#Franz Xaver Fuhr
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terminusantequem · 2 years ago
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Franz Xaver Fuhr (German, 1898-1973), Stadt im Licht, 1964. Oil on fibreboard, 80 x 70 cm
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oldsardens · 2 years ago
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Franz Xaver Fuhr - Enge Gasse
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sardens · 2 years ago
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Franz Xaver Fuhr - Stadt im Licht. 1964
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auroraborealis22 · 3 months ago
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Franz Xaver Fuhr (German, 1898–1973)
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huariqueje · 3 years ago
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In the Cafe - Franz Xaver Fuhr , 1964.
German , 1898-1973
Oil on hardboard , 65 x 50 cm. 25.5 x 19.6 in.
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weepingwidar · 3 years ago
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Franz Xaver Fuhr (German, 1898-1973) - Blaue Bucht (Blue Bay) (1928)
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climacus · 6 years ago
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Franz Xaver Fuhr (German, 1898-1973), Stadt im Licht (City in the light), about 1964-68; oil on fiberboard, 80 x 70 cm 
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mayolfederico · 4 years ago
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ventitré settembre
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Giuseppe Bazzani, Sant’Antonio da Padova con il Bambino Gesù, 1740-1750
  Autobiografia
Quando, raramente, parlava di se stessa, mia madre raccontava: Lamia vita è stata triste e calma, sempre in punta di piedi camminavo. Ma quando mi arrabbiavo e pestavo un po’ i piedi, le tazze della mamma sulla credenza si mettevano a tintinnare e io dovevo sorridere.
Raccontava che al momento…
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acoffeeplease · 3 years ago
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Franz Xaver Fuhr
"Au Café", 1964
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havaforever · 2 years ago
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AUGUST SANDER - La nouvelle objectivité, l’Allemagne des années 20.
Première vue d’ensemble sur ce courant artistique en France, l’exposition pluridisciplinaire du Centre Pompidou se penche sur l’art et la culture de l’Allemagne des années 1920, dans un parallèle avec l’œuvre du photographe August Sander.
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L’ensemble de cette exposition aussi riche qu’inédite trace un parcours qui donne toute leur visibilité aux représentations artistiques de l’Allemagne d’August Sander, qui fit de l’objectivité absolue le principe premier et exclusif de son travail.
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Entre les deux guerres mondiales, l’Allemagne fut un creuset où nombre de révolutions plastiques se mêlèrent en s’opposant. Né avant-guerre, l’expressionnisme et l’abstraction y respirent encore, mais leur élan a été brisé par le conflit et ses dégâts collatéraux. La vocation spirituelle de l’art, ses ambitions idéalisantes, son apologie de l’imagination créatrice, la confiance qu’il accordait à la subjectivité émancipatrice ne sont plus à l’ordre du jour. 
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En réaction, un nouveau ce courant artistique va naître et prendre de l’importance, baptisé Neue Sachlichkeit, autrement dit Nouvelle objectivité, il va se développer en imprégnant toutes les formes d’expressions artistiques et culturelles de la société allemande jusqu’en 1939.
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Au sortir de la première guerre mondiale, c’est une ère de contrastes qui s’ouvre dans une Allemagne aussi désabusée que riche de créativité. D’un côté, les aspirations démocratiques naissantes de la République de Weimar, l’essor fulgurant de la technique, la libération des mœurs, voire d’une marginalité jusqu’alors réprimée. De l’autre, la fin des illusions et des utopies terrassées dans l’enfer des tranchées, la violence irréfrénée du développement industriel, et la montée des totalitarismes.
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L’arrivée au pouvoir du nazisme, en 1933, mettra brutalement fin à la vague créative de la Nouvelle Objectivité, qualifiée « d’art dégénéré » par les représentants du Troisième Reich qui ordonnèrent la destruction de très nombreuses œuvres des artistes associés au mouvement. 
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Pour beaucoup inspirés par les idéaux socialistes, ces derniers dépeignent une société aux antipodes des dérives fascistes qui s’annoncent, célébrant tour à tour la solidarité entre les travailleuses et les travailleurs, la transgression des normes, le progrès humain, l’émancipation sexuelle, tout en dénonçant les souffrances dues au militarisme et la grossièreté brutale d’une bourgeoisie qui soutiendra bientôt l’accession d’Hitler au pouvoir.
