été singulière. Au moment où j’apprenais ta disparition et m’apprêtais à rédiger la chronique d’usage, on venait frapper à ma porte : c’étaient des hommes en uniforme – deux hommes et une femme, en l’occurrence le métier a ses charmes. Ils appartenaient au corps des sapeurs pompiers municipaux et venaient m’arracher à mon écritoire fraternelle pour m’emmener à l’hôpital de Saint-Malo, où j’avais, paraît-il, un rendez-vous urgent qui ressemblait fort au tien.
Tu connais le cirque: girophares, sirènes deux tons, brancard, piqûres, oxygène (bas les masques!), morphine. Je croyais qu’on venait me chercher pour te rejoindre. Mais tu étais parti sans m’attendre. Impatient comme toujours, de ton long pas de guerrier essoufflé. On s’est pas manqué de beaucoup. Dommage. Il y a des voyages que j’aurais aimé effectuer en ta compagnie.
Tu m’avais tant fait rêver avec tes vagabondages poméraniens. Au fait, pour ceux qui ne le savent pas, je n’étais pas là-bas, avec toi, là-haut, dans les neiges de février. J’ai seulement essayé de revivre en historien très amateur et fort romantique cette fabuleuse aventure que tu avais connue en des temps où n’étaient pas si nombreux ceux qui mettaient leur peau au bout de leurs idées, selon la formule.
Quelques années de différence, quelques mois même, peuvent vous exclure à jamais d’une grande expérience d’un siècle où l’on a manqué, souvent par les caprices du dieu hasard, ce qui marque le bout de la route ou les premiers pas dans le temps des souvenirs.
Donc, tu étais pour moi, ce qu’on nommait un survivant et ce qu’il a bien fallu, peu à peu, appeler un «ancien». Nous nous étions même croisés sans nous voir alors chez notre ami Philippe Héduy, à Verderonne ou Hardancourt, si ce n’est un soir dans le salon de Gréco où m’avait entraîné Roger Nimier pour m’y parler de Drieu La Rochelle dans l’embrasure d’une fenêtre aux lourds rideaux sombres (ou plutôt cramoisis comme auraient dit Barbey et Astruc). Je ne t’avais pas interrogé dans ma longue course fiévreuse qui m’emmenait alors, de témoin en témoin, dans tous les repaires de l’Hexagone. Nous publiions pourtant chez le même éditeur, Robert Laffont, moi en 1968, Les Hors-La- Loi, et toi en 1972, Le rêveur casqué. J’ai seulement été, alors, un de tes premiers lecteurs.
Tu étais pour moi un personnage quelque peu mystérieux avec ce goût surprenant des lunettes aux verres teintés en plein hiver et des vestes de cuir en plein été. Et puis il y avait tes cigares, du style Rockfeller plus que Krukenberg sans nul doute. Avec le temps, ton personnage de play-boy allait c��der la place à une tout autre silhouette : celle d’un garçon encore jeune qui sacrifiait toute sa carrière médiatique pour rappeler dans une longue interview du Chagrin et de la Pitié, ce qu’avait été sa manière de vivre dangereusement.
On a eu tort sans doute de vouloir faire de ton livre un bouquin de guerre, alors qu’il était, très exactement, ce que les jeunes écrivains allemands de l’époque romantique appelaient un «roman de formation», à savoir la découverte par un adolescent de la vie et surtout de la mort. Et on a eu encore davantage tort d’y voir une sorte de plaidoyer pour quelque idéal politique.
La raison pour laquelle tu as rejoint au mois d’août 1944 la Waffen SS y apparaît noir sur blanc. Tu étais alors journaliste et tu racontes la visite d’un jeune ouvrier dans ta salle de rédaction. «C’est en lisant vos articles» t’avait-il dit «que j’ai compris où était le chemin d’un avenir plus propre».
Et tu concluais, avec une implacable logique à la Saint-Just (ou à la Charlotte Corday) :
«Après avoir suivi mes convictions, il les avait devancées. J’étais lié à son choix. Si je ne voulais pas, un jour, vivre dans la crainte et la honte, je devais rejoindre son exemple. Et je sentis soudain qu’en moi, tout était joué».
Quand tu es arrivé au camp de Wildflecken, tu découvres ce que tu nommes si bien «l’exigence vis-à-vis de soi-même». Et le geste même du salut, devient au sens crucial du terme, la manière d’accéder à un ordre où rien n’était facile, mais où tout était plus pur.
Il fallait que ces choses soient dites. Tu les as dites. Et écrites. Et répétées. Pourtant, jamais, chez toi, de cette caricature puérile de la fidélité méprisante, mâchoire serrée, les yeux sombres fixés sur la ligne bleue de la Baltique.
«C’était un rêve immense. J’en sais, aujourd’hui, les illusions et je mesure notre naïveté. Avec le recul des années, toutefois, je vois combien il pouvait séduire un jeune garçon en mal de révolution. Et ce qui était extraordinaire, c’est que ce renouveau surgissait en plein désastre, comme si celui-ci avait réveillé les forces vives».
Ce qui est extraordinaire, dans ton aventure, c’est de ne t’être jamais réclamé de grandes visions héroïques mais de la simple fidélité à une voie choisie une fois pour toutes, même si tant de routes diverses vous y avaient conduits. Le grand problème, ensuite, était de savoir si tu resterais l’homme d’un seul livre ou s’il était possible de rêver d’une suite au Rêveur. Il a fallu attendre 2003. Trente ans après! Même Alexandre Dumas ne nous avait pas laissé patienter si longtemps.
Quand Bernard de Fallois publia enfin Le Rêveur blessé, j’y consacrai dans cet hebdomadaire un article qui me valut un de ces coups de téléphone qui vous paye de toutes les affres du métier de critique. Je t’avais touché au cœur. Tu fus si enthousiasmé que je voudrais bien aujourd’hui en sauver quelques lignes :
«Christian est toujours resté ce qu’on aime: «un type bien», même si ses activités professionnelles et ses liaisons surprenantes pouvaient parfois étonner ceux qui le découvraient tête nue, après avoir jeté son casque d’acier au hasard d’un fossé poméranien. Comme il avait du talent, de la ténacité, de l’entregent, il devait devenir un des meilleurs attachés de presse du monde du cinéma, côtoyant producteurs et vedettes. C’était possible au début des années cinquante; ce ne le serait plus aujourd’hui où se confondent souvent, comme un même double devoir, la mémoire et la haine. Ce livre de souvenirs par un très émouvant retour en arrière nous en apprend beaucoup sur son père et sur sa mère — sa brisure —, sur ses enfances varsovienne et saumuroise. Il y a des pages admirables sur le destin d’un enfant pris entre deux êtres et deux horizons, ce qui pourrait expliquer tout… Sur la fin de sa carrière, il revint au journalisme mais à l’envers, si l’on peut dire, passant du gigantesque Figaro Magazine à la minuscule Révolution européenne, avec la joie sans prix de celui qui croit retrouver sa jeunesse. D’ailleurs, il n’a jamais quitté cet âge».
Salut à toi, Bel-Ami de tous les combats. A bientôt. Ne marche pas trop vite. Attends-moi.“
Jean Mabire
National-Hebdo n. 1130 – 16/22 mars 2006
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furiefrancaise · 6 years ago
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Christian de la Mazière par Jean Mabire :
Honneur et Fidélité,
Ce sont des mots que tu connais bien, puisque tu les as naguère salués et jurés, les deux doigts unis sur le bord du casque d’acier. Et comme disait l’autre :
le plus difficile, ce n’est pas la bravoure qui ne dure que quelques instants fulgurants, mais la fidélité, qui, elle, se prolonge même au-delà de la mort, où nous restons unis à jamais, «compagnons de jeunesse, témoins des temps meilleurs», comme le disait en une admirable traduction Jacques Benoist-Méchin.
Notre dernière rencontre aura été singulière. Au moment où j’apprenais ta disparition et m’apprêtais à rédiger la chronique d’usage, on venait frapper à ma porte : c’étaient des hommes en uniforme – deux hommes et une femme, en l’occurrence le métier a ses charmes. Ils appartenaient au corps des sapeurs pompiers municipaux et venaient m’arracher à mon écritoire fraternelle pour m’emmener à l’hôpital de Saint-Malo, où j’avais, paraît-il, un rendez-vous urgent qui ressemblait fort au tien.
