#Fleurs de la passion
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MAN RAY (1890-1976) | Fleurs de la passion, c. 1924
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La cachette du bourdon par brigitte lagravaire Via Flickr : 2024-06-23-flr-jardin (13c²)
#20240623#jardin#fleur du jardin#juin#printemps#macro#macro de fleur#flou#bokeh#passiflore#fleur de la passion#insecte#bourdon#pollinisateur#pollinisation#format carré#flickr
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Science et vérité: de la différence entre connaissance et savoir
Il n’y a de savoir que de lalangue.
Le psychanalyste établit une différence notable entre: “connaissance” (S2) et “savoir” (S1—>S2)
«Le savoir ne s’acquiert pas par le travail, et moins encore la formation qui du savoir est l’effet.
Ce qui n’est nullement dénier le savoir du travailleur, voire si l’on veut, du peuple, mais affirmer que pas plus que les savants, il ne l’acquiert par son travail.
Galilée, ni Newton, ni Mendel, ni Gallois, ni le mignon petit James D. Watson ne doivent rien à leur travail, mais à celui des autres, et leurs trouvailles se transmettent en un éclair à qui a seulement la formation qui s'est produite de court-circuits du même ordre, et numérisables, même si l’ennui scolaire en a éteint la mémoire.
N’importe quelle mère de famille sait que la lecture est un obstacle à son travail, le premier manœuvre venu que c’en est l’échappatoire, l’ouvrier communiste, qu’il y prend ses lettres de noblesse.» (Lacan)
La différence entre le savoir et l’acquisition de connaissances, qui, elle, procède de l’apprentissage, est probablement ce qui fait que dans la psychanalyse, on enseigne ; on continue d'enseigner tout en sachant que c'est intransmissible.
Cela ne veut pas dire que l’on enseigne quoi que ce soit. Autrement dit que l’enseignement soit une transmission de savoir.
Il se pourrait même que l’enseignement soit l'obstacle principal à la conquête du savoir.
Il n’y a de savoir que savoir de lalangue, écrit comme ça, en un mot, car tout savoir véritable est marqué du sceau de la jouissance, et il ne saurait y avoir de savoir que joui.
Loin de se situer en opposition à la pratique , la théorie - ce qui s'appelle à proprement parler “théorie”, du Grec theoria qui veut dire vision - est ce qui naît de la pratique pour en éclairer les modalités concrètes.
Le plus important, dans l'enseignement, c'est ce qui se passe, la valeur du savoir tient de l'usage que l'enseignant en fait - et donc sa façon singulière d'en jouir, plutôt que de son “échange”…
Lacan est très sévère avec le discours universitaire qui se trouve dans un rapport radical d’antipathie avec le discours de l’analyste. L'acquisition de connaissances du discours universitaire est à mettre au compte de la passion de l'ignorance, le savoir concerne autre chose, ce bout de Réel dont, en tant que sujet, je EST affligé, et que seul le discours de l’analyste, qui est de structure mœbienne, permet d’amener au jour.
«Le statut du savoir implique comme tel qu’il y en a déjà du savoir, et dans l’Autre, qu’il est à prendre en deux mots, c’est pourquoi il est fait d’apprendre en un seul mot. Le sujet résulte de ce qu’il doive être appris, ce savoir, etmême mis a-prix, p.r.i.x., c’est-à-dire que c’est son coût qui l’évalue non pas comme d’échange mais comme d’usage. Le savoir vaut juste autant qu’il coûte beaucoup en deux mots et c.o.û.t. avec un accent, beau-coût de ce qu’il faille y mettre de sa peau, de ce qu’il soit difficile, difficile dequoi ? Eh bien moins de l’acquérir que d’en jouir. Là dans le jouir, sa conquête à ce savoir, sa conquête se renouvelle dans le chaque fois que ce savoir est exercé, le pouvoir qu’il donne restant toujours tourn�� vers sa jouissance. Il est étrange que ceci n’ait jamais été mis en relief, que le sens de savoir soit tout entier là, que la difficulté de son exercice lui-même, c’est cela qui réhausse celle de son acquisition.» (Encore – 20 mars 1973)
Lorsque Gérard de Nerval dit: «Le premier qui a comparé la femme à une fleur était un poète, le deuxième un imbécile», il pointe le statut de la vérité qui fait structure de tout discours.
