#Diététique chinoise
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lemaupertus · 11 months ago
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Le recours aux médecines douces en France est en hausse
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De plus en plus de Français optent pour des thérapies complémentaires, particulièrement dans la gestion de la douleur. Des études statistiques montrent une augmentation significative de l’utilisation des médecines alternatives et complémentaires, désignées sous le terme de Médecine douce. La médecine douce, qui englobe des pratique complémentaires ou parallèles à la médecine conventionnelle, gagne du terrain dans l’hexagone. Selon un sondage d’Harris Interactive pour Santéclair, 71% des Français déclarent ainsi avoir déjà essayé une pratique alternative. L’Ordre des médecins français parle de médecines alternatives et complémentaires (MAC). Les chiffres de la médecine douce en France • 86% des Français ont une bonne image de la médecine douce, 24%, une très bonne image • 80% des Français ont une opinion favorable sur l’ostéopathie (49% l’ont déjà testée), 73% sur la diététique, 72% sur l’homéopathie (33% l’ont déjà essayée) et 72% sur l’acupuncture (28% l’ont déjà testée) • 87% des Français considèrent que les médecines douces sont utiles en complément de la médecine traditionnelle. • 91% des Français estiment que la médecine douce est efficace pour lutter contre les petits maux. • 86% des Français estiment que les pratiques de médecine douce sont amenées à se développer. • 51% des Français estiment que les prestations de médecine douce devraient être remboursées par la Sécurité sociale et 31% par les mutuelles. Car malgré cet engouement, elle n’est toujours pas remboursée par l’Assurance Maladie. Il convient donc de se tourner vers les complémentaires santé pour obtenir une meilleure prise en charge de ses dépenses. Qu’est-ce que la médecine douce ? L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recense quelque 400 médecines douces dans le monde. Sont regroupées sous ce vocable les pratiques ancestrales connues et relativement répandues, comme la médecine traditionnelle chinoise et l’acupuncture, mais aussi des pratiques modernes et d’autres moins connues, comme la médecine ayurvédique ou encore le reiki. L’Ordre des médecins français classe les médecines alternatives et complémentaires (MAC) en quatre catégories : • Les thérapies manuelles (réflexologie, par exemple) • Les thérapies biologiques (phytothérapie, aromathérapie…) • Les thérapies corps-esprit (hypnose, sophrologie…) • Les systèmes complets (naturopathie, homéopathie…) Paradoxalement, malgré le fait que la médecine conventionnelle ne reconnaît pas la médecine douce, il n’est pas rare que les praticiens de santé en médecine allopathique recommandent aux patients de se tourner vers des alternatives pour soigner les troubles d’anxiété, les insomnies, le stress, ou pour aider à mieux supporter les effets secondaires causés par les moyens thérapeutiques comme la chimiothérapie. Parmi ces médecines douces, le yoga et la méditation connaissent également un engouement croissant. En France, le nombre de pratiquants de yoga a été multiplié par plus de trois au cours de la dernière décennie. Aujourd’hui, en 2023, on compte 10,7 millions de pratiquants de yoga, ce qui représente un cinquième de la population, contre seulement 3 millions en 2010. Cette hausse significative, en moins de quinze ans, se révèle d’autant plus intéressante lorsqu’on constate que 75% de ces derniers pratiquent le yoga régulièrement, soit 7,9 millions de personnes, pour à peine 1,6 million en 2010. Face au stress, il y a un intérêt croissant des Français pour la méditation de pleine conscience, qui est plébiscitée. 43% de Français ont essayé de réduire leur stress par la méditation, 25% ont pratiqué ou pratiquent la méditation en ce moment, 69% des actifs sont prêts à suivre des cours de méditation dans leur entreprise et autant de l’intégrer dans les écoles. Le problème de la douleur Selon une étude publiée récemment, de plus en plus de personnes souffrant de douleurs chroniques se tournent vers les médecines douces, tout en omettant souvent d’en discuter avec leur médecin. Les chercheurs de l’Université de Portland, aux États-Unis, viennent de publier une étude concernant l’utilisation des médecines douces par les patients souffrant de douleurs chroniques. Celle-ci indique que, sur 6068 personnes interrogées, 32% ont recours à l’acupuncture, 47% à la chiropraxie et 21% pratiquent les deux à la fois. En parallèle, l’utilisation des médecines douces n’empêche pas, pour autant, ces patients d’être suivis par des médecins conventionnels. Les douleurs chroniques étant en augmentation, la consommation d’antalgiques – dont les opïoides – est également en hausse. En France, au moins 12 millions de personnes souffrent de douleurs chroniques. Dans un communiqué de presse mis en ligne en 2022, la Haute Autorité de Sante, (HAS),  publie les premières recommandations détaillées sur la prescription et la consommation d’opioïdes dans chacune des indications où ils sont utiles pour soulager la douleur. L’ANSM, (agence nationale de sécurité du médicament) à publié en 2020 un état des lieux de la consommation en France indiquant que, d’après les données de l’assurance maladie, près de 10 millions de français ont eu une prescription d’antalgique opioïde en 2015. En 2017, l’antalgique opioïde le plus consommé en France est le tramadol, puis la codéine en association, et la poudre d’opium associée au paracétamol; entre 2006 et 2017, la prescription d’opioïdes forts a augmenté d’environ 150%. L’augmentation de la consommation se reflète dans celle de la vente de boîtes d’antalgiques, dont l’ANSM a procédé à un recueil en France, couplé avec une analyse comparative européenne, riche d’enseignements, publié sur le site de Vidal actualités. Les antalgiques non opiacés sont davantage utilisés depuis 10 ans, principalement en raison de l’augmentation de la consommation de paracétamol.Les auteurs constatent une augmentation de 29% en 10 ans de l’utilisation des antalgiques non opiacés, avec en particulier une augmentation de 53% du nombre de doses journalières de paracétamol. Cette augmentation concerne aussi les enfants (forme pédiatrique du paracétamol : + 39% en 10 ans, alors que l’aspirine pour enfants a baissé de 57 % et l’ibuprofène de 10 %). Bien que les antalgiques puissent offrir un soulagement temporaire, ils comportent leurs propres dangers, notamment des effets secondaires indésirables et le risque de dépendance et d’overdose, en France 80% des décès par surdose sont dus aux opioïdes. Le nombre de décès lié à la consommation de ce type de médicaments a augmenté de 146 % entre 2000 et 2015. Avec un total estimé entre 200 et 800 décès chaque année, les opioïdes (tramadol, morphine et codéine notamment) constituent la première cause de décès par overdose. De nombreuses thérapies complémentaires recherchent et traitent les causes profondes de la maladie – plutôt que d’en traiter les symptômes – en travaillant avec le corps et en exploitant ses capacités innées de guérison. Bien que de nombreux facteurs entrent en jeu, c’est peut-être l’une des raisons pour lesquelles les gens choisissent de plus en plus ces thérapies, car ils s’éloignent des médicaments et se tournent vers la possibilité de guérir les causes sous-jacentes de leur douleur et d’autres problèmes de santé. À la recherche de soins complémentaires Les statistiques sont une chose, mais à quoi ressemble réellement le traitement de la douleur pour les personnes qui cherchent à la soulager ? James Morrow est massothérapeute dans une clinique du centre de la Floride. Lorsqu’on lui demande combien de personnes viennent le voir pour des problèmes de douleur, il répond à Epoch Times : « Je dirais que 25% de ma clientèle vient pour un traitement de la douleur – la plupart viennent et réalisent que la massothérapie est un également outil efficace pour la santé en général ». « Sur ces 25%, tous prennent des médicaments contre la douleur », a-t-il ajouté. James Morrow a également noté que 90% de ses clients utilisent des thérapies en plus du massage pour leurs soins, notamment l’acupuncture, la chiropraxie et les saunas. Il a expliqué qu’il recommandait plusieurs autres options à ses clients, notamment les jacuzzis, la mise à la terre, la thérapie par la glace ou la chaleur, et le yoga pendant 30 minutes à une heure une fois par semaine, en précisant que « ce sont toutes des options holistiques qui peuvent être peu coûteuses ». L’augmentation de l’utilisation des thérapies complémentaires pour gérer la douleur suggère que les gens explorent ces options comme alternatives aux médicaments et aux procédures plus invasives, comme la chirurgie. 7 approches complémentaires de la santé Pour ceux qui ne connaissent pas ces thérapies, voici une brève description de certaines d’entre elles, ainsi que quelques-unes des affections courantes qu’elles traitent. 1. La massothérapie La massothérapie consiste à manipuler les tissus mous du corps, notamment les muscles, les tendons et les ligaments. Il existe une grande variété de techniques et le massothérapeute peut utiliser ses mains, ses avant-bras, ses coudes, ses genoux ou un appareil pour exercer une pression sur certaines zones du corps afin d’obtenir une sensation de détente et de bien-être. Des huiles ou des crèmes peuvent être utilisées pour renforcer les effets du massage, ainsi que des huiles médicamenteuses qui soulagent des maux spécifiques, comme la douleur. La massothérapie est connue pour sa capacité à détendre le corps et à soulager les blessures, les muscles tendus, raides et douloureux, ainsi que la douleur. Elle est également utilisée pour traiter les problèmes émotionnels et du mental tels que le stress, l’anxiété et la dépression, car tout en relaxant le corps, elle aide à calmer l’esprit. 2. La méditation La méditation trouve son origine dans l’Inde ancienne et est décrite dans les Vedas, des textes religieux dont la rédaction remonterait à environ 1500-1200 av. J.-C. La méditation est souvent définie comme « le processus simple et sans effort qui consiste à se connecter au silence et à la paix intérieurs ». Pendant la méditation, nous dirigeons notre attention vers l’intérieur plutôt que de nous engager dans le monde extérieur de l’activité. Nous nous connectons à un niveau plus profond de nous-mêmes, au calme intérieur, et nous commençons progressivement à vivre à partir d’un lieu de stabilité et de paix intérieure ». Il existe de nombreux types de méditation, de la méditation transcendantale à la méditation de pleine conscience en passant par la méditation vipassana. La méditation est souvent utilisée pour réduire le stress et l’anxiété, améliorer le sommeil, renforcer la mémoire, la concentration, et cultiver la conscience de soi. 3. Le yoga Le yoga est une ancienne pratique indienne qui comporte des aspects physiques, mentaux et spirituels. Il implique souvent différents mouvements ou postures qui sont pratiqués en se concentrant sur la respiration afin d’atteindre la santé et le bien-être. Le yoga est pratiqué en Inde depuis des milliers d’années et il existe de nombreux styles différents. Au cours du siècle dernier, le yoga a gagné en popularité en Occident, devenant une pratique courante pour ceux qui cherchent à rester en forme, à améliorer leur souplesse et leur force, et à atteindre le calme intérieur et la concentration. 4. l’Acupuncture L’acupuncture consiste à insérer de très fines aiguilles stériles dans la peau en des points précis du corps afin de normaliser les processus de l’organisme et de stimuler la guérison. Selon la médecine chinoise, le Qi, ou énergie vitale innée du corps, doit circuler librement dans tout le corps pour que la santé soit préservée, et l’une des raisons pour lesquelles la maladie se développe est un blocage dans la circulation de cette énergie vitale. L’acupuncture est l’une des modalités de la médecine chinoise, en plus de la phytothérapie chinoise et du Tui Na (massage médical chinois), et elle est pratiquée depuis plus de 4 000 ans. De nombreuses études ont montré qu’il s’agit d’un traitement efficace pour une grande variété de maux, y compris la douleur. 