#Doctorat honorifique
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ISTEAH rend hommage à des professeurs et décerne des distinctions
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#Distinctions#Doctorat honorifique#Doctorat Honoris Causa#Haïti Canada#Hommage#ISTEAH#reconnaissance#Samuel PIERRE#Université d&039;Haïti#Université en Haïti
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Born Eunice Kathleen Waymon, she became Nina Simone, afraid her religious parents would disapprove her choice of playing jazz. She was classically trained and hoped to become a classical musician. But as she mentioned many times, she didnât reach her goal because of her race.
This decision of playing, jazz, soul, blues even pop has been out of necessity, however this musician made the best of it.
She has many great songs âI put a spell on youâ and âFeelinâ goodâ are superb renditions. Sheâs improvising, plays beautiful chords and carries both songs with bravado. As an artist involved in the Civil Rights movement, I should mention âTo be young, gifted and Blackâ or âMississippi Goddamâ. These signature songs show her courageous stand against violence to women, racism, and prejudices of all kinds.
She was at her best on stage. Two days before her death, The Curtis Institute of Music announced that theyâll give an honorary degree to Nina Simone. Itâs the music school that had refused to admit her as a student at the beginning of her career. She won after all.
Elle sâappelait Eunice Kathleen Waymon mais elle a pris le nom de Nina Simone pour Ă©viter que ses parents religieux ne sachent quâelle jouait du jazz, musique quâils nâacceptaient pas. Elle voulait devenir une musicienne de musique classique et sâĂ©tait entraĂźnĂ©e pour ça. Cependant, comme elle lâa mentionnĂ© Ă plusieurs reprises, sa race lâen a empĂȘchĂ©.
La dĂ©cision de jouer du jazz devint donc nĂ©cessaire pour survivre mais elle sâen est bien servie.
Nina Simone a de nombreuses belles chansons, « I put a spell on you » et « Feelinâ good » sont des versions rĂ©ussies. Comme artiste engagĂ©e dans le mouvement des droits civiques aux USA, il faut mentionner « To be young, gifted and Black » ainsi que « Mississippi Goddam ». Ces chansons-phares rĂ©vĂšlent son courage contre la violence faite aux femmes, le racisme et les prĂ©jugĂ©s de toutes sortes.
Elle Ă©tait meilleure en direct. Deux jours avant son dĂ©cĂšs, lâĂ©cole « The Curtis Institute of Music » a annoncĂ© offrir un doctorat honorifique Ă Nina Simone. CâĂ©tait lâĂ©cole de musique qui avait refusĂ© sa candidature dâĂ©tudiante en musique. Elle a gagnĂ©, aprĂšs tout.
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LĂGENDES DU JAZZ
MAX ROACH, LE BATTEUR ACTIVISTE NĂ© le 10 janvier 1924 dans le township de Newland, dans le comtĂ© de Pasquotank, en Caroline du Nord, Maxwell Lemuel Roach Ă©tait le fils dâAlphonse et Cressie Roach. Max avait quatre ans lorsque sa famille Ă©tait dĂ©mĂ©nagĂ©e dans le quartier de Bedford-Stuyvesant, prĂšs de Brooklyn. Sa mĂšre Ă©tant chanteuse de gospel, Max avait baignĂ© trĂšs vite dans un environnement musical. AprĂšs avoir jouĂ© du bugle (flugelhorn) dans les parades, Roach avait commencĂ© Ă apprendre le piano Ă lâage de huit ans. Deux ans plus tard, il Ă©tait batteur dans des groupes gospel. Roach venait tout juste de dĂ©crochĂ© son diplĂŽme au Boys High School de Brooklyn lorsquâil avait Ă©tĂ© invitĂ© Ă remplacer Sonny Greer avec lâorchestre de Duke Ellington qui se produisait alors au Paramount Theater de Manhattan. Il avait aussi jouĂ© au Georgie Jayâs Tap Room, oĂč il avait accompagnĂ©Â son camarade dâĂ©cole Cecil Payne. Roach avait fait ses dĂ©buts sur disque en dĂ©cembre 1943 avec Coleman Hawkins.
Plusieurs batteurs de jazz avaient influencé le jeu de Roach, en particulier Philly Joe Jones. Roach expliquait: "Jo Jones was the first drummer I heard who played broken rhythms. I listened to him over and over again. But a lot of people inspired me. Chick Webb was a tremendous soloist. There was Sonny Greer, Cozy Cole, and Sid Catlett, who incorporated this hi-hat and ride cymbal style. Then I heard Kenny Clarke. He exemplified personality and did more with the instrument. It affected me."
AprĂšs avoir jouĂ© avec Benny Carter, Roach avait connu un des tournants de sa carriĂšre au dĂ©but des annĂ©es 1940 en jouant avec Charlie Parker et Dizzy Gillespie dans des clubs comme le Monroeâs Uptown House (dont il Ă©tait devenu le batteur maison en 1942) et la Mintonâs Playhouse de New York.
