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#christian de la mazière
aurevoirmonty · 7 months
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Christian de la Mazière, journaliste, poursuivait : « Il y avait de la sainteté chez Brassens. Je crois que le mot n’est pas trop fort : il irradiait la bonté. »
Georges Brassens Ici en photo au volant du Citroën type H avec René Fallet, écrivain.
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edelweiss-ivy · 1 year
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Mais cette claustration, c'était tout autant, une protection fabuleuse. Nous nous y blottissions comme la tortue dans sa carapace. Quand on est prisonnier, on est intouchable, les vagues du dehors viennent mourir au pied des murailles. On attend, on se dit que les événements qui nous ont conduits là sont en train de s'apaiser, de s'effacer, qu'un beau jour, ce sera fini — comme si l'on pouvait sortir en laissant sa mémoire derrière soi… L'Histoire nous avait mis en convalescence. On n'en bougerait pas.
À propos de son séjour en prison.
Le Rêveur casqué, Christian de La Mazière, éd. Éditions Robert Laffont, 1972, partie Deuxième partie, chap. IV. Au clocher de Clairvaux, p. 298.
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byneddiedingo · 2 years
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Christian de la Mazière, one of those interviewed in The Sorrow and the Pity (Marcel Ophüls, 1969)
Screenplay: André Harris, Marcel Ophüls. Cinematography: André Gazut, Jürgen Thieme. Film editing: Claude Vajda. An adverse political situation typically elicits three responses: collaboration, resistance, and patient endurance. The problem with the third is that it's hard to sustain under pressure from the other two. Such is the lesson of The Sorrow and the Pity, the great documentary by Marcel Ophüls about France during the German occupation. It can't be said that Ophüls is even-handed and impartial in his treatment of the survivors of that era who testify in his film. That kind of disinterestedness is not only impossible but immoral, considering the horrors inflicted by the Nazis. But it's the kind of film that makes you understand what people endured, and question how you yourself would have behaved in the same (or a similar) situation. That's also why I think the film is essential viewing, especially in a time of political polarization when the thoughts and actions of people in charge are so abhorrent to many people and so attractive to others.
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furiefrancaise · 6 years
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Christian de la Mazière par Jean Mabire :
Honneur et Fidélité,
Ce sont des mots que tu connais bien, puisque tu les as naguère salués et jurés, les deux doigts unis sur le bord du casque d’acier. Et comme disait l’autre :
le plus difficile, ce n’est pas la bravoure qui ne dure que quelques instants fulgurants, mais la fidélité, qui, elle, se prolonge même au-delà de la mort, où nous restons unis à jamais, «compagnons de jeunesse, témoins des temps meilleurs», comme le disait en une admirable traduction Jacques Benoist-Méchin.
Notre dernière rencontre aura été singulière. Au moment où j’apprenais ta disparition et m’apprêtais à rédiger la chronique d’usage, on venait frapper à ma porte : c’étaient des hommes en uniforme – deux hommes et une femme, en l’occurrence le métier a ses charmes. Ils appartenaient au corps des sapeurs pompiers municipaux et venaient m’arracher à mon écritoire fraternelle pour m’emmener à l’hôpital de Saint-Malo, où j’avais, paraît-il, un rendez-vous urgent qui ressemblait fort au tien.
Tu connais le cirque: girophares, sirènes deux tons, brancard, piqûres, oxygène (bas les masques!), morphine. Je croyais qu’on venait me chercher pour te rejoindre. Mais tu étais parti sans m’attendre. Impatient comme toujours, de ton long pas de guerrier essoufflé. On s’est pas manqué de beaucoup. Dommage. Il y a des voyages que j’aurais aimé effectuer en ta compagnie.
