#Décapant
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lilias42 · 2 months ago
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18 : avec son méchant / antagoniste préféré (le vôtre ou le leur, s'ils en ont un)
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La rencontre entre Miklan et son ancêtre "Le Protecteur Sauvage", premier porteur de l'emblème de Gautier, Brave aveugle des animaux, Atta Gautier Loquax, également héros pacifique des srengs surnommé "Le Bavard".
NOM D'UNE AILE, C'EST FAIT ET FINIIIII !!!!
C'était un serpent de mer cette confrontation, je ne vous explique même pas ! ça doit être une de mes toutes premières histoires que j'avais vis à vis des Braves (faut dire, vu la haine de Miklan envers son frère, ça risque d'être encore pire avec le porteur original de leur emblème familiale) et j'ai dû tenter de l'écrire deux trois fois sous forme de texte / petit one-shot mais, ça n'allait jamais jusqu'au bout, j'écrivais juste la rencontre avec Loqux et je passais à autre chose mais cette fois, c'est FAIT et FINI ! En fait, fallait passer sous le format BD pour que ça passe mieux de la tête à l'écrit on dirait - -'
Miklan n'est pas mon méchant préféré, il est plus dans la catégorie de Randolph du méchant très méchant qui ne se brosse pas les dents qu'on adore exploser, supplément en plus de la violence gratuite explicite, violence envers gosse et tentative de fratricide qui est aussi un de mes personnage préféré, avec en plus Delagarde qui le complimente comme pas possible (et Nopes qui lui emboite le pas pour le laver plus blanc que blanc avec une des pires justifications aux mauvais comportements d'un fratricide et d'un père négligeant que j'ai jamais vu de ma vie mais ça, j'ai fait un billet entier pour expliquer pourquoi je déteste qu'on le recrute dans Nopes), ouais laissez moi l'exploser en bonne et due forme et qu'il n'en reste rien ! En forme humaine ou de monstre, il a juste pris l'apparence de son âme quand il se transforme de toute façon ! (avec Félix, Dimitri et Ingrid en première ligne pour le déglinguer après ce qu'il a fait à leur ami !). Mon méchant préféré, ce serait plutôt Cornélia : une méchante féminine intelligente, qui s'assume complètement sans "UwU elle a kro raison UwU j'aurais fait pareil à sa place UwU" qui est pourtant la spécialité de ce jeu avec Delagarde, Lonato et Miklan, qui est une vraie menace, que ce soit par sa capacité à foutre un bazar monstre, son influence ou sa technologie avec ses golems, et qui réussi son coup au début tout en tenant un front de guerre pendant 5 ans. ça, c'est de la méchante ! Plus de ça s'il vous plait IS !
Mais vu que pour l'instant, il y a quand même pas mal de Braves avec leurs descendants (Metaheta, Lamina, Paenitens...), même dans les billets qui sont sur la corde raide du retard (celui avec un autre style artistique ou des reliques) ou carrément annulés pour faute de temps (j'aurais bien aimé faire l'invit' de Kostas avec Maurice, de son vrai nom Siopelè [du grec ancien σιωπηλός, ή, όν "de caractère silencieux, réservé, discret, taciturne", voir le Bailly comme toujours], rien que pour l'angoisse de la bande face à un menace invisible et qui se déplace trop vite pour être contrée, même quand il trouve comme la rendre, non pas visible mais, au moins perceptible mais... le temps... et j'ai pas trop la capacité à bien représenter l'invisibilité ou toute l'apparence en clair / obscure de Siopelè... et pour le coup, ça passe peut-être mieux en texte) alors, c'était l'occasion d'en finir avec ce serpent de mer et de le pêcher pour de bon ! Surtout que la rencontre entre les deux a aussi tout ce qu'il faut pour être décapante !
En fait, le cas de Loquax est un peu particulier vu que deux peuples se souviennent de lui et le voie comme un personnage importants de leur histoire mais, de manière très différentes à cause des circonstances. Comme pour tous mes Braves, ils sont en fait deux personnes qui ont été fusionnés au fil du temps : Atta Gautier Loquax, le Brave originel, pacifique convaincu dont la principale force vient de son empathie avec tout le monde et sa volonté d'empêcher les conflits si on peut résoudre les problèmes par la diplomatie, qui est le sorcier qui a été forcé de boire le sang de nabatéen par Némésis, puis a été tué par les forces adrestiennes histoire de causer un chaos monstrueux pour le plus grand bonheur des agarthans, et sa fille, Gautier tout court afin de marquer encore plus sa filiation avec son père (ça se décline sur le modèle de "mater, matris" de la 3e déclinaison de latin), qui a vu son père se faire décapiter par Wilhelm et traiter comme un animal à cause de son mode de vie nomade et de ses fiertés (surtout que l'emblème lui rongeait bien l'esprit, même s'il arrivait souvent à tenir pour ne faire de mal à personne), vu que son corps a été trainé par les pieds au cheval de Wilhelm jusqu'à leur capitale et que sa tête a été lancé au pied de leur reine en exigeant qu'il se soumette à leur puissance, ce qu'elle a bien été obligé de faire au départ (tout en cherchant la première occasion pour se barrer, ce qu'elle fera vu que Gautier ne fera jamais vraiment partie de fait de l'Empire Adrestien, tout comme Goneril vu qu'ils sont sur les frontières et on toujours été très indépendant, même si la propagande dit le contraire) alors, elle va déterrer la Lance de la Destruction, et rejoint Némésis pour venger son père tout en projetant de tuer Némésis dès qu'elle en aura l'occasion avec les autres enfants de Braves, c'est quand même le premier responsable de la dégénérescence de leurs parents et les a mutilés (Loquax s'est retrouvé avec la langue coupée pour l'empêcher de parler vu que c'était sa principale arme et fierté), le tout en rejetant la philosophie de son père vu que malgré tout, malgré le fait qu'il a tout fait pour la protéger, ait posé sa canne en signe de non violence et de volonté de discuter, qu'il ait tout fait pour se retenir quand l'emblème recommençait à lui faire perdre la tête, ou le fait qu'il soit complètement aveugle, Wilhelm l'a quand même décapité en déclarant que la civilisation calme et raisonnée tuait le symbole même de la barbarie sauvage et déraisonné incapable de faire preuve de bon sens (Wilhelm est persuadé qu'il a quand même participer à un génocide, il a de quoi être énervé).
Sauf que si côté Sreng, on se souvient surtout de Loquax comme étant "Le Bavard" (traduction littérale de son cognomen / surnom, "le loquace, le bavard", car Loquax est un vrai moulin à parole qui ne s'arrête jamais de parler), l'aveugle pacifique capable de parler avec tout ce qui vit et capable de résoudre les conflits par ses mots et sa capacité de persuasion, prenant même la forme des animaux pour mieux les comprendre mais, qui a été assassiné et dévoré par la Dévoreuse de Cadavre, une femme (ou un homme, les traditions divergent sur ce point selon si dans ce coin là, la faute était plus porté sur sa fille qui n'a pas respecté la mémoire son père en rejetant sa philosophie et s'est livré à des atrocités, ou Wilhelm qui est celui qui a décapité Loquax et malmené son cadavre, ou Némésis qui l'a vaincu, mutilé et forcé à boire l'emblème qui le tuait à petit feu) assoiffé de pouvoir et dont l'horreur absolu a donné naissance à la Lance de la Destruction, une lance maudite issu des os et du corps du Bavard capable de briser le destin, côté Fodlan, on se souvient surtout du caractère de sa fille qu'on a mixé avec les pouvoirs de son père pour en faire le Brave Gautier, Protecteur Sauvage déchiquetant ses adversaires osant menacer son peuple, surtout que l'effet de l'emblème de Gautier, l'emblème de la Fissure, c'est de créer de grosses entailles quasi impossible à soigner et qui se nécrosent très vite sur les personnes toucher par la lance de la Destruction ou une personne avec son emblème active, ce qui ajoute au côté... énervé qu'aurait dû avoir le Brave. Au fil de leur histoire, certains aspects a été plus mis en avant que d'autre selon les cas et ça a créé deux traditions complètement différentes de chaque côté de la montagne).