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Pluridisciplinaire, l’exposition réunit peinture, photographie, architecture, design, littérature, autour de quelques-unes des grandes figures de l’art allemand des années 1920. On y retrouve ainsi des œuvres marquantes de Hans Baluschek, Aenne Biermann, Heinrich Maria Davringhausen, Rudolph Dischinger, Otto Dix, Franz Xaver Fuhr, Wilhelm Heise, George Grosz, Oskar Nerlinger, Lotte B. Prechner, Rudolf Schlichter, Georg Scholz, ou encore Karl Völker. 
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La première partie de l’entre-deux-guerres apparaît comme ailleurs comme une parenthèse, dans une Allemagne en ébullition qui hésite entre les promesses offertes par le progrès social et technologique, et la nostalgie d’un empire synonyme de puissance.
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L’impressionnant travail photographique d’August Sander fait office «d’exposition dans l’exposition». Dans une démarche documentaire, le portraitiste originaire de Cologne réalise « une coupe transversale de la société allemande, reflétant les bouleversements et les distorsions de son histoire ».
Familles ouvrières ou paysannes, grands ou petits bourgeois, artistes ou marginaux : les séries de portraits rassemblées au Centre Pompidou constituent un témoignage sans équivalent du quotidien et des divisions de l’Allemagne de Weimar. 
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L’ensemble est d’une richesse exceptionnelle et notamment du fait qu’une grande matière à réflexion est proposée par ces nombreuses œuvres, sans pour autant que ne soit résolu le mystère de cette période sociale et politique aussi sombre que complexe. Ce sont ces années charnières qui menèrent aux affres de la seconde guerre mondiale, on scrute les images et on lit avidement tous les commentaires proposés dans l’espoir de saisir un nouvel éclairage sur ce qui fit advenir l’horreur. 
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Aucune explication ni aucune analyse n’est proposée, mais grâce à la monstration de ces nombreuses œuvres aussi radicales que dérangeantes, une certaine lumière s’impose, envers et malgré tout. 
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dead-molchun · 5 years ago
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Franz Xaver Fuhr (1898 - 1973) Die enge Straße. Um 1964-70 (100 x 54.5 cm)
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terminusantequem · 6 years ago
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Franz Xaver Fuhr (German, 1898-1973), Pinien und Halbinsel. Oil on canvas, 72 x 107 cm
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bluart106 · 5 years ago
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Franz Xaver Fuhr, At Café, 1964
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cupofmeat · 8 years ago
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"Drei Chinesen" Franz Xaver Fuhr, 1939/40. Gouache on heavy paper.
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williamjtucker · 6 years ago
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via Tree Pruning Dallas
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universallycrownpirate · 6 years ago
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Elisabeth Amalie Eugenie, Herzogin in Bayern (auch Sisi genannt, seit den Ernst-Marischka-Filmen auch als Sissi bekannt; * 24. Dezember 1837 in München, Königreich Bayern; † 10. September 1898 in Genf) war eine Prinzessin aus der herzoglichen Nebenlinie Pfalz-Zweibrücken-Birkenfeld-Gelnhausen des Hauses Wittelsbach, durch ihre Heirat mit ihrem Cousin Franz Joseph I. ab 1854 Kaiserin von Österreich und Apostolische Königin von Ungarn.
Hotel Beau-Rivage in Genf, davor am Quai das Elisabeth-Denkmal
Elisabeth entstammt der Linie der Herzöge in Bayern. Sie war die zweite Tochter des Herzogs Max Joseph in Bayern (1808–1888) und Prinzessin Ludovika Wilhelmine (1808–1892). Ihre Großeltern mütterlicherseits waren der bayerische König Maximilian I. und dessen zweite Gemahlin, Prinzessin Karoline Friederike Wilhelmine von Baden.