Roach avait Ă©tĂ© un des premiers batteurs avec Kenny Clarke Ă adopter le style bebop. Roach avait jouĂ© dans les groupes de Dizzy Gillespie, Charlie Parker, Thelonious Monk, Coleman Hawkins, Bud Powell et Miles Davis. Câest avec Parker que Roach avait rĂ©alisĂ© certains de ses plus enregistrements les plus novateurs, notamment pour les disques Savoy en novembre 1945, lors dâune session qui avait marquĂ© un point tournant dans lâhistoire du jazz. Le travail de Roach avec le trio de Bud Powell avait Ă©tĂ© particuliĂšrement acclamĂ© par la critique. Roach avait dĂ©crit ainsi sa collaboration avec Parker: "Everything was on the edge with Bird, you never knew what he was going to do musically, but it always worked out."
Roach, qui avait toujours apprĂ©ciĂ© la musique des CaraĂŻbes, sâĂ©tait rendu Ă HaĂŻti Ă la fin des annĂ©es 1940 afin dâĂ©tudier avec le batteur traditionnel Ti Roro. En 1949, il avait Ă©galement participĂ© Ă lâenregistrement de lâalbum ââBirth of the Coolââ de Miles Davis.
UNE RENOMMĂE CROISSANTE
Roach avait Ă©tudiĂ© les percussions classiques et la composition Ă la Manhattan School of Music de 1950 Ă 1953, oĂč il avait dĂ©crochĂ© un baccalaurĂ©at en musique. En 1990, la Manhattan School of Music lui avait dĂ©cernĂ© un doctorat honorifique. Roach avait dâabord envisagĂ© de complĂ©ter une majeure en percussions, mais il sâĂ©tait ravisĂ© aprĂšs quâun professeur lui ait dĂ©clarĂ© que sa technique laissait Ă dĂ©sirer. Comme Roach lâavait expliquĂ© avec humour: âThe way he wanted me to play would have been fine if Iâd been after a career in a symphony orchestra, but it wouldnât have worked on 52nd Street.â
En 1952, Roach avait co-fondĂ© les disques Debut avec le contrebassiste Charles Mingus. Il sâagissait dâune des premiĂšre compagnie de disques de lâhistoire Ă ĂȘtre entiĂšrement gĂ©rĂ©e par des artistes. Câest Mingus lui-mĂȘme qui avait enregistrĂ© le cĂ©lĂšbre concert du 15 mai 1953 Ă la salle Massey Hall de Toronto. Le concert mettait en vedette Roach, Mingus, Charlie Parker, Bud Powell et Dizzy Gillespie. Les disques Debut avaient Ă©galement publiĂ©Â un album intitulĂ© ââPercussion Discussionââ, une improvisation libre entre une batterie et une contrebasse. Ă la fin de 1953, Roach avait dĂ©cidĂ©Â de sâĂ©tablir dans la rĂ©gion de Los Angeles, aprĂšs avoir obtenu un contrat pour remplacer Shelly Manne au sein des Lighthouse All Stars.
En 1954, Roach avait formĂ© un quintet avec le trompettiste Clifford Brown, le saxophoniste tĂ©nor Harold Land, le pianiste Richie Powell (le frĂšre de Bud Powell) et le contrebassiste George Morrow. Lorsque Land avait quittĂ© le groupe lâannĂ©e suivante, il avait Ă©tĂ© remplacĂ© par Sonny Rollins. Le quintet Ă©tait un bon exemple du style hard bop qui avait aussi Ă©tĂ© popularisĂ© par Art Blakey et Horace Silver. Roach avait participĂ© plus tard Ă lâenregistrement des albums ââSaxophone Colossusââ et ââFreedom Suiteââ de Rollins.
Le quintet de Roach et Brown est considĂ©rĂ© comme une des meilleures formations de jazz de lâhistoire aux cĂŽtĂ©s des Hot Five et des Hot Seven de Louis Armstrong et des quintets de Charlie Parker et Miles Davis. Au cours des huit annĂ©es suivantes, la rĂ©putation de Roach nâavait que croĂźtre. Durant cette pĂ©riode, Roach avait accompagnĂ©Â plusieurs artistes Ă©mergents comme Bud Powell, Sonny Stitt et Miles Davis. Malheureusement, Clifford Brown et Richie Powell Ă©taient morts dans un accident de voiture en Pennsylvanie en juin 1956. La mort de Brown et de Powell avait plongĂ© Roach dans la dĂ©pression et lâalcoolisme. Il avait fallu plusieurs annĂ©es Ă Roach pour sâen remettre.
