#Dominique Sauvage
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On nous appelait les sauvages
L’aîné T8aminik (Dominique) Rankin est né dans les forêts du nord-ouest québécois, à l’époque où ses parents vivaient encore le mode de vie nomade de leurs ancêtres anicinapek (algonquins). On nous appelait les sauvages – Entrevue avec Dominique Rankin
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Si nous voulons cesser de fabriquer des sortes de sauvages, il faudrait réapprendre à dire « non ». Ce n’est plus à un homme qu’il faut dire « non », mais à l’extrême faiblesse complaisante, copinarde, attendrie qu’il faut dire « non ». Réapprendre les distances. (…) Une civilisation repose sur l’aptitude à dire « non ».
Dominique Venner
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Puzzle sauvage Dominique Marquet-Lausch 44 pages / format 19x27cm / imprimé sur papier ivoire Édité par ION édition https://ionedition.net/ Ion Edition Prix : 10€
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Lecture : Du bon usage des étoiles - Dominique Fortier
Résumé:
En mai 1845, les navires Terror et Erebus, sous le commandement de Sir John Franklin , un explorateur britannique, quittent l'Angleterre pour découvrir le fameux passage du Nord-Ouest. Francis Crozier est le commandant du Terror, l'adjoint de Franklin. C'est lui le personnage central de ce roman, personnage romanesque peu connu, il est tout le contraire de Franklin. Il est un des rares hommes de l'équipage à s'intéresser à l'autre aux esquimaux, considéré comme des sauvages. Commence alors un nouveau voyage, immobile celui-là, au cœur de la nuit polaire et vers les profondeurs de l'être, dont Francis Crozier, commandant du Terror, rend compte dans son journal. Il se languit aussi de la belle Sophia restée avec sa tante Lady Jane Francklin à Londres, où les thés et les bals se succèdent en un tourbillon de mondanités. Inspiré de la dernière expédition de Franklin, Du bon usage des étoiles offre un tableau foisonnant des lubies de la société victorienne- lesquelles ne sont pas sans rappeler certains des travers de la nôtre - dans un patchwork qui mêle avec bonheur le roman au journal, l'histoire, la poésie, le théâtre, le récit d'aventure, le traité scientifique et la recette d'un plum-pudding réussi.
Mon avis :
Dans l'ensemble, il s'agit d'une lecture rapide et agréable qui permet de retrouver des noms bien connus (Crozier, Franklin, Fitzjames, Little, Gore, Hornby, Goodsir …). J'ai eu l'impression de revoir des vieux amis après des années sans nouvelles.
On suit en parallèle la vie de Crozier et sir John et celle de Sophia et lady Jane. Cependant, l'absence d'intrigue supplémentaire rend le récit assez plat. Surtout en ayant déjà connaissance des évènements, j'avais parfois l'impression de lire un résumé romancé de l'expédition plutôt qu'une oeuvre originale.
Point positif, les personnages féminins sont ENFIN bien écrits et doués d'une véritable personnalité. J'ai pris plaisir à lire les passages sur Sophia qui m'est apparue comme une personne bien plus agréable que celle qui était dépeinte par Simmons. Lady Jane n'est pas en reste et brille par sa ténacité. Ce pan de l'histoire négligé dans Terreur est pour moi l'aspect le plus plaisant du récit. Ah, et l'humour aussi (voir extrait ci-dessous).
De nombreux évènements sont sous-entendus, il y a des allusions aux objets découverts plus tard (un gant laissé à sécher, par exemple) : autant de clin d'oeils aux lecteurs avertis. Il me semble que cet ouvrage s'apprécie davantage si l'on a déjà des connaissances de base sur l'expédition de 1845.
En bref, c'est une lecture complémentaire qui égaiera votre dimanche après-midi.
#the terror#franklin expedition#francis crozier#erebus and terror#jane franklin#book review#littérature québecoise#quebec
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C’était bien mars
1er mars J’ai essayé de me placer, l'air de rien, pour des ateliers en Master à la rentrée prochaine. J'ai vu une scène qui m'a amusé en voiture : deux animateurs en gilet fluo regroupaient de très petits enfants devant un point de dépôt de verre. Ils donnaient l'impression qu'ils s'apprêtaient à s'en débarrasser. J'ai préparé une salade de chou-rouge en utilisant une mandoline et une espèce de lame courbe super-tranchante. (J'ai été un peu déçu du rendu de l'affiche commandée en ligne.) J'ai parlé tricot en visio avec la mère de João aux Açores. J'ai acheté la nouvelle biographie de Georges Perec. J'ai vu passer des oies sauvages en formation. (J'ai mangé un Snicker au retour de la supérette.) J'ai repris ma série d'affiches pour régler le problème de transparence visible à l'impression. 2 mars J'ai meublé comme j'ai pu un atelier d'écriture qui commence à tourner un peu à vide. On m'a fait cadeau d'une bière, que je ne boirai sans doute pas. On m'a rappelé le nom d'une ancienne copine de fac. J'ai réservé un logement pour dimanche soir prochain. 3 mars Je me suis réveillé, sans réveil, après une nuit parfaite. J'ai lu une petite heure, dans la maison silencieuse. (J'ai composé, machinalement. mon ancien code de carte bleue.) On m'a rappelé ce très beau mot, "tambourinaire". J'ai vu une de ces buses qui veillent au bord des routes fondre sur un talus pour attraper sa proie. (Je n'ai pas trouvé les bonnes références d'étiquettes pour l'expo Dis-moi ton secret.) J'ai résisté à l'achat de petits écouteurs sans fil. J'ai dicté la plupart de ces notes et j'ai trouvé ça assez satisfaisant. (Je n'ai pas plus accroché au nouvel album de Dominique A qu'au précédent.) J'ai testé la nouvelle passerelle d'accès aux quais de la gare (et rien n'est encore fonctionnel.) 4 mars Je me suis levé tôt, j'ai lancé une machine et plié la précédente. J'ai joué avec Benjamine à compter les voitures rouge à l'aller et au retour de son atelier (près de cent cinquante, quand même). J'ai bouiné/bouquiné tout l'après-midi. J'ai ressorti mes photos de classe pour voir combien de noms et de prénoms pouvaient me revenir.