1853 suchte die dynastiebewusste Erzherzogin Sophie nach einer geeigneten Braut für ihren noch unverheirateten Sohn. Sie fasste eine Verbindung mit dem Haus Wittelsbach ins Auge und gemeinsam mit ihrer Schwester, Herzogin Ludovika von Bayern, wollte sie entweder deren Tochter Helene (genannt Néné) oder Elisabeth (genannt Sisi) mit dem Kaiser vermählen. Im Sommer 1853 traf Franz Joseph seine beiden Cousinen anlässlich seines Geburtstags in Bad Ischl. Unerwartet zog er die 15-jährige Elisabeth ihrer Schwester Helene vor und am 19. August fand die feierliche Verlobung statt.
Am 24. April 1854 erfolgte in der Wiener Augustinerkirche vor 70 Bischöfen und Prälaten die Trauung durch Erzbischof Joseph Othmar von Rauscher. Aus der Ehe gingen vier Kinder hervor:
Erzherzogin Sophie Friederike (1855–1857)
Erzherzogin Gisela (1856–1932) ∞ Leopold von Bayern
Kronprinz Erzherzog Rudolf (1858–1889) ∞ Stephanie von Belgien
Erzherzogin Marie Valerie (1868–1924) ∞ Franz Salvator von Österreich-Toskana
Ein knappes Jahr nach der Hochzeit, Elisabeth war nun 17 Jahre alt, brachte die junge Kaiserin ein Mädchen zur Welt, das nach Franz Josephs Mutter Sophie Friederike getauft wurde. Im folgenden Jahr wurde Tochter Gisela geboren. Auf einer Reise durch Ungarn erkrankten beide Töchter an Durchfall und Fieber, an dem die zweijährige Sophie starb.
1858 kam Kronprinz Rudolf Franz Karl Joseph zur Welt. Von der Geburt erholte sich Elisabeth nur schwer. Auch zeigte sie nach dem Tod der erstgeborenen Tochter nur noch wenig Interesse an Gisela und Rudolf. Ihre Schwiegermutter veranlasste, dass der Kronprinz schon von Kindesbeinen an eine militärische Ausbildung erhielt. Der sensible Rudolf litt sehr darunter. Elisabeth setzte sich dafür ein, diese Art der Ausbildung zu beenden, konnte sich jedoch zunächst nicht durchsetzen.
Ihr viertes und letztes Kind, ein Mädchen, wurde 1868 in Buda in Ungarn geboren. Das „ungarische Kind“ bekam den Namen Marie Valerie Mathilde Amalie. Elisabeth kümmerte sich, im Gegensatz zu ihren älteren beiden Kindern, intensiver um die kleine Erzherzogin. In der Wiener Hofburg wurde Marie Valerie daher auch „die Einzige“ genannt.
1860 litt Elisabeth unter starkem Husten. Den offiziellen Vorwand für die erneute Reise der Kaiserin, die Diagnose einer Lungenkrankheit und die Empfehlung einer Kur auf Madeira, nutzte sie zum Ausbruch aus dem Hofleben und zur ersten ihrer Auslandsreisen, die sie alleine unternahm. Kaum in Wien zurück erlitt sie einen schweren Rückfall. Die Ärzte vermuteten „Lungenschwindsucht“ (Tuberkulose). Dieses Mal fuhr die Kaiserin nach Korfu im Ionischen Meer. Die Insel gefiel ihr sehr.
Als Elisabeth nach fast zweijähriger Abwesenheit an den Wiener Hof zurückkehrte, war sie von einer als schüchtern und blass geltenden, jungen Frau zu einer selbstbewussteren Monarchin geworden, die auch Forderungen stellte. In dieser Zeit entstanden die Porträts von Franz Xaver Winterhalter. Das bekannteste ist das Gemälde aus dem Jahr 1865, das Elisabeth in Hofgala mit Diamantsternen im Haar zeigt.
Mit den Jahren war Elisabeth zunehmend abwesend. Sie unternahm nun zahlreiche weitere Reisen. Neben Europa bereiste sie Kleinasien und Nordafrika, ab 1867 besonders häufig Ungarn, ihre Lieblingsinsel Korfu und Großbritannien. Sie reiste 1885 auch in das Osmanische Reich, um dort die von Schliemann entdeckten Reste des antiken Troja zu sehen. Zwischen 1889 und 1891 ließ sie auf Korfu ihr griechisches Schloss im pompejischen Stil erbauen, das Achilleion. Außerdem absolvierte sie zahlreiche Kuraufenthalte an bekannten Kurorten.
