#Ibn-Rochd
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"Les preuves de l'existence du Créateur sont de deux types : les preuves tirées de la providence et les preuves tirées de la création" Ibn-Rochd (Averroès).
#islam#islamic#holy quran#coran#religions#Dieu#Création#Créateur#Averroès#Ibn-Rochd#providence#Allah#Muhammad#Jésus#Moïse#Abraham
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Streetart – Yassine Mandar @ Rabat, Morocco
Location: Rabat, Morocco Artist: Yassine Mandar For: JIDAR Rabat Street Art Festival Address: Av. Ibn Rochd et Av. Allal Al Fassi, Ecole normale …Streetart – Yassine Mandar @ Rabat, Morocco
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المركز الاستشفائي ابن رشد يعلن عن 32 مساعد معالج و 15 تقني في النقل والإسعاف
#CHU #Ibn #Rochd organise un #concours de recrutement de 47 postes
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subscibe in my on youtube
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Ecole Ibn Rochd Mirabeau
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Devoir de contrôle 2 Algorithmique Bac Math
LYCÉE IBN ROCHD HAY ERRIADH DEVOIR DE CONTRôLE INFORMATIQUE ANNÉE SCOLAIRE: 2009/2010 ENSEIGNANTE :IBTISSEM SHILI TARCHOUNA CLASSE : BAC MATH DATE : 8 FEVRIER 2010 DURÉE : 1HEURE Enregistrez votre travail sur le bureau avec votre nom, prénom, classe et groupe SVP. Ecrire un programme pascal «DivSom» permettant : - de saisir N entier (0≤ N ≤100). - de remplir le tableau T par n entiers positifs non - de calculer et d’afficher la somme S de tous les éléments du tableau - de déterminer et d’afficher tous les éléments du tableau T qui sont des diviseurs de la somme S. Exemple : - pour le tableau T suivant: 5 8 7 1 17 2 Le programme affichera : S=40 Les diviseurs de S sont : 5 8 1 2 Bonne Chance Thttp://b-meThdi.jimdo.com Read the full article
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YAWGI DISTRIBUTION À GUELMIM
Le distributeur des produits alimentaires YAWGI a intégré la porte du Sahara au Maroc à ses zones de distribution. Guelmim la capitale historique de la région Guelmim-Oued Noun compte plus de 200 000 habitants en 2018, Cette population représente une base importante de la demande au marché. Notre stratégie de ciblage consiste à disperser les points de distribution dans les quartiers de la ville, Nous mentionnons à titre indicatif et non exhaustif, les quartiers que nous avons couverts, à savoir : Le quartier administratif, Al Quods, Lalla Mariem, Sidi EL ghazi, Ibn Rochd. L’intensification de nos clients à guelmim est une voie qui est toujours omniprésente dans notre politique commerciale. FMCG Morocco
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Deux ans après l’enterrement de sa femme, il la voit à la télé: ce qui s'est passé
Deux ans après l’enterrement de sa femme, il la voit à la télé: ce qui s’est passé
Il y a deux ans, un homme accompagné de sa femme a eu un terrible accident de voiture non loin de Casablanca. Mais la femme mourra. Transportés d’urgence à l’hôpital Ibn Rochd de Casablanca, les chirurgiens sont très sceptiques quant au pronostic vital de la femme, le mari lui s’en sort heureusement mieux avec quelques légères blessures. Mais les médecins expliquent à l’homme qu’ils feront tout…
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We have figured out a way to link our CHU hospital to the transit system so that it can also service emergencies, and as well on its southern tip to service the underground garage
We have added two other structures, one to serve as dormitories for interns, and the second circular one for the doctors order, which is not over sized it is also a conference center
It is important to know that our main building has been conceived on the model of airports, so it has in its ground floor a conveyor belt system similar to that which is found in airports, which allows to go from one end of the building to the other as it is quite extensive for walking
It is extensive also in the sense that it covers every and all specialties under one roof, and because many people other than Rabat residents come to Rabat for medical treatment so this larger CHU and hospital allows for that as well
With 8 floors for its tallest structure and its support structures of 4 floors this very large CHU may just become the new Souissi hospital, which again in terms of land management frees the grounds of the existing Souissi hospital to extend Madinat Al Irfane all the way to Avenue Ibn Rochd
Why a single larger hospital instead of two, well operating within a single structure allows for better control over drug resistant bacteria and overall operations
And that is because of the way this medical unit is conceived, its different sections can be insulated from one another including in terms of airflow, which airflow is asepticized constantly within the structure as a whole using UV
As regards overall operation there is every specialty available without the need to transport patients, ie risking contamination with drug resistant germs existing in other medical centers
In all a world class medical facility in quiet settings, and a very welcome addition to what the city can do for its residents
Thank you for having followed
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L’existence de Dieu en Islam
La croyance en Dieu se fonde sur quatre piliers, en Islam, qui sont Son existence, Sa Roboubiyah ou ce qui En fait le Seigneur de l’univers, Sa Divinité et Ses Noms & Attributs.