Tu m’avais tant fait rêver avec tes vagabondages poméraniens. Au fait, pour ceux qui ne le savent pas, je n’étais pas là-bas, avec toi, là-haut, dans les neiges de février. J’ai seulement essayé de revivre en historien très amateur et fort romantique cette fabuleuse aventure que tu avais connue en des temps où n’étaient pas si nombreux ceux qui mettaient leur peau au bout de leurs idées, selon la formule.
Quelques années de différence, quelques mois même, peuvent vous exclure à jamais d’une grande expérience d’un siècle où l’on a manqué, souvent par les caprices du dieu hasard, ce qui marque le bout de la route ou les premiers pas dans le temps des souvenirs.
Donc, tu étais pour moi, ce qu’on nommait un survivant et ce qu’il a bien fallu, peu à peu, appeler un «ancien». Nous nous étions même croisés sans nous voir alors chez notre ami Philippe Héduy, à Verderonne ou Hardancourt, si ce n’est un soir dans le salon de Gréco où m’avait entraîné Roger Nimier pour m’y parler de Drieu La Rochelle dans l’embrasure d’une fenêtre aux lourds rideaux sombres (ou plutôt cramoisis comme auraient dit Barbey et Astruc). Je ne t’avais pas interrogé dans ma longue course fiévreuse qui m’emmenait alors, de témoin en témoin, dans tous les repaires de l’Hexagone. Nous publiions pourtant chez le même éditeur, Robert Laffont, moi en 1968, Les Hors-La- Loi, et toi en 1972, Le rêveur casqué. J’ai seulement été, alors, un de tes premiers lecteurs.
Tu étais pour moi un personnage quelque peu mystérieux avec ce goût surprenant des lunettes aux verres teintés en plein hiver et des vestes de cuir en plein été. Et puis il y avait tes cigares, du style Rockfeller plus que Krukenberg sans nul doute. Avec le temps, ton personnage de play-boy allait céder la place à une tout autre silhouette : celle d’un garçon encore jeune qui sacrifiait toute sa carrière médiatique pour rappeler dans une longue interview du Chagrin et de la Pitié, ce qu’avait été sa manière de vivre dangereusement.
On a eu tort sans doute de vouloir faire de ton livre un bouquin de guerre, alors qu’il était, très exactement, ce que les jeunes écrivains allemands de l’époque romantique appelaient un «roman de formation», à savoir la découverte par un adolescent de la vie et surtout de la mort. Et on a eu encore davantage tort d’y voir une sorte de plaidoyer pour quelque idéal politique.
La raison pour laquelle tu as rejoint au mois d’août 1944 la Waffen SS y apparaît noir sur blanc. Tu étais alors journaliste et tu racontes la visite d’un jeune ouvrier dans ta salle de rédaction. «C’est en lisant vos articles» t’avait-il dit «que j’ai compris où était le chemin d’un avenir plus propre».
Et tu concluais, avec une implacable logique à la Saint-Just (ou à la Charlotte Corday) :
«Après avoir suivi mes convictions, il les avait devancées. J’étais lié à son choix. Si je ne voulais pas, un jour, vivre dans la crainte et la honte, je devais rejoindre son exemple. Et je sentis soudain qu’en moi, tout était joué».
Quand tu es arrivé au camp de Wildflecken, tu découvres ce que tu nommes si bien «l’exigence vis-à-vis de soi-même». Et le geste même du salut, devient au sens crucial du terme, la manière d’accéder à un ordre où rien n’était facile, mais où tout était plus pur.
Il fallait que ces choses soient dites. Tu les as dites. Et écrites. Et répétées. Pourtant, jamais, chez toi, de cette caricature puérile de la fidélité méprisante, mâchoire serrée, les yeux sombres fixés sur la ligne bleue de la Baltique.
«C’était un rêve immense. J’en sais, aujourd’hui, les illusions et je mesure notre naïveté. Avec le recul des années, toutefois, je vois combien il pouvait séduire un jeune garçon en mal de révolution. Et ce qui était extraordinaire, c’est que ce renouveau surgissait en plein désastre, comme si celui-ci avait réveillé les forces vives».