5. La naturopathie « La naturopathie est un système de soins de santé qui s’appuie sur une longue histoire de philosophies et de pratiques traditionnelles, sur des praticiens ayant reçu une formation médicale et sur un large éventail d’options de traitement naturel au service des patients », selon la Fédération mondiale de naturopathie . (World Naturopathic Federation). Les naturopathes ont une approche holistique et traitent la personne, plutôt que la maladie ou les symptômes, et ils peuvent traiter les affections aiguës et chroniques. On peut consulter un naturopathe pour toutes les raisons qui peuvent amener à consulter un médecin conventionnel. 6. Soins chiropratiques La chiropratique est « une profession de santé qui s’intéresse au diagnostic, au traitement, et à la prévention des troubles mécaniques du système musculo-squelettique, ainsi qu’aux effets de ces troubles sur le fonctionnement du système nerveux et sur la santé en général. L’accent est mis sur les traitements manuels, notamment l’ajustement de la colonne vertébrale et d’autres manipulations des articulations et des tissus mous », selon la Fédération mondiale de chiropraxie. Les chiropraticiens traitent le système musculo-squelettique en manipulant les muscles, les os et les articulations, en particulier ceux de la colonne vertébrale. Les raisons les plus courantes de consulter un chiropraticien sont une mobilité limitée des articulations, des blessures physiques, des problèmes de posture ou d’alignement de la colonne vertébrale, et des douleurs musculaires, osseuses ou articulaires (comme des douleurs au genou ou au bas du dos). 7. Imagerie guidée et relaxation musculaire progressive Selon un article paru dans Positive Psychology, « l’imagerie guidée, ou visualisation et imagerie mentale, est ancrée dans la pratique de la visualisation multisensorielle, qui consiste à guider un client dans un voyage imaginaire, les yeux fermés, après de brefs exercices de respiration pour induire la relaxation. Elle peut inspirer et induire une transformation intérieure pour conduire au changement de comportement souhaité dans des domaines tels que la guérison des addictions, la psychologie du sport et la gestion du stress ». Le même article indique que des recherches ont montré que l’imagerie guidée était bénéfique pour le stress, l’anxiété, la dépression, le deuil, la gestion de la douleur (y compris la douleur chronique) et pour favoriser la guérison pendant un traitement contre le cancer. Selon l’American Psychological Association, la relaxation musculaire progressive est « une technique dans laquelle l’individu est entraîné à détendre l’ensemble de son corps en prenant conscience des tensions dans les différents groupes musculaires et en détendant un groupe musculaire à la fois. Dans certains cas, l’individu contracte consciemment des muscles ou des groupes de muscles spécifiques, puis relâche la tension pour parvenir à une relaxation de l’ensemble du corps ». La principale condition traitée par la relaxation musculaire progressive est la tension musculaire due au stress et à l’anxiété. Pourquoi cet essor ? Alors, pourquoi y a-t-il eu une telle augmentation de l’utilisation de ces approches de santé complémentaires ? Au cours des deux dernières décennies, il y a eu davantage d’études de haute qualité démontrant l’efficacité de nombreuses thérapies complémentaires qui ont été évaluées. Ces médecines complémentaires font une percée parce qu’on ne leur connait pas d’effets secondaires, à l’inverse des médicaments classiques dont certains ont déjà fait scandale (affaire du Mediator par exemple). Egalement, comme déjà évoqué plus haut, les médecines alternatives reposent sur des techniques ou des médicaments naturels qui rassurent et apaisent. Elles ne sont pas invasives ou douloureuses comme la radio et la chirurgie. Par ailleurs, les médecines complémentaires sont extrêmement utiles dans le traitement des maux ou douleurs basiques, comme des rhumes, des courbatures ou des maux de tête. Elles peuvent en outre soigner des problèmes plus profonds, tels que la difficulté d’endormissement, de concentration, les soucis digestifs. La recherche d’alternatives aux médicaments contre la douleur peut également être un facteur. Un autre facteur pourrait être la sensibilisation accrue du public à un nombre croissant de thérapies complémentaires pour les affections courantes – dont la douleur – car elles peuvent offrir une approche naturelle et aider à éviter des options plus radicales, comme la chirurgie. Selon James Morrow, les clients qu’il reçoit pour des douleurs cherchent en effet des alternatives à des mesures plus invasives. « Tous mes clients qui viennent pour le traitement de la douleur cherchent des alternatives à la chirurgie – les risques et les pensées de la chirurgie sont écrasants. Cela dit, certains ont été opérés et vont mieux, mais ils viennent quand même pour un traitement. D’autres ont eu des résultats moins bons et viennent chercher un soulagement, même temporaire. Réflexions finales Les raisons exactes de l’augmentation de l’utilisation des approches de santé complémentaires pourraient faire l’objet d’études plus approfondies, néanmoins le fait que les gens utilisent davantage ces types de thérapies montre clairement que les consommateurs disposent d’un nombre croissant d’options pour prendre soin de leur santé, et qu’ils les utilisent. Cet Article est apparu d'abord sur https://www.epochtimes.fr/le-recours-aux-medecines-douces-en-france-est-en-hausse-2548257.html Lire ici la suite de l'Article Original Read the full article
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omagazineparis · 8 months ago
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La naturopathie, médecine naturelle et efficace
« Naturopathie » vient du latin natura et du grec pathos ce qui signifie étudier et supprimer le mal à l’aide des moyens que nous offre la nature. S’il fallait définir la différence entre un naturopathe et un médecin, je dirais que le premier est un spécialiste de la santé alors que le second, celui de la maladie. Vous allez comprendre que la santé et le bonheur qui en découle, ne sont pas seulement le privilège de quelques personnes, mais celui de la majorité des êtres que nous sommes, et qu’en plus, ils sont naturellement à votre portée. Personne n’ignore qu’Hippocrate, le père de la médecine aurait dit au malade, il y a plus de deux mille ans : « que l’aliment soit ton seul remède ! » et demandé au médecin de le guérir sans nuire ! C'est sans doute cela la naturopathie. Qu’est ce que la naturopathie? Cette discipline a plus de 2000 ans. Elle vise à stimuler les mécanismes naturels d’auto-guérison du corps. La naturopathie est une médecine non conventionnelle qui vise à stimuler les mécanismes naturels d’auto-guérison du corps. Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), la naturopathie est la troisième médecine traditionnelle du monde après les médecines chinoise et ayurvédique. C’est à la fois une philosophie, un art et une science. Elle permet d’apporter à chacun d’entre nous le plus haut degré de santé possible au moyen de techniques naturelles. La naturopathie en France connaît de plus en plus d’adeptes. Aujourd’hui, elle est pratiquée par près de 3 000 naturopathes dans l’Hexagone. On vous dit tout sur ce qu’il faut savoir avant de vous lancer dans cette nouvelle façon de s’occuper de votre santé grâce à cette formation que vous pouvez faire sans le BAC. À cet effet, voici un dossier complet de qualité qui vous offrira assez d’informations sur la manière dont vous pouvez démarrer cette activité. Croyez-vous au potentiel naturel du système corporel à venir à bout de tout dysfonctionnement ?, La naturopathie est en pleine expansion et commence progressivement à s’imposer dans le secteur des médecines alternatives. Afin d’exercer cette profession, vous disposez de plusieurs options offertes par diverses écoles à travers le monde, notamment des cours en e-learning de qualité qui vous permettront de développer de solides compétences et connaissances dans ce domaine. Les 10 techniques naturopathiques Hygiène alimentaire : Diététique, nutrition, cures saisonnières Techniques psychologiques et émotionnelles : relaxation, gestion du stress, hygiène relationnelle, relation d'aide, formes brèves de psychothérapie (sophrologie), etc. Vous trouverez également une section du site Web avec des activités physiques faciles à suivre. L'hydrologie : utilisation de l'eau chaude, froide, tiède, alternée, … locale, générale, … interne, externe, … douches, bains, thalassothérapie et thermalisme, argiles, … Les techniques manuelles : chirologie, différents massages,   drainage lymphatique, Amma, onctions aromatiques … Réflexologie : méthodes plantaire, palmaire, auriculaire et endonasale ; Shiatsu Knap et Jarricot. Les techniques respiratoires : empruntées au yoga, aux arts martiaux … ; cohérence cardiaque, méthodes de Plent, Bol d’air Jacquier, ionisations… Les Phyto-Aroma-Gemmo thérapies :  Utilisation des plantes sous différentes galéniques (huiles essentielles, bourgeons, plantes sèches ou fraîches ...) Les techniques énergétiques : manuelles (magnétisme) ou nécessitant l'usage d'aimants (magnétothérapie) ou de machines (champs magnétiques pulsés...) Les techniques vibratoires : utilisation des rayonnements lumineux (couleurs, rayonnements solaires, infrarouge) ou utilisation des sons, de la musique, des mantras, bols tibétain La naturopathie s’occupe de la promotion de la santé La naturopathie se concentre sur la promotion de la santé et la compréhension du fait que le corps a une capacité innée à se guérir. En identifiant et en supprimant les obstacles à la guérison, le corps est capable de guérir et de progresser vers une santé optimale. Le but de la pratique en naturopathie est de traiter les troubles sous-jacents et de restaurer les fonctions normales du corps en améliorant les capacités de guérison de celui-ci. Prévention des maladies La prévention des maladies et la prévention de la progression des maladies sont des principes inhérents à la médecine naturopathique. Les docteurs en naturopathie travaillent avec les patients pour identifier les causes profondes de la maladie et pour traiter tous les facteurs qui affectent la santé du patient. Conditions et maladies traitées Les docteurs en naturopathie sont des praticiens des soins de santé primaires. Ils sont formés pour traiter pratiquement tous les problèmes de santé, qu'ils soient aigus ou chroniques, pédiatriques, gériatriques, physiques ou psychologiques. Les docteurs en naturopathie travaillent avec trois groupes principaux de personnes: - patients qui recherchent la prévention des maladies et la promotion de la santé - les patients avec une gamme de problèmes de santé et aucun diagnostic clair - patients atteints de maladies chroniques et graves Traitement individualisé Les traitements naturopathiques sont hautement individualisés. Chaque patient a une histoire, une histoire, une génétique, des habitudes alimentaires, un mode de vie et des problèmes de santé associés uniques. Un docteur en naturopathie travaillera à déterminer la ou les causes sous-jacentes et à créer un plan de traitement individualisé pour stimuler la capacité de guérison innée de la personne. Les patients participent également à leur programme de santé et apprennent à prendre des décisions efficaces, informées et relatives aux soins personnels, susceptibles de prévenir des problèmes de santé futurs. Comment se déroule une consultation chez un naturopathe ? Travailler avec la médecine conventionnelle Les docteurs en naturopathie peuvent travailler avec des médecins conventionnels et travaillent effectivement avec eux. Les DS sont formés pour diriger les patients vers d'autres professionnels de la santé, le cas échéant. La plupart des docteurs en naturopathie consultent beaucoup d'autres professionnels de la santé. Traitement sûr et efficace Le but de la pratique en naturopathie est de traiter les troubles sous-jacents et de restaurer les fonctions normales du corps en améliorant les capacités de guérison de celui-ci. Par conséquent, les docteurs en naturopathie doivent concentrer leurs efforts sur la compréhension des besoins uniques de chaque patient. En conséquence, les traitements naturopathiques sont hautement individualisés. Les patients participent à leurs programmes de traitement et apprennent à prendre des décisions efficaces et éclairées en matière de soins personnels, susceptibles de prévenir de futurs problèmes de santé. Le diagnostic et la thérapeutique naturopathiques sont étayés par des recherches scientifiques issues de revues à comité de lecture de nombreuses disciplines, notamment la naturopathie, la médecine conventionnelle, la médecine complémentaire européenne, la nutrition clinique, la phytothérapie, la pharmacognosie, l'homéopathie, la psychologie et la spiritualité. Les technologies de l’information et les nouveaux concepts relatifs aux résultats cliniques et à l’évaluation sont particulièrement bien adaptés pour évaluer l’efficacité des protocoles de traitement en naturopathie et sont utilisés dans la recherche, à la fois dans les écoles de médecine naturopathique et dans les bureaux des médecins naturopathes en exercice. La recherche clinique sur les thérapies naturelles est devenue un objectif de plus en plus important pour les docteurs en naturopathie. Rentabilité de la naturopathie La naturopathie peut contribuer à résoudre l’épidémie coûteuse de maladies chroniques. La rentabilité de la médecine naturopathique fait actuellement l'objet de recherches au Canada. Des recherches menées aux États-Unis sur le rapport coût-efficacité de la médecine naturopathique ont démontré les économies substantielles réalisées par les particuliers, les compagnies d'assurance et le système de santé en général. Comment se déroule une consultation chez un naturopathe ? D'un bilan vital qui permet de récupérer les informations nécessaires à l’établissement du bilan naturopathique. Celui-ci établit le degré de toxémie, de vitalité, le profil du consultant.  