5 mars J'ai traversé les marais, dans la lumière rasante du soleil levant. Je suis allé à la piscine à vélo et j'ai nagé un kilomètre cinq cents. J'ai plutôt bien réussi les tartines du déjeuner. J'ai fait cadeau de deux bières que je n'aurais pas bues. J'ai traversé les vignes, dans la lumière rasante du soleil couchant. J'ai fourré dans mon sac un Perec que je n'avais pas, avec l'autorisation écrite de ma logeuse. L'entrée de la chambre au grenier était une porte de hobbit, qui ne dépassait pas mes épaules. (Le resto asiatique était assez médiocre, mais j'y étais avec Cadette.) 6 mars J'ai parcouru la ville où nous avons vécu et j'ai trouvé qu'elle avait vieilli. J'ai travaillé dans une toute petite pièce sous les toits, entre le chauffage et le thé qui infuse. (Je me suis cogné à la grosse poutre traversante à deux ou trois reprises.) J'ai reçu tard un travail urgent et je l'ai expédié en quelques dizaines de minutes avant d'aller manger. (J'ai travaillé assis, et ça ne m'a pas fait de bien.) Le dessert du restaurant de salades était une tarte renversée à l'ananas et c'était drôlement bon. (Les librairies visitées ne m'ont pas emballées.) J'ai trouvé des étiquettes aux bonnes dimensions pour l'expo. La mer avait des reflets violets. J'ai fait le plein sous la pleine lune. Nous avons rivalisé de commentaires élogieux avec mon hôtesse.
7 mars Réveil sans réveil, et tôt cependant. J'ai avancé dans la lecture inspirante de la bio de Perec. J'ai calé les ateliers à venir. (J'ai à nouveau une petite douleur au niveau des trapèzes.) J'ai fait bureau dans ma voiture. (On a préféré annuler l'atelier du soir.) J'ai évité in extremis les gros bouchons sur la rocade. (J'ai fait un long détour dans la pampa.) (J'ai oublié ma clé USB dans la salle de classe.) On a trouvé une solution pour la récupérer avec l'enseignante. Ma chérie a fait des crêpes. On a bricolé en famille la playlist féminine et impromptue de nos années 90 : The Breeders, Belly, P.J. Harvey, Björk puis, insensiblement, Katerine. J'ai entendu le léger cr��pitement de la pluie sur le toit. 8 mars J'ai pris la route avec France Culture en grève qui passait Brassens puis aussitôt après, P.J. Harvey. (Il m'a manqué 5 centimes pour m'acheter un deuxième croissant.) J'ai récupéré ma clé USB. J'ai bravé la pluie et la flemme et je suis allé faire du sport. (La flemme m'a vite rattrapé.) 9 mars (Les deux interventions scolaires du matin ont été foireuses.) J'ai mis la main sur le livre québécois que je traquais depuis des mois. (Le type devant moi au resto ponctuait toutes ses phrases de "en mode", de "méga-concept", de "meilleure idée".) J'ai choisi le fondant châtaigne. L'atelier de l'après-midi avec les étudiantes, et la discussion qui s'est poursuivie plus d'une heure après, m'ont requinqué. J'y ai loué la poésie et conchié les poètes. Je me suis couché tôt, et endormi de suite. 10 mars J'ai pris mon temps, tout le matin, et, plus tard, en route, un appel libérateur. J'ai goûté quelques minutes de calme dans l'habitacle protecteur de la voiture à l'arrêt. J'ai regardé l'heure sur la pendule au-dessus du tableau, et la séance était pratiquement finie. Au dernier moment, j'ai tourné à droite pour aller chercher ma fille plutôt qu'à gauche pour aller chercher mon livre. J'ai préparé un riz cantonais maison. 11 mars Je me suis débarrassé (enfin) du vieux short un peu pisseux, élimé et troué qui faisait office (de plus en plus rarement) de pyjama du matin. Je me suis montré raisonnable dans la librairie, différant à un prochain passage l'achat de deux livres, sur les quatre que j'avais en main. J'ai flâné en ville, pour la première fois depuis bien longtemps. (J'ai encore mangé un Snicker en revenant de la supérette.) J'ai dansé avec Benjamine. J'ai fini la biographie de Perec par Burgelin. J'ai lu d'une traite La Rédactrice de Michèle Cohen, l'un des deux livres achetés le matin. (J'ai commencé à taper mon ancien code de carte, avant de me corriger.) J'ai lu Superballe de Philippe Charron dans la soirée. 12 mars J'ai remis la bâche sur les vélos. (Le vent l'a soufflée d'un rien.) J'ai lu Récits d'Ellis Island. J'ai imprimé une carte postale pour Benjamine. (J'ai cherché en vain le titre d'une chanson des années 80.) J'ai lu Sortir au jour, d'Amandine Dhée. J'ai trouvé une course à faire pour occuper la fin de mon dimanche. J'ai vadrouillé dans la pampa, au gré des indications de la voix synthétique de Google Maps. J'ai immortalisé ma première traversée de Blouc. J'ai rapporté notre nouveau tourniquet à cartes postales.
13 mars J'ai commandé les affiches pour l'expo. Nous avons poussé des soupirs d'aise dans les bras l'un de l'autre. Je me suis laissé bercer par Mady Mesplé. J'ai fait une sieste. (Je suis allé m'acheter un sachet d'oursons à la guimauve.) (Je les ai tous mangés.) (J'ai expédié les affaires courantes.) J'ai remis la bâche sur les vélos. Nous avons longé la plage à marée haute. J'ai fait don de ma très vénérable chapka à Benjamine. Je suis sorti lester de chaises et de tables de jardin la bâche sur les vélos, que le vent s'amusait à gonfler. 14 mars Nous sommes allés marcher sur la plage. Nous avons eu la pluie dans le dos. J'ai trouvé un tout petit oursin. (La pluie nous a fait rebrousser chemin, et s'est arrêtée presque aussitôt.) J'ai rapidement bouclé un article en cours. J'ai fait mes emplettes pour les expos à venir. J'ai couru une demi-heure, et fait un quart d'heure d'autres trucs. L'eau de la douche a été chaude tout de suite. (J'ai demandé à ChatGPT de faire un peu de mon boulot.) J'ai mis en page les travaux des étudiantes pour l'atelier de jeudi. Maps m'a fait découvrir un nouvel itinéraire. J'ai récupéré un deuxième présentoir à cartes postales. J'ai dansé sur The Cure avec Benjamine. J'ai fini la lecture du bouquin de Pierre Bayard. 15 mars J'ai vu une étoile de mer et ramassé un nouvel oursin. J'ai fait mes impressions sur post-it pour la petite expo. J'ai reçu Le Matricule des anges. J'ai trouvé quatre livres pas mal à la petite médiathèque. (Je bricole un nouvel atelier pour lundi prochain, mais sera-ce suffisant ?) Notre expo a été annoncée dans la programmation de la grande médiathèque. J'ai trouvé qui solliciter pour le job d'été de Junior.
