#Feryel
Explore tagged Tumblr posts
Video
youtube
Feryel Turki
وينو هكا يحرمني من زينو كان تجي عيني في عينو اش نعملو يا وخياني؟
😀 😀
3 notes
·
View notes
Photo
#un divan à tunis#arab blues#manele labidi#golshifteh farahani#feryel chammari#ramla ayari#filmedit#💁♀#you couldn't fit in more cliches about north africans because they're all in in this film already
129 notes
·
View notes
Text
“Un divano a Tunisi” in programma per Cinema d’Estate, venerdì 30 luglio alle ore 21.30 in Piazza della Chiesa ai Picchi di Cherasco
REDAZIONE IDEAWEBTV.IT 26 luglio 2021 14:16
Venerdì 30 luglio 2021 il cinema d’estate arriva nella piccola frazione dei Picchi di Cherasco, in piazza della Chiesa, con il film “Un divano a Tunisi” di Manele Labidi Labbé. Una commedia per tutti con Golshifteh Farahani, Majd Mastoura Mastoura, Aïsha Ben Miled, Feryel Chammari, Hichem Yacoubi, Ramla Ayari, Moncef Anjegui, dalla durata di 87 minuti.
Selma è una giovane psicanalista franco-tunisina, single e indipendente, cresciuta a Parigi dove ha completato gli studi e ha abbracciato lo stile di vita europeo, tra jeans, tatuaggi e tagli di capelli sbarazzini. Dopo la fine della Primavera Araba e l’esilio del presidente Ben Alì, decide di tornare in terra natìa, a Tunisi, per esercitare la sua professione. Viene accolta dagli zii e contro la loro opinione apre uno studio sul tetto del loro riad.
Da lì in poi comincia un via vai di personaggi bizzarri che si presentano alla porta di Selma con il loro carico di paturnie: dal panettiere a cui piace vestirsi da donna, alla parrucchiera di successo che non sopporta la madre, dall’ex militare che soffre di manie di persecuzione, all’imam depresso. Selma funge da perno all’andirivieni di pazienti che si affacciano al suo studio, oltre a fare da specchio alla cugina Olfa, adolescente ribelle che cerca in ogni modo di affrancarsi dalla famiglia e dalla tradizione islamica che la vorrebbe sposa e madre. Tra impiegati ministeriali inadempienti e poliziotti troppo zelanti, per Selma non sarà tutto rose e fiori e si ritroverà a fronteggiare una serie di impedimenti burocratici che potrebbero costringerla a chiudere lo studio, mentre la fila di persone che richiedono il suo aiuto si infoltisce.
Durante tutti gli appuntamenti saranno rispettate le norme sulla sicurezza (posti a sedere distanziati e mascherina obbligatoria fino al momento di prendere posto).
Le proiezioni inizieranno alle 21,30. Per info ufficio turistico tel. 0172427050.
c.s.
#cinema#tunisia#francia#un divano a tunisi#commedia#manele labidi labbé#golshifteh farahani#majd mastoura mastoura#aïsha ben miled#feryel chammari#hichem yacoubi#ramla ayari#moncef anjegui
1 note
·
View note
Text
Arab Blues
Arab Blues [trailer]
After years abroad in Paris, Selma returns to Tunis with the dream of opening up her own psychotherapy practice.
After the introduction of the general set-up and the characters, the movie fails a bit to get traction.
There are also some tonal issues since the movie at times can't seem to decide, if it wants to take the problems of the patients seriously or just use them comedic purposes. Which is unfortunate since I think this could easily be fixed with a sharper focus on fewer characters. But there's still Golshifteh Farahani in a leading role.
Amused by the Sigmund Freud portrait, her sister, and the changing background pics on the health ministry secretary's computer.
