#Daniel Haaksman

[teenagedirtstache]

[thewaysoundtravels]

(Rio Baile Funk Breaks (Digital Release) by DJ Sandrinho, DJ Bware, Daniel Haaksman)

"Put together by the transnational DJ cooperation of DJ Sandrinho (Brasil), DJ Beware (China) and Daniel Haaksman (Germany), "Rio Baile Funk Breaks" presents the best beats and elements, the most sampled voices, breaks and loops of the Rio baile funk era 1998-2008".

(Daniel Haaksman - Rio Baile Funk Favela Booty Beats (2004))

"When released, "Rio Baile Funk Favela Booty Beats" was the first compilation to introduce the mad beats from Rio´s hillside slums, the favelas, to a global audience. Baile Funk took the world by storm and the compilation received wide critical acclaim".

[norteenlinea]

Daniel Haaksman estrena nuevo single y video “Bruja ft. MALAGÜERA + Los Bulldozer”

http://dlvr.it/SjB1FL

[beardedhandstoadshark]

Made this ask short as to not post another giant list.

Came back to post another giant list.

Interpreted this as "vocals, if there are any, are either just short clips or aren’t the main focus like they usually are“ because otherwise there‘d be even more electronic stuff here than there already is. Also skipped stuff like soundtracks and instrumental covers for obvs reasons :§

Partly instrumental:

Icarus - they are not like you (Icarus motion mix)

Peggy Gou - Nabi (feat. OHHYUK) (idk if this even counts)

Porter Robinson ft. Amy Millan - Divinity

Jacob Tillberg - Broken

Madeon - pop culture (it’s a mashup of over 30smth songs done LIVE)

Taishi - Phant 2 (orchestral? Soundtrack? Atmospheric? Auditory Storytelling??)

Auvic- atone & bloom (feat. Caroline Kim) (it says glitch hop but sounds kinda different from the stuff that’s usually labeled this way?)

SOULSPLITTER - Glass Bridge (admittedly lyrics are here most of the time but they’re not the focus and this track just sounds too weird? Unique? Different? To not add it when the chance is there)

Artisan- Valiance (one of those tracks that‘re very good for imaginary epic stories)

Kubbi- Pathfinder

Stardust- music sounds better with you (basically one sentence that gets repeated like it’s a music instrument too. Very groovy)

Modjo- Lady (hear me tonight) (same thing but the sentence is longer)

No lyrics:

A collection of REALLY chill and relaxed tracks

Rob Gasser - Wildfire (it’s EDM which is apparently rather unpopular but ehh)

Virtual Riot - Paper Planes

Gusta‘v - Nightlife (Drum & Bass, as far as im aware)

Taishi- Reverie for another Sphere (again, idk what to call this but it’s fascinating)

Harito- Existence (an atmospheric one)

A collection of future bass tracks that‘re chill

Eric Prydz- Pjanoo (club, i think?)

Daniel Haaksman - Vem (not edm or atmospheric, woah!)

Animadrop- stuck in a timeloop

JNATHYN - Blue (the vibe completely changes at the halfway point which is pretty cool)

do you have any good songs recs that are all or partly instrumental?

Depends on the style you like! EDM, orchestral, chiptune, lofi, vaporvave, Metal, there‘s quite a lot! Or maybe you mean instrumental as in uses real instruments/is live? Got a few of those too I think!

Like for example Tadow by FKJ and Masego and Playing God by Polyphia are both very cool imo but sound very differently, so yea :]

[mhisadj]

Super Mama Djombo – Dissan Na M´bera (Suur Di No Pubis) (Daniel Haaksman Edit) 

Off of Black Atlantica Edits. Ridiculously cool collection of tracks, of which you can read about more here.

