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#Franck Demules
genevieveetguy · 2 years
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Forever Young (Les Amandiers), Valeria Bruni Tedeschi (2022)
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detournementsmineurs · 4 months
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"Les Estivants" de et avec Valeria Bruni Tedeschi (2018) et avec Marisa Borini, Bruno Raffaelli, Riccardo Scamarcio, Valeria Golino, Pierre Arditi, Noémie Lvovsky, Laurent Stocker, Yolande Moreau, Vincent Perez, Guilaine Londez, Joël Clabault, Franck Demules, Bernard Nissille, Brandon Lavieville, Xavier Beauvois et la jeune Oumy Bruni Garrel, juin 2024.
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theoppositeofadults · 5 years
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A trois reprises, ces derniers jours, la question nous a été posée sur la plateforme de Checknews : dans les années 70 et 80, Libération a-t-il employé et protégé un journaliste pédophile ? La réponse est oui. Et elle n’a rien d’un scoop. Elle est connue du public depuis dix ans.
En 2009 était publié aux Editions du moment un livre intitulé Un petit tour en enfer. Dans celui-ci, Franck Demules, devenu ensuite l’assistant de Carla Bruni, racontait notamment comment, entre 1977 et 1986, de ses 10 à ses 18 ans, il a été abusé par Christian Hennion, alors journaliste à Libération.
A l’âge de 10 ans, Franck Demules vit avec sa mère à Paris dans une communauté maoïste. Il y croise souvent des journalistes de Libé, plus ou moins proches des gens qui y habitent. C’est ainsi que Christian Hennion se retrouve un soir, un peu par hasard, à son anniversaire. Deux semaines plus tard, il installe son matelas dans la chambre de Franck. Sa mère voit rapidement en Christian Hennion un père de substitution – celui de Franck est mort un an et demi plus tôt. Il l’emmène à la piscine, à Libé, lui fait rencontrer des gens intéressants.
Les relations imposées continueront ainsi, presque tous les jours, jusqu’à ses 18 ans. Au cours de ces années, Christian Hennion devient même le «tuteur» officiel de Franck, et obtient la garde partagée de l’enfant. C’est sa mère qui a eu l’idée la première, et qui avait même engagé les démarches pour. Puis, elle a compris. Mais à l’époque, une juge avait considéré que Franck avait besoin de Christian. 
Le «petit Franck», comme l’appelle encore aujourd’hui une membre fondatrice de Libé avec qui CheckNews s’est entretenue, est lui, au croisement des années 70 et 80, un visage familier du journal. Il accompagne souvent Christian Hennion à la rédaction. Lequel le présente comme son fils d’adoption, ce qui est faux.
Une journaliste historique de Libé, présente à l’époque, nous explique : «On était tous plus ou moins au courant, mais on n’a rien fait. Aujourd’hui, je m’en veux. Christian nous disait qu’il prenait des bains tous les soirs avec Franck, et nous, on faisait des blagues, on lui demandait ce qu’il faisait avec ce gamin. L’avocat de la mère avait plaidé que c’était scandaleux de donner la tutelle à un homo, en parlant de Christian. Ça, par contre, ça avait choqué tout Libé. On était complètement irresponsables à l’époque.»
«Irresponsable.» Le mot revient dans la bouche de Bénédicte Mei, qui s’occupait de l’administratif au journal, et assure n’avoir rien vu à l’époque. Lorsque des années plus tard, Franck lui raconte son histoire, avant la sortie de son livre, lors d’une soirée organisée à une autre occasion, elle n’en revient pas. «Je me suis demandé comment on avait pu laisser faire ça, c’est affreux ! On était jeunes, on avait entre 22 et 25 ans, mais c’est grave ! Je suis sidéré qu’on soit passé à côté de cela. On tapait du poing sur la table pour n’importe quoi, mais sur ça, on n’a rien fait. On était insensibles d’une certaine manière.» Elle ajoute : «Franck, c’est l’enfant martyr de Libération.» Puis : «Il s’est retrouvé pris au milieu de tout ça, de cette époque qui permettait tout, même ces énormités. S’excuser, c’est bien, mais c’est con en fait.»
