#Histoire de la Magie
Explore tagged Tumblr posts
Text
Émile Bayard (1837-1891) - The Evocation of Spirits
Illustration from Paul Christian’s 'Histoire de la magie', 1870
source
#émile bayard#l'évocation des espirits#the evocation of spirits#histoire de la magie#paul christian#jean-baptiste pitois#ghost#ghosts#spirits#cemetery#graveyard#horror#occult#necromancy#paranormal#19th century#19th century art#art#book illustration#illustration
88 notes
·
View notes
Text
#art#faust#johann wolfgang von goethe#mephistopheles#Émile Bayard#paul christian#Histoire de la Magie#Du Monde Surnaturel Et de la Fatalite a Travers Les Temps
234 notes
·
View notes
Text
The Dance of the Witches' Sabbath: illustration from History of Magic by Jean-Baptiste Pitois —By Émile Bayard (Paris, 1870)
#Dance of the Witches#Sabbath#History of Magic#Jean-Baptiste Pitois#Émile Bayard#Paris#1870#19th century art#19th century#xix century#art#artwork#illustration#ritual#La Danse du Sabbat#Emile Bayard#Pitois's Histoire de la Magie
296 notes
·
View notes
Text
Le lys de feu T2 la houle éclatante de Jacquelyn Benson
Dans ce deuxième tome, Lily apprend à maîtriser ses pouvoirs tandis que la guerre approche à grands pas. Sa relation avec Strangford est mise à l'épreuve. Des révélations sur la mort de sa mère émergent, créant des obstacles pour Lily.
1 note
·
View note
Text
La Faiseuse de Vœux
C’est au rythme de ses voyages que Sollya pratique son art et sa magie. Au détour de quelques villages, elle gratifie les habitants de son art singulier : exaucer les vœux. Le prix a payé semblait minime pour qui voulait voir ses rêves réalisés. Chaque souhait se matérialisaient par un tatouage de jacinthe bleue sur la peau de celui qui formule le vœu. Ce tatouage, au-delà de sa beauté, crée un lien entre Sollya et son porteur, permettant à la sorcière de récolter des essences rares : la chance, le bonheur, l'amour, la tristesse, la colère etc. La récolte de ces essences, concentrées et précieuses, n'est pas un processus sans conséquences. En puisant une émotion ou une qualité, Sollya prive son client de cette même émotion. Par exemple, une fois la colère récoltée, le porteur du tatouage ne ressentira plus jamais en colère. Ainsi, derrière ses actes de bienveillance apparents, se cache une motivation égoïste. Mais les choses ne sont pas ce qu’elle semblent être.
Personnages
𝕾𝖔𝖑𝖑𝖞𝖆 : Une sorcière au pouvoir de selkie aussi mauvaise que bienfaitrice.
𝕬𝖘𝖙𝖆𝖎𝖗 : Le vampire millénaire accroché à sa sorcière.
𝕬𝖑𝖊𝖝𝖆𝖓𝖉𝖗𝖊 : Voulait un peu de chance.
𝕲𝖆𝖇𝖗𝖎𝖊𝖑 : Voulait aimer et se faire aimer.
𝕰́𝖑𝖊́𝖔𝖓𝖔𝖗𝖊 : Voulait se sentir pousser des ailes.
𝕵𝖚𝖑𝖎𝖊𝖙𝖙𝖊 : L’objet du désir de tous.
𝕬𝖒𝖊́𝖑𝖎𝖊 : La rêveuse au grand cœur de glace.
𝕷𝖊́𝖆𝖓𝖉𝖗𝖊 : Le sceptique ne demandant qu'à croire.
Écriture/parution 1ère partie : Du 21 décembre 2025 au 19 mars 2026
#Sollya#La Faiseuse de Vœux#écrits#écriture#histoire#fantasy#fantastique#sorciers#sorcières#magie#personnages
0 notes
Text
Des histoires dans les tours
Des histoires dans les tours
Rendez-vous dans les Tours de La Rochelle pour les fêtes de fin d’année avec des spectacles pour toute la famille ! Venez vivre la magie de Noël dans les tours de La Rochelle avec des spectacles de magie et de marionnettes à la tour de la Chaîne ! Le laboratoire du Professeur Chelmi Tony Corgann © Tous droits réservés Une création originale de Tony CORGANN : les 20, 21 et 22 décembre 2022 à 16h…
View On WordPress
#art#artiste#arts visuels#charente maritime#clin d&039;art#contes#histoires#illusionniste#La Rochelle#la rochelle tourisme#magie#marionnettes#patrimoine#spectacle#tours de la rochelle
0 notes
Text
Je suis dans ce moment où la lecture était agréable mais trop courte, où j'ai encore envie de l'ambiance qu'elle m'offrait, où j'ai envie de savoir ce qu'ont fait les personnages après ce dernier verre au bar ou après cette conversation nocturne. Du coup j'ai envie de lire, encore et encore mais aucun des livres posés sur cette table ne me fait vraiment envie. Là j'ai le choix entre deux récits fantastiques, l'un dans la magie moyenâgeuse et l'autre dans une société dystopique, un polar, un manga d'horreur, une histoire de transplantation, une histoire familiale et une histoire de samouraï. Il y a aussi 1Q84- livre 2, qui me renverrait au Japon, un récit d'aventure au travers du Sahara et quelques BD.
Comme les événements de la vie, même mineurs, ne sont pas vécus de la même façon qu'on ait 10 ans, 20 ans, 40 ans, 43 ans et demi, il y a un temps pour chaque livre, un moment où l'on se fait écrin du joyau qu'il veut bien nous offrir.
22 notes
·
View notes
Text
Le Royal a projeté sa dernière séance en décembre 2012, fermant ses portes sur des générations de rêveur·euses, d’amoureux·ses timides caché·es aux derniers rangs, d’enfants aux yeux écarquillés, émerveillés par la magie scintillante de l'écran. À l'intérieur, le temps s’est arrêté, gardant intactes ses empreintes originelles : les fauteuils d’un rouge profond, la moquette étreignant les murs, la billetterie qui a accueilli tant de murmures. Aujourd'hui, le Royal s’enveloppe d'un silence lourd, presque solennel, comme s'il retenait dans ses murs craquelés l'écho des derniers applaudissements, le murmure des baisers volés dans l'ombre, et les frissons des premières découvertes cinématographiques. On imagine presque revoir Mademoiselle Clémentine, l'âme de ce lieu, qui, chaque soir, après la fermeture, sortait balayer le trottoir, caressant du regard la façade de son univers de velours et de rêves celluloid. Témoin privilégiée de tous les premiers rôles, elle a été spectatrice émue de récits transcendant le temps et l'espace. Elle a ri, pleuré, frissonné, son cœur battant au rythme du projecteur. Mais jamais elle n'a franchi la limite qui sépare la fiction de la réalité, sauf dans ses pensées les plus secrètes, où elle était la protagoniste d'une histoire sans fin. Une histoire à mille lieux des ombres d'un présent tourmenté, où la toile devient, hélas, le voile sous lequel se dissimulent des actes inexcusables. Des prédateurs, planqués derrière le charme trompeur des caméras, masquent leurs véritables intentions, occasionnant des ravages indélébiles. Cependant, « il faut se méfier des petites filles. Elles touchent le fond de la piscine, se cognent, se blessent, mais rebondissent ! » Le Royal et Clémentine, elleux, partageaient une histoire d'amour platonique, faite de regards échangés entre l'âme de la bâtisse et la gardienne de ses souvenirs. Et même si les portes ne s'ouvrent plus, si le projecteur reste éteint, leur romance perdure, continuant à se manifester dans un ballet de réminiscences qui dansent à travers les fissures du temps.
42 notes
·
View notes
Text
On essaie d'exprimer des sentiments avec des mots.
Mais certains sont tellement forts, que peu importe les lettres que l'on assemblera.
Cela ne suffira pas à dire ce que l'on ressent."
- Victor Hugo
Je t’envie tu sais ... d’avoir rompu ...
Les années s’écoulent doucement avec leur étrange magie ... j’ai parfois trop souvent la sensation que j’ai juste rêvé, j’ai le regard perdu en murmurant ton prénom me demandant si ... si ...
J’ai encore la mémoire je crois d’un son de voix, d’un goût sur les lèvres, d’une chaleur ... ... et dans une respiration tout s’efface ... ... reste l’ombre de quelque chose dans la brume de ma mémoire, l’esquisse d’une histoire telle cette chorégraphie que je ne finirais jamais ...
Danser ... y songes tu ... as-tu ne serait-ce qu’un pincement quand tu ... Danser ... As-tu au fond de toi cette presque panique de savoir que retrouver cette vibration ... l’intrication de nos cœurs à corps ... ...
je t’envie d’avoir rompu ... ...