Tu connais le cirque: girophares, sirènes deux tons, brancard, piqûres, oxygène (bas les masques!), morphine. Je croyais qu’on venait me chercher pour te rejoindre. Mais tu étais parti sans m’attendre. Impatient comme toujours, de ton long pas de guerrier essoufflé. On s’est pas manqué de beaucoup. Dommage. Il y a des voyages que j’aurais aimé effectuer en ta compagnie.
Tu m’avais tant fait rêver avec tes vagabondages poméraniens. Au fait, pour ceux qui ne le savent pas, je n’étais pas là-bas, avec toi, là-haut, dans les neiges de février. J’ai seulement essayé de revivre en historien très amateur et fort romantique cette fabuleuse aventure que tu avais connue en des temps où n’étaient pas si nombreux ceux qui mettaient leur peau au bout de leurs idées, selon la formule.
Quelques années de différence, quelques mois même, peuvent vous exclure à jamais d’une grande expérience d’un siècle où l’on a manqué, souvent par les caprices du dieu hasard, ce qui marque le bout de la route ou les premiers pas dans le temps des souvenirs.
Donc, tu étais pour moi, ce qu’on nommait un survivant et ce qu’il a bien fallu, peu à peu, appeler un «ancien». Nous nous étions même croisés sans nous voir alors chez notre ami Philippe Héduy, à Verderonne ou Hardancourt, si ce n’est un soir dans le salon de Gréco où m’avait entraîné Roger Nimier pour m’y parler de Drieu La Rochelle dans l’embrasure d’une fenêtre aux lourds rideaux sombres (ou plutôt cramoisis comme auraient dit Barbey et Astruc). Je ne t’avais pas interrogé dans ma longue course fiévreuse qui m’emmenait alors, de témoin en témoin, dans tous les repaires de l’Hexagone. Nous publiions pourtant chez le même éditeur, Robert Laffont, moi en 1968, Les Hors-La- Loi, et toi en 1972, Le rêveur casqué. J’ai seulement été, alors, un de tes premiers lecteurs.
Tu étais pour moi un personnage quelque peu mystérieux avec ce goût surprenant des lunettes aux verres teintés en plein hiver et des vestes de cuir en plein été. Et puis il y avait tes cigares, du style Rockfeller plus que Krukenberg sans nul doute. Avec le temps, ton personnage de play-boy allait céder la place à une tout autre silhouette : celle d’un garçon encore jeune qui sacrifiait toute sa carrière médiatique pour rappeler dans une longue interview du Chagrin et de la Pitié, ce qu’avait été sa manière de vivre dangereusement.
On a eu tort sans doute de vouloir faire de ton livre un bouquin de guerre, alors qu’il était, très exactement, ce que les jeunes écrivains allemands de l’époque romantique appelaient un «roman de formation», à savoir la découverte par un adolescent de la vie et surtout de la mort. Et on a eu encore davantage tort d’y voir une sorte de plaidoyer pour quelque idéal politique.
La raison pour laquelle tu as rejoint au mois d’août 1944 la Waffen SS y apparaît noir sur blanc. Tu étais alors journaliste et tu racontes la visite d’un jeune ouvrier dans ta salle de rédaction. «C’est en lisant vos articles» t’avait-il dit «que j’ai compris où était le chemin d’un avenir plus propre».
Et tu concluais, avec une implacable logique à la Saint-Just (ou à la Charlotte Corday) :
«Après avoir suivi mes convictions, il les avait devancées. J’étais lié à son choix. Si je ne voulais pas, un jour, vivre dans la crainte et la honte, je devais rejoindre son exemple. Et je sentis soudain qu’en moi, tout était joué».
Quand tu es arrivé au camp de Wildflecken, tu découvres ce que tu nommes si bien «l’exigence vis-à-vis de soi-même». Et le geste même du salut, devient au sens crucial du terme, la manière d’accéder à un ordre où rien n’était facile, mais où tout était plus pur.
Il fallait que ces choses soient dites. Tu les as dites. Et écrites. Et répétées. Pourtant, jamais, chez toi, de cette caricature puérile de la fidélité méprisante, mâchoire serrée, les yeux sombres fixés sur la ligne bleue de la Baltique.
«C’était un rêve immense. J’en sais, aujourd’hui, les illusions et je mesure notre naïveté. Avec le recul des années, toutefois, je vois combien il pouvait séduire un jeune garçon en mal de révolution. Et ce qui était extraordinaire, c’est que ce renouveau surgissait en plein désastre, comme si celui-ci avait réveillé les forces vives».
Ce qui est extraordinaire, dans ton aventure, c’est de ne t’être jamais réclamé de grandes visions héroïques mais de la simple fidélité à une voie choisie une fois pour toutes, même si tant de routes diverses vous y avaient conduits. Le grand problème, ensuite, était de savoir si tu resterais l’homme d’un seul livre ou s’il était possible de rêver d’une suite au Rêveur. Il a fallu attendre 2003. Trente ans après! Même Alexandre Dumas ne nous avait pas laissé patienter si longtemps.
Quand Bernard de Fallois publia enfin Le Rêveur blessé, j’y consacrai dans cet hebdomadaire un article qui me valut un de ces coups de téléphone qui vous paye de toutes les affres du métier de critique. Je t’avais touché au cœur. Tu fus si enthousiasmé que je voudrais bien aujourd’hui en sauver quelques lignes :
«Christian est toujours resté ce qu’on aime: «un type bien», même si ses activités professionnelles et ses liaisons surprenantes pouvaient parfois étonner ceux qui le découvraient tête nue, après avoir jeté son casque d’acier au hasard d’un fossé poméranien. Comme il avait du talent, de la ténacité, de l’entregent, il devait devenir un des meilleurs attachés de presse du monde du cinéma, côtoyant producteurs et vedettes. C’était possible au début des années cinquante; ce ne le serait plus aujourd’hui où se confondent souvent, comme un même double devoir, la mémoire et la haine. Ce livre de souvenirs par un très émouvant retour en arrière nous en apprend beaucoup sur son père et sur sa mère — sa brisure —, sur ses enfances varsovienne et saumuroise. Il y a des pages admirables sur le destin d’un enfant pris entre deux êtres et deux horizons, ce qui pourrait expliquer tout… Sur la fin de sa carrière, il revint au journalisme mais à l’envers, si l’on peut dire, passant du gigantesque Figaro Magazine à la minuscule Révolution européenne, avec la joie sans prix de celui qui croit retrouver sa jeunesse. D’ailleurs, il n’a jamais quitté cet âge».
Salut à toi, Bel-Ami de tous les combats. A bientôt. Ne marche pas trop vite. Attends-moi."

Jean Mabire
National-Hebdo n. 1130 – 16/22 mars 2006
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ralentir-en-famille · 3 years ago
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Maison saine : limiter la pollution de l’air intérieur
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Une maison plus saine : 10 actions pour limiter la pollution de l’air intérieur
Quels sont les bons gestes à adopter pour avoir une maison saine et ainsi préserver la santé de toute la famille ? Si la pollution de l’air extérieur fait régulièrement la une des journaux, on n’entend que très peu parler de la qualité de l’air de nos maisons. C’est assez paradoxal puisque c’est là que nous passons la majeure partie de notre temps : 80 à 90% en moyenne. Selon certaines études, l’air intérieur serait jusqu’à 8 fois plus pollué que l’air extérieur : acariens, moisissures, mais aussi COV, phtalates, retardateurs de flamme… Malheureusement, cette pollution peut engendrer de nombreux problèmes de santé à court ou long terme : allergies, asthme, maux de tête… jusqu’au cancer des poumons. Les enfants et les personnes âgées y sont les plus sensibles. L'OBQI (Observatoire de la qualité de l'air intérieur) estime à 20 000 le nombre de décès annuels en France liés à la pollution de l’air intérieur. Sans tomber dans la psychose, découvrez tout de suite 10 actions à mettre en place chez vous pour assainir l’air ambiant, et les fausses bonnes idées à éviter. 
