#Guerre d’Algérie
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Hélène Gaudy raconte la quête qu'elle a menée pour retrouver la vie de son père. En déambulant dans son atelier de peintre, en faisant parler les objets, en allant à la chasse aux souvenirs. Un hommage émouvant, une leçon d'écriture.
Finaliste du Prix Goncourt 2024 En lice pour le Prix du roman des étudiants France culture En deux mots À l’image de ces îles qui disparaissent, englouties par le réchauffement climatique, la mémoire du père de la narratrice s’enfonce dans la nuit. Alors, il y a urgence à tenter de le retrouver, le recréer. C’est dans son atelier à l’abandon qu’elle va mener sa mission, faisant parler objets et…
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La guerre d’Algérie est terminée ! - Bastien Lachaud | #QAG
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"l’immigration de masse dans les années 70 c’était surtout pour briser les grèves" ah parce qu'en plus ça a toujouts été utilisé pour faire taire la gauche ? Faut que je reprenne mes cours d'Histoire moderne.
Oui bien sûr. Mon grand père était ouvrier électricien dans les années 50 à 70, en usine, et il était syndiqué à la CGT. Il y a eu de l’immigration dans les années 60 mais c’était surtout des européens puis des pieds noirs après la guerre d’Algérie. Après 68 on a commencé à faire venir massivement des ouvriers du Maghreb, consécutivement aux victoires syndicales obtenues à ce moment là. Les chefs d’entreprise allaient les chercher jusque dans leurs villages. Pour mon grand-père et les autres c’était clairement pour briser les grèves, puisque les nouveaux arrivants acceptaient tout.
Évidemment ce n’était pas la faute des immigrés entendons-nous. En admettant que la France avait besoin de travailleurs étrangers il n’était pas nécessaire d’aller les chercher si loin, sauf si c’était pour pouvoir les exploiter.
Depuis avec le regroupement familial on est dans une situation différente, mais il faut bien voir que
La pression sur les salaires existent toujours dans de nombreux secteurs, comme le bâtiment, la restauration ou les services à la personne.
Ce qui fait que plutôt que de revaloriser ces professions on continue à faire venir en masse des premières générations d’immigrés pour occuper ces postes « dont les français ne veulent pas » sans évidemment jamais préciser que les français issus de l’immigration n’en veulent pas non plus.
Ce qui était d’ailleurs le plan des les années 80-90 où on envoyait systématiquement les gamins de banlieue en filière professionnelle type carrosserie ou chaudronnerie.
Pour moi dire qu’on a besoin d’étrangers pour ramasser les poubelles et garder les gosses pour pas cher, c’est pas franchement de gauche.
Dans un système social par répartition on a besoin de cotisants.
Plus on fait venir d’immigrés qui s’installent en France avec des jobs suffisamment peu payés pour qu’ils aient besoin des aides sociales, plus on a besoin d’amener d’autres personnes pour combler et cotiser. 1 actif peu avoir avec lui un conjoint qui ne travaille pas + X enfants, il suffit de faire l’opération. Et évidemment pour les retraites, il faut aussi des actifs pour les financer.
En gros, l’immigration, dans ce système, appelle l’immigration.
D’autre part on a aussi le problème de la diminution de la population active et de la baisse du taux de natalité. A génération 1, les immigrés ont plus d’enfants, ce qui augmente « artificiellement » le taux de natalité du pays. Mais à génération 2, les enfants d’immigrés ont moins d’enfants, ils rejoignent la population générale. Donc ont fait venir une autre génération et ainsi de suite.
C’est une logique qui se mord la queue et qui ne solutionne aucun des problèmes de fond. Plutôt, elle crée des déséquilibres ici et dans les pays d’origine et il est urgent de tout arrêter, et d’investir plutôt dans le développement.