Différentes techniques ou outils peuvent être utilisés (Iridologie, Psychophysiologie, Morphologie, Biologie Nutritionnelle…) et sont complétées par une anamnèse détaillée.  D'un programme d’hygiène vitale qui se base sur le bilan vital et qui se construit, se valide et se négocie en accord avec la personne qui vient consulter. Il s'agit d'un programme d’hygiène de vie personnalisé. Read the full article
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santebioeurope · 9 months ago
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Les Vertus Méconnues des Amandons d'Abricot Amer : Bienfaits et Risques
Cet article met en évidence les bienfaits et les effets des amandons d’abricots amers. Aperçu des Amandons d'Abricots Amers L'amandon d'abricot amer est une seule graine située à l'intérieur d'un noyau d'abricot. Certaines personnes pensent que l’amande du noyau d'abricot amer possède des capacités préventives contre le cancer et de détoxification, ce qui explique pourquoi il est commercialisé comme un nouveau "superfood". L'amandon d'abricot amer, également connu sous le nom d’amande d'abricot sauvage, appartient au genre Prunus et à la famille Rosaceae. Les fruits issus de la plante mature de cet arbre sont consommés frais et séchés. Les graines d'abricot douces et amères contiennent une seule graine dure. La graine du fruit est généralement sucrée, mais celle de l'abricot sauvage est amère. Les graines d'abricot amer sont endémiques du nord de la Chine, de la région de l'Himalaya, ainsi que d'autres parties de l'Asie. Certains habitants du nord-ouest de l'Himalaya croient que les abricots sauvages et leurs noyaux offrent à la fois des avantages diététiques et thérapeutiques. Les produits de soins pour la peau et les cheveux, ainsi que la fabrication de biodiesel, sont des utilisations potentielles. Les graines d'abricot amer, ou semen prunus armeniaca, se trouvent au centre du fruit d'abricot (Prunus armeniaca). Les abricotiers non cultivés sont récoltés pour leurs graines d'abricot amer. On dit que c'est un excellent moyen d'obtenir du phosphore, du potassium et du fer. C'est également l'un des meilleurs moyens d'obtenir de la vitamine B17. Les graines d'abricot amer sont dépourvues d'allergènes car elles ne sont pas des noix. La Russie utilise les graines d'abricot amer pour guérir le cancer depuis 1845, tandis que les États-Unis le font depuis les années 1920. L'abricot amer est également depuis longtemps utilisé en médecine chinoise pour traiter les problèmes respiratoires. Ces herbes peuvent traiter la stagnation des fluides, qui peut entraîner de la phlegme et d'autres symptômes tels que la toux et la respiration sifflante, ainsi que la phlegme, l'indigestion, l'hypertension et l'arthrite. Les noyaux d'abricot sont utilisés comme médicament dans l'industrie pharmaceutique car ils contiennent de l'amygdaline (un composé chimique naturellement présent dans les noyaux, les graines et les noyaux d'abricots, de pommes, de pêches, de prunes et de cerises rouges), qui a été utilisé pour prévenir des troubles tels que la migraine, la constipation, l'asthme et l'hypertension. Ils ont également été utilisés pour soigner les toux et améliorer les capacités cognitives. Cependant, en raison de leurs produits chimiques distinctifs, qui ont à la fois des effets puissants et des dangers graves pour la santé humaine, ces graines font l'objet de controverses quant à leur utilisation à des fins médicinales. Une toxine naturelle connue sous le nom de glycoside cyanogène, fréquemment présente dans les graines de fruits, est présente dans les graines d'abricot amer crues. 1. Avantages des Amandons d'Abricots Amers Vitamines et Minéraux Bien que les amandons d'abricots amers ne contiennent que de petites quantités de vitamines et de minéraux dans le noyau lui-même, l'huile qui en est extraite est particulièrement riche en vitamine E. Akhone et al. (2022) ont mis en évidence cette richesse en vitamine E, soulignant son potentiel pour diverses applications thérapeutiques, notamment en dermatologie où elle est valorisée pour ses propriétés antioxydantes et sa capacité à améliorer la santé de la peau et des cheveux. Sharma, Tilakratne et Gupta (2010) ont observé que 5 % du noyau est composé de fibres, un élément essentiel pour la santé digestive. Les fibres aident à réguler le transit intestinal et peuvent contribuer à la prévention de maladies chroniques telles que le diabète de type 2 et les maladies cardiaques en aidant à modérer le niveau de glucose et de cholestérol dans le sang. En outre, la composition des noyaux d'abricot varie en fonction de la variété du fruit, incluant des variations… http://dlvr.it/T6psdz
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phd-msf · 1 year ago
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Tout savoir sur la diététique chinoise en la saison hiver
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taoenvie · 1 year ago
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Remplacer le laitage : Comment et par quoi ?
Le laitage et la diététique chinoise En Médecine Traditionnelle Chinoise, les produits laitiers (ainsi que les aliments froids, les aliments crus, gras, un excès de produits sucrés, l’alcool, les aliments congelés) ont tendance à produire de l’humidité dans le corps. Cette humidité va souvent se transformer en mucosité. Pourquoi ? La rate transforme les aliments et prend les nutriments.…
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cliniqueacuosteo · 2 years ago
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Clinique Acu-Ostéo
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Nous sommes une équipe de professionnels de la médecine traditionnelle chinoise et nous sommes situés à Brossard. Acu-Ostéo mise sur l’acupuncture, l’ostéopathie, la massothérapie, les herbes chinoises et la diététique.
Website:clinique d'acupuncture à Brossard
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sesoignerautrement · 7 years ago
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Profitez de l'été selon la MTC
Profitez de l’été selon la MTC
Après le Printemps, il est venu le temps de vous présenter l’été selon la MTC. Les beaux jours n’arrivent-ils pas un peu tôt ??
Quand commence l’été…
L’été débute le 8 Mai et se termine vers la 8 Août. En effet, le solstice du 21 juin désigne le jour de la pleine expression de la saison. L’été se repartie donc avant et après cette date.
L’été est le moment de l’année le plus chaud, le plus…
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kachmedcom · 3 years ago
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La Médecine Chinoise Traditionnelle: Une Nouvelle Approche
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La médecine chinoise traditionnelle (MTC) est un système médical complet constitué de 5 branches :     ✔ les exercices énergétiques,     ✔ la diététique chinoise,     ✔ la pharmacopée chinoise,     ✔ la réflexologie     ✔ l’acupuncture.
Construite sur une observation fine de la nature, la médecine chinoise accorde une grande importance à l’influence des saisons sur l’individu. Chaque saison est associée à un état physiologique et corporel nécessitant une synchronisation de l’individu.
L’être humain est envisagé dans sa globalité. Chaque individu est considéré comme un microcosme à l’image du macrocosme. Tout l’art de la médecine chinoise est de prévenir tout déséquilibre énergétique en faisant circuler l’énergie dans l’organisme.
Perdre du poids et bien-être corporel avec la médecine Chinoise.
Les ateliers :
Ateliers qui vous feront découvrir une approche originale et élégante pour perdre vos kilos en trop de façon à vous sentir bien dans votre vie. Elle s’appuie sur l’expertise du Dr. Georget-Tessier en médecine du corps et de l’esprit, afin de vous aider à changer votre rapport à l’alimentation de façon à atteindre le poids de vos rêves.
En savoir plus:
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christian-dubuis-santini · 4 years ago
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COVID 19/84 par Michel Weber
Réservé aux non-idiots (piteux lecteurs, s’abstenir)
«Le monde est une mascarade : visage, costume et voix, tout est faux. Tous veulent paraître ce qu’ils ne sont pas, tous trompent et personne ne se connaît.» Goya, Los Caprichos, sixième eau-forte «Nadie se conoce», 1799
L’événement Covid-19 a déjà fait couler beaucoup d’encre. Tout et son contraire ont été affirmés, parfois par les mêmes personnes, et au même moment. Démêler l’écheveau nécessite donc de simplifier le récit. Il y a bien sûr un prix à payer pour ce faire ; il est double.
D’une part, il faut ignorer ce qui semble accessoire ; d’autre part, il importe de remettre l’événement dans son contexte historique, à la fois au sens perspectif (la crise culturelle qui remonte à 1968) et projectif (les conséquences politiques immédiates).
Pour l’essentiel, on trouvera ici une thèse �� la crise de la Covid-19 n’est pas sanitaire, mais politique, et aucune des mesures liberticides n’est fondée scientifiquement — soutenue par trois arguments :
1. La Covid-19 rend évidente la corruption complète du corps politique et de ses appendices médiatiques et scientifiques. Ils ont définitivement perdu toute légitimité et toute autorité.
2. Cette corruption reflète la crise du capitalisme financier, et la volonté des oligarques de détruire la démocratie représentative.
3. Le système politique qui se met en place est totalitaire, c’est-à-dire que toutes les facettes de la vie des citoyens seront pilotées par une structure idéologique mortifère ne différenciant plus les sphères privées et publiques. Ce totalitarisme sera fasciste et numérique.
Le grand récit qui nous est officiellement proposé est bien synthétisé par Wikipédia : la maladie à coronavirus 2019, ou Covid-19, est une pandémie d’une maladie infectieuse émergente provoquée par le coronavirus SARS-CoV-2. Elle apparaît le 17 novembre 2019 dans la ville de Wuhan, puis se propage dans le monde entier. Pour l’expliquer, on incrimine le pangolin et la barbarie diététique locale. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) prononce l’état d’urgence de santé publique internationale le 30 janvier 2020. Elle déclare l’épidémie de Covid-19 « pandémique » le 11 mars 2020, et demande des mesures exceptionnelles (l’état d’urgence sanitaire) pour prévenir la saturation des services de soins intensifs et renforcer l’hygiène préventive (suppression des contacts physiques, des attroupements et des manifestations, ainsi que des déplacements et voyages non indispensables, promotion du lavage des mains, mise en application de quarantaine, etc.).