16 mars J'ai vu le ciel bleu du matin finir son croissant de lune. (Impossible de retrouver mon mètre.) J'ai mis à jour mon curriculum. J'ai changé ma formule d'abonnement au Monde. Ma chérie a retrouvé mon mètre. On a éteint tous les chauffages, et laissé le soleil entrer par les baies ouvertes. L'atelier a été très efficace, avec des renforts bienvenus. J'ai échangé les présentoirs par des isoloirs dans le coffre de la voiture. On a répété avec les étudiants pour la lecture publique. Bratislava a fait son entrée dans la géographie familiale. (Je me suis gavé de sandwichs en rentrant tard de l'atelier.) (Le vrai repas a été de trop.) J'ai dansé avec Benjamine sur sa sélection musicale. On a fait du Air Ping-pong. (Le courant a sauté.) 17 mars Le déplacement de 8h a été déplacé à 11h. J'ai cherché la différence entre cheveux bouclés et cheveux frisés. (Mon changement de formule d'abonnement n'a pas été pris en compte.) (La conseillère me propose l'abonnement plus cher, l'air de rien.) J'ai expliqué à Benjamine toute ouïe comment était censée fonctionner notre Ve République. (J'ai glandé sur le net, pour une récolte évidemment nulle.) J'ai mangé avec les filles. J'ai pris une tisane avec Cadette et parlé philo, lettres et méthodo. J'ai fini Quand tu écouteras cette chanson de Lola Lafon. J'ai dû m'endormir à peine la tête sur l'oreiller. 18 mars (J'ai commencé un roman d'Éric Neuhoff.) (Un couple de bourgeois blasés s'emmerdait à Venise. Un narrateur qui s'emmerdait lui aussi enfilait des phrases courtes qui se voulaient signifiantes. Des références un peu cuistres faisaient office de ponctuation. Leur vie d'éditeurs parisiens semblait de peu d'intérêt. Ils avalaient page après page des cocktails compliqués qui sentaient le pastiche.) J'ai reçu les belles affiches pour l'expo Beaufort. J'ai lu Le capital, c'est ta vie de Hughes Jallon. (J'ai oublié la buchette de chèvre à la caisse de la supérette.) (J'ai mis trop de béchamel dans les croque-monsieur.) (Benjamine nous a dit que sa prof de musique avait proposé d'apprendre Boys don't cry ou Where is my mind, mais que la majorité des élèves de sa classe avait voté pour La Bamba.) Nous avons applaudi, crié et ri au concert des Pixies avec Benjamine. (Sur Arte.) 19 mars Je me suis inscrit aux ateliers d'écriture en ligne de Laura Vasquez. J'ai pu prolonger de quelques jours encore mes emprunts à la bibliothèque universitaire. (Je m'y suis repris plusieurs fois pour resserrer ma branche de lunettes parce que je ne voyais plus l'encoche de la tête de vis.) On a pris le café sur la terrasse pour la première fois cette année, réchauffés par le soleil. 20 mars J'ai bien mené l'atelier que j'appréhendais. J'ai vu une cigogne perchée sur un pylône battre des ailes en majesté. J'ai joué de mes très hautes relations pour les premiers jobs d'été de Cadette. J'ai réalisé qu'à l'exception des expos à accrocher jeudi, je n'avais, pour la première fois depuis très longtemps, aucun travail en cours à m'occuper l'esprit. (J'ai encore boulotté un sachet d'oursons à la guimauve.) En le voyant sortir de chez lui dans son petit maillot de bain rouge, j'ai découvert que le type qui va se baigner tous les jours, toute l'année, quelle que soit la température, s'appelle Monsieur Caille. J'ai photographié la cabane à huîtres de la sortie du pont. (J'ai récupéré une Cadette mécontente d'elle.) (J'ai ruminé une bonne partie de la soirée ma rancœur contre ce gouvernement de jésuites.)
21 mars (J'ai reçu un mail en pleine nuit qui me précisait l'horaire de l'atelier de ce matin (que je connaissais).) (J'ai mis longtemps à me rendormir.) J'ai pris des notes pour un prochain texte. (Ça ne m'a pas aidé à trouver le sommeil.) J'ai retrouvé par hasard le lien d'abonnement à L'Ours Blanc. J'ai évité un ralentissement sur la rocade. J'ai animé une classe avec des élèves plutôt mignons (et une prof franchement énervée). J'ai bouclé l'impression des textes pour jeudi. J'ai récupéré (par téléphone) une Cadette contente d'elle. Je suis revenu de la supérette sans avoir acheté aucune saloperie. 22 mars J'ai repris mes courses de printemps. Des oies sauvages en formation dessinaient une coche parfaite au-dessus de ma tête. Des petits vieux parlaient inflation et prix des carottes râpées. J'ai regroupé tous les livres des éditions Verdier éparpillés au gré des étagères dans une même case de la grande bibliothèque. J'ai acheté trois livres et discuté avec la jeune libraire. J'ai fini l'étonnante lecture de Roman géométrique de terroir de Gert Jonke. J'ai reçu une nouvelle proposition de travail qui m'enthousiasme tout particulièrement. Le nouveau coiffeur m'a pris sans rendez-vous. (Je me suis fait labourer le dos par les espèces de rouleaux à pâtisserie du fauteuil massant.) On n'a pas échangé plus de trois phrases. J'ai lu Les deux dormeurs de Samy Langeraert. 23 mars (Je me suis réveillé assez tôt dans la nuit.) J'ai avancé sur mon texte. (Ça ne m'a pas aidé à trouver le sommeil.) J'ai collé, simplement mais lentement, l'expo de post-its. (J'ai à peine eu le temps de manger un mauvais wrap de distributeur automatique.) L'expo Dis-moi ton secret a été plus simple à installer que ce que je redoutais. (Mes étudiants ont été un peu pénibles.) (On a pété une étagère de la médiathèque en la déplaçant.) On a installé l'expo Beaufort facilement et rapidement. Tous mes achats de petit matériel du matin ont été utiles. J'ai aidé les étudiantes de l'atelier photo qui galéraient dans leur accrochage. (Les verres de jus de raisins m'ont donné encore plus soif.) (Le phare de la bagnole est encore grillé.) (J'ai fini la journée claqué.) 24 mars (Les gars du chantier voisin ont commencé à piquer les murs à 7h35.) Erica Van Horn a publié de nouvelles notes de son journal en ligne après deux mois d'interruption. (Je me suis mis tout seul à la bourre.) (J'ai oublié un bouquin dans la salle de classe.) Ça sentait le jasmin en entrant dans la maison. J'ai fait une sieste. (Mol après-midi.) 25 mars J'ai reçu la première consigne d'écriture des ateliers de Laura Vasquez. J'ai reçu au même moment des nouvelles d'une série de petits bouquins fabriqués il y a quelques années. J'ai répondu à la consigne et envoyé un texte. J'ai écrit un autre texte en prévision de la présentation de mes ateliers de l'an prochain. J'ai torréfié des noisettes. J'ai aidé Junior pour ses demandes de jobs d'été. J'ai préparé quatre burgers maison. J'ai regardé un film slovaque tourné à Bratislava, dans l'espoir d'apercevoir Bratislava. (Toutes les scènes ont été tournées en intérieur et on ne voit jamais la ville.) 