Le premier album que Roach avait enregistrĂ© aprĂšs le dĂ©cĂšs de Brown et Powell Ă©tait intitulĂ© ââMax Roach + 4.ââ AprĂšs la mort de Brown et Powell, Roach avait continuĂ© de diriger des groupes de petite taille. Son nouveau groupe Ă©tait composĂ© de Kenny Dorham (il a Ă©tĂ© remplacĂ© plus tard par Booker Little) Ă la trompette, de George Coleman au saxophone tĂ©nor et de Ray Bryant au piano. Grand innovateur, Roach avait Ă©largi la forme standard du hard bop en utilisant des rythmes de 3|4 sur son album de 1957 intitulĂ© ââJazz in 3|4 Time.ââ Ă la mĂȘme Ă©poque, Roach avait enregistrĂ©Â une sĂ©rie dâalbums pour les disques EmArcy qui mettaient en vedette les frĂšres Stanley et Tommy Turrentine.
En 1955, Roach avait accompagnĂ©Â la chanteuse Dinah Washington en concert et en studio. Le concert de Roach avec Washington au festival de jazz de Newport de 1958 avait Ă©tĂ© filmĂ©. Quant Ă lâalbum live de 1954 ââDinah Jamsââ, il est considĂ©rĂ© comme un des meilleurs disques de jazz de tous les temps.
UN ARTISTE ENGAGĂ
ParticuliĂšrement impliquĂ© dans le mouvement des droits civiques et opposĂ© au racisme sous toutes ses formes, Roach avait Ă©tĂ© invitĂ© Ă participer en 1960 aux cĂ©lĂ©brations entourant le 100e anniversaire de la proclamation dâĂ©mancipation dâAbraham Lincoln. La rĂ©ponse de Roach ne sâĂ©tait pas fait attendre: il avait enregistrĂ©Â ââWe Insist !ââ (sous-titrĂ© ââMax Roachâs Freedom Now Suiteââ), un album particuliĂšrement revendicateur dans lequel il avait chantĂ©Â en compagnie de son Ă©pouse de lâĂ©poque Abbey Lincoln sur des paroles Ă©crites par Oscar Brown Jr. Pour Roach, la carriĂšre de musicien de jazz Ă©tait indissociable de la lutte contre le racisme. Il expliquait: âI will never again play anything that does not have social significance. We American jazz musicians of African descent have proved beyond all doubt that weâre master musicians of our instruments. Now what we have to do is employ our skill to tell the dramatic story of our people and what weâve been through.â
En 1962, Roach avait enregistrĂ©Â ââMoney Jungleââ, un album en trio avec Charles Mingus et Duke Ellington. Lâalbum est aujourdâhui considĂ©rĂ© comme un des meilleurs enregistrements en trio de lâhistoire du jazz.
Au cours des annĂ©es 1970, Roach avait formĂ©Â MâBoom, un ensemble de percussions. Tous les membres de la formation participaient aux compositions et jouaient de plusieurs instruments. Parmi les membres du groupe, on relevait Fred King, Joe Chambers, Warren Smith, Freddie Waits, Roy Brooks, Omar Clay, Ray Mantilla, Francisco Mora et Eli Fountain.
ImpliquĂ© de longue date dans lâenseignement du jazz, Roach avait Ă©tĂ© recrutĂ© en 1971 par le chancelier de lâUniversitĂ© du Massachusetts Ă Amherst, Randolph Bromery. Premier musicien de jazz Ă enseigner au niveau universitaire, Roach avait contribuĂ© Ă Ă©tablir une majeure en jazz dans cette universitĂ©. Roach avait enseignĂ© dans cette institution jusquâau milieu des annĂ©es 1990.
Au dĂ©but des annĂ©es 1980, Roach avait commencĂ© Ă se produire en solo, ce qui avait contribuĂ© Ă dĂ©montrer que lâutilisation de plusieurs instruments de percussion par un seul artiste pouvait rĂ©pondre aux besoins dâun concert en solo tout en comblant entiĂšrement les goĂ»ts du public. Roach avait composĂ© des piĂšces inoubliables pour ses concerts en solo. Un album live avait mĂȘme Ă©tĂ© enregistrĂ© par lâĂ©tiquette japonaise Baystate. Lâun des concerts en solo de Roach est disponible sur vidĂ©o, et contient les prises de lâalbum ââChattahoochee Redââ, qui mettait en vedette un quartet composĂ© du saxophoniste tĂ©nor Odeon Pope, du trompettiste Cecil Bridgewater et du contrebassiste Calvin Hill.
Roach avait également enregistrĂ© quelques albums en duo. La plupart de ces enregistrements sont composĂ©s dâimprovisations libres avec des musiciens dâavant-garde comme Cecil Taylor, Anthony Braxton, Archie Shepp et Abdullah Ibrahim. Sur un de ces duos, on entendait mĂȘme Roach improviser sur le cĂ©lĂšbre discours ââI have a Dreamââ de Martin Luther King. Roach avait aussi enregistrĂ© des duos plus traditionnels avec Dizzy Gillespie et Mal Waldron.