Il faudrait prendre le temps de (re)définir ce que sont une épidémie, une pandémie, un virus émergent, les conditions d’une zoonose (de transmission d’un pathogène entre espèces), un virus augmenté (ou «Frankenvirus»), les «gains de fonction», les présupposés des modèles d’analyse de risque (à commencer par la distribution d’âge rectangulaire et stationnaire, et le mélange homogène de la population), etc. Et de rappeler qu’un virus ne peut jamais être à la fois très dangereux et très contagieux. Discussion compliquée par le fait que les experts peinent à argumenter entre eux et avec le grand public.
Par contre, on peut facilement constater la faillite complète de la gestion politique de la crise.
Il existe des variations par pays, mais — la Chine mise à part —, ce sont les similitudes qui sont frappantes. Il pourra suffire d’explorer ici les trois facettes annoncées : la corruption des corps politique, médiatique et scientifique ; la crise du capitalisme biocidaire ; et le totalitarisme fasciste numérique.
1. La corruption des corps politique, médiatique et scientifique
«Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n’ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir, et une avalanche de malheurs ou de maladies se succédant sans interruption dans une famille ne la fera pas douter de la bonté de son Dieu ou du talent de son médecin.» (Proust 1913)
La gestion politique ubuesque de l’épidémie peut se définir par cinq traits.
1.1. L’impréparation : le gouvernement a été complètement pris au dépourvu, alors que la réaction de la Chine, connue de tous dès janvier, avait été prompte et radicale. En bref : les autorités chinoises ont réagi comme s’il s’agissait d’une attaque bactériologique, pas d’une épidémie saisonnière (et personne n’a jusqu’ici apprécié toutes les implications de cette réaction). De plus, les scénarios de pandémie sont très répandus depuis une douzaine d’années, surtout après la crise de 2009 (H1N1), et ce tout spécialement chez les militaires et dans les fondations privées, grâce au zèle de B. Gates, qui en a fait son unique cheval de bataille philanthropique depuis 2007.
Cette impréparation est sans nul doute possible le résultat de cinquante ans de néolibéralisme.
Mais pas que.
1.2. L’incompétence des uns et l’expertise des autres : alors que la chose politique est abandonnée aux universitaires, ceux-ci ne sont que très rarement à la hauteur de la tâche qui leur est dévolue, et ils se contentent de travailler à la prolongation de leur mandat. Du reste, dans une technocratie qui ne dit pas son nom, on comprend la nécessité de s’en remettre aux experts, dont l’objectivité est proverbiale.
En fait, l’incompétence, c’est-à-dire l’absence d’expertise adéquate, ne devrait être aucunement problématique en politique : seul le sens commun devrait importer. S’il faut être un expert pour gouverner, nous ne sommes plus en démocratie (représentative), ou même en particratie (pas représentative), mais en technocratie. Le recours aux experts est donc intrinsèquement problématique. Il l’est d’autant plus qu’il suffit de connaître l’employeur de l’expert, ou son bailleur de fonds, pour déduire par avance la nature de ses conclusions.
1.3. La corruption : le niveau de corruption des acteurs politiques est un secret de polichinelle. On se permet même, dans notre monarchie bananière, de rire sous cape des malversations qui finissent par être médiatisées dans d’autres pays, de préférence situés plus au Sud. (Et cela vaut bien sûr pour le regard que la Flandre porte sur la Wallonie.)
On le sait depuis Platon (ce sont les Grecs qui ont créé la démocratie participative) et, plus particulièrement, depuis Machiavel (1532), le pouvoir est recherché par les corrompus en puissance, et exercé par des corrompus de fait. Du reste, répétons-le, les conclusions de
l’expert se trouvent en germe dans la source de financement de ses études.
1.4. La coercition en toute illégalité. L’imbroglio gouvernemental et institutionnel belge a donné naissance à un fort curieux proto-totalitarisme : un gouvernement en affaire courante s’est octroyé les pouvoirs spéciaux pour euthanasier le législatif, instrumentaliser le judiciaire, et instaurer un État d’urgence (sanitaire) qui ne dit pas son nom. Les mesures et règlements liberticides ne se comptent plus — à commencer par le confinement dans les maisons de repos, la généralisation du confinement à domicile, la distanciation «sociale», le port du masque, etc.
Avec ce cortège de mesures liberticides, illégitimes, inefficaces et illégales, on obtient, de fait, la fin de l’État de droit. Le bien public est devenu privé, c’est-à-dire source de profit. Et l’intimité de la sphère privée est exposée au regard (parfois à la vindicte) de tous.
1.5. La communication, et particulièrement sa composante absurde, constitue la vraie signature de cette crise, durant laquelle les responsables politiques ont épuisé toutes les formes pathologiques du langage.
Épinglons les suivantes :
— l’évitement : ignorer les objections, refuser le dialogue sous quelque forme que ce soit ;
— l’indignation : faire l’innocent, plaider la bonne foi, le dévouement au bien commun ;
— le mensonge pur et simple : le masque protège des virus et pas seulement des infections bactériennes ; le vaccin est efficace contre une maladie qui n’est pas immunisante ;
— la censure : refuser l’accès à une information ou à une conférence de presse ;
— la propagande : gonfler de vraies informations ;
— la désinformation : propager de fausses informations ;
— la sur-information : inonder d’informations (vraies, fausses, vraiment fausses, faussement vraies, etc.) ;
— l’usage de la contradiction : soutenir deux propositions contradictoires (le masque est inutile ; vous devez porter un masque) ;
— l’usage du paradoxe : utiliser des énoncés indécidables tels que : l’épidémie progresse sans empirer ; le monde d’après sera, et ne sera pas, différent ; seuls, ensemble ; soyez solidaires (dans la solitude) ; faites confiance aux responsables (!) ; informez-vous (dans les médias) ; vaccinons tout le monde pour contrôler la démographie ; imposons la monnaie digitale pour permettre aux pauvres d’épargner ; instaurons un gouvernement mondial démocratique ; ce que je vous dis est faux… Tout ceci ressort de l’effort pour rendre l’autre fou (Searles 1959).
En somme, la communication gouvernementale, servilement relayée par les médias et aiguillée (et endossée) par les experts en sciences médicales, a entretenu la peur et, surtout, l’angoisse. La peur est un sentiment naturel positif, car mobilisateur : face à une menace palpable, l’individu réagit par la fuite ou le combat. Au contraire, l’angoisse est paralysante : on pressent une menace invisible, sans savoir comment réagir… La communication absurde vise à stupéfier par l’angoisse, pas à perdre par la peur. Le dispositif est beaucoup plus efficace : la peur demande à être orientée afin qu’elle ne nuise pas au statu quo social ; l’angoisse paralyse les citoyens qui acceptent passivement tout ce qui leur est imposé.
La banqueroute politique signale en outre deux faillites supplémentaires : celle des médias et celle des experts scientifiques, et tout particulièrement des médecins. Les médias ont donné une ampleur inouïe à la communication absurde des politiques et des scientifiques. Il y a eu cooptation des uns par les autres. On peine à trouver un dissident dans la classe politique; il en existe peu dans le monde scientifique et, s’ils s’expriment dans les médias, c’est généralement de manière très pondérée ; rares sont les journalistes qui ont fait leur travail, Alexandre Penasse constituant une notable exception.
Tous se sont couverts d’ignominie en participant, activement ou passivement, à cette mascarade ; tous devraient se voir sévèrement sanctionner.
2. La crise du capitalisme biocidaire
«C’est le commencement qui est le pire, puis le milieu, puis la fin ; à la fin, c’est la fin qui est le pire.» (Beckett 1953)
En amont de cette sclérose politique, médiatique et scientifique, on trouve l’influence des mondes bancaire et pharmaceutique, qui sont mus par deux perspectives : d’une part, la maximisation de leur emprise sur la société (et donc de leur chiffre d’affaires) ; d’autre part, la gestion de la crise globale systémique annoncée clairement dès 1968, et dont la chronologie a été esquissée en 1972 par Meadows et Kukla (l’épuisement des ressources, le dérèglement climatique, et la progression de la pollution finiront par avoir raison de la société de consommation et de la démocratie représentative).
2.1. De ce point de vue, l’utilisation de la stratégie du choc, identifiée par Naomi Klein en 2007 — instrumentaliser une crise réelle ou ressentie, naturelle ou culturelle, afin de modifier profondément l’espace social, tandis que celui-ci est paralysé — s’impose comme une évidence si on veut anticiper le chaos. Que la crise soit réelle, ou simplement mise en scène, que son origine soit naturelle, ou le produit d’une machination, ne change finalement pas grand-chose au traumatisme et à la possibilité de son usage.
2.2. Par contre, il faut comprendre, une fois pour toutes, que les élus ne représentent pas le peuple, mais les oligarques et leurs multinationales. Le programme néolibéral est en effet très simple : dissoudre les États afin de privatiser toutes leurs fonctions. Tant qu’un gouvernement mondial (privatisé) n’est pas implémentable, on peut se contenter de transformer les États en coquilles vides. Ce programme ne constitue qu’une réappropriation du fascisme tel que Mussolini l’a défini, et mis en pratique, dès 1922-1925, à l’aide de la vision économique de Vilfredo Pareto : l’entreprise privée est, par définition, beaucoup plus efficace que l’État. Puis vinrent les politiques similaires des Nazis en 1934–1937, qui subirent une légère obsolescence de 1944 à 1972 (les « trente glorieuses »).
En fait, Hayek, le chantre du néolibéralisme, stipule très clairement, et ce dès 1944, la stratégie à adopter : seule une infiltration progressive des institutions civiles et politiques permettra la destruction de la menace communiste et de sa cinquième colonne. Vingt ans plus tard, le 30 septembre 1965, il arriva à ses fins avec le coup d’État de Suharto, qui coûta la vie à plus d’un million de communistes (certains parlent de 3 millions d’exécutions arbitraires), et permit une première mise en place du dispositif néolibéral. C’était en quelque sorte la répétition du renversement d’Allende par Pinochet, perpétré le 11 septembre 1973.
Le remplacement des gouvernements par des multinationales a été quantifié très tôt, e. a., par Stephen Hymer (1960) et David C. Korten (1995). Il est devenu évident avec la politique d’intégration européenne et, surtout, la multiplication des traités et autres partenariats transatlantiques de commerce et d’investissement (comme le «Transatlantic Trade and Investment Partnership»).
C’est du reste le fil rouge de la littérature «cyberpunk» dont le représentant le plus fameux est sans doute Ph. K. Dick (1955), qui a offert les scénarios de Blade Runner (1982), Total Recall (1990), Minority Report (2002), etc.
2.3. Tout se joue donc en 1968–1973 : le dévoilement des enjeux civilisationnels comme leur effacement, c’est-à-dire, d’une part, la prise de conscience de la crise globale qui ne pourrait être conjurée qu’en renonçant au capitalisme industriel et financier ; et, d’autre part, la reprise en main de l’agenda politique par ce dernier avec des figures telles que Suharto et Pinochet, puis M. Thatcher (1979), R. Reagan (1981) et Helmut Kohl (1982). (Il faudrait également mentionner le travail de sape de Pompidou, élu à la présidence française en 1969, et le bref espoir instillé par Sicco Mansholt à la Commission européenne en 1972–1973.)