Ce billet traite de l’existence de Dieu en Islam.
La conscience de tout être vivant est ce qui lui permet une représentation de son environnement. Mais, lorsque cette représentation porte également sur sa propre existence, ce qui est le cas de l’Homme, on parle alors de conscience de soi ou de conscience réflexive. La conscience dans ce second sens implique celle du premier, car le fait de se connaitre implique forcément celui de se connaitre dans ses rapports à autrui. La prise de conscience progressive par l’Homme de son environnement puis, à terme, de soi s’apparente à la situation d’un voyageur qui se rendrait compte, peu à peu, d’être embarqué dans un "véhicule" en perpétuel mouvement et "embarquements/ débarquements" de "voyageurs", dont il ne connait a priori ni la provenance ni la destination !
Aussi, l’être humain finit-il par être appelé à user de sa raison et de sa conscience réflexive pour se forger une intime conviction sur l’origine de l’univers et le sens de la vie-présente. Et si l’une des premières "vérités" qu’il est forcé d’admettre est son inéluctable mort, l’existence du Créateur de l’univers, dont on sait maintenant qu’il a un point de départ (le Big-bang) et qu’il s’étend dans l’immensité, en est une autre, que nul Homme sensé ne peut valablement remettre en cause. Dès lors, l’admission de l’existence du Créateur de l’univers implique qu’aucun être [créé] ne peut prétendre Le connaître ou, encore moins, expliquer, en Son nom, pourquoi Il a créé l’univers et les Hommes, sans apporter la preuve de ce par quoi le Créateur s’est Lui-même présenté et a Lui-même expliqué le sens de cette création. Il s’agit, là, d’un principe important en Islam, rappelé de manière récurrente dans le Coran [1]. Aussi, l’examen de l’existence de Dieu, en Islam, doit-il résulter de l’articulation de la réflexion sur l’origine de l’univers et de la création avec la lecture, comme il se doit, de ce qu’en disent les Livres par lesquels Il s’est présenté aux Hommes, et non le résultat d’une prise de position basée sur un parti pris ou une identification à autrui, d’ordre familial, tribal, ethnique, racial, idéologique ou de quelque nature que ce soit [2].
Cette articulation mène, en fait, aux preuves de l’Existence du Créateur, qui sont de deux types, selon Ibn Rochd [3] : les preuves tirées de la providence et celles tirées de la création. En effet, nul ne peut nier la perfection de la création et l’insondable providence qui entoure les humains, non seulement aux niveaux corporel, psychologique et intellectuel, mais également à travers le concours à leur vie et à leur bien-être, de créatures et de phénomènes divers et variés, tels que l’air, l’eau, la lune, le soleil, les montagnes, les mers, l’atmosphère terrestre, la variation des vents entre la terre et le ciel le plus proche, la pluie, les plantes, les bestiaux, le feu, les matières premières, l’alternance du jour et de la nuit, l’alternance des saisons… Cette providence ne peut être le résultat du hasard, mais le signe de l’existence du Créateur, qui est Provident envers Ses créatures et qui connait parfaitement Sa création.