15 notes
·
View notes
Text
21« Pourquoi tremblez-vous ? »
Lilia X Reader
à la demande de @confuseuniverse j’espère que sa te plaira 💛
Dans l'arrière-boutique du magasin de Lilia, une douce lumière filtrée par une fenêtre poussiéreuse éclairait les étagères chargées de livres anciens et d'objets mystérieux. Reader, vêtue d'une robe sombre, se tenait au milieu de ce sanctuaire de savoir, entourée de volumes reliés en cuir dont les titres dorés brillaient faiblement. L'odeur des pages jaunies et du vieux papier emplissait l'air, créant une atmosphère à la fois nostalgique et envoûtante.
Elle s'affairait à ranger les livres, ses doigts glissant sur les couvertures rugueuses, découvrant des titres fascinants sur les arcanes de la magie et les secrets de la divination. Chaque ouvrage semblait murmurer des histoires anciennes, des connaissances oubliées, et Reader ne pouvait s'empêcher de s'arrêter pour feuilleter quelques pages, absorbant l'information avec avidité.
Les objets qui l'entouraient ajoutaient à l'ambiance mystique de la pièce. Des cristaux scintillants, des bougies aux formes étranges, et des instruments de divination tels que des tarots et des runes étaient disposés sur des tables en bois usé. Reader prenait soin de ne pas déranger ces trésors, les manipulant avec précaution, comme si chaque objet détenait une magie propre.
La lumière du jour, bien que tamisée, mettait en valeur les particules de poussière dans l'air, donnant à l'espace un aspect presque féerique. Reader se sentait à la fois excitée et honorée d'être là, dans ce lieu chargé d'histoires et de savoirs. Elle savait que chaque minute passée dans cette arrière-boutique était une étape vers la maîtrise de la divination, une passion qui brûlait en elle.
Cela faisait des mois que Reader avait pris ses fonctions d'assistante auprès de Lilia, et l'atmosphère dans l'arrière-boutique avait évolué, chargée d'une tension subtile. Les murs, autrefois témoins d'un apprentissage studieux, semblaient maintenant vibrer d'une nouvelle énergie, une complicité teintée d'une affection grandissante. Reader, souvent plongée dans ses tâches, ne pouvait s'empêcher de ressentir une chaleur diffuse chaque fois que Lilia s'approchait, ses yeux perçants et son sourire énigmatique éveillant en elle des émotions qu'elle n'avait pas anticipées.
Leurs échanges, d'abord simples et professionnels, avaient pris une tournure plus personnelle. Reader se surprenait à apprécier chaque moment passé en sa présence, que ce soit lors des leçons de divination ou dans les instants plus informels où elles partageaient des anecdotes sur leurs vies. Lilia, avec sa sagesse et sa bienveillance, était devenue une figure centrale dans l'univers de Reader, mais cette proximité la plongeait dans un tourbillon d'émotions contradictoires.
Dans l'arrière-boutique, les livres et les objets magiques semblaient témoigner de cette tension. Chaque interaction était un mélange d'excitation et d'anxiété, un ballet délicat entre l'envie de se rapprocher et la peur de franchir une limite. Elle se concentrait sur les tâches, mais son esprit vagabondait souvent.
Les jours passaient, et Reader se retrouvait de plus en plus souvent à dérober des regards furtifs à Lilia, observant la façon dont elle se déplaçait dans la pièce, sa grâce naturelle et son aura magnétique captivant son attention. Les éclats de rire de Lilia, les moments de complicité, tout cela ne faisait qu'accentuer sa nervosité, rendant chaque instant partagé à la fois précieux et angoissant.
Lilia poussa doucement la porte de l'arrière-boutique, un léger tintement de cloche résonnant dans l'air. Elle entra avec une grâce naturelle, ses yeux pétillants d'excitation.
"Reader, est-ce que tu veux apprendre à lire les lignes de la main ?" demanda-t-elle, sa voix douce et engageante.
Reader, plongée dans ses pensées, leva les yeux et sentit son cœur s'accélérer. "Oui, bien sûr, j'aimerais beaucoup ça," répondit-elle, un léger sourire sur les lèvres.
Alors qu'elles s'installaient, Lilia s'approcha un peu plus, leurs corps presque en contact. Reader pouvait sentir la chaleur émanant de Lilia, et une vague de nervosité l'envahit. Lilia prit délicatement la main de Reader, ses doigts effleurant la peau, et commença à tracer les lignes avec son propre doigt.
"Regarde ici," dit Lilia, son regard concentré sur la paume de Reader. "Cette ligne ici représente ta vie, et celle-là, tes émotions."
Reader, à ce moment précis, commença à trembler légèrement, ses mains trahissant son agitation intérieure. Lilia, remarquant le changement, leva les yeux, un mélange de curiosité et d'inquiétude sur son visage.
"Pourquoi trembles-tu ?" demanda-t-elle, sa voix empreinte de douceur.
Reader, prise au dépourvu, chercha une réponse. "Je… je ne sais pas," mentit-elle finalement, détournant le regard, la chaleur de la proximité de Lilia rendant la situation encore plus intense.
Lilia, toujours attentive, continua d'explorer les lignes de la main, mais une ombre de doute passa sur son visage. Reader se sentait piégée entre l'envie de se rapprocher et la peur de dévoiler ses véritables sentiments.
Lilia plongea son regard dans celui de Reader, ses yeux pétillants d'une compréhension silencieuse. Un sourire délicat se dessina sur ses lèvres, comme si elle pouvait percevoir la tension qui flottait dans l'air.
"Tu sembles nerveuse," dit-elle d'une voix douce, tout en frottant tendrement la main de Reader.
Reader, surprise par ce geste réconfortant, se sentit un peu plus à l'aise, mais l'angoisse persistait. "C'est juste… un peu nouveau pour moi," avoua-t-elle, sa voix à peine audible.
"Ne t'inquiète pas," répondit Lilia avec un sourire chaleureux. "Je vais te faire un thé, ça devrait t'aider à te détendre."
Elle se leva avec une légèreté gracieuse, un sourire satisfait aux lèvres, heureuse de ce qu'elle avait lu dans les lignes de la main de Reader.Lilia se dirigea vers la petite cuisine, ses mouvements fluides et naturels.
"Quel type de thé préfères-tu ?" demanda-t-elle en fouillant dans les placards, un éclat de malice dans les yeux. "Nous avons du thé vert, du thé noir, et même une infusion de camomille."
Reader, se sentant un peu plus détendue, répondit : "La camomille serait parfaite, merci."
"À tes ordres," dit Lilia en riant, ajoutant quelques feuilles de camomille dans une théière. Elle se retourna alors vers Reader, un sourire complice sur le visage.
Reader, touchée par l'attention de Lilia, ne pouvait s'empêcher de sourire à son tour, la chaleur de l'instant chassant peu à peu son anxiété.
11 notes
·
View notes
Text
bonne année 2024 ✨🫶🏼
je vous souhaite à tous de passer une année merveilleuse, remplie de joies rpgiques et irl. et surtout, parce que j’ai toujours considéré que c’était le plus important : une bonne santé physique et mentale 💜
en 2023, j’ai vu beaucoup trop de choses, irl comme sur les forums rpg, de la méchanceté gratuite, beaucoup trop de condescendance et de sentiment de supériorité, de l’harcèlement et des prises de tête inutiles. alors n’oubliez pas d’être gentil avec les autres en 2024, ça peut paraître naïf mais rien n’est jamais aussi vrai que ça. et si en face de vous, vous avez quelqu’un qui vous fait du mal : en 2024, on coupe les ponts 💫
alors j’ai fini 2023 et je commence 2024 en me questionnant énormément. après 4 ans (ou 5 je ne sais plus) à être non-stop sur les forums, hors vacances irl, je n’ai jamais pris de pause. je n’ai jamais remis un pied en dehors de ce monde rpgique. est-ce que mon envie ne s’est pas essoufflée ? mon inspiration aussi ? est-ce que ma vision idyllique que j’avais du rp, car je m’y suis remise en pleine dépression, ne s’évapore pas peu à peu pour une version beaucoup moins rose ? pendant des années, parce qu’irl j’étais malade, je me suis persuadée que le rpg était un cocon magique, une seconde peau dans laquelle j’étais bien. maintenant que je suis soignée (ou presque), que j’ai vu les limites de la magie rpgique, qu’elle ne fonctionne plus parce que j’ai pris conscience de bien trop de choses, est-ce que ce n’est pas le moment de me retirer, histoire de respirer enfin ? de sortir la tête de l’eau de l’océan du rp ?
j’sais pas pourquoi je déballe ça sur tumblr alors que je parle jamais, mais j’me dis que je ne dois pas être la seule à avoir cette réflexion. et que ça résonnera peut-être chez quelqu’un.