S’ils semblent inconcevables aujourd’hui, cet aveuglement, sinon cette acceptation de la pédophilie, cadraient avec l’esprit libertaire du journal de l’époque, qui reflétait celui d’intellectuels prestigieux de la gauche d'alors. Libération a donné la parole à des défenseurs de la pédophilie, en publiant des textes, des courriers de lecteurs, des dessins ou de petites annonces.
Nous avons rencontré Franck Demules cette semaine. A deux reprises. Marié et père de trois enfants, bientôt grand-père, il enchaîne aujourd’hui les petits boulots et estime à 53 ans, que les dégâts infligés par ces dix années, où il fut victime de Christian Hennion, sont «irréparables». Il dit : «Tout mon être a été colonisé par cet homme.»
En 2009, dans son livre, il écrivait ceci à propos des journalistes de Libération,dont il était proche à l’époque : «J’en veux à leur silence. […] Jamais un : qui est ta mère ? Est-ce que tu es heureux avec Christian ? Est-ce que ça ne te dérange pas de dormir dans le même lit ? Je suppose que par amitié, ils ont préféré ne pas s’en mêler. Ces pensées, bien sûr, je les ai eues après coup. Je n’en veux à personne de ne pas être intervenu, je leur en veux juste de ne pas avoir eu le courage de me demander : est-ce que ça va ? Ces personnes en avaient les facultés intellectuelles.»
Des années plus tard, assis dans un café du Ve arrondissement de Paris, il précise : «Il n’y a pas qu’au journal que les gens ne se sont pas interrogés, ne m’ont pas interrogé sur ma relation avec Christian. Partout où je suis allé avec mon tuteur – je devrais dire pédocriminel mais je n’y arrive pas – personne ne m’a jamais demandé. Ni les amis intellos de Christian, ni ses amis psys, avocats, banquiers, juges, ou personnalités du show-business. C’était normal pour tout le monde. Personne ne m’a jamais demandé si j’étais heureux, juste heureux.»
Il continue : «J’ai bien fait la différence entre Christian, mon pédophile, et son boulot, l’entreprise dans laquelle il travaillait. Ça m’a fait un énorme chagrin de ne pas pouvoir raconter à Libé à quel point je les ai aimés, et à quel point aussi ces souvenirs sont aussi chaleureux que dévastateurs. C’était l’occasion de fermer une boucle. Mais elle ne s’est jamais refermée, parce que les gens, souvent, dans ces cas-là, s’enfuient.» Cette décision, de ne rien écrire à l’époque dans Libé, a aussi surpris Ludovic Perrin : «Je comprends que ce soit dur d’en parler. Mais ça me semble encore pire de ne pas le faire. Surtout, tant que Libération ne raconte pas cette histoire, ça rend les gens complices.»
Après la publication de son livre, Franck Demules assure avoir reçu quelques messages d’excuses, de la part de deux ou trois journalistes de Libération. Les autres, selon lui, se sont tus, quand ils ne l’ont pas évité, lorsqu’ils le croisaient accidentellement en soirée. «Non seulement tu es victime, mais en plus tu culpabilises d’en parler. C’est ça le problème de la pédophilie : les victimes sont coupables. C’est la double peine. Non seulement, on te vole ton enfance, mais en plus tu fais chier tout le monde à raconter ce que tu as vécu.»
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hopefeminin-blog · 6 years
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France Inter : Enfants abusés, enfances volées
Un débat éditorialisé par Benoit Lagane
Pour en discuter, nous recevons
Sylvie Meyer, documentariste
Muriel Salmona, psychanalyste
Franck Demules, témoin
Mie Kohiyama, journaliste
Iéléna, YouTubeuse
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