26 mars J'ai fini L'école de la forêt de Carla Demierre, dans la maison silencieuse, avec les vagues en bruit de fond. J'ai avancé l'heure de ma montre, de la pendule du four et de la mini-chaîne et de la petite pendule à côté de l'escalier. J'ai lu en un couple d'heures Les Sources de Marie-Hélène Lafon. Je suis allé lester en vitesse la bâche sur les vélos que le vent soulevait davantage à chaque rafale. J'ai lu jusqu'au soir Marcher jusqu'au soir de Lydie Salvaire. 27 mars À en juger par leurs chants, les oiseaux semblaient contents du changement d'heure. (Pour nous, ça a été un peu plus difficile.) J'ai fait une sieste. J'ai eu un premier bon retour de l'expo Dis-moi ton secret. (Je n'ai pas osé dire que je ne venais pas assister à la session d'écoute de podcasts.) J'ai assisté à la session d'écoute de podcasts. Le vernissage s'est bien passé. J'ai discuté avec un gars qui part écrire au Pôle Nord. Mon texte envoyé samedi a été pris dans une revue. 28 mars Oscar, le pôle-nordiste, m'a envoyé son "carnet d'été". J'ai lu d'une traite ce surprenant journal. J'ai senti la terre trembler à 15h34. J'ai fait un selfie et je l'ai envoyé à la revue qui a pris mon texte. (Je n'ai pas vu mon nom sur le déroulé de l'animation de jeudi et, bizarrement, je n'en ai pas été tellement surpris.) J'ai senti la terre trembler à 18h06. 29 mars J'ai discuté de nos petits travaux avec le maçon du voisin. J'ai rallongé ma course de près d'un tiers de sa distance. (Les gars du chantier ont rasé la rose trémière devant la maison.) J'ai honorablement meublé au micro en attendant l'heure exacte du début de la lecture des étudiants. La lecture s'est bien passée. (La directrice de la médiathèque a tiqué sur certains secrets.) Je n'ai pas eu à précipiter mon départ pour prendre le train. J'ai dit au revoir à mes étudiants, nous en avons fini de nos ateliers. Ma chérie et moi avons mangé une part de far sur le port. Nous avons joué et mimé les situations d'un roman de Françoise Bourdin avec Benjamine. J'ai fini Il suffit de traverser la rue d'Éric Faye. 30 mars J'ai laissé les notes claires du piano d'Emahoy Tsegué-Maryam Guèbrou s'envoler dans le salon. J'ai mis des myrtilles fraîches dans mon muesli. J'ai croisé l'ami Louis. (Les trois premières heures de l'atelier m'ont paru au moins deux fois plus longues que les trois dernières.) J'ai fait quelques photos en attendant ma chérie. (J'ai reçu une invitation pour l'inauguration d'un tracteur.) (J'ai trop grignoté avant de passer à table.) J’ai retouché les photos prises.
31 mars Je me suis aperçu que mon jean craquait à l'entrejambe avant mon intervention au lycée. (Je n'ai pas trouvé de place pour me garer.) L'atelier est passé vite. (Je me suis pris une prune.) (J'ai été coincé dans un bouchon.) Cadette m'avait préparé un gratin de coquillettes. (Je n'ai pas la référence pour régler l'amende.) J’ai trouvé un peu de temps après avoir épluché des patates pour mettre au propres les présentes notes.
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La playlist de l'émission de ce jeudi matin sur Radio Campus Bruxelles entre 6h30 et 9h : Melanie De Biasio "Blackened Cities" (Blackened Cities/[PIAS]/2016) Labradford "C" (Mi Media Naranja/Blast First-Kranky/1997) Maxime Denuc "Infinite End" (Nachthorn/Vlek/2022) Lawrence Le Doux "Astre" (Terrestre/Vlek/2014) Refurinn Kitsune "Je t'aime à la folie" (LULLABIES/Zamzamrec/2020) Ahl Nana "Bayna Daouali" (L'Orchestre National Mauritanien/Radio Martiko/1966-2023) Alain Goraguer "Ten et Tiwa" (La Planète Sauvage Soundtrack/Pathé/1973) De La Soul (with Q-Tip & Jungle Brothers) "Buddy" (3 Feet High and Rising/Tommy Boy Records/1989) Damon Locks & Black Monument Ensemble "The People Vs. The Rest of Us" (Now/International Anthem/2021) Les hommes-boîtes "Le froid de tes mains" (La copie d'un autre/Gnignignignigni/2020) Forever Pavot "La main dans le sac" (L'idiophone/BORN BAD RECORDS/2023) Cleaners From Venus/Martin Newell "Wivenhoe Bells (II)" (Midnight Cleaners/Captured Tracks/1982-2012) Arlt "Revoir la mer" (La Langue/Almost Musique/2010) Dominique A "Février" (La fossette/Lithium-Warner Music France/1992) Eyeless in Gaza "The Feelings Mutual" (7"/Ambivalent Scale Recordings/1980) The Cure "Charlotte Sometimes" (7"/Fiction Records/1981) Patrik Fitzgerald "All The Years of Trying" (Grubby Stories/Small Wonder Records/1979) The Disco Zombies "Mary Millington" (7"/Dining Out/1980) Silver Jews "New Orleans" (Starlite Walker/Drag City Records/1994) Pascal Comelade & Albert Pla "Suzanne" (Rocanrolorama 1974 - 2016/Because Music/2015) Ron 'Pate's Debonairs "Volare (Live)" (Raudelunas 'Pataphysical Revue/Alcohol/1977-2002) Dionne Warwick "Walk on By" (Make Way for Dionne Warwick/Scepter Records/1964) https://www.instagram.com/p/CouhzlCNuMv/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Plus que 6 jours avant la clôture de la collecte Ulule du tome 3 des escales septentrionales. Nous en sommes à 83%, plus que quelques contributions pour concrétiser l'envoi des contreparties. Rendez-vous sur la page de la collecte pour découvrir et acquérir les trois tomes des promenades aux galères :)
Voici ci-dessous un résumé en image du premier tome, les oblats aux galères
Les prélats qui vont les envoyer aux galères : l'abbé Conrad mais surtout, le primat Dominique
Ils vont embarquer sur l'Archéron Noir
À bord, voilà qu'ils tombent entre les griffes de la capitaine Brida la Brit, ses aides de camp et son timonier, le père Maric. Ni leurs camarades d'infortune ni les terrible bucellaires ne vont les aider à s'en sortir. Les voilà seul face à leur destin.
Suite à une tempête, l'Archéron Noir cherche refuge à la puissante citadelle de l'ordre Reliquaire, Haltenberg. En chemin, ils vont croiser une escadre de dromon sans ses faire repérer. Heureusement, sinon ils auraient coulé la galhynne.
Retour en mer, direction Grisalte. D'importants courriers doivent rejoindre de puissants personnages du Tar Val.
