#Félix Niesche
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Certains groupes hostiles qui occupent la France engendrent des coûts sociaux connus depuis plusieurs décennies. Au milieu des ruines, la fidélité à ce que l'on est sera d'autant plus méritoire et les soins apportés aux détails de la vie quotidienne deviendront des victoires sur la fatalité, sur les sauvages, sur la laideur. Elle est à la fois le but et le moyen d'y arriver : la Beauté. Première Partie. La prédation d'un groupe sur un territoire.
Quand le Droit du Sang profite du Droit du Sol
Les mots ont un sens
Le récit. Qui va dire l'Histoire ?
Le rôle des femmes dans "les violences faites aux hommes"
Exercice : dire du bien de la racaille.
Seconde Partie. Ce qu'il reste de notre bourgeoisie locale.
Bernhard Roetzel
Entretien avec Pierre de Brague
Quelques détails matériels de la culture bourgeoise Fin. La racaille face à elle-même c'est le destin des piranhas.
#Erfm#Éloquence du Vulgaire#Egaliteetreconciliation.fr#Alain Soral#Félix Niesche#Pierre de Brague#Proudhon#Sorel#Armani Casa#France#Tradition#Ardisson#Bernhard Roetzel#Gien#Augustin
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10e-24e minute, les conséquences du Jésuitisme à partir du début XVIIème siècle. Rationaliser la morale et la grâce (déviation percée à jour par Blaise Pascal dans Les Provinciales), faire persécuter les "Jansénistes" plus sérieux et austères par le pouvoir politique, faire brûler Port-Royal. La mentalité de l'homme bourgeois moderne va se chauffer à ces cendres encore tièdes pour grandir, certaine d'avoir élucidé tous les mystères du monde, et se consacrer sans crainte au business, mentalité École de Commerce.
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Nos amis nietzschéens de gauche!
#ERFM#EGALITEETRECONCILIATION.FR#Michel Onfray#Alain Soral#Félix Niesche#Xavier Poussard#Paul Verbeke#Youssef Hindi#France#Youtube
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Que faire de Lénine?
La vraie conscience révolutionnaire gît peut-être dans la conscience de la rareté des vraies révolutions telles qu'on se les figure ou qu'on les espère. L'Histoire compte de nombreux hommes révolutionnaires mais peu de révolutions réelles. "Tout changer pour ne rien changer" disait Le Guépard. "Semper eadem sed aliter, la même choses mais d'une autre manière", disait Schopenhauer...
Le personnage de Lénine est peut-être ambivalent par contre celui de Trotski probablement 100% canaille. L'écrivain russe qui sentit venir la révolution 50 ans avant 1917 c'est Dostoïevski dans Les Démons. Un mérite certain de Lénine est d'avoir sorti de force son pays de la guerre et ainsi sauvé des millions de Russes d'une mort certaine... à laquelle ils allèrent toutefois quelques années plus tard, périssant non au combat mais au Goulag, envoyés là par certains coreligionnaires de Lénine. Les stoppeurs de guerre sont conspués (regardez Nixon), et les fauteurs de guerre sont amnistiés (les Jean Zay, les Bernard Lévy). Un ancien activiste qui connaît bien ce sujet est Félix Niesche.
Dans les années 1917-1930, 20 millions de Russes de la base se font tuer non au combat par des soldats allemands dans une guerre mais de l'intérieur par leurs "commissaires" de l'intérieur. La sociologie de l'appareil bolchevique ordonnée en une liste de nom fournit le même constat répugnant que la sociologie des armateurs de navires négriers et que celle des studios de pornographie.
L'utilité de Lénine est de rappeler par sa biographie quel degré d'ascèse personnelle requiert la politique sérieuse. Nos Charles Gave et autres chers conservateurs de l'ordre public attendent en digérant un mouvement révolutionnaire entrepris par les autres. Les "Yorarien": 50% de besoins, 50% de droits: la bouffe, l'épilation, la piscine de maison secondaire, les "musts". Lénine, un homme lettré mais intuitif, un travailleur solitaire mais doué pour les relations publiques, un polémiste en débat mais un tribun fort en gueule, un moine-ascète mais un moine-soldat, un homme de réseau mais un homme intellectuel, un homme qui prend l'argent de banquiers judéo anglo-saxons mais un homme qui prend les recommandations des services secrets allemands, la Suisse mais la Russie, un métis ethnique mais un métis social, les idées mais les actes…
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L'ordre public?