3. Le totalitarisme fasciste numérique
«Si vous désirez une image de l’avenir, imaginez une botte piétinant un visage humain… éternellement.» (Orwell 1949)
En amont de la corruption complète du corps politique et de ses appendices médiatiques et scientifiques, nous avons trouvé la crise du capitalisme financier et la volonté des oligarques de remodeler en profondeur la démocratie (représentative) de marché. En aval, nous
découvrons, sans surprise, un nouveau totalitarisme fasciste, bien plus pernicieux que ses ancêtres du XXe siècle, car numérique.
3.1. «Totalitarisme» désigne le système politique qui prétend gérer toutes les dimensions de la vie citoyenne, publiques comme privées. Rien ne doit lui échapper, en droit comme en fait. Le «fascisme» est un totalitarisme de droite, c’est-à-dire conçu par, et pour, les oligarques.
3.2. L’histoire du totalitarisme fasciste est supposée connue ; elle se résume à la prise de pouvoir des oligarques industriels et financiers par l’intermédiaire d’un lampiste plus ou moins allumé (ce qui permet aux commanditaires de tirer leur épingle du jeu si l’affaire tourne mal).
À partir de 1921, la droite extrême progresse partout en Europe : en Italie (Mussolini accède au pouvoir en 1922), en France (avec la création en 1922 de la Synarchie, suivie plus tard par la Cagoule), en Allemagne (le Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei, en gestation depuis 1918, s’organise en 1920 ; Hitler écrit Mein Kampf en 1924 ; il est publié en 1925), Salazar assied sa dictature en 1932–1933, et Franco pilote la guerre civile déjà en 1934. De 1967 à 1974, il y aura aussi la dictature des colonels en Grèce. (Voir, par exemple, Lacroix-Riz 2006)
3.3. Nous sommes dans une configuration totalitaire depuis déjà de longues années, c’est-à-dire qu’un système, qu’une idéologie, prétend gérer tous les aspects de la vie : la technoscience constitue un tel système ; le capitalisme, renommé néolibéralisme, est un tel système ; la globalisation est un tel système ; l’État d’urgence permanent qui s’enracine dans la guerre contre la terreur datant de 2001 en est la dernière péripétie.
La vraie-fausse crise sanitaire de 2020 est le prétexte (au sens de N. Klein) utilisé pour dépouiller définitivement les peuples des acquis sociaux et politiques concédés après 1945. Elle touche donc différemment les pays selon qu’ils sont développés ou pas. Dans les pays riches, il s’agit de détruire les acquis sociaux et de mettre la population au pas ; dans les pays pauvres, c’est une logique néocoloniale qui est à l’œuvre. C’est ainsi, alors que l’épidémie saisonnière est finie, que des règlements (de plus en plus) absurdes prolongent la terreur sécuritaire.
3.4. Au nombre des outils pour comprendre les enjeux du totalitarisme numérique, on trouve les concepts de conformisme et d’atomisme, qui s’imposent dès les débuts de la révolution industrielle et de la démocratie représentative, et sont esquissés chez Saint-Simon (1803) et Tocqueville (1835).
L’ère thermo-industrielle est celle du machinisme, c’est-à-dire de la standardisation des produits et de l’organisation scientifique du travail. Alors que l’outil dépend de la morphologie humaine, la machine demande à l’ouvrier de s’adapter à son mécanisme. Le pouvoir de la machine est ainsi le pouvoir du conformisme : en amont, l’ouvrier doit être calibré, dompté, géré comme une ressource ; et, en aval, le consommateur doit accepter l’uniformisation de ses habitudes de vie, de ses goûts alimentaires, de ses vêtements, de ses idées, de ses désirs, etc. Les rendements d’échelle sont à la mesure des espérances de quelques-uns, et du désespoir de tous les autres.
Le conformisme se manifeste donc par l’infantilisation et l’indifférenciation des personnes, la dépolitisation des citoyens, et la standardisation des consommateurs, qui constituent autant de précieuses muselières pour paralyser les corps et amnésier les esprits.
D’autre part, l’atomisme constitue le fondement du libéralisme (Mandeville 1714, avant Smith 1776) ; il équivaut à briser toutes les solidarités, et à entretenir la guerre de tous contre tous, parfois appelée compétitivité.
En scellant l’alliance entre capitalisme et technoscience, la révolution industrielle établit les deux principes fondamentaux du capitalisme mondialisé, l’atomisation des individus sous prétexte de les libérer, et leur conformisation afin de machiner le meilleur des mondes possibles. En d’autres termes, les conditions de possibilité de la culture, qui sont celles de la vie authentique, sont deux fois niées. D’une part, le conformisme se substitue à l’individuation (à ne pas confondre avec l’individualisme) ; d’autre part, l’atomisme remplace la solidarité.
Or, sans solidarité, il est impossible de s’individuer, d’endosser son destin, de dépasser les contingences de sa naissance ; et, sans individuation, la solidarité reste lettre morte.
Cette double négation est toutefois rendue acceptable par une inversion spectaculaire (aussi au sens de Guy Debord) des pôles privé et public : on prend l’atomisme (c’est-à-dire l’absence de solidarité) pour de la liberté, et le conformisme (c’est-à-dire l’absence de projet personnel) pour de la solidarité (tout le monde désire la même chose). On obtient, en somme, la guerre des clones, de ceux qui montrent leurs derrières (calibrés) en public, et parlent de politique (néolibérale) en privé. Les conséquences sont radicales : infantilisation, déculturation, dépolitisation, dissociété, Terreur (1792, très précisément au moment où Sade écrit), c’est-à-dire la paralysie par l’angoisse.
3.5. Le passage au totalitarisme numérique peut se comprendre comme la transformation des sociétés disciplinaires (Foucault 1976) en sociétés du contrôle (Deleuze 1990).
L’ère thermo-industrielle est celle du machinisme et des institutions disciplinaires qui lui sont propres : famille, école, église, caserne, usine, hôpital, asile d’aliénés, prison, maison de repos. Tous (ou la plupart de) ces lieux d’enfermement physique (mais aussi mental) peuvent être
avantageusement remplacés par un dispositif plus souple de contrôle mental (mais aussi physique) : le numérique. La technologie — et tout particulièrement les dispositifs associés à la 5G — permet maintenant une surveillance panoptique totale : traçage de tout le trafic internet («big data»)
et des déplacements physiques (géolocalisation), disparition des transactions en liquide, assignation à résidence (télétravail, cyber-enseignement, achats en ligne, téléconsultations) etc.
Le totalitarisme numérique pousse encore plus loin la synergie entre conformisme et atomisme en remplaçant tout ce qui restait d’humain — et donc de corporel, d’immédiat, de qualitatif et d’aléatoire — dans le machinisme par le virtuel, le médiat, le quantitatif et l’algorithmiquement nécessaire. Il n’y a pas plus conforme que celui qui dépend entièrement du numérique pour vivre ; il n’y a pas plus atomisé non plus. Du reste, la psychose hygiéniste institue un nouveau puritanisme qui exige une vie sans contact. Après avoir disposé de la chair du monde, le technocapitalisme entend exploiter sans complexes la chair humaine (Weber 2017 & 2018).
4. En conclusion, il faut bien comprendre que la crise de la Covid-19 n’est pas sanitaire, mais politique, et qu’aucune des mesures liberticides n’est fondée scientifiquement. Par contre, elle met en évidence la corruption complète du corps politique et de ses factotums médiatiques et scientifiques, et, plus particulièrement, leurs allégeances envers les puissances de l’argent et leur projet totalitaire. La crise constitue à la fois le symptôme de la faillite de la démocratie représentative, et le prodrome du retour d’une gouvernance uniquement respectueuse des droits du capital. Plus encore qu’Orwell (1949), c’est Terry Gilliam (1985) qui vient à l’esprit de celui qui chercherait à contraster le cauchemar politique avec l’absurdité fictionnelle.
Ces évidences se retrouvent très précisément dans l’intervention d’A. Penasse (qui a fait, après tout, preuve d’une grande retenue), lui qui demandait, 15 avril 2020, «quelle légitimité démocratique il y a à prendre certaines décisions quand la plupart des membres qui décident et réfléchissent font partie des multinationales et du monde de la finance ?»
Le capitalisme est kleptocrate et totalitaire par essence. L’évolution qui se dessine dans la gestion de la crise Covid-19 dévoile la corruption de tous les acteurs médiatisés et laisse entrevoir ceux qui, jusqu’ici, restaient dans l’ombre. Si la population reste confinée dans la terreur, rien ne viendra s’opposer au régime le plus barbare de tous les temps. Si elle se réveille, non seulement le règne de l’angoisse sera révoqué, mais il ne sera plus possible d’agir par la force non plus (les «gardiens de l’ordre» sont toujours issus du peuple, et leur servilité n’est jamais acquise une fois pour toutes). La dernière option des oligarques sera alors, comme d’habitude, le génocide. Toutes les guerres du XXe siècle étaient d’abord des guerres menées par l’aristocratie et la haute bourgeoisie contre le bas peuple. Mais l’irruption d’une
vraie pandémie ne serait bien sûr pas à exclure…
Reste la question de savoir pourquoi les citoyens acceptent de se faire maltraiter par les «responsables politiques». Pourquoi acceptent-ils de subir un pouvoir pervers ? La réponse se trouve dans l’analyse de la relation que le prédateur impose à sa proie. Précisons en deux
mots les modalités qui ont été identifiées dans le cadre de l’inceste, de la logique concentrationnaire, ou de ce qui a été appelé tardivement (1973) le syndrome de Stockholm.
Il existe un lien vital entre le prédateur et sa proie : c’est le prédateur qui nourrit la proie, c’est lui qui lui offre un récit pour cadrer son malheur, c’est encore lui qui, parfois, fait un geste qui semble bienveillant. La proie refuse donc instinctivement d’ouvrir les yeux sur le mécanisme prédateur. Ferenczi (1932) l’a bien compris : l’enfant traumatisé, physiquement et psychiquement plus faible, se trouvant sans défense, n’a d’autre recours que de s’identifier à l’agresseur, de se soumettre à ses attentes ou à ses lubies, voire de les prévenir, et finalement y trouver même une certaine satisfaction. Aimer son bourreau, dont on dépend physiquement, symboliquement, et affectivement, devient une condition de survie, mais aussi un piège psychotique.
Dans le cas qui nous occupe : comme cette servitude volontaire offre les avantages que l’on peut se payer, et les espoirs que l’on veut bien conserver, la plupart des citoyens croient pouvoir continuer, après le «confinement», à confondre rêve et réalité. Il leur faudra plutôt
choisir entre rêve et cauchemar.
À chacun sa conclusion, la mienne est empruntée à Gramsci: je suis pessimiste avec l’intelligence, mais optimiste par la volonté. Pessimiste, car, dans le cas qui nous occupe, on assiste simplement à une accélération de la tendance totalitaire d’une société technocratique dans le cadre d’une crise globale systémique identifiée dès 1968. Si on se demande dans quelle direction ce mouvement va se faire, il suffit de questionner le pilote : le bref interlude soviétique mis à part, la technique a toujours été pilotée par les capitalistes (la «grande bourgeoisie»). Historiquement, un totalitarisme capitaliste s’appelle fasciste ou, mieux, nazi. (Hitler n’était pas Mussolini.) Optimiste, car, comme l’écrivait V. Hugo avant Che Guevara : «Rien n’est plus imminent que l’impossible» (1862).