Escale à Fluschstadt afin de faire le plein de matériel. La capitaine navigue vers la guerre et de nombreuses opportunités commerciales.
Remonter l'affluent maudit apportera son lot de rencontre et de périls.
Festi Enifluz, ultime fort humain aux confins des terres sauvages. Bataille contre le sang noir et des mort-vivants. Aelys et Lubin vont survire, mais à quel prix?
Suite aux batailles de Festi Entifluz, la capitaine est invité à rencontrer les puissants seigneurs du Tar Val. Toutefois, est-ce réellement une bonne nouvelle?
La limite d'image de mon billet me force à clore ici ce billet. Suite dans le prochain :)
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L’avenir des forêts dépend de leurs lisières
See on Scoop.it - Les Colocs du jardin
Éloge de la lisière : Ce lieu souvent sous-estimé, concentre aujourd’hui l’attention des écologues. Une première étude à l’échelle du continent européen a récemment permis de mieux apprécier leur importance écologique. Des tests sont en cours dans le massif des Landes, avec des plantations de lisières de feuillus autour des plantations de pins maritimes.
Le billet sciences week-end Mathilde Fontez (Epsiloon) et Hervé Poirier (Epsiloon) Le samedi et le dimanche à 7h22 et 9h22
Article rédigé par franceinfo - Hervé Poirier
Radio France
Publié le 30/06/2024 08:45
Hervé Poirier, rédacteur en chef au magazine scientifique Epsiloon nous parle d’un lieu qui concentre aujourd’hui l’attention des écologues : les lisières des forêts.
"... Rien qu’en France, il y aurait 805.000 kilomètres de lisière – plus de deux fois la distance entre la Terre et la Lune ! Et les écologues réalisent que c’est vraiment un monde à part, ni tout à fait dans la forêt, ni tout à fait en dehors.
Comment cela ?
Les lisières sont le refuge pour des espèces de plantes incapables de vivre en forêt ou dans les milieux ouverts, comme les anémones sauvages, le grémil bleu. Elles hébergent également des oiseaux insectivores qui peuvent aider à défendre la forêt contre des ravageurs, beaucoup de reptiles, des musaraignes, des chauves-souris, beaucoup d’insectes pollinisateurs, comme les abeilles sauvages et les bourdons."
(...)
[Image] Le parc naturel régional des Landes de Gascogne. (Illustration) (DOMINIQUE REPERANT / GAMMA-RAPHO / GETTY IMAGES)
Bernadette Cassel's insight:
En relation
Compromis en matière de biodiversité et de services écosystémiques entre les lisières et l'intérieur des forêts européennes - De www.nature.com - 29 février, 01:00
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Les 3 plus grandes difficultés des éditeur·ices indé : (1) la surproduction (2) la puissance économique des groupes (3) la communication/diffusion.
Influence du punk sur le graphisme des livres édités par des maisons indépendantes : on voudrait creuser.
"on a choisi de ne pas se positionner comme éditeur de littérature québécoise. Et c’est vraiment quelque chose auquel on tient, car la Peuplade, c’est un éditeur québécois de littérature, mais pas un éditeur de littérature québécoise." >> à reprendre : "Maison d'édition belge de littérature jeunesse" et non pas "Maison d'édition de littérature jeunesse belge"
Sur les textes francophones, on est à un équilibre de 50-50, voire avec une bascule avec le titre publié l’an dernier, Les Marins ne savent pas nager (de Dominique Scali, ndr), où on a vendu 16.000 exemplaires en France et 10.000 au Québec. > des chiffres impressionant, je me demande quels sont leurs tirages
Je suis libraire pour libraire d’une certaine manière !
Mais c’est l’exemple de ce que doit être la littérature : une très grande exigence du texte, un émerveillement esthétique, intellectuel dans les textes, mais qui vont aussi ouvrir sur des relations humaines incroyables. (...) Et on se dit que ça doit être ça la littérature : tout un tas de conversations interpersonnelles, de gens qui se rencontrent autour de projets géniaux, qui discutent jusqu’à pas d’heure.
En tant qu’éditeurs de littérature générale, on a tendance à être très condescendants vis-à-vis des lectrices de romance, et pour moi c’est une énorme erreur. > On voudrait en savoir plus !
J’ai un ami qui m’a dit il y a longtemps une chose qui s’est gravée dans mon esprit, que tout professionnel du livre devrait avoir à l’esprit : "Si pour certaines personnes le livre peut être un objet qui symbolise une émancipation, une évasion, pour certaines personnes, le livre c’est un marqueur de leur échec social." >>> L'art de ne pas lire
Petit aparté, mais dont il faut parler : la surproduction n’est pas que négative. C’est un problème commercial, mais ce n’est pas un problème culturel, dans le sens où il y a énormément d’éditeurs qui font du bon travail et qui publient énormément de bons livres. >> Pour paraphraser Tanguy :)
Parmi mes romans préférés, que j’aime bien offrir et recommander, il y a Les Dépossédés d’Ursula Le Guin. C’est pour moi l’un des plus grands romans du monde. C’est un pur roman de SF avec une grande pertinence dans l’acuité politique et la critique qui est faite. >> Et là c'est pour Daniel...
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REGARD SUR LE CHAPELET DU ROSAIRE DE MARIE
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ORIGINE ET DÉFINITION
Le Rosaire est un exercice de la liturgie catholique qui consiste à dire quatre chapelets d’oraisons. Consacré à Marie, mère de Jésus-Christ, il tire son nom du latin "rosarium" qui désigne la guirlande de roses dont Marie est couronnée dans les représentations traditionnelles et imageries.
Le Rosaire consiste à réciter plusieurs chapelets qui permettent de méditer différents mystères de la vie du Christ et de Marie toujours considérée vierge par les catholiques. Les prières forment également une couronne de roses offertes à Marie.
HISTORIQUE DU ROSAIRE
Son histoire est liée aux ordres monastiques Dominicain, Chartreux et Cistercien et à la liturgie catholique. C’est au XIIème siècle, profitant du grand essor de la dévotion à Marie, avec l’influence de Bernard de Clervaux qu’est apparut le terme de "chapelet" qui désignait la couronne de fleurs ou petit chapeau que l’on plaçait sur la tête de la statue de Marie.
À partir du XIIème siècle, la dévotion mariale était en usage chez les Cisterciens, puis elle s’est ensuite développée sous l’influence des Chartreux et de Dominicains notamment grâce au Chartreux Dom Henri Egher de Kalgar qui vécu au Xvème siècle et qui élabora une méthode de prière avec cent cinquante "Ave" autant que les Psaumes de l’Ancien Testament, d’où le nom de "Psautier de Marie".
Dominique de Prusse qui a inventé des ajouts à la prière du "Je vous salue Marie", qui aident à la méditation du mystère. Puis il y aura le Dominicain Alain de la Roche qui fonda la première fraternité du Rosaire.