#Arab Blues#Un divan à Tunis#Manele Labidi#Golshifteh Farahani#Majd Mastoura#Aïsha Ben Miled#Feryel Chammari#Hichem Yacoubi#Najoua Zouhair#Jamel Sassi#foreign#France#Tunisia
1 note
·
View note
Photo
Arab Blues (Un divan à Tunis), Manele Labidi (2019)
#Manele Labidi#Golshifteh Farahani#Hichem Yacoubi#Majd Mastoura#Ramla Ayari#Amen Arbi#Moncef Anjegui#Aïsha Ben Miled#Feryel Chammari#Laurent Brunet#Flemming Nordkrog#Yorgos Lamprinos#2019#woman director
2 notes
·
View notes
Photo
XYZ Concept Store I La grenade dans tous ses états
XYZ est LE concept store Arty Design de la Marsa qui a pour crédo de mêler artistes et designers émergents et confirmés.
« EXPLOSION ! : la grenade dans tous ses états. »
2.12. - 12.12.21 At @xyzconceptstore & @tgm.gallery Un group show qui réunit les artistes contemporains tunisiens les plus talentueux de leur génération invités à laisser libre cours à leur imaginaire à travers des interprétations personnelles de la grenade fruit emblématique de XYZ concept store. Aujourd’hui, tous ont répondu à l’appel : Alia Derouiche Cherif, Amin Chaouali, Asma Ghiloufi, Atelier Driba 93 sous la direction de Mohamed Messaoudi, Bessma Haddaoui, Emna Kamoun, Emna Masmoudi, Férielle Doulain Zouari, Feryel Lakhdar, Jneïna Messaoudi, Majed Zalila, Mouna Jemal Siala, Najet Dhahbi, Omar Bey, Oussema Troudi, Seifallah Darghouth, Souheila Ghorbel, Walid Zouari, Yassine Ben Miled, le tout orchestré par Lilia Hadj Khélifa sur une invitation de Molka Saheb-Ettaba, fondatrice de XYZ concept store et avec le soutien de Bank ABC.
#xyzconceptstore #artshow #exhibition #groupshow #artwork #pomegranate
Blog Powered By Art Galleries Of The World
2 notes
·
View notes
Text
Black Ink editions ( Novembre 2019) – Format numérique –
Je remercie les éditions Black Ink pour ce service presse.
Bon sang de bois ! La fin du premier tome nous a laissé pantois et a laissé Claire en plein doute. Mais qui est donc Antonio Cruz ? Une chose est certaine, lui sait parfaitement qui est Claire depuis le début, depuis cette fameuse nuit sur les docks où il lui a sauvé la vie…
D’emblée Feryel met la barre très haute pour commencer cette suite, en donnant la parole à Antonio, en alternance avec le point de vue de Claire. On va enfin en savoir davantage sur le beau gosse. Même si on a une petite idée de qui pourrait être le cadet Cruz, nous ne sommes en revanche pas prêtes pour ce qui va suivre !
Je l’avoue tout de suite, je préfère ce second tome au premier. Les jalons posés par l’auteure dans le premier opus, explosent littéralement. Rebondissements, nouveaux personnages secondaires, on découvre la face cachée de l’iceberg. Ne dit-on pas que le volume de la face immergée de l’iceberg est d’environ 90% de la taille totale ? Et bien cette image illustre parfaitement la suite de « A Double Tranchant ». Le jeu de dupes s’intensifie au pays des narcotrafiquants. Le danger est plus que palpable et Claire continue ses investigations, peut-être aveuglée par son envie de justice. Il est à noter qu’elle n’est pas ménagée par Antonio, qui fait un pas en avant, pour ensuite reculer de 15 pas. Voilà l’essence de ce second tome : la passion dévorante qui anime ces deux-là est autant salvatrice que destructrice pour Claire. Elle éprouve des sentiments très forts pour Antonio, auprès de lui, elle se sent bien. Pourtant, elle va découvrir aussi l’autre visage de celui qu’elle aime : un visage sombre et meurtrier : Claire n’est pas certaine de pouvoir l’accepter.
La passion entre Claire et Antonio fait rage, leur amour est puissant. Ce tome est définitivement davantage axé sur leur relation. Entre eux, le feu ne s’arrête jamais. Ils s’aiment, font l’amour passionnément, puis se disputent, se séparent, se retrouvent, se disputent à nouveau et se réconcilient sur l’oreiller. C’est une véritable relation à couteaux tirés, ils s’aiment et se détestent. Leurs échanges sont savoureux, parfois tintés d’humour, ils adorent se titiller l’un comme l’autre, à base de « gros con » ou de « miss chieuse ». Mais ces montagnes russes pourraient les user. La patience et la tolérance de Claire vont être mises à rude épreuve.