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dandanjean · 5 years ago
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Diététique chinoise La diététique chinoise est davantage un art de vivre qu’un régime alimentaire. Elle respecte la nature froide (Yin) et chaude (Yang) des aliments et elle prend en considération les cinq éléments, les cinq saveurs et les cinq vertus.
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lemaupertus · 1 year ago
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Le recours aux médecines douces en France est en hausse
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De plus en plus de Français optent pour des thérapies complémentaires, particulièrement dans la gestion de la douleur. Des études statistiques montrent une augmentation significative de l’utilisation des médecines alternatives et complémentaires, désignées sous le terme de Médecine douce. La médecine douce, qui englobe des pratique complémentaires ou parallèles à la médecine conventionnelle, gagne du terrain dans l’hexagone. Selon un sondage d’Harris Interactive pour Santéclair, 71% des Français déclarent ainsi avoir déjà essayé une pratique alternative. L’Ordre des médecins français parle de médecines alternatives et complémentaires (MAC). Les chiffres de la médecine douce en France • 86% des Français ont une bonne image de la médecine douce, 24%, une très bonne image • 80% des Français ont une opinion favorable sur l’ostéopathie (49% l’ont déjà testée), 73% sur la diététique, 72% sur l’homéopathie (33% l’ont déjà essayée) et 72% sur l’acupuncture (28% l’ont déjà testée) • 87% des Français considèrent que les médecines douces sont utiles en complément de la médecine traditionnelle. • 91% des Français estiment que la médecine douce est efficace pour lutter contre les petits maux. • 86% des Français estiment que les pratiques de médecine douce sont amenées à se développer. • 51% des Français estiment que les prestations de médecine douce devraient être remboursées par la Sécurité sociale et 31% par les mutuelles. Car malgré cet engouement, elle n’est toujours pas remboursée par l’Assurance Maladie. Il convient donc de se tourner vers les complémentaires santé pour obtenir une meilleure prise en charge de ses dépenses. Qu’est-ce que la médecine douce ? L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recense quelque 400 médecines douces dans le monde. Sont regroupées sous ce vocable les pratiques ancestrales connues et relativement répandues, comme la médecine traditionnelle chinoise et l’acupuncture, mais aussi des pratiques modernes et d’autres moins connues, comme la médecine ayurvédique ou encore le reiki. L’Ordre des médecins français classe les médecines alternatives et complémentaires (MAC) en quatre catégories : • Les thérapies manuelles (réflexologie, par exemple) • Les thérapies biologiques (phytothérapie, aromathérapie…) • Les thérapies corps-esprit (hypnose, sophrologie…) • Les systèmes complets (naturopathie, homéopathie…) Paradoxalement, malgré le fait que la médecine conventionnelle ne reconnaît pas la médecine douce, il n’est pas rare que les praticiens de santé en médecine allopathique recommandent aux patients de se tourner vers des alternatives pour soigner les troubles d’anxiété, les insomnies, le stress, ou pour aider à mieux supporter les effets secondaires causés par les moyens thérapeutiques comme la chimiothérapie. Parmi ces médecines douces, le yoga et la méditation connaissent également un engouement croissant. En France, le nombre de pratiquants de yoga a été multiplié par plus de trois au cours de la dernière décennie. Aujourd’hui, en 2023, on compte 10,7 millions de pratiquants de yoga, ce qui représente un cinquième de la population, contre seulement 3 millions en 2010. Cette hausse significative, en moins de quinze ans, se révèle d’autant plus intéressante lorsqu’on constate que 75% de ces derniers pratiquent le yoga régulièrement, soit 7,9 millions de personnes, pour à peine 1,6 million en 2010. Face au stress, il y a un intérêt croissant des Français pour la méditation de pleine conscience, qui est plébiscitée. 43% de Français ont essayé de réduire leur stress par la méditation, 25% ont pratiqué ou pratiquent la méditation en ce moment, 69% des actifs sont prêts à suivre des cours de méditation dans leur entreprise et autant de l’intégrer dans les écoles. Le problème de la douleur Selon une étude publiée récemment, de plus en plus de personnes souffrant de douleurs chroniques se tournent vers les médecines douces, tout en omettant souvent d’en discuter avec leur médecin. Les chercheurs de l’Université de Portland, aux États-Unis, viennent de publier une étude concernant l’utilisation des médecines douces par les patients souffrant de douleurs chroniques. Celle-ci indique que, sur 6068 personnes interrogées, 32% ont recours à l’acupuncture, 47% à la chiropraxie et 21% pratiquent les deux à la fois. En parallèle, l’utilisation des médecines douces n’empêche pas, pour autant, ces patients d’être suivis par des médecins conventionnels. Les douleurs chroniques étant en augmentation, la consommation d’antalgiques – dont les opïoides – est également en hausse. En France, au moins 12 millions de personnes souffrent de douleurs chroniques. Dans un communiqué de presse mis en ligne en 2022, la Haute Autorité de Sante, (HAS),  publie les premières recommandations détaillées sur la prescription et la consommation d’opioïdes dans chacune des indications où ils sont utiles pour soulager la douleur. L’ANSM, (agence nationale de sécurité du médicament) à publié en 2020 un état des lieux de la consommation en France indiquant que, d’après les données de l’assurance maladie, près de 10 millions de français ont eu une prescription d’antalgique opioïde en 2015. En 2017, l’antalgique opioïde le plus consommé en France est le tramadol, puis la codéine en association, et la poudre d’opium associée au paracétamol; entre 2006 et 2017, la prescription d’opioïdes forts a augmenté d’environ 150%. L’augmentation de la consommation se reflète dans celle de la vente de boîtes d’antalgiques, dont l’ANSM a procédé à un recueil en France, couplé avec une analyse comparative européenne, riche d’enseignements, publié sur le site de Vidal actualités. Les antalgiques non opiacés sont davantage utilisés depuis 10 ans, principalement en raison de l’augmentation de la consommation de paracétamol.Les auteurs constatent une augmentation de 29% en 10 ans de l’utilisation des antalgiques non opiacés, avec en particulier une augmentation de 53% du nombre de doses journalières de paracétamol. Cette augmentation concerne aussi les enfants (forme pédiatrique du paracétamol : + 39% en 10 ans, alors que l’aspirine pour enfants a baissé de 57 % et l’ibuprofène de 10 %). Bien que les antalgiques puissent offrir un soulagement temporaire, ils comportent leurs propres dangers, notamment des effets secondaires indésirables et le risque de dépendance et d’overdose, en France 80% des décès par surdose sont dus aux opioïdes. Le nombre de décès lié à la consommation de ce type de médicaments a augmenté de 146 % entre 2000 et 2015. Avec un total estimé entre 200 et 800 décès chaque année, les opioïdes (tramadol, morphine et codéine notamment) constituent la première cause de décès par overdose. De nombreuses thérapies complémentaires recherchent et traitent les causes profondes de la maladie – plutôt que d’en traiter les symptômes – en travaillant avec le corps et en exploitant ses capacités innées de guérison. Bien que de nombreux facteurs entrent en jeu, c’est peut-être l’une des raisons pour lesquelles les gens choisissent de plus en plus ces thérapies, car ils s’éloignent des médicaments et se tournent vers la possibilité de guérir les causes sous-jacentes de leur douleur et d’autres problèmes de santé. À la recherche de soins complémentaires Les statistiques sont une chose, mais à quoi ressemble réellement le traitement de la douleur pour les personnes qui cherchent à la soulager ? James Morrow est massothérapeute dans une clinique du centre de la Floride. Lorsqu’on lui demande combien de personnes viennent le voir pour des problèmes de douleur, il répond à Epoch Times : « Je dirais que 25% de ma clientèle vient pour un traitement de la douleur – la plupart viennent et réalisent que la massothérapie est un également outil efficace pour la santé en général ». « Sur ces 25%, tous prennent des médicaments contre la douleur », a-t-il ajouté. James Morrow a également noté que 90% de ses clients utilisent des thérapies en plus du massage pour leurs soins, notamment l’acupuncture, la chiropraxie et les saunas. Il a expliqué qu’il recommandait plusieurs autres options à ses clients, notamment les jacuzzis, la mise à la terre, la thérapie par la glace ou la chaleur, et le yoga pendant 30 minutes à une heure une fois par semaine, en précisant que « ce sont toutes des options holistiques qui peuvent être peu coûteuses ». L’augmentation de l’utilisation des thérapies complémentaires pour gérer la douleur suggère que les gens explorent ces options comme alternatives aux médicaments et aux procédures plus invasives, comme la chirurgie. 7 approches complémentaires de la santé Pour ceux qui ne connaissent pas ces thérapies, voici une brève description de certaines d’entre elles, ainsi que quelques-unes des affections courantes qu’elles traitent. 1. La massothérapie La massothérapie consiste à manipuler les tissus mous du corps, notamment les muscles, les tendons et les ligaments. Il existe une grande variété de techniques et le massothérapeute peut utiliser ses mains, ses avant-bras, ses coudes, ses genoux ou un appareil pour exercer une pression sur certaines zones du corps afin d’obtenir une sensation de détente et de bien-être. Des huiles ou des crèmes peuvent être utilisées pour renforcer les effets du massage, ainsi que des huiles médicamenteuses qui soulagent des maux spécifiques, comme la douleur. La massothérapie est connue pour sa capacité à détendre le corps et à soulager les blessures, les muscles tendus, raides et douloureux, ainsi que la douleur. Elle est également utilisée pour traiter les problèmes émotionnels et du mental tels que le stress, l’anxiété et la dépression, car tout en relaxant le corps, elle aide à calmer l’esprit. 2. La méditation La méditation trouve son origine dans l’Inde ancienne et est décrite dans les Vedas, des textes religieux dont la rédaction remonterait à environ 1500-1200 av. J.-C. La méditation est souvent définie comme « le processus simple et sans effort qui consiste à se connecter au silence et à la paix intérieurs ». Pendant la méditation, nous dirigeons notre attention vers l’intérieur plutôt que de nous engager dans le monde extérieur de l’activité. Nous nous connectons à un niveau plus profond de nous-mêmes, au calme intérieur, et nous commençons progressivement à vivre à partir d’un lieu de stabilité et de paix intérieure ». Il existe de nombreux types de méditation, de la méditation transcendantale à la méditation de pleine conscience en passant par la méditation vipassana. La méditation est souvent utilisée pour réduire le stress et l’anxiété, améliorer le sommeil, renforcer la mémoire, la concentration, et cultiver la conscience de soi. 3. Le yoga Le yoga est une ancienne pratique indienne qui comporte des aspects physiques, mentaux et spirituels. Il implique souvent différents mouvements ou postures qui sont pratiqués en se concentrant sur la respiration afin d’atteindre la santé et le bien-être. Le yoga est pratiqué en Inde depuis des milliers d’années et il existe de nombreux styles différents. Au cours du siècle dernier, le yoga a gagné en popularité en Occident, devenant une pratique courante pour ceux qui cherchent à rester en forme, à améliorer leur souplesse et leur force, et à atteindre le calme intérieur et la concentration. 4. l’Acupuncture L’acupuncture consiste à insérer de très fines aiguilles stériles dans la peau en des points précis du corps afin de normaliser les processus de l’organisme et de stimuler la guérison. Selon la médecine chinoise, le Qi, ou énergie vitale innée du corps, doit circuler librement dans tout le corps pour que la santé soit préservée, et l’une des raisons pour lesquelles la maladie se développe est un blocage dans la circulation de cette énergie vitale. L’acupuncture est l’une des modalités de la médecine chinoise, en plus de la phytothérapie chinoise et du Tui Na (massage médical chinois), et elle est pratiquée depuis plus de 4 000 ans. De nombreuses études ont montré qu’il s’agit d’un traitement efficace pour une grande variété de maux, y compris la douleur. 5. La naturopathie « La naturopathie est un système de soins de santé qui s’appuie sur une longue histoire de philosophies et de pratiques traditionnelles, sur des praticiens ayant reçu une formation médicale et sur un large éventail d’options de traitement naturel au service des patients », selon la Fédération mondiale de naturopathie . (World Naturopathic Federation). Les naturopathes ont une approche holistique et traitent la personne, plutôt que la maladie ou les symptômes, et ils peuvent traiter les affections aiguës et chroniques. On peut consulter un naturopathe pour toutes les raisons qui peuvent amener à consulter un médecin conventionnel. 6. Soins chiropratiques La chiropratique est « une profession de santé qui s’intéresse au diagnostic, au traitement, et à la prévention des troubles mécaniques du système musculo-squelettique, ainsi qu’aux effets de ces troubles sur le fonctionnement du système nerveux et sur la santé en général. L’accent est mis sur les traitements manuels, notamment l’ajustement de la colonne vertébrale et d’autres manipulations des articulations et des tissus mous », selon la Fédération mondiale de chiropraxie. Les chiropraticiens traitent le système musculo-squelettique en manipulant les muscles, les os et les articulations, en particulier ceux de la colonne vertébrale. Les raisons les plus courantes de consulter un chiropraticien sont une mobilité limitée des articulations, des blessures physiques, des problèmes de posture ou d’alignement de la colonne vertébrale, et des douleurs musculaires, osseuses ou articulaires (comme des douleurs au genou ou au bas du dos). 