Ce qui est extraordinaire, dans ton aventure, c’est de ne t’être jamais réclamé de grandes visions héroïques mais de la simple fidélité à une voie choisie une fois pour toutes, même si tant de routes diverses vous y avaient conduits. Le grand problème, ensuite, était de savoir si tu resterais l’homme d’un seul livre ou s’il était possible de rêver d’une suite au Rêveur. Il a fallu attendre 2003. Trente ans après! Même Alexandre Dumas ne nous avait pas laissé patienter si longtemps.
Quand Bernard de Fallois publia enfin Le Rêveur blessé, j’y consacrai dans cet hebdomadaire un article qui me valut un de ces coups de téléphone qui vous paye de toutes les affres du métier de critique. Je t’avais touché au cœur. Tu fus si enthousiasmé que je voudrais bien aujourd’hui en sauver quelques lignes :
«Christian est toujours resté ce qu’on aime: «un type bien», même si ses activités professionnelles et ses liaisons surprenantes pouvaient parfois étonner ceux qui le découvraient tête nue, après avoir jeté son casque d’acier au hasard d’un fossé poméranien. Comme il avait du talent, de la ténacité, de l’entregent, il devait devenir un des meilleurs attachés de presse du monde du cinéma, côtoyant producteurs et vedettes. C’était possible au début des années cinquante; ce ne le serait plus aujourd’hui où se confondent souvent, comme un même double devoir, la mémoire et la haine. Ce livre de souvenirs par un très émouvant retour en arrière nous en apprend beaucoup sur son père et sur sa mère — sa brisure —, sur ses enfances varsovienne et saumuroise. Il y a des pages admirables sur le destin d’un enfant pris entre deux êtres et deux horizons, ce qui pourrait expliquer tout… Sur la fin de sa carrière, il revint au journalisme mais à l’envers, si l’on peut dire, passant du gigantesque Figaro Magazine à la minuscule Révolution européenne, avec la joie sans prix de celui qui croit retrouver sa jeunesse. D’ailleurs, il n’a jamais quitté cet âge».
Salut à toi, Bel-Ami de tous les combats. A bientôt. Ne marche pas trop vite. Attends-moi."

Jean Mabire
National-Hebdo n. 1130 – 16/22 mars 2006
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hubertdehippie · 7 years
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Le chagrin et la pitié (1969)
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les-sept-couleurs · 7 years
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Ce sont des mots que tu connais bien, puisque tu les as naguère salués et jurés, les deux doigts unis sur le bord du casque d’acier. Et comme disait l’autre: le plus difficile, ce n’est pas la bravoure qui ne dure que quelques instants fulgurants, mais la fidélité, qui, elle, se prolonge même au-delà de la mort, où nous restons unis à jamais, «compagnons de jeunesse, témoins des temps meilleurs», comme le disait en une admirable traduction Jacques Benoist-Méchin.
Notre dernière rencontre aura été singulière. Au moment où j’apprenais ta disparition et m’apprêtais à rédiger la chronique d’usage, on venait frapper à ma porte: c’étaient des hommes en uniforme – deux hommes et une femme, en l’occurrence le métier a ses charmes. Ils appartenaient au corps des sapeurs-pompiers municipaux et venaient m’arracher à mon écritoire fraternelle pour m’emmener à l’hôpital de Saint-Malo, où j’avais, paraît-il, un rendez-vous urgent qui ressemblait fort au tien.
Tu connais le cirque: gyrophares, sirènes deux tons, brancard, piqûres, oxygène (bas les masques!), morphine. Je croyais qu’on venait me chercher pour te rejoindre. Mais tu étais parti sans m’attendre. Impatient comme toujours, de ton long pas de guerrier essoufflé. On s’est pas manqué de beaucoup. Dommage. Il y a des voyages que j’aurais aimé effectuer en ta compagnie.
