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Performance_NUITBLANCHE2018 SousInfluence par EricMcc/Shonen X YesSoeur
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7EVEN TOONT UITEENLOPEND WERK VAN EEN STERKE GENERATIE DANSMAKERS
7EVEN TOONT UITEENLOPEND WERK VAN EEN STERKE GENERATIE DANSMAKERS
Amsterdam – Op woensdag 5 juli 2017 vindt de Nederlandse première van 7EVEN plaats tijdens Julidans Amsterdam. Zeven choreografen maken een choreografie met zeven dansers van ICK en Ballet National de Marseille. Voor 7EVEN dagen Emio Greco en Pieter C. Scholten zeven choreografen uit om, met het manifest De 7 noodzakelijkheden in gedachten, hun fascinatie voor het lichaam kenbaar te maken. Amos…
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#7even#Amos Bental#Ayelen Parolin#Emio Greco#Eric Minh Cuong Castaing#Faustin Linyekula#ICK#Joeri Dubbe#Nacera Belaza#Pieter C. Scholten#Ula Sickle
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Regards kaléidoscopiques sur notre temps, expériences à vivre, installations immersives, les quatre propositions des lauréats Audi talents 2017 Anne Horel, Emmanuel Lagarrigue, Hugo L’ahelec et Eric Minh Cuong Castaing dessinent les contours hybrides d’une création contemporaine vive. Après une première exposition au Palais de Tokyo du 22 juin au 14 juillet 2018, elles sont présentées à La Friche la Belle de Mai, à Marseille, du 2 septembre au 14 octobre. Commissariat : Gaël Charbau
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Le pas de côté du chorégraphe Eric Minh Cuong Castaing https://t.co/rXzNqlT8gR
Le pas de côté du chorégraphe Eric Minh Cuong Castaing https://t.co/rXzNqlT8gR
— razki030775 (@razki030775) October 6, 2018
via Twitter https://twitter.com/razki030775 October 06, 2018 at 09:03AM
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Constellations toulonnaises*
Festival Constellations #7 (Toulon), du 15 au 17.09.17
Merci une fois de plus à Alex Telliez !
Samedi 16 septembre. A une semaine de l’automne, il fait frisquet à Nice. Dans le domaine culturel aussi, bizarrement, au point qu’un ami proche s’est demandé si ce ne serait pas tout simplement… Daech - encore « lui » ! - qui aurait la mainmise sur la culture niçoise : hypothèse spectaculaire d’audace sur laquelle nous nous efforçons déjà de travailler, en lien permanent avec la Brigade Financière. Résultat de cette enquête dans un prochain brûlot de Nice-Matin… Pour l’heure, tournons le dos à ce « festival-consternation » qui, au gré des prochains spectacles des Choristes, de Sardou, Calogero, Pagny et autres Doré, promet de dévaster notre fin d’année nissarte, tel un ouragan… Profitons plutôt de l’invitation d’Alex « El Botcho » pour un alléchant week-end toulonnais, avec ce festival Constellations, évènement gratuit de danse contemporaine & musiques actuelles organisé par la valeureuse compagnie Kubilai Kahn. En bonus sportif, dimanche, une sortie vélo déjà légendaire qui empilera les trois sommets locaux - Faron, Coudon et Caume.
