#HOMO CONNECTICUS
Explore tagged Tumblr posts
atitudini · 1 year ago
Text
„HOMO CONNECTICUS” ȘI SCLAVIA BIOMETRICĂ
de Monahia Gavriila SURPRIZELE VIITORULUI SUB IMPACTUL NOILOR TEHNOLOGII   „Dar vine omul modern cu tehnica lui și întoarce lumea. Vine cu tehnica asta, care chipurile îi prelungește viața, dar de fapt i-o scurtează, fă­cându-l rudă cu toate bolile posibile din lumea aceasta” (Arhim. Justin Pârvu). Din ce în ce mai des, auzim vorbindu-se în ultimii ani despre așa-numitul homo connecticus care…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
claudehenrion · 5 years ago
Text
Dans quel monde vivons-nous (déjà) ?
  Devant nos regards qui refusent de voir l'incontournable, nous cherchons une échappatoire à travers notre inséparable (mais si nocif) ''téléphone-à-tout-faire''. Il s'agit d'un appendice dévoreur auquel on ne connaît ni concurrents ni prédateurs, et sans lequel nos contemporains ne sont plus rien. En ayant fait un substitut à leur cerveau, ils l'offrent d'ailleurs à leur progéniture dès son plus jeune âge, pour être certains qu'ils ne seront pas dépassés dans leur néant, et on peut ainsi voir se développer autour de nous un univers rempli du vide le plus vide (et même : ''vide... même de vide'' !). Des échappatoires indignes des ''créatures faites à l'image de Dieu'' que nous avons été ont fait de nous un homo connecticus. Quelle horreur !
  En le déplorant du bout des lèvres tout en refusant de voir la gravité de cette situation, nous sommes en permanence les témoins d'un immense déferlement de... RIEN sur nous, pauvres survivants condamnés aux attitudes rabougrissantes que sont nos millions de selfies (combien, chaque jour ?) et des tatouages aussi budgétivores qu'inesthétiques, à quoi se résume ce qui reste de ce qui fut une ''personne''... Autre pathologie avilissante : ces croisières (qui polluent la planète, mais on ne punit que les autos, qui polluent si peu, ou pas !) où des troupeaux de moutons en short et en tongs, par paquets de 5000, sautent en cadence, se trémoussent, bâfrent de mauvaises saloperies et montent ou descendent (sur ordre) d’inesthétiques et gigantesques fers-à-repasser flottants qui salissent à jamais ce qu'ils effleurent... Nous parlions, il y a peu, du ''panem et circences'' des evergétismes romains de la décadence. Où est la différence, à part l'électronique ?
  Ces robots en devenir ne savent même plus parler (au sens qu'avait ce mot il y a 20 ans encore). Personne ne leur a dit que lorsqu'on ne prend pas soin du langage, les mots nous abandonnent :   Sous le mauvais prétexte que nous ne les utilisons plus (un être non-parlant n'a plus besoin d'eux !), nous avons l'impression que les mots nous fuient, comme si nous étions devenus infréquentables. Mais à travers les points d'exclamation et les smileys onomatopo-borborygmiques des réseaux planétaires, une forme minimale de langage, où des bribes de phrases s'effilochent, nous suffit largement. Il m'arrive souvent d'écrire à des gens que je croyais encore équipés d'un cerveau, à travers des raisonnements et des argumentations qui demanderaient des contre-propositions, des réponses structurées, des échanges contradictoires... et de ne recevoir en retour que des ''emoticons'' (très peu ''émoti'', mais très cons !) : la pensée de mes interlocuteurs semble s'être ratatinée à un petit drapeau, à une lune jaune dotée d'yeux, à une tête de mort du meilleur goût ou à des sourires cabalistiques ('' :) '')  qui ne m'apportent que.des raisons de douter...    
  Dans les crises dramatiques que l'Occident affronte, constater notre déclin n'aurait rien de choquant si cela devait déboucher sur un réveil, même tardif. Mais les enjeux auxquels nous faisons face (sans en être conscients, le plus souvent !) sont gigantesques, et certains pourraient mal tourner, comme en 1914 ou en 1939, car en fait rares sont les puissances qui veulent réellement la  guerre : elles cherchent simplement à ''pousser leurs pions le plus loin possible''... et la moindre étincelle déclenche l'enfer... Le problème ? Comment en parler en ayant une chance de ré-orienter le monde désenchanté et globalisé qui est notre nouvelle absence de toute frontière ? Comment décrire pour ce qu'ils sont notre modernité et ce progressisme létal qui se résument à une addiction irrationnelle à la croissance économique et au développement technique, qui enferment l'Homme dans un productivisme et un consumérisme effrénés qui, comble du  ridicule, risquent de détruire la planète ?
  Au delà des grands maux sur lesquels ce blog revient souvent (migrations qui ne sont que mortifères, pensée ''correcte'' qui l'est tout autant, et méfaits d'une ''science'' devenant intrinsèquement perverse), est-il possible de maîtriser l’avatar du néo-capitalisme prédateur, si loin de sa mission de contribution au bonheur de l'humanité ? Cet ancien moteur s'est fourvoyé en une dynamique destructrice qui paralyse toute action tendant à le réguler. De la Nation, de la République, du Peuple-faiseur-de-l'Histoire, il ne reste à peu près rien, à l'heure de l'instantanéité numérique et du marché planétaire. Le mot République, que chaque dirigeant français invoque inlassablement, (et pitoyablement, comme une ''mantra'', pour se rassurer eux-mêmes) ressemble de plus en plus à un de ces rêves creux qui, dans un Occident au bord de son effondrement, est le fruit blet de l'impuissance du citoyen et de sa dépossession de fait par un système anthropophage que rien ne semble pouvoir arrêter dans sa course vers la néantisation de notre humanité...
  La seule question valable (donc la seule que personne n'aborde) est : nos valeurs  libérales et humanistes, héritées de notre appartenance au ''phylum'' chrétien, ont-elles encore une chance de reprendre pied dans un monde multipolaire où le poids politique de cet Occident (qui les a fait connaître sur toute la terre.... qui s'en portait très bien !), s'effondre, ne serait-ce que par le déficit démographique que nous nous imposons, sans raisons valables ? Soutenue et encouragée, contre toute raison, par le pouvoir politique et les faux impératifs d'une mondialisation devenue une fin en soi, jusqu'à quel niveau de destruction de l'humanité la revendication des droits individuels, dont les méfaits se généralisent (mariage pour ''tous'', PMA, GPA, clonages ou chimères, ces mélanges --déjà largement pratiqués-- entre l'homme et l'animal, parmi toutes ces folies dites sociétales qui ne sont que mortifères) va-t-elle affaiblir notre sens de la collectivité ? La réponse n'est pas pour demain, alors que l'urgence est extrême... Dormez, braves gens,! Les nuls veillent... et ‘‘le silence des pantoufles’’ est ‘’En Marche’’ !
H-Cl.
1 note · View note