7. Imagerie guidée et relaxation musculaire progressive Selon un article paru dans Positive Psychology, « l’imagerie guidée, ou visualisation et imagerie mentale, est ancrée dans la pratique de la visualisation multisensorielle, qui consiste à guider un client dans un voyage imaginaire, les yeux fermés, après de brefs exercices de respiration pour induire la relaxation. Elle peut inspirer et induire une transformation intérieure pour conduire au changement de comportement souhaité dans des domaines tels que la guérison des addictions, la psychologie du sport et la gestion du stress ». Le même article indique que des recherches ont montré que l’imagerie guidée était bénéfique pour le stress, l’anxiété, la dépression, le deuil, la gestion de la douleur (y compris la douleur chronique) et pour favoriser la guérison pendant un traitement contre le cancer. Selon l’American Psychological Association, la relaxation musculaire progressive est « une technique dans laquelle l’individu est entraîné à détendre l’ensemble de son corps en prenant conscience des tensions dans les différents groupes musculaires et en détendant un groupe musculaire à la fois. Dans certains cas, l’individu contracte consciemment des muscles ou des groupes de muscles spécifiques, puis relâche la tension pour parvenir à une relaxation de l’ensemble du corps ». La principale condition traitée par la relaxation musculaire progressive est la tension musculaire due au stress et à l’anxiété. Pourquoi cet essor ? Alors, pourquoi y a-t-il eu une telle augmentation de l’utilisation de ces approches de santé complémentaires ? Au cours des deux dernières décennies, il y a eu davantage d’études de haute qualité démontrant l’efficacité de nombreuses thérapies complémentaires qui ont été évaluées. Ces médecines complémentaires font une percée parce qu’on ne leur connait pas d’effets secondaires, à l’inverse des médicaments classiques dont certains ont déjà fait scandale (affaire du Mediator par exemple). Egalement, comme déjà évoqué plus haut, les médecines alternatives reposent sur des techniques ou des médicaments naturels qui rassurent et apaisent. Elles ne sont pas invasives ou douloureuses comme la radio et la chirurgie. Par ailleurs, les médecines complémentaires sont extrêmement utiles dans le traitement des maux ou douleurs basiques, comme des rhumes, des courbatures ou des maux de tête. Elles peuvent en outre soigner des problèmes plus profonds, tels que la difficulté d’endormissement, de concentration, les soucis digestifs. La recherche d’alternatives aux médicaments contre la douleur peut également être un facteur. Un autre facteur pourrait être la sensibilisation accrue du public à un nombre croissant de thérapies complémentaires pour les affections courantes – dont la douleur – car elles peuvent offrir une approche naturelle et aider à éviter des options plus radicales, comme la chirurgie. Selon James Morrow, les clients qu’il reçoit pour des douleurs cherchent en effet des alternatives à des mesures plus invasives. « Tous mes clients qui viennent pour le traitement de la douleur cherchent des alternatives à la chirurgie – les risques et les pensées de la chirurgie sont écrasants. Cela dit, certains ont été opérés et vont mieux, mais ils viennent quand même pour un traitement. D’autres ont eu des résultats moins bons et viennent chercher un soulagement, même temporaire. Réflexions finales Les raisons exactes de l’augmentation de l’utilisation des approches de santé complémentaires pourraient faire l’objet d’études plus approfondies, néanmoins le fait que les gens utilisent davantage ces types de thérapies montre clairement que les consommateurs disposent d’un nombre croissant d’options pour prendre soin de leur santé, et qu’ils les utilisent. Cet Article est apparu d'abord sur https://www.epochtimes.fr/le-recours-aux-medecines-douces-en-france-est-en-hausse-2548257.html Lire ici la suite de l'Article Original Read the full article
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omagazineparis · 8 months ago
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La naturopathie, médecine naturelle et efficace
« Naturopathie » vient du latin natura et du grec pathos ce qui signifie étudier et supprimer le mal à l’aide des moyens que nous offre la nature. S’il fallait définir la différence entre un naturopathe et un médecin, je dirais que le premier est un spécialiste de la santé alors que le second, celui de la maladie. Vous allez comprendre que la santé et le bonheur qui en découle, ne sont pas seulement le privilège de quelques personnes, mais celui de la majorité des êtres que nous sommes, et qu’en plus, ils sont naturellement à votre portée. Personne n’ignore qu’Hippocrate, le père de la médecine aurait dit au malade, il y a plus de deux mille ans : « que l’aliment soit ton seul remède ! » et demandé au médecin de le guérir sans nuire ! C'est sans doute cela la naturopathie. Qu’est ce que la naturopathie? Cette discipline a plus de 2000 ans. Elle vise à stimuler les mécanismes naturels d’auto-guérison du corps. La naturopathie est une médecine non conventionnelle qui vise à stimuler les mécanismes naturels d’auto-guérison du corps. Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), la naturopathie est la troisième médecine traditionnelle du monde après les médecines chinoise et ayurvédique. C’est à la fois une philosophie, un art et une science. Elle permet d’apporter à chacun d’entre nous le plus haut degré de santé possible au moyen de techniques naturelles. La naturopathie en France connaît de plus en plus d’adeptes. Aujourd’hui, elle est pratiquée par près de 3 000 naturopathes dans l’Hexagone. On vous dit tout sur ce qu’il faut savoir avant de vous lancer dans cette nouvelle façon de s’occuper de votre santé grâce à cette formation que vous pouvez faire sans le BAC. À cet effet, voici un dossier complet de qualité qui vous offrira assez d’informations sur la manière dont vous pouvez démarrer cette activité. Croyez-vous au potentiel naturel du système corporel à venir à bout de tout dysfonctionnement ?, La naturopathie est en pleine expansion et commence progressivement à s’imposer dans le secteur des médecines alternatives. Afin d’exercer cette profession, vous disposez de plusieurs options offertes par diverses écoles à travers le monde, notamment des cours en e-learning de qualité qui vous permettront de développer de solides compétences et connaissances dans ce domaine. Les 10 techniques naturopathiques Hygiène alimentaire : Diététique, nutrition, cures saisonnières Techniques psychologiques et émotionnelles : relaxation, gestion du stress, hygiène relationnelle, relation d'aide, formes brèves de psychothérapie (sophrologie), etc. Vous trouverez également une section du site Web avec des activités physiques faciles à suivre. L'hydrologie : utilisation de l'eau chaude, froide, tiède, alternée, … locale, générale, … interne, externe, … douches, bains, thalassothérapie et thermalisme, argiles, … Les techniques manuelles : chirologie, différents massages,   drainage lymphatique, Amma, onctions aromatiques … Réflexologie : méthodes plantaire, palmaire, auriculaire et endonasale ; Shiatsu Knap et Jarricot. Les techniques respiratoires : empruntées au yoga, aux arts martiaux … ; cohérence cardiaque, méthodes de Plent, Bol d’air Jacquier, ionisations… Les Phyto-Aroma-Gemmo thérapies :  Utilisation des plantes sous différentes galéniques (huiles essentielles, bourgeons, plantes sèches ou fraîches ...) Les techniques énergétiques : manuelles (magnétisme) ou nécessitant l'usage d'aimants (magnétothérapie) ou de machines (champs magnétiques pulsés...) Les techniques vibratoires : utilisation des rayonnements lumineux (couleurs, rayonnements solaires, infrarouge) ou utilisation des sons, de la musique, des mantras, bols tibétain La naturopathie s’occupe de la promotion de la santé La naturopathie se concentre sur la promotion de la santé et la compréhension du fait que le corps a une capacité innée à se guérir. En identifiant et en supprimant les obstacles à la guérison, le corps est capable de guérir et de progresser vers une santé optimale. Le but de la pratique en naturopathie est de traiter les troubles sous-jacents et de restaurer les fonctions normales du corps en améliorant les capacités de guérison de celui-ci. Prévention des maladies La prévention des maladies et la prévention de la progression des maladies sont des principes inhérents à la médecine naturopathique. Les docteurs en naturopathie travaillent avec les patients pour identifier les causes profondes de la maladie et pour traiter tous les facteurs qui affectent la santé du patient. Conditions et maladies traitées Les docteurs en naturopathie sont des praticiens des soins de santé primaires. Ils sont formés pour traiter pratiquement tous les problèmes de santé, qu'ils soient aigus ou chroniques, pédiatriques, gériatriques, physiques ou psychologiques. Les docteurs en naturopathie travaillent avec trois groupes principaux de personnes: - patients qui recherchent la prévention des maladies et la promotion de la santé - les patients avec une gamme de problèmes de santé et aucun diagnostic clair - patients atteints de maladies chroniques et graves Traitement individualisé Les traitements naturopathiques sont hautement individualisés. Chaque patient a une histoire, une histoire, une génétique, des habitudes alimentaires, un mode de vie et des problèmes de santé associés uniques. Un docteur en naturopathie travaillera à déterminer la ou les causes sous-jacentes et à créer un plan de traitement individualisé pour stimuler la capacité de guérison innée de la personne. Les patients participent également à leur programme de santé et apprennent à prendre des décisions efficaces, informées et relatives aux soins personnels, susceptibles de prévenir des problèmes de santé futurs. Comment se déroule une consultation chez un naturopathe ? Travailler avec la médecine conventionnelle Les docteurs en naturopathie peuvent travailler avec des médecins conventionnels et travaillent effectivement avec eux. Les DS sont formés pour diriger les patients vers d'autres professionnels de la santé, le cas échéant. La plupart des docteurs en naturopathie consultent beaucoup d'autres professionnels de la santé. Traitement sûr et efficace Le but de la pratique en naturopathie est de traiter les troubles sous-jacents et de restaurer les fonctions normales du corps en améliorant les capacités de guérison de celui-ci. Par conséquent, les docteurs en naturopathie doivent concentrer leurs efforts sur la compréhension des besoins uniques de chaque patient. En conséquence, les traitements naturopathiques sont hautement individualisés. Les patients participent à leurs programmes de traitement et apprennent à prendre des décisions efficaces et éclairées en matière de soins personnels, susceptibles de prévenir de futurs problèmes de santé. Le diagnostic et la thérapeutique naturopathiques sont étayés par des recherches scientifiques issues de revues à comité de lecture de nombreuses disciplines, notamment la naturopathie, la médecine conventionnelle, la médecine complémentaire européenne, la nutrition clinique, la phytothérapie, la pharmacognosie, l'homéopathie, la psychologie et la spiritualité. Les technologies de l’information et les nouveaux concepts relatifs aux résultats cliniques et à l’évaluation sont particulièrement bien adaptés pour évaluer l’efficacité des protocoles de traitement en naturopathie et sont utilisés dans la recherche, à la fois dans les écoles de médecine naturopathique et dans les bureaux des médecins naturopathes en exercice. La recherche clinique sur les thérapies naturelles est devenue un objectif de plus en plus important pour les docteurs en naturopathie. Rentabilité de la naturopathie La naturopathie peut contribuer à résoudre l’épidémie coûteuse de maladies chroniques. La rentabilité de la médecine naturopathique fait actuellement l'objet de recherches au Canada. Des recherches menées aux États-Unis sur le rapport coût-efficacité de la médecine naturopathique ont démontré les économies substantielles réalisées par les particuliers, les compagnies d'assurance et le système de santé en général. Comment se déroule une consultation chez un naturopathe ? D'un bilan vital qui permet de récupérer les informations nécessaires à l’établissement du bilan naturopathique. Celui-ci établit le degré de toxémie, de vitalité, le profil du consultant.  Différentes techniques ou outils peuvent être utilisés (Iridologie, Psychophysiologie, Morphologie, Biologie Nutritionnelle…) et sont complétées par une anamnèse détaillée.  D'un programme d’hygiène vitale qui se base sur le bilan vital et qui se construit, se valide et se négocie en accord avec la personne qui vient consulter. Il s'agit d'un programme d’hygiène de vie personnalisé. Read the full article
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mapatisserie-fr · 6 years ago
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Recette traditionnelle des boules de Berlin (Beignet)
Nouvelle recette sur mon blog de pâtisserie : https://mapatisserie.fr/recette/carnaval-et-mardi-gras/recette-traditionnelle-des-boules-de-berlin-beignet/
Recette traditionnelle des boules de Berlin (Beignet)
La recette traditionelle des boules de Berlin
Je parie que vous les connaissez ! Il s’agit des fameux beignets fourrés à la confiture que l’on peut trouver sur les places en été par exemple… En fait, leur vrai nom est Boule de Berlin !