C’est donc presque ravi que nous essuyons trois ou quatre bouchons absurdes sponsorisés par Tony Escota sur l’A8, pour arriver en tout début de ce samedi après-midi où l’air vif a la limpidité du Côtes-de-Provence blanc. Après un succulent passage à la cantine Santa-Rosalia - cuisine mexicaine et produits frais « dou pais » -, c’est le moment de l’immersion dans l’underground toulonnais - lui-même plongé dans les Journées du Patrimoine. On fonce en vélo jusqu’à la Tour Royale. La monstrueuse fortification du XVIème siècle, digne d’un épisode dément de GoT, est toujours debout, harcelée par un vent d’ouest qui ne cesse de monter, de s’insinuer partout, sculptant superbement la mer, secouant les promeneurs, mais n’empêchant pas Régis d’Hifiklub d’instruire, en évoquant Alain Johannes dans une vidéo de Frank Zappa jouant avec Huun-Huur-Tu, groupe du sud sibérien. A propos, le prochain Hifiklub, Infernu, est prometteur avec son mélange de rock et de chant corse - idée qu’avait eue Lou Reed à l’orée des années 2000 et qui n’est pas restée lettre morte dans le 83. Tandis que le vent pousse encore un peu et qu’un petit garçon, derrière la baie vitrée d’une ancienne bouche à feu, se demande si c’est la mer ou la digue qui avance, nous parlons mouvements relatifs avec sa charmante maman, puis direction les soubassements de l’édifice afin de voir Lesson of Moon, par la Compagnie Shonen. Sous la voûte calcaire, sur les planches, on découvre le spectacle suivant : une toute jeune danseuse - Lauréna, actuellement en 5e sport-études -, un robot humanoïde prêté par l’INRIA de Bordeaux, de courtes répliques autobiographiques et une chorégraphie hybride. Simple spectacle pour enfants ou expérimentation artistique radicale ? Je réponds la 2 : ce fragment du projet School of Moon de 2016 (http://shonen.info/schoolofmoon/) provoque déjà une vive persistance rétinienne autant qu’émotionnelle, et c’est en nouveau fan que je m’en vais discuter avec le chorégraphe Eric Minh Cuong Castaing et la jeune Lauréna, laquelle répond avec une assurance et un plaisir visibles à mes questions. Shonen n’est pas venu à Toulon là pour plaisanter !
Pendant ce temps, dans la cour du « château », Tapetronic s’escrime à faire de l’électro bricolée, astucieuse et pédagogique, avec tout un tas de matériel analogique (voire illogique), désuet au possible et à destination de qui veut l’entendre : gros succès mérité dans l’atmosphère bretonne de cet après-midi. On s’habitue à ce vent ainsi qu’aux revirements de programme imposés par la fantaisie de Kubilai Khan - qui n’a pas emprunté à son illustre inspirateur mongol son organisation sans faille… Fantaisie sympathique,même si on finit par rater des choses. On constate cependant que le stand Jeunes Pousses tient bon avec son « espace enfants » et ses discussions autour des spectacles présentés et des discriminations. Belle initiative. Puis on voit AKA de l’incontournable compagnie Kubilai Khan, hommage incongru et plein d’humour à l’ovalie maori, toulonnaise (?) et féminine, avec notamment une danseuse asiatique qui crève un peu l’écran. Un concert dans la foulée, juste en face, toujours en pleines bourrasques, avec Erwan Ha Kyoon Larcher (danseur et musicien hyperactif qui a travaillé avec des pointures comme Christophe Honoré ou Vimala Pons). Derrière son masque de protection, il doit bien ricaner en décochant son électro bruitiste, sans grande subtilité certes, mais diablement efficace quand il s’agit de réchauffer le public, dans ce qui ressemble de plus en plus à un cours de step anarchiste à la pointe d’Ouessant. Parmi les inscrits, le duo Potochkine qui se dandine de plus belle, d’autant que la pauvre Polly Paulette n’a pas prévu suffisamment de lainages pour cette soirée glaciale. Cela dit le programme à venir de nos deux chouchous (avec notamment une longue résidence à la Comédie de Reims) semble en mesure de les réchauffer quand l’hiver sera venu, nous en sommes fort aise. Quant à moi, je reste de marbre : ce Tout est beau me renvoie à la fois au « tout est magnifique » de Jacques, et au fait que je suis absolument transi malgré trois