Pour illustrer ces propos sur la nécessaire articulation de la réflexion sur l’origine de l’univers et de la création avec la lecture de ce qu’en dit le Coran, pour se forger une intime conviction sur l’existence de Dieu, nous présentons deux exemples, tirés de l’ouvrage de Mohamed Achiq [4], dont le premier concerne la création de l’univers et le second, les grandes étapes de l’embryogénèse humaine.
Premier exemple d’illustration : la création de l’univers dans le Coran
Le Coran comprend près d’un millier de versets décrivant l’univers [5], que les découvertes scientifiques ne cessent de corroborer par l’observation, le calcul et la modélisation. Un exemple de ces découvertes est l’acquisition, au cours du XXème siècle, de la certitude que l’univers, tel que nous le connaissons, a un point de départ et qu’il est en expansion continue, comme énoncé dans le Coran révélé plus de treize siècles plutôt :
« Ceux qui ont mécru, n'ont-ils pas vu que les cieux et la terre formaient une masse compacte ? Ensuite Nous les avons séparés et fait de l'eau toute chose vivante… [30] » [S21]
« Le ciel, Nous l'avons construit par Notre puissance : et Nous l'étendons [constamment] : dans l'immensité. [47] » [S51]
Cette découverte débuta avec l’élaboration de la théorie de la relativité générale et l’observation expérimentale de l’expansion de l’univers [6], qui finirent, quelques années plus tard, par apporter la preuve que l’univers, tel que nous le connaissons, n’est pas éternel et statique, mais qu’il a un point de départ et qu’il est en expansion continue. En effet, cette observation donna lieu, en son temps, à deux types d’interprétation :
La première interprétation, connue sous le nom du modèle du Big-bang [7], se basa sur l’hypothèse d’une conservation de la matière. Cela revient à dire que l’univers était forcément infiniment plus dense et plus chaud par le passé et que, suite à l’enclenchement de son expansion, il se mit à refroidir, donnant lieu à un gigantesque processus d’assemblage de ses particules élémentaires en des corps de plus en plus complexes : protons, électrons, neutrons, noyaux, atomes, étoiles, planètes…
La seconde interprétation supposa, quant à elle, que l’expansion de l’univers s’accompagne d’une création voire de disparition de la matière. Les détracteurs les plus acharnés du modèle du Big-bang allèrent même jusqu’à imaginer un phénomène de création continue de matière, qui contrebalancerait exactement sa dilution par l’expansion ! Un tel Univers serait alors stationnaire, selon cette thèse dite de l’État Stationnaire.
Mais, deux découvertes majeures de la cosmologie observationnelle finirent par conforter définitivement le modèle du Big-bang :
L’observation du Fond Diffus Cosmologique (FDC), rayonnement électromagnétique provenant de l'univers et frappant la terre de manière quasi uniforme dans toutes les directions, qui s’est avéré être le vestige de l’époque dense et chaude de l’histoire de l’univers [8]. Les défenseurs de la thèse de l’État Stationnaire tentèrent d’expliquer l’existence de ce rayonnement par une thermalisation du rayonnement stellaire par d’hypothétiques aiguillettes de fer microscopiques ! Mais, cette hypothèse s’avéra en contradiction avec les données observables, concernant aussi bien l’abondance du fer dans l’univers que la quasi-perfection et l’isotropie du corps noir que constitue le FDC ;
La mesure de l’abondance des éléments légers que sont l’hydrogène, l’hélium et le lithium, qui a montré que ces éléments ne pouvaient être créés avec les quantités importantes observées après la phase chaude de l’univers, car elles auraient été transformées par les réactions nucléaires successives auxquelles a donné lieu le processus de nucléosynthèse stellaire. A l’inverse, le modèle du Big-bang, selon lequel cette abondance a été produite essentiellement pendant la phase chaude primordiale, permet non seulement d’expliquer, mais de retrouver par le calcul, les quantités observées, avec une grande précision [9].