Antonio est un personnage fort, de ceux qu’on n’oublie pas. A l’instar du personnage d’Abain dans « Esme » de Farah Anah, Antonio aime Claire plus que tout, elle est sa lumière. Mais il l’aime mal et est obligé de prendre des chemins plus que tortueux pour la maintenir en vie…
Côté thriller, l’auteure brouille encore les pistes car on doute de chaque personnage. Je me suis posée dix mille questions (oui, pas moins, je vous assure !!) Qui est l’As de Cœur ? Les flics sont-ils tous des ripoux ? Et si l’origine de ces jeux de pouvoirs était bien plus ancienne qu’il n’y parait ? Quel est le rôle d’Antonio dans tout cela ? Bref, là où Feryel a réussi son pari, c’est que le lecteur est totalement embarqué par sa trame complexe et addictive. Je n’imagine même pas les schémas qu’elle a dû se créer pour sa storyline. Il va falloir vous accrocher et bien suivre l’histoire car cela vaut vraiment le coup ! J’ai dévoré cette suite. Le dénouement est particulièrement intense. Quand on pense que c’est terminé, l’auteure nous surprend encore avec un rebondissement inattendu. J’ai trouvé l’épilogue un poil court, j’aurai aimé en lire davantage sur l’après dénouement final.
Je vous recommande donc cette romantic suspens, mieux vaut lire les deux tomes à la suite pour ménager votre palpitant et votre p’tit cœur, accessoirement. Je suis épatée par la maîtrise de l’auteure de sa trame dense et complexe. La plume de Feryel est à suivre de près, en tous les cas, elle a su me conquérir !
« Ma souffrance trouve sa source dans l’omniprésence de son absence. Il m��aime, je l’aime, mais nous ne pouvons pas nous aimer ».
Claire.
Cliquez sur l’image ci-dessous pour vous procurer le format numérique sur Amazon:
L'avis des Tentatrices A double Tranchant: Révélations, Tome 2 écrit par Feryel publié aux éditions Black Ink Je remercie les éditions Black Ink pour ce service presse. Bon sang de bois ! La fin du premier tome nous a laissé pantois et a laissé Claire en plein doute.
0 notes
Photo
Synda Ben Khelil a le plaisir de vous convier à l’exposition de groupe sur le thème “ DESSIN & DESSIN “. Hatim Elmekki, Aly Ben Salem, Hedi Turki, Hamadi Ben Saad, Feryel Lakhdar, Alexandre Rubtzoff, Najet Dhabi, Mouna Jemal, Chahrazed Fekih, Rebecca Mann, Houda Ajili, Hamda Dniden, Majed Zalila et Zied Lasram. VERNISSAGE le dimanche 25 Avril 2021 de 13h à 17h. L’exposition se poursuivra jusqu’au 15 Mai 2021. Pour plus d’information, appelez le 31 59 09 00…
0 notes
Text
Un divano a Tunisi
Un divano a Tunisi
Cinema: Un divano a Tunisi
Un burrascoso ritorno alle origini
(mymonetro: 3,00) Consigliato: Sì Regia di Manele Labidi Labbé.
Con Golshifteh Farahani, Majd Mastoura Mastoura, Aïsha Ben Miled, Feryel Chammari, Hichem Yacoubi, Ramla Ayari, Moncef Anjegui. Genere Commedia
– Tunisia, Francia,
2019. Durata 87 minuti circa.
Selma Derwich, psicanalista trentacinquenne, lascia Parigi…
View On WordPress
0 notes
Text
Originaltitel: Arab Blues Produktionsland: Frankreich
Regie und Drehbuch: Manele Labidi Produzenten: Jean-Christophe Reymond
Darsteller: Golshifteh Farahani: Selma Derwich, Majd Mastoura: Naim, Aïsha Ben Miled: Olfa, Feryel Chammari: Baya, Hichem Yacoubi: Raouf u.v.a.
Genre: Drama, Komödie FSK: 12 Länge: 88 Min.