Tu m’avais tant fait rêver avec tes vagabondages poméraniens. Au fait, pour ceux qui ne le savent pas, je n’étais pas là-bas, avec toi, là-haut, dans les neiges de février. J’ai seulement essayé de revivre en historien très amateur et fort romantique cette fabuleuse aventure que tu avais connue en des temps où n’étaient pas si nombreux ceux qui mettaient leur peau au bout de leurs idées, selon la formule.
Quelques années de différence, quelques mois même, peuvent vous exclure à jamais d’une grande expérience d’un siècle où l’on a manqué, souvent par les caprices du dieu hasard, ce qui marque le bout de la route ou les premiers pas dans le temps des souvenirs.
Donc, tu étais pour moi, ce qu’on nommait un survivant et ce qu’il a bien fallu, peu à peu, appeler un «ancien». Nous nous étions même croisés sans nous voir alors chez notre ami Philippe Héduy, à Verderonne ou Hardancourt, si ce n’est un soir dans le salon de Gréco où m’avait entraîné Roger Nimier pour m’y parler de Drieu La Rochelle dans l’embrasure d’une fenêtre aux lourds rideaux sombres (ou plutôt cramoisis comme auraient dit Barbey et Astruc). Je ne t’avais pas interrogé dans ma longue course fiévreuse qui m’emmenait alors, de témoin en témoin, dans tous les repaires de l’Hexagone. Nous publiions pourtant chez le même éditeur, Robert Laffont, moi en 1968, Les Hors-La- Loi, et toi en 1972, Le rêveur casqué. J’ai seulement été, alors, un de tes premiers lecteurs.
Tu étais pour moi un personnage quelque peu mystérieux avec ce goût surprenant des lunettes aux verres teintés en plein hiver et des vestes de cuir en plein été. Et puis il y avait tes cigares, du style Rockfeller plus que Krukenberg sans nul doute. Avec le temps, ton personnage de play-boy allait céder la place à une tout autre silhouette: celle d’un garçon encore jeune qui sacrifiait toute sa carrière médiatique pour rappeler dans une longue interview du Chagrin et de la Pitié, ce qu’avait été sa manière de vivre dangereusement.
On a eu tort sans doute de vouloir faire de ton livre un bouquin de guerre, alors qu’il était, très exactement, ce que les jeunes écrivains allemands de l’époque romantique appelaient un «roman de formation», à savoir la découverte par un adolescent de la vie et surtout de la mort. Et on a eu encore davantage tort d’y voir une sorte de plaidoyer pour quelque idéal politique. La raison pour laquellle tu as rejoint au mois d’août 1944 la Waffen SS y apparaît noir sur blanc. Tu étais alors journaliste et tu racontes la visite d’un jeune ouvrier dans ta salle de rédaction. «C’est en lisant vos articles» t’avait-il dit «que j’ai compris où était le chemin d’un avenir plus propre».
Et tu concluais, avec une implacable logique à la Saint-Just (ou à la Charlotte Corday): «Après avoir suivi mes convictions, il les avait devancées. J’étais lié à son choix. Si je ne voulais pas, un jour, vivre dans la crainte et la honte, je devais rejoindre son exemple. Et je sentis soudain qu’en moi, tout était joué». Quand tu es arrivé au camp de Wildflecken, tu découvres ce que tu nommes si bien «l’exigence vis-à-vis de soi-même». Et le geste même du salut, devient au sens crucial du terme, la manière d’accéder à un ordre où rien n’était facile, mais où tout était plus pur».
Il fallait que ces choses soient dites. Tu les as dites. Et écrites. Et répétées. Pourtant, jamais, chez toi, de cette caricature puérile de la fidélité méprisante, mâchoire serrée, les yeux sombres fixés sur la ligne bleue de la Baltique. «C’était un rêve immense. J’en sais, aujourd’hui, les illusions et je mesure notre naïveté. Avec le recul des années, toutefois, je vois combien il pouvait séduire un jeune garçon en mal de révolution. Et ce qui était extraordinaire, c’est que ce renouveau surgissait en plein désastre, comme si celui-ci avait réveillé les forces vives».