Aérer et ventiler pour évacuer les substances toxiques
C’est le premier geste et le plus important en termes d’impact que la qualité de l’air intérieur. Il est recommandé d’aérer son logement deux fois par jour pendant 10 minutes minimum, avec les fenêtres grandes ouvertes pour créer un vrai courant d’air. Pas facile en plein hiver, je vous l’accorde… On peut procéder pièce par pièce pour ne pas finir congelé !Si vous êtes allergique aux pollens, il vaut mieux aérer tôt le matin pendant les périodes de floraison. C’est à ce moment-là que les particules en suspension sont les plus faibles. Dans le cas où votre habitation se trouve près d’un axe routier à fort trafic, aérez en dehors des heures de pointe. Dans certains cas, l’achat d’un purificateur d’air peut être un moyen de compenser la mauvaise qualité de l’air extérieur.Installer une VMC (Ventilation Mécanique Contrôlée) est une bonne idée car elle permet de renouveler l’air en continu, et de faire baisser le taux d’humidité. Le top : une VMC double flux qui permet de récupérer les calories de l’air expulsé pour chauffer l’air entrant, limitant ainsi les déperditions énergétiques. La VMC ne remplace cependant pas l’aération. De plus, pour être efficace, elle doit être correctement entretenue, notamment en changeant les filtres selon les recommandations du fabricant. Sinon, elle peut devenir une source de pollution !Autre bonne pratique : aérer pendant et après avoir fait la cuisine, ainsi que lorsqu’on fait des travaux car ces activités génèrent beaucoup de polluants chimiques.
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Contrôler le taux d’humidité dans l’air
Si des tâches noires, vertes ou blanchâtres apparaissent sur vos murs ou plafonds, il est probable que l’air de votre maison soit trop humide, ce qui favorise le développement de moisissures. Celles-ci peuvent causer des irritations des yeux, du nez et de la gorge, de la toux, augmenter la fréquence et la gravité des crises d’asthme… Idéalement, l’hygrométrie devrait rester entre 40 et 60%.L’humidité est également propice aux acariens, ces sympathiques petites bêtes qui se nourrissent de nos peaux mortes, de poils d'animaux et… de moisissures. Associée à la chaleur, c’est le combo fatal ! C’est pourquoi il faut éviter de surchauffer nos logements (en plus de faire des économies d’énergie, of course). La température idéale d’une chambre se situe entre 17°C et 19°C, celle des pièces de vie aux alentours de 19-20°C.Les bons gestes pour faire baisser le taux d’humidité :Si possible, aérer la salle de bain après avoir pris un bain ou une douche Si votre intérieur a tendance à être humide, évitez d’y faire sécher du linge, ou alors faites-le dans une pièce aérée Aérez quand vous cuisinez ou dès que vous constatez de la condensation sur les fenêtres Placer un bol de gros sel dans les pièces humides, c’est un bon absorbeur d’humidité
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Fumer dehors : la base pour une maison saine
Ça parait évident, mais ça ne mange pas de pain de le répéter ! On trouve quelque 250 substances toxiques dans la fumée de tabac. Le tabagisme passif fait des ravages parmi les enfants. Donc pas de négociation possible, pour la santé de toute la famille, le tabac c’est dehors (et c’est tabou aussi) ! 
Choisir des meubles à faible émission de polluants
Les meubles à bas coût en panneaux de particules contiennent des colles qui émettent des Composés Organiques Volatils (COV). Le plus répandu est le formaldéhyde, reconnu par le Centre International de Recherche contre le Cancer (CIRC) comme cancérogène avéré pour l’Homme.Donc pour limiter les COV, il est préférable de choisir des meubles en bois massif, non traités, et d’appliquer soi-même un produit de protection sain, comme une huile ou de la cire d’abeille. Sinon, on peut opter pour des meubles d’occasion, qui auront déjà évacué la plus grande partie des COV. Si vous tenez vraiment à acheter du neuf, préférez des meubles qui portent la marque NF Environnement ou Ecolabel européen, et placez-les en quarantaine dans une pièce aérée pendant plusieurs semaines avant de les installer à leur place définitive, surtout si c’est dans une chambre d’enfant !
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Utiliser des produits d’entretien sains et naturels
Faire le ménage, c’est bien sûr indispensable pour garder une maison saine ! En particulier, il est important de faire la chasse à la poussière : elle accumule les polluants. Là où le bas blesse, c’est souvent au niveau des produits utilisés. En plus d’être très nocifs pour l’environnement, la grande majorité des produits d’entretien conventionnels émettent des COV. A court terme, ils peuvent provoquer des allergies, et à plus long terme des maladies graves comme des cancers.Les alternatives : du vinaigre blanc, du savon noir, du savon de Marseille, du bicarbonate et du percarbonate de soude. Il est inutile de vouloir tout désinfecter dans la maison car l’excès d’hygiène nuit à notre système immunitaire :) Dites adieu à la Javel !
Parfums, encens et bougies parfumés : les ennemis d’une maison saine
Qui n’a jamais tenté de masquer une mauvaise odeur par un petit coup de désodorisant ou une bougie parfumée ? Mauvaise idée : cela ne fait qu’ajouter des polluants supplémentaires ! Le parfum “brise marine”, sur le papier ça a l’air très naturel mais en réalité c’est un concentré de substances chimiques. Pareil pour l’encens, qui dégage entre autres du benzène, un hydrocarbure classé comme cancérigène. Si vous avez du mal à vous en passer, n’en faites pas brûler tous les jours, adaptez le temps de combustion au volume de la pièce et aérez après utilisation. Les bougies classiques, mêmes non parfumées d’ailleurs, libèrent elles-aussi des substances nocives.L’alternative : une bougie à la cire d’abeille ou de soja, et éventuellement de temps en temps des huiles essentielles. Quand vous passez l’aspirateur, vous pouvez placer de la lavande ou du romarin dans le sac : toute votre maison sentira la provence !
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Choisir des matériaux non-toxiques pour les murs et le sol
Depuis 2013, le niveau d'émission de COV dans les matériaux de construction est indiqué par une lettre, de A+ à C. A prendre en compte lorsque vous voulez refaire la déco ! Attention quand-même, les critères de notation ne sont pas très stricts.
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Les peintures classiques, même à l’eau, émettent beaucoup de COV pendant plusieurs semaines, voire mois ou même années ! Le papier peint, quant à lui, contient souvent une couche de PVC qui émet aussi des polluants, tout comme la colle utilisée lors de la pose.Les alternatives : des peintures écologiques (Pure &Paint, Algo ou Colibri, par exemple), ou bien des peintures faites maison : à la chaux, au blanc de Meudon ou encore à base de farine, comme la peinture suédoise, par exemple. Certains papiers peints intissés, sans PVC, imprimés avec des encres sans solvants (labellisé Imprim’Vert) et posés avec une colle maison à base de farine peuvent être une autre solution saine.Pour le sol, les choix les plus sains sont :le plancher en bois massif brut le carrelage en grès, le vrai linoléum (fabriqué avec de l’huile de lin, contrairement au lino en PVC qui contient des phtalates) le liège naturel le jonc de mer, la jute naturelle et la fibre de cocoAttention à la moquette et aux tapis, dont les colles libèrent des COV, et éventuellement des retardateurs de flamme. Choisissez plutôt une version en pure laine ou en coton bio ou au minimum labellisé Oeko-tex.
Dormir au naturel pour mieux respirer
Nous passons un tiers de notre vie à dormir. D’où l’importance de choisir sa literie avec soin, et pas seulement pour le confort !La grande majorité des matelas et oreillers contiennent de la mousse de polyuréthane, émettrice de COV, et sont traités contre les acariens, les moisissures et éventuellement aspergés de retardateurs de flamme… Ça part d’une bonne intention, mais on se retrouve à dormir sur un bon cocktail chimique !Il existe des alternatives : des matelas en latex naturel, en laine, en fibre de coco… Pour faire votre choix, vous pouvez vous fier les yeux fermés au comparatif de matelas du site Objectif Bébé Bio. Au niveau des couettes vous pouvez choisir de la laine, du coton bio ou tout simplement des plumes, en faisant attention aux traitements utilisés. C’est plus cher, oui, mais ça en vaut la peine, surtout que c’est aussi bien meilleur pour l’environnement ! Pour ma part, j’ai choisi un matelas et un oreiller en latex naturel, ainsi qu’une couette 4 saisons en laine bio (GOTS). Mes enfants ont, eux, un oreiller en laine certifiée bio (GOTS). D’ailleurs, si vous souhaitez plus d’infos sur les articles que j’ai utilisés pour mes enfants, je vous invite à lire mon article “Une liste de naissance minimaliste et écologique”.Évidemment, aussi naturelle qu’elle soit, la literie doit être nettoyée régulièrement pour éliminer la poussière et les acariens.