Deuxième exemple d’illustration : l’embryogénèse humaine dans le Coran
Un autre exemple édifiant de la description de la création divine dans le Coran est celui concernant l’embryogénèse humaine :
« et que c'est Lui qui a créé les deux éléments de couple, le mâle et la femelle, [45] d'une goutte de sperme [notfa’tine] quand elle est éjaculée [46] » [S53]
Ces versets, révélés plusieurs siècles avant la découverte des chromosomes puis des deux chromosomes sexuels (XX chez la femme et XY chez l’homme), énoncent clairement que ce qui détermine le sexe du nouveau-né provient du sperme, quand il est éjaculé. Or, ce n’est qu’à la fin des années 1980 que fut établi que le gène SRY (Sex-determining Region of Y chromosome), situé sur le chromosome Y, était le déclencheur du développement des gonades indifférenciées en testicules et qu’en l’absence de ce gène ou en cas de son dysfonctionnement, le développement masculin était impossible [10]. Dieu dit également dans le Coran :
«… Il vous crée dans les ventres de vos mères, création après création, dans trois ténèbres…[6]» [S39]
Les "trois ténèbres" évoqués dans ce verset sont la paroi abdominale, la paroi utérine et la membrane amniotique. Quant à l’expression "création après création", elle énonce clairement le caractère progressif du développement embryologique, comme le confirme de nos jours l’épigenèse biologique et l’embryologie expérimentale, et non d’un seul coup comme avancé jadis par la théorie de la préformation. Selon cette dernière, qui a prévalu jusqu’au milieu du XIXème siècle, l'embryon consistait dès le départ en un être vivant "miniature", baptisé "homunculus" [11], où tous les organes étaient déjà présents dans l’œuf, mais qu’il était si petit et transparent qu'il était invisible ! Cette théorie supposait ainsi que pendant son développement, les tissus de l’homunculus croissent et se densifient, puis deviennent visibles ! Et ce n’est qu’à la fin du XIXème siècle que l’émergence de l’embryologie expérimentale mit fin à la théorie de la préformation, l’épigenèse ayant, définitivement, été corroborée par l’observation expérimentale. En ce qui concerne les étapes du développement embryologique, les deux versets suivants en fournissent une parfaite description :
« Puis Nous en fîmes une goutte de sperme dans un reposoir solide [13] » [S23]
La goutte [Notfah] représente ici le zygote - mélange de sperme et de l���ovule - qui se divise pour former un blastocyste qui s'implante dans l'utérus ("lieu de repos"). Cette interprétation est confirmée par un autre verset ([S76,v2]). Le verset suivant décrit l’évolution de l’embryon jusqu’à ce qu’il devienne fœtus :
« Ensuite, Nous avons fait du sperme une adhérence [Alaquah] ; … [14] » [S23]
Le terme [Alaquah], traduit ci-dessus par "adhérence", se dit, en arabe, de quelque chose qui s’accroche, comme une sangsue, et l’observation a montré qu’entre le septième jour et le début de la quatrième semaine, l’embryon s'accroche à l'endomètre de l'utérus de la même façon qu'une sangsue s'accroche à la peau. De même, il tire le sang de l'endomètre de la femme enceinte comme la sangsue tire le sang de l'hôte. L’observation au microscope - découvert au 17ème siècle - de l’embryon de trois à quatre semaines montre qu’il ressemble parfaitement à une sangsue. Vers la fin de la quatrième semaine, l'embryon ressemble à un morceau de chair mâchée, du fait de l’apparition des somites qui ressemblent, dans cette phase, à des marques de dents :
« …et de l'adhérence Nous avons créé un embryon [Modghah: morceau de chair mâchée]…[14] » [S23]