Dans les annĂ©es 1980, Roach avait Ă©galement composĂ© de la musique pour le thĂ©atre, notamment sur des piĂšces de Sam Shepard. Roach avait dâailleurs Ă©tĂ© directeur musical dâun festival organisĂ© en hommage Ă Shepard. IntitulĂ© ââShepardSetsââ, le festival avait Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© au MaMa Experimental Theatre Club en 1984. Le festival comprenait les piĂšces ââBlack Dog Beast Baitââ, ââAngel Cityââ et ââSuicide in B Flat.ââ En 1985, George Ferenz avait publiĂ© ââMax Roach Live at La Ma Ma: A Multimedia Collaborationââ, un enregistrement en concert qui reproduisait la performance de Roach dans le cadre du festival.
Grand innovateur, Roach Ă©tait tellement audacieux quâil crĂ©ait constamment de nouveaux contextes pour ses performances, ce qui avait souvent donnĂ© lieu Ă la formation de groupes exceptionnels. Lâun de ces groupes Ă©tait le Double Quartet. Ce dernier Ă©tait formĂ© des membres de son quartet rĂ©gulier, Ă la seule exception que Tyrone Brown avait remplacĂ© Hill Ă la contrebasse.
Un autre des groupes de Roach Ă©tait le So What Brass Quintet, un groupe Ă lâinstrumentation inusitĂ©e qui Ă©tait composĂ©Â de cinq cuivres (deux trompettes, un trombone, un cor français et un tuba) qui Ă©taient accompagnĂ©s par Max Roach Ă la batterie, sans instruments Ă cordes ni bassiste. Le groupe comprenait Cecil Bridgewater, Frank Gordon, Eddie Henderson, Rod McGaha, Steve Turre, Delfeayo Marsalis, Robert Stewart, Tony Underwood, Marshall Sealy, Mark Taylor et Dennis Jeter.
Loin de se contenter dâĂ©largir ses frontiĂšres musicales, Roach avait passĂ©Â les annĂ©es 1980 et 1990 Ă rechercher de nouvelles formes dâexpression musicale et de performance. Il avait mĂȘme jouĂ© un concerto avec le Boston Symphony Orchestra. Roach avait aussi jouĂ© et composĂ©Â avec la chorale gospel de Walter White et les John Motley Singers, en plus de se produire avec des compagnies de danse comme le Alvin Ailey American Dance Theater, la Dianne McIntyre Dance Company et la Bill T. Jones|Arnie Zane Dance Company. Roach a Ă©galement collaborĂ©Â Ă un concert de hip hop mettant en vedette Fab Five Freddy et les New York Break Dancers. Lorsquâon demandait Ă Roach pourquoi il Ă©voluait dans un univers aussi Ă©clatĂ©, il rĂ©pondait que selon lui, il y avait toujours existĂ© une relation Ă©troite entre le travail de ces jeunes artistes de couleur et lâart quâil avait pratiquĂ© durant toute sa vie.
Roach avait également fondé le Max Roach Double Quartet, une combinaison de son propre quartet avec le Uptown String Quartet dirigé par sa fille Maxine.
MĂȘme si Roach sâĂ©tait produit avec plusieurs sortes de groupes dans le cadre de diffĂ©rents styles musicaux, il avait toujours continuĂ© de jouer du jazz. AprĂšs avoir jouĂ© avec le Beijing Trio, avec le pianiste Jon Jang et le joueur dâerhu (une guitare Ă deux cordes orientale) Jeibing Chen, Roach avait enregistrĂ©Â un dernier disque avec le trompettiste Clark Terry. Amis de longue date, Roach et Terry Ils avaient souvent travaillĂ© ensemble, tant en duo quâen quartet. Roach avait livrĂ©Â sa derniĂšre performance publique lors du 50e anniversaire du concert de Massey Hall. En 1994, il avait Ă©galement collaborĂ© Ă lâalbum ââBurning for Buddyââ du batteur Neal Peart de lâancien groupe de rock progressif Rush.
DĂCĂS ET POSTĂRITĂ
Au dĂ©but des annĂ©es 2000, Roach avait dĂ» ralentir ses activitĂ©s Ă la suite de problĂšmes de santĂ©. Atteint de la maladie dâAlzheimer, Max Roach est mort le matin du 16 aoĂ»t 2007 Ă New York Ă lâĂąge de quatre-vingt-trois ans. Roach avait passĂ© ses derniĂšres annĂ©es au Mill Basin Sunrise Ă Brooklyn. Il laissait dans le deuil cinq enfants: deux garçons (Daryl et Raoul) et trois filles (Maxine, Ayo et Dara). Roach avait quatre petits-enfants: Kyle Maxwell Roach, Kadar Elijah Roach, Maxe Samiko Hinds et Skye Sophia Sheffield. Son gendre Fab Five Freddy, un pionnier du hip hop, Ă©tait rĂ©alisateur et artiste. Souvent comparĂ© Ă Art Blakey dans le cadre des concours couronnant le meilleur batteur, Max Roach avait Ă©tĂ© un des musiciens les plus innovateurs de lâhistoire du jazz.