BREF, je vais continuer de grapher mais oublier un peu le rp en me mettant en absence sur les forums, puis je verrais bien ce qui en découle. rester pour tenter d’apprécier ce monde, ou partir pour revenir avec une vision neuve ⭐️
34 notes
·
View notes
Text
Oropher Dynasty
*Arthanïs et Evranï, histoire originale inventée.
OROPHER; Né durant les années des arbres, il fut l'un des Iathrim de la cour de Thingol et Melian. Il passa sa jeunesse à Doriath où il épousa Arthanïs, la mère de Thranduil. En 750 du second âge, il devient le roi du royaume des bois, le grand royaume des elfes sylvain de la forêt noir. Il perdit la vie durant la guerre de la dernière Alliance contre Sauron.
ARTHANÏS; Née durant les années des arbres, elle était l'une des dames de compagnie de la reine Maïa Melian à Doriath. Elle était connue pour ses savoirs en magie que lui avait transmis Melian. Elle épousa Oropher et eut une fils Thranduil. Elle perdit la vie pendant le saccage de Menegroth. Homonyme de Galadriel.
THRANDUIL; Né au cours du premier âge à Doriath, il est le fils d'Oropher et Arthanïs. Après la mort de son père, il devient roi du royaume des bois aux côtés de son épouse Evranï, avec qui il aura un fils Legolas. Son caractère se noircit au décès d'Evranï, il n'a d'ailleurs jamais vraiment surmonté sa perte.
EVRANÏ; Née peu de temps avant la chute de Gondolin, elle fait partie des rares survivants à s'être exilés aux bouches du Sirion. Elle abandonna les exilés et prit la route vers Doriath, peu avant sa chute. Elle y rencontra Thranduil qu'elle épousa. Elle devient à ses côtés, reine du royaume des bois et eut un fils, Legolas. Guerrière notable, elle perd la vie pendant une bataille à Gundabad.
LEGOLAS; Né durant le Second Âge, il est le fils de Thranduil et Evranï, prince du Royaume des bois. Il passe sa jeunesse avec Thranduil, attristé dès le plus jeune âge par la mort de sa mère, Evranï. Vêtu de vert et de marrons, il est un guerrier expert au maniement de l'arc, connu pour ses exploits durant la quête de l'anneau. A la fin de sa vie, il part pour Valinor en emmenant Gimli avec lui.
My OC x Création par Intelligence Artificielle.
#mirkwood#oropher#arthanïs#thranduil#evranï#legolas#sindar#doriath#gondolin#beleriand#first age#lord of the rings#lotr#lotredit#tolkien#valardynasty#tolkien oc#lotr oc#création par intelligence artificielle#tolkien fanfiction#the hobbit#middle earth#please do not copy my oc
15 notes
·
View notes
Text
Tu sais ce qui était beau ?… C’est que tout avec toi devenait une histoire, une parenthèse. Chaque instant se transformait en précieux souvenir, à accrocher la nuit au plafond de mes rêves. J’ai tant ri de te regarder rire que je te laissais être ce distributeur d’oubli cher à un très célèbre Humaniste, pour n’être qu’ici… pour n’être que dans l’instant que tu savais remplir, comme si tu connaissais les secrets de l’infini. Ce qui était beau, c’était ton regard incrusté de milliers d’étoiles lorsque tu me regardais… J’avais tout à coup la sensation d’être un phare, une île perdue sur laquelle tu avais envie de t’éveiller dans les premiers rayons de ta beauté. Depuis toi, je comprends les peintres, les écrivains et les poètes… ceux qui sculptent la pierre à la force de leur tendresse, pour faire renaître et graver la magie de tout ce qu’il est impossible d’oublier. Je comprends que cette force d’Amour puisse transcender un être, au point de vouloir remercier le ciel… la source de ce qui réinvente les mondes à chaque seconde… cet univers si vaste, souvent bien trop grand sur lequel on danse, comme des équilibristes filants sur l’existence. C’est beau quand tu es là pour habiter le temps, quand tes cheveux ondulent au gré du vent même les jours où il enrage… Tes paupières battent toujours comme les ailes de ces papillons blancs quand tu me regarde… C’est simple, le monde tout autour de nous s’efface et je suis comme un môme de te voir rayonner comme ça. Je m’abandonne, je me donne le droit de vivre et de profiter de toute cette magie qui ne se rattrape jamais… Mon cœur reste suspendu, allumé de toutes ses couleurs. Depuis Nous, j’ai appris à me laisse envahir de complétude… de ces bonheurs simples qui sont de loin les meilleurs. La vie me laisse ces images qui me reviennent en cascade. Je souris tous les jours devant mon café et jusque dans la glace… parce que je ne peux plus me voiler la face, je Sais. Dès la première seconde, je me suis senti appelé… je t’ai reconnu alors que je ne t’avais jamais vue. C’est mon âme qui s’est mise à t’aimer avant moi, alors que je n’avais rien demandé… Tu sais ce qui est beau… C’est que je sais aujourd’hui ce que c’est d’aimer pour rendre libre et ne rien vouloir posséder. Je veux te voir toujours comme aujourd’hui… radieuse comme à la lueur de ces bougies quand on se dit ce que nous sommes seuls à comprendre. Alors même si un jour le destin venait à nous séparer… je serai toujours le plus heureux des hommes… simplement parce que je sais déjà que ce sera Toi jusqu’à ma dernière seconde.
55 notes
·
View notes
Text
Douce Dame Jolie
Mon Secret Santa Kaamlott pour la charmante @zialinart :D
Sur AO3
Bonne lecture !!
La Reine avait seulement souhaité assister au festival de l’Imbolc en toute tranquillité, sans personne pour la pointer du doigt ou se mettre à dos l’espèce d’hystérique qui criait toujours « au bûcher » où que savait-elle d’autre ! Cela restait une fête Gaélique, et avec cette nouvelle religion qui prédominait au pays désormais, cela risquait d’être mal-vu si la Reine y était vue, aussi était-elle allée voir l’enchanteur de Kaamelott en toute discrétion, lui demandant s’il n’avait pas un sort, une potion ou autre chose qui pourrait l’aider. C’était apparemment son jour de chance, car Merlin venait de mettre la main sur un médaillon magique : il changerait la perception des gens qui voient la personne qui le porterait. En gros, elle serait méconnaissable aux yeux du monde sans avoir à se transformer. Afin de vérifier son efficacité, Guenièvre l’avait mit aussitôt autour de son cou et était sortie faire un aller-retour rapide. Elle avait croisé les sires Perceval et Karadoc, qui venaient demander un énième service à Merlin. Ils ne l’avaient pas reconnu, mais s’étaient montrés étonnamment courtois, acceptant de la laisser passer devant eux. Convaincue, la Reine avait remercié le magicien et gardé le bijou pour le festival du 1er février.
Guenièvre avait espéré que les offrandes faites ce soir-là l’aideraient à avoir enfin un enfant, puis elle avait voulu profiter du moment. Elle n’avait pas pu danser ou apprécier de ces airs musicaux depuis des années, Guenièvre s’était donc laissée entraîner. Et c’est là qu’elle l’avait croisé.
Arthur. Son mari. Qui avait marché droit vers elle.
…Guenièvre aurait peut-être dû réaliser que l’avis de Messires Perceval et Karadoc n’était pas des plus fiables !
C’est ce qu’elle s’était dit en voyant Arthur s’approcher d’elle, mais à son grand étonnement, il l’avait invité à danser. A la manière qu’il avait eu de s’adresser à elle, Guenièvre compris vite qu’il ne l’avait pas reconnu. Comme Merlin lui avait dit, la magie du médaillon l’avait empêché de la reconnaître.
Et ce fut comme un rêve, à la fois merveilleux et confus.
Qu’Arthur avait été charmant, qu’elle avait été touchée par de tels égards, cette délicatesse et ce regard tendre ! Guenièvre pouvait enfin mieux comprendre pourquoi tant de jeunes femmes avaient été séduites ! Cependant, une chose demeurait inexplicable : son apparence n’était pas censée être si différente de l’originale. Guenièvre ne s’était pas transformée en beauté Latine, comme le Roi les aimait, alors pourquoi ?
Pourquoi ?...
--------------------------------------------------------------
Ce n’était pas la première fois qu’Arthur tombait sous le charme du regard d’une jolie dame, et il avait été plus d’une fois déçu de l’aboutissement de ces relations. Et pourtant, il ne pouvait s’empêcher d’espérer. Une partie de lui-même le réprimandait, lui reprochant de ne pas retenir la leçon, mais il l’ignora. Cette femme était différente de celles qui lui avaient tapé dans l’œil jusqu’alors. Elle ne ressemblait à aucune de ses maîtresses, que ce soit le type « Latin » ou le type de silhouette qui l’attirait le plus souvent.