A partir du stade du morceau de chair mâchée, les os et les muscles se forment dans cet ordre comme l'indique le verset ci-après ; d'abord, les os se forment comme des modèles de cartilage et ensuite les muscles (chair) se développent autour d'eux, à partir du mésoderme somatique. L’embryologie montre qu’à partir de la 17ème semaine (vers le 120ème jour), aucune nouvelle structure n’apparaît, bien que plusieurs étapes de développement se poursuivent ; le squelette continue de croître mais il est encore fait de cartilage plutôt mou. Ensuite, l’embryon est transformé en une "une tout autre création", laquelle transformation renvoie, selon les commentateurs du Coran, à l’insufflation de l’esprit [al-Rūh] divin dans le fœtus humain :
« … puis, de cet embryon Nous avons créé des os et Nous avons revêtu les os de chair. Ensuite, Nous l'avons transformé en une tout autre création... [14] » [S23]
Les deux exemples d’illustration ci-dessus, font ressortir que l’articulation de la réflexion sur l’origine de l’univers et le sens de la vie-présente avec la lecture, comme il se doit, des versets de Dieu, mène à croire en Son Existence et à l’origine divine du Coran. En effet, si ce dernier provenait d’un autre que le Créateur, on y trouverait sans nul doute maintes contradictions ! Dieu a ainsi fait de sorte à ce que, au fur et à mesure que les Hommes évoluent, par Sa grâce, dans leurs savoirs et dans leur connaissance d’eux-mêmes et de l’univers, il leur devienne de plus en plus évident que le Coran est la vérité :
« Nous leur montrerons Nos signes dans l'univers et en eux-mêmes, jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que c'est cela (le Coran), la Vérité… [53] » [S41]
Toutefois, on ne doit pas perdre de vue que le Coran n’est ni une encyclopédie scientifique, ni une philosophie ni, encore moins, un recueil de poèmes, mais la parole du Créateur destinée au commun des mortels ! Aussi, le lecteur objectif, doit-il s’employer à méditer le Coran avec la plus grande humilité et la vigilance requise, notamment vis-à-vis des versets qui peuvent prêter à des écarts d’interprétation. Ainsi, en tout état de cause, tout écart entre le savoir humain et l’interprétation de ce type de versets doit être imputé soit à l’immaturité de ce savoir (cas, ci-dessus, du modèle de l’Etat Stationnaire de l’univers ou de la théorie de la Préformation des fœtus), soit à l’inexactitude de cette interprétation.
Abourina
[1] Coran : [S2,v111], [S21,v24], [S23,v117], [S27,v64], [S31,v20], [S40,v56];
[2] Coran : [S2,v170], [S2,v121], [S41,v53];
[3] Ibn Rochd (Averroès), "Le Guide des Preuves [TdA]") ;
[4] Mohamed Achiq, « Comprendre l’Islam à la lumière du Coran et de la tradition Prophétique » (Amazon.fr) ;
[5] Zaghloul Al Najjar, "Explication des Versets Universels dans le Saint-Coran [TdA]"– 1ère partie. Ed. Librairie El Chourouk Internationale (p.25-26) ;
[6] Les équations de la relativité générale furent publiées pour la première fois en novembre 1915, séparément et successivement, par David Hilbert puis par Albert Einstein. Elles furent corrigées et complétées par Alexandre Friedmann en 1922. La première observation de l’expansion de l’univers fut établie par Edwin Hubble en 1929 ;
[7] L’expression "Big-bang" fut utilisée pour la première fois par Fred Hoyle, l’un des détracteurs notoires du modèle basé sur l’idée d’un univers primordial infiniment plus dense et plus chaud, qui est à l’origine du modèle du Big-bang ;