Plus de 1900 personnes avaient assistĂ© aux funĂ©railles de Roach Ă lâĂ©glise Riverside le 24 aoĂ»t 2007. Roach a Ă©tĂ© inhumĂ© au cimetiĂšre Woodlawn dans le Bronx. Dans son hommage funĂ©raire, le lieutenant-gouverneur de lâĂtat de New York, David Paterson, avait comparĂ© le courage de Roach Ă celui de hĂ©ros comme Paul Robeson, Harriet Tubman et Malcolm X. Paterson avait dĂ©clarĂ©: ââNo one ever wrote a bad thing about Max Roach's music or his aura until 1960, when he and Charlie Mingus protested the practices of the Newport Jazz Festival."
Roach sâest mariĂ© trois fois. Roach avait Ă©pousĂ©Â sa premiĂšre femme Mildred en 1949. Roach avait eu deux enfants avec Mildred, un fils, Daryl Keith, et une fille, Maxine. En 1956, Roach avait rencontrĂ©Â la chanteuse Barbara Jai Johnson qui lui avait donnĂ©Â un autre fils, Raoul Jordu. Le couple ne semble jamais avoir Ă©tĂ©Â mariĂ©. De 1962 Ă 1970, Roach avait Ă©tĂ© mariĂ© Ă la chanteuse Anne Marie ââAbbeyââ Lincoln, qui lâavait accompagnĂ©Â sur plusieurs de ses albums. En 1971, la troisiĂšme Ă©pouse de Roach, Janus Adams Roach, avait donnĂ© naissance Ă Â deux jumelles, Ayodele Nieyela et Dara Rashida. Sur le plan religieux, Roach sâidentifiait lui-mĂȘme comme musulman depuis une entrevue quâil avait accordĂ©e Ă Art Taylor au dĂ©but des annĂ©es 1970.
Le batteur Stan Levey avait un jour dĂ©crit lâimportance de Roach en affirmant: "I came to realize that, because of him, drumming no longer was just time, it was music." En 1966, sur son album intitulĂ© ââDrums Unlimitedââ (qui comprenait quelques piĂšces qui Ă©taient entiĂšrement composĂ©es de solos de batterie), Roach avait fait de la batterie un instrument Ă part entiĂšre en dĂ©montrant que celle-ci pouvait ĂȘtre utilisĂ©e comme un instrument solo capable dâexĂ©cuter des thĂšmes, des variations et des phrases rythmiques cohĂ©rentes. Roach dĂ©crivait dâailleurs lui-mĂȘme sa conception de la musique comme une ââcrĂ©ation de son organisĂ©.ââ
Max Roach a remportĂ© plusieurs prix et rĂ©compenses au cours de sa carriĂšre. En 1988, Roach avait dĂ©crochĂ© une bourse de la MacArthur Foundation, devenant ainsi le premier musicien de jazz Ă recevoir cet honneur. Roach avait Ă©tĂ© Ă©lu Commandeur de lâOrdre des Arts et des Lettres de France lâannĂ©e suivante. Roach a aussi Ă©tĂ© nommĂ© Jazz Master par la National Endowment of the Arts en 1984. En plus dâavoir remportĂ© Ă deux reprises le Grand Prix du Disque de France, Roach a Ă©tĂ© admis au temple de la RenommĂ©e de lâInternational Percussive Art Society ainsi quâau Down Beat Hall of Fame. Roach a Ă©galement Ă©tĂ© intronisĂ© au sein du North Carolina Music Hall of Fame en 2009. Roach avait aussi Ă©tĂ© nommĂ© ââJazz Masterââ par lâUniversitĂ© Harvard.
Roach Ă©tait Ă©galement rĂ©cipiendaire de huit doctorats honorifiques. En 1986, la paroisse de Lambeth Ă Londres en Angleterre avait nommĂ© un parc en lâhonneur de Roach. Le batteur avait dâailleus inaugurĂ© le parc lui-mĂȘme en mars de la mĂȘme annĂ©e Ă lâinvitation du Greater London Council. Lors de ce voyage, Roach sâĂ©tait produit en concert au Royal Albert Hall avec le batteur ghanïżœïżœen Ghanaba et plusieurs autres.
c- 2023, tous droits rĂ©servĂ©s, Les Productions de lâImaginaire historique
SOURCES :
KEEPNEWS, Peter. ââMax Roach, a Founder of Modern Jazz, Dies at 83.ââ New York Times, 16 aoĂ»t 2007. âMax Roach.ââ Wikipedia, 2022. ââMax Roach.ââ Encyclopaedia Britannica, 2022. ââMax Roach.ââ National Endowment for the Arts, 2023. ââMax Roach Biography.ââ Net Industries, 2023. ââRoach, Max.ââ Encyclopedia.com, 18 mai 2018.
