#F. Jacqmin

[lesondupapillon]

La trajectoire n'est pas un abri, et moins encore une vérité. Il faut se constituer une réserve d'immobilité.

/François Jacqmin

[skieuraufonddunpuits]

C'est l'image qui est iconoclaste, non le marteau qui la brise. Il est indigne de troquer le monde contre un coup de crayon. On ne peut rien attendre d'une terre jonchée de segments et de verticales.

/ François Jacqmin

[arxiv--quant-ph]

[ Authors ] X Chen, C Chardin, K Makles, C Caër, S Chua, R Braive, I Robert-Philip, T Briant, P.-F Cohadon, A Heidmann, T Jacqmin, S Deléglise [ Abstract ] Nanomechanical resonators strongly coupled to the electromagnetic field are a promising resource for quantum-limited mass and force sensors, and as transducers for coupling otherwise incompatible quantum systems such as microwave and optical photons. In particular, suspended nanomem-branes obtained by chemical release of a high-tensile stress layer are an advantageous platform for such transducers, combining an extremely high mechanical quality factor and a low mass. We demonstrate the successful implementation of a photonic-crystal reflector on a high-tensile stress $Si\_3N\_4$ nanomembrane, enabling its direct coupling to a high-finesse optical cavity. This approach is particularly well suited for hybrid opto-electro-mechanical transducers, where the membrane motion is simultaneously coupled to an optical and a microwave cavity. We provide an illustration of the physical process underlying the high reflectivity by measuring the photonic crystal band diagram. Moreover, we introduce a clear theoretical description of the membrane scattering properties in the presence of optical losses. By embedding the photonic-crystal membrane inside a high-finesse cavity, we fully characterize its optical properties. The spectrally resolved measurements demonstrate the wide tunability of the membrane's reflectivity, from nearly 0 to 99.79 $\pm$ 0.02%, and show that the material absorption is not the main source of optical losses.

[mo-barabd]

J’ai dû chercher un peu pour retrouver le dernier bilan que j’avais fait : 2013

…

Comparée à 2015, l’année 2016 a marqué le retour à davantage de régularité dans les publications ! Étonnant !! Et pourtant, il y eu des absences… de mi-juillet à fin août, en décembre… sans compter les micro-pauses…

Framboise s’est posée au Bar depuis maintenant un an et demi. Depuis un an et demi, elle rédige également des chroniques pour « La Bibliothèque de Noukette ».

Année à marquer d’une pierre blanche : la première chronique solo de Julia (avec interview inside silvouplé)… j’espère qu’il y aura d’autres occasion de te lire madame ;)

Ce que je retiens…

Les échanges, les partages… carburant nécessaire pour faire vivre le blog.

Merci !

Quelques chiffres…

Cette année, le blog a accueilli 166 livres (BD et romans confondus). C’est peu, C’est à se demander si je ne me suis pas trompée dans mon culcul ! Je vais tâcher de faire mieux cette année.

26118 pages que j’ai présenté ici auxquelles s’ajoutent les pages des ouvrages présentés par Framboise.

Au total, 2016 représente 139 articles dont seulement 3 articles pour « Sixtine » (je manque à tous mes devoirs !). Je n’ai plus que deux challenges en cours (et je n’irai pas jusqu’à dire que je participe activement) : celui du « Tour du monde en 8 ans » et celui des « Ignorants ». Mon engouement pour ces « lectures thématiques » s’est tout bonnement volatilisé ! En revanche, chaque mercredi, je ne mâche pas mon plaisir de partager mes lectures avec d’autres bédéphiles. Noukette, Stephie et Moka m’ont proposé de les rejoindre pour animer la « BD de la semaine »… une invitation à laquelle j’ai répondu non sans appréhensions (pensez donc… il s’agit d’être à la hauteur pour accueillir du beau monde une fois par mois !!).

8 articles publiés dans la catégorie « Chroniks Expresss »… on se rapproche doucement de la publication mensuelle et j’en suis ravie.

Les romans qui prennent un peu plus de place que les années précédentes.

Seulement 15 lectures communes cette année. Je m’engage avec parcimonie :)

Petit à petit, l’habitude s’installe de consigner dans le blog toutes mes lectures (y compris celles que je fais avec mes fils) mais… je suis encore loin du compte.