Franz Joseph hatte sich längst an die Abwesenheit seiner Frau gewöhnt.
Je länger die Ehe dauerte und je selbstbewusster Elisabeth wurde, desto größer wurden Distanz und Entfremdung zwischen den Eheleuten. Schockiert über das strenge Hofzeremoniell, floh die Kaiserin vor dem Leben am Wiener Hof und befand sich ab den 1860er Jahren nahezu ständig auf Reisen. Politischen Einfluss machte Elisabeth nur einmal geltend: Durch ihre sehr guten persönlichen Beziehungen zu Mitgliedern der ungarischen Hocharistokratie half sie dem Kaiser 1866/67, den zur Befriedung der Monarchie dringend notwendigen Ausgleich mit Ungarn zustande zu bringen. 1879 wurde die Silberhochzeit des Kaiserpaars mit dem vom Maler Hans Makart gestalteten Festzug über die Wiener Ringstraße gefeiert.
Zu den wenigen politischen Aktivitäten der Kaiserin gehörte ihr Bestreben nach einem Ausgleich mit Ungarn, den sie Anfang 1867 gegen den Willen ihrer Schwiegermutter und großer Teile des Hofes energisch durchzusetzen wusste. Ungarn erhielt seine Verfassung von 1848 zurück. Am 8. Juni 1867 wurden Kaiser Franz Joseph und Kaiserin Elisabeth in der Matthiaskirche zu Budapest als König und Königin von Ungarn gekrönt.
Um dem zusehends vereinsamenden Franz Joseph während ihrer langen Abwesenheit Gesellschaft zu verschaffen, arrangierte Elisabeth eine Bekanntschaft mit der Schauspielerin Katharina Schratt. Die Freundschaft zwischen dem Kaiser und Frau Schratt währte mit einer Unterbrechung 1900/01 bis zum Tod Franz Josephs im November 1916.
Kaiser Franz Joseph genoss jeden seltenen Besuch Elisabeths bei Hof und blieb ihr zeitlebens freundschaftlich verbunden. Während sie durch Europa reiste, entstand zwischen dem Kaiserpaar ein umfangreicher Briefwechsel, der teilweise erhalten ist. Seitens des Kaisers wird vor allem seine Sorge um Gesundheit und Sicherheit Elisabeths deutlich. Er, der Schifffahrten nicht mochte, besuchte sie nie in ihrem Palast, dem Achilleion, sondern reiste meist in Zivil nach Cap Martin, einen der liebsten Aufenthaltsorte Elisabeths an der französischen Riviera. Gräfin Irma Sztáray berichtet vom harmonischen Beisammensein der Majestäten, von zahlreichen Ausflügen, Frühstücksessen in Hotels sowie einem Besuch Kaiser Franz Josephs im Casino von Monte-Carlo.
In Abwesenheit des Kaisers setzte Kaiserin Elisabeth ihr gewohntes Leben fort: Stundenlange Gewaltmärsche in den abgelegensten Gegenden und tagelange Schifffahrten auf ihrer Jacht quer durch das Mittelmeer. Dabei leisteten ihr vor allem ihre Hofdamen und ihr griechischer Vorleser Gesellschaft, die sie mit Werken antiker Schriftsteller sowie französisch- und englischsprachiger Literatur unterhielten. Elisabeth nahm das Studium des Alt- und Neugriechischen sehr ernst und sprach Zeitgenossen zufolge besser Griechisch als alle deutschen Königinnen von Griechenland. Sie übersetzte unter anderem Theaterstücke wie jene von Shakespeare ins Neugriechische. Griechenland wurde laut Aussagen ihres Vorlesers Constantin Christomanos zur „Heimat ihrer Seele“. 1888 ließ sie sich einen Anker auf ihre Schulter tätowieren.