Produktionsfirma: Kazak Productions Verleiher: Prokino Filmverleih
Erste Aufführung (Italien): 2. September 2019 (Venice Days) Filmstart (Frankreich): 21. Oktober 2019 (Festival International du Film Indépendant de Bordeaux) Filmstart (Dtl.): 30. Juli 2020
youtube
Im Mittelpunkt des Geschehens steht die Psychologin Selma (Golshifteh Farahani), die den absurden Plan hat in ihre Heimatstadt Tunesien zurückzukehren. Dort angekommen eröffnet sie eine Praxis für Psychotherapie. Zwar geht Selma sehr selbstbewusst an diese neue Aufgabe heran, erntet aber auch viel Skepsis und Widerstand in in ihrer unmittelbaren Umgebung.
Hauptdarstellerin bereits in Hollywood bekannt
Aber da wo Widerstand herscht, schwebt auch ein gewisses Interesse in der Luft. Die Bevölkerung von Tunesien hat so ihre ganz eigene Probleme und möchte darüber natürlich sprechen. Doch die langen Jahre nach der Revolution machen der jungen Therapeutin ein Strich durch die Rechnung.
© 2019 PROKINO Filmverleih GmbH / Carole Bethuel. Selma (Golshifteh Farahani) eröffnet trotz aller Schwierigkeiten auf dem Dach eines Wohnhauses in Tunis eine Psychotherapie-Praxis
So muss sich Selma mehr oder weniger selbst helfen. Was tut sie? Sie bittet ihre Kunden auf dem Dach eines Wohnhauses in Tunis zu kommen. Oftmals geht es dabei kurios als auch witzig zu. Dies liegt aber mehr an den Kunden als auch Bevölkerung, als an Selma selbst. Wobei ja ein Sitzungsraum direkt im Wohnzimmer doch schon recht ungewöhnlich ist. Eines ist sicher: Man erlebt hier die Sorgen der Patienten in all ihren Facetten. Neben der Dramaturgie bleibt auch die Situationskomik nicht auf der Strecke und bietet durchaus witzige Dialoge. Dies ist ja fast unumgänglich, wenn man auf hochemotionhale Beautysalon-Besitzerin trifft, die stark von Mutterkomplexten geprägt ist. Ganz zu schweigen von dem mysteriösen Fremden, detr freudsche Züge aufweist. Und dann wäre da noch der übermoralische Polizist, der doch etwas für Selma zu empfinden scheint.
Die Iranerin Golshifteh Farahani als Haupdarstellerin zu verpflichten erwies sich als Glücksgriff. Sie lebt bereits seit 2009 in Frankreich und war im gleichen Jahr in Alles über Elly zu sehen. Internationale Bekanntheit erreichte sie mit Pirates of the Caribbean: Salazars Rache (2017). Nimmt man nun den letztgenannten Film als Maßstab, kristallisiert sich Faible für Situationskomik heraus. Ich erinnere dabei nur an die gemeinsamen Szenen mit Johnny Depp, als sich beide Charaktere in einer Zwickmühle befanden und sie einen Weg finden mussten sich daraus zu befreien. Und in einer Mühle befindet sie sich auch in Auf der Couch in Tunis. Es sind nämlich die Mühlen der Behörden, die nicht aus dem Knick kommen. So ist Selma auf sich gestellt und geriet dabei mit dem Gesetz in Konflikt.
Regisseurin mit Spielfilmdebüt
Solche Independentfilme sind in der Regel eine große Chance für Regisseure ihren Spielfilmdebüt zu geben. So ist es auch bei diesem Film. Manele Labidi nutzte die Gunst der Stunde und ließ Auf der Couch in Tunis als Hommage an die Heimat ihrer Eltern entstehen. Es fließt nicht nur ihre eigene Handschrift ein, sondern ist auch ein Film, der nahezu aus dem Leben gegriffen sein könnte. Mit gut überlegten komödiantischen Elementen verliert sie nie den Blick für den ernsten Aspekt aus den Augen,nämlich die Mittelschicht der Gesellschaft, die oft zu verzweifeln droht und lässt auch die arabische Kultur einfließen. Das Wechselspiel aus Verdecken und Enthüllen sorgt zudem für entsprechenden Charme.