Ce qui est extraordinaire, dans ton aventure, c’est de ne t’être jamais réclamé de grandes visions héroïques mais de la simple fidélité à une voie choisie une fois pour toutes, même si tant de routes diverses vous y avaient conduits. Le grand problème, ensuite, était de savoir si tu resterais l’homme d’un seul livre ou s’il était possible de rêver d’une suite au Rêveur. Il a fallu attendre 2003. Trente ans après! Même Alexandre Dumas ne nous avait pas laissé patienter si longtemps.
Quand Bernard de Fallois publia enfin Le Rêveur blessé, j’y consacrai dans cet hebdomadaire un article qui me valut un de ces coups de téléphone qui vous paye de toutes les affres du métier de critique. Je t’avais touché au coeur. Tu fus si enthousiasmé que je voudrais bien aujourd’hui en sauver quelques lignes: «Christian est toujours resté ce qu’on aime: «un type bien», même si ses activités professionnelles et ses liaisons surprenantes pouvaient parfois étonner ceux qui le découvraient tête nue, après avoir jeté son casque d’acier au hasard d’un fossé poméranien. Comme il avait du talent, de la ténacité, de l’entregent, il devait devenir un des meilleurs attachés de presse du monde du cinéma, côtoyant producteurs et vedettes. C’était possible au début des années cinquante; ce ne le serait plus aujourd’hui où se confondent souvent, comme un même double devoir, la mémoire et la haine. Ce livre de souvenirs par un très émouvant retour en arrière nous en apprend beaucoup sur son père et sur sa mère — sa brisure —, sur ses enfances varsovienne et saumuroise. Il y a des pages admirables sur le destin d’un enfant pris entre deux êtres et deux horizons, ce qui pourrait expliquer tout… Sur la fin de sa carrière, il revint au journalisme mais à l’envers, si l’on peut dire, passant du gigantesque Figaro Magazine à la minuscule Révolution européenne, avec la joie sans prix de celui qui croit retrouver sa jeunesse. D’ailleurs, il n’a jamais quitté cet âge».
Salut à toi, Bel-Ami de tous les combats.
A bientôt.
Ne marche pas trop vite.
Attends-moi.
(Merci à la page FB “Fan de Jean Mabire” pour avoir recopié le texte).
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17anstoujours · 3 years
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« Il n'y eût aucune défection. Nous avions juré de mourir et c'est tout. »
Christian de la Mazière, Le rêveur casqué
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lf-celine · 3 years
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Parigi, estate 1944. "– Svegliati, vecchio mio. H. è pazzo. È tempo di mollare. – Dimentichi quelli che, provenienti da tutta Europa, si battono sul fronte orientale? – Credimi, li dimenticheremo presto, quando la guerra sarà finita. Cosa rispondere? E improvvisamente, ho pensato a un giovane operaio. Era passato in questa stessa stanza prima di andare a mettersi l’uniforme delle W-. «È leggendo i vostri articoli, mi aveva detto, che ho capito dov'era il cammino di un futuro più pulito». Dopo aver seguito le mie convinzioni, le aveva superate. Ero legato alla sua scelta. Se non volevo, un giorno, vivere nel rimorso e nella vergogna, dovevo raggiungere il suo esempio. E sentii, improvvisamente, che in me tutto era deciso".