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Bannir les bouquets de fleurs
Quoi ?? C’est surprenant, je vous l’accorde. les fleurs en elles-mêmes ne posent pas de problème, à moins que vous n’y soyez allergique. Mais la grande majorité des fleurs coupées vendues en France sont issues de l'agriculture intensive et viennent de (très) loin. Elles sont très copieusement arrosées de pesticides en tous genres, qui se retrouvent… chez vous. Alors pour garder une maison saine sans vous fâcher avec votre amoureux·se, cherchez autour de chez vous, souvent sur les marchés, des petits producteurs en France, qui font pousser des jolies fleurs de manière éco-responsable ;)
Devenir minimaliste, une autre façon de rendre sa maison plus saine
Moins vous avez d’objets, moins ils polluent votre intérieur, et plus il est facile à nettoyer ! Le minimalisme est un mode de vie qui tend à se développer, pourquoi ne pas vous y mettre vous aussi ? Vous trouverez dans cet article tout ce que vous devez savoir pour vous lancer dans l’aventure ;) 
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En résumé
Pour préserver la qualité de l’air de votre maison, et par la même occasion la santé de toute la famille, il faut veiller à :Aérer fréquemment Fumer dehors (ou ne pas fumer) Surveiller l’humidité Bien choisir ses meubles Bannir les bougies parfumées, l’encens et les sprays désodorisants Choisir des peintures et revêtements de sol à faible émission de COV Utiliser des produits d’entretien naturels Opter pour une literie saine Aller vers un mode de vie plus minimalisteJ’espère vous avoir donné quelques clés utiles pour respirer un air plus pur chez vous. Surtout, gardez en tête qu’il est impossible d’éliminer toutes les sources de pollution. Donc restez zen et dites-vous bien que chaque petit geste compte !Si vous pensez que cet article peut être utile à quelqu’un de votre entourage, vous pouvez le partager via les boutons à gauche du texte. Merci à vous ! Read the full article
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actusfrances · 5 years ago
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Vacances au ski et écologie : incompatibles ? Pas si vous suivez ces 5 conseils
Si les canons à neige et les télésièges ne sont pas les meilleurs amis de l'environnement, des pistes – vertes – existent pour skier et surfer autrement. Stations planète friendly, matos écolo et actions militantes : suivez le guide.
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Poudreuse immaculée, ciel bleu et soirées au coin du feu. Les séjours à la montagne sont un bol d'air pour ceux qui peuvent se les offrir, moins pour l'environnement. En cause, la pollution automobile, les remontées mécaniques, la neige artificielle ou les déchets abandonnés. Ces pollutions contribuent aussi au réchauffement de la planète, que les massifs subissent de plein fouet. Météo France recense 5 jours de neige en moins tous les dix ans depuis 1960 en moyenne montagne (1 300 m). Résultat, des petites stations ferment, et des emplois locaux disparaissent. Domaines Skiables de France a d'ailleurs lancé en novembre un appel à la mobilisation générale pour la préservation des massifs français. Ski et écologie sont-ils définitivement incompatibles ? "C'est une des schizophrénies de nos sociétés, j'adore les sports d'hiver, mais je ne sais pas si mes enfants pourront les pratiquer", reconnaît Camille Rey-Gorrez, présidente de l'association d'éducation au développement durable Montain Riders. Qui souligne toutefois des avancées. Des stations et des amoureux de la montagne se mobilisent et agissent pour réduire leur empreinte écolo. Voici cinq pistes pour skier autrement.
1. Choisir une station labellisée
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En 2011, Montain Riders a lancé le label "Flocon vert" qui récompense les stations ayant une réelle politique de développement durable. Pour l’obtenir, elles doivent remplir plus d'une vingtaine de critères portant sur la mobilité, l'énergie, les bâtiments, les déchets ou le respect de la biodiversité. Sept destinations l'ont pour l'instant décroché : les Rousses (Jura), la Vallée de Chamonix, Châtel (Haute-Savoie), La Pierre Saint-Martin (Pyrénées-Atlantiques), Chamrousse (Isère) et Valberg (Alpes-Maritimes). Megève, dans le massif du Mont-Blanc, est la dernière décorée en janvier 2020. D'autres stations font aussi des efforts, comme Serre-Chevalier (Hautes-Alpes) qui produira d'ici 2022 l'équivalent de 30 % de sa consommation électrique, en mixant le photovoltaïque, le petit éolien et l’hydroélectricité. "Depuis trois ans, on assiste à une prise de conscience dans toutes les stations de la nécessité de changer de modèle, mais la plupart se demandent encore que faire ou lancent des actions ponctuelles, alors qu'il faut désormais des plans coordonnés qui impliquent tous les acteurs locaux", analyse Camille Rey-Gorrez. Les Trophées Cimes durables récompensent aussi tous les deux ans des projets innovants dans les stations. En 2018, Chamrousse, Combloux, Font-Romeu et Les Houches avaient été récompensées.
2. Se déplacer en transports en commun
Cette question est cruciale car, selon l’association Mountain Riders, 57 % des émissions de gaz à effet de serre d’une station de montagne sont liées aux déplacements des vacanciers de leur résidence jusqu’à leur destination. Une bonne raison de laisser la voiture au garage (sans compter les galères liées aux embouteillages ou au verglas). Surtout si l'on est seul. "Pour les familles, c'est un peu plus compliqué, mais au moins peuvent-elles oublier leur voiture pendant le séjour car de plus en plus de stations proposent des transports collectifs gratuits." Megève a mis en place des navettes électriques gratuites. Valberg a lancé un service d’autopartage de véhicules électriques. Dans les Pyrénées, la vallée de Louron et la station de Peyragudes sont désormais reliées grâce au "Skyvall", un téléphérique qui parcourt 3 kilomètres en moins de 9 minutes. De quoi économiser 89 000 trajets en voiture par an. Sachez aussi que l'association internationale Mountain Wilderness propose une collection de brochures présentant des idées de sorties en montagne sans voiture. Et 15 000 itinéraires de montagne accessibles en transports en commun (randos à pieds, en raquette, à ski, escalade…).
3. Tester les raquettes et respecter la nature
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Et si vous variez les plaisirs cet hiver ? Testez le ski de fond ou les raquettes, des sports qui ne nécessitent pas d’installations mécaniques. Tout en restant sur les pistes balisées, mais sans perturber la faune et la flore. "Si vous vous aventurez sur des sentiers plus sauvages, renseignez-vous sur les lieux d'hivernage des animaux, un chamois effrayé risque de s'épuiser en fuyant", rappelle Camille Rey-Gorrez. Ne pas jeter ses déchets dans la neige semble aussi évident... mais plus de 150 tonnes d'ordures sont encore abandonnées en montagne chaque année selon Mountain Riders, qui a pu ramasser jusqu'à 30 000 mégots sous une remontée mécanique d’une dizaine de sièges ! Côté alimentation, la station de Valberg propose désormais des repas à emporter dans des emballages consignables. La Pierre Saint-Martin, elle, a troqué sa supérette contre un magasin de producteurs locaux. Châtel, de son côté, encourage les séjours et les dégustations à la ferme.
4. Choisir du matos écolo
Côté équipement, privilégiez l'emprunt ou la location si vous êtes un skieur occasionnel. Sachez aussi que des boutiques, comme les Recycleries sportives, proposent du matériel de seconde main à petit prix. Pour les skieurs réguliers, de nombreuses marques se tournent désormais vers des éco-matériaux : snowboard en bambou, skis en fibres de lin, doudounes compostables ou en matières naturelles… Pour plus d'infos, Montain Riders met régulièrement à jour son écoguide du matériel de montagne.
5. Ramassage de déchets
Enfin, les plus motivés peuvent s'engager dans des actions bénévoles, comme le ramassage de déchets en montagne. L'an passé, 6 000 participants ont récolté 25 tonnes d'ordures dans lors des Montain days, de mai à septembre. L’antenne française de l'association Mountain Wilderness organise pour sa part des opérations de démontage d’installations obsolètes. Dans tous les cas, vacanciers et stations devront demain évoluer. "Il faut sortir du tout ski, et rendre la montagne attractive toute l'année, en diversifiant ses activités, comme le font déjà des stations de moyenne montagne", plaide Camille Rey-Gorrez. Amoureux des montagnes, pensez donc aussi à la randonnée et au kayak cet été !
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fec-headcanons-blog1 · 5 years ago
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Vous allez camper ? Lisez d'abord ces conseils !
Si vous n'avez jamais fait de camping, vous allez vous régaler. Dormir toute la nuit à la belle étoile est plus relaxant que vous ne l'auriez jamais imaginé. Si vous cherchez des façons de rendre vos voyages de camping agréables, les conseils ci-dessous peuvent vous aider. Lorsque vous faites vos valises pour votre voyage de camping, n'oubliez pas les chaises et la radio. Une des meilleures parties du camping est de s'asseoir autour du feu de camp. Vous pourriez vous asseoir sur une vieille bûche, mais pourquoi s'en faire quand vous pouvez emballer des chaises et être confortable. La radio sert à s'amuser en s'asseyant autour du feu. Une meilleure idée encore est d'apporter votre guitare pour chanter avec vous.