Männer und Frauen ihrer Zeit schwärmten von der Schönheit Elisabeths, waren aber ebenso angezogen von ihrer Anmut, Ausstrahlung und der geheimnisvollen Aura, die die Kaiserin umgab. Elisabeth galt als eine der schönsten Frauen ihrer Zeit und war sich dessen durchaus bewusst. Ihre Schönheitspflege nahm einen Großteil ihres Tagesablaufes ein. Besonders stolz war Elisabeth auf ihr dichtes Haar. Ihrer Zeit voraus verfolgte sie einen regelrechten Körperkult, trieb viel Sport und achtete sehr auf ihre Figur. Durch strenge Diäten und enge Korsetts brachte sie ihre Wespentaille (46 cm) in Form und wurde zu einer modischen Ikone. Im Gegensatz zu anderen Frauen ihrer Zeit lehnte Elisabeth starke Schminke oder Parfum strikt ab. Sie legte großen Wert auf Natürlichkeit. Nur ihre Haarpracht wurde mit Duftessenzen besprüht.
Um ihre Figur zu erhalten und wegen ihrer inneren Unruhe unternahm sie zeitweise täglich lange Wanderungen in schnellem Tempo, bei denen ihre Hofdamen kaum mithalten konnten. Außerdem gab es in jedem ihrer Domizile Turnzimmer mit verschiedenen Geräten, mit Ringen, Reck und Hantel. In den Räumlichkeiten der Wiener Hofburg sind die Turngeräte heute noch zu besichtigen.
Kaiserin Elisabeth aß relativ wenig. Mit Orangendiät, Eidiät, Milchdiät, gesalzenem rohem Eiweiß statt eines Mittagessens und hin und wieder einem Veilcheneis hielt sie ihr Körpergewicht konstant. Sie ließ sich aus gepresstem Kalbfleischsaft Brühe kochen. Ihr Gewicht wurde dreimal täglich kontrolliert und in eine Liste eingetragen. Bei einer Körpergröße von 172 cm hatte sie 50 kg praktisch nie überschritten, war also zeit ihres erwachsenen Lebens mit einem BMI unter 17 untergewichtig. Auch der Umfang von Taille, Schenkeln und Waden wurde genau gemessen. Während ihres Jagdaufenthaltes in England 1878 ließ die Kaiserin ihrer besten Freundin Ida Ferenczy über ihre Hofdame Marie Festetics in einem Brief vom 30. Januar ausrichten, „dass sie jetzt riesigen Appetit hat und derart viel isst, dass sie wie ein Boa Constrictor am Sofa liegt“. Infolge der Fastenkuren traten Hungerödeme auf. Um die Jugend ihres Gesichtes zu erhalten, legte sie sich über Nacht gepresstes Rindfleisch auf ihr Gesicht. Das war zu dieser Zeit nichts Ungewöhnliches; viele Frauen griffen damals zu diesen Maßnahmen.
Elisabeth muss große Geldsummen für die Erhaltung und Pflege ihrer Zähne ausgegeben haben. Der Zahnarzt Raimund Günther(1833−1913) war ab 1867 Hofzahnarzt und wurde 1890 zum Edlen von Kronmyrth geadelt. Er besuchte die Kaiserin von Österreich in regelmäßigen Abständen. Einige seiner Rechnungen sind im Österreichischen Staatsarchiv erhalten. Ebenso behandelte er Sisis jüngste Tochter Erzherzogin Marie Valerie. Die Kaiserin bezog von Raimund Günther diverse Produkte zur Zahnpflege und Zahnreinigung, wie Zahnbürsten und Zahnpulver. Ebenso ließ sie sich vier Jahre lang vom US-amerikanischen Prominentenzahnarzt Levi Spear Burridge(1829–1887) behandeln, wie auch durch den Hofzahnarzt Otto Zsigmondy (1829–1899). 
Die Meisterin, die das kaiserliche Haar betreute, hieß Fanny (Franziska) Angerer (verh. Feifalik, später Hofrätin) und war Friseurin am Wiener Burgtheater. Dort waren der Kaiserin die phantasievollen Frisuren der Schauspielerinnen aufgefallen, und sie hatte die Friseurin kurzerhand abgeworben. Fanny Angerer war auch die Schöpferin der „Steckbrieffrisur“, die in der Familie der Kaiserin unter ihren Schwestern und an anderen europäischen Höfen kopiert wurde.