„Filme waren immer ein wichtiger Teil meines Lebens. Die Bilder, die Schauspieler, die Geschichten und die Energie im Kinosaal übten schon immer eine magische Faszination auf mich aus.“ – Regisseurin Manele Labidi
© 2019 PROKINO Filmverleih GmbH. Die Regisseurin Manele Labidi (©Viviana Morizet)
Wie bereits zwischen den Zeilen im Zitat zu erkennen ist, war es schon immer eine Leidenschaft Filme für die große Leinwand entstehen zu lassen. Doch zunächst gingen wichtigere Dinge vor. Nämlich das Studium für Wirtschafts- und Politikwissenschaften. Nach ihrem Abschluss folgte ein Job in einer Bank. Als die Sorge für materielle Sicherheiten weg waren, spürte sie plötzlich große Leere und nahm ihre Drehbücher aus der Studienzeit in die Hand. Sie brachte sich das Filmemachen selbst bei und hattte nun wieder große Ziele. Schon bald assistierte sie die Schauspielerin Isabelle Carré, als diese Regie für ein Theaterstück führte, welches Manele für das Theater adaptierte. Diese Zusammenarbeit brachte nicht nur erfahrungsgemäße Aspekte, sondern sollte auch das Tor für die Arbeit in der Filmlandschaft werden.
„Das zweite entscheidene Ereignis, das mich zu meinem Film AUF DER COUCH IN TUNIS ispirierte, war die tunesische Revolution 2011 und der Einfluss, den sie auf diejenigen Tunesier hatte, die ich in den Monaten danach traf..“ – Regisseurin Manele Labidi
Bezug zum ZitatDer erste Ausgangspunkt war ihre eigene Mutter, die nicht verstand, warum Manele denn zu einem Psychologen geht und dafür noch Geld bezahlt. Die besorgte Mutter bot sogar an, sich selbst als Psychaterin zur Verfügung zu stellen. Und so ist es kaum verwunderlich, dass dies der Stoff für einen Film ist. Und was dem Ganzen noch mehr Authenzität verleiht, ist die Tatsache, dass Labidi genau wie ihre Hauptdarstellerin Halb-Tunesierin, halb Frazösin ist. Dazu gibt es noch einen Verweis auf das 20. Jahrhundert. Eben solcher hängt als Bild in Selmas Zimmer zeigt Sigmund Freud, der einst selbst Psychologe und als Religionskritiker bekannt war. Er zählt zu den Begründern der Psychoanalyse und zählt zu den einflussreichsten Denkern des 20. Jahrhunderts. Doch auch andere Aspekte werden thematisiert und dürfen gerne als Pfeilspitzen in Richtung Bürokratie der Tunesier gedeutet werden. Zum einen wäre da die endlose Warterei auf die Zulassung für die Praxis. Und zum anderen ist man im Land nicht mal richtig angekommen, muss man sich auch schon unliebsamen Alkoholtests beugen. Hier könnte man noch so viel mehr erzählen. Z.b. über die schrägen Nebencharaktere. Doch der Mantel des Schweigens nimmt seinen Platz ein und lässt Raum für Überraschungen und Entdeckungen.
Fazit: Eine Protgonistin, die zu ihren Wurzeln zurückkehrt und gleichzeitig berührt und entsprechenden Charme auf die Zuschauer wirken lässt. Auch die Aufbereitung, wie die Mittelschicht der Gesellschaft in Tunesien lebt und jeden Tag aufs neue mit der Bürokratie klarkommen muss, wird mit einem gewissen Ernst erzählt. Da dies komödiatisch verpackt wurde, wahrt die Regisseurin dennoch die politische Distanz. Amüsante Spitzen bleiben dennoch nicht aus und man darf sich auf heitere Moment freuen, die in der aktuellen Stimmung in Tunesien durchaus passend verarbeitet werden. Das große Plus des Films ist die Hauptdarstellerin Golshifteh Farahani. Nachteil dieser Komödie ist, dass man am Ende ein wenig allein im Raum stehengelassen wird. Zu viele Fragen bleiben offen, die man hätte in den gewissen Längen des Films klären können. Eine zehnminütige längere Spielzeit hätten der Komödie durchaus gut getan. So bleibt ein 88-minütiger Film, der über weite Strecken gut zu unterhalten weiß.