L'ordre public a eu le temps ces 20 dernières années de démontrer qu'il est pire que l'émeute de primitifs enragés: il est plus avilissant, plus déshonnorant, plus violent, beaucoup plus mortifère par suicides et obstacles à la reproduction que l'explosion sporadique de mugissements des cités. L'ordre public c'est quand les Blancs portent et nourrissent les non-Blancs occupés à chier sur eux. L'ordre public c'est de dépenser de la compassion pour des faux-mendiants qui une fois rétablis se vengent sur vous de vos largesses. L'ordre public c'est tolérer ce qui vous tue, c'est épargner ceux qui vous tuent. Mais soyons très concrets. L'ordre public c'est l'exploitation des Blancs catalysée pour engraisser, panser, favoriser des gens comme ça :
des gens comme ça :
des gens comme ça :
Des "gens" qui ne rapportent rien aux vrais hommes, qui occupent des places sans améliorer les places, qui obtiennent les places par la pitié des vrais hommes et ne leur rendent aucune pitié une fois en place.
La république ce sont les franc-maçons. On se libère de la république seulement si l'on se libère des franc-maçons.
Les Décombres de Rebatet regorge d'exemples désastreux de restauration ratée par une bourgeoisie efféminée, crédule et parcimonieuse qui fait faire le travail par les autres. Or les rares réformateurs qui se lèvent aujourd'hui sont à deux doigts de recommencer tout ce qu'il ne faut pas faire.
L'ordre public? Éteindre des pétards pour que millions de répugnantes gueunons puissent à nouveau digérer au calme, dans un calme obtenu à nos frais, c'est cela le programme de sécession ? Tous les débats de civilisation depuis soixante ans en reviennent toujours à cette cochonnerie de "place de la femme" parce que la dondon artémisienne hurleuse qui a ses lunes est le vrai Surmoi de tous ces pseudos réformateurs de l'impossible quoi qu'ils en disent. La vraie réforme commence par une grande tarte dans la gueule aux Idoles de ce monde et déchéance de Personnalité Juridique selon les antiques lois des sagesses européennes. Réforme hors ces prémices minimales est chevalerie à la rose courtoise pour cocu materné content de l'être, sous cheftaine intrusive, sous vingt mille lieues sous les *.
Le féminisme n'est pas une idéologie mais une ontologie (Félix Niesche). Notre religion c'est la victoire du Père Éternel sur Mama Africa la sorcière et son écrasement en public dans sa crasse vaudou dont elle n'aurait jamais dû sortir, tout le reste c'est du compromis 50-50 "renégociable" pour cocu bientôt 10-90. C'est toute l'histoire de la Belgique par exemple et de son "l'union fait la force" entre catholiques et libéraux. On a vu comme le 50-50 à tourné en quelques années !
Une réforme sérieuse ? Alors évaluez le degré de méchanceté politique que devra assumer l'équipe de terrain "sale boulot" pour que les braves gens puissent vivre en paix. Évaluez le nombre de hiérarques des médias, des partis, des banques, des loges, des lobbys, des Parquets, des officines culturelles... qui devront "réintégrer l'arc républicain" lui-même "réajusté". Évaluez le nombre de livres scolaires qu'il faudra refaire, le nombre de bouches inutiles qu'il faudra licencier, le nombre de parasites qu'il faudra exposer en public aux travaux forcés, le nombre de colons qu'il faudra remigrer, le nombre de bobos gauchistes qu'il faudra détrousser de ce qu'ils ont volé, le nombre de putes qu'il faudra exiler dans un territoire-poubelle à définir outre-mer où elles iront vivre selon les vœux de leurs mœurs privées (grand moment de Justice), le nombre d'incapables qu'il faudra virer d'emplois où elles n'ont rien à faire, le nombre de "mariages" contre-Nature qu'il faudra annuler, le nombre de "normes" urbaines et sanitaires qu'il faudra supprimer, le nombre de parents de racailles qu'il faudra verbaliser puis dégager du pays, le nombre de panneaux descriptifs qu'il faudra ériger pour rééduquer la mémoire de la très dangereuse masse indifférente des cons et des inertes, le nombre d'écoles de commerce qu'il faudra fermer, le nombres de turbines à vent qu'il faudra démonter avec leurs antennes et leurs radars alentours, le nombre de "plate-formes de logistique" vastes comme trois villages qu'il faudra démanteler pour les regrouper de 10 en 1 seule, et enfin le nombre de volontaires qu'il faudra pour accomplir ce travail, sachant qu'il est juste un pré-requis à une possibilité d'embellissement.
Alternative : l'ordre public vers lequel on retourne tout droit, encore pour des années.
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Du rap à Netflix, l’américanisation de nos mentalités européennes est-elle pour vous irrémédiable ?