épaisseurs et mes origines nordiques. Je vois le sourire moqueur d’Alex qui doit penser déjà à la virée de demain. Repli dans la chaleur des souterrains, pour un Zoo qui met en vedette, enfermé dans une sorte d’aquarium en bâches de plastique, le comédien et éclairagiste Ivan Mathis. Évocation à la sauce « humour varois » des vicissitudes modernes de l’homo sapiens, ce one-man-show permet au comédien, quasi à poil, de déployer un comique ravageur tant auprès des grands que des petits. Standing ovation méritée. En prime, ce gars semble être une crème qu’on recroisera avec plaisir, le temps de quelques mots, durant ce week-end. Puis je baguenaude dans les entrailles de cette Tour Royale. Décoration sobre, arty, mais sans prétention, quelques effets de lumières : bien-bien. Tiens, qu’est cela ? Un étrange monceau de ferraille sur lequel tout un chacun vient se courber : c’est la base de canon en bronze, colossale, repêchée autrefois dans la rade, d’un des obusiers de la Grande Maîtresse (ce nom m’émoustille), vaisseau amiral de la flotte qu’il ne devait pas faire bon croiser à l’époque, en Méditerranée, quand le King François 1er était en rogne. Allez savoir pourquoi j’imagine, en face, des flibustiers à têtes de Flavien Berger qui tenteraient de s’esquiver avec une petite feinte du style « Salut c’est cool », avant de se faire aplatir… Cet affût de canon impressionne (ça sent la force de frappe et la thune jupitérienne version 1520), et fascinés on passe la main sur les salamandres alchimiques du Fran-fran. Et puisqu’on parle de bombarder, voici qu’on croise encore cette fille au look assez « hot », sapée comme pour une boîte cannoise : c’est MadMoiselle MCH, artiste suisse qui présente le concert-performance Silver. A la fois au-delà du bien, du mal, de la pudeur et de je ne sais quoi (peut-être ces contorsions sexy dans ce pantalon moulant argenté altèrent-elles mon jugement), cet ego-trip gélifié par les néons évoque avec une certaine crudité l’errance d’une clubbeuse sensible, tiraillée entre désir de contrôle et lâcher-prise. La panne de sono, juste avant la fin, intervient d’ailleurs tel un signe, et la miss de repartir bravement après quelques minutes, encouragée par un public enthousiaste…
Durant cette après-midi (désormais effacée par la nuit remontée des profondeurs de la terre), j’ai croisé à de plusieurs reprises le minois souriant et la virtuosité d’une danseuse que tous semblent connaître sous le nom de Sara. Coïncidence, c’était systématiquement sur un fond musical auquel son corps réagissait de façon idoine - forcément. Conclusion ? Alt_Riviera se devait de vous proposer l’Interview de Sara Tan, à suivre bientôt dans nos pages… En attendant, c’est l’heure de mon initiation à la Société secrète des Jaguars : on me conduit tout en haut de la Tour, dans une petite cellule de pierre occupée par un musicien à masque de jaguar en origami: concert pour moi seul, la veine! Sans daigner s’apercevoir de ma présence, le fauve tisse boucles ensorcelantes et guitares ambient : l’immersion est immédiate, l’éclairage mystérieux à souhait, l’idée purement excellente. Après dix minutes, je sursaute, on vient de me taper sur l’épaule : c’est le moment de partir tandis que le gros chat poursuit sans rien manifester. Dix heures, c’est aussi la pause boisson/grignote (avec ce camion hors les murs qui nous régale de fondant au chocolat/piment d’Espelette et de curry de poulet). Il faut reprendre des forces avant le Dancefloor Tropical, animé par la Supérette Chicago locale (dédicace à Chicag’), puis par les Péruviens de Dengue DengueDengue : ces stars de l’électro tropicale hybrident la cumbia ancestrale de leurs contrées et l’UK bass, évoquant aussi une fusion afro/sud-américaine envoûtante sur fond de vidéos bricolées mais hypnotiques, dans lesquelles des silhouettes traditionnelles ont le visage amputé par divers effets graphiques, liquides, géométriques, en rotation : hypnose. Un public tout mignon afflue, et l’on resterait bien à Lima durant toute la nuit. D’ordinaire suspicieux quand on me parle d’électro tropicale (et je ne vous parle pas du reste de l’équipe Alt_Riviera), là j’ai compris… Ah, tiens, par ailleurs on m’a parlé d’une toute nouvelle soirée, La Chaton, aux Jardins Suspendus de la Porte d’Italie, pas loin, avec un set Miaou Mix (pour toi Cath), et même que… - Non, répond Alex, soudain inflexible, tu ne te rends pas compte du programme de demain, moi je vais me coucher. - OK. J’ai compris, là encore, c’est l’heure du couvre-feu, OK c’est cool… Docile, je dévore une assiette de curry à la guinguette, puis nous rentrons sagement…