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Pré-refroidissez votre glacière en la remplissant de glace, au moins six heures avant le départ. Lorsque vous êtes sur le point de partir, emballez vos boissons réfrigérées et bloquez les glaçons, pas les cubes. Les boissons à température ambiante prennent une précieuse durée de vie et les cubes fondent beaucoup plus vite qu'un bloc de glace ! Choisissez un sac de couchage qui convient à la saison. Ne sortez pas un sac de couchage lourd en été, il pourrait vous faire transpirer et être inconfortable toute la nuit. L'inverse est également vrai, un sac d'été ne vous tiendra pas chaud en hiver. L'utilisation d'un sac de couchage plus léger en hiver pourrait en fait vous mener à l'hypothermie. Saviez-vous qu'un simple miroir peut vous sauver la vie ? Si vous faites du camping et que vous vous retrouvez dans une situation de survie, un simple miroir à main peut être utilisé pour demander de l'aide à plusieurs kilomètres de distance. N'achetez pas le miroir en verre standard, plusieurs magasins de fournitures de camping vendent des miroirs en Lexan qui flottent et qui sont pratiquement incassables. Lorsque vous arrivez à votre emplacement de camping, emmenez votre famille faire une promenade. En particulier, si vous avez des enfants, tout le monde aura besoin de se dégourdir les jambes après être sorti de la voiture. La randonnée sera une bonne occasion d'enthousiasmer tout le monde pour le voyage et de les impliquer dans la nature. Lorsque vous allez camper, assurez-vous d'apporter le bon sac de couchage avec vous. Certains sacs de couchage ne vous garderont pas au chaud lorsque la température descend sous les 40 degrés, tandis que d'autres vous feront transpirer toute la nuit parce qu'ils sont trop chauds. L'étiquette sur le sac vous indiquera habituellement les températures appropriées pour chaque sac de couchage. Si le camping vous intéresse et que vous êtes novice dans cette activité, vous ne devriez jamais commencer seul. Cela peut être très dangereux si tu ne sais pas ce que tu fais, alors il est important d'amener un ami expérimenté pour t'aider à apprendre les rudiments de l'activité. Si vous faites du camping et que le temps commence à se lever de façon significative, racontez les glacières que vous avez avec vous et mettez-les quelque part à l'ombre. Cela vous aidera aussi à les garder couvertes d'une sorte de bâche. Cela empêchera la température à l'intérieur de la glacière de trop augmenter. Parlez à vos enfants des dangers courants avant de les emmener en voyage de camping en Nouvelle-Zélande. camping Vous pouvez toujours visiter des sites Web qui illustrent les dangers que représentent l'herbe à puce et d'autres plantes nuisibles. La contamination croisée n'est pas un problème qui touche uniquement les personnes qui cuisinent à la maison. Lorsque vous cuisinez à l'extérieur, vous devez quand même vous inquiéter de ne pas utiliser la même planche à découper pour couper la viande que vous le faites pour couper d'autres aliments. Si vous n'avez qu'une seule planche à découper, utilisez les deux côtés. Prenez une laisse avec vous si vous prévoyez amener votre chien en camping. Il y a des campeurs qui n'aiment pas les chiens. Il est important que vous respectiez les autres pendant que vous campez. De plus, les chiens pourraient causer beaucoup de dommages à votre terrain de camping, ou à celui de quelqu'un d'autre, s'ils ne sont pas bien surveillés.
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Lorsque tu as un feu de camp, assure-toi que quelqu'un le surveille en tout temps. Le temps estival et les terrains de camping secs peuvent être des conditions potentiellement dangereuses pour les feux dans des endroits non désirés. Surveillez les flammes à tour de rôle et assurez-vous de garder un seau d'eau et de terre à portée de main pour éteindre les feux.
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Avec les bonnes informations, il est facile de planifier un bon voyage de camping. Vous pouvez devenir un pro du camping en un rien de temps, en appliquant tout ce que vous venez d'apprendre. Peu importe la distance que vous parcourez, vous aurez une grande expérience de camping.
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les-sept-couleurs · 7 years ago
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Ce sont des mots que tu connais bien, puisque tu les as naguère salués et jurés, les deux doigts unis sur le bord du casque d’acier. Et comme disait l’autre: le plus difficile, ce n’est pas la bravoure qui ne dure que quelques instants fulgurants, mais la fidélité, qui, elle, se prolonge même au-delà de la mort, où nous restons unis à jamais, «compagnons de jeunesse, témoins des temps meilleurs», comme le disait en une admirable traduction Jacques Benoist-Méchin.
Notre dernière rencontre aura été singulière. Au moment où j’apprenais ta disparition et m’apprêtais à rédiger la chronique d’usage, on venait frapper à ma porte: c’étaient des hommes en uniforme – deux hommes et une femme, en l’occurrence le métier a ses charmes. Ils appartenaient au corps des sapeurs-pompiers municipaux et venaient m’arracher à mon écritoire fraternelle pour m’emmener à l’hôpital de Saint-Malo, où j’avais, paraît-il, un rendez-vous urgent qui ressemblait fort au tien.
Tu connais le cirque: gyrophares, sirènes deux tons, brancard, piqûres, oxygène (bas les masques!), morphine. Je croyais qu’on venait me chercher pour te rejoindre. Mais tu étais parti sans m’attendre. Impatient comme toujours, de ton long pas de guerrier essoufflé. On s’est pas manqué de beaucoup. Dommage. Il y a des voyages que j’aurais aimé effectuer en ta compagnie.
Tu m’avais tant fait rêver avec tes vagabondages poméraniens. Au fait, pour ceux qui ne le savent pas, je n’étais pas là-bas, avec toi, là-haut, dans les neiges de février. J’ai seulement essayé de revivre en historien très amateur et fort romantique cette fabuleuse aventure que tu avais connue en des temps où n’étaient pas si nombreux ceux qui mettaient leur peau au bout de leurs idées, selon la formule.
Quelques années de différence, quelques mois même, peuvent vous exclure à jamais d’une grande expérience d’un siècle où l’on a manqué, souvent par les caprices du dieu hasard, ce qui marque le bout de la route ou les premiers pas dans le temps des souvenirs.
Donc, tu étais pour moi, ce qu’on nommait un survivant et ce qu’il a bien fallu, peu à peu, appeler un «ancien». Nous nous étions même croisés sans nous voir alors chez notre ami Philippe Héduy, à Verderonne ou Hardancourt, si ce n’est un soir dans le salon de Gréco où m’avait entraîné Roger Nimier pour m’y parler de Drieu La Rochelle dans l’embrasure d’une fenêtre aux lourds rideaux sombres (ou plutôt cramoisis comme auraient dit Barbey et Astruc). Je ne t’avais pas interrogé dans ma longue course fiévreuse qui m’emmenait alors, de témoin en témoin, dans tous les repaires de l’Hexagone. Nous publiions pourtant chez le même éditeur, Robert Laffont, moi en 1968, Les Hors-La- Loi, et toi en 1972, Le rêveur casqué. J’ai seulement été, alors, un de tes premiers lecteurs.
Tu étais pour moi un personnage quelque peu mystérieux avec ce goût surprenant des lunettes aux verres teintés en plein hiver et des vestes de cuir en plein été. Et puis il y avait tes cigares, du style Rockfeller plus que Krukenberg sans nul doute. Avec le temps, ton personnage de play-boy allait céder la place à une tout autre silhouette: celle d’un garçon encore jeune qui sacrifiait toute sa carrière médiatique pour rappeler dans une longue interview du Chagrin et de la Pitié, ce qu’avait été sa manière de vivre dangereusement.
On a eu tort sans doute de vouloir faire de ton livre un bouquin de guerre, alors qu’il était, très exactement, ce que les jeunes écrivains allemands de l’époque romantique appelaient un «roman de formation», à savoir la découverte par un adolescent de la vie et surtout de la mort. Et on a eu encore davantage tort d’y voir une sorte de plaidoyer pour quelque idéal politique. La raison pour laquellle tu as rejoint au mois d’août 1944 la Waffen SS y apparaît noir sur blanc. Tu étais alors journaliste et tu racontes la visite d’un jeune ouvrier dans ta salle de rédaction. «C’est en lisant vos articles» t’avait-il dit «que j’ai compris où était le chemin d’un avenir plus propre».