Et ce n’était pas que physique. Lorsque leurs regards s’étaient croisés ce soir-là, ce n’était pas son corps qui avait frissonné, mais son cœur et peut-être même - oserait-il le dire – son âme. C’était comme s’il avait retrouvé quelque chose qu’il avait perdu. Une conviction profonde que cette femme, il l’aimait, et qu’elle l’aimait en retour. Même s’ils ne s’étaient croisés de manière fortuite que quelques fois depuis le mois de février. Après tout, bien des histoires d’amour affirment qu’il suffit d’un regard, au bon moment, au bon endroit, pour que deux êtres sachent qu’ils s’étaient trouvés.
Un bruissement attira son attention, et la Dame apparut. Elle lui sourit timidement, comme toujours, et s’avança vers lui.
“Vous êtes là.“ dit-elle simplement. “Je suis heureuse de vous revoir.“
Une grande douceur se dégageait d’elle et la grâce irradiait dans chacun de ses mouvements. Dans ces moments-là, Arthur trouvait qu’elle avait quelque chose d’irréel, comme si elle allait s’évaporer s’il l’effleurait. Mais il avait bien constaté, au cours de leurs discussions et promenades, qu’elle était bien humaine. Une légère maladresse, ses questions parfois insolites, sa façon de jouer avec le médaillon qu’elle portait lorsqu’elle était nerveuse ou gênée… Cela ne faisait que la rendre plus charmante. Elle était douce et candide, mais elle possédait également un sens de l’observation surprenant et quelques idées audacieuses.
“Je suis heureux de vous revoir aussi.“ lui sourit-il en retour.
Arthur se décala pour lui permettre de s’assoir à ses côtés, ce qu’elle fit avec un empressement qui lui fit chaud au cœur.
Même si leur discussion du jour resta relativement triviale, Arthur souhaita que cet instant dure éternellement. Sa Douce essayait d’écrire un poème, ou une chanson, et bien qu’elle mette du cœur à l’ouvrage, sa prose laissait à désirer ! La chanson « Douce Dame Jolie » semblait avoir été écrite pour elle, il regrettait ne pas l’avoir écrite et composée lui-même pour la lui offrir. Enfin, aurait-il été plus apte à l’aider ! Les deux rirent ensemble de leurs diverses tentatives, car Arthur lui-même ne trouvait pas toujours le mot juste. En revanche, leurs voix s’accordaient très bien.
Peut-être était-ce une douce illusion, mais Arthur avait l’impression, une fois encore, qu’il avait trouvé son âme sœur.
“Vous reverrai-je bientôt ?“ demanda-t-il alors qu’il s’apprêtait à rentrer, espérant qu’elle le retiendrait.
“Je l’espère !“
Si cela avait été quelqu’un d’autre, le Roi aurait douté de la sincérité de ces trois mots. Mais pas avec elle. L’émotion dans sa voix et ses yeux ne mentaient pas.
“Et votre nom ?“
Le visage de la douce dame s’imprégna de tristesse, elle regarda au loin un instant avant de secouer la tête. Il fut surpris de voir une pointe d’espièglerie dans son expression avant qu’elle ne dise :
“Anam Cara.“
Après cette déclaration, elle s’approcha de lui et déposa un baiser au coin de ses lèvres avant de filer. Arthur n’aurait pas pu lui courir après, de toute façon, il était complètement envoûté. Arthur avait enfin un nom, un indice.
Anam Cara.
-------------------------------------------------------------------
Les yeux de Guenièvre se remplirent des larmes alors qu’elle observait le médaillon entre ses mains. Elle caressa du pouce le petit âne au centre de la roue en se demandant, une nouvelle fois, si elle ne devrait pas s’arrêter là. Elle se faisait du mal.
Arthur était tellement plus chaleureux et patient avec elle quand elle portait ce médaillon, elle souhaitait de tout cœur que les choses soient toujours ainsi. C’étaient comme de doux rêves, mais le réveil devenait de plus en plus rude. A chaque repas partagé, les soirs où son époux venait la rejoindre dans leur couche, sa froideur et son exaspération la frappaient plus violemment qu’auparavant. Guenièvre et l’inconnue était une seule et même personne ! Elle n’agissait pas différemment avec ce médaillon, elle restait fidèle à elle-même ! Il semblait qu’Arthur lui en voulait pour quelque chose, qu’il ne lui avait pas pardonné et qu’il lui faisait continuellement payer… Mais quoi ?! Qu’avait-elle fait pour mériter un tel traitement ? Pourquoi Arthur méprisait-il « Guenièvre » mais adorait « l’inconnue » ?
La Reine essuya ses larmes d’un revers de main avec un soupir. Il était de toute façon impossible de revenir en arrière. Elle pouvait encore changer le cours de choses avant que cela ne dérape, mais… Guenièvre voulait profiter encore un peu de ces quelques doux échanges avec son époux. Ses yeux se posèrent sur le poème qu’elle tentait d’écrire et son cœur se serra à nouveau. Guenièvre aurait tant donné pour que son époux soit à ses côtés, pour l’aider comme il l’avait fait quelques jours plus tôt ! Alors qu’un énième soupir lui échappait des lèvres, elle entendit un reniflement dans son dos.
“C’est magnifique, Majesté !“ sanglota Bohort.
Guenièvre poussa un petit cri en se retournant, faisant sursauter et crier le chevalier en même temps.
“Seigneur Bohort ! Vous m’avez fait peur !“
“Pardonnez-moi, ma Reine, mais vous ne répondiez pas à mon appel ! Aussi me suis-je permis d’entrer !“
“Et de lire par-dessus mon épaule ?“ Guenièvre grommela dans sa barbe en se couchant à moitié sur son pupitre, pour cacher son travail inachevé. “Vous êtes bien gentil, mais à quoi bon me flatter comme ça ! Je ne suis vraiment pas douée…“
“Permettez, votre Altesse ! Je ne fais que dire la vérité !“ Bohort semblait presque offusqué qu’elle pense autrement. “Les derniers vers ont certes besoin d’être un peu retravaillés pour rimer, mais les sentiments qu’ils dégagent n’en sont pas amoindri dans l’émotion qu’ils dégagent !“
Guenièvre cligna des yeux, surprise.
“Vous trouvez ?“ demanda-t-elle, hésitante.
“Oh oui !“ sourit le chevalier, les mains jointes sur son cœur. “Je peux sentir tout l’amour et la langueur dans les mots que vous avez écrit !“
La Reine se redressa doucement pour jeter un coup d’œil à son ébauche. Elle pouvait croire le Seigneur Bohort, mais d’un autre côté, ce dernier avait toujours été très… sensible. Guenièvre n’était pas sure que tous en dirait autant.
“Serait-ce votre cadeau pour le Roi Arthur ?“ le sourire de Bohort s’élargit. “ Il est vrai que son anniversaire est le mois prochain !“
Guenièvre sentit la gêne l’envahir, elle avait failli oublié l’anniversaire de son époux ! Elle avait été tellement déçue les fois où son anniversaire à elle avait été oublié par ce dernier, elle ne pouvait pas se permettre de faire pareil !
“A vrai dire, non.“ Avoua-t-elle, jouant nerveusement avec sa longue tresse. “Mais j’essayais… j’espérais pouvoir lui dire d’une jolie façon ce que je ressentais pour lui.“
Elle n’osa pas regarder Bohort dans les yeux, aussi fut-elle surprise quand ce dernier lui proposa de l’aider.
--------------------------------------------------------------
“Votre Altesse ?“
Arthur détourna son attention de Perceval, ravi d’avoir un léger répit au cours de longues explications (oui Perceval, les frondes jettent des cailloux, mais non, elles ne peuvent pas remplacer les catapultes !!). C’était Calogrenant.
“J’ai entendu dire que vous étiez à la recherche de quelqu’un ?“ lui demanda le Calédonien. “C’est urgent ?“
“Urgent non, important, pour moi personnellement. Rien de grave.“ précisa le Roi. “Pourquoi cette question ?“
“Ah, parce que j’avais cru entendre que le nom était Anam Cara.“ Calogrenant haussa les épaules. “Et si c’était le cas…“
“Vous la connaissez ?“ Arthur bondit de son siège. Les deux chevaliers sursautèrent et le regardèrent d’un air perplexe.
Calogrenant sembla plus que gêné, laissant un long « heuu… » résonner dans la pièce avant de reprendre.
“Navré, Sire. Mais Anam Cara n’est pas un nom.“ révéla-t-il, ce qui glaça le sang d’Arthur. “C’est du Gaélique ancien, ça veut dire âme sœur.“
Les jambes du Roi allait se dérober, de désespoir et de trahison, quand la voix de Perceval transperça, tel un rayon de soleil, la brume qui commençait à envahir son esprit.