[masoupe]

- VOLUME 48 - I LOVE YOU I NEED YOU DON’T LEAVE ME DAZED AND TEMPTED IN MY HEAD TONIGHT

tracklist PIONAL - a new dawn SUPERPITCHER feat FANTASTIC TWINS - in my head RHYE - phoenix ( Little Dragon remix) DANIEL HAAKSMAN feat COCO MARIA & DENGUE DENGUE DENGUE - la Anoranza KALI UCHIS - killer GOLDILOX - I love you JONES - teardrop ERYKAH BADU & JAMES POYSER - tempted AMBER MARK - mixer TEKITAH & TORAE  - emotional CARTAE feat BENJIFLOW - I need you MARK RONSON feat YEBBA - don’t leave me lonely JELANI BLACKMAN - lockjaw ASAKURA - tekale SOFI TUKKER & ZHU - mi rumba MEN I TRUST feat GABRIELLE & GEOFFROY - dazed RYAN HEMSWORTH feat MARCO McKINNIS - this feeling HAELOS - kyoto CAMELPHAT + ELDERBROOK - cola ANNA WISE feat JON BAP - real thing

[shigatsumusic-blog]

(Daniel Haaksman)

[larryland]

REVIEW: "Anything Goes" at the Sharon Playhouse

REVIEW: “Anything Goes” at the Sharon Playhouse

[belenose]

(Daniel Haaksman)

[felixs-songsof2022]

Apr 9: E#otic Rain - Feadz and Daniel Haaksman

[remykolpakopoul]

Kanal RKK ► Lucas Santtana

Le dernier concert parisien auquel RKK assista ? Lucas Santtana ! Samedi 25 avril 2015 à La Maroquinerie ! Un musicien brésilien, du côté de Ménilmontant, par une nuit de printemps : scène de la vie (peu) ordinaire du ConneXionneur...

▲ Mariana de Moraes, Rémy Kolpa Kopoul & Lucas Santtana @ La Maroquinerie, Paris, 2015 / Photo © Laurent Lafont-Battesti

▲▼ Documents amateurs filmés par Candice Parola

Un an auparavant, Rémy Kolpa Kopoul avait brossé le portrait de Lucas Santtana à la demande du label indépendant Nø Førmat que l'artiste venait de rejoindre. ▼

Son précédent opus, « O Deus Que Devasta Mas Também Cura » avait dépassé « sa » planète Brasil et avait conquis nombre d’oreilles curieuses, en Europe. Voici le nouvel opus, « Sobre Noites E Dias », cette fois sur le label (hexagonal) Nø Førmat. Non pas son second, mais le sixième. Car Lucas Santtana est un homme aux mille vies (musicales et-pas-que…) et à 43 ans, il n’est vraiment reconnu au Brésil que depuis peu. Depuis que dans le reste du monde, on parle de lui comme la relève d’une musique Brésilienne dont les Caetano Veloso, Gilberto Gil, Chico Buarque, héros (pas fatigués) ont atteint un âge « respectable ».

Lucas Santtana, ce sont des cycles, ou plutôt des couleurs : son premier album était percussif, le second, baile funk, le troisième, dub, le quatrième orienté voix et guitare. C’est depuis le cinquième (qui l’a fait connaître en France), qu’il brasse toutes ces influences (et d’autres). « Sobre Noites E Dias », le nouveau, confirme cette confluence, une palette post tropicaliste, à la fois roots et urbaine. En somme, un disque au futur antérieur. Petit cousin d’Arto Lindsay, mais de l’autre hémisphère. Car là où Arto le New Yorkais s’est approprié le portugais du Brésil, Lucas apprivoise l’anglais, d’où un bilinguisme qui les sort tous deux des codes.

Comme depuis toujours, Lucas compose sa matière, seul ou (parfois) avec complicité de proches, de musiciens qui comme lui échappent aux ornières. Des textes souvent pétris de références féminines, où la poésie fraie avec l’absurde, comme cette « Mariazinha morena clara » : vous vous rendez compte, le soleil du Brésil ne vaut pas les crevettes de la Hollande de… van Persie ! On voit bien là la fibre familiale de son (vrai) oncle Tom Zé. Ses textes en anglais sont plus atmosphériques, comme s’il étirait nonchalamment le temps, à la façon d’un autre cousin des Amériques, Devendra Banhart.