Et tu concluais, avec une implacable logique à la Saint-Just (ou à la Charlotte Corday): «Après avoir suivi mes convictions, il les avait devancées. J’étais lié à son choix. Si je ne voulais pas, un jour, vivre dans la crainte et la honte, je devais rejoindre son exemple. Et je sentis soudain qu’en moi, tout était joué». Quand tu es arrivé au camp de Wildflecken, tu découvres ce que tu nommes si bien «l’exigence vis-à-vis de soi-même». Et le geste même du salut, devient au sens crucial du terme, la manière d’accéder à un ordre où rien n’était facile, mais où tout était plus pur».
Il fallait que ces choses soient dites. Tu les as dites. Et écrites. Et répétées. Pourtant, jamais, chez toi, de cette caricature puérile de la fidélité méprisante, mâchoire serrée, les yeux sombres fixés sur la ligne bleue de la Baltique. «C’était un rêve immense. J’en sais, aujourd’hui, les illusions et je mesure notre naïveté. Avec le recul des années, toutefois, je vois combien il pouvait séduire un jeune garçon en mal de révolution. Et ce qui était extraordinaire, c’est que ce renouveau surgissait en plein désastre, comme si celui-ci avait réveillé les forces vives».
Ce qui est extraordinaire, dans ton aventure, c’est de ne t’être jamais réclamé de grandes visions héroïques mais de la simple fidélité à une voie choisie une fois pour toutes, même si tant de routes diverses vous y avaient conduits. Le grand problème, ensuite, était de savoir si tu resterais l’homme d’un seul livre ou s’il était possible de rêver d’une suite au Rêveur. Il a fallu attendre 2003. Trente ans après! Même Alexandre Dumas ne nous avait pas laissé patienter si longtemps.
Quand Bernard de Fallois publia enfin Le Rêveur blessé, j’y consacrai dans cet hebdomadaire un article qui me valut un de ces coups de téléphone qui vous paye de toutes les affres du métier de critique. Je t’avais touché au coeur. Tu fus si enthousiasmé que je voudrais bien aujourd’hui en sauver quelques lignes: «Christian est toujours resté ce qu’on aime: «un type bien», même si ses activités professionnelles et ses liaisons surprenantes pouvaient parfois étonner ceux qui le découvraient tête nue, après avoir jeté son casque d’acier au hasard d’un fossé poméranien. Comme il avait du talent, de la ténacité, de l’entregent, il devait devenir un des meilleurs attachés de presse du monde du cinéma, côtoyant producteurs et vedettes. C’était possible au début des années cinquante; ce ne le serait plus aujourd’hui où se confondent souvent, comme un même double devoir, la mémoire et la haine. Ce livre de souvenirs par un très émouvant retour en arrière nous en apprend beaucoup sur son père et sur sa mère — sa brisure —, sur ses enfances varsovienne et saumuroise. Il y a des pages admirables sur le destin d’un enfant pris entre deux êtres et deux horizons, ce qui pourrait expliquer tout… Sur la fin de sa carrière, il revint au journalisme mais à l’envers, si l’on peut dire, passant du gigantesque Figaro Magazine à la minuscule Révolution européenne, avec la joie sans prix de celui qui croit retrouver sa jeunesse. D’ailleurs, il n’a jamais quitté cet âge».
Salut à toi, Bel-Ami de tous les combats.
A bientôt.
Ne marche pas trop vite.
Attends-moi.
(Merci à la page FB “Fan de Jean Mabire” pour avoir recopié le texte).
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omagazineparis · 2 years ago
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Pourquoi le barbecue est devenu tendance ?
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Le barbecue est un passe-temps intemporel qui nécessite de créer des flammes, de les contrôler lorsqu'elles s'éteignent et de positionner les aliments exactement comme il faut. Dis comme ça, ça ne semble pas très compliqué, et pourtant il y a plus à faire que de placer des merguez au dessus de braises. En tant qu'activité, la grillade peut être très sociale. Pourtant, traditionnellement, les hommes considèrent qu'il s'agit de leur domaine ; cependant, ces dernières années, les femmes sont de plus en plus présentes derrières les barbecues et les fumoirs, et même en compétition. Mais pourquoi le barbecue est-il devenu tendance ces dernières années ? C'est une activité sociale Le barbecue est une activité sociale agréable, pratiquée depuis des siècles. C'est non seulement un excellent moyen de passer du temps avec ses proches, mais c'est aussi l'occasion de découvrir de nouvelles recettes ! L'une des raisons pour lesquelles le barbecue est devenu à la mode est que les femmes s'y intéressent davantage ! Ce qui est drôle, c'est qu'à l'aube des temps, c'était bien les femmes qui étaient en charge du feu. Les historiens pensent que les hommes allaient à la chasse tandis que les femmes entretenaient le feu de la maison en préparant les repas. Au fil du temps, cependant, les sociétés ont vu une division de plus en plus nette entre les activités d'intérieur et d'extérieur. Les hommes ont eu plus tendance à s'accaparer le dehors, et les femmes le dedans. Le barbecue est avant tout un loisir Aucune autre activité ne vous apportera plus de satisfaction et ne vous donnera un sentiment d'utilité que les grillades ou les barbecues ! Avec ses arômes, ses images et ses goûts, les grillades ou les barbecues vous redonneront certainement le moral ! Le rapport de l'être humain avec le feu est ancestral, et il est toujours plaisant de sentir la chaleur d'un bon feu de bois sur sa peau. Il n'y a qu'à voir comme on aime se mettre devant une cheminée en hiver, sous une bonne couverture, avec un livre et sa boisson préférée. C'est un moyen de resserrer les liens avec votre famille Si vous cherchez un moyen agréable de passer du temps avec votre famille, un barbecue est l'un des meilleurs moyens. Il permet aux membres de votre famille de se rapprocher tout en créant des souvenirs inoubliables. Lorsqu'on cuisine en intérieur, on a souvent tendance à s'isoler des invités et de sa famille, par exemple en fermant la porte pour éviter que des odeurs de cuisson n'aillent jusqu'au salon. Mais en extérieur ? Aucun problème ! Il est tout à fait possible de faire cuire son repas sur son barbecue tout en discutant autour d'un verre avec ses amis, ou en échangeant quelques passes de football avec ses enfants. Une méthode de cuisson plutôt santé Contrairement à plusieurs idées reçues, cuisiner sur le grill permet non seulement de passer des moments de qualité en famille, mais présente également de nombreux avantages pour la santé. Les aliments grillés contiennent moins de graisses que leurs équivalents frits, tout en conservant davantage de vitamines essentielles telles que la riboflavine et la thiamine. Le tout est de cuire de manière indirecte plutôt que de directe, et aucune graisse ne tombera sur les braises pour générer des mauvaises fumées. Vous pouvez lire de plus amples explications à ce sujet dans cet article. Le fait de faire griller la viande, surtout sur une flamme à base de bois, permet de donner bien plus de goût, et ainsi que de savourer des pièces de viandes plus maigres mais bien moins goûteuses si cuites dans une poêle. Une façon de s'exprimer Le barbecue est un moyen incroyable de s'exprimer, de s'amuser et d'améliorer sa cuisine. Des études ont prouvé que le fait de préparer sa propre nourriture peut réduire le niveau de stress et améliorer l'humeur - en plus, c'est très abordable ! Alors, pourquoi attendre ? Sortez le gril, invitez des amis et préparez de délicieux repas ; vous vous sentirez mieux en un rien de temps ! Etes-vous plus grillades ou fumage ? Sachez qu'il existe un large panel de possibilités d'utilisation des barbecues modernes, incluant des marinades, des épices sèches (rubs) ou encore différentes essences de bois de fumage. Vous pourrez facilement créer votre propre style derrière le feu, et impressionner votre famille ainsi que vos amis. A lire également : Le 1947 à Cheval Blanc Courchevel : une expérience gastronomique inoubliable Quel barbecue choisir ? Il existe de nos jours un très large choix de barbecues suivant vos envies : - Rond de feu pour une cuisson entièrement à découvert, raclettes d'hiver et autres partages autour du feu - Barbecues "automatiques" à granules, pour ceux et celles qui ne veulent pas s'embêter avec la gestion du feu et se concentrer sur les saveurs - Fumoirs au bois, pour ceux et celles pour qui de la fumée, il n'y en a jamais assez - Kamado japonais en céramique, si l'on est indécis et qu'on voudrait tout pouvoir faire, peu importe la météo extérieur - Fumoir fait maison, pour ceux et celles qui ne peuvent vivre sans charcuterie Si jamais cet article vous a donné le goût de la grillade, allez faire un tour dans votre magasin spécialisé le plus proche, et suivez votre instinct primaire ! Read the full article
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thepoison-theapple · 5 years ago
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Joel Dragon Smith et la Nature
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L'événement le plus marquant de ma vie, qui m'a valu le plus grand amour et le plus grand respect pour la terre et les animaux, a été le moment où ma famille se rendait dans le chalet de mes grands-parents sur la rivière Taltson. Nous y avons séjourné chaque automne pendant quelques semaines depuis ma naissance. Notre cabine est inaccessible sauf par hydravion, ce qui en fait le voyage annuel ultime pour se connecter à la terre. La nature entoure la cabane en rondins pour des kilomètres et des kilomètres. il est situé à une pause dans la rivière. Ainsi, lorsque nous prenons le bateau, nous pouvons descendre un long lac appelé Deskataway ou remonter la rivière Taltson. Nous chassons et pêchons pour nous nourrir. Les animaux sont nombreux. La faune est toujours un plaisir à voir et les rencontres impressionnantes avec eux sont fréquentes mais toujours excitantes. Un de ces souvenirs dont je me souviendrai toujours est celui qui s'est passé pendant une voyage, lorsque nous avons eu une belette qui traînait autour de notre cabine. Nous avons adoré avoir le petit animale enjoué autour. Lorsque nous avons eu notre orignal qui nourrirait notre famille jusqu'à l'année prochaine, nous lui avons mis un tronçon de viande derrière la cabane. Environ 15 pieds en arrière était notre bécosse. Je laissais toujours la porte ouverte quand je prenais des merdes, et un après-midi, alors que je travaillais, mon ami a trouvé son petit cadeau! Nous l'avions partiellement alourdi par un morceau de béton et il ne pouvait pas l'enlever. Je me suis assis sur le pot et je l'ai regardé lutter pendant environ 5 minutes jusqu'à ce qu'il obtienne enfin gratuitement! Maintenant, il le tire envers arrière, les fesses en premier, droit vers moi! C'était une lutte pour lui car le morceau de viande était plus gros que lui et assez hilarant à regarder! Il la poussa jusqu'à la porte ouverte de la bécosse, sans avoir la moindre idée que j'étais même là. Des expériences comme celle-ci me procurent beaucoup de joie. La nature est fascinante, remplie d'émerveillement et de beauté. Être dans la brousse me laisse toujours épanouie. Il me donne les meilleurs dors et les rêves les plus vifs.