. .
Quelle Titelbild und Szenenbilder: © Prokino Zitate der Filmschaffenen wurden dem Presseheft entnommen.
Vielen Dank, dass ihr meinen Artikel gelesen habt. Lasst doch gerne ein Like da, wenn es euch gefallen hat. Ihr habt einen Gedanken zum Text oder Film? Dann postet es mir gerne unten in die Kommentare. Ansonsten ließt man sich im nächsten Artikel. Bis bald…
Auf der Couch in Tunis [2019] oder ein Neuanfang in der alten Heimat
0 notes
Text
In Tunisia, women stand on the frontlines of targeted hate speech online
Register at https://mignation.com The Only Social Network for Migrants. #Immigration, #Migration, #Mignation ---
New Post has been published on http://khalilhumam.com/in-tunisia-women-stand-on-the-frontlines-of-targeted-hate-speech-online/
In Tunisia, women stand on the frontlines of targeted hate speech online
Targeted attacks take a major toll on victims’ mental health
A woman shouts into a loudspeaker at a protest in Tunisia, August 2013. Photo by Amine Ghrabi via Flickr CC BY-NC 2.0.
< p class="p1">In 2011, an uprising in Tunisia toppled the 23-year-rule of autocratic president Zine el Abidine Ben Ali. Since then, the Tunisian digital space has witnessed unprecedented, heated debates about politics and society.
This highly politically charged period — shaped largely by social media — has fueled tense online discussions that include harmful content, hate speech and verbal attacks against women.
These online campaigns often target women activists, journalists, and politicians in particular.
In February 2020, the Monitoring Unit of the National Union of Tunisian Journalists (SNJT) reported a drop in physical assaults against journalists. But the SNJT monitoring unit also warned of increased online attacks against journalists.
“There are fewer attacks compared to December 2019, but there is more violence on the internet and social media,” the SNJT monitoring unit said.
Frequently, the SNJT publishes statements condemning the spread of attacks and defamation campaigns against journalists on social media. In March, they warned against using social media as a “field for campaigns of defamation and incitement against gender identities.”
In its statement, the union referred to campaigns that targeted two female journalists: Fadwa Chtourou and Malak al-Bakari.
Chtourou, who works with the public broadcaster, Wataniya 1, was targeted in a campaign on Facebook that bullied and mocked her for covering the aftermath of a terror attack on March 6 without wearing makeup. Supporters of Chtourou launched countercampaigns in her defense and women journalists from Tunisia and the region posted photos of themselves without makeup in solidarity.
Bakari, who works with the privately-owned Attesia TV channel, was targeted after appearing in a TV show wearing a short dress.
Women on the frontlines
Many women activists and politicians have faced campaigns of gender-based attacks since 2011.
In 2017, a report authored by the Committee of Individual Liberties and Equality — created in 2017 by the late president Beji Caid Essebsi — recommended a set of legal reforms to enhance individual freedoms such as the decriminalization of homosexuality and equality in inheritance. The committee's president, Bochra Bel Haj Hmida, who is also a former Tunisian member of parliament, was subjected to hate speech campaigns on social media. The content became so violent that some commenters called for her murder.
“Almost every ten minutes, there is a publication that calls for murder and spreads rumors to raise a popular and violent movement against our work,” said Bochra Bel Haj Hmida in an interview published by NouvelObs in June 2018.
The late blogger and human rights defender Lina Ben Mhenni also endured attacks online as a well-known feminist figure. On a panel discussing violence against women online during Tunis Forum on Gender Equality 2019, Mhenni recounted her experience with online defamation campaigns, stating that in her case these attacks extended beyond Facebook comments to continuous stalking.
The Tunisian political scene online is also filled with racist speech. Jamila Ksiksi, a member of the Tunisian parliament, was subject to racist comments published by another member of parliament on his Facebook page. During a plenary session devoted to examining the 2019 Supplementary Finance Bill, Ksiksi called the deputies of PDL, Free Destourian Party, “bandits.” Following this incident, Saleh Neji, a PDL deputy, posted insults on his Facebook page that targeted Ksiksi with racist connotations, referring to her as a “slave” and a “monkey.”