Ses digressions foutraques dignes d’un Pierrot descendu de sa lune reçoivent un emballage, voire un canapé, qui vont du quatuor à cordes à la grosse basse dubstep, du trio hautbois / basson / clarinette aux guitares du fleuve Niger. Là, le gaillard, caméléon des six cordes, possède son sujet. Tout comme il maîtrise les machines, d’ailleurs organique et synthétique créent un paysage �� mille facettes.

Hors Brésil, ses compagnons de jeu sont autant de surprises, comme dans « Human Time » où Fanny Ardant vient pour un final onirique susurrer une équation d’amour, ou bien ce « Diary of a bike » où Féfé (oui, l’ex Saïan Supa Crew !), passé par Rio, a posé ses lyrics « cyclistes » avec un flow pétillant. Autre talent hors Brésil mis à contribution, Vincent Segal, magister de l’archet sur son violoncelle, grand gourmet du Brésil. Et encore le DJ et producteur allemand Daniel Haaksman.

Parmi les Brésiliens embarqués dans l’aventure, citons notamment ceux qu’on se dispute au Brésil, le fidèle Bruno Buarque (de Barbatuques à Céu), Kiko DiNucci et Thiago França, les trublions de Metá Metá, Une disparate association de bienfaiteurs, des artisans du son.

On avait quitté Lucas Santtana contant dans son album précédent sa rupture un jour d’orage de fin du monde. On le retrouve amoureux, à la fois taquin et apaisé, incitant les oreilles curieuses à batifoler. Pas étonnant qu’il soit dans la lignée des ses aînés, Baïanes comme lui, Caetano Veloso et Gilberto Gil (avec qui il a d’ailleurs commencé, il y a plus de quinze ans). Il s’est d’ores et déjà affranchi de ce glorieux mais pesant héritage. Mais, puisqu’on est à Salvador de Bahia, il s’attèle à un frevo rigolo comme on aime les reprendre au Carnaval.

A présent, c’est lui qui bâtit un héritage. Après tout, passé la quarantaine, on peut revendiquer d’être maître à bord, tout en s’affirmant comme une découverte. Il mérite sa place dans le bien nommé label Nø Førmat. Le premier Brésilien à faire partie de la famille. Bienvenue ! Seja bem vindo ! RKK

Depuis le départ de Rémy, la carrière de Lucas se poursuit; sa discographie s'enrichit d'enregistrements inédits et de rééditions choisies.

Toujours chez Nø Førmat, et dans la même veine, "Modo Avião" (2017) confirme le savoir-faire de son auteur-compositeur-interprète, à la recherche de sophistication sonore. Le suivant, "O Céu É Velho Há Muito Tempo" (2020) prend une autre direction. Épuré, tout en douceur, empreint de gravité mais résolument optimiste, ce superbe album privilégie la simplicité de la voix accompagnée par la guitare acoustique, dans le style de João Gilberto. Le plaisir qu'il procure méritant d'être prolongé, un EP intitulé "O Céu É Velho Há Muito Tempo (Variations)" paraît en 2021.

En duo avec la chanteuse de Recife Duda Beat, le single "Meu Primeiro Amor" raconte une histoire sentimentale au-delà des différences sociales.

"Ninguém Solta A Mão De Ninguém" appelle à la résistance et à la solidarité face aux discriminations exercées par le pouvoir en place.

Plus orienté vers le danceflor, "Eletro Ben Dodô (20 Anos)" célèbre l'anniversaire du premier LP de Lucas Santtana paru à l'orée du nouveau millénaire (Natasha Records) mais toujours très efficace.

"Mensagem De Amor", délicate reprise du groupe rock Os Paralamas Do Sucesso, contraste radicalement avec les autres morceaux du disque ainsi qu'avec sa version originale.