Les papes ont également encouragé cette pratique dévotionnelle : Pie V a été à l’origine de la fête de ND du Rosaire après la victoire de Lépante de 1571. Léon XIII surnommé le "pape du Rosaire" qui écrit 11 encycliques sur le Rosaire, Pie XII a encouragé la prière du Rosaire dans la famille.
Paul VI a mis en valeur le lien qui existe entre le Rosaire et la liturgie. Jean Paul II a ajouté au Rosaire les cinq mystères lumineux dans sa lettre "Rosarium Virginis Mariae" en 2002. Il a même composé deux cents clausules, (strophes rythmés) pour la prière du Rosaire.
Benoit XVI a mené toute une réflexion sur le Rosaire et l’Eucharistie, il a appelé "Printemps du Rosaire".
Le pape François a vanté les vertus communautaires du Rosaire et a rappelé l’importance du Rosaire dans la bataille contre le démon.
Les vénérés catholiques ont pratiqué le Rosaire notamment Thérèse d’Avila, Louis-Marie Grignion de Montfort, Padre Pio, Mère Térésa dont le chapelet à plusieurs couleurs lui permettait de prier pour les malades et les mourants de chaque continent.
Il y a aussi Pauline Jaricot qui a créée au XIXème siècle le Rosaire vivant fondé sur la participation de plusieurs personnes à la récitation quotidienne du Rosaire.
LES APPARITIONS DE MARIE ET LE ROSAIRE
Marie, elle-même, aurait confirmé l’importance du Rosaire lors de "son apparition" de la rue du Bac en 1830, demandant de réciter le chapelet à la Salette en 1846 ainsi qu’à Pellevoisin en 1876.
Marie se serait parée de trois couronnes de roses : Joyeuses, douloureuses et glorieuses du Rosaire à Pontmain en 1871. Pendant la récitation du chapelet, Marie grandit et les étoiles se multiplièrent.
En 1933, à Beauraing et à Banneux, elle apparue avec un chapelet. En 1858, à Lourdes, Marie apparue dans une grotte où poussait un églantier, (rose sauvage).
À l’île Bouchard, en 1947, elle portait un chapelet, et sur chacun de ses pieds s’épanouissait une rose. Elle présenta le chapelet et leur enseigna la façon de prier.
À Fatima, elle renouvela sa demande et expliqua que la récitation du Rosaire est d’une absolue nécessité "pour le salut du monde !".
À Medjugorje, elle appella au jeûne, au pain et à l’eau, ainsi qu’à la récitation quotidienne du Rosaire pour arrêter les guerres.
POUR LES CATHOLIQUES LE ROSAIRE EST UN INSTRUMENT PUISSANT
Nombreux sont ceux qui croient en la puissance du Rosaire. Le pape François lors de son homélie de la fête de l’Assomption, le 15 août 2013 a redit que le Rosaire est une prière importante dans la bataille contre le Malin et ses complices.
La puissance du Rosaire est telle qu’elle agit tant au plan personnel comme chemin de sainteté que collectif comme arme de paix et comme rempart contre ce que Jean Paul II appelait dans son exhortation "Reconciliatio et Paenitentia" en 1984.
Pour les péchés collectifs, Marie est selon son expression "l’alliée de Dieu dans l’oeuvre de la réconciliation".
Le Rosaire a aussi un rôle crucial à jouer dans "les événements politiques", "économiques"et "ecclésiastiques".
Les papes n’ont cessé d’encourager la prière du Rosaire pour les fruits qu’il peut porter, que ce soit au niveau individuel qu’au niveau collectif.
Pie V, lors de la victoire de Lépante. (La bataille de Lépante a lieu le 7 octobre 1571 dans le golfe de Patras, sur la côte occidentale de la Grèce. Ce fut une bataille navale qui opposa la flotte ottomane de Sélim II et la flotte de la Sainte-Ligue catholique)
Léon XIII dénonçant les écueils de la révolution industrielle. Pie XI au moment de l’arrivée du national-socialisme. Jean XXIII pour le concile oecuménique en préparation ...
Paul VI pour que la guerre au Vietnam s’arrête et pour écarter les dangers d’un conflit atomique. François qui a organisé un marathon de prières pour demander la fin de la pandémie du coronavirus.
La certitude de la puissance du Rosaire a poussé chez les catholiques plusieurs initiatives qui ont concourut à développer la pratique du Rosaire pour tous.
Ces "actions officialisées" ont été inaugurées le 25 mars 2021 et ont été appelées "Le chapelet perpétuel pour le monde".
La célèbre neuvaine à Marie qui défait les noeuds dont on connaît la puissance est également fondée sur le chapelet.
L’ajout des "cinq mystères lumineux" par le pape Jean Paul II a permis de nouvelles représentations du Rosaire ainsi que l’icône du Rosaire "avec les vingt mystères" réalisés par les Bénédictines de Jouques est un excellent support pour la prière.
L’ENCYCLOPÉDIE MARIALE
Il est également possible d’utiliser "l’Encyclopédie mariale" pour prier le Rosaire. Elle propose une initiation très concrète à la prière du Rosaire et du chapelet, intitulée "comment prier le Rosaire" ?
Dans "l’Encyclopédie mariale", il y a quelques articles sur la spiritualité du Rosaire montrant que le Rosaire est une prière trinitaire. D’abord par le signe de croix qui est effectué en débutant le chapelet, suivi des Notre Père.
La récitation des "Ave Maria" permet de prier avec Marie pour recevoir les dons du Saint-Esprit. Le Rosaire est un chemin de maturation spirituelle et de sainteté.
LA STRUCTURE DU ROSAIRE
À l’origine, le Rosaire est une dévotion à Marie qui consistait à réciter trois chapelets composés chacun de cinq dizaines de grains qui symbolisent "cinquante roses envoyées à Marie".
Ces quinze dizaines de grains favorisent la méditation sur la vie de Jésus et de Marie. Mais depuis le pontificat de Jean Paul II, un quatrième chapelet a été ajouté, portant un total de vingt dizaines.
Le pape Jean Paul II a donné une explication dans sa lettre intitulée "Rosarium Virginis Mariae" du chapelet qui, bien médité, met en lumière "le mystère de l’homme".
En lien avec la sainte humanité du Rédempteur, il convient d’apporter les nombreux problèmes, les travaux et les projets qui marquent la vie du croyant. Méditer le Rosaire consiste à confier les fardeaux aux coeurs miséricordieux de Jésus "et de sa mère".
La forme actuelle du Rosaire comporte "vingt mystères". Elle offre ainsi à la méditation les événements de la vie du Christ, qui forment l’histoire du salut depuis son Incarnation jusqu’à son Ascension, événements auxquels on ajoute "les mystères du salut liés à Marie".