La vérité n’est pas à confondre avec l’exactitude ni le vrai.
Un énoncé peut être parfaitement exact — une formule de Lacan par exemple ! — cela ne signifie pas que le locuteur dit la vérité.
Il n’y a pas plus contradictoire à l’enseignement de Lacan que d’ânonner ses énoncés sans y mettre tout le poids de sa propre énonciation.
Il n’y a pas pire trahison de l’enseignement de Lacan que de rabattre ses énoncés sur la structure du Discours Universitaire, qu’il taxait lui-même de Discours du Maître perverti, celui de «la honte» que les soi-disant psychanalystes ont «à revendre»…
La vérité n’a pas de contraire, elle ne prend pas son statut de l’exactitude de tel ou tel énoncé mais des conséquences réelles à venir pour le sujet qui l’énonce.
Sans un risque réel pris par le sujet de l’énonciation — celui qui importe vraiment — l’énoncé peut être vrai, il n’en est pas moins exempt de vérité.
Le seul savoir auquel j’aie accès, c’est la fente dont se définit le sujet, le réel dont je “est” affligé.
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La saison des tulipes.... Tout comme la rose rouge, la tulipe rouge est un symbole de passion et d'amour intense. C'est la fleur idéale pour le jour de la Saint-Valentin ou pour faire une grande déclaration d'amour. La tulipe blanche, quant à elle, représente un amour sincère, pur et idéaliste
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Pour être heureux
Il ne faut que des fleurs
Un filtre de soleil
Et quelques graines de bonheur
Le chant des oiseaux
Le toît d'une maison
Et la brise du vent.
Pour être heureux
Il faut s'entourer de vertus
S'emmitoufler d'amour
Se nourrir de passion
Prendre dans sa main celle d'un être cher.
Pour être heureux
Il faut regarder le ciel
En oubliant la terre
Fermer les yeux sur le passé
Pour les ouvrir sur le rêve
Pour être heureux
Il ne faut plus penser
Que l'on puisse être malheureux
Pour être heureux
Entre nous... il nous faut si peu
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ô bonheur surhumain qui m'étreint - mes larmes trempées de soleil ruisselant sur ta beauté nue - comme je t'aime ! à m'étreindre - au plus profond de la nuit et du sentiment - tu es l'aurore retrouvée, tu es la joie révélée - à l'appel de mes Mystères et de mes Vœux - mes mains dressées en un plus bref hommage - et que tes lèvres effleurent (imperceptibles tressaillements ! renoncement aux banalités douloureuses ! ma tête renversée en signe d'acquiescement !) - je vois le ciel où je t'embrasse plus purs ensemble même agenouillés dans la fange qui ne nous concerne plus - ô bonheur surhumain qui m'étreint - délice de tes lèvres, de tes caresses, de tes initiations - je reste émerveillée - immobile - fulgurée - au duvet de tes gestes, fleurs surnageant sur les eaux - mes flancs dévoilés de tendresse - lac de mes passions... où je te noie, ô volupté, au seuil de mes calices - inénarrable félicité ! - je tremble de la joie où tu me vois sombrer, où je veux t'attirer - comme un soleil inarrêtable - que tu cèdes avec moi - digues aux lys enlacés, tels nos deux corps printaniers, germant de tous côtés - bourgeons foisonnants et germes enivrants - toutes mes fleurs de supplice, mes plantes tentatrices - mes parfums corrupteurs - de l'humus tout humide - à nos chairs accolé - ô bonheur surhumain qui m'étreint - ô beauté surréelle et sans fin - de tes mains, de tes reins - ô bonheur souverain...
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Un jour un bouquet...💐
La saga romantique des fleurs s'épanouit à travers l'éternité. Chaque jour, chaque aurore, chaque crépuscule devient une page d'amour.
Chacun porte sa propre saga, tissée de moments difficiles, de victoires célébrées, et les fleurs, douces messagères de nos émotions, demeurent à nos côtés. Elles deviennent le symbole de notre passion, et ainsi, la vie s'entrelace dans la continuation enchanteresse de la saga florale.
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L'anniversaire de mariage
Contexte: Le roi Baudouin IV de Jérusalem n'a pas la lèpre. Alix de Tripoli est la fille du comte Raymond III de Tripoli.