Das Waschen der Haare dauerte meist einen ganzen Tag und geschah etwa alle drei Wochen mit immer neuen Essenzen (bevorzugt Cognac und Ei). Elisabeth konnte jähzornig werden, wenn ihre Friseurin ihr einen Kamm mit ausgefallenen Haaren zeigte. Diese Haare wurden dann mit List an der Innenseite des Rockes der Friseurin mit Hilfe von Klebemittel versteckt. Sisi benutzte die Haarkünstlerin auch als Doppelgängerin, was allerdings nur im Ausland möglich war, wo man sie weniger gut kannte.
Elisabeth erhielt anlässlich ihrer Hochzeit Diamantsterne als Haarschmuck, die sie einzeln oder als Diadem zusammengesteckt tragen konnte. Die Sterne hatten acht oder zehn Zacken und waren etwa 3,5 cm groß, gewölbt und üppig mit großen Diamanten besetzt, einige mit Perlen. Sie wurden in verschiedenen Schmuck- und Juwelierateliers hergestellt, unter anderem vom Hofjuwelier Alexander Emanuel Köchert. Das auf dem Porträt von Winterhalter abgebildete Set bestand aus insgesamt 27 Sternen.
Elisabeth verbrachte zahlreiche Kuraufenthalte in den bekanntesten europäischen Kurorten. Beispielsweise weilte die Kaiserin sechsmal zur Kur in Bad Gastein (in den Jahren 1886 bis 1893) und sechsmal im bayerischen Staatsbad Bad Kissingen oder im Staatsbad Bad Brückenau. Das erste Mal kam sie schon 1862 als 24-Jährige am 2. Juni 1862 nach Bad Kissingen, dann weitere drei Male im Juni 1863, im Juni 1864 (im Jahr der sogenannten „Kaiserkur“) und im Juli 1865. Die beiden letzten Kuraufenthalte waren im Mai 1897 und schließlich kurz vor ihrer Ermordung im April 1898. Beim letzten Mal wohnte sie in der „Villa Monbijou“ am Altenberg. Bei allen Kuraufenthalten nutzte sie das Pseudonym „Gräfin von Hohenems“, obwohl ihre wahre Identität im Kurort durchaus bekannt war. Das Pseudonym diente ihr nur, um dem offiziellen Protokoll entfliehen und als private Person auftreten zu können.
Elisabeth weilte ab 16. Juli 1898 in Bad Nauheim, um ein Herzleiden durch eine Badekur zu kurieren. Die Kaiserin war angeblich schon lange magersüchtig und körperlich sehr schwach. Jedoch verließ sie am 29. August fluchtartig ohne Gepäck und ohne Gefolge die Stadt. Nach einem kurzen Besuch in Homburg vor der Höhe reiste sie inkognito weiter an den Genfersee.
Am 9. September 1898 erreichte sie Genf, wo sie einer Einladung der Familie Rothschild nachkam. In Begleitung ihrer Hofdame Irma Sztáray besuchte die Kaiserin die Baronin Julie Rothschild in ihrer Villa in Bellevue am Genfersee. Das Treffen verlief angenehm, die Damen unterhielten sich angeregt auf Französisch, und auch beim Dinner hatte Elisabeth einen angesichts ihrer Essstörung erstaunlich guten Appetit. Als sie schließlich die weltberühmte Orchideenzucht der Baronin besichtigten, gestand Elisabeth der Gastgeberin: „Je voudrais que mon âme s’envolât vers le ciel par une toute petite ouverture de mon coeur“ („Ich wünschte, meine Seele könnte durch eine ganz kleine Öffnung in meinem Herzen in den Himmel entgleiten“) – eine poetisch gemeinte Äußerung, die von Gräfin Sztáray im Nachhinein als Vorahnung umgedeutet wurde.