“C’est joli ! ça veut donc dire qu’elle vous aime comme un frère de toute son âme, Sire !“
Perceval ne savait évidemment pas ce que signifiait le terme « âme sœur », mais la vérité de ses paroles réchauffèrent le cœur du Roi.
Son âme sœur.
Il aurait dû rire, ou s’énerver… Alors pourquoi ce sentiment d’euphorie ? Arthur sentit presque des ailes lui pousser alors qu’il laissait derrière lui les deux chevaliers, ne remarquant pas leur regard interloqué en l’entendant fredonner « Je vivroie liement ».
Alors qu’il se dirigeait vers le jardin, il croisa sa femme. Sans réfléchir, Arthur lui saisit la main et la fit tournoyer joyeusement. L’expression d’agréable surprise sur le visage de Guenièvre l’amusa, il lui offrit un dernier sourire avant de partir.
“A ce soir, mon amie.“
----------------------------------------------------------------
“Moi aussi, je vous aime.“
La Dame tressaillit, puis un frisson lui parcourut tout le corps. Elle porta une main à ses lèvres et recula d’un pas.
“Mais vous… pourquoi ?!“
Arthur perdit son sourire. Ce n’était pas du tout la réaction à laquelle il s’était attendu.
“Je ne peux pas le croire !“ s’écria-t-elle en secouant la tête. “Comment pouvez-vous m’aimer ?“
“Comment ?“ souffla-t-il, perdu. “Mais il n’y a pas de raison particulièrement logique ! Et pourquoi ne pourrais-je pas vous aimer ?“
“Parce que je suis mariée ! Tout comme vous l’êtes ! Mais si vous, vous pouvez vous permettre de collectionner les conquêtes, pour moi, une seule amourette avec un autre est vu comme une trahison aux yeux de tous!“ vitupéra-t-elle, le pointant du doigt rageusement. “Et votre femme ? Avez-vous jamais pensé à ce qu’elle pouvait ressentir ?! Et si elle, elle voulait aller voir ailleurs, vous accepteriez de la laisser faire?“
En entendant le mot « mariée », il avait cru sentir le sol se dérober sous ses pieds, cette éternelle blessure le relança. Pourtant, les paroles suivantes le figèrent d’une plus grande stupeur.
“La seule raison pour laquelle vous me courtisez avec tant de passion, c’est parce que je ne suis pas Guenièvre ! Vous êtes exactement comme mon mari !“ continua-t-elle, ses yeux se remplissant de larmes. “ Du moment que ce n’est pas votre femme, elles méritent votre admiration et elles y passent toutes ! Je suis sure que vous ne savez rien d’elle ! Vous vous en fichez d’elle, mais elle doit bien rester sagement à sa place ! Comme si j’étais… comme si elle était une chaise ! Vous passez votre temps à vous languir dans votre coin, à jouer les bourreaux de cœurs pour vous consolez, ou vous prouvez à vous-même quelque chose ou je ne sais quoi ! Mais nous ne sommes pas des meubles à la con ! Nous aussi, on a le droit d’être respectées, d’êtres aimées pour qui on est vraiment !“
Son visage, habituellement si blanc, était à présent rouge et inondé de larmes. Elle s’arrêta, tentant de reprendre son souffle. Arthur tendit la main vers elle, souhaitant sécher ses pleurs, la rassurer… mais elle se retourna et prit ses jambes à son cou.
“Attendez !“ s’écria-t-il.
Il ne voulait pas la perdre ! Aussi confus et blessé soit-il par ses paroles lancinantes. Arthur s’élança à sa suite, mais elle avait disparu. Elle n’avait pas pu aller bien loin, peut-être s’était-elle cachée parmi les bosquets… Un reniflement attira son attention et il se hâte dans sa direction. Il cru reconnaître la silhouette de la jeune femme, et écarta les branches sur sa route. Arthur s’apprêtait à l’appeler quand il réalisa qui se cachait là.
Guenièvre. Son épouse.
Elle releva les yeux vers lui et fronça les sourcils. D’un air digne qu’il ne lui connaissait pas, elle se redressa.
“Ce soir, vous dormirez chez l’une de vos maîtresses.“ déclara-t-elle sèchement, le faisant tressaillir.
Après l’avoir foudroyé du regard une dernière fois, Guenièvre passa à côté de lui et se dirigea vers le château. Sans comprendre pourquoi, ni ce qu’il attendait, Arthur la regarda partir.
Pas une seule fois elle se retourna.
---------------------------------------------------------
Dire que le Roi était de mauvaise humeur au cours de la matinée et du déjeuner aurait été un euphémisme. Avec ce qu’il s’était passé la veille, il avait très mal dormi, et lorsque la Dame du Lac lui était apparu en pleine nuit lors de sa promenade nocturne, c’était pour lui lancer des piques incompréhensibles.
“Vous êtes tellement préoccupé à rêver d’un lointain, vieux lac asséché que vous ne voyez pas celui qui est à deux pas de vous, magnifique et clair ! Pire, vous vous jetez sur les premières gourdes venues pour étancher votre soif !“
Arthur maugréa dans sa barbe avant de passer ses nerfs sur sa nourriture. Il leva les yeux vers sa femme, mais dès que leur regard se croisèrent, Guenièvre détourna la tête pour se resservir. Elle le battait encore froid, ce qui n’avait aucun sens non plus. Elle n’avait jamais fait de scènes au sujet de ses maîtresses auparavant !
“Aujourd’hui, j’ai fait de la tarte !“ annonça Séli, le tirant effroyablement de ses réflexions.
“Oh non ! Mais qu’est-ce qu’on vous a fait ?!“ rouspéta Léodagan.
“La barbe !“ répliqua-t-elle avec un regard noir pour son mari. “C’est Guenièvre qui m’en a demandé une ! Je ne pouvais pas refuser ça à ma fille !“
Arthur, Léodagan et Yvain tournèrent la tête en même temps vers la dénommée, plus abasourdis les uns que les autres. Guenièvre les ignora tandis que Séli présentait fièrement l’abomination qu’elle appelait « une tarte ».
“Elle a l’air très réussie, Mère !“ sourit la Reine, apparemment ravie. “Quels fruits avez-vous choisi, cette fois ?“
“Je voulais en faire une aux fraises, mais comme ce n’est pas la saison, j’ai fait un mélange de fruits !“
“Mais c’est un cauchemar !“ marmonna Léodagan, peu discret. “Ma fille, si vous vouliez une tarte de votre mère, c’est votre droit, mais vous n’étiez pas obligée de la partager avec nous !“
“Oh, mais je ne compte pas la partager !“ tous regardèrent Guenièvre interloqués, celle-ci saisit le plat et le tendit à Arthur. “C’est une petite attention pour mon mari !“
Il y eu comme un flottement dans la salle, Arthur fixa longuement la tarte en silence avant de relever les yeux sur son épouse.
“Vous m’en voulez à ce point ?“ finit-il par demander.
La question eut à peine franchi ses lèvres qu’il se prit la tarte en pleine figure.
“OUI !“
Guenièvre quitta la table et sortit en claquant la porte derrière elle. Lorsqu’Arthur réussit à retirer suffisamment de mélasse de ses yeux, le visage à la fois dépité et choqué de sa belle-mère ainsi que la tête de con (pour changer) que faisait Yvain lui apparurent. Il préféra ne rien dire et continua de se nettoyer le visage, il en oublia presque son beau-père, qui frappa dans ses mains avec un air ému.
“C’est ma fifille !“
D’un côté, Guenièvre savait qu’elle était déraisonnable, mais d’un autre, elle estimait qu’elle avait assez pris dans la figure. C’était bien son droit de lui en coller en retour, non ?
--------------------------------------------------------
“Marre d’encaisser sa mauvaise humeur et ses railleries, pendant que d’autres profitent de ses mots doux !“ grogna-t-elle en enroulant les parchemins de ses ébauches de poèmes. “C’est ça être une épouse ? Tous les mauvais côté du mari, ses crises, sa mauvaise odeur et tout le bataclan c’est pour ma pomme, et pour les maîtresses, c’est le beurre, l’argent du beurre et le sourire du crémier ? Ha ! Si j’avais su, j’aurais dit à mon père qu’il pouvait se brosser pour le mariage ! S’il y tenait tant, il n’avait qu’à l’épouser lui-même ! Non mais ho ! Pourquoi c’est à moi de gérer ces conneries ?!“
Elle termina sa pile par le poème qu’elle avait réussi à écrire avec l’aide d’Arthur et Bohort. La Reine saisit la boîte dans laquelle elle avait laissé le médaillon et se rendit d’un pas rageur au laboratoire de Merlin. Avec humeur, elle lui rendit le bijou et laissa la pile de parchemin sur son plan de travail, le remerciant plus sèchement qu’elle n’aurait voulu le faire. Ne voulant pas s’attarder plus que nécessaire, Guenièvre tourna les talons promptement et sortit.