Dans la magnifique cité de Jérusalem, le roi Baudouin IV et la reine Alix de Tripoli se préparaient à célébrer une nuit de liesse et de passion. Mariés depuis cinq ans, ils étaient unis par un amour profond et une complicité inébranlable. À l'aube de leurs vingt-trois ans, ils avaient décidé de marquer cet anniversaire en célébrant leur union par une fête grandiose et une nuit merveilleuse.
Baudouin, aux traits nobles et au regard perçant, attendait avec impatience la venue de sa belle épouse. Alix, à la beauté éclatante et à la douceur envoûtante, fit son entrée dans la salle spécialement décorée pour l'occasion. Elle était vêtue d'une somptueuse robe de soie brodée d'or, mettant en valeur sa silhouette élancée et sa grâce naturelle.
Les yeux de Baudouin s'illuminèrent en contemplant sa femme, dont la beauté le fascinait toujours autant. Il lui prit délicatement la main et l'entraîna sur la piste de danse improvisée où ils commencèrent à virevolter au rythme envoûtant de la musique jouée par des musiciens talentueux.
Les invités observaient le couple royal avec admiration et respect, témoins de l'amour qui les unissait. Baudouin et Alix dansaient avec grâce et légèreté, leurs yeux ne se détachant jamais les uns des autres, comme s'ils étaient seuls au monde.
Après la danse, Baudouin prit la main d'Alix et l'entraîna vers leur chambre, où les attendait un festin de fruits exotiques et de douceurs sucrées. Ils se regardèrent intensément, comprenant sans mots que cette nuit serait spéciale.
Dans la chaleur de leur étreinte, Baudouin et Alix s'abandonnèrent l'un à l'autre, dans un tourbillon de passion et de désir. Leurs corps fusionnèrent dans un ballet sensuel et enivrant, scellant leur amour dans un échange de tendresse et de complicité.
Cette nuit-là à Jérusalem, dans la lueur des bougies et le parfum enivrant des fleurs, Baudouin et Alix célébrèrent leur union avec une intensité et une tendresse qui éclairèrent leur amour d'une lumière éternelle.
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Le bonheur, c'est quand le temps s'arrête et que les instants deviennent éternels. L'amour, c'est comme une fleur fragile, il faut en prendre soin chaque jour pour qu'elle reste belle et épanouie. Un voyage, c'est chaque jour une nouvelle étape à parcourir avec passion et détermination. Les souvenirs sont des trésors précieux qui nous accompagnent tout au long de notre vie. La musique est un langage universel qui unit les gens et transcende les frontières. La simplicité est la clé de l'élégance et de la beauté intemporelle.
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“Sans passion, la volupté est une fleur sans parfum, un écho vide, un souffle sans embrasement divin. Car c'est la passion qui donne vie à la volupté, lui insufflant un feu ardent et l'intensité de la plus intime des émotions.
La volupté sans passion est une coquille vide, un plaisir éphémère sans véritable guide. C'est la passion qui nourrit cette flamme intérieure, qui transforme la volupté en une expérience sensuelle pure.
Ainsi, la passion et la volupté s'entrelacent, comme les fils d'une toile où l'amour se délace. L'une ne peut exister sans l'autre, en vérité, puisque dans la passion réside la source de la volupté.„
~•~
“Without passion, voluptuousness is a flower without fragrance, an empty echo, a breath without divine fire. For it is passion that gives life to voluptuousness, breathing into it a blazing fire and the intensity of the most intimate of emotions.
Voluptuousness without passion is an empty shell, an ephemeral pleasure with no real guide. It's passion that feeds this inner flame, transforming voluptuousness into a pure sensual experience.
In this way, passion and voluptuousness intertwine, like the threads of a web where love unravels. In truth, one cannot exist without the other, since passion is the source of voluptuousness.„
~•~
— Fred Leforgeur-Baudelaire
Fine art photography : John Doe
#all rights reserved#droits d'auteur#lb editions lb#fred leforgeur-baudelaire poetry#fred leforgeur baudelaire notes
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since I'm too sick to write today, brief noble bell character histories! ^_^
Bou de Neige
(twisted from Snowball in the Disney movie)
Bou was born to a seamstress in the slums of Fleur City. His father abandoned them shortly after, prompting him to become protective of his kindly and naive mother. He tends to keep his personal life separate from his school life, though he visits his home every weekend and his mother makes all of his clothes and shoes.