En Sreng, on ne fait pas du tout le lien entre le Bavard et les Gautier, à part que c'est la famille descendant de la Dévoreuse de Cadavre, ce qui était une source de honte quand ils étaient encore srengs (le rattachement de Gautier à Fodlan s'est faite lors de la guerre du Lion et de l'Aigle) et eux-mêmes avaient un respect absolu pour le Bavard afin d'essuyer le sacrilège de leur famille. Avec ça, vu que leur rattachement à Fodlan est relativement tardif et qu'ils ont gardé pas mal de racines avec srengs, que ce soit dans leur tradition ou leur dialecte qui est très proche du sreng, les Gautier eux-mêmes ont au final assez peu contribué à la construction du mythe de Gautier, c'est surtout les adrestiens (comprenez Adrestia, Faerghus et Leicester à la marge vu qu'ils sont plus éloigné) qui l'ont construit tout en ayant surement des clichés liés aux srengs qui se sont collé à lui en plus du caractère particulièrement violent sur le champ de bataille de sa fille.
C'est donc un beau bazar et même s'il est vénéré comme les autres Braves, on ne se souvient pas du tout ou presque de Loquax comme il était à l'origine, son image est bien trop déformé par un millénaire de tradition orale, de traduction bancales de vieux textes, des traductions bancales de vieux textes déjà traduit du grec ou du latin au vieux fodlan puis au fodlan actuel, de recopiage fait par dessus la jambe car le moine copiste en a marre et veut juste aller se réchauffer au coin du feu ou a arrangé à sa sauce, ou a juste sauté des passages qui lui semblait moins intéressant / capitaux / pertinent (chose qui arrivait vraiment avant l'invention de l'imprimerie, d'où le fait qu'il y a fallu faire BEAUCOUP de recherche pour corriger la Vulgate et diffuser la bonne version à la renaissance, même si ça a été un combat compliqué entre l'Eglise Romaine et les érudits)... et Miklan n'est pas en reste sur ce point. Il s'imagine le Brave comme son père ou lui-même : un homme froid, violent, utilisant ses crocs avant sa tête sans hésiter une seule seconde, ce qui rend encore plus illégitime Sylvain à ses yeux vu qu'il est tout le contraire de ce "Protecteur Sauvage".
Alors, quand il rencontre le vrai Loquax, ça fait une sacrée douche froide et un vrai choc.
Pour commencer, Loquax ressemble vraiment beaucoup à Sylvain, que ce soit dans sa voix ou son apparence. C'est Sylvain avec des fiertés, des organes internes en plus, des oreilles velus, une queue animal et qui se déplace avec une canne. Avec ça, comme dit plus haut, Loquax est un homme très doux, très gentil et pacifique. Il a horreur de la violence et a justement commencé à apprendre la langue des animaux et la magie pour mieux les comprendre (il est même devenu complètement végétarien, surtout depuis qu'il peut brouter de l'herbe avec son estomac qui a changé vu qu'étrangement, quand t'entend ta proie supplié pour sa vie quand tu chasses, t'as pas trop envie de la manger) alors, dès qu'il est arrivé dans le présent et qu'il a su qu'une bataille se préparait contre un de ses descendants et avec Sylvain qui lui a expliqué son passif avec Miklan, il n'a pas hésité une seconde, il est parti devant pour tenter d'empêcher un massacre (et éviter de traumatiser encore plus Sylvain) et en finir avec le minimum de perte des deux côtés, ce qu'il arrive à faire. A force de discuter, d'écouter, de contre argumenter avec les hommes de Miklan, il arrive à les convaincre de se rendre. En plus, Loquax a vraiment une présence apaisante, il sait comment calmer les gens et les mettre dans de bonnes dispositions pour discuter, même les pires bandits comme la bande à Miklan. Il a pu tranquillement monté au sommet de la tour et rejoindre Miklan pour tenter de le convaincre de se rendre, surtout que même s'il le déteste pour ce qu'il a fait, Sylvain ne veut pas la mort de son frère, pas comme ça vu qu'il est encore englué dans tout ce que son frère lui a mis dans le crâne, il est encore un persuadé que c'est un peu sa faute si son frère ainé a mal tourné, même s'il est en chemin pour enfin arriver à s'en défaire grâce à ses amis (surtout Félix dont il est le plus proche chez moi et ils se tournent autour tous les deux), sa mère Fregn qui assure comme toujours, et dans cette situation Loquax.
Mais en plus de tout le reste, non seulement Loquax est le portrait physique de son frère, non seulement il n'a rien à voir avec les légendes mais en plus, pour couronner le tout, il se rend compte qu'il est infirme. En effet, à seize ans, Loquax est devenu aveugle suite à un accident domestique à son époque : il découpait une carcasse de mouton pour aider sa famille alors qu'il était encore très faible à cause de son entrainement de sorcier, le couteau a ripé et s'est fiché dans son oeil droit, ce qui a également provoqué une lourde infection qui a touché son autre oeil. Il n'a surement survécu que grâce à sa sorcellerie mais, il n'était pas encore assez âgé et expérimenté pour que sa capacité de régénération soit capable de réparer un organe aussi complexe qu'un oeil, et même plus âgé, c'est maintenant trop tard pour qu'il les récupère, il fallait qu'il se régénère sur le coup. Il a donc du apprendre à vivre avec son handicap et même si ça a été très dur vu qu'il a dû tout réapprendre, il a fini par s'en tirer grâce à l'aide de ses proches, notamment sa petite amie puis épouse Régina qui a tout donné pour l'aider à revivre et à retrouver gout à la vie. A présent, il vit très bien avec sa cécité, en plus de six cents ans, il s'y es habitué et est complètement autonome, surtout qu'il utilise aussi la sorcellerie pour pallier un peu à son handicap (je le voie bien avoir discuter avec des chauves-souris et avoir appris à utiliser des ultrasons pour se localiser comme elles). Ce n'est pas une force de la nature, il a le physique d'un cavalier qui passe son temps à cheval, même s'il est légèrement plus musclé des bras que la moyenne à force de se transformer en animal mais, il s'en sort et c'est tout ce qui compte pour lui.
Seulement ça, la résilience, la force tranquille, la capacité à retrouver gout à la vie... Miklan, il n'y comprend rien et est juste incapable de comprendre que la force brute ne fait pas tout. Lui, tout ce qu'il voie, c'est que l'ancêtre qu'on lui a toujours vendu comme étant très fort, brutale avec l'ennemi et déchainé... est un homme ordinaire doublé d'un aveugle. Evidemment qu'il va péter une durite et le prendre pour un faible et en profiter pour tenter de tuer l'origine même de l'emblème qu'il veut tant mais, qui a "préféré" son petit frère alors que ça ne marche pas comme ça les emblèmes, c'est un hasard génétique, surtout qu'il pense que ce sera ultra facile vu que Loquax est aveugle.
Sauf que comme il le dit, Loquax est peut-être aveugle mais, il entend très bien et il sait très bien localisé et placer les choses dans l'espace en se basant sur son ouïe, alors quand Miklan fonce sur lui en armure lourde, il l'entend comme s'il le voyait et il peut l'esquiver facilement, encore plus en tenant la Lance de la Destruction dont il sent très bien la "malédiction" et qu'il localise encore plus facilement. Normalement, Loquax peut se transformer facilement en animal et aurait pu le mettre au tapis sans souci en se transformant mais, étant donné qu'il est pacifique, il le fait simplement tombé en lui mettant sa canne là où doivent passer ses jambes pour le faire trébucher, puis s'assoie sur son dos pour l'empêcher de bouger ou de récupérer son arme, histoire qu'il le vainc sans utiliser la violence même si le dialogue n'a pas marché, encore moins contre quelqu'un de sa propre famille, ils ont déjà bien assez de leur propre sang sur les mains.
Il essaye à nouveau de comprendre pourquoi Miklan a agi ainsi, au moins pour arriver à cerner comment il a pu commettre une horreur pareille telle que le fratricide mais, Miklan s'enfonce encore et toujours dans son horreur en soulignant bien à quel point il est assoiffé de pouvoir et raciste (alors que bon, il est lui-même à moitié sreng vu qu'il a la même mère que Sylvain et que Fregn l'est, et même un poil plus vu qu'Isidore a un petit secret très bien gardé mais ça, c'est une autre histoire), ce qui finit d'enfoncer le dernier clou de son cercueil aux yeux de Loquax vu qu'il n'a aucun regret, il regrette juste de ne pas avoir réussi à tuer son frère, et lui remet les points sur les i tout en soulignant que Sylvain sera un bien meilleur margrave que lui. Vu que Sylvian pense toujours que les gens tournent autour de lui et ne le considèrent qu'en fonction de son emblème, je pense que ça lui ferait du bien d'entendre son ancêtre lui dire que non, c'est ses qualités personnelles qui font de lui une bonne personne et un bon souverain.