J’ai testé cette recette, car Mardi gras approche et c’est l’occasion de se régaler avec les recettes de beignets de carnaval ! Certes, ce n’est pas très diététique, mais l’été est encore loin ;-).
Les boules de Berlin (aussi appelées berliner pfannkuchen) sont en fait une pâte à brioche cuite dans une huile chaude (en friture). Certains réalisent les boules de Berlin au four, mais le rendu n’est pas aussi bien. Je vous conseille donc vraiment de respecter la recette pour de belles boules de Berlin moelleuses.
Comme pour la pâte à brioche, la recette traditionnelle des boules de Berlin se réalisent avec levure fraîche, ce qui implique 8 étapes incontournables : mélanger tous les ingrédients, incorporer le beurre, pétrir à nouveau. Faire lever la pâte une première fois, faire dégonfler la pâte (la dégazer), former des boules, laisser pousser une seconde fois et cuire dans l’huile. Toutes ces étapes sont à respecter et à ne pas court-circuiter pour obtenir de beaux beignets en boule.
Ces beignets de Berlin peuvent être mangés nature, mais aussi garnis de confiture (framboise, abricots) , de compote de pommes, Nutella (…oui, je sais…), etc. Vous pouvez aussi réaliser des beignets en mettant de la crème pâtissière à l’intérieur.
Enfin, cette recette de bugnes facile peut être aussi réalisée au Thermomix avec la même méthode que lorsque vous réalisez les brioches.
  Note des internautes de cette recette traditionnelle boule de Berlin  : (Pas de vote) Loading...
Les ingrédients :
375 g de farine T45
140 g de lait entier froid
2 œufs froids
7 g de sel fin
23 g de sucre semoule
90 g de beurre doux mou
15 g de levure fraiche (de boulanger)
Le matériel :
Un robot pâtissier sur socle avec son crochet
Une friteuse ou une grande casserole
Une écumoire-araignée ou louche à égoutter
La quantité : environ 12 beignets boules de Berlin.
La durée : minimum 2h45 environ avec 2h de repos.
  Comment faire des boules de Berlin ? Voici la recette :
Pétrissage de la pâte Boules de Berlin
Mettre les ingrédients dans cet ordre de la cuve de votre robot muni du crochet : levure boulangère émiettée, œufs, lait, recouvrir de farine, sucre, sel et éventuellement quelques arômes comme les zestes de citron et de la fleur d’oranger.
Pétrir à basse vitesse 2 min puis passer le robot à vitesse moyenne et pétrir durant 13 – 15 min environ.
La pâte doit se détacher des parois, elle doit être assez élastique et tenir autour du crochet. Si la pâte a du mal à s’agglomérer, votre farine nécessite peut-être un peu plus de liquide, donc ajouter un peu de lait cuillère par cuillère. Au contraire, la pâte ne prend pas de corps (elle n’arrive pas à devenir une belle pâte élastique), rajouter un peu de farine.
Quand le pétrissage est terminée, stopper le robot, verser le beurre mou coupé en dès et remettre à pétrir jusqu’à dissolution du beurre, c’est-à-dire environ 5-10 min à vitesse moyenne, jusqu’à le beurre soit complètement incorporé. #gallery-5 margin: auto; #gallery-5 .gallery-item float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 33%; #gallery-5 img border: 2px solid #cfcfcf; #gallery-5 .gallery-caption margin-left: 0; /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Mettre les œufs froids, lait froid et levure au fond de la cuve
Recouvrir de farine, sucre et sel
Pétrir à basse vitesse pour mélanger les ingrédients
Puis pétrir à vitesse moyenne durant 15 min environ
Vous devriez obtenir une belle pâte élastique comme cela
Ajouter le beurre mou et pétrir à nouveau quelques minutes
Voilà le résultat, une belle pâte élastique, légèrement collante
Fariner légèrement, filmer et laisser pousser environ 1h
Suite de la recette une fois le pétrissage de la pâte terminé :
Verser la pâte sur un plan de travail, faire une boule de pâte à l’aide de mouvements circulaires avec vos mains. Filmer au contact et laisser reposer 1 h à 1 h 30 à température ambiante (en terme technique, c’est le pointage), ou si vous n’êtes pas pressé, une nuit complète au réfrigérateur (les arômes se développent mieux).
Après le repos, fariner légèrement votre plan de travail, déposer la pâte à beignet, former un long rouleau.
Découper en 12 parts environ (soit 60 g la part).
Pour chaque part de pâte, la bouler bien serrée : c’est un mouvement un peu technique qui consiste à faire tourner la boule coincée entre le creux de la main et votre plain de travail durant 20 sec environ.
Déposer chaque pâton boulé sur une plaque bien farinée, espacés de plusieurs centimètres car les boules vont doubler.
Fariner légèrement le dessus des boules de Berlin et les recouvrir d’un film étirable ou d’un tissu léger. Les mettre à pousser environ 1h dans un four tiède (pour ma part, j’allume juste la lampe du four pour arriver à cette température)
Quand les pâtons ont bien poussé, faire chauffer l’huile de votre friteuse à 170°C et y plonger délicatement quelques boules de Berlin.
Après 2 à 2 min 30, retourner les boules de Berlin à l’aide d’une écumoire et continuer la cuisson sur l’autre face autant de temps.
Sortir les boules de Berlin dorées et déposer sur du papier absorbant.
Rouler ensuite vos beignets dans du sucre et déguster une fois refroidis. #gallery-6 margin: auto; #gallery-6 .gallery-item float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 33%; #gallery-6 img border: 2px solid #cfcfcf; #gallery-6 .gallery-caption margin-left: 0; /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Une fois la première pousse terminée, découper la pâte en part de 60 g environ
Bouler chaque mini pâton
et les poser sur une plaque farinée
Saupoudrer légèrement de farine, les couvrir et faire pousser 1h à 26°C environ
Une fois la seconde pousse terminée, plonger délicatement dans une huile à 170°C
Laisser cuire 2min, 2min30 environ par face
A la fin de la cuisson, sortir et égoutter
Tremper un peu dans le sucre
Et laisser refroidir avant de déguster vos boules de berlin maison
Comment fourrer une boule de Berlin ?
Sur le côté du beignet, faire un tour avec un objet fin et long (par exemple : une baguette chinoise), personnellement, j’utilise une douille à garnir.
Mettre la confiture dans une poche à douille et fourrer délicatement le beignet. Comptez 25 à 35 g de confiture par beignet, soit 500 g pour 12 beignets environ.
Conseils :
Cette recette nécessite de la levure de boulanger que vous pouvez trouver un supermarché. Généralement, dans un recoin du frigo où les pâtisseries sont exposées.
La levure de boulanger apporte des boules de Berlin moelleuses et aérées ainsi qu’un goût incomparable, car la levure transforme une partie du sucre en gaz carbonique, mais aussi en saveurs caractéristiques.
Il est possible de réaliser cette recette avec de la levure déshydratée (~6 g au lieu de 15 g)
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phd-msf · 1 year ago
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Tout savoir sur la diététique chinoise en la saison hiver
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taoenvie · 3 years ago
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LE MASSAGE CHINOIS  "TUI NA"
LE MASSAGE CHINOIS “TUI NA”
Le massage Tui Na est un massage thérapeutique chinois. Tui signifie « pousser » et Na, « saisir ». Ce sont les 2 types de manipulations les plus couramment utilisées dans ce massage. Le massage Tui Na est, avec l’acupuncture, la diététique chinoise, la pharmacopée chinoise et les exercices énergétiques (Qi Gong et tai-chi), l’une des 5 branches de la Médecine traditionnelle chinoise (MTC). Il…
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sesoignerautrement · 6 years ago
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Il y a des repas qui méritent de mettre de côté tout les principes diététiques... 😊 Le repas de fête fait partie intégrante des principes de diététique en médecine chinoise 🥡😁 Nourrir l'esprit, nourrir le coeur, plutôt que le corps. Un repas où la joie prédomine. Loin des évictions, des restrictions ou des contraintes alimentaires complexes, la diététique chinoise propose des principes simples applicables par tous et respectueux des produits locaux. Tous les aliments sont acceptés, seules leurs proportions sont discutées. L'alimentation n'est pas une médecine‼️ Elle permet avant tout de prendre soin de soi au quotidien et dans le temps.🧖‍♀️🧖‍♂️ L'alimentation est la première pierre de mon bien-être. #sesoignerautrement #prendresoindesoi #createurdesante #dietetiquechinoise #repasdefete #raclette #raclettevintage #vintage #alimentationsaine #alimentationequilibree #jaimelaraclette #lhiverestla #grandfroid #lefromagecestlavie https://www.instagram.com/p/BsOiOgkAVZB/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=iio2jqdzagrq
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