Dimanche 17. Réveil aux aurores ou presque pour une incursion dans mon marché provençal préféré. Je traverse hâtivement la Place Puget - plaque tournante des hôtels et calèches d’antan - pour un café salvateur au Bar de Turin. Un vieux fait le service en chantonnant dans ses moustaches. Le temps dure longtemps mais passe vite : déjà l’heure du départ. Petite météo claire et aérée tandis qu’on sillonne les ruelles de Toulon Ouest. Programme dantesque pour notre trio (Alan nous a rejoints) : les Monts Faron, Coudon et Caume. Fidèle à ma réputation dans le peloton, j’attaque un peu, je voile ma roue toute neuve, je me perds une fois, j’interviewe des cyclotouristes de Bandol et je n’ai presque rien pris à manger. Je fais le guignol, en somme. Je mouille le maillot sinon Julien va m’engueuler à mon retour - pour l’instant je l’entends me répéter « Issa Nissa ». Alex et Alan, plus sages, contrôlent la course, font parler leurs qualités de grimpeurs et de descendeurs sur les pentes quasi vertigineuses des sentinelles varoises. Mais voici les contreforts du Mont Caume, tandis que le vent se lève : je suis cuit. Quel sport absurde. Ce sommet est un véritable escalier avec son revêtement plus que rustique. Ecoeuré, j’attaque (façon de parler) dans les forts pourcentages - qui, je le comprendrai vite, ne s’adouciront jamais. Ma roue frotte un peu sur les patins de frein, ce qui me fournit par avance une excuse pour mon implosion toute proche. Mes camarades regagnent du terrain tandis que je ne cesse plus de râler, regrettant les pentes du Ventoux. Ces Varois m’ont bien piégé avec leurs collines de fou(rbe)s. Nouvelle leçon de modestie et de sport… Là-haut, après un ultime démarrage-suicide, je me révolte contre la perspective d’aller jusqu’à la base militaire sommitale, desservie (c’est le cas de le dire) par un chemin intolérable. Planté sur ce dernier, j’annonce avec ce qui me reste de souffle l’arrêt définitif de ma carrière. Alex tient une cadence impressionnante avec sa grosse bicyclette de randonnée et Alan finit au panache. Le panorama, de fait, est grandiose de tous côtés (on doit voir les Alpes… mais lesquelles ?) Toutefois je me demande si je n’aurais pas mieux fait de rester Place Berger à écouter du Flavien Puget…
Constellations nous retrouve vers 15h, forcément très calmes. Qu’il est doux de profiter du festival après cette splendide (reconnaissons-le) virée sportive. Le jardin et la guinguette de l’Hôtel des Arts sont un havre tout indiqué, nous nous laissons aller à une quiétude agréablement peuplée de filles en fleurs (jusque sur leurs chemisiers), stylées et courtoises, et de quelques familles bien agréables. Sara Tan me fait un grand signe de loin, elle est vraiment craquante. Les agents de sécurité draguent en sécurité les bénévoles. Un début de crampes me force à des étirements dans le gazon, mais une bière de la Rade répand vite ses bienfaits dans l’organisme. Le tout jeune Paco est là et bien là : mascotte du Toulon arty, il jacte, va et vient, virevolte, toujours hormone-high, toujours aussi saugrenu. Le programme de cette après-midi fluctue comme notre forme physique, mais on en retient une chorégraphie sur fond de caravane qui flambe, ainsi qu’une prestation virtuose de Sara Tan dans cet Hôtel des Arts, au cœur de l’exposition photo/vidéo dingue (dingue dingue) sur les Tsiganes (http://www.hdatoulon.fr/hda_depot/expositions/83/83_1_doc.pdf). Mais alors que tout semble fait pour que je reste imperturbable, repus d’effort physique et plongé dans un état de paix et d’ouverture, le théâtre Liberté et son public vont parvenir à me crisper… J’te raconte ?