Since childhood, he’s been obsessed with justice and idolized the story of the Righteous Judge. He aspires to become a court secretary in Fleur City; thus he takes his studies, and his position, at Noble Bell extremely seriously, and has no tolerance for disorder. His obsession with "justice" can make him aggressive and harsh, at times. He’s known for making quick judgments about people, and is able to decide if he likes someone or not within minutes of meeting them. He has a dislike of Pierrot, whose values don't align with Noble Bell's, and a deep dislike of Phoenix, who nicknamed him “Boubou” within seconds of introducing himself. Bou, however, admires Rollo, and sees him as an older brother figure. Rollo does not reciprocate.
Phoenix Bussiere
(twisted from Disney's Phoebus and 1923 Phoebus, since the book Phoebus is SO unlikable. lol)
Phoenix comes from the wealthiest neighborhood in Fleur City, the only child to a quiet military hero, and overprotective and coddling mother. Despite his stifled childhood, he grew to be charming, extroverted, and brave, with a passion for helping the disadvantaged and following his heart.
He was enrolled at Royal Sword Academy (against his parent's wishes) for one and a half years before they finally convinced him to come home and follow his father's path, to which he transferred to Noble Bell College. With a spotless record and the highest recommendations, Rollo Flamme endorsed him as Justice of the Peace, and with his charming and flirtatious personality, he became a quick favorite of the students at Noble Bell. Within his third month, he became housewarden of La Ville. He is, however, unpopular with some: Bou dislikes him for not taking his position seriously, and Pierrot dislikes him for being full of himself. Rollo is initially apathetic, but grows to dislike him for his flirtatious behavior towards Yuu.
Pierrot Gregoire
(twisted from book and 1939 Pierre Gringoire)
Pierrot's father is a notary, and he has five brothers, both younger and older, putting him somewhere in the middle. Though introverted and cowardly, he didn't take his studies seriously until enrolling at Noble Bell College, where he was tutored by Rollo Flamme and became a high-achieving student with a passion for history, literature, and mythology. For his grades, he was awarded a full-ride scholarship after his wealthy father disowned and estranged him for choosing to pursue creative writing. Leaving him penniless, but with a strong belief in free thought and equal education, which… makes him rather unpopular at Noble Bell. In his third year, he published a controversial pamphlet on the matter of tradition and lost his scholarship and was refused to move to the next grade. He's lived on the streets and paid for school out of pocket since. Nonetheless, he's continued writing, having produced several poems, plays, pamphlets, and one book about a comet, none of which have made him any money. He has a blog which he shares his poetry on.
--will add more as I go along
I didn't include a section for rollo (this time), but I do want to say that I see him as an orphan with no living relatives. His family was old-money wealthy, so he lives off of inheritance
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A glimpse into 2025
This year many discoveries were made, and hopefully 2025 will be just as full of surprises. But let's be honest, I have (as many of us do) a growing TBR, and maybe 2025 will be the year for some of the novels waiting there.
Here's a look at what I hope to find time and excitement to read in the months to come
Gunnar's daughter, Sigrid Undset
Set in Norway and Iceland at the beginning of the eleventh century, this is the story of the beautiful, spoiled Vigdis Gunnarsdatter, who is casually raped by the man she had wanted to love. A woman of courage and intelligence, Vigdis is toughened by adversity. Alone she raises the child conceived in violence, repeatedly defending her autonomy in a world governed by men. Alone she rebuilds her life and restores her family's honor, until an unrelenting social code propels her to take the action that again destroys her happiness. More than a historical romance, Gunnar's Daughter depicts characters driven by passion and vengefulness, themes as familiar in Undset's own time - and in ours - as they were in the Saga Age.
Manuscrit trouvé à Saragosse, Jean Potocki
Arrivé en Espagne pour y devenir capitaine des gardes wallones, le jeune Alphonse Van Worden est entraîné dans une étrange aventure. La Sierra Morena qu'il choisit de traverser pour se rendre à Madrid, jouit alors (début du XVIIe siècle) d'une sinistre réputation. A l'orée de cette contrée maudite, un gibet orné de pendus suppliciés met en condition le voyageur assez intrépide pour s'y aventurer. C'est là pourtant qu'à travers les étapes et les épreuves d'une quête initiatique faite de terreurs et de délices alternées, le jeune Alphonse s'engagera dans la voie du vrai savoir
Moon Witch, Spider King, Marlon James
Part adventure, part chronicle of an indomitable woman – the witch Sogolon – who bows to no man, this is an unforgettable exploration of power, personality, and the places where they overlap, set in a world at once ancient and startlingly modern.