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J'aime la nature parce qu'elle augmente les sentiments agréables et réduit les émotions négatives. D’être dans la nature me permet d'atteindre mon plein potentiel. La nature m’apporte du réconfort et mon âme s’épanouit à l'intérieur. Sortir et s'éloigner des constructions humaines est l'un des moyens les plus efficaces que je connaisse pour me vider l'esprit et me échoué de la complexité de nos vies humaines quotidiennes. Jouer est très important pour moi et jouer à l’extérieur a toujours été le plus enrichissant pour moi. Je suis très actif, et la nature est le terrain de jeu idéal! l'imagination et la créativité peuvent fonctionner librement. Les cordes à linge se transforment en filets de volleyball, les bâtons en clubs de golf. En vieillissant, j'ai développé des passions qui m'emmenaient dehors, des passions qui me mettaient au défi mentalement et physiquement. Ils me poussent à repousser constamment mes propres limites. J'adore le snowboard, le wakeboard et le skateboard. Ces passions me gardent autour de la nature tout en faisant ce que j'aime. En plus des sentiments bénéfiques que la nature me procure, ces activités que je fais dans la nature augmentent la valeur que je reçois. Je suis toujours heureux de consacrer mon énergie et ma concentration à ces sports, améliorant constamment mes compétences de manière créative et saine, tout en m'amusant! Bien que beaucoup personnes ne croient pas que sauter à une trentaine de pieds sur une planche à neige tout en tournant un double revers pour un atterrissage à plat aussi paisible, mais pour moi, la méditation est l’adrénaline complétée par la nature.
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J'apporte également mon amour pour le plein air dans ma vie professionnelle, en aidant les autres à faire l'expérience au dehors de manière positive. Je suis entraîneur de snowboard auprès d'enfants de Yellowknife, dans les Territoires du Nord-Ouest. Cela me procure une grande satisfaction d’encourager les enfants de jeune âge à trouver quelque chose qu’ils aiment à l’extérieur. Je travaille aussi avec ma sœur, Chloé sous un programme appelé Bush Kids, qui amène les enfants à l’extérieur une fois par semaine pendant toute la journée, au lieu de leurs salles de classe, ce qui leur permet de faire l’expérience d’une éducation basée sur la recherche en plein air. Le travail principal que je fais concerne d’une entreprise créée par ma mère il y a quelques années, appelée Aurora Heat. Nous croyons fermement en une vie en harmonie avec le monde naturel. Nous créons des produits traditionnels pour la chaleur qui sont naturels, réutilisables et durables! Nos produits phares sont des chauffe-mains et des réchauffeurs de pied en fourrure de castor rasée. Il fait bon d'apporter des produits de fourrure inspirés de mon héritage et de ma culture autochtone au publique. La personne moyenne est tout simplement incapable d'accéder à la fourrure pour se réchauffer de cette façon sans notre entreprise. Nos produits sont incroyablement efficaces. Ils permettent à nos clients de rester à l’aise à l’extérieur sans être découragé par le froid de nos hivers Canadiens. Toutes les bonnes choses que la nature peut faire pour votre bien-être seront aspirées si vous avez froid! Visitez notre site web auroraheat.ca pour obtenir le votre! Restez au chaud, peeps!
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honel-inge-mal · 4 years ago
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Souvent dans les champs Navigue ce bohème, Esseulé par le temps, Il mendie, drôle de stratagème.
Pardonnez-moi monsieur de n'avoir su restituer votre âme, qui malgré vos proportions quelque peu incertaines, était belle, plus que je ne le saurai dire. Vous l'a-t'on déjà dit ?
J’absorbe comme un soldat solitaire Où es-tu, oublié par la mort ? Brume à s'en brûler les lèvres, Le meilleur des mondes se passera de toi.
L’abeille qui butina sa ruche avala le désert. Puis soudainement, il voulu caresser la glace, comme on caresse une feuille qui fond en ôtant des couleurs au monde, Des doigts et la souplesse boucle anti-errant anti âge, faiblesse de la peau découverte mutilée.
Il faudrait peut-être savoir se retourner dans les lits occupés.
La chambre des voitures, je le savais, il me fallait du temps, puis la buée. Maman passe.
Aujourd'hui des arbres, demain des hommes Plus blanc que le blanc il y a l'émeraude.
Deux comme trois, comme dix et comme sept. Deux comme jamais, comme encore, La tristesse démange alors il grimpe.
Sans affres sans ressources, sans sale sans vêtements de chaudrons. Je ne suis personne, Chante terre ferme Le corbeau au soleil son temps se forme de semaines.
Un clair-obscur aux jambes désagrafées début, début, début, début, début Fermer les yeux.
Schläft Schwan, schläft Wacht nicht auf ! Bender ist hier. Warten und klingen Schwarze bäume überall Eine Biene pflegt die Rinde Wer Schleier die Flamme ?
Je me vois. La pince et sa proie dévie Il est allongé le comble. Je ne veux pas rentrer chez moi Étiré : Le parcours sans âme d’une chaise affable Érudite la marche épousée Le givre bien fait Le silence aussitôt calme.
Giant library, crows crows, too many dead depresses the temperature Knives are our century’s fairyland Planes are sea horses to learn by heart Dogs are blind jewels that lick gases My teacher is waiting for me in his office, I think he wants to send me to jail but I will sleep on the library’s table because Sperm whales migrations should be supported somehow.
Cet insecte est mort devant mes yeux il y a quelques mois, en hiver, et son agonie ne fut pas une agonie mais cela qui le dit qui le dit Ça c’est des pétales-foutres Ça c’est autre chose que des pétales-foutres et autre chose encore que j’avais dis Ça c’est un corbeau qui mérite d’être seul car il allait perdre une plume, ce corbeau en dit plus long sur l’absence que vous sur moi.
Il y a ce chien de vingt quarts d’heures; la journée porte du fruit et du sang : le jeu du jardin montre les dents son ami l’a réveillé : suis-je une femme ou un démon ?
Ma vie est pleine de rêves, c’est chalumeau
Réunion de famille dans la belle ville qui nuit aux rapprochements.
Arbres dont la beauté est un secret comme par habitude Trois lettres à bout de pieds, moi durant l’athlète blanc Avant les voisin j’irai Écourter paysages et vallées mares et sang et pas de loup.