D’abord je reviens un peu sur le flou - certes gentillet - de la programmation, qui compromet mon petit planning : où se rendre, que voir ? Faut-il rester au bar à s’hydrater de bière ou bien traquer les spectacles au hasard des modifications d’horaire ? J’avoue que mon détachement de Bouddha (bar) pourrait en fin de compte se craqueler tel le bitume du mont Caume. L’avantage, cela dit, c’est que les trois lieux du dimanche sont tout proches. Pratique. Ainsi, c’est avec la plus grande facilité que je serai recalé à deux spectacles successifs au Théâtre Liberté. Explication : en apparence très « pro » avec ses agents de sécurité (qui te disent bonjour à chacun de tes passages) et son personnel, l’équipe de Charles Berling (qui fera une apparition en soirée au Musée d’Art) se soucie cependant médiocrement de « gérer » les spectacles gratuits - s’ils veulent des conseils, je peux les mettre en contact avec Le Channel à Calais, la référence internationale. De fait, première surprise : pas de passage au guichet pour retirer une invitation, avancez vers les salles SVP. Soit, jolie dédicace à Escota… Conséquence et/ou seconde anomalie (je ne parle pas de surprise) : la courtoisie et l’autodiscipline n’ont pas vraiment cours ici, en particulier chez les moins jeunes. Avides de culture en liberté, ceux-ci sont capables d’une férocité de poules dès lors qu’il s’agit de picorer un spectacle « gratis ». Troisième anomalie subséquente : les ouvreuses, pour élégantes qu’elles soient, ne se soucient pas le moins du monde des « invisibles » qui attendent depuis longtemps, et, souriant nerveusement aux plus roublards, les servent avec une pointe de perversité que je décèle aisément (cf. mon passé chez les Jésuites). Pendant ce temps, le délicieux café Malongo que je déguste tel un vif-argent au bar - tenu par une brune exquise qui à elle seule sauve l’honneur du théâtre - précipite ma perte : j’aperçois soudain les mines dépitées de spectateurs éconduits au prétexte que la jauge est déjà atteinte. Raffinement ultime, le sourire satisfait de l’ouvreuse en chef qui nous renvoie à nos foyers (nous sommes cinq ou six) alors même qu’on pourra vérifier deux heures plus tard qu’un quota de places inoccupées était réservé « pour les retardataires ».
- Eh mais dis-nous, petit Arnauld H., en as-tu finis avec ton ego et tes récriminations ? Qu’avons nous à faire de tes misères dérisoires de festivalier en week-end ?
- Oh je sais, je sais… Mais si ce soir j’ai pas envie de fermer ma gueule ? Hein ? Quand on s’appelle Liberté et qu’on s’engage auprès d’un festival gratuit, on se met au diapason, on essaie de faire plaisir au plus grand nombre… Là j’ai l’impression tenace que ce public invité est un peu pris de haut. Et ne me parlez pas sécurité, de grâce. Ou alors… aurais-je mal lu sur le fronton de l’immeuble ? C’est le théâtre « Liberté Surveillée », en fait ?On n’a jamais recollé l’adjectif qui était tombé ?… Pardon ? Vous dites ? Parlez plus fort, voyons ! Ah, c’est « LE Liberté » ? Cela fait une nuance, selon vous ? Vous voudriez dire que… le théâtre Liberté commence où s’arrête celle du spectateur ? Hmm, bien vu, spirituel, je note.