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Football Féminin : Desiree Ellis reçoit un doctorat honorifique
Ălue entraineure de lâannĂ©e lors des Cafawards 2023, Desiree Ellis, sâest vu dĂ©cerner un doctorat honorifique par lâUniversitĂ© technologique de la pĂ©ninsule du Cap (CPUT). Lâancienne capitaine des Banyana Banyana, qui a conduit lâĂ©quipe nationale fĂ©minine dâAfrique du Sud Ă son premier titre de championne dâAfrique lors de la Coupe dâAfrique des Nations fĂ©minine CAF TotalEnergies 2022, rĂ©pondâŠ
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VIOLA DAVIS
Actrice de cinéma et de théùtre américaine.
Elle est nĂ©e Ă St. Matthews, Caroline du Sud, Ătats-Unis.
Viola Davis fréquente le Rhode Island College et obtient son diplÎme en 1988. A participé activement aux productions théùtrales du théùtre étudiant local. En 2002, Viola s'est défendue et a reçu un doctorat honorifique - dans le domaine des arts. De plus, elle a étudié à la Juilliard School pendant quatre ans, aprÚs quoi elle a acquis des connaissances et des compétences trÚs utiles.
Viola est principalement connue comme actrice de théùtre. En 2001, Viola Davis a reçu le prix de théùtre "Tony" pour son rÎle dans la production de "King Hadley II". De plus, Viola a reçu deux "Drama Desk Awards" - pour son travail dans "King Hadley II" et en 2004 - pour sa participation à la production théùtrale de Broadway "Intimate Apparel".
Elle a fait ses dĂ©buts au cinĂ©ma avec un rĂŽle dans le film "Essence of Fire" (1996). Viola Davis a eu de nombreux rĂŽles dans des films, dont trois films rĂ©alisĂ©s par Steven Soderbergh ("Out of Sight", "Solaris", "Movement"). Elle pouvait Ă©galement ĂȘtre vue Ă la tĂ©lĂ©vision - elle a participĂ© Ă plusieurs reprises Ă des projets tĂ©lĂ©visĂ©s (par exemple, dans la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e "Law and Order", "The Traveler" et autres).
#cinéma#unfilmcouleur#film#comportementhumaines#actionshumaines#joie#plaisir#aventures#lesdessinsanimés#buxberg
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Doctorat honorifique décerné à DELLY Benson pour sa qualité de musicien.
DELLY Benson vient de recevoir son doctorat honorifique Ă lâuniversitĂ© Elior, ce samedi 8 juillet 2023. AprĂšs avoir mesurĂ© la potentialitĂ© de lâartiste, une Ă©tude a Ă©tĂ© faite dans le rectorat de la dite universitĂ© afin de dĂ©livrer cet honneur bien mĂ©ritĂ© au leader dâholysongs. CouronnĂ© de DiadĂšme, DELLY Benson reçoit une distinction considerable suivant le conseil de quelques scientifiques quiâŠ
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Ursula von der Leyen à Toulouse : qu'est-ce que le doctorat honoris causa remis par l'Université ?
See on Scoop.it - JamesO
Un titre purement honorifique : l'Université Toulouse Capitole s'est parée de ses plus beaux drapeaux bleus aux étoiles jaunes. Le vendredi 09/06/23, la Présidente de la Commission européenne, est arrivée à Toulouse (Haute-Garonne, Occitanie) pour recevoir le titre de docteur honoris causa de l'université.
JamesO's insight:
Via lâagence JamesO MĂ©diaâïžN.D.L.R. : article de presse publiĂ© par France 3 Occitanie le vendredi 09/06/23.
 đ Informer et former đ
đ Informer tout en formant đ§©
đ Sâinformer en se formant đŻ
 #politique #universités
#distinctions #honneurs
#Toulouse #HauteGaronne #Occitanie
#UE
 đ JamesO.InfO âïž
đ Narration informationnelle âïž
 G Le fil gris de JamesO.InfO
La formation, lâĂ©ducation et les savoirs.