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CHRISTIAN DE LA MAZIÈRE Con una postfazione di Jean Mabire
IL SOGNATORE CON L’ELMETTO Le memorie di un giovane volontario della Divisione “Charlemagne” nel libro-verità che scosse la Francia
Christian de La Mazière fu giornalista per “Le Pays libre”, un quotidiano minore della Collaborazione, volontario nella Divisione “Charlemagne” negli ultimi combattimenti sul fronte orientale, e nel dopoguerra esperto di pubbliche relazioni del cinema internazionale e amante di Juliette Gréco e Dalida: nelle sue memorie, inedite in italiano e che alla loro uscita in Francia nel 1972 furono un vero e proprio caso letterario, il “romanzo di formazione” di un giovane idealista dalla Parigi dell’estate 1944 al viaggio attraverso una Germania straziata dalle bombe Alleate sino al campo d’addestramento di Wildflecken, e all’invio in Pomerania contro i T-34 e Stalin sovietici dilaganti verso ovest, tra colonne di profughi e combattimenti disperati. Quindi, l’odissea tra le foreste baltiche dei superstiti stremati del suo reparto della “Charlemagne”, la resa, la prigionia sovietica e il rientro in Francia, il processo per collaborazionismo e il suo trasferimento da un carcere all’altro, dalla Santé a Fresnes alla cupa ex abbazia di Clairvaux, un folle universo carcerario popolato da criminali comuni d’ogni sorta e detenuti politici quali Lucien Rebatet, Pierre-Antoine Cousteau, Jacques Benoist-Méchin, sino al suo rilascio nel 1948, tra i resti delle sue illusioni perdute.
Formato 13x20, 402 pagg., alcune ill bn e mappe, Euro 25,00 ITALIA Storica, 2022 ISBN 978-88-31430-19-7
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duxvonzazer · 4 years
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Christian de la Mazière (ancien de la Charlemagne) était venu présenter la ré-édition du Rêveur casqué en compagnie de Raymond Muelle (ancien de la 1er armée ). La conversation tourne autour des souvenirs de guerre et… de Georges Brassens, que Mazière a bien connu. Invités : Cdt Raymond Muelle et Christian de la Mazière.
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aurevoirmonty · 7 months
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« Christian est toujours resté ce qu’on aime : "un type bien", même si ses activités professionnelles et ses liaisons surprenantes pouvaient parfois étonner ceux qui le découvraient tête nue, après avoir jeté son casque d’acier au hasard d’un fossé poméranien.
Sur la fin de sa carrière, il revint au journalisme mais à l’envers, si l’on peut dire, passant du gigantesque Figaro Magazine à la minuscule Révolution européenne, avec la joie sans prix de celui qui croit retrouver sa jeunesse. D’ailleurs, il n’a jamais quitté cet âge. »
Christian de la Mazière par Jean Mabire.
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“Les Sorbonnards sont férus des “sources”, ces regroupements saugrenus qui prétendent expliquer la création littéraire. Eh bien ! La bringue, la dèche, les dettes, le garni, les mauvaises fréquentations, les déménagements à la cloche de bois, les obsessions sexuelles, la drogue, le bordel, le pernod, la pédale, voilà quelques sources authentiques de la poésie, et, j'en suis bien fâché, de la poésie la plus grande, celle qui accède à l'inconnu, l'incantation, l'illumination du voyant, le radium inépuisable.”
Lucien Rebatet, Préface à L’Anthologie de la poésie de Christian de la Mazière.
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"Car le sceau de la République est partout là où il n'y a plus de liberté, où l'inégalité est féroce et où la fraternité n'a pas d'usage.“  
Christian de La Mazière
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reseau-actu · 6 years
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Attentats de l’Aude : le Portugais grièvement blessé est sorti de l’hôpital
Renato Silva, le jeune Portugais grièvement blessé le 23 mars à Carcassonne au début de l’équipée meurtrière du djihadiste Radouane Lakdim, a regagné jeudi son domicile dans l’Aude après un mois d’hospitalisation à Perpignan, dont plusieurs jours dans le coma, a indiqué son père.
« Il est sorti. Il va bien », a déclaré Duarte Nuno De Oliveira e Silva, le père de ce garçon de 26 ans atteint d’une balle dans la tête alors qu’il était au volant d’un véhicule à Carcassonne. Son passager Jean Mazières, un viticulteur à la retraite, avait été tué dans cette première attaque du djihadiste.