Point de conception comme toujours :
Pour Miklan, j'ai repris le design du jeu, tout en essayant de renforcer ses expressions pour montrer sa soif de sang et sa violence, surtout quand il attaque Loquax en étant heureux de pouvoir le tuer. Même dans les flashback, il a sa fameuse cicatrice car, dans ma version, il ne se l'ait pas faite lors de sa carrière de bandit mais, quand il était encore à Gautier : Glenn l'a surpris en train d'étrangler Sylvain et l'a repoussé en lui entaillant le visage, ce qui lui a fait cette cicatrice. Le manteau qu'il porte aussi à cette occasion vient de sa fiche de personnage qui montre à quoi ressemblait la veste déchiqueté qui dépasse de son armure.
Toujours dans les flashback et les souvenirs de Miklan, Sylvain est toujours blessé dedans car, pour lui, il ne peut penser à son frère que en étant blessé par ses soins, ce qu'il était pratiquement constamment quand il n'était pas avec sa mère Fregn ou chez les Fraldarius pendant la morte saison soit quasi la moitié de l'année (officiellement pour poursuivre ses études avec les excellents professeurs d'Egua mais officieusement, les jumeaux l'ont surtout fait pour le protéger de Miklan et de son père Isidore).
Pour Loquax, j'ai repris des habits typiquement scythes, un peuple nomade vivant en Europe de l'Est / Asie centrale pendant l'Antiquité, et surement une des origines possibles du peuple des Amazones vu que les femmes avaient une bonne place (très vite fait). Etant donné que je voie bien Sylvain avoir un très bon contact avec les animaux et qu'il est canoniquement très doué pour comprendre les chevaux, ça me semblait logique de donner une origine nomade / peuple de cavalier à son ancêtre, surtout que c'est le Brave des animaux sachant leur parler et se transformer en animal. Il portait donc des pantalons, des chaussures pour monter à cheval facilement, et de grandes vestes (même si pour celle de Loquax, elle est coupée dans son dos pour laisser passer sa queue). Normalement, il y a aussi de très beaux motifs mais là, je suis allé au plus simple, j'avais juste pas le temps pour ça et je voulais surtout me concentrer sur les poses des personnages pendant l'action. Tant pis.
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(exemple de vêtements masculins scythes [les chaussures de Loquax sont reprise du troisième pied en partant de la gauche de l'écran] J'aurais aimé ajouter des motifs sur son col mais, encore une fois, je n'ai pas eu le temps...)
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(et les vêtements féminins des scythes, afin que vous puissiez imaginer un peu ce que pourrait porter Régina)
Source des images : "Les Scythes" de Iaroslav LEBEDYNSK, 2e édition revue et augmentée, aux éditions Errance, Paris, 2010
Pour ses fiertés par contre, j'ai ajouté des trucs ! De base, j'étais partie sur le fait de lui donner "juste" de la fourrure sur les joues, ses oreilles et sa queue mais, je trouvais que ça faisait vide surtout que le centre de sa sorcellerie, c'est sa gorge vu qu'il parle à tous, et il a fini par développer des pouvoirs de télépathie pour mieux communiquer avec les autres êtres vivants, même s'il ne va jamais bien loin dans les pensées des gens contrairement à une Métahéta qui n'en a rien à cirer et lit toute ta vie sans hésiter au cas où pour trouver la moindre faiblesse à exploiter en cas de problème. ça m'a même plutôt bloqué vu que j'avais fait les deux premiers panneaux au crayon en début de mois mais, j'étais pas du tout contente de l'apparence de Loquax, ce qui m'avait bloqué pendant un moment. Je lui ai donc ajouter des motifs sur la tête la gorge qui sont des fiertés, un peu à la manière des veines de Métahéta, et ça allait beaucoup mieux.
Etant donné qu'il avait maintenant ces deux motifs, j'en ai profité pour en faire son symbole côté sreng. Evidemment, ils n'utilisent ni l'emblème ni la Lance de la Destruction pour le représenter (il pense quand même que cette lance capable de briser le destin selon eux est issue de son meurtre et de son corps dévoré quand même) alors, il aurait pu récupérer une de ses fiertés facilement visible comme celles sur son front pour le représenter, ce qu'on retrouve sur la broche de Sylvain qui tient sa cape dans les flashback, et qui est surement un cadeau de la part de ses tantes. Vu que c'est un symbole assez simple pour pouvoir être reproduit facilement de partout et que si tu n'as pas la référence, tu ne peux pas savoir ce que c'est, on laisse Fregn faire vu que c'est surtout elle qui élève Sylvain sous couvert de lui apprendre à bien se comporter avec les srengs pour ne pas causer de tension diplomatique, même si c'est surtout pour le protéger de son père qui a déjà complètement planté l'éducation de Miklan (c'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles Miklan accuse Sylvain d'être un sreng : c'est leur mère qui l'a élevé alors évidemment, elle va avoir des bases éducatives srengs, il est parfaitement bilingue grâce à elle [j'imagine même Sylvain avoir un petit accent plus proche de celui des sreng que de Gautier quand il est détendu et ne polisse pas sa manière de parler et dans certaines de mes histoires, il pense même en sreng avant le fodlan et parle sreng quand il est choqué, c'est juste naturel pour lui], et comme sa mère lui a parlé de ses dieux, il est tout de même plus proches des pratiques srengs que Fodlan, même s'il croit aussi en Sothis comme la déesse du destin sreng qui encadre les Nornes quand elle le tisse et la craint pour sa capacité à détruire le destin, ça fait juste plus sens pour lui que la religion de Seiros qu'il connait surtout par son père qui l'applique de manière très rigoriste pour être plus fodlan que les fodlans à cause de son secret [même s'il n'est pas au point de l'Eglise Occidental, autant car même lui n'est pas un connard à ce point, mais aussi car ça ferait un trop grand écart avec le reste de ses sujets dont les pratiques sont encore teintés de nuances srengs).
Dans la case où Miklan crache encore sa haine sur son frère en l'accusant d'être un sreng, Sylvain discute avec sa mère, Fregn, elle-même sreng, soeur ainée de la reine la plus puissante de Sreng, Thorgil le Kaenn, et ancienne éclaireuse, pour ne pas dire espionne, et une des meilleures de sa génération de tout Sreng avec ça. Elle est capable de faire imploser une ville de l'intérieur à elle toute seule, tout en étant toujours un électron libre à Fodlan, sa fidélité allant toujours à sa soeur Thorgil, qui suit le principe sreng de ne pas respecter quelqu'un d'irrespectable, tout en ayant les moyens de mettre de sérieux batons dans les roues du roi en cas de besoin, et c'est pour ça que le roi Ludovic et la mère d'Isidore, Erika, l'ont choisi elle : Ludovic savait pertinemment que Lambert n'avait pas les épaules pour être roi et il a tout fait pour remettre en plas la monarchie élective à Faerghus pour éviter qu'il prenne le pouvoir, mais il a quand même pris ses précautions en mettant en place des garde-fou, dont Fregn. Il savait pertinemment que dès que Lambert ferait trop de pas de travers (elle aurait eu assez de temps, elle aurait tout fait pour dynamiter le voyage à Duscur et faire tomber Lambert en prévenant ses soeurs et les autres rois srengs au passage de ses intentions qui en faisait un "roi sans yeux" pour eux, un roi indigne de respect et qu'il faut traiter en conséquence mais, en deux mois, même elle ne peut pas faire de miracle). Elle porte un habit fodlan car Isidore lui interdit de porter des habits de chez elle, sauf l'épingle dans ses cheveux qui est un cadeau de sa première petite soeur, Huld, prêtresse de son état, une longue épingle d'argent avec un oiseau au bout avec écrit dessus "pour que tu t’envole comme ce cygne", et qui peut parfaitement être utilisé comme un stylet en cas de besoin. Elle est aussi assez grande (même si les srengs sont en général plus petit que les fodlans pour cause de disette chronique qui touche tout le monde)
Toujours dans cette case, l'animal que tient Sylvain est Foa (littéralement "renard" en vieux norrois et donc en sreng aussi), une renarde qu'il a trouvé toute seule quand elle était toute petite dont il s'est occupée et qui est devenu sa compagne de toujours avec sa jument (et plus tard un corbeau mais ça, c'est une autre histoire). Il adore cette boule de poil joyeuse et c'est réciproque, même si cette renarde déteste corps et âme Isidore et Miklan surtout (mais pour Miklan, tous les animaux le haïssent à cause de sa brutalité, histoire d'encore plus éloigné de sa famille et de Loquax)
Sur le plan où Sylvain se cache derrière Fregn avec un pansement sur la joue, Fregn a deux rayures sur sa manche comme Loquax en a deux sur le bas de son pantalon car, je voulais les relier tous les deux étant donné qu'ici, les deux protègent Sylvain contre Miklan, et les deux croient en lui non pas pour son emblème comme son père qui le juge indigne de ce "don" à cause de son volonté de faire avec les autres et sa personnalité plus pétillante quand il est bien, mais pour la personne qu'il est vraiment.