“Mais qu’est-ce que voulez que je fasse de tout ça ?!“ cria l’enchanteur en désignant les parchemins alors qu’elle s’apprêtait à fermer la porte derrière elle.
“Donnez-les à manger aux chèvres ou mettez-les au feu ! Qu’est-ce que ça peut faire ?!“ rétorqua-t-elle. “Ce sera toujours mieux que de voir mon mari se torcher avec !!“
Elle entendit un vague « hein ?? » avant le claquement de la porte. Guenièvre pouvait déjà sentir la honte monter en elle, elle se sentait coupable de se défouler sur le pauvre Merlin qui lui avait pourtant rendu service. Toutefois, ces sentiments s’évaporèrent à la vue du Roi. Ce dernier la regardait d’un air qu’elle ne pouvait décrire, et qu’elle ne souhaitait de toute façon pas décrypter dans l’immédiat. Qu’il soit surpris, contrarié ou autre, elle s’en moquait éperdument ! Avec un mouvement de tête qu’elle avait vu sa mère faire de nombreuses fois, Guenièvre passa à côté de lui avec un « humpf ! » bien placé.
“Vous n’avez vraiment rien à me dire ?“
“Je ne crois pas, non.“
Guenièvre sursauta quand la main d’Arthur l’agrippa, la retenant avec force.
“Je peux savoir quelle mouche vous a piqué ?“
Oh ! Le mufle !!
“La mouche j’en-ai-marre-d’être-prise-pour-une-conne-maintenant-fichez-moi-la-paix !“ rétorqua-t-elle en essayant de se défaire de son emprise. “Ah, et au fait !“ Guenièvre rassembla toute sa hargne pour imiter du mieux qu’elle le pouvait sa mère lorsque celle-ci remettait son père à sa place, puis elle déclara : “Inutile de revenir dans ma couche cette semaine. Faites-moi de l’air !“
“Pardon ?!“ l’air atterré d’Arthur l’aurait fait rire dans d’autre circonstances, mais là, elle se délectait de lui avoir couper le sifflet. “Mais vous ne pouvez pas faire ça ! Vous allez verrouiller la porte de la chambre aussi, pendant que vous y êtes ?!“
“Maintenant que vous le dites…“
“Hé, dites !“ les interrompis Merlin d’un ton impatient. “Si vous pouviez me laisser en dehors de vos disputes de couple ! Et puis mon laboratoire n’est pas un dépotoir, alors reprenez-moi tout ça, j’vous prie !“
Guenièvre écarquilla les yeux avec horreur alors que l’enchanteur lui repassait tous les parchemins. L’un de ses poignets étant toujours serré dans la main de son époux, une partie d’entre eux lui échappèrent et tombèrent par terre, se déroulant au passage. Réussissant enfin à se dégager, elle se dépêcha de les ramasser. Mais sa hâte la rendait fébrile, ses mains tremblaient, ce qui ne l’aida pas dans sa tâche. Elle était tellement concentrée et affolée qu’elle n’entendait plus rien, elle voulait juste récupérer ces fichus peaux d’ânes sans qu’Arthur ne découvre ce qu’elle y avait écrit.
Ce n’est quand se redressant que Guenièvre réalisa qu’il était trop tard.
--------------------------------------------------------------
Arthur avait attrapé au vol le premier parchemin qui avait volé vers lui, ne souhaitant pas se reprendre quoique ce soit de plus dans la figure aujourd’hui. Et en voyant sa femme s’activer pour tout ramasser, sa curiosité fut piquée. Guenièvre lui avait collé une tarte au déjeuner, au sens littéral du terme, il pouvait bien se permettre d’être curieux, non ?
Son sang ne fit qu’un tour en reconnaissant les mots inscrits.
Pourquoi ? Comment sa femme pouvait-elle… ?
Le poème avait deux strophes qu’il ne connaissait pas, mais c’était celui de sa Dame !
Arthur observa un instant Guenièvre, qui essayait tant bien que mal de rassembler les autres morceaux de vélin, puis se tourna vers Merlin. Il l’interpela et lui demanda ce qu’il se passait.
“A vous de me le dire !“ lui répondit-il en haussant les épaules. “Votre femme vient me rendre un médaillon que je lui avais prêté pour qu’elle puisse circuler incognito, et elle me refile tout son bazar au passage !“
“Quel médaillon ? Et puis pourquoi pour « circuler incognito » ?!“
“Un médaillon de métamorphose, elle voulait aller au festival de l’Imbolc sans être reconnue.“
C’était comme recevoir la réponse d’une énigme que l’on essayait de résoudre depuis des lustres. D’abord la stupéfaction, puis tout se met en place et la logique, l’évidence nous saute aux yeux et on se sent très con.
Arthur regarda Guenièvre et eut l’impression de la voir pour la première fois. Quand il plongea ses yeux dans les siens, il se demanda comment il n’avait pas pu la reconnaître. Ou plutôt : comment la douceur de son regard et sa beauté lui avaient-elles échappées pendant toutes ses années ?
“Vous êtes tellement préoccupé à rêver d’un lointain, vieux lac asséché que vous ne voyez pas celui qui est à deux pas de vous, magnifique et clair !
Les paroles de la Dame du Lac prenaient tout leur sens à présent, aussi vexantes soient-elles.
“C’était vous !“
Avant qu’il ne puisse dire ou faire autre chose, Guenièvre souleva les pas de sa robe et détala. Pendant quelques secondes, Arthur revit Aconia puis l’inconnue partir semblablement.
“AH NON ! PAS CETTE FOIS !!“ cria-t-il en s’élançant à sa poursuite.
----------------------------------------------------
“Bon, ben moi je retourne bosser.“ marmonna Merlin en faisant demi-tour, reconnaissant d’être resté célibataire.
Les histoires de couples, ce n’était vraiment pas son truc !
-------------------------------------------------
Pour quelqu’un qui n’avait aucun entraînement et qui se trimballait avec une tenue aussi lourde et encombrante, Guenièvre courrait fichtrement vite ! Et elle n’arrêtait pas de zigzaguer et tourner autour de tout ce qui se trouvait sur leur chemin : arbre, buisson, rocher… Arthur peinait à la suivre.
“Mais arrêtez-vous !“ lui cria-t-il. “Je n’vais pas vous manger !!“
“C’est ce que vous dites !“ s’exclama-t-elle en retour, jetant un bref coup d’œil en sa direction.
Presque à bout de souffle, Arthur décida de tenter le tout pour le tout. Il accéléra et se jeta sur elle, la saisissant à la taille. Guenièvre glapit en perdant l’équilibre et les deux tombèrent, emportés par l’élan qu’il avait pris, ils roulèrent quelques instants. Allongés sur le côté, Arthur tenant sa femme par la taille et refusant de la lâcher, ils reprirent tant bien que mal leur souffle.
“Pourquoi vous ne m’avez rien dit ?“ au point où ils en étaient, autant poser la question maintenant !
“Pourquoi ? A votre avis ?“ souffla Guenièvre, les yeux embués de larmes. “Vous ne cessez de me traiter comme une casse-pied ! Alors pour une fois que vous étiez courtois envers moi, je voulais profiter du moment ! Et vous avez commencé à sortir le grand jeu, espèce de bourreau des cœurs ! Evidemment que je ne voulais pas que tout s’arrête trop vite !“
La honte envahit Arthur, il ne pouvait même pas la contredire. Ce serait mentir.
“Et vous, pourquoi vous me détestez autant ? Qu’est-ce que je vous ai fait ?“
“Je ne vous déteste pas ! Jamais ! C’est juste que… c’est compliqué.“ soupira Arthur. “J’ai été stupide et aveugle, et j’ai passé ma colère sur vous parce que notre mariage a… disons « contribué » à perdre une femme que j’ai aimé, qui me hante encore à ce jour.“
“Et c’était plus simple de vous défouler sur moi que sur mon père, j’imagine.“ fit remarquer Guenièvre, un peu sèchement. “Ce sont mes parents qui ont exigé ce mariage, pas moi. J’ai juste eu de la chance de ne pas avoir d’amoureux quand c’est arrivé. Ni vous, ni mes propres parents ne m’ont laissé une chance. Que ce soit en tant qu’épouse ou que Reine, vous n’attendez rien de moi, je suis juste reléguée à rester dans un coin bien gentiment et faire la potiche.“
“C’est vrai. Vous avez raison.“ Arthur regarda une nouvelle fois son épouse dans les yeux, doucement, il porta une main à son visage et lui caressa le visage. “Je suis sincèrement désolé.“
“Je sais que je ne suis pas très brillante, mais… Est-ce que ça vous écorcherait d’être un peu plus gentil et patient avec moi ?“
“Euh, à ce sujet, pour ma défense, je me dois de préciser que j’ai affaires à des abrutis qui m’assomment avec leurs questions. Donc ce n’est pas qu’avec vous qu’il m’arrive d’être cinglant.“
“Pourquoi ne me laissez-vous pas vous aider alors ?“ demanda-t-elle. “Si cela ne peut vous soulagez ne serait-ce qu’un peu, je pourrais apprendre à gérer certaines affaires !“
Un court silence suivit cette affirmation. Arthur voulait bien donner une chance à Guenièvre, elle faisait preuve de bonne volonté et il avait découvert qu’avec de la patience et des encouragements, elle était bien plus ingénieuse qu’il ne l’avait cru. Elle serait bien capable de remplir son rôle de Reine. D’un autre côté, elle était inexpérimentée et vulnérable, certains ne feraient qu’une bouchée d’elle !