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19 janvier 1945, condamnation à mort de ROBERT BRASILLACH (1909-1945) Nous vous proposons la recension du livre Ph Bilger sur ce procès inique par Dominique Venner dans la NRH: "Le courage est rare. Il en a fallu beaucoup à l’avocat général Philippe Bilger pour écrire ce livre comme il l’a fait. Un livre qui est une interrogation sur la justice et un réquisitoire à l’encontre des magistrats de l’Épuration. Vingt minutes pour la mort. Robert Brasillach : le procès expédié Le prétexte lui est offert par le procès de Robert Brasillach, dont la mort programmée, fut exécutée à l’aube du 6 février 1945. M. Bilger rappelle que les magistrats de l’Épuration venaient tous de Vichy : « Ils n’ont même pas retourné leur veste intellectuelle et judiciaire. Tout naturellement, ils ont glissé d’un rôle à un autre, d’une sévérité à une autre et ont osé donner des leçons à un accusé qui s’était engagé là où eux avaient agi en fonctionnaires. J’ai en horreur tous ces salamalecs, ces courtoisies de façade, cette absurde et feinte chevalerie judiciaire qui laisse croire à des combattants loyaux quand les dés étaient pipés. » Au passage, l’auteur révèle quelques chiffres ignorés. Sous Vichy, entre 1941 et 1944, les juges des juridictions d’exception ont prononcé 19 condamnations à mort suivies d’une seule exécution. À la Libération, les mêmes magistrats siégeant dans les cours de justice ont édicté près de 7 000 condamnations à mort, dont 767 suivies d’exécution. La magistrature a franchi tranquillement la frontière entre la légalité de Vichy et la légitimité du nouveau pouvoir gaulliste, sans trouble apparent, obéissant à ce qui lui était demandé. Dans ce livre d’une rare probité, Philippe Bilger examine le rôle et le comportement des acteurs du procès de Robert Brasillach, le 19 janvier 1945. Six heures, sans instruction préalable, et vingt minutes de délibéré, pour parvenir à la décision de mort, prévue à l’avance. L’accusé, d’abord, Robert Brasillach, 36 ans. « Un être plein de contradiction » écrit M. Bilger qui fait du critique littéraire, du romancier tendre et léger, du poète et du polémiste violent, un portrait juste et nuancé dans l’ensemble. Surtout, il lui reconnaît l’intelligence et le courage d’avoir compris par avance qu’il serait seul contre tous et que son unique recours, face aux juges et à l’Histoire, serait de bien se tenir : « Le dernier mot de la morale reste l’allure ». Et d’allure, à aucun instant, Brasillach n’en a manqué. M. Bilger est beaucoup plus réservé sur son avocat, Me Isorni, dont l’intégrité n’est pas en cause. Mais, dit-il, cet avocat n’avait pas mesuré la réalité implacable de ce type de procès jugé d’avance, hors de toute justice. Au passage, et par contraste, il rend hommage à la « défense de rupture » adoptée par Me Vergès dès la guerre d’Algérie. Un type de défense qui récuse la légitimité des juges et soutient le bon droit d’un accusé que l’on sait condamné. Mais, on l’a dit, l’avocat général Bilger se montre surtout indigné en connaissance de cause par les magistrats de ce procès inique. L’ayant lu, il serait difficile de ne pas partager son indignation.
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« Si l’on en croit le journaliste Jean-Raymond Tournoux, spécialiste des secrets d’État, au lendemain de l’exécution de Jean Bastien-Thiry, voici cinquante ans, le général de Gaulle aurait dit : « Celui-là, ils pourront en faire un héros, il le mérite ! » Ce propos donne à réfléchir. Il n’est pas nécessaire d’approuver l’action de Jean Bastien-Thiry pour reconnaître à sa figure une hauteur qui détonne dans notre époque de médiocrité. Ajoutons qu’il est naturel et légitime que les proches et les admirateurs de Jean Bastien-Thiry voient en lui avant tout la victime d’une injustice et d’une vindicte qui n’ont pas grandi l’homme contre qui il s’était dressé. Ce n’est pourtant pas le visage de la victime qui me semble à retenir. Après s’être levé par lucidité et volonté pure contre le puissant personnage qui, à ses yeux, avait corrompu tant de valeurs constitutives de notre patrie, Bastien-Thiry est allé jusqu’au bout de son engagement. Comme l’a écrit son frère Gabriel dans un livre émouvant : « Ce qu’aucun homme de métier n’avais osé faire, il l’a tenté ». De fait, bien qu’officier, il n’était pas homme de guerre, mais un savant et un intellectuel. Il fut pourtant l’homme d’un projet conduit envers et contre tout, le seul projet cohérent, il faut bien le dire, de la résistance française à la politique d’abandon de nos compatriotes d’Algérie. Puis, devant le tribunal qui le jugeait sur ordre, loin de chercher à esquiver, il a prononcé contre l’homme qu’il combattait un réquisitoire implacable qui le condamnait à une mort certaine. Bien entendu, il était trop lucide pour ne pas en être conscient. Seul celui qui met sa vie en jeu échappe à l’imposture fréquente du discours moral. Le discours peut mentir, l’acte ne ment pas. Et seul celui qui répond de son honneur sur sa vie est authentifié dans sa vérité. La mort de Jean Bastien-Thiry atteste qu’il existe des valeurs plus hautes que la vie elle-même. Voilà ce qui mérite d’être retenu, au-delà de toute pensée partisane. »
Dominique Venner
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1964
Quand elle lui a demandé son prénom, il a répondu « Jean-Marc ». Il trouvait que les noms composés avaient plus de prestance. Un simple Marc ne l’aurait pas impressionnée. Plus tard, ils prénommeraient leur fils Jean-Marc.