La cicatrice sur l'oeil droit de Loquax vient de l'accident qui l'a rendu aveugle. Je ne voulais pas qu'il ait perdu son oeil de manière spectaculaire, que ce soit au combat (ce qui ne serait pas allé avec son caractère pacifique) ou autre mais, juste quelque chose de banal qui pourrait arriver à tout le monde alors, c'est parti comme ça : il a tenté de reprendre son travail afin d'aider sa famille trop tôt alors qu'il tremblait encore de fièvre, ce qui lui a fait lâcher ce couteau qui s'est fiché dans son oeil. Au départ, la cicatrice ne devait apparaitre que sur les gros plans vu qu'elle est assez discrète à présent, puis je l'ai ajouté sur les plans plus petits mais, ça ne rendait au final pas bien alors, les derniers panneaux ne l'ont pas.
Enfin, quand on est du point de vue de Loquax, tout est en négatif pour souligner qu'il ne voie pas, même si j'ai essayé de souligné les bruits qu'il entend avec les petits bruits qui sont notés, la ligne sur ses oreilles, ainsi que la silhouette qu'il s'imagine quand il entend Miklan lui foncer dessus en armure lourde. Pour les souvenirs où il parle à Sylvain, il lui a surement touché le visage pour savoir à peu près à quoi il ressemble et pour les expressions, il se base sur les intonations de sa voix, et il doit faire le lien avec des souvenirs qu'il a de quand il voyait encore... Enfin, on va être honnête, c'est surtout une convention graphique pour que vous ayez les émotions de Sylvain visuellement.
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o-link · 7 months ago
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Il y a des nostalgies douloureuses et décapantes… il y a des nostalgies rêveuses et très douces… il y a des nostalgies qui font vivre… et des nostalgies qui font mourir.
Eugénio Borgna
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mmepastel · 1 year ago
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Rholala ! Premier énorme coup de cœur cette année !
C’est ma libraire préférée qui me l’a déniché… elle commence à me connaître… elle m’a tendu ce livre qu’elle n’avait pas encore mis en rayon avec un air entendu…
BINGO ! En effet, c’est une belle pioche.
Tout d’abord, qu’est ce que j’ai ri ! L’autrice suédoise a un humour assez décapant, et un langage fleuri.
Faire connaissance avec ces sept sœurs finlandaises crasseuses et mal éduquées c’est comme une collision brutale et frontale. On les découvre à la foire, rare lieu où elles daignent frayer avec leurs semblables (quoique… elles semblent en effet faites d’un autre bois), dégoûtantes, provocantes, grossières, analphabètes et gouailleuses ; elles vendent framboises sauvages, peaux de bêtes -d’ours notamment. Bien obligées si elles veulent acheter bière, gnôle, cigarettes et essence pour le quad, saucisses et chips.
Johanna, Tania, Tiina, Simone, Aune, Laura et Elga ont toutes un caractère bien distinct, même si elles font corps pour survivre depuis qu’elles sont orphelines. L’ainée, Johanna, voue un culte à son père décédé, célèbre chasseur d’ours, et applique ses règles : se méfier de la société des humains et particulièrement des hommes, du pasteur, des assistantes sociales, de l’école, des huissiers. Elles sont hors registres, complètement sauvages dans la forêt, en autarcie. Et elles vont fuir encore plus loin, pour être sûres de ne pas risquer d’être embêtées, pour vivre à leur façon, la seule qu’elles connaissent à vrai dire. Elles rotent, pètent, pissent debout, se bagarrent sans cesse, jurent comme des charretiers.
L’entente entre elles, une force, une nécessité mais aussi une limite, se complexifie lorsqu’elles s’isolent complètement dans un endroit reculé de la forêt, et qu’elles font face à la faim et au froid. La rudesse de l’aînée, son radicalisme, empêchent certaines des plus sensibles de s’épanouir, comme par exemple Elga qui rêve de lire et d’exploiter ses fraîches connaissances en la matière, ou Laura qui n’aime rien tant que de sculpter des petits figurines malgré ses yeux de myope.
On lit ce livre avec le nez, et les odeurs ne sont pas toujours ragoûtantes. Ça ne sent pas que le sapin ou l’écorce de bouleau. Ce ne sont pas des grandes fans de savon, ni de ménage, et les peaux d’ours écorchés corsent l’affaire. On suit leur cheminement avec passion tant l’immersion est totale dans cet univers brut et sauvage, en s’émerveillant des reparties salées qu’elles se servent mutuellement, avant de se cogner jusqu’à faire valser des dents. Mais cheminement, il y a. Je n’en dis pas plus car le roman, inspiré d’un conte finlandais racontant les aventures de sept frères, est turbulent et haletant de bout en bout. Vont-elles survivre dans le froid ? Comment vont-elles échapper à la ville qui semble être le seul salut possible ? Ne vont-elles pas s’entretuer ou sombrer dans la folie ?
J’ai adoré cette histoire et le ton. Ces sœurs sont de vraies dures à cuire, des âmes bouillonnantes qui font jaser toute la région. Leur évolution est habilement menée, et leur amour de la forêt et de la liberté ne se trahit pas. On assiste à l’éclosion de leurs natures profondes. Il s’en est fallu d’un cheveu pour qu’elles y parviennent seules. Un conte féministe oui, assurément, avec de vraies héroïnes fortes et courageuses, un récit au verbe haut, débordant de vie et culotté. De la dynamite.
Je suis un peu dépitée de l’avoir si goulûment dévoré, aussi goulûment que Tiina aurait bu sa flasque de whisky, je ne crois pas que ce type de livre coure les rues. J’espère que d’autres romans d’Anneli Jordahl seront traduits, je suis addict de son écriture rigolarde et irrévérencieuse.
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wumingfoundation · 9 months ago
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Wu Ming, ou la complexité subversive
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A l'occasion de la sortie française de notre roman Ufo 78, le magazine en ligne subversif Lundi Matin a publié la postface de l'écrivain Serge Quadruppani, qui est le traducteur du roman. Nous reproduisons ici la brève prémisse éditoriale.
«Après la publication très remarquée de l’incroyable enquête Q comme qomplot, Comment les fantasmes de complots défendent le système (voir notre interview ici), le collectif italien Wu Ming revient dans les bacs avec Ovni 78 aux éditions Libertalia. Nous en publions ici la postface de Serge Quadruppani qui introduit ce livre décapant et passionnant en le réinscrivant dans l’histoire insurrectionnelle italienne et son écrasement par l’État
Bonne lecture.»
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deviance-nocturnale · 2 years ago
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2. Ce que cache un masque
Grande vertu du masque vénitien pour broder des émotions factices, terreur incendiaire sous le blanc déshumanisé, gueule cassée dissimulée ou majesté candide ? D’un coton humide, elle se démaquille devant sa psyché, le sourire se fane et les rides dévoilées affaissent les pommettes plus saillantes que pouponnes. Quand l’œil de la caméra ferme sa pupille de verre, la femme revêt alors un autre masque, décapant l’ancien au rire figé et aux yeux de paon.  Sa vérité nue éclatante sous le fard et les paillettes apparaît aux yeux d’un monde numérique. Elle ne supporte plus de faire risette à ses internautes. Elle a des crampes dans les joues et les zygomatiques fatigués. Elle a trop rêvé d’irréel.  Tout ça pour vendre le dernier produit dont elle a elle-même impulsé la mode. Les réseaux se chargent du reste. Son nom en lettres capitales lui permet de gonfler ses ventes à coups de likes et de commentaires affublés de cœurs et d’emojis flammes. Elle étouffe sous les hashtags séduisant et leurrant les esprits assoiffés de beauté hypocrite. S’ils savaient qui habite les coulisses de ce théâtre frivole et délétère. Un filtre sur le visage lambda d’une fausse fille de joie jouant la star sous sa douche. Cette même fille qui a tourmenté les autres et aujourd’hui, face au miroir, il ne lui reste qu’un visage pixellisé qui se désagrège. Le visage d’une prostituée que l’on paye en tweets faciles. L’allumeuse aux 18M abonnés. 18K, elle ne s’en souvient même pas. Une Ferrari pour le prix d’une baguette de pain.  La poupée désarticulée ne parvient plus à se voir en HD, elle n’est plus qu’une basse définition, une basse illusion.