Bon, OK, j’arrête là - assez d’ennemis dans le Var. Je lève les yeux au ciel tandis que les ouvreuses fatales m’ignorent une seconde fois (ce qui paraît inconcevable étant donné ma prestance intacte) alors que j’ai attendu devant elles 30mn de plus pour (le paraît-il magnifique) Rafales, et que les vieux ont de nouveau sorti leurs revolvers en entendant le mot culture…
Mais reparlons spectacle, sans s. Ce sera rapide car on n’est admis sur liste complémentaire que pour Phoenix#songofdrone de la Cie Shonen. Beau préambule d’Eric Minh Cuong Castaing, que l’on retrouve aujourd’hui pour un autre fragment de son travail consacré au rapport corps/nouvelles technologies. Cette fois, nous explique-t-il, c’est le drone - désormais utilisable légalement par la France pour abattre des gens hors de son territoire (Liberté est donc Fanny encore pour un moment, ouf) - qui est au centre du spectacle. En résulte une représentation pour un danseur et deux drones qui clignotent dans le noir, survolant un public ainsi placé sous surveillance. Un stress palpable pour certain(e)s, des longueurs pour d’autres (dont moi), et peut-être un danseur trop assujetti à l’aéronef, comme si sa chorégraphie se voyait réduite, brimée par la présence absurde et écrasante de l’insecte. Encore une histoire de liberté conditionnelle…
Allez, satisfaction et fin de bouderie : on file au Musée d’Art pour un finale en roue libre, au milieu d’une belle expo de plus. Bonne humeur générale, je retrouve Ivan Mathis qui me conte l’histoire du théâtre de Châteauvallon. Puis, ébauche de bilan sur mon carnet : niveaux artistiques très divers, parti-pris sympathiques, évènement ambitieux et stimulant, incontestable émulsion artistique, artistes pleins de charme, et lieux splendides qui en mettraient plein la vue à des Niçois rendus jaloux : imaginerait-t-on Cricri nous filer les clefs du MAMAC, du TNN et, voyons, de la Colline du Château pour un festival d’avant-garde ? Soyons sérieux…
Voilà. Comment quitter Toulon sans se restaurer un peu, écouter Alex me jouer deux titres (en français et en avant-première !) et passer au Metaxu ? On fait un dernier point sur ce week-end 5 étoiles. Bilan rapide avec Marine de Kubilai Khan (merci pour son accueil). Coucou ultra-rapide à Sara Tan qui, dit-elle, va se chercher un verre puis revient. Les autres danseuses ont l’air vraiment sympas aussi. Mais… avant de (re)dire des bêtises (je sens que ça (re)vient), je m’en vais remettre mon sac au dos, remonter sur le vélo, rejoindre la voiture, mettre Viva Hate dans l’autoradio, et décoller en me promettant de revenir dès que possible, tant cet automne varois s’annonce excitant !
Texte : Arnauld H.
Photos : Laurent Thurin-Nal
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Hyperallergic: From a 16th-Century Book to a Robot-Assisted Performance, Artists Explore the Legend of the Golem
Miloslav Dvořak, “Le Golem et Rabbi Loew près de Prague” (1951), oil on canvas, 244 x 202 cm (Prague, Židovske Muzeum © Jaroslav Horejc) (all images courtesy of musée d’art et d’histoire du Judaïsme, Paris, unless noted)
Noise-math philosopher Norbert Wiener once aptly compared the old Jewish myth about the golem with cybernetic technology. Viewed through that lens, everything from transhuman artificial life cyborgs to anthropomorphic robots to humanoid androids to posthuman digital avatars bear the mystical mark of an artificial body madly turning on its creator. This oily tale is the oldest narrative about artificial life and is now subject of the exhibition Golem! Avatars d’une légende d’argile at Musée d’art et d’histoire du Judaïsme.
The golem was first mentioned in passing as גֹּלֶם in the Bible in Psalm 139:16, but the first golem story was spun by the 16th-century Talmudic scholar Rabbi Loew ben Bezalel. In it, he supposedly used Kabbalistic magic, Hebrew letters, paranormal amulets, or mystical incantations to conjure into existence the Golem of Prague: a colossal figure built from mud or other base materials, who protected the Bohemian Jews of the country from the Holy Roman Emperor Rudolf II. Though initially a savior, the Golem of Prague eventually became harmful to those he had saved and had to be destroyed. There are myriad subsequent versions of the story, with many variations and contradictions. It is generally agreed that what animated this mystical entity was an inscription either applied to its forehead or slipped under its tongue, and the golem has largely been understood to be an artificial man that is part protector and part monster, but many other differences abound. This specious aspect makes the golem particularly interesting to artists because such contradictory vagueness yields opaque and elusive visual iconography.