C’est pourquoi on appelle couramment le Rosaire "un évangile condensé". Nous avons vu que la structure actuelle du Rosaire comprend donc "vingt mystères" groupés en "quatre séries" qui suivent la vie de Jésus dans l’ordre chronologique : "Son enfance" – "Sa vie publique" – "Sa passion" – "Sa résurrection et sa vie dans la gloire".
Chacune de ces séries comporte "cinq mystères" ... C’est le pape Jean Paul II qui va reprendre une "tradition médiévale" en ajoutant "les cinq mystères lumineux" du Rosaire.
LES ÉCRITURES ET LE CHAPELET ROSAIRE
Dans les Écritures saintes, nous n’avons pas de textes explicites qui témoignent des objets religieux fabriqués tels que "le Rosaire" et "le chapelet" ni des pratiques liturgiques qui ont été mises en place par des faux docteurs, après "la disparition des apôtres".
Les Écritures nous apprennent cependant "qu’avant l’avènement du Seigneur", il y aura une période d’apostasie, c’est-à-dire un temps d’égarement "pour ceux qui n’ont pas la foi" ou qui l’ont perdu et qui préfèrent le mensonge à la Vérité. Nous sommes toujours dans ce temps-là puisque nous attendons l’avènement du Seigneur Jésus.
« Pour ce qui concerne l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ et notre réunion avec lui, nous vous prions, frères, de ne pas vous laisser facilement ébranler dans votre bon sens, et de ne pas vous laisser troubler, soit par quelque inspiration, soir par quelque parole, ou par quelque lettre qu’on dirait venir de nous, comme si le jour du Seigneur était déjà là. Que personne ne vous séduise d’aucune manière, car il faut que l’apostasie soit arrivée auparavant. [...] » II Thessaloniciens 2.1-3
« Mais l’Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s’attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons, par l’hypocrisie de faux docteurs portant la marque de la flétrissure dans leur propre conscience. [...] » I Timothée 4.1, 2
Pour nous aider à faire la comparaison entre les Écritures et le Rosaire, nous allons mettre en parallèle avec la Parole de Dieu, non pas le chapelet Rosaire lui-même, mais son champ d’influence dans le monde qui empêche à la vraie piété.
Comme nous l’avons vu précédemment, le Rosaire est sans conteste seulement un objet de dévotion à Marie. Dieu ne nous demande pas de faire "le chapelet" pour témoigner de notre reconnaissance envers lui et pour lui faire nos requêtes.
QUEL EST SON CHAMP D’INFLUENCE ?
La zone d’influence du Rosaire se situe principalement parmi les fidèles catholiques qui acceptent d’une part, l’enseignement du clergé sur l’importance accordée au Rosaire, et d’autre part, sur la croyance au culte de Marie considérée "toujours vierge" et "médiatrice" du ciel, qui usurpe cette fonction qui appartient à Jésus seul : « Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul Médiateur entre les hommes, Jésus-Christ homme, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous. » I Timothée 2.5. 6
Dans la Nouvelle Alliance, "il n’y a pas d’objets pour la dévotion à Dieu", si ce n’est le pain et la coupe qui nous mettent en communion avec le corps et le sang de Christ. La communion avec le monde invisible est une réalité dont les croyants n’ont pas toujours conscience quand ils exercent un culte.
En effet, selon l’enseignement transmis, ils attribuent au Rosaire une puissance qu’il n’a pas. De plus, ils croient s’adresser à Dieu avec ce chapelet, alors qu’ils sont en communion avec les démons.
Que ce soit une relation restaurée avec Dieu ou que ce soit avec les démons, tout croyant est "dans un champ d’influence spirituel" auquel l’apôtre Paul avait mis en garde les chrétiens de Corinthe afin qu’ils fuient l’immoralité sexuelle liée à l’idolâtrie.
« La coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas la communion au sang de Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-il pas la communion au corps de Christ ?
[...] Voyez les Israélites selon la chair, ceux qui mangent les victimes ne sont-ils pas en communion avec l’autel ? Que dis-je donc ? Que la viande sacrifiée aux idoles est quelque chose ou qu’une idole est quelque chose ? Nullement.
Je dis que ce qu’on sacrifie, on le sacrifie à des démons, et non à Dieu, or, je ne veux pas que vous soyez en communion avec les démons. » I Corinthiens 10.16-20
Toute communion entre le ciel et la terre est une réalité. Si l’on dit que le chapelet Rosaire met les catholiques en communion avec les démons, est-ce la vérité ?
Comme Paul le dit pour d’autres croyances de son temps, en l’occurrence les viandes sacrifiées aux idoles, ce n’est pas le Rosaire qui importe, mais c’est qu’il met les croyants en relation avec une représentation de Marie idolâtrée qui n’est pas à sa place dans les lieux célestes, mais qui usurpe la Volonté de Dieu. Étant donné que l’idolâtrie est l’oeuvre des démons, toute dévotion à Marie est une idolâtrie.
QU’EST-CE QUE LE ROSAIRE EMPÊCHE A LA VRAIE PIÉTÉ ?
Dans cet article, nous avons fait un historique du Rosaire, relevé les diverses approbations des papes à son sujet. Nous avons montré que certains attribuent une puissance à cet objet et que Marie, elle-même, a donné de l’importance pour la prière à ce chapelet lors de ses apparitions.
À propos de la puissance du Rosaire en lui-même, c’est une fable ! Car son ampleur et sa portée dans le milieu catholique existe par l’enseignement transmis par les faux docteurs au sujet de Marie et par l’efficacité qui lui est donnée.
Les papes ont attribué au Rosaire un rôle significatif mais uniquement pour avoir le contrôle sur les peuples et événements terrestres, alors que les responsables de l’Église du Seigneur Jésus ne se préoccupent pas des projets politiques des nations.
Ils ne s'occupent pas des événements et de l’avenir de ce monde, car ils ne cherchent pas à changer le monde selon "une idéologie politico-religieuse" mais en exerçant des ministères donnés par le Seigneur pour le perfectionnement des saints, l’oeuvre de l’Évangile annoncée à toutes nations et l’édification du corps de Christ.
« Et il a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme pasteurs et docteurs, pour le perfectionnement des saints en vue de l’oeuvre du ministère et de l’édification du corps de Christ, jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l’état d’homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ,
afin que nous ne soyons plus des enfants flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, par leur ruse dans les moyens de séduction, mais que professant la Vérité dans l’amour, nous croissions à tous égards en celui qui est le Chef, Christ. » Éphésiens 4.11-15
Ce que nous retiendrons dans l’historique, c’est l’importance accordée à ce chapelet et surtout celle du pape François qui a parlé du Rosaire pour combattre le démon.
Lors de son séjour à Fatima, il a rappelé une parole du pape Paul VI : "Si nous voulons être chrétien, nous devons être marial". Cela signifie de rendre un culte à Marie.