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L'université Yeshiva rend hommage à l'inventeur israélien du dÎme de fer et responsable de la défense
LâUniversitĂ© Yeshiva (YU) dĂ©cernera sa plus haute distinction pour le leadership mondial, le mĂ©daillon prĂ©sidentiel, au gĂ©nĂ©ral de brigade (rĂ©s.) Dr Daniel Gold, chef de la direction de la recherche et du dĂ©veloppement de la dĂ©fense dâIsraĂ«l (DDR&D -MAFAT) Ă la MinistĂšre de la DĂ©fense. En outre, lâYU dĂ©cernera un doctorat honorifique au survivant de lâHolocauste, philanthrope et visionnaire EmilâŠ
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ISTEAH : Ronald GABRIEL reçoit un Doctorat Honoris Causa
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Une vie chrétienne influente.
La véritable histoire de A.W. Tozer.
Aiden Wilson Tozer (1897-1963) Ă©tait un pasteur amĂ©ricain de l'Alliance chrĂ©tienne et missionnaire et un auteur qui soulignait la nĂ©cessitĂ© d'une connaissance plus profonde de Dieu et du dĂ©veloppement de la "vie intĂ©rieure". Pour cette raison, il a Ă©tĂ© dĂ©crit comme un "mystique Ă©vangĂ©lique". A. W. Tozer Ă©tait extrĂȘmement influent dans le christianisme Ă©vangĂ©lique de sa gĂ©nĂ©ration et Ă©tait souvent qualifiĂ© de « prophĂšte du XXe siĂšcle ».
Tozer, comme il prĂ©fĂ©rait ĂȘtre appelĂ©, est nĂ© le 21 avril 1897 dans l'ouest de la Pennsylvanie et a vĂ©cu dans la pauvretĂ© pendant sa jeunesse. Quand il avait environ 15 ans, sa famille a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă Akron, Ohio. Avant d'avoir 17 ans, il a entendu un prĂ©dicateur de rue qui dĂ©fiait ses auditeurs d'invoquer Dieu en disant : « Soyez misĂ©ricordieux envers moi, pĂ©cheur. Cela est restĂ© avec Tozer, et il est rentrĂ© chez lui et a fait exactement cela, acceptant Christ par la foi. Il a commencĂ© Ă Ă©tudier la Bible et Ă lire de bons livres, et il a grandi dans sa foi. Il n'avait aucune Ă©ducation formelle (ni lycĂ©e ni collĂšge), mais il a appris tout seul et recevrait Ă©ventuellement deux doctorats honorifiques. Tout au long de sa vie, Tozer a lu dans une grande variĂ©tĂ© de sujets, notamment la religion, la philosophie, la littĂ©rature et la poĂ©sie.
En 1919, A. W. Tozer est devenu le pasteur d'une petite Ă©glise en Virginie-Occidentale et plus tard d'Ă©glises en Indiana et en Ohio. En 1928, il devint pasteur de la Southside Alliance Church Ă Chicago, avec une congrĂ©gation d'environ 80 personnes. Tozer Ă©tait de petite taille, pas trĂšs Ă la mode et pas un orateur Ă©nergique. Cependant, le contenu spirituel de ses messages ainsi que son choix de mots et sa prĂ©sentation claire des idĂ©es ont captivĂ© sa congrĂ©gation. La congrĂ©gation grandit rĂ©guliĂšrement et onze ans plus tard, un nouveau bĂątiment fut construit pour accueillir 800 personnes. En 1950, Tozer devint le rĂ©dacteur en chef d'Alliance Weekly (maintenant Alliance Life), le magazine officiel de l'Alliance chrĂ©tienne et missionnaire. Ses Ă©ditoriaux et ses articles lui ont donnĂ© une plate-forme nationale et ont fait de lui un porte-parole populaire du christianisme Ă©vangĂ©lique. En 1951, il lance une Ă©mission de radio hebdomadaire qui Ă©tend son influence. AprĂšs 31 ans en tant que pasteur de l'Ă©glise Southside Alliance, Tozer a acceptĂ© un appel Ă l'Ă©glise Avenue Road Alliance Ă Toronto, oĂč il a servi jusqu'Ă sa mort le 12 mai 1963.
Lors de ses funĂ©railles, sa fille a dĂ©clarĂ©: «Je ne peux pas me sentir triste. Je sais que papa est content. Il a vĂ©cu pour ça toute sa vie. Le ministĂšre de Tozer a Ă©tĂ© marquĂ© par l'accent mis sur la connaissance de Dieu. Il avait la capacitĂ© d'aller au cĆur de ce qui Ă©tait vraiment important, en mettant de cĂŽtĂ© le superficiel et l'Ă©tranger. Tozer croyait qu'il devait dĂ©fier Ă la fois l'intellect et l'Ăąme, Ă la fois l'esprit et le cĆur, et il l'a fait de maniĂšre cohĂ©rente et avec Ă©loquence.
Le ministÚre d'A.W. Tozer continue aujourd'hui. Les enregistrements audio de ses sermons sont facilement disponibles en ligne. Cependant, il est surtout connu à travers ses livres, dont deux sont considérés comme des classiques spirituels : La Connaissance du Saint et La Poursuite de Dieu.