Notre-Dame-des-Fleurs, Jean Genet
Jean Genet’s debut novel Our Lady of the Flowers, which is often considered to be his masterpiece, was written entirely in the solitude of a prison cell. A semi- autobiographical account of one man’s journey through the Paris demi-monde, dubbed “the epic of masturbation” by no less a figure than Jean-Paul Sartre, the novel’s exceptional value lies in its exquisite ambiguity.
The Charioteer, Mary Renault
After enduring an injury at Dunkirk during World War II, Laurie Odell is sent to a rural veterans’ hospital in England to convalesce. There he befriends the young, bright Andrew, a conscientious objector serving as an orderly. As they find solace and companionship together in the idyllic surroundings of the hospital, their friendship blooms into a discreet, chaste romance. Then one day, Ralph Lanyon, a mentor from Laurie’s schoolboy days, suddenly reappears in Laurie’s life, and draws him into a tight-knit social circle of world-weary gay men. Laurie is forced to choose between the sweet ideals of innocence and the distinct pleasures of experience.
The passion, Jeanette Winterson
Set during the tumultuous years of the Napoleonic Wars, The Passion intertwines the destinies of two remarkable people: Henri, a simple French soldier, who follows Napoleon from glory to Russian ruin; and Villanelle, the red-haired, web-footed daughter of a Venetian boatman, whose husband has gambled away her heart. In Venice’s compound of carnival, chance, and darkness, the pair meet their singular destiny.
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𝔣𝔞𝔪𝔦𝔤𝔩𝔦𝔢 𝔰𝔱𝔬𝔯𝔦𝔠𝔥𝔢
Famille Altoviti Richesse : €€€€ Domaine : Droit et diplomatie Affiliation : Dei Medici Keywords : ambition, duplicité, héritage, déshonneur, manipulation Les Altoviti se décrivent comme les architectes invisibles de Florence, tissant leurs alliances dans l’ombre des palais. Leur histoire regorge de figures influentes : juges, diplomates, et conseillers des puissants. Pourtant, leur richesse et leur réputation se sont bâties sur des compromis douteux, et les murs de leur domaine abritent bien des secrets. Jusqu'au point où le patriarche Altoviti est enfin devenu Sindaco au dernière élection, devenant le maire de la ville de Florence.
Un scandale récent a secoué la famille : l’héritier présumé, considéré comme le futur prodige juridique de Florence, a mystérieusement disparu lors d’un voyage d’étude à Rome. Si certains murmurent qu’il aurait fui pour échapper à un mariage arrangé, d’autres évoquent un chantage politique impliquant des membres influents de la famille. Dans l’ombre, le frère cadet, autrefois éclipsé, manœuvre habilement pour hériter d’une dynastie qu’il n'aurait jamais dû gouverner.
Famille Amantea Richesse : €€ Domaine : Botanique et parfumerie Affiliation : Di Michelangelo Keywords : sensualité, manipulation, scandale, poison, dualité La famille Amantea habite une villa dissimulée dans un écrin de verdure, où les jardins débordent de fleurs exotiques et d’herbes aux usages ambigus. Réputés pour leurs parfums envoûtants, les Amantea ont conquis les élites florentines avec leurs créations capables d’éveiller des souvenirs enfouis ou d’inspirer des passions.
Cependant, une aïeule tristement célèbre a entaché la réputation distinguée des parfumeurs, il y a 180 ans. En effet, Delilah Amantea est connue pour être avoir empoisonné de nombreuses personnes. Des dizaines d'années en liberté, sa maîtrise des poisons s'est toujours faite passée pour des morts naturelles. Malgré son exécution, son ombre plane encore dans la famille : des lettres récemment découvertes suggèrent qu’elle aurait assassiné son propre époux, un illustre Dei Medici.
Les Amantea, malgré leur passé auréolé de mystère, continuent de prospérer dans leur villa dissimulée. Chaque recoin de leur domaine, des serres luxuriantes aux alambics secrets, témoigne d’une obsession pour l’art et l’alchimie des senteurs. Pourtant, la légende de Delilah Amantea reste une cicatrice indélébile dans leur histoire. Certains murmurent qu’une partie de ses écrits, dissimulés dans un grimoire oublié, aurait traversé les générations, offrant à ses descendants des connaissances interdites. Si les Amantea nient farouchement ces allégations, les élites qui se pressent dans leurs salons parfumés ne peuvent s’empêcher de se demander : où s’arrête l’art et où commence le poison ?