Les coups de cœur de l’année :

Romans: « Le Garçon » (M. Malte), « Un paquebot dans les arbres » (V. Goby), « Les Insurrections singulières (J. Benameur).

#gallery-0-11 { margin: auto; } #gallery-0-11 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 33%; } #gallery-0-11 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-11 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */

Malte © Editions Zulma – 2016

Goby © Actes Sud – 2016

Benameur © Actes Sud – 2013

BD: « La Tristesse de l’éléphant » (N. Antona & N. Jacqmin), « Pereira prétend » (P-H. Gomont), « La Balade de Yaya » (série de J-M. OMONT, C. GIRARD, P. MARTY & G. Zhao), « Louis parmi les spectres » (F. Britt & I. Arsenault), « Le Rapport de Brodeck » (M. Larcenet), « Soleil brûlant en Algérie » (A. Tikhomiroff & G. Nocq), « Sweet tooth » (série de J. Lemire).

Antona – Jacqmin © Les enfants rouges – 2016

Britt – Arsenault © Editions La Pastèque – 2016

Gomont © Sarbacane – 2016

La Balade de Yaya, tome 1 – Omont – Zhao © Editions Feï – 2011

Larcenet © Dargaud – 2015

Larcenet © Dargaud – 2016

Tikhomiroff – Nocq © La Boîte à bulles – 2016

Lemire © Urban Comics – 2015

Quelques perspectives pour 2017 :

En avril prochain, le « Bar à BD » fêtera ses 8 printemps. Si je parviens à bricoler un petit quelque chose pour l’occasion…

Etre là, fidèle au poste (parce que vous le valez bien :) )

Reprendre le suivi du projet « Sixtine »

Il n’est pas impossible que le « Loto BD » revienne…

Sans oublier que..

Je vous souhaite une très belle année 2017 !

Un coup d’œil dans le rétro (année 2016) J’ai dû chercher un peu pour retrouver le dernier bilan que j’avais fait : 2013

[lesondupapillon]

La trajectoire n'est pas un abri, et moins encore une vérité. Il faut se constituer une réserve d'immobilité.

/ François Jacqmin

[lesondupapillon]

Le regard n'est pas un demi-dieu. C'est le chaos qui produisit l'œil. Voilà pourquoi toute forme est un éboulis, un reste de désastre. Pour toute sa rigueur, le rectangle est un fouillis d'ossement épars. Il est littéralement impossible de concevoir un angle droit dans un monde où nul lieu n'est d'équerre.

/ François Jacqmin

[lesondupapillon]

La ligne a-t-elle une vie intérieure ? Certes, il est des caractères communs entre le désespoir et une perpendiculaire.

/ François Jacqmin

[lesondupapillon]

C'est l'émanation sirupeuse de l'œil qui fixe la rectitude de la ligne droite.

/ François Jacqmin

[skieuraufonddunpuits]

La ligne n'est pas le pédoncule d'un infini qui va fleurir. Elle dépérit faute de n'être un état ni une piste.

/ François Jacqmin

[lesondupapillon]

La ligne n'est pas le pédoncule d'un infini qui va fleurir. Elle dépérit faute de n'être un état ni une piste. C'est ainsi que nous regardons toute géométrie, toute architecture et tout dessin, comme autant d'espoirs déçus. Pour le trait aussi, le véritable printemps commence le jour où rien n'apparaît comme un jour.

/ François Jacqmin

[lesondupapillon]

C’est l’émanation sirupeuse de l’œil qui fixe la rectitude de la ligne droite.

Celui qui est sans larmes doit se considérer impropre à la géométrie plane.

/ François Jacqmin

[skieuraufonddunpuits]

La ligne n’est pas le pédoncule d’un infini qui va fleurir. Elle dépérit faute de n’être un état ni une piste. C’est ainsi que nous regardons toute géométrie, toute architecture et tout dessin, comme autant d’espoirs déçus. Pour le trait aussi, le véritable printemps commence le jour où rien n’apparaît comme un jour.

/ François Jacqumin

[skieuraufonddunpuits]

La ligne n’est pas parallèle à l’illimité. Ce n’est pas davantage une illumination qui trouve sa voie. C’est une arête du rien, et que rien ne parvient à élargir.

/ François Jacqmin