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shotokimchi · 1 year ago
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⚠=angst / ☁️=fluff / ❣=suggestive / 🔞=smutt
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Heartless ⚠ (one-shot)
-Katsuki Bakugou crushed your heart...
Throne (Fantasy Au!) ⚠☁️ (one-shot)
-A beautiful love story between the dragon prince and the warrior princess...
Peaches and Melons ❣ (one-shot)
-He loves your ass.
What If? ⚠☁️🔞 (one-shot)
-Everyone can fall in love, falling for Bakugo gave you a hard time but when you learned that he felt the same, it was too late. Because you were already married.
Pillow Fight ⚠☁️ (ask)
-Your bf breaks up with you and he tries to cheer you up.
Décapante ❣ (one-shot)
- After getting dragged to one of the most popular strip clubs in the town by his friends, a unique performer catches the ash blonde's attention.
What I Can’t Have 🔞⚠ (two-shots)
-Bakugou falls in love with the Empress which causes her to neglect her three husbands. You know how it goes... the ones who eat the forbidden fruit of love must be punished. PART 2 COMING SOON
DRABBLES
How would they react if they had a nightmare about you losing your baby w/ Kirishima and Bakugo
When they constantly stood you up on dates w/ Bakugo - Todoroki
When Their S/O Is a Seggs God
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havaforever · 2 years ago
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GERMAINE RICHIER - Rétrospective au Centre Pompidou
Quelle découverte! Comment ai-je pu passer à côté d’une telle œuvre?!! La rétrospective au Centre Pompidou nous fait découvrir un e sculptrice majeure, reconnue et son œuvre variée et originale.
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Germaine Richier (1902-1959) a étudié à Montpellier chez Guigues, ancien élève de Rodin.  A Paris elle intègre l’atelier de Bourdelle, expose dès 1928.
Ces oeuvres de jeunesse montrent une grande maîtrise de la sculpture et sont très harmonieuses.
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Elle va cultiver un style personnel, avec des personnages robustes à la surface rugueuse, loin des critères de la beauté classique comme Pomone ou l’Orage homme terrifiant et sa version féminine l’Ouragane n’est pas assuré comme l’homme qui marche de Rodin, ni longiligne comme celui de Giacometti il a les pieds englué dans la terre, ahuri il symbolise une humanité blessée, menaçante à la sortie de la guerre.
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Fascinée par la nature et les insectes, elle va collectionner dans son atelier (présenté dans l’exposition) des carapaces d’insectes, des os, un squelette de chauve-souris, des coquillages, des outils…tout un bric à brac qu’on va retrouver dans ses sculptures hybrides. 
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La fin de l’exposition devient plus colorée, Germaine Richier explore d’autres techniques comme celle de graver des os de seiche avant de les métalliser, on devine la matière initiale sous la pellicule dorée. Elle utilise le plomb et y mêle du verre transparent, s’apparentant aux techniques du vitrail ; à la différence qu’il y a plus de plomb que de verre. Une croix est ainsi traversée de lumière.
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Elle ose la peinture, s’associe avec d’autres plasticiens qui mettent en scène les sculptures dans un cadre de tableau (ou l’inverse). L’exposition se termine avec un Jeu d’échec de taille XXL avec des pièces colorées.
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L’ensemble est étonnant, bouleversant, décapant, la sculpture nous apparait dans toute son essence, elle fait exister l’espace de la perception, et illumine nos rétines de ce qu’elle donne à voir. 
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christian-dubuis-santini · 2 years ago
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Jouissance de la peur, peur de la jouissance
"Ceux qui sont dangereux, ce sont les hommes ordinaires, les fonctionnaires prêts à croire et à obéir sans discuter."
(Primo Levi - Si c'est un homme)
Depuis le 13 mars 2020, la population française se trouve prise (sans le savoir) dans une "expérience de Milgram" en grandeur réelle: après l’imposition du camp de concentration généralisé, les applaudissements de 20h aux fenêtres, l’obligation de porter une guenille faciale, de se faire inoculer un produit génique expérimental vendu par une firme multicondamnée... la soumission pathologique à l’autorité, telle que l’avait relevée Stanley Milgram, se nourrit de la peur qu’elle aura elle-même générée.
Pourquoi cette jouissance de la peur est-elle si répandue dans nos sociétés du capitalisme numérique, et particulièrement en France?
Jouir de la peur c’est toujours jouir de la peur de jouir.
C’est à dire de pâtir. La contradiction inhérente à cette jouissance névrotique de l’hypocondriaque est à rapprocher de ce que Lacan a épinglé de "jouissance de l���Autre".
N’oublions pas que le pervers est celui qui se fait l’instrument de la jouissance de l’Autre.
La jouissance de l’Autre, Lacan l’écrit J(A) en désignant ainsi le lieu de la science: «Pour ce qui est de la jouissance de l’Autre, il n’y a qu’une seule façon de la remplir, et c’est à proprement parler le champ où naît la science.» Comment la science occupe-t-elle cette place? En «décapant» lalangue et en isolant la lettre. «Ceci [le principe d’identité de soi à soi] ne se produit pas au niveau de l’Autre, mais de la logique. C’est en tant qu’on arrive à réduire toute espèce de sens qu’on arrive à cette sublime formule mathématique de l’identité de soi à soi, qui s’écrit x=x. […] ce n’est qu’à partir du moment où Galilée a fait des petits rapports de lettre à lettre avec une barre dans l’intervalle, et où il a défini la vitesse comme rapport d’espace et de temps, qu’on a pu sortir de tout ce qu’avait d’intuitif et d’empêtré la notion de l’effort, pour arriver à ce premier résultat qu’était la gravitation.»
Pour le parlêtre, «cette jouissance de l’Autre […] n’existe, ne saurait exister que par l’intermédiaire de la parole» – J(Ⱥ).
Par contre, pour la science, un autre enjeu advient : «la lettre, c’est uniquement à partir de là que nous avons accès au réel» .
Alors J(Ⱥ) (J de A barré – inconsistance du grand Autre) ou J(A) (J de A - jouissance du grand Autre de la science)?
Le psychanalyste aura toujours déjà tranché.
«La vérité du désir est à elle seule une offense à l'autorité de la loi.»
(Jacques Lacan, Séminaire VI - Le désir et son interprétation)
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partenaires-jaiunticket · 22 days ago
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JE M'APPELLE GEORGES... ET VOUS ?
Du 22 janvier au 31 mai 2025
Au Théâtre Actuel La Bruyère
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Plongez dans cette folle histoire d’amour à l’humour décapant qui revisite l’univers de la bande dessinée.
Un beau matin, Georges découvre quelque chose d’étrange qui va bouleverser son quotidien : toutes les résidences autour de son nouvel appartement portent les prénoms de ses ex-compagnes : Villa Christine, Villa Adriana, Villa Clémentine… À peine cherche-t-il à éclaircir ce mystère qu’une nouvelle construction s’annonce près de chez lui : « Villa Emilie ». Serait-ce un présage ? Le prénom de son prochain amour ?
N’hésitez plus, vous pourrez vous aussi dire, J’ai un ticket :
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culturevsnews-blog · 1 month ago
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Pourquoi les lapins ne portent pas de culotte de Antonin Louchard
Achat : https://amzn.to/40nu12a Qui ne s’est jamais demandé pourquoi les lapins ne portent pas de culotte ? Dans ce grand album, désormais disponible en Seuil’issime, Antonin Louchard répond enfin à cette question avec un humour décapant ! Avec son titre malicieux, Pourquoi les lapins ne portent pas de culotte d’Antonin Louchard éveille illico la curiosité des petits (et des grands !).…
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lilias42 · 2 months ago
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13 : s'adonner à leur passe-temps favori
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Lorenz observe son ancêtre, le Brave de la Terre Mettius Gloucester Paenitens dit les Mains Fertiles, exercer son métier : potier.