(Prénom de fleur fortement conseillé)
Famille Bianchi Richesse : €€ Domaine : Construction et restauration Affiliation : Neutre Keywords : fierté, rivalité, tradition, sacrifice, trahison
Les Bianchi, bâtisseurs d’exception, ont érigé Florence comme un rêve défiant les lois du possible. Leurs ouvrages, d’une élégance vertigineuse, semblent être portés par des forces invisibles. Les anciens disent que leurs structures ne sont pas seulement solides, mais imprégnées d'une essence particulière, comme si chaque pierre, chaque arche, vibrait d’une volonté propre : un véritable art !
Pourtant, depuis la tragédie qui a coûté la vie au patriarche, victime de l’effondrement d’un échafaudage sur un chantier, les murmures planent autour de la famille. Si l’enquête a conclu à un accident, les rumeurs suggèrent autre chose : sabotage, rivalités ou même une trahison au sein des Bianchi eux-mêmes.
Leurs deux fils, désormais à la tête du nom, incarnent des visions opposées. L’aîné, gardien des traditions, semble obsédé par l’idée de préserver la vision des constructions familiales, parlant parfois des bâtiments comme d’entités vivantes et artistiques. Le cadet, quant à lui, est attiré par des techniques modernes et des investisseurs dont les intentions ne sont jamais claires. Entre eux, les tensions ont explosé lorsqu’une lettre anonyme, glissée sous la porte lors d’une réunion familiale, a insinué que la mort du père n’était pas fortuite.
Aujourd’hui, sur les chantiers des Bianchi, la méfiance règne, et chaque pierre posée sur leurs chantiers semble porter le poids du drame.
Famille Fioravanti Richesse : €€€€€ Domaine : Joaillerie Affiliation : Dei Medici Keywords : opulence, vanité, désir, meurtre, honte
Les Fioravanti incarnent le luxe et la grandeur. Leurs bijoux, étincelants d’opulence, ornent les plus grands événements de Florence. Mais leur éclat dissimule des ombres profondes : un drame familial, longtemps enterré, refait surface.
Il y a trente ans, un fils prodigue a été banni après avoir volé un diamant légendaire de la famille, présent dans l'héritage familial depuis 1423, pour le donner à une amante. Lorsque le joyau a refait surface lors d’une vente aux enchères, un enchérisseur anonyme l’a racheté pour une somme exorbitante. Ce dernier s'est évidemment tournée vers l'illustre famille pour l'intégrer à son futur bijou. Quelques jours plus tard, l’aîné des Fioravanti a été retrouvé mort dans son atelier, une bague inachevée serrée dans son poing, sans trace de la pierre précieuse
Aujourd’hui, on raconte que la matriarche tente de protéger l’héritage familial, notamment en cachant des lettres qui pourraient révéler que le diamant volé ne serait pas qu’un bijou. Il est vrai que l'arrière-arrière-grand-père Fioravanti, sénile comme pas deux, racontait à qui voulait l'entendre que ce bijou était des larmes éthérées. Les tensions atteignent leur paroxysme alors que les membres restants cherchent à, ou bien récupérer la place de l'héritier, ou s'innocenter. Famille Malaspina Richesse : €€ Domaine : Antiquités et restauration d’art Affiliation : Di Michelangelo Keywords : héritage, obsession, mystère, malédiction, drame familial Les Malaspina, gardiens du passé, possèdent une boutique à l’atmosphère oppressante, regorgeant de trésors oubliés. Leur passion pour les antiquités frôle l’obsession, et leur collection est marquée par des acquisitions aussi extraordinaires que controversées qui ont traversées le temps. C'est leur collection de toiles qui fait le plus parler d'eux : peintures d'une beauté troublante dans leur propre demeure ; on raconte que les détails changent selon l'angle ou la lumière ; des visages dessinés d'un réalisme époustoufflant.
De vieilles rumeurs murmurent que les Malaspina, autrefois, étaient plus que de simples collecteurs : on parle de "gardes" ou de "veilleurs", mais de quoi, personne ne sait vraiment !