How do victims respond to hate speech?
A study on violence against women online conducted by the Tunisian Center for Research, Studies, Documentation and Information on Women (Credif), found that women react to their perpetrators in various ways. The most common first step is the immediate removal of perpetrators from friend lists. Some opt for silence while others respond directly to their perpetrators. Some report the harmful exchanges to relatives or file a legal complaint.
In an interview with Global Voices, feminist activist Feryel Charfeddine spoke about a series of Facebook posts that attacked her and her activist work in 2017. She told Global Voices:
As a victim of online hate speech myself, I reported the harmful content attacking me to Facebook. The platform was only responsive when I proceeded and followed the reports with the help of Access Now’s helpline. I recognize that I had a privilege compared to other victims. This is why many victims choose to leave Facebook. It’s not a safe place for women.
The digital rights organization’s helpline “provides rapid-response emergency assistance and digital security help for individuals and organizations around the world.’’
Judiciary procedures: Hate speech or freedom of expression?
A number of activists and civil society organizations express fears that countering hate speech may be used as a pretext to exclude political opponents and restrict freedom of expression.
“As an advocate against prison sentences, I couldn’t proceed with legal procedures against my aggressors, however, I respect the decision of those who chose to do so,” said Charfeddine.
International standards on freedom of expression
International human rights standards enshrine the rights to freedom of expression and opinion. However, these standards allow for limited and non-arbitrary restrictions to freedom of expression for ‘’legitimate’’ purposes. The International Covenant on Civil and Political Rights (ICCPR), to which Tunisia is a state party, allows restrictions if they are “provided by law” and “necessary” for “the respect of the rights or reputations of others.” While the International Convention on the Elimination of all Forms of Racial Discrimination calls for a ban on “all dissemination of ideas based on racial superiority or hatred.”
In a similar context, in December 2019, the Tunisian Association of Democratic Women (ATFD) filed a complaint about defamation, insults and gossip at the primary court in Tunis, against a man who attacked one of the association’s activists, Wafa Fraoues, via Facebook.
Fraoues works with Beity, a nonprofit organization that seeks to end all forms of discrimination against women and supports women victims of domestic violence.
The subject of the complaint was a Facebook post explicitly using Fraouses’ name and profession to insult her and publish accusations. The man who posted it later removed her name. He wrote that a man paid Fraoues for sex. He also wrote that this man's wife had received support from Beity after she was physically abused by him.
In March 2020, the first instance court sentenced the perpetrator to a six-month suspended prison sentence and a fine for the post.
In a published joint statement, the ATFD and Beity described the court’s decision as:
…[a]n appropriate judicial response to the demand of feminists and women in the necessity of stopping the impunity and it may be an incentive for women victims of violence, including digital violence, to resort to the judiciary in cases of moral, sexual, economic, political or physical abuse that affects them, regardless of their perpetrators.
The organization previously called on authorities to implement Law No. 58 of 2017 on countering violence against women “to protect women and specifically women human rights defenders from violence, and combat impunity.”
Translating legislation into community practice
In 2017, Tunisia adopted an organic law on the elimination of violence against women which mandates the state’s engagement in prevention, prosecution of perpetrators and providing support for victims. In an unprecedented ruling, on May 8, a Tunisian court pronounced a protection order in favor of victims of online harassment that turns into stalking based on Article 33 of the law, which allows family judges to issue restraining orders.
In October 2018, the Tunisian parliament passed the Elimination of All Forms of Racial Discrimination Act — a law that defines and criminalizes racial discrimination.
This new legislation — in addition to the 2014 constitution that guarantees freedom of conscience and thought as well as freedom of expression — provides a strong legal framework against hate speech.
However, most of this legislation does not explicitly cover cases of harassment and attacks on the basis of gender and race that takes place online.
Government and nongovernmental actors must ensure that magistrates are aware and properly educated on the implementation of legal provisions and appropriate referrals for cyber-hate speech victims.
Political parties can also play a role in raising awareness among citizens on their human rights online. Last year, during parliamentary and presidential election campaigns, a number of civil society organizations including Article 19 and the Tunisian League for Human rights (LTDH) called on candidates to “raise [their] voice in favor of minorities and vulnerable groups and to condemn hate speech and any other discriminatory actions against them.”