Nouveau jour, nouvelle paire d'ancêtre et de descendant avec Lorenz qui rencontre son ancêtre Paenitens, qui n'est pas pas exactement comme il l'imaginait.
Paenitens est un homme très calme, très silencieux et consciencieux qui aime par dessus tout travailler tranquillement seul dans son atelier sans qu'on vienne le déranger, tout en étant très fier de son travail qui est également sa passion (sa relation avec sa sorcellerie a une base... compliquée). Il n'y a pas grand-chose qu'il déteste plus que quelqu'un qui viendrait le voir en lui demandant "mais pourquoi tu n'utilises pas tes pouvoirs pour faire tes pots plus vite et plus ?" car, il considère que c'est bâclé le travail et que ces céramiques faites sans efforts n'ont aucune valeur. S'il vous refile une céramique fait comme ça, c'est qu'il veut vous voir dégager de son atelier, s'il ne vous a pas déjà fait dégager en déplaçant la terre sous vos pieds. Il peut être gentil et il aide son village sans souci en rendant les terres plus fertiles mais, il est juste pas très sociable et aime sa tranquillité, même si sa langue se délie assez facilement pour parler métier et technique. C'est ce qui lui a permis de se lier d'amitié avec Indech (il est l'un des deux seuls Braves à avoir rencontré un nabatéen avant la guerre dans ma fanon), ils pouvaient passer beaucoup de temps à travailler ensemble et ils ont fini par devenir amis avec le temps.
Alors, je vous laisse imaginer le contraste décapant avec Lorenz quand ils se rencontrent !
Si de visage (pour la moitié de visage qui reste à Paenitens), ils se ressemblent beaucoup tous les deux, Lorenz est aussi flamboyant, fanfaron et très fier de son rang que Paenitens discret, taiseux et modeste. Il est également très étonné de sa relative pauvreté : les légendes autour de Gloucester ont gardé le fait qu'il soit potier de base, il est même reconnu pour ça et être un excellent peintre, même si c'est assez peu évoqué pour surtout se concentrer sur sa sorcellerie qui a rendu les sols de Gloucester extrêmement fertiles, et Lorenz s'imaginait plus quelqu'un ayant un atelier avec plusieurs petites mains, et lui ne s'occuperait que de la peinture des pièces les plus prestigieuse. Alors se retrouver avec un homme habillé très simplement qui fait tout lui-même dans son coin et qu'il n'a pas d'employé à part une aide chez lui, et qui se définit lui-même comme étant d'abord un potier, un membre de son peuple puis un sorcier... voilà quoi, d'un côté, il est extrêmement fier d'avoir un ancêtre aussi talentueux mais de l'autre, il ne s'attendait clairement pas à ça.
Autre point qui l'étonne, c'est son handicap très lourd. Paenitens boite vraiment, même avec sa canne (qu'il a fait tenir à Lorenz pour éviter qu'elle ne tombe tout le temps), marche difficilement, et a beaucoup de mal à utiliser le côté droit de son corps, qu'il cache constamment sous ses très longs cheveux de sorciers (la coiffure de Lorenz après l'ellipse viendrait également des représentations de son ancêtre qu'il imite).
En fait, ce qui a rendu infirme Paenitens - Ultor à ce moment-là, littéralement "le vengeur" -, c'est qu'il n'a pas suivi les règles de la sorcellerie dont la règle fondamentale est que le sorcier doit toujours payé le prix de sa sorcellerie lui-même, règle qu'il n'a pas suivi lorsqu'un jour, ivre de colère et de vengeance contre "la créature de feu" et trouvant qu'il ne progressait pas assez vite, il a tenté d'utiliser une petite partie de l'énergie vitale d'un animal pour se renforcer lui-même. Dès qu'il a essayé, sa sorcellerie s'est complètement retourné contre lui et au lieu d'ajouter une fierté, elle s'est mise à dévorer son côté droit. Si Kelon (l'ancêtre de Claude, d'une cité voisine, même si c'est deux peuples différents) ne l'avait pas senti et arrivé aussi vite grâce à ses ailes, Paenitens serait mort à cause de sa transgression. En punition, tout son côté droit est à découvert avec quelques morceaux de muscle qui reste mais, c'est surtout un squelette de métal (qui vient d'une fierté pour le coup, ça a renforcé son corps) qui n'a plus beaucoup de force, d'où le fait qu'il est beaucoup de mal à se mouvoir et a besoin d'aide dans sa vie quotidienne (c'est vieux mais, il ressemble au dernier dessin dessin sous la coupe - attention, horreur corporel -). La sorcellerie, c'est dangereux, il faut respecter les règles sinon, elle ne vous ratera pas, ce qu'il a appris à ses dépends.
Il ne vivait que pour sa vengeance à ce moment-là, il voulait se venger de la "créature de feu" qui avait chassé son peuple de sa ville (même s'il oublie assez vite que si elle a fait ça, c'est parce que son peuple a lui a capturé et asservi tous les hommes de son peuple à elle en son absence - car ils ne l'avaient pas écouté mais ça, c'est une histoire pour plus tard - et qu'elle ne les a pas asservis, elle les a "juste" chassés étant donné qu'une fois vaincu après un coup pareil et vu qu'ils cherchent à s'installer, on met à mort les têtes pensantes et on réduit en esclavage tous les autres afin d'avoir de la main d'oeuvre docile, et au lieu de leur voler tout ce qu'ils avaient, elle les a laissés partir avec une grosse partie de leur bétail et de la nourriture pour éviter qu'ils meurent de faim et grand mécontentement de son propre peuple à elle, elle a pris un sacré risque et a surement dû imposer sa décision aux siens au lieu de la voter) et reprendre ses terres mais là, d'un, il se retrouve lourdement handicapé en pouvant à peine marcher correctement, de deux, ses pouvoirs vont nettement moins bien se développer qu'ils ne le devraient après une telle transgression, et pour finir, Kelon lui dit clairement qu'il ne pourra jamais vaincre sa "créature de feu", elle le fera juste fondre avant et elle est bien trop forte pour lui, tout en lui expliquant que dans sa cité, normalement, quand on s'installe quelque part, s'il y a déjà un autre peuple qui habite-là, on le réduit en esclavage une fois vaincu mais, pas l'esclavage antique classique où vous avez un espoir de vous faire libérer, non, là, y a quasi aucun espoir d'être affranchi un jour, on leur inculque bien qu'ils sont inférieurs et juste des serviteurs avec tout un tas de mesure humiliantes et coercitives et pour faire taire ceux qui se plaignent trop fort ou qui ont un caractère trop fort, il y a la cryptie à la fin de l'agoge (entrainement des enfants de citoyens) des meilleurs élèves, où ils doivent tuer des hilotes sans se faire prendre.
Kelon connait très bien cette "créature de feu" alors, il sait qu'elle est contre l'esclavage et encore plus qu'on traite les hilotes de cette manière et que dans la situation où ils étaient tous, ça devait la meilleure des solutions : les chasser en les laissant en vie avec de quoi survivre pendant un moment, et en empêchant les hommes de sa cité ne les poursuivre pour les asservir. On est chez des grecs pour ces deux-là, c'est très dur d'imaginer qu'on puisse avoir des relations d'égal à égal (c'est quand même eux qui ont inventé le concept d'hégémon qui domine tous les autres et est au sommet tout en profitant bien au passage) alors que deux peuples aussi différents puissent se mélanger, même si Kelon et "la créature" peuvent y penser en se disant "on peut peut-être cohabiter sans s'entretuer tout le temps, même si c'est très difficile" sans que l'un puisse asservir l'autre ou l'écraser, c'est quasi impossible pour leurs contemporains, les cités grecques se battaient entre elles pour des arbres coupés au mauvais endroit quand même.