[8] S’appuyant sur le modèle d’univers en expansion d’Alexandre Friedmann et sur les travaux de Georges Lemaitre relatifs à la théorie de l’atome primitif, George Gamow et Ralph Alpher démontrèrent en 1948 que les quantités actuelles d’hydrogène et d’hélium dans l’univers peuvent être expliquées par les réactions nucléaires qui eurent lieu durant le Big-bang. Peu après, ce dernier et Robert Herman prédirent l’existence du FDC. Ce dernier fut observé accidentellement pour la première fois en 1964 par Arno A. Penzias & Robert W. Wilson ;
[9] Gary Steigman (2006). "Primordial nucleosynthesis: successes and challenges". International Journal of Modern Physics E15:1-36 ;
[10] Sinclair, A. H., Berta, P., Palmer, M. S., Hawkins, J. R., Griffiths, B. L., Smith, M. J., ... & Goodfellow, P. N. (1990). "A gene from the human sex-determining region encodes a protein with homology to a conserved DNA-binding motif". Nature, 346(6281), 240 ;
[11] Nicolas Hartsoeker fut le premier à présenter, en 1694, un homunculus sous forme d’individu miniature accroupi dans la tête d’un spermatozoïde !
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Streetart – Ghizlane Agzenai @ Rabat, Morocco
Location: Rabat, Morocco Artist: Ghizlane Agzenai For: JIDAR Rabat Street Art Festival Address: Av. Ibn Rochd, Ministère de la transition numérique …Streetart – Ghizlane Agzenai @ Rabat, Morocco
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الوظيفة العمومية: الإعلان عن 3019 منصب للتباري بعدة مؤسسات وإدارات
Les nouveaux concours dans les Etablissements publics et alwadifa ( OFPPT , AL Barid Bank , AMMC , FMPS, La MAP, Collectivités territoriales , Marchica Med , DGAPR 2022 , Ministère de la justice , Ministére de la santé , Lydec ,ONSSA , OCP , SOREC, CHU ibn rochd, TAMWILCOM , Sonacos , DR de la Santé ,CHU IBN SINA , OFPPT , ONP , NARSA , Ménara holding , Agence de l’orientale, agence urbain salé rabat) De nombreux etablissements publics (alwadifa) ont annoncé l’ouverture des candidatures pour l’accès aux fils du emploi public, selon des spécialité et des diplômes universitaires qui diffèrent d’un etablissement à l’autre, puisque le nombre est estimé à des centaines de postes.
Emploi Public: Annonce de 3019 postes à concourir dans plusieurs institutions et départements
Consultez le poste qui vous intéresse pour postuler: - Concours Recrutement CNSS 2022: 848 Postes Budgetaires prévus - الوقاية المدنية : إعلان عن توظيف منقذي سباحة موسميين لسنة 2022 بدون ديبلوم بعدة مدن (197 منصبا) - Concours de Recrutement OFPPT 2022 (434 Postes) - مكتب التكوين المهني وإنعاش الشغل: مباريات توظيف 400 مكونا في مختلف التخصصات. آخر أجل للترشيح هو 31 مارس 2022 - Al Barid Bank recrute des Contrôleurs Internes - للراغبين في التوظيف بشركة ليدك ارسل سيرتك الذاتية جميع التخصصات مطلوبة - Concours de Recrutement AMMC 2022 (4 Postes) - Concours de Recrutement OFPPT 2022 (115 Postes) - FMPS recrute des Responsables Provinciaux (10 Postes) - Concours Ministère de l’Equipement et de l’Eau 2022 (11 Postes) - للراغبين في التوظيف بالمكتب الشريف للفوسفاط ارسل سيرتك الذاتية جميع التخصصات - Concours de Recrutement chez OFPPT (5 Profils) - Concours de Recrutement MAP 2022 (20 Postes) - Concours de Recrutement Collectivités Territoriales 2022 (51 Postes) - Liste des Convoqués Concours DGAPR 2022 (616 Postes) - Concours Bank Al Maghrib 2022 (14 Postes) - Liste des Convoqués Concours Al Barid Bank 2022 (150 Postes) - Concours de Recrutement DGAPR 2022 (15 Postes) - Conseil Economique, Social et Environnemental recrute Plusieurs Profils - Université Internationale de Rabat Recrute Plusieurs Profils (39 Postes) - Campagne de recrutement chez Al barid bank 2022 (40 Postes) - وزارة التربية الوطنية توافق على إدماج الأساتذة المتعاقدين - Campagne de recrutement chez Al barid bank 2022 (70 Postes) - Déposez votre Candidature Spontanée pour Stage chez Marsa Maroc - Déposez votre candidature spontanée chez Al Barid Bank - Déposez votre Candidature Spontanée chez l’OCP (Office Chérifien des Phosphates) Read the full article