Hospitalisé à Perpignan
Transporté à l’hôpital de Perpignan, le jeune homme de nationalité portugaise avait été plongé le jour même dans un coma artificiel, dont il était sorti début avril.
L’islamiste avait ensuite volé le véhicule et semé la mort dans le supermarché Super U de Trèbes, tuant un employé, Christian Medves, chef boucher et père de deux filles, ainsi qu’un client, Hervé Sosna, maçon à la retraite.
LIRE AUSSI >Attaques terroristes dans l’Aude : Jean, Hervé, Christian et Arnaud, qui sont les victimes ?
Le colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame s’était ensuite substitué à une otage, employée du magasin, et avait été mortellement blessé par le djihadiste, qui lui-même avait été abattu lors de l’assaut du GIGN.
Transporté à l’hôpital de Perpignan, le jeune homme avait été plongé le jour même dans un coma artificiel, dont il était sorti début avril.
Un hommage national a été rendu le 28 mars à Paris au colonel Beltrame, qui incarne selon le président Emmanuel Macron « l’esprit français de résistance ». Un hommage aux victimes a également été rendu le lendemain à Trèbes, en présence notamment du Premier ministre, Edouard Philippe.
Article complet: Le Parisien — http://www.leparisien.fr/faits-divers/attentats-de-l-aude-le-portugais-grievement-blesse-est-sorti-de-l-hopital-26-04-2018-7685442.php#xtor=RSS-1481423633
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les-sept-couleurs · 7 years
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25 août 1942: Les Alsaciens-Mosellans sont enrôlés dans l’armée allemande, par décret du Gauleiter Wagner.
A la suite d’un accord entre Wagner et Himmler, la majorité d’entre eux fut incorporée dans la Waffen-SS, et envoyée sur le front de l’Est. Avec les conséquences que vous pouvez imaginer lorsqu’ils tombaient entre les mains de soviets. Ceux qui n’étaient pas exécutés sur place étaient envoyés au camp 188, à Tambow.
Au total, 134 000 hommes, dont 103 000 Alsaciens et 31 000 Mosellans ont été enrôlés. 24 000 morts au front et 16 000 en captivité soviétique. Le dernier prisonnier est rentré d’URSS en 1955. Mon sens inné de la digression ne peut me que m’encourager à souligner le courage des gouvernants de l’époque à réclamer aux Soviétiques le retour de ses prisonniers. Dix ans dans un camp de prisonniers soviétiques, c’est, comment dire? Pas grand chose. Maman, si tu me lis, ferme les yeux: Bande d’enculés.
Mon grand-père maternel, parce que c’est à lui que je pense aujourd’hui, a eu le triste privilège de participer deux fois à la IIe GM: une première fois sous l’uniforme français, sergent au Nième Régiment d’artillerie, j’ai pas son livret militaire sous les yeux non plus. Sans doute, comme 90 % des biffins du temps, avec une pincée d’honneur et un soupçon de gloire, et beaucoup de temps perdu entre les deux.
Puis sous l’uniforme allemand, dans un régiment d’infanterie (Grenadier-Regiment). Drang nach Osten, Kamerad, direction le front russe.
Dans son malheur, il a eu la chance de ne pas se retrouver embringué dans un régiment de Waffen-SS. A tout le moins, ça lui aura évité de se retrouver au banc des accusés au procès de Bordeaux. Maman si tu me lis, referme les yeux: Bande d’enculés.
Sa deuxième chance, ce fut de tomber malade, une bronchite qui dégénère en pneumonie. Rapatrié vers un hôpital militaire à Berlin, sans doute loin du minimum qu’exige aujourd’hui le Conseil d’État pour le premier migrant venu, mais quand il fait -35° à  Kharkov, l’échelle des valeurs se retrouve un tantinet bouleversée.