Même eux, on leur dit que dans le futur, des peuples très différents à leur époque vont se retrouver dans le même pays et que leur continent va être divisé en trois territoires dirigés par de grandes familles de manière héréditaire, ce serait limite lunaire (moins pour elle mais quand même, elle trouverait ça profondément stupide de laisser autant de pouvoir à un seul roi sans un deuxième pour qu'ils s'entretuent tous les deux pour avoir la primauté sur l'autre, et sans les éphores pour les réguler et les calmer quand ils font n'importe quoi, et beaucoup plus pour Kelon qui vit dans une démocratie), surtout que les grecs sont très jaloux de leur indépendance. C'est même assez général cette manière de pensée que "on peut se supporter de loin mais, faire des alliances entre peuples très différents les uns des autres, on va pas pousser, on se connait tous assez peu et on est en concurrence pour le territoire, sauf peut-être des alliances militaires pour dégager un voisin un peu trop agressif et encore, c'est vraiment de circonstance et ça ne dure pas" alors, ça ne vient pas tout seul l'idée de cohabitation entre deux peuples, encore plus entre un qui est de culture grec / spartiate et un de culture bien plus celte et gauloise pour celui de Paenitens (c'est par exemple le cas pour Simplex, Pertinax et Laeta, respectivement ancêtre des Blaiddyd, Fraldarius et Dominic qui sont extrêmement proches, ils ont passé des années comme conservi, des compagnons d'esclavage, ont survécu à la servitude ensemble, sont devenus des sorciers ensembles et même mené une révolution qui abolira l'esclavage dans le peuple de Simplex ensemble mais, ils ne se diront jamais "amis" de leur vie jusqu'à la veille de leur mort car, ils savent qu'il y a toujours un risque que leurs peuples entrent en guerre les uns contre les autres et qu'ils ne veulent pas les trahir, même si ça les déchirerait de s'affronter les uns les autres). Ce qui maintient un semblant de paix entre les cités, c'est souvent qu'il y a des sorciers dans l'une des deux et pas dans l'autre, ce qui impose rapidement un rapport de force et qu'en général, les sorciers sont assez sages pour éviter d'utiliser leurs pouvoirs à la guerre histoire de ne pas faire trop de dégâts, même si c'est un équilibre fragile, et quand Némésis passe, puis les adrestiens passent en interdisant la sorcellerie en les pensant complices de Némésis et des agarthans (et tombant dans le piège de ces derniers au passage visant à brûler tout ce qui les a remplacé à la surface, que ce soit les créations de Sothis ou ses "enfants adoptifs"), ça rabat toutes les cartes avec des peuples qui profitent que le sorcier d'à côté meurt à force de ne pas pouvoir s'entrainer pour venir les terres du voisin plus petits et crée un chaos monumental. Enfin bref, revenons à l'histoire de Paenitens quand Kelon lui explique qu'il ne pourra sans doute jamais vaincre son ennemie et que lui-même se rend compte qu'il ne pourra surement pas faire le voyage.
En plus de tout ça, c'est sans compter qu'il va bientôt avoir une nouvelle arrivante dans leur coin : Daphnel, Brave des Vents surnommée par son peuple (d'origine duscurienne, là où Kelon arrive d'Almyra et est de culture grec pour un équivalent dans notre monde, et celui de Paenitens est descendu de Sreng en quête de meilleures terres et poussé par d'autre peuple, et il est d'inspiration gauloise... oui, ça va être compliqué pour s'entendre, surtout qu'aucun des peuples des trois ne parlent la même langue ou une langue proche pour ne pas arranger les choses) "la Bourrasque enragée" quand elle le retrouvera à cause de son tempérament de feu et plutôt sanguin, également bien remontée contre le peuple de Paenitens après que ce dernier ait souvent attaqué son peuple à elle pour capturer des gens et les réduire en esclavage, elle compris, ce qui a poussé son peuple à quitter leurs terres pour arriver sur les futurs terres de Daphnel - et en ayant plus beaucoup de nourriture à emporter vu qu'ils se faisaient piller tout le temps -, et elle adore cette "créature de feu" qui la libérer de sa cage d'esclave et élevée donc, elle ne le laissera pas trop s'approcher ou passer par ses terres. Comment dire qu'au début et pendant un bon moment, c'est compliqué.
Quand ils se rencontrent ces deux-là et qu'ils finissent par apprendre comme ils peuvent la langue de l'autre pour se comprendre un minimum (même si c'est surtout Paenitens qui doit se mettre au grec vu que c'est la langue maternelle de Kelon et que Daphnel le parle couramment aussi, même si c'est un dialecte différent du sien), elle ne lui fera aucun cadeau, encore plus en voyant bien qu'il a utilisé de la magie interdite, et lui mettra bien la tête au fond du plat pour lui rappeler que ouais, niveau esclavagisme et traitement des esclaves, ils étaient particulièrement horribles, même pour l'époque, et les traitaient aussi comme des animaux, ce qui a poussé son peuple à elle à se barrer à force d'être harcelé et pillé, et sa "créature de feu" a eu des problèmes quand elle les a laissé filer ainsi avec de la nourriture vu que normalement, les vivres, tu les gardes jalousement pour toi, et parce que les siens ont trouvé qu'elle s'était comportée en tyran pour avoir décidé pour tout le monde sans consulter personne. Sous le règne du peuple de Paenitens, Daphnel a quand même fini elle-même dans une cage sans nourriture pendant des jours car elle se débattait trop et qu'elle aurait surement fini tuer à cause de ses tentatives de fuite, tant pis si on gaspille la marchandise, on en récupérera toujours d'autres chez les voisins ! Ils ont surtout goutté à leur propre médecine ce jour-là (en légèrement moins pire vu qu'elle les a laissés partir avec une partie de leur réserve), et étrangement, quand on se retrouve de l'autre côté de la barrière, c'est nettement moins confortable. Pour Daphnel, même si elle est d'accord sur le fait que ce soit horrible de se faire chasser de sa maison ainsi - son propre peuple a subi la même chose quand même alors, elle sait à quel point c'est horrible -, au final, ils n'ont fait que subir ce qu'ils ont fait subir aux autres, et c'est pas elle qui va les plaindre pour s'être pris les conséquences de leurs actes en pleine figure, et ils ont évité le pire vu qu'ils auraient pu être tous asservis jusqu'au dernier pour devenir des hilotes.
Alors, après un long moment à réfléchir alors qu'il panse ses blessures et tout ça, même si c'est dur car c'est à quoi il a consacré sa vie pendant tout ce temps, il décide de laisser tomber sa vengeance et de se concentrer sur son peuple. Il se rend compte qu'il a oublié le plus important à cause d'elle et que cela lui a fait faire quelque chose d'atroce car, il ne pensait qu'à ça tout en négligeant son peuple alors qu'il avait besoin de lui, surtout que ses pouvoirs sont bien plus utiles pour aider les autres que pour faire couler encore plus de sang. Il en voudra toujours à cette "créature de feu" et même s'il ne la recroisera jamais de sa vie, ce serait extrêmement tendu s'il la recroise et il la haïra jusqu'à sa mort mais, vu son état et ce que sa soif de vengeance l'a déjà poussé à faire, il préfère se reconcentrer sur son peuple et prend le nom de Paenitens, "qui regrette, qui se repent", pour essayer de réparer toutes ses erreurs, notamment tout ce qui l'a mené à sa transgression.
Il reprend donc son métier de base et devient potier. Il ne s'arrêtera jamais de s'entrainer, autant parce que le jour où il s'arrête, ça le tuera car il a trop de magie en lui pour s'arrêter, mais aussi car il se rend bien compte que sa magie peut aider son peuple. Paenitens maitrise la terre, il fait donc tout ce qu'il peut pour rendre leurs terres les plus fertiles possibles pour qu'ils aient tous ce dont ils ont besoin, et n'ait pas besoin d'avoir recours à de la main d'oeuvre servile en attaquant les voisins. Il se met aussi à voter constamment pour éviter la guerre afin de ne pas recommencer le cycle de violence, surtout qu'avec autant de sorciers puissants, ils risqueraient de transformer leurs terres en enfer à ciel ouvert s'ils s'affrontaient, surtout que même s'il a à peu près le même ��ge que Daphnel, Kelon est bien plus âgé et pourrait sans trop de problème les vaincre s'il donnait tout ce qu'il avait, même s'il ne veut surtout pas en arriver là. Il a une relation très tendue avec sa propre magie, il est quand même devenu sorcier à la base pour se venger, et la moitié droite de son corps lui rappelle sans cesse ce qu'il a osé faire pour ça mais, il arrive petit à petit à mieux l'accepter quand sa magie devient une source d'aide pour les siens plus qu'un outil de mort et de vengeance.