1964. Quelques instants avant la prise de ce cliché, il a mis en garde le photographe du Studio Mahé d’Avranches : « T’as cinq minutes. » Sa large main d’ouvrier enserre un peu trop fermement la paire de gants (sur l’épreuve non retouchée, les veines ressortent). Marc a 25 ans et il n’a pas encore pansé les plaies de la guerre d’Algérie, achevée à peine deux ans plus tôt. À côté de lui, Michèle, 21 ans, hantée par le fantôme d’un père inconnu, irradie de bonheur. Sur la photo, on ne voit qu’elle. La blancheur éblouissante de la robe et du bouquet d’œillets. La longue traîne de tulle qui reproduit le mouvement du rideau à l’arrière-plan. La tiare de fleurs blanches qui se découpent dans ses cheveux noir de jais. Le photographe l’a placée au centre de l’objectif. C’est son jour à elle. Jamais je ne crois avoir retrouvé dans ses yeux noirs cette joie naïve.
Bientôt, tous deux partiraient pour se construire une vie nouvelle à Paris. 122, rue Mouffetard d’abord. Dans un minuscule studio animé par les cris d’un premier bébé potelé et adulé, Catherine, baptisé à l’église Saint-Médard. Souvent, j’ai arpenté cette rue de long en large, bercée par les souvenirs de mes grands-parents, si ancrés dans ma mémoire que j’oublie parfois qu’ils ne m’appartiennent pas.
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Mesrine : L'Instinct de mort (2008)
Regarder Mesrine : L’Instinct de mort 2008 Film complet en streaming français VF et gratuit – L’Instinct de mort (2008) le film en entier De retour de la guerre d’Algérie, Jacques Mesrine refuse le travail que lui propose son père. Avec un ami d’enfance, il commence sa carrière de voyou auprès de Guido, le parrain local. Il prendra rapidement du galon, entre cambriolages et évasions spectaculaires. Et ce malgré les suppliques de sa première épouse, une Espagnole qui lui donnera 3 enfants. Avec Jeanne Schneider, en revanche, il vivra une romance à la Bonnie and Clyde avant de devenir en France l’ennemi public n° 1. Read the full article
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La guerre d’Algérie, dernier tabou : les camps de regroupement - Jeune Afrique
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L'Appelé ou La vie empêchée
Une interview de Guillaume Viry, que j’ai menée à l’occasion de la sortie de son premier roman, L’Appelé, aux Editions du Canoë, pour la plateforme D-FICTION. Où l’on parle de la Guerre d’Algérie, de fissuration et de crypte blanche, et bien sûr d’écriture. ©D-FICTION 2024
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Cérémonie de la Journée Nationale en mémoire des victimes de la Guerre d’Algérie, des combats du Maroc et de la Tunisie, à Montbéliard jeudi 5 décembre 2024 à 17h45, Square du Souvenir. Read the full article
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L'Agrafe
Dans « L’agrafe », Maryline Desbiolles met en scène une jeune femme courant dans l’arrière-pays niçois. Victime d’un accident, elle va mettre un terme à une prometteuse carrière d’athlète et se replonge dans la chronique familiale. Un roman d’émancipation
Prix littéraire « le Monde » 2024 En deux mots Emma Fulconis aime courir sur les sentiers de l’arrière-pays niçois. La championne en herbe voit sa carrière s’achever quand elle est attaquée par le chien d’un ami. Revenue au village, après hospitalisation et rééducation, elle comprend que son drame s’inscrit dans une histoire plus ancienne, quand les harkis ont rejoint la France. Ma note ★★★★…
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La guerre d’Algérie est terminée ! - Bastien Lachaud | #QAG
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La France républicaine devient peu à peu la France islamiste
Extrait de l’analyse d’Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine : […] La troisième guerre d’Algérie est commencée. Par la faute directe du chef de l’état, comme d’ailleurs la première était la conséquence des fautes essentielles de la République. Et perdue par elle. Et la deuxième par la faute du FLN, en Algérie, soutenue par une France totalement esclave des bourreaux de l’Algérie. Et voici…
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Dominique Venner et la guerre d’Algérie : Renaud Dély n’a rien compris !
Le journaliste d’extrême gauche Renaud Dély vient de commettre un ouvrage sur Dominique Venner. Il le croit inspiré. Il n’y plaque que sa vision de midinette – cheveux longs et idées courtes – sur des événements qu’il ne connaît que par les ‘digests’ proposés à Sciences Po ou par Netflix. Affligeant.