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Juniper Publishers-Open Access Journal of Head Neck & Spine Surgery
A Rare Origin of Supraclavicular Mass in a Ten-Month-Old Child: Case Report of Lipoblastoma
Authored by Salama Khadija
Introduction
Lipoblastoma is a rare benign tumor arising from embryonic white fat which occurs in the early childhood and accounts for up to 30% of adipocytic tumors in children while true lipomas account for 60% of all cases [1]. It usually arises on the extremities and considered as a rare cause of a pediatric head and neck masses. To notice that less than 100 cases of lipoblastomas- all locations- have been reported in literature till now, whereas, head and neck involvement has been reported in only very few cases [2]. In the Hospital University Ibn Rochd, we admitted a ten month child with lipoblastoma arising from the supraclavicular area. A significant risk of invading the subclavian vessels, the brachial plexus and the thoracic duct in contact was near.
Case Report
A 10-month-old girl, with no relevant medical or surgical history, brought by her parents to the outpatient ENT department for painless left side neck mass growing progressively over the last 5 months, with no sign of compression, in a context of a conservation of general state. On physical examination, there was a painless, non-pulsatile, solid to firm left-sided cervical mass in the supraclavicular area measuring approximately 6cm of large diameter, fixed to the underlying structures, mobile relative to the overlying skin (Figure 1), with no inflammatory signs neither was a lymph node hypertrophy. The rest of clinical examination was within normal limits with no abnormal laboratory findings. Ultrasonography revealed a homogeneous, hyperechogenic mass with a peripheral vascularization, plunging into the left supraclavicular area evocative of either hemangioma or lipoblastoma. We completed by neck CT scan which revealed a well limited supraclavicular lobulated mass encroaching upon the sternocleidomastoid muscle, with a greasy density similar to that of the subcutaneous fat in which some enhancement was visible, crossed by internal septa, measuring 63x42x40mm.The mass came into contact with the clavicle without bone lysis, also with the subclavian blood vessels which remain permeable (Figure 2). The biopsy of the mass confirmed the diagnosis of lipoblastoma. A multidisciplinary surgery (Otorhinolaryngologist and Pediatric surgeon) was considered
Per-operatively, the lesion was found to be well encapsulated fixed to clavicle, in contact with the branches of the brachial plexus posteriorly. Complete surgical resection of the mass with an under-periosteum dissection without cleidotomy was performed, the subclavian vein was tightly adherent to the mass which was delicately dissected, and the brachial plexus was seen and preserved (Figure 3). Histological examination showed an adipose lesion, divided into lobules by fibrous septa. The adipose tissue consisted of mature adipocytes of various size and few lipoblasts. These findings were compatible with lipoblastoma. The postoperative period was uneventful, one-year follow-up found no local recurrence.