Paul Wegener, “Le Golem, comme il vint au monde” (1920) (Deutsche Kinemathek, Berlin © succession Paul Wegener)
The legend spread in the late 19th century, popularized by the 1915 novel The Golem by Gustav Meyrink and three movies by Paul Wegener: The Golem (aka The Monster of Fate) (1915), The Golem and the Dancing Girl (1917), and The Golem: How He Came into the World (1920). An essential general reference for the golem-phile is Idel Moshe’s 1990 book Golem: Jewish Magical and Mystical Traditions on the Artificial Anthropoid, published as part of the Judaica: Hermeneutics, Mysticism, and Religion series by the State University of New York Press in Albany. In it, Moshe maintains that the role of the golem concept in Judaism was to confer an exceptional status to the Jewish elite by bestowing them with the capability of supernatural powers deriving from a profound knowledge of the Hebrew language and its magical and mystical values.
I first encountered this titillating thesis mixing creation and destruction at Emily Bilski’s 1988 show Golem! Danger, Deliverance and Art, which she curated for The Jewish Museum in New York City. I still remember seeing Louise Fishman’s fine painting “Golem” (1981) there, and I was disappointed that the plucky street performance artist Kim Jones (aka Mudman) wasn’t included.
Joachim Seinfeld, “Golem” (1999), series of 5 photographs, 39.5 × 40 cm (Prague, Židovske Muzeum © Adagp, Paris)
Lionel Sabatte, “Smile in Dust #1” (2017), dust and wire, 13 x 14 x 11 cm (image courtesy of the artist)
Steve Niles and Dave Wachter, Breath of Bones: A Tale of the Golem (2013) (© Dark Horse Comics)
This show in Paris follows on the heels of the Golem exhibit at The Jewish Museum Berlin. Both venues had the idea for an exhibition on the golem at the same time, and the institutions cooperated on loans and exchanged ideas. The Musée d’art et d’histoire du Judaïsme show has 136 works, including paintings, drawings, photographs, cinematic clips, literature, comics, and video games by the likes of Charles Simonds, Boris Aronson, Christian Boltanski, Joachim Seinfeld, Gérard Garouste, Amos Gitaï, R.B. Kitaj, and Eduardo Kac. Animated films included are Jan Svankmajer’s masterful Darkness Light Darkness (1989), Jakob Gautel’s First Material (1999), and David Musgrave’s Studio Golem (2012). But the best dramaturgical presentation is the humanoid robotic metaphor of an awakening of posthumanity in School of Moon (2016), a dance choreographed by Eric Minh Cuong Castaing for the Ballet National of Marseille in conjunction with digital artist Thomas Peyruse and roboticist Sophie Sakka. Their impish portrayal blurs our perception of the human and the nonhuman by mixing ballet dancers with children and anthropoid robots.
Christian Boltanski, “Le Golem” (1988), mixed media, 19 × 11.5 × 27 cm (New York, The Jewish Museum © Adagp, Paris)
Gerard Garouste, “Le Golem” (2011), oil on canvas, 270 × 320 cm (collection de l’artiste © Adagp, Paris)
School of Moon (2016), performance (photo courtesy of the artist)
The show kicks off with a large straightforward illustrative painting by Miloslav Dvořak, “Le Golem et Rabbi Loew près de Prague” (1951) but soon turns weirder with a 1964 Dennis Hopper photograph of the great beatnik Wallace Berman. Berman is known for his underground film Aleph (1956–66), in which he uses Hebrew letters to frame a hypnotic, rapid-fire noise montage into a bit of wonder. Moving on, I was fascinated by an odd printed book page from the Sefer Yetzirah (Book of Creation) (1562), in which Kabbalists, wishing to bring a golem to life, looked for the aid of alphabetic formulae. Other powerful pieces include Lionel Sabatte’s redolent sculpture “Smile in Dust” (2017), Philip Guston’s cartoonish painting of a cuddly Ku Klux Klanner “In Bed” (1971), Anselm Kiefer’s crusty stout block “Rabi Low: Der Golem” (1988–2012), Antony Gormley’s rusty condensed sculpture “Clench” (2013), and Niki de Saint Phalle’s swashbuckling “Maquette pour Le Golem” (1972), her model for the architecturally scaled triple-tongued monster slide “Le Golem” (1972), which she built in Jerusalem, that represents the three monotheistic religions plummeting from a golem-monster’s merry mouth.