J’imite une activité Prendre des photos les ramasser me fait comprendre que je suis avec vous.
Bonjour Mr montagne qui glaçonne pour une raison imbibée d’incongruité et ma main elle pose Moi et les paons qui en savent long sur le long cheveux que j’ai perdu Moi et les traces des ballons de foot sous pluie sur un mur sous pluie et les lunes sous pluies Moi quand je découvre un cadavre et que je mange une clémentine ou bien une mandarine je mourrais sans savoir la différence et que je dépose autour de son corps des pelures sans broncher et qu’une moto sourit à mes côtés
Contredisant rimbaud Que dit-8 La plupart des gens. R Ne sont pas prêts à ce Qu’il soit parlé.
With you in town let me sleep He will ask, she will point at the opened subway, opened in half Is crying crying I light a candle, my hair were not washed, Moïse once sat down and the subway bloomed on a redhead eating the smoke girl.
Rêve d’oeil je dois parler d’enfer nous, ce que nous savons faire, écrire que l’on ronge Brasero : venue du problème.
Nous créons  sans savoir les voir, c’est impressionnant, où vivez-vous 
Et puis nous oublions nos vestes de bille.
Nos ampoules, nos armures.
Mendie sur le champ.
Où je vis : entre deux trois plantes ou deux trois feuilles quand j’ai moins chance. Disons que je m’abrite.
C’est ici que les enfants sont joués J’écris ce qui mérite de ne pas être écrit, je ne fais que passer la nuit, boule de cygne, comptez les soleils je m’occupe des plumes, ciels étoilés qu’ils disaient.
Cœur beau-53 temps, l’émule, joue à l’amulette rassis, J et A sont chromosomes, un couple, ils pèlent ma mandarine  Aucune idée de rien le géant d’Indonésie est en retard je me revois encore confirmé par Edgar et sa trompette en vélo, vivre et survivre !
Être en sursis avec les doudz comme dit le cercle blond ou ma sœur pas sans image et pas sans image
Nous connaissons tous ce canard aux yeux ouverts.
Il y a parfois l’anémone et nous luire se fait par touchant  dos. Écrit Bien évidemment que nous composons. Dans reposer il y a tout ce qu’il faut savoir plastifier. Si, moi aussi, je place un saut entre la dernière lettre et mon point, c’est que les pieds cornés de Christ n’étaient déjà plus collants au sol. Sa boîte. Tu aurais dû être danseuse et moi plasticien des trêves lactescentes ? Bouscule puis fais ton image, entre en toi, ici, viens, apprends à parler à celui. Fall : suppliez-vous d’oublier l’anglais et lisez ce mot en français et entendez ce que je crois dire directement dans votre lascive bouche jetée loin de moi qui est loin C’est évident, deux fois déjà, je comprends la face voilée représentée d’une photographie et je me pense flambant-nouveau, par exemple, exutoire parallèle d’un identique souhait pour la fontaine où brille la pièce toujours étalée-gronde. Urne funèbre et active sincérité du texte que je n’ai pas vu écrire, mais son dos, je l’ai vue, je l’ai poussée, on ne pouvait on ne devait que pousser son dos incessant et je l’ai fais et je l’ai bravé et ils l’acclamèrent au lieu de m’acclamer et j’acclamais au lieu des brames du daim aveugle et corrosif, fête des mères.
Nous étions là, pouce de montagne, cochon d’ivoire, bec d’oiseau au fascicule petit. Si notre ton est péremptoire où est-il, dites-le que celui qui s’éloigne devienne oui des jambes des jambes nous ôtions comme avant Ôtant nos jambes comme le cerf effeuille blanche. Ses mues ? Murs de bois, étincelante affront, libidinale sexe, vaseuse étoffe prescrite en remède.
Aurora. artiser.
Les foulques macroules nous possède et c’est bien comme cela qu’il faut faire
Ai{-je}adireadieu
Adieu l’à dieu vous voyez bien ce qui est possédé : sans dieu pas d’au revoir, pas de revoir, que de voirs n’en sauront rien ! Imbélice, chutatante, vasistas montagneux, chargé de ronces de pinces de corps blancs (dans les yeux sachez que j’ai vu à quoi vous ressembliez vraiment, vous êtes ma cédille, mon apostrophe affiliée au B brûlé, B qui brûle, B mauve maudit, maudite ?
Usine à côté de ça corps, usine à côté de car corps. Car de corps et usine. Car de corps et Mélusine retrousse sa manche qui pend dans mon œil lovée sur un endroit-enfant nain, nain rivière, rincer l’usine avec son corps, frotter l’usine en se mettant fort dans son pied -oreille : cœur de l’être, frotter l’usine.
Je crains de devoir décrire cette image.
Combien de forêts sont privés de cils alors à l’heure de nous nous parlons
Boutonner la forêt, que la ville est grande. Murmures oisifs, se perdre, marcher, devoir marcher, ne plus manger, se relever et être en liberté accouplé avec soi. Une perle de sang s’accroche à l’anneau.
Perle de lune postière ne regardez pas trop longtemps vous aimez aimez pas Se travestir est amour quand on embrasse la femme disparue.
Beau est beaucoup beaucoup est bien bien est mien
Depuis quand Chronos perce la lumière et joue carte, non pardon, perce la crête de lumière, non pardon, perce la carte de son.
ll pourrait plusieurs y en avoir, bien sûr, mais ce n’est pas parti. Le coup.
Gretel et Hansel marchent à reculons et leurs pieds sont nus, route des dames, soudain un arbre les bat.
Gretel devient immonde jardin, Hansel se transforme en orme.
Aucun intérêt mais l’idée : fruit des fleurs des arbres, votre abribus sa vitre me soutient et floue. Sale, gratter. Tout ça
Sûr-sourire je vous laisse
Le grimoire chôme, lâcher la manche mâchée. Il est surtout question de la juste récompense.
Amour tendre incertain ne me souvient plus Ou seulement si peu que compter est une affaire infectieuse
Amour tendre incertain je vais conduire, sens mon ventre sur moi tenir.
Bouquet de ventres, génuflexion aux rides, croupes maniaques Bâche l’or, combien de jour avant de mendier ?
Informer les créatures et pourquoi les S étaient tous des F à la forêt de Windsor. J’avais failli tout taper mais j’ai trop dormi enroulé en mouton
C’est si drôle de tracer des carrés dans ces rubis pour vous les bébés i et les bébés u
Qu’est-ce qu’on se marre ! Ah oui, et surtout quand on dort
Puis la nuit ! Non, vous trouvez pas ? Encore fallut-il faut-il eût-il fallu chercher : cher cher, drôle de découpage Je sais pourquoi les noirs sont noirs c’est parce-que les ciseaux étaient froids Alors pour se réchauffer et bien ils ont rigolé à plat Ah non c’est qu’ils avaient froids et des ciseaux et ils étaient grands jusqu’au ciel noir Et le plat c’est momomo
Je vais écrire un porme avec le même nombre de lettre exactement hi Allaerm t’es pas tout nu dans ta tombe C’est gentil de ta part Mais tu n’as pas volé assez de bains d’enfants Merci pour beaucoup Raconter c’est fatiguant : fêtes des fourmis des éléphants et des poissons Calme et sans lapins je suis j’hante la gente des reins L’alcool mugit à table la nuit Forgive farfadet Feu à l’o, menthe à peau hongroise en verbe d’extase vomir la forêt choca  pulse dal fal chin  m  h animal plaza partir pour le signes
C’est eux que je reçois sur mon œil sur ma main au milieu des hachées, des arbrisseaux Nous attendons, sommes-nous pressés, les insectes nous volent la pression, défèquent avec passion et le conte est conté. J’avance par derrière, au milieu repoussant des aéroports ! On m’éclaire par vélos interposés, j’ai les jambes à mon cou, j’avance Peut-être qu’il doit être beaucoup question de ces choses, ombres de jambes parmi la lumière, faire sienne : Attaque de miroir en nuit.
J’avais des tessons dans les pieds et des fourmis sur les jambes j’aimerais savoir quel objet vous détruiriez. Comme tous les gens malades j’ai été éduqué au plomb pour cela que je suis dans le train
Le pare-brise de F, espiègle divinité qui n’a que le corps du chat pour chercher à être la cible de l’amour I : Je Tu, je t’aime dans le vent d’une vapeur : boyauter.
What kind do you like, she asked. The fly-mouth in the shut down island Its a shadow of my wound.
A pleure quand B lui fait remarquer
Aeher.a
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