Cela dépend à quel âge. Le goût bien formé s’acquiert par l’éducation, il exige du temps, un apprentissage par essais et par erreurs. L’intuition, elle, est innée, elle nous aide à trouver notre vocation, à identifier nos « dégoûts très sûrs ». Hollywood et Wall Street flattent nos penchants faciles, cette fausse Amérique est une fabrique de snobisme, elle excite la volonté mondaine de se démarquer, de se montrer, de se faire valoir. Snobisme de mauvais goût comme vous le savez, mais relayé, célébré partout... Vaincre le snobisme suppose d’intimider les snobs, de leur faire honte avec plus fonctionnel, plus raffiné, plus charmant, en somme de les rendre ringard, de démoder la mode elle-même. C’est facile sur le long terme car le snobisme vieillit mal, mais le ridiculiser lorsqu’il est jeune et insolent, immédiatement, est une prouesse plus élevée. Regardez le rap de 2002 avec le XXL velours, les slips sur la tête, le style Fifty Cent et les autres... On croit rêver. Comment de tels déguisements ont-ils pu faire la loi ? Les modes s’évanouissent, le classicisme seul sort vainqueur de l’épreuve du temps. Il existe un classicisme du vêtement de sport, de la musique électronique, de l’immeuble d’habitation, de tout. C’est non pas une forme intemporelle mais l’esprit intemporel de la forme la plus adéquate à une séquence de long terme donnée, forme à laquelle on ne peut alors plus rien ajouter ni retrancher. Élie Faure, Pierre Fournier, Hédi Slimane et d’autres vous en diront plus !
Observateur de la vie à travers son expression quotidienne et urbaine, en quoi la « rue » a-t-elle changé en 30 ans ?
Un mot : féminisation, un livre : Vers la féminisation. Les filles, même voilées, sont féministes. « Le féminisme n’est pas une idéologie mais une ontologie » (Félix Niesche). Les racailles qui avaient le crâne rasé ont les cheveux longs et le visage épilé, ils foncent au sucre comme des odalisques de harem (Capri Sun, Nutella, Red Bull, Mc Flurry, etc), et aux nourritures néfastes à la virilité. Les jeunes vivent enfermés dans un triptique écrans/sucre/drogue, soit immobilité/calories sans emploi/sensations sans effort. Mais la « muscu » sous « protéine » est probablement l’écueil symétrique : le bip de portique, la salle climatisée, les écouteurs pour couvrir le tam-tam sur haut-parleurs, le bilan comptable protéines absorbées contre calories dépensées, le « programme » sur des « machines », le narcissisme du corps à « acquérir » qu’il faut ensuite « vendre » sur un marché type Tinder (et qui mène à l’homosexualité), ce sont des idées assez curieuses.
La rue n’a plus sa « street credibility ». Que peut bien signifier une notion comme l’underground aujourd’hui ? Les bandes qui traînent par désœuvrement en cherchant « s’il y a moyen de gratter » sont crédibles jusqu’aux années 1990 mais guère plus loin, pour des raisons technologiques. Un « mec de rue » smartphone en poche avec 30 applications dessus sera éventuellement un singe connecté à un robot central mais certainement pas un prolétaire qui a faim ni un bonhomme. Toute cette connectivité fébrile pue l’angoisse du face-à-face solitaire avec la vie. « Rue », cela évoque la vieille pierre, les intempéries, la débrouille virile. La rue est devenue l’antichambre de la clinique esthétique. C’est un paddock pour hommes qui attendent que l’on mise sur eux en attendant de délivrer une performance entièrement domestiquée. Dans la métaphore de la comédie humaine comprise comme un hippodrome, qui sont les maquignons ?
#Rivarol#Monika Berchvok#ERFM#Eloquence du Vulgaire#Sociologie du hardeur#Vers la féminisation#Alain Soral#Félix Niesche#Capri Sun#Nutella#Red Bull#Mc Flurry
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La première réforme sociale: retirer aux mères abusives la garde des enfants passés 10 ans, et les confier à des structures traditionnelles visant à l'épanouissement intellectuel, sportif et créatif. Un enfant n'est pas l'excroissance du corps de sa mère, il est un Homme dès la fécondation de l'ovule.
10 ans à fréquenter toutes sortes de famille vous renseignent une fois pour toutes sur le rôle catastrophique des mères actuelles, sur les raisons de l'addiction des enfants au sucre, aux écrans, au porno et aux déviances de toutes sortes, de plus en plus jeunes.
Toutes les périodes de Basse Epoque commencent par la montée en puissance des gynécées (relire Aristophane et Juvénal). Toutes les périodes de Haute Epoque commencent par la force tranquille des hommes organisateurs, pacificateurs. La Paix c'est la tranquilité de l'Ordre.