Sefer Yetsirah, Mantoue: Livre de la creation (1562), printed book page (detail), 21 × 16 cm (Paris, bibliothèque de l’Alliance israélite universelle)
Philip Guston, “In Bed” (1971), oil on canvas, 128 × 292 cm (Centre Pompidou, Musée national d’art moderne / Centre de création industrielle, dépôt de la Centre Pompidou Foundation; photo by the author for Hyperallergic)
Niki de Saint Phalle, “Maquette pour Le Golem” (1972), plâtre, 64 × 114 × 118 cm (Jerusalem, Israel Museum © 2017 Niki Charitable Art Foundation / Adagp, Paris)
Anselm Kiefer, “Rabi Low: Der Golem” (1988–2012), plastique, bois, plomb, verre, résine synthétique, acier, et charbon de bois, 95 × 95 × 58 cm (Anselm Kiefer, courtesy galerie Thaddaeus Ropac, Paris-Salzbourg)
One of the more delightful displays was the room full of Ignati Nivinski’s 1924 watercolors made for the costumes of the 1925 theatre piece The Golem, on loan from the Russian National Archives of Literature and Art. The play was based on the 1921 text The Golem: A Dramatic Poem in Eight Scenes by H. Leivick, a Yiddish poet and political radical who served jail time in Siberia. On the other hand, I was startled and disturbed to see Walter Jacobi’s distasteful 1942 book Golem, a flagrant anti-Semitic propaganda text concerning a Judeo-Masonic conspiracy theory within the Czech Jewry, issued during the Nazi occupation of Czechoslovakia. Seeing it made me think that a Trump-era cyber-golem would busy himself with public relations, propaganda, market research, publicity, disinformation, counter-facts, censorship, espionage, and even cryptography (which in the 16th century was considered a branch of magic).
Ignati Nivinski, “Esquisse pour les costumes de la pièce Le Golem de H. Leivick” (1925), crayon, aquarelle, tempera sur papier, 23 × 15 cm (Moscou, Archives nationales russes de littérature et d’art)
Walter Jacobi, Golem (1942), photo by the author
The show winds down wonderfully with Walter Schulze-Mittendorff’s sculpture “Robot from Fritz Lang’s film Metropolis” (1926), which was recreated by the Louvre in 1994, standing in front of Stelarc’s “Handwriting: Writing One Word Simultaneously with Three Hands” (1982). The combination of these works suggests that golems have to do with an abiding conviction that cold and inert matter may be brought to life through the correct application of words. But rather than a sign of human accomplishment, the golem casts a sour shadow onto our gleaming technological age. The power of human language to summon golems to artificial life is experienced as hubris in this exhibit. This vanity enhances the sexy love-hate of spooky computer-robotics we feel at the root of Alex Garland’s 2015 film Ex Machina, a poster for which is on display. We cannot and do not escape the triumphal attraction of the golem here, as we are confronted (again) with the fetid fact that a determinative force in human life is the virtual merging with the actual. As such, the golem is the minotaur at the heart of our viractual labyrinth.
Stelarc, “Handwriting: Writing One Word Simultaneously with Three Hands at Maki Gallery, Tokyo” (1982) (photographed by Keisuke Oki; re-photographed by the author)
Golem! Avatars d’une légende d’argile, installation view
This brave new word-world was suggested back in 1965 by Kabbalah philosopher Gershom Scholem, when he officially named one of the first Israeli computers Golem I. Because just as the golem is brought to life by combinations of letters, the computer (which is behind any artificially intelligent robot) only obeys coding language. And that coded situation slots us back into Norbert Wiener’s excited trepidation toward machine learning. While learning is a property almost exclusively ascribed to self-conscious living systems, AI computers now exist that can learn from past experiences and so improve their operative functions to the point of surpassing human capabilities. This posthuman transcendence raises concerns both aesthetic and ethical, casting around the art in this show an apologetic air heavy with ambivalence toward human cunning and trickery and seductive art and technology.
Golem! Avatars d’une légende d’argile continues at Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (Hôtel de Saint-Aignan, 71, rue du Temple, 3rd arrondissement) through July 16.
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Eric Minh Cuong Castaing 2/3
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Eric Minh Cuong Castaing 3/3
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