“Peut-être… peut-être que vous pourriez vous occuper de la prochaine séance de doléances avec les Seigneurs Lancelot et Bohort.“ proposa-t-il, ainsi elle serait bien accompagnée et protégée. “Si cela vous va-“
“Oui ! Je vous en prie !“
Guenièvre s’était redressée en joignant ses deux main, comme pour prier, et le regardait d’un air suppliant. Il pouvait difficilement lui refuser quoique ce soit ainsi.
“Très bien, accordé.“ Arthur se redressa à son tour, et fronça légèrement les sourcils. “Comment on en est venu à parler de ça, au fait ?“
Les deux se regardèrent en silence. Chacun remarqua dans quel état son conjoint se trouvait : couvert de terre, traces d’herbe ; les cheveux en pagaille et empli de brindilles. Guenièvre eut un rire bref avant de retirer une branche de la chevelure de son mari.
“Je vous aime, Arthur.“ affirma-t-elle. “Je ne pourrais jamais remplacer celle que vous avez perdu, et j’en suis désolée. Mais peut-être pourrions-nous… être au moins bons amis ?“
L’émotion serra le cœur d’Arthur, un peu plus, et les larmes lui seraient montés aux yeux.
“Je ne veux pas vous faire de fausse promesse.“ avoua-t-il. “Mais aussi bizarre que cela puisse paraître, votre médaillon à lever le voile devant mes yeux lorsque je vous regardais. Il me faudra peut-être encore un peu de temps, mais je crois… Non, je sais que je pourrais vous aimer en retour.“
Malgré ce qu’il venait d’affirmer, ces mots furent comme un pacte. Un pacte qu’il scellèrent d’un baiser.
---------------------------------------------------------------
“Je vous dis que le futur héritier est en route, cette fois-ci ! Vous avez bien vu dans quel état ils sont rentrés tous les deux ! Si ce n’est pas dû à des galipettes dans l’herbe, je veux bien être changée en chèvre !!“
“Chèvre ou pas, passez-moi la prochaine fournée ! Il faut que tout soit prêt pour demain matin !“
“Mais ça va ! Et pourquoi voulez-vous autant de tartes pour demain matin ? On va y passer la nuit !“
“Guenièvre participe à la séance de doléances, il faut qu’elle ait de quoi lancer sur les gros pécores qu’elle va recevoir !“
“………mais c’est moi qui vais vous en coller des tartes !! PIGNOUF !!!“
27 notes
·
View notes
Text
J'ai deux très chouettes annonces aujourd'hui ! La première est que je signe avec les éditions Six pieds sous terre pour une bande dessinée, Adieu mon royaume, qui sera un recueil d'histoires courtes enchassées, qui se déroulent toutes dans le même royaume où la magie est interdite.
I have two very cool announcements to make today! The first one is that I'm signing a book deal with Six pieds sous terre for a comic called Adieu mon royaume (Farewell My Kingdom), a collection of embedded short stories that all take place in the same kingdom where magic is forbidden.
La deuxième, je signe également avec les éditions Sarbacane pour une bande dessinée appelée Le dernier train. Je serai au scénario, et mon amie Jeanne Sterkers sera au dessin. Il s'agit d’une histoire de retrouvailles entre deux femmes quinquagénaires séparées à l'adolescence, dans un petit village de montagne. L'une est partie, l'autre est restée. Alors qu'elles renouent une relation, des secrets de famille, des espoirs déçus, et les vraies circonstances de leur séparation font surface.
The second one, I am also signing a book deal with Sarbacane for a comic called Le dernier train (The Last Train). I'll be the scriptwriter, and my friend Jeanne Sterkers will be the artist. It's the story of a reunion between two women in their fifties, separated as teenagers, in their small mountain village. One of them left, the other stayed. As they reconnect, some family secrets, disappointed hopes, and the real circumstances of their separation all begin to emerge.
136 notes
·
View notes
Text
0️⃣ La lettre d’infO (la quotidienne annécienne) 🤍
Sélection journalière à destination de 12 réseaux sociaux et de 3 messageries instantanées en provenance directe de la version 3 de mon infolettre 📧
1️⃣ Les Journées (j’adOre) 💛
Aujourd’hui, vendredi 25/10/24, Journée européenne de la justice ⚖️ Journée internationale des artistes (depuis 2004) 🎨 Journée internationale du nanisme (depuis 2013) 👌 Journée mondiale des pâtes (depuis 1995) 🍝 et Journée mondiale du spina bifida et de l'hydrocéphalie (depuis 2011) 🙏
2️⃣ L’actu (point trop n’en faut) 🧡
Annecy : deux personnes qui circulaient à trottinette ont été blessées hier à l'angle de la rue Carnot et du boulevard du lycée dans une collision avec une voiture 🛴
Savoie : le barrage du lac Blanc, situé à plus de 2.400m d'altitude dans le massif des Sybelles, va être détruit. Des fuites ont été constatées ces dernières semaines. Par précaution, des travaux ont été pris en urgence et une partie de la structure va être détruite d'ici fin octobre 🚧
Avant-dernier jour❗️Tout feu, tout femme du 21 au samedi 26/10/24 : ce festival met les femmes à l'honneur. Découvrez le parcours de Femmes et profitez d'animations, d'ateliers, de rencontres, de conférences (Les Carrés, 43 avenue des Carrés) 👩
3️⃣ L’agenda (l’agendalp pour les ancien·nes) ��
🧺 Un marché le ven. matin à Annecy ➡️ Marché de la vieille ville 📍 Rue Sainte Claire ⌚️ 7h-13h ℹ️ Au cœur des vieux quartiers, flânez entre les étales du marché le plus typique : les produits du terroir sur le marché alimentaire mais également les produits textiles et manufacturés 🍴
🖼️ Avant-dernière semaine❗️ExpO : Joël Burger ➡️ À travers son art, l’artiste invite le spectateur à plonger dans un univers onirique et poétique, où chaque toile raconte une histoire et suscite une émotion ℹ️ Jusqu’au mer. 30/10/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 8h30-12h & 13h30-17h 📍 Mairie déléguée d'Annecy-le-Vieux (place Gabriel Fauré) 👨🎨
🖼️ ExpO de l'association Artistique de Meythet ➡️ Exposition de dessins et de peintures ℹ️ Jusqu’au lun. 11/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 8h30-12h & 13h30-17h 📍 Mairie déléguée de Meythet (rue de l'Hôtel de Ville) 🎨
🖼️ ExpO : Portraits de Martine Richard, une artiste pour qui la peinture est une véritable évasion ➡️ Passionnée par la magie de l'aquarelle, elle explore la fusion des couleurs et de l'eau, créant des œuvres où l'émotion guide chaque coup de pinceau ℹ️ Jusqu’au sam. 09/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 9h-12h & 14h-19h 📍 Le Mikado Novel (2 place de l'Annapurna) 👩🎨
🧒Les secrets du Palais de l'Île ➡️ Visite pour enfant à partir de 8 ans, accompagné d’au moins un adulte (activité en autonomie) ℹ️ Carnet illustré à demander à l’accueil 🎫 4€, 2€ & 0€ (-12 ans) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h 📍 Palais de l’Île (3 passage de l'Île) 🏛️
☕ Coup de cœur annécien : un lieu d’accueil et d’échange ouvert quatre fois par semaine et géré par des bénévoles ℹ️ Boissons sans alcool, livres, jeux (après-midi jeux de société) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h30-16h30 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché, vieille ville) 😍
🖼️ ExpO collective : I say hi, You say low, You say why, I say I don’t know ➡️ Peintures, installations, vidéos et performances ℹ️ Jusqu’au mar. 03/12/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h 📍 Le Mikado Espace d'art contemporain (place des Rhododendrons) 😍
🖼️ ExpO : Rouge ➡️ Le travail de Marcel Savy oscille entre le figuratif et une abstraction guidée, lui permettant d’aller à l’essentiel tout en laissant place au rêve dans ses toiles ℹ️ Jusqu’au sam. 16/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-18h45 📍 Artekné (Centre Bonlieu) 👨🎨