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L’histoire est écrite par les vainqueurs, jusqu’au jour où…
Plus que les grandes victoires, les grandes défaites font les grandes épopées, l’Iliade pour la guerre de Troie, les Thermopyles pour les Spartiates, Numance pour les Ibères, Alésia pour Vercingétorix. Le procès et la mort de Jeanne d’Arc plus que sa victoire d’Orléans. Waterloo plus qu’Austerlitz, sans compter Camerone, Sidi Brahim, Dien Bien Phu… Charlemagne a remporté d’innombrables victoires, mais ce qui reste de lui, c’est la Chanson de Roland qui magnifie l’une de ses rares défaites.
Je pensais à ce paradoxe bien européen en regardant récemment le DVD de Braveheart de Mel Gibson. Accompagnant les images somptueuses des Highlands survolées par un aigle, des mots ouvrent le film en voix off. On les entend peu souvent : « L’histoire est écrite par ceux qui pendent les héros… » Ces mots sont une réponse à ceux qui m’interrogent sur la signification de certains de mes livres, l’histoire des Sudistes (Le blanc soleil des vaincus), celle du Baltikum, celle aussi de la sombre saga des gardes blancs pendant la guerre civile russe (Les Blancs et les Rouges). Ces livres avouent un attrait pour les vaincus courageux. Mais, courage ou pas, l’histoire des vaincus est toujours occultée, dénaturée, ou même criminalisée par les vainqueurs. Elle constitue l’enjeu posthume de conflits qui ne cesseront jamais. Après les guerres idéologiques et religieuses, les vainqueurs veulent vaincre jusqu’à la mémoire de leurs adversaires. Après dix-sept siècles, le jeune empereur Julien, très fidèle à sa propre religion, est toujours qualifié d’ « apostat », épithète infâmante imposée par l’Église devenue triomphante après son OPA réussie sur l’Empire romain à la fin du IVe siècle. Quand les vainqueurs sont habiles et puissants, les instruments de la parole publique, l’État, l’Université et l’Ecole participent à l’entreprise. Pour l’historien indépendant, tout est donc à découvrir à ses risques et périls derrière le discours officiel. Il n’y a rien de plus stimulant, mais rien de plus dangereux.
Les conflits idéologiques et quasi religieux du XXe siècle ont été annoncés par la guerre de Sécession américaine (1861-1865). Ils ont peu d’équivalent dans le passé, sinon lors du triomphe imprévu du christianisme sur le paganisme romain au IVe siècle. Les guerres de religion au XVIe et XVIIe siècle n’eurent pas le même caractère absolu puisqu’elles se terminèrent par un partage du monde entre protestants et catholiques. Il n’y eut donc pas de vrais vaincus, sauf en France avec les huguenots. Deux puissances hostiles campaient chacune sur leurs positions, affichant leur propre interprétation du passé. La nouveauté du XXe siècle tient au caractère écrasant de la défaite des uns et de la victoire des autres. Du jamais vu avec cette ampleur et cette brutalité, sinon pour les hérésies au sein des monothéismes, écrasées par les massacres, le feu et l’oubli.
Dans ma génération et les suivantes, celles qui n’étaient pas encore nées à l’époque du conflit mondial puis de la décolonisation, un certain nombre de jeunes Européens arrivant à l’âge adulte, éprouvèrent une conscience aiguë et douloureuse d’être les héritiers de défaites presque cosmiques. J’ai vécu cela au temps de la guerre d’Algérie. Pour les Français et les Européens, ce fut une défaite (politique et nullement militaire), ne pouvant que renforcer la conscience d’une catastrophe fatale. Si l’un de mes premiers livres a été consacré à l’histoire des Sudistes c’est parce que je ressentais intuitivement la défaite du « Vieux Sud » comme le premier acte de ce qui fut accompli chez nous dans la seconde moitié du XXe siècle. Jadis, j’ai lu l’Invaincu (The Unvanquished) de William Faulkner avec le sentiment exaltant et douloureux d’être immergé dans ma propre histoire. J’étais séduit par des vaincus courageux qui jamais ne se renient. Je le suis toujours.
Parfois, de façon imprévue, il arrive pourtant que les vaincus prennent leur revanche dans l’imaginaire des vivants. Il en fut ainsi pour les Sudistes avec Autant en emporte le vent, le roman et le film.
Dominique Venner
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Guerre d’Algérie : Emmanuel Macron reconnaît la responsabilité de la France dans l’assassinat du dirigeant du FLN Larbi Ben M’hidi – Libération
Soixante-dix ans après le début de la guerre d’Algérie, la France reconnaît, ce vendredi 1er novembre, sa responsabilité dans l’assassinat de celui qui avait cofondé le Front de libération nationale. — À lire sur…
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