Gender-based violence and hate speech online takes a major toll on victims’ mental health.
Combatting this kind of harmful content online is the responsibility of multiple stakeholders: Beyond the legal and technical solutions, targeted victims must receive ample support to deal with the serious consequences to their mental health and well-being.
This article is part of a series called “The identity matrix: platform regulation of online threats to expression in Africa.” These posts interrogate identity-driven online hate speech or discrimination based on language or geographic origin, misinformation and harassment (particularly against female activists and journalists) prevalent in digital spaces of seven African countries: Algeria, Cameroon, Ethiopia, Nigeria, Sudan, Tunisia and Uganda. The project is funded by the Africa Digital Rights Fund of The Collaboration on International ICT Policy for East and Southern Africa (CIPESA).
Written by Yosr Jouini · comments (0) Donate · Share this: twitter facebook reddit
0 notes
Text
Tunisie: les femmes, grandes absentes de la présidentielle 78682 homes
http://www.78682homes.com/tunisie-les-femmes-grandes-absentes-de-la-presidentielle
Tunisie: les femmes, grandes absentes de la présidentielle
« Les hommes promettent beaucoup aux femmes. Mais lorsque +M. Moustache+ arrive au pouvoir, il ne se passe plus rien. » Feryel Charfeddine a le sourire las. La place des femmes en Tunisie? En cette veille d’élection, beaucoup font part de leur désenchantement.Militantes passionnées, simples femmes de terrain ou anciennes élues, elles n’attendent « pas grand-chose » du scrutin, dont le premier tour se déroule le 15 septembre. A l’image de Feryel Charfeddine, dirigeante d’une association de…
homms2013
#Informationsanté
0 notes
Photo
😜🍌L'HEURE DU GOÛTER🍌😜 Trop ravie d'avoir reçu cette photo de ouf du @feryelstudio ! Merci @ghaziboulahia 😁 #bonappetit avec #CHIENCHAUD 😬 #sweat #dessin #drawing by #OMGF (à Feryel Studio•)
0 notes
Text
Event Horizon Telescope will soon take the first black hole photo
The Event Horizon Telescope (EHT) is finally ready to take a picture of Sagittarius A*. From April 5th to 14th this year, the virtual telescope that's been in the making for the past two decades will peer into the supermassive black hole in the center of our galaxy. EHT is actually an array of radio telescopes located in different countries around the globe, including the Atacama Large Millimeter/submillimeter Array in Chile.
By using a technique called very-long-baseline interferometry, the EHT team turns all the participating observatories into one humongous telescope that encompasses the whole planet. We need a telescope that big and powerful, because Sagittarius A* is but a tiny pinprick in the sky for us. While scientists believe it has a mass of around four million suns, it also only measures around 20 million km or so across and is located 26,000 light-years away from our planet. The EHT team says it's like looking at a grapefruit or a DVD on the moon from Earth.
To prepare the participating observatories, the team equipped them with atomic clocks for the most precise time stamps and hard-drive modules with enormous storage capacities. Since the scientists are expecting to gather a colossal amount of data, they deployed enough modules to match the capacity of 10,000 laptops. Those hard drives will be flown out to the MIT Haystack Observatory, where imaging algorithms will make sense of EHT's data, once the observation period is done.
The researchers said it could take until the beginning of 2018 before we see humanity's first photo of a black hole. As for what they're expecting to see, it'll be something like what their simulation yielded last year:
Based on Einstein's theory of general relativity, we're supposed to see a crescent of light surrounding a black blob. That light is emitted by gas and dust before the black hole devours them, while the dark blob is the shadow cast over that mayhem. But what if we see something else altogether? Team leader Sheperd Doeleman from the Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics told BBC:
"As I've said before, it's never a good idea to bet against Einstein, but if we did see something that was very different from what we expect we would have to reassess the theory of gravity."
[Image credit: NASA/UMass/D.Wang et al., IR: NASA/STScI / Feryel Ozel (event horizon simulation)]
Via: ScienceAlert
Source: BBC
0 notes