Am 10. September 1898 verließ die Kaiserin gegen 13:30 Uhr das Hotel Beau-Rivage, um zu dem Raddampfer Genève zu gelangen, mit dem sie nach Caux weiterreisen wollte. Als sie in Begleitung ihrer Hofdame Irma Sztáray die Seepromenade Quai Mont Blanc entlangschritt, stürzte sich der italienische Anarchist Luigi Lucheni auf sie und stieß ihr eine spitze Feile ins Herz. Der Einstich der stilettförmigen Klinge war so klein, dass die Kaiserin ihn nicht bemerkte und dachte, der Angreifer habe ihr nur einen Faustschlag versetzt. Sie erhob sich wieder, bedankte sich bei allen Passanten, die zu Hilfe geeilt waren, und unterhielt sich mit Irma Sztáray über den Vorfall. Zehn Minuten ging Elisabeth noch weiter. Kurz nach dem Ablegen des Dampfers brach sie endgültig zusammen. Ihre letzten Worte waren angeblich: „Aber was ist denn mit mir geschehen?“ Das Schiff kehrte zur Anlegestelle zurück und die Kaiserin wurde auf einer provisorisch hergestellten Trage in ihr Hotel verbracht. Alle Wiederbelebungsversuche waren vergebens. Ein Priester spendete die Sterbesakramente in ihrem Hotel. Auf der Sterbeurkunde wurde vermerkt, dass Elisabeth um 14:40 Uhr verstorben war.
Dem Obduktionsbericht ist zu entnehmen, dass das Mordwerkzeug bis zu einer Tiefe von 8,5 Zentimeter in die Brust eingedrungen war. Am oberen Teil der linken Brust bestand eine kleine, dreieckige Wunde, welche kaum drei bis vier Tropfen Blut fließen ließ. Das Tatwerkzeug hatte die vierte Rippe gebrochen und ist durch den vierten Rippenzwischenraum in die Brust eingedrungen. Es hat den unteren Rand des oberen Lungenflügels (der das Herz bedeckt) durchbohrt und traf die vordere Fläche der linken Herzkammer einen Zentimeter von dem absteigenden Zweig der Arteria coronaria (Koronargefäß) entfernt. Die linke Herzkammer wurde vollständig durchbohrt, die hintere Scheidewand dieser linken Herzkammer zeigte eine dreieckige Öffnung von ungefähr vier Millimeter Durchmesser. Im Herzbeutel befand sich ein großer Erguss geronnenen Blutes. Wegen der nur erlaubten Teilautopsie wurde das Herz selbst nicht eröffnet. Als Todesursache wurde unzweifelhaft eine Herzbeuteltamponadefestgestellt.
Ihrem Wunsch, „am Meer, am liebsten in Korfu“ ihre letzte Ruhestätte zu finden, wurde nicht entsprochen. Als der Leichnam in einem eisgefüllten Sarg in ihrem Salonwagen nach Wien überführt wurde, waren alle Beamten des Kaiserreichs entlang der Strecke verpflichtet, der Toten im Zug die Reverenz zu erweisen. Am 17. September fand die Beisetzung in der Wiener Kapuzinergruft statt. Elisabeths einbalsamierter Leichnam ruht vollständig in der Kapuzinergruft. Dies ist eine Ausnahme, denn bei den meisten Habsburger Herrschern wurde der Leichnam zerteilt: Der Körper wurde in der Kapuzinergruft bestattet, das Herz in der Augustinerkirche und die Eingeweide im Stephansdom.
Elisabeths Sarkophag steht heute neben denen von Franz Joseph I. und Kronprinz Rudolf.
Lucheni wollte nach eigener Aussage im Verhör ursprünglich den Prinzen Henri Philippe d’Orléans ermorden. Da dieser aber kurzfristig seine Reisepläne geändert hatte und nicht in Genf eintraf, wählte Lucheni Elisabeth als sein Opfer, nachdem er von ihrer Anwesenheit in Genf erfahren hatte. Lucheni wurde wegen des Mordes zu lebenslanger Haft verurteilt. Am 19. Oktober 1910 fand man ihn erhängt mit einem Gürtel in einer Dunkelzelle.
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