Lazaret d’où, dans le bordel que devait être Berlin en 43-44, entre surprise partie organisée par la RAF et descente de la Geheine Staats Polizei, il s’évade, et regagne son Alsace natale et rhénane. Dans des conditions que j’aime à imaginer rocambolesques. J’extrapole sans doute un tantinet. J’ai eu la chance de croiser d’autres Malgré-nous, dont l’un d’entre eux, réquisitionné dans la Kriegsmarine est rentré de Kiel (ou Rostock, j’ai oublié) à Molsheim (Basse-Alsace) à pieds. Pas loin de 900 bornes, avec les as de la RAF et de l’USAF qui confondaient vallée du Rhin avec piste de bowling et boule de bowling avec bombe au phosphore ; la Feldpolizei qui éprouvait une affection toute relative pour les déserteurs et, cerise sur la Schwartzwälder Törte,  aux miches les biffins de la 2e DB qui n’avaient qu’une hâte: tâter de la Gretchen au plus vite. Je te laisse imaginer la partie de plaisir. Surtout que pour trouver un Kebab d’ouvert à Cologne en juin 1944, fallait se lever de bonne heure.
Bref. Tout ça pour dire que pour papi Armand, il aura fallu attendre 1988 pour que son statut d’enrôlé de force soit reconnu. Manque de bol, l’est décédé d’un accident de voiture - putain de camion avant l’heure - trois ans avant ma naissance, et une trentaine d’années avant que la France, patrie des Droidlom, reconnaisse cette situation.
Pas plus qu’à ma mère, Papi n’aura eu l’occasion de me raconter ce qu’il avait vécu. S’il en a parlé avec ma grand-mère, mystère... Et c’est quand même un -maman, si tu me lis, pardonne-moi, je sais, tu ne m’as pas élevé comme ça - un putain de mystère, toute cette histoire. Comme celle des cartes A, B, C, D, en 1919.
De toute façon, tout ça, c’est du passé. On est en 2017, on a des problèmes d’aujourd’hui. L’aménagement d’un camp digne de ce nom porte de la Chapelle. La fluidité du genre à la naissance. Le droit à la repentance. Les camps décoloniaux.Toussatoussa.
La reconnaissance des souffrances, des doutes, des incertitudes, des incompréhensions, d’un pays coincé entre Vosges et Rhin, qui n’est Français que depuis 300 ans, et encore, pas intermittence, que veux-tu que je te dise, Aloyse, ça pèse pas bien lourd.
Les thuriféraires du penser-correct d’aujourd’hui auront beau spiel de refaire l’histoire - l’avait qu’à déserter, ce collabo, de toute façon, les Alsaciens, c’est tout Boche et compagnie. Oui. Bien sûr, bien sûr. Objection valable lorsque tu n’as ni femme ni enfant. Lorsque le sinistre décret parut, ma chère mère avait à peine deux ans. Imaginez ce que vous auriez perdu si elle ne m’avait pas donné le jour, une vingtaine d’années plus tard? Oui, vous ne vous en seriez pas remis.
Enfin voilà. Je ne suis pas persuadé que l’histoire soit plus facile à raconter aujourd’hui qu’elle ne l’a été il y a près de 80 ans. Malgré-nous, volontaire de la Milice ou résistant,  Oradour ou Dresde, résistance ou collaboration, Christian de la Mazière ou Marc Bloch?
Bien malin celui qui saura le dire. Les discussions sont ouvertes. Si d’aventure, elles peuvent s’accompagner d’un Rangen grand cru et d’une tarte flambée, d’un Amer-seidel et d’une Bretzel, je suis preneur.
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17anstoujours · 7 years
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« Aujourd'hui encore je sais mal dire merci et j'aurai l'impression de diminuer celui à qui je fais un don en attendant de lui un remerciement : ce que je lui donne, c'est ce dont il a envie, c'est ce qui lui revient. » Christian de la Mazière, Le rêveur casqué.
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