L’actuelle matriarche protège l’accès à une aile de leur domaine, qui ne vieillit pas bien avec le temps, prétendant vouloir préserver des manuscrits inestimables et si fragiles ! Pourtant, son silence laisse planer un doute : est-ce pour préserver des trésors ou pour contenir quelque chose ? Le cadet, en quête de vérité, s’oppose à sa sœur aînée, avec la volonté de découvrir ce qui se cache réellement, pour enfin passer à autre chose. Mais sa soeur conserve les traditions familiales et le respect de la volonté des ainés. Les Malaspina sont vu comme des exilés volontaires, des excentriques, prisonniers de leur propre histoire.
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Pour toi c'est quoi l'amour ?
L'amour, c'est tout ce qui est invisible à l'œil nu. Ce que le temps lisse, tout ce que l'on oublie lorsque la routine s'installe. L'amour, c'est le regard, le désir, la passion, les pleurs, les sourires. L'amour, c'est la communication, le fait de se sentir bien, avec l'autre ou sans. L'amour, c'est les petits mots marqués sur les post-it, l'amour, c'est rendre service, offrir des cadeaux, donner de son temps. L'amour, c'est des concessions sans l'oubli de soi. L'amour, c'est penser à l'autre dans les moments du quotidien. L'amour, c'est le soleil, les fleurs. C'est vouloir partager sa vie, ses bras, ses lèvres. C'est regarder les étoiles, aller au musée, partager ses passions. L'amour, c'est se réinventer quand on se lasse. L'amour, c'est connaître l'autre dans son entièreté. L'amour, c'est prendre soin de l'autre comme il le fait pour nous. L'amour, que j'aime c'est l'amour qu'on ne laisse pas échapper, celui qu'on prend le temps de construire, de faire grandir, celui dont on tire le meilleur. L'amour, c'est tout ce que j'idéalise et que je n'aurais peut-être jamais.
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Et maintenant …
Tout n’est plus que jardins désertés par la lune,
Les fleurs que tu aimais sont mortes une à une.
Le ciel est sans espoir les anges l'ont quitté,
Les cygnes ont fui cet étang d’antiquité.
Qu’il est désespéré ce grand bras qui s’étire,
Arbre qui mille oiseaux aux grands chants plus n’attire.
Et toi nocturne ami étrange visiteur,
Messager d’au-delà noir annonciateur.
Tu t’es perdu noyé dans les bruits de la ville,
O silence de l’âme ô musique immobile.
Et peu à peu les frais brouillards se sont levés,
En laissant éplorés les pays délavés.
Et la nuit est partie par une grille ouverte,
La nuit panthère noire aux yeux de lune verte.
Arbre désert sans cris jardin de bas-côté,
S’est défleuri tout ce qui fut de sa beauté.
Poème d’Avraham
Source : site La Passion des Poèmes
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Mon cher ami,
Aujourd’hui c’est mon corps qui écrit à vos lèvres, les mots imbibés d’amour dans l’encre de ma fièvre. J’ai pour habitude de garder tout en moi, c’est une jolie façon pour ne pas altérer mes sentiments de femme, partager c’est souvent rendre fragile le vent de nos pensées, je ne veux pas voir le beau se transformer en cristal. Prenez alors les lettres de mes mains, le lit de ma peau et la fleur de mon âge. Touchez le rouge de votre bouche contaminée par le murmure de mon rêve, embrassez ce rendez-vous secret qui passe sur l’instant.
Mon cher ami, l’inassouvi est une empreinte éternelle, la demande, une épaule qui reste dans le temps, entre moi, entre nous vit un silence si réel que je me gorge même de l’oubli pour embrasser la vie. La tristesse, la solitude ne sont rien lorsque je pense à vous, ma robe a des fleurs blanches qui poussent, joyeuses de vous savoir là-bas, mes doigts ordonnent, posent l'inutile pour que je me nourrisse du jour.
Mon cher ami, je perds l’usage de mon cœur, vous êtes cet ami qui manque à ma vie, cet être plein de mystère qui pourrait vivre jusque sur mes paupières, ce muscle qui ferait travailler ma chair, cette nuit qui m’aimerait à raison. Je vous pardonne de ne pas être et je vous aime néanmoins sur les rives bleues de ma passion.
@ Carole Riquet
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