Quelques citations d'A.W. Tozer aidera Ă illustrer la passion de sa vie :
« Retournez Ă la base. Ouvrez vos cĆurs et sondez les Ecritures. Portez votre croix, suivez votre Seigneur et ne prĂȘtez pas attention Ă la vogue religieuse passagĂšre. Les masses ont toujours tort. A chaque gĂ©nĂ©ration, le nombre des justes est petit. Assurez-vous d'ĂȘtre parmi eux.
« Ce qui nous vient Ă l'esprit lorsque nous pensons Ă Dieu est la chose la plus importante Ă notre sujet. . . . La chose la plus rĂ©vĂ©latrice de l'Ăglise est toujours son idĂ©e de Dieu, tout comme son message le plus significatif est ce qu'elle dit de lui ou ce qu'elle ne dit pas, car son silence est souvent plus Ă©loquent que son discours.
"La raison pour laquelle beaucoup sont encore troublĂ©s, cherchent toujours, font encore peu de progrĂšs, c'est parce qu'ils ne sont pas encore arrivĂ©s Ă la fin d'eux-mĂȘmes. Nous essayons toujours de donner des ordres et d'interfĂ©rer avec l'Ćuvre de Dieu en nous.
"Je peux dire en toute sĂ©curitĂ©, sur la base de tout ce qui est rĂ©vĂ©lĂ© dans la Parole de Dieu, que tout homme ou femme sur cette terre qui s'ennuie et qui est rebutĂ© par l'adoration n'est pas prĂȘt pour le ciel."
« Nous sommes sauvés pour adorer Dieu. Tout ce que Christ a fait. . . mÚne à cette seule fin.
« Nous ne pouvons pas saisir le vrai sens de la saintetĂ© divine en pensant Ă quelqu'un ou Ă quelque chose de trĂšs pur et en Ă©levant ensuite le concept au plus haut degrĂ© dont nous sommes capables. La saintetĂ© de Dieu n'est pas simplement ce que nous connaissons de mieux, infiniment amĂ©liorĂ©. Nous ne connaissons rien de tel que la saintetĂ© divine. Il se tient Ă part, unique, inaccessible, incomprĂ©hensible et inaccessible. L'homme naturel en est aveugle. Il peut craindre la puissance de Dieu et admirer sa sagesse, mais il ne peut mĂȘme pas imaginer sa saintetĂ©.
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Menendez : la Turquie est la plus grande menace pour le nord de la Méditerranée - Non à la modernisation des F-16
Menendez : la Turquie est la plus grande menace pour le nord de la MĂ©diterranĂ©e â Non Ă la modernisation des F-16
DERNIĂRE MISE Ă JOUR : 20.59 Le sĂ©nateur Robert Menendez, prĂ©sident de la commission des affaires Ă©trangĂšres du SĂ©nat fĂ©dĂ©ral, lâorgane supĂ©rieur du CongrĂšs amĂ©ricain, a reçu un doctorat honorifique du DĂ©partement de sciences politiques et dâadministration publique de lâĂcole dâĂ©conomie et de sciences politiques du National and Kapodistrian UniversitĂ© dâAthĂšnes. Le sĂ©nateur amĂ©ricain lors deâŠ
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L'Université de Lausanne reconnaßt une faute grave mais ne retire pas le doctorat honorifique à Mussolini
LâUniversitĂ© de Lausanne reconnaĂźt une faute grave mais ne retire pas le doctorat honorifique Ă Â Mussolini
Le doctorat honoris causa octroyĂ© en 1937 par lâUniversitĂ© de Lausanne (UNIL) au dirigeant fasciste italien Benito Mussolini a constituĂ© une âfaute graveâ, selon un groupe de travail. Ses experts ne recommandent toutefois pas un retrait posthume du titre honorifique au Duce, mais proposent quatre mesures. âLe Groupe de travail considĂšre que lâoctroi du doctorat honoris causa Ă Benito Mussolini aâŠ
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Les soirées dansantes de Taylor Swift arriveront probablement dans votre ville - News 24
Les soirĂ©es dansantes de Taylor Swift arriveront probablement dans votre ville â News 24
Il y a deux semaines, Taylor Swift a reçu un doctorat honorifique de NYU. Une semaine plus tard, je suis allĂ© Ă une fĂȘte en son honneur Ă Brooklyn, un Ă©vĂ©nement entiĂšrement consacrĂ© Ă la danse â et plus souvent, aux cris â sur la musique de Taylor Swift. LâĂ©vĂ©nement nâavait rien Ă voir avec lâobtention dâun diplĂŽme ; il faisait plutĂŽt partie dâune sĂ©rie itinĂ©rante populaire appelĂ©e Taylor PartyâŠ
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