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La soumission à la femme et au féminisme est la plus profonde, la plus inconsciente, elle trahit la race de l’âme ; ensuite idées et opinions coulent de source. Le féminisme n’est pas une idéologie mais une ontologie. La virilité spirituelle ne s’acquiert pas par l’artifice comme les néo musculatures. Elle se traduit non par la fusion mais par la Distance. Aujourd’hui, les mâles sont fiers d’être devenus d’authentiques gynécologues savants, leur problématique est toute centrée sur le cénacle humide de la gynécocratie., car « la femme domine maintenant l’homme en tant que celui ci devient esclave de ses sens », « l’homme devenant simple objet de plaisir manipulable » dit Julius Evola. Qui ajoute : « la matérialisation de la virilité est la contrepartie inévitable de toute féminisation du spirituel. »
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Cette horrible condition concernait des millions et millions d'enfants, de femmes, d'hommes. C'est de leur labeur incessant, du martyr légal du prolétariat à Manchester, Liverpool, Mulhouse, Fourmi, Turin, Barcelone, etc...etc...etc...., que naquit l'accumulation primitive du Capital ouvrant sur la supériorité économique de l'Europe. Nous ne devons aucunement repentance à quiconque, crif, cran, craf et autres trou du cruf....Cette mémoire tragique je la porte dans mon cœur et dans mon sang. Tant que j'aurais un souffle de vie je ne laisserai jamais personne, les tard venus, les descendants des pileurs de millet, des gras fourreurs, diamantaires et usuriers du Maroc et d'ailleurs, prétendre que nous devrions ce que nous avons, notre industrie, notre médecine, notre sécurité sociale, toute notre pauvre "richesse" de pauvres, à d'autres qu'aux nôtres, à nos parents. Ces droits, cette liberté dont ces geignards victimaires profitent largement, ici, les détruisant, incapables qu'ils étaient eux-mêmes de "monter à l'assaut du ciel", depuis le fond noir de la mine, comme le Grand Prolétariat Européen.
Devoir de mémoire: Les Pauvres
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L'intérêt économique de l'homme du peuple est le laisser-faire. L'impôt sur les PME maintenu sous 15% permet à un fils de prolétaire de s'extraire du salariat pour monter sa propre affaire, d'accéder à la conscience d'homme libre et d'aimer le pays qui protège son ascension sociale. La vie était connue comme un déclin de l'enfance à la tombe, voilà qu'elle devient un essor possible.
Libéralisme contre socialisme, marché contre communisme etc, chacun connaît ces débats chronophages depuis le lycée (Est-ce mieux le shit ou l'alcool?)
Une fois évaporés les termes changeants et réversibles de ces labyrinthes de querelles spéculatives, le substrat tangible gît dans les seuls chiffres. Le montant chiffré de l'impôt est le seul résidus à sec de huit cents millions de débats de société par an. Aucun espoir possible au-dessus de 20% d'impôts certes, or nous en sommes à 70%. La voix de l'homme du peuple motivé crie dans le désert orpheline de l'octave supérieure du français riche. Les seules vraies révolutions si tant est que ce mot existe, ne sont codifiées nulle part, comprises de personne (oubli universel d'un roman comme Les Employés de Balzac). Les complémentaires se prennent de haine absurde, se combattent, s'annulent, et le Pouvoir subsiste in extremis jusqu'à la génération suivante (principe du turn-over).
Une synthèse de Félix Niesche et de Charles Gave sauverait un peuple ; mais les prolétaires se fichent que leur bourgeoisie soit moquée (film Neuilly sa mère), et les bourgeois se fichent que leur prolétariat soit bafoué (film Les Tuche), que leurs travailleurs soient remplacés et que le facteur migrant saute la bonne, seule vraie révolution disait Céline. Ainsi Neuilly et Bobigny furent colonisées séparément par des invasions distinctes mais complices l'une de l'autre.
On voit en Dantec et Morand deux maillons se tendre la main en vain à des époques différentes. Le Pouvoir le sait, divise les nations pour y régner par provinces. Les Blancs sont le peuple premier de cordée de l'expédition humaine vers l’infini, le pouvoir nationalise ses gains en cotisations, le pousse à la faute, culpabilise ses pertes. Le Pouvoir n'a même pas à emprisonner les anticorps opposants (ils deviendraient des héros, des vaccins) puisque leur télescopage bénéficie au Pouvoir, tandis que les vendettas du type Pyramides/Tarterêts sont suivies de très près et empêchées. Saint-Simon témoin direct de l'impuissance des nobles à enrayer la marche fatale de la boursouflure de l'Etat après la Fronde résuma : "Tout bien à faire est impossible".
LD
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Excellente émission avec Félix Niesche et M. K.
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