🧒 Vacances d’automne ou de la Toussaint ➡️ Fabrique ta lanterne d’Halloween ℹ️ À partir de 5 ans 🎫 10€ (adu.) & 6€ (enf.) 🎟️ Sans réservation 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h30-12h & 14h-17h (animation et visite) 📍 Château de Montrottier (Lovagny) 🏰
🖼️ ExpO BibliO : Carnets de voyages d'une famille annécienne à la Belle Époque ℹ️ Rédigés entre 1883 et 1912, ornés de photos et dessins, voyage panorama de l'Europe avec Annecy comme pied à terre 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 12h30-18h 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) 😍
🖼️ Premier jour❗️ExpO : Salon des artistes peintres d'Annecy ➡️ Évènement qui célèbre la créativité et le talent des artistes de notre territoire ℹ️ Jusqu’au ven. 22/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 13h-18h 📍 Forum Exposition Bonlieu (1 rue Jean Jaurès) 🎨
🖼️ Dernier jour❗️ExpO : Aïe ! la note est sucrée ! ➡️ Faire le point sur l'augmentation spectaculaire de notre consommation de sucre depuis un siècle et de ses effets néfastes sur notre santé. Nous pouvons doser ce plaisir qui cause bien des tracas, si simples à prévenir ℹ️ Jusqu’au ven. 25/10/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 13h30-18h 📍Médiathèque La Prairie (3 rue du Travail) 👨👩👧👦
🖼️ Avant-dernier jour❗️ExpO : L'effet Matilda ➡️ Dans le cadre de la FDS, une exposition proposée par le CNRS, le Quai des savoirs et l’association Femmes & Sciences ℹ️ Jusqu’au sam. 26/10/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 13h30-18h 📍 Médiathèque Novel (7 bis rue Louis Armand) 👩🔬
🧒 Ateliers scientifiques : menés par les médiateurs du lieu, ils font appel à la manipulation, à la démarche scientifique et à l’apprentissage par la pratique ℹ️ Spécial adolescent·es ⏱️ 1h30 🎫 5€ & 3€ 🎟️ Réservation en ligne 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h15 📍 La Turbine sciences (place Chorus) 🥼
🧒 ExpO : Illusions, quand notre cerveau nous joue des tours ➡️ Plus d’une trentaine de dispositifs interactifs ℹ️ L’enfant doit être accompagné d'un adulte (inscrit lui aussi) ⏱️ 2h 🎫 5€, 3€ & 0€ (- de 12 ans) 🎟️ Réservation en ligne 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-16h & 16h-18h 📍 La Turbine sciences (place Chorus) 🧠
🖼️ ExpO : La nuit est encore debout c'est pour ça que je ne dors pas d'Annabelle Guetatra ➡️ Dessins aux fonds vaporeux travaillés au pastel sec ou à l’huile ℹ️ Jusqu’au sam. 23/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-18h 📍 Le Point Commun (12 avenue Auguste Renoir) 👩🎨
🖼️ ExpO : Les Temps changent ➡️ Lauréats de la commande nationale d'estampes initiée par le Centre National des Arts Plastiques (CNAP) en partenariat avec l'Association de développement et de recherche sur les artothèques (ADRA) ℹ️ Jusqu’au sam. 30/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-18h 📍 Médiathèque Louise Michel (5 rue François Vernex) 🎨
🖼️ ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Artiste shanghaïen inspiré par la peinture traditionnelle chinoise le Shanshui ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-19h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 👨🎨
🖼️ ExpO : Claude Marthe ➡️ Artiste plasticienne ℹ️ Nouvelle exposition depuis le mer. 09/10/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-19h 📍 L'Atelier 9 (9 avenue de la Mandallaz) 👩🎨
🛒 Bourse aux skis ➡️ Organisation : Aso NTN et SCA Ski Compétition Annecy ℹ️ Jusqu’au dim. 27/10/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 16h-23h 📍 Cap Périaz (100 avenue de Périaz) 🎿
🎭 Théâtre : Folies au Manoir ➡️ Un crime a été commis au manoir de Jean-Eude et Marie-Christine… Réussirez-vous à dénicher le coupable ? ℹ️ À partir de 9 ans ⏱️ 1h20 🎫 19€ & 10€ (-18 ans et étudiant·es) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 20h📍 Salle Pierre Lamy (12 rue de la République) 🕵️
👟 Ligue 2 : le FC Annecy (6e avec 15 pts) reçoit Laval (9e avec 14 pts) ➡️ Allez les Rouges et Blancs ℹ️ Dixième journée (sur 34) 🎫 À partir de 7, 9, 10 et 11€ (en fonction des catégories) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 20h 📍 Parc des sports (1 rue Baron Pierre de Coubertin) ⚽️
🎭 Théâtre : Réveil de dingue ➡️ Suite à l'accouchement de sa femme, Véro, Jean-Phi s'est évanoui. Enfin, c'est ce qu'il croyait ℹ️ Les réparties claquent et les rires fusent, une comédie hyper dynamique pour le duo de Couple en délire 🎫 18€, 16€ & 12€ (-12 ans) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 20h30 📍 Théâtre Les Têtes de l'Art (36 avenue de Chambéry) 👶
🎶 Café-concert ➡️ Le groupe New Nobody’s Perfect propose un répertoire festif constitué de compositions et de standards du jazz ⏱️ 1h 🎫 8€ 🎟️ Plancha de saison : 8€ sur réservation (04 56 20 23 04) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 21h 📍 Café Terra Natura (67 avenue des Neigeos) 🎸
4️⃣ La météO (pour celles et ceux qui veulent vivre) ❤️
Qualité de l’air à Annecy (indices ATMO) : le vent de sud se renforce et favorise la dispersion des polluants 🌡 La qualité de l’air reste bonne à moyenne dans la région 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est nul (niveau 0) ➡️ Ambroisies, armoise, cupressacées, graminées, saule, autre : niveaux 0 ➡️ Indice communal valable du 19 au vendredi 25/10/2024 inclus 🤧
5️⃣ Les dictons (maximes et autres proverbes) 💚
Deux dictons du jour, un acheté, un offert (pour la petite histoire, cette pratique est désormais illégale) : « À la saint Crépin, la pie monte au sapin. » 🌲 et « À la saint Crépin, les mouches voient leur fin. » 🪰
Et tout comme hier, trois autres dictons du jour pour la route : « À la saint Crépin, ramasse les coings. » 🧺 « Bien malin, qui rentre son bois à la saint Crépin. » 🪵 et « Pour la saint Crépin, mort aux mouches. » ☠️
Pour celles et ceux qui attendent décembre : « Beaucoup de pluie en octobre, beaucoup de vent en décembre. », « Brumes d’octobre et pluvieux novembre, font ensemble un bon décembre. », « Octobre ensoleillé, décembre emmitouflé. » et « Octobre ensoleillé, décembre sous le froid. » 🧐
6️⃣ Les fêtes (rigolO est le calendrier) 🩵
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un excellent automne à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🍂
Bon cinquième jour de la semaine à tous et à toutes 🎷
Bonne fête aux Crépin et demain aux Dimitri 😘
7️⃣ Cohérence (histoire de simplifier) 💜
J’utilise les chiffres 0, 7, 8, 9 et 10 pour rendre plus lisibles les différentes parties de cette sélection (simple utilisation n’ayant absolument aucun rapport avec les parties “officielles”).
JamesO InfO V1 : jusqu’en 2012 🅰️
8️⃣ Migrations en cours (à marche forcée) 🤎
Les parties 7, 8 et 9 ne peuvent pas encore être diffusées totalement pour des raisons techniques. J’y travaille actuellement de manière régulière.
JamesO InfO V2 : de 2013 à 2022 🅱️
9️⃣ Abonnez-vous (nouveaux tarifs en 2025) 🩶
Les parties 10, 11 et 12 sont exclusivement réservées à mes abonné·es et ne sont plus diffusées sur les réseaux sociaux et autres messageries instantanées.
JamesO InfO V3 : depuis 2023 🆎
🔟 L’ours (nette préférence pour le dahu) 🖤
Par JamesO (Presse & Édition)
Agenda - Calendrier - Évènements
JamesO InfO n° 1.168 du vendredi 25/10/24
📷 JamesO PhotO à Annecy le 24/10/24 📸
JamesO © AlPy News ® StudiO 147 ℗ 2SC ™
5 notes
·
View notes