Combattre les démons ne consiste pas à utiliser le Rosaire, mais à revêtir toutes les armes de Dieu, sachant que ce sont toutes des armes spirituelles notamment la Vérité, la Justice, le Zèle pour la paix de l’Évangile, la foi, l’Esprit de Dieu, le salut, les prières, les supplications et la persévérance.
Ainsi la piété se réalise dans les prières non pas avec le Rosaire, mais par l’Esprit. "Les chrétiens" ne combattent pas le malin avec le Rosaire, mais avec le Bouclier de la foi et l’Épée de l’Esprit. Ils ne travaillent pas leur salut avec un chapelet, mais en invoquant le nom du Seigneur Jésus. (Romains 10.10, 11)
« C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.
Tenez donc ferme : Ayez à vos reins la Vérité pour ceinture, revêtez la cuirasse de la Justice, mettez pour chaussure à vos pieds le Zèle que donne l’Évangile de paix, prenez par-dessus tout cela le Bouclier de la foi, avec le quel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin, prenez aussi le Casque du salut, et l’Épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu.
Faites en tout temps par l’Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints. » Éphésiens 6.13-18
En réalité, le Rosaire empêche à la vraie piété, quand les croyants sont en communion avec les démons, quand ils rendent un culte à Marie et que les docteurs de la liturgie catholique font croire aux fidèles qu’ils rendent un culte à Dieu.
Serge Rossi
Groupe : MARCHONS PAR LA FOI
Prier Dieu n'est pas un moulin à prières pour être vu des hommes. Jésus nous a enseigné de prier le Père en son nom : « Mais toi quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte et prie ton Père qui est dans le (lieu) secret, et ton Père qui voit dans le secret te le rendra.
En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s’imaginent qu’à force de paroles ils seront exaucés. Ne leur ressemblez pas, car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez. Voici donc comment vous devez prier : Notre Père qui es aux cieux ! [...] » Matthieu 6.6-9
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Interview. Pas d'interdiction de la #chasse le dimanche : « Pas une surprise, mais une déception »
Dominique Py, représentante de France nature environnement en charge de la chasse et de la faune sauvage, juge que les mesures qui vont être présentées ce lundi par le gouvernement pour mieux sécuriser la chasse sont insuffisantes. Selon elle, l'exécutif « ne veut rien faire pour fâcher les chasseurs ».
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Diary of a Chambermaid (Le journal d'une femme de chambre) (1964) Luis Buñuel
June 10th 2020
#diary of a chambermaid#le journal d'une femme de chambre#1964#luis buñuel#jeanne moreau#georges geret#francoise lugagne#michel piccoli#daniel ivernel#jean ozenne#muni#gilberte geniat#dominique sauvage#bernard musson#the diary of a chambermaid
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J'ai été sauvagement matraqué plusieurs fois par des policiers, cuir chevelu éclaté, côtes fracturées, dans le car de police, mains attachées dans le dos par des menottes (rue de la Pompe). �� Louviers (j'avais le crâne comme une tôle ondulée), lors de mon arrestation, avril 1961, dans les locaux de la criminelle, quand j'eus roulé ces messieurs, m'ont mis à poil, menottes dans le dos… Coups sur les parties, plié en deux, vomissant. Jamais je n'ai songé à porter plainte, à utiliser ces exactions contre mes adversaires. À tort sans doute du point de vue de la basse efficacité politique. Cela me paraissait faire partir du jeu. Les risques du métier en quelque sorte. Et il eût été humiliant, c'eût été m'abaisser, déchoir que de me plaindre. Leur faire trop d'honneur. Subir avec impadivité et mépris et non pleurnicher comme des femmes…
Dominique Venner, Carnets rebelles volume 1, La Nouvelle Librairie, 2021.
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It's strange, how the country always seems sad. I guess, people don't have much fun here.
Diary of a Chambermaid (Le journal d'une femme de chambre), Luis Buñuel (1964)
#Luis Buñuel#Jean Claude Carrière#Jeanne Moreau#Georges Géret#Michel Piccoli#Françoise Lugagne#Jean Ozenne#Daniel Ivernel#Gilberte Géniat#Bernard Musson#Dominique Sauvage#Roger Fellous#Louisette Hautecoeur#1964
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Voyage au musée de la Révolution française de Vizille (janvier 2017) — Troisième partie
1 : Bénigne Gagneraux, Le Génie des arts, 1789
2-3 : Objets divers de l’époque révolutionnaire
4 : C’est surtout la chaise à gauche qui m’intéresse : elle a été conçue pour l’Assemblée nationale vers 1791-1792 ; l’autre date du Directoire ; le portrait est le suivant, Dominique Doncre, Le juge Pierre Louis Joseph Lecocq et sa famille, 1791
5 : Piat Joseph Sauvage, La Liberté et l’Égalité précédées de la Vérité, de la Justice et de la Force, esquisse présentée au Concours de l’an II
6 : Entourage de Jacques Louis David, Jean Baptiste Milhaud, député à la Convention, en costume de représentant du peuple aux armées, an II
7 : Jean Jacques Taillasson, La Liberté ramenant aux peuples la Justice et la Vertu, an II
8-9 : Jean Baptiste Wicar, La République française, 1793, esquisse pour servir de modèle à l’écusson pour l’ambassade française à Florence, acquise avec l’aide de 286 donateurs (moi comprise !). On peut me voir reflétée dans la seconde photo, mais tant pis !
10 : Jacques Louis David, Esquisse de Prieur de la Marne pour le tableau du Serment du Jeu de Paume, vers 1791
#Révolution française#musée de la Révolution française#Vizille#Prieur de la Marne#Jacques Louis David#Jean Baptiste Wicar#allégorie#Jean Jacques Taillasson#Jean Baptiste Milhaud#Piat Joseph Sauvage#Pierre Louis Joseph Lecocq#Dominique Doncre#Bénigne Gagneraux#culture matérielle
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Plus l’homme est « moderne », c’est-à-dire urbanisé, plus sa détestation de la Nature grandit. Il croit aimer les animaux en condamnant par exemple les chasseurs, sans voir qu’il obéit ainsi à une morale compassionnelle étrangère à la nature. Sans comprendre que la mort fait partie de la vie. Sans savoir de surcroît que, dans la Nature, la mort de l’animal sauvage est toujours cruelle, rongé qu’il est par des parasites et la maladie, dévoré vivant par des prédateurs. La mort foudroyante en plein vol, en pleine course ou au repos, sous les plombs ou la balle du chasseur, oui, cette mort donnée est autrement clémente.
En réalité, ce que l’homme « moderne » déteste dans le chasseur, sans d’ailleurs bien tout comprendre, c’est la part d’animalité, de vraie nature et de sauvagerie encore préservée en lui.
Dominique Venner
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