Au moment de sa vie où il en est dans ce dessin où il rencontre Lorenz, plus de trois cents ans se sont écoulé depuis ses évènements et il s'est bien calmé. Il a fini par accepter sa magie et l'utilise toujours pour fertiliser les champs de son peuple (bénédiction toujours présente dans le présent) mais aussi un peu pour s'aider au quotidien avec son handicap. Les relations avec ses voisins sorciers vont un peu mieux, même s'il ne le montre pas trop étant donné qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver entre trois cités aussi différentes et que l'ombre d'une possible guerre plane toujours. Il s'est même fait un ami d'un voyageur un peu étrange qui parcourait ce qu'il appelait "Fodlan" pour étudier les techniques artisanales des différents peuples qu'ils croisent, et qui était très intéressé par la sorcellerie, un certain Indech, un gentil artisan très timide et préférant la solitude de son atelier à la foule, comme Paenitens. Ils vont devenir très amis avec le temps, et jusqu'à la fin, Paenitens s'en fera beaucoup pour lui, surtout après que Némésis l'ait vaincu et forcé à boire du sang de la même couleur que celui d'Indech, ayant très peur que ce soit celui de son ami, avant de le retrouver bien plus tard mais malheureusement pour eux, ce sera sur le champ de bataille mais ça, c'est pour plus tard. Là, il peint tranquillement ses pots avec Lorenz qui est d'abord très étonné par sa personnalité et sa manière d'être, puis apprendra à respecter son ancêtre pour qui il est et son talent, même si ça ne correspond pas forcément à l'idée qu'il s'en faisait à la base.
Comme toujours, un point sur le dessin en lui-même :
Pour les motifs des pots de Paenitens, je me suis basé sur cet article et je m'en étais pas rendu compte à la base mais, c'est un article de Robert Périchon qui parle des céramiques du Crêt Chatelard. Alors, Robert Périchon, ça commence à dater mais, c'est solide en général pour tout ce qui est matériel pur, et vous avez une autre raison de passer dans la Loire : voir Crêt Chatelard et ses fouilles gauloises ! C'est incroyable tout ce que les dianistes ont sorti là-bas ! (et aller à la Diana de Montbrison, c'est très intéressant aussi !) Donc, ça tombait bien !
Pour la coupe de ses vêtements, je me suis inspirée des reconstitutions du Parc Samara comme très souvent. J'ai juste débarrasser Paenitens de tout bijou, motif un peu tape à l'oeil, ornement... pour le rendre plus austère, ce qui colle à sa pénitence, il pense qu'il n'a pas à porter des bijoux aussi voyant, et à sa personnalité plus discrète, tout en le mettant en opposition avec Lorenz qui aime tout ce qui est très vif et soigne beaucoup son apparence.
Je l'ai tourné du côté gauche afin qu'on puisse voir son expression (son côté droit est constamment caché par ses cheveux, il ne le montre que pour mettre en garde les gens), ainsi que ses fiertés : sa peau est assez meubles, un peu comme de l'argile, même si elle craquèle à plusieurs endroits à cause des retombés de sa transgression. Même si c'est surtout son côté droit qui est tombé en lambeau, son côté gauche aurait dû subir le même sort si Kelon n'était pas arrivé à temps.
Enfin, ça ne se voie pas beaucoup mais, sa main droite est entouré dans des bandages afin de cacher qu'il n'a plus qu'un squelette de métal (qu'on peut voir dépassé sur son cou et une partie de son nez) et quelques ligaments pour tenir tout ça. Il peut aussi entourer sa main d'une gangue de terre pour mieux cacher ça et pouvoir mieux utiliser sa main droite mais, il le fait rarement, autant pour de nouveau respecter sa punition, mais aussi parce que ça l'épuise.
#fe3h oc drawcember#fe3h oc#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'est l'histoire de Brave dont je suis le moins sûre mais j'espère que l'équilibre est respecté...#si vraiment cette histoire là est trop mauvaise ou enlaidit trop les personnages je la changerai#si la plupart des Braves ne se connaissent pas - encore moins tous - ceux qui se connaissent n'ont pas forcément de bonnes relations#le trio de Faerghus s'entend très bien avec Loquax qui est plus à part mais est pacifique alors ça passe...#mais pour Leicester c'est une toute autre histoire et les passifs entre les peuples peuvent être très lourds#il y a de ça à Faerghus même si ça calme mais côté Leicester s'est bien plus vif#et t'as aussi les limitations de l'époque où on peut penser qu'on se supportera les uns les autres surtout en cas de pépin pour tous...#mais finir dans le même pays uni voir pire avec un roi unique... c'est limite le pire des scénarios vu qu'ils perdraient leur indépendance#ce qui est extrêmement important pour eux évidemment surtout vu les différences entre eux#(ils rencontre El dans le présent qui leur dit que c'est SON peuple à ELLE elle va juste se faire attaquer car juste...#...non ! On est indépendant nous ! On a rien à demander à une famille impérial qu'on ne connait même pas !)#Pyrkaïa a pris un gros risque en les laissant partir ainsi vu qu'eux aussi auraient bien pris cette nourriture...#et normalement on ne prend pas une décision seul chez elle- on vote toujours en groupe- seuls les tyrans décident seuls#mais entre ce qu'elle considère les urgences pour son propre peuple et la situation avec ce qu'elle deviendra des hilotes s'ils restent#c'était pas la mieux mais la moins pire des solutions pour tout le monde même si elle déteste ce qu'elle a dû faire#c'est clairement pas une bonne solution mais elle a fait ce qu'elle a pu tout en devant passer en force#et même si les spartiates sont un peuple assez agressif ils vont réussir à se calmer avec elle qui veille au grain et les circonstances#(histoire de ne pas finir comme le peuple d'avant aussi)#Paenitens a évidemment du mal à l'avaler mais il finit par comprendre même s'il la haït toujours#ce serait des relations très compliqué entre eux... même si ironiquement les deux connaissent des nabatéens et s'entendent bien avec eux#et qu'ils aimeraient bien pouvoir s'y rendre un jour... ce serait explosif#Pyrkaïa a même sans doute déjà entendu parler de Paenitens par son mari qui le tient d'Indech#Daphnel a un tempérament très vif mais elle est là pour les têtes dans le plat magistral et pour le coup Paenitens en avait besoin#et de son côté Kelon espère qu'un jour tout le monde s'entendra en pouvant garder ses spécificité#comme il le dit ils sont sorciers c'est les seuls qui savent ce que vivent les uns les autres pendant des siècles
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nnjzz · 2 months ago
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DAS SYTHETISCHE MISCHGEWEBE + TONGUE DEPRESSOR + LE POTENTIEL + NCR
Le Non_Jazz SAMEDI LE 07.12 OLYMPIC CAFÉ 20 rue Léon  75018 M° Château Rouge
20:00 portes
20:45 ACTION!
P.A.F. 6€ DAS SYNTHETISCHE MISCHGEWEBE de " Légende vivante " de l'avant-underground, pré- et post-industriel, ce projet de " tissu synthétique mixte " fondé à l'orée des années 80 à Berlin - par le tandem d'artistes-plasticiens Isabelle Chemin et Guido Hübner - est progressivement devenu, depuis de nombreuses années déjà, le véhicule solo des idées / obsessions sonores de ce dernier, spécialisé dans la conception et la fabrication d'environnements  / dispositifs sonores entremêlant associant l'acoustique ( légèrement amplifié ou pas nécessairement ) à l'électronique, bricolés de bric et de broc et pourtant " organiques ".
Après la publication du premier LP sur le label d'Esplendor Geometrico, suivie par un nombre incalculable de sorties ( cassettes, CD, vinyls ) sur un nombre incalculable de labels, DSM a traversé plusieurs phases, avatars et configurations, au gré de ses déménagements successifs ( Berlin - Barcelone -Bordeaux - Caen ) et des nouvelles rencontres et collaborations ( avec vidéastes, plasticiens, acteurs, musiciens, non-musiciens... dont Frans de Waard, Ios Smolders, Artificial Memory Trace, The Oval Language, ERG, MSBR, Toy Bizarre, Roel Melkoop, Ralf Wehowsky, Anla Courtis, Thierry Madiot, Now Cut, Radu Malfatti, Vestige Vertical, Tore Honore Boe, TBC, The New Blockaders... entre autres... ).
Guido Hübner, seul élément immuable ( le " leader " ) du projet au gré de ces incarnations, fabrique -  parfois