Remasterisé en 2021, le paradoxal "3 Sessions In A Greenhouse" (avec le groupe Seleção Natural, 2006, Mais Um Disco) - à la fois spontané et extrêmement produit - marque une étape décisive dans le parcours de Lucas Santtana : un accomplissement dub et tropicaliste.

La vidéo de "Lycra Limão" en illustre le processus créatif.

▼ Lucas Santtana ? Le revoilà ! Il vient passer l'été 2021 sur les scènes d'une France déconfinée et ensoleillée. Seja bem vindo ! LL

Lucas Santtana ► Wikipedia ● Facebook ● Twitter ● Instagram ● YouTube ● Bandcamp 1 ● Bandcamp 2 ● Apple Music ● Spotify ● Deezer ● Discogs ● All Music ● Tour Makers

[rob-art]

Victoria Santa Cruz - Me Gritaron Negra! (Daniel Haaksman Edit) [Teaser]

[anakronisma]

Tagged by @athenaefilia (thank you! ♡) to do this: shuffle and post your first ten songs!

1. Something On Your Mind - Karen Dalton

2. IV. Sweatpants - Childish Gambino

3. No Compromise, Daniel Haaksman remix - Weird Together

4. Homemade Dynamite - Lorde

5. Credit - Ariel Pink

6. Apex Blues - Sidney Bechet

7. Sleeping Alone - The Cactus Channel

8. Distracted - Blake Skowron

9. Mercy - Duffy

10. No. 1 Party Anthem - Arctic Monkeys

Folksy sadness, lovely blues, and always something to move like lightning to, yes I think so. (not usually all at the same time like this though!!)

I will like to tag @flwrgvrl , @marwamarwa​, @nestheart​ @nuancesofnoir​ if you feel like it :-)

[skullcatin]

XIV.

(La añoranza - Daniel Haaksman ft. Coco María)

El paranormal grupo acordó darle la lista de ingredientes a Regina y ella sin miedo, los guió hacia el siguiente ingrediente más cercano.

—Solo un poco más muchachos, aquí encontraremos las raíces de Bugambilia— Le decía Regina al grupo mientras caminaban por un pasillo lleno de plantas y flores que crecían libremente, Joshua lucía confundido, así que decide alzar la voz.

— Viendo que yo tomaré la poción, ¿me podrían explicar al menos que es una Bugambilia?— Preguntó Joshua, Tanya le contesta sin despegar la vista del libro que Regina le prestó:

—¿En serio olvidaste lo que la abuela nos enseñó de plantas medicinales?— Decía Tanya mientras pasaba de hoja. —Las bugambilias son las flores que tenemos guardadas en el frasco de conservas.—

—¡Ah claro! Son esas flores de color fucsia que le regaló uno de los clientes a la abuela ¿Cierto?— Le dijo Joshua a su hermana de manera animada, recordando un par de cosas en el camino —Esas eran demasiadas flores, tomamos de ese té por semanas—

—Las bugambilias también son conocidas aquí por lo altos y frondosos que crecen sus árboles— Dijo Regina quién se paró en seco para señalarles lo que estaba delante de ellos —Por ejemplo, este que vive en el Acurgujero es un ÁRBOL muy sano.—

Frente al grupo se encontraba el jardín, lleno de tantas plantas que parecía una selva secreta y justo en el centro se encontraba el frondoso árbol de Bugambilias, Regina les habló con un tono susurrante mientras se acercaban al árbol.

—Debo advertirles que quizás Don Marcial se encuentre también aquí, así que tengan cuidado donde pi…¡AAAH!— Regina no pudo terminar de hablar, ya que un señor de complexión amplia, con largos y canosos cabellos se encontraba frente al grupo, era el mismo Don Marcial, el cual lucía bastante molesto, o quizás esa era su cara de siempre.

—Creí haberte dicho que no metieras a nadie aquí Regina...— Habló Don Marcial en un tono monótono mientras miraba molesto al Siniestro y a Eddie —...Sobre todo a tus criaturas paranormales.—