Discussion
The term “lipoblastoma” was coined by Jaffe [3] in 1926 to describe an atypical lipomatous lesion that consisted of cells resembling embryonic white fat [3]. This term was intended to differentiate these lesions from common lipomas, which contain no lipoblasts. Chung & Enzinger [1] described two forms: lipoblastoma as a localized circumscribed type which represents approximately 70% of cases and lipoblastomatosis for the diffuse multicentric variant (about 30% of cases) which is a deeply located, poorly circumscribed lesion with infiltrative growth pattern that may affect surrounding muscle structures, this latter is more difficult to remove completely [1,4]. It commonly arises from the extremities (36 72%) and the trunk (20 50%), and less commonly in the head and neck (10 15%) [2]. Within this latter, the neck is the most common location, other locations may also be included as the parotid gland, cheek, skin and orbit [5,6]. It occurs exclusively in infants and children, with 90% of the cases in children under 3 years of age, with the median age of onset being 1 year. It shows a male preponderance (3:1) and a rapid growth rate [6].
Usually, it presents as a painless, progressively growing mass if localized superficially. Symptoms are related to the location and size or mass effect of the lesion. Its rapid growth may cause compressive symptoms such as an airway obstruction and respiratory symptoms that have been described in patients with pleural, mediastinal, pulmonary, and lower neck lipoblastomas [5,7].
The presumptive diagnosis is performed by imaging: Ultrasonography, CT or MRI being more sensitive by showing the characteristics of the mass components [7]. Imaging exhibits the precise location of the lesion and its extent to the surrounding structures which helps in planning surgical resection, however, it cannot differentiate lipomatous tumors which make these ones radiologically indistinguishable [8]. Therefore, the definitive diagnosis is made histologically. Moreover, recent cytogenetic analysis revealed specific chromosomal abnormalities in adipose tissue tumors which may lead to accurate diagnosis [2,9].
The most important differential diagnosis of lipoblastoma is myxoid liposarcoma. Since the distinction between the twoentities cannot be performed on imaging. The age of the patient is significant. Liposarcomas are extremely rare in patients less than 10 years of age. Histology can differentiate on the basis of architectural changes and cytogenetic analysis displays a characteristic rearrangement of the long arm of chromosome 8 (8q11-13) affecting PLAG1 in lipoblastoma, when myxoid liposarcoma shows a t(12;16) (q13;p11) translocation [10-13].
Dilley et al. [14] had reviewed 24 patients who presented to a single institution over a 15 year period. Of these 24 patients, only 4 had tumor in the head and neck region. The tumor may present as a focal or diffuse lesion with the former being more common. It has also been mentioned that focal lesions usually do not require further surgery following initial resection. Patients with lipoblastoma may present with various symptoms depending upon its site. Rasmussen et al. [15], mentioned a case of cervical lipoblastoma causing intermittent airway obstruction. Farrugia et al. [16] reported another case of lipoblastoma of the neck which was presented as a rapidly enlarging mass, mimicking cystic hygroma. Eveline Bruyeera [6] reported three cases of head and neck lipoblastoma. The outcome of three patients was favorable after complete surgical resection. K Premkumar [2] recently reported another case of an extensive tumor located over the nape of the neck that causes a restriction of neck movement
Lipoblastoma exhibits a propensity to invade locally. If not excised early, it may enlarge and infiltrate the various surrounding structures. Various pressure symptoms may occur which can lead to life threatening complications as noted hereinbefore [2].
The mainstay of treatment is complete non-mutilating resection of the tumor to avoid recurrence. If the entire tumor cannot be safely removed at the time of initial resection, a staged approach is recommended. [17] The prognosis is excellent, and the recurrence rate is less than 25% being largely attributed to the infiltrative form ‘lipoblastomatosis’. The evolution is unpredictable, spontaneous resolution and maturation into lipoma may occur, but metastases still not reported so far [17,18].
Conclusion
Head and neck lipoblastoma are a rare childhood tumor, usually presenting as a progressive painless mass, rarely causing airway obstruction, nerve or vascular compression. Through our case, we aimed to shed light on lipoblastomas as a differential diagnosis of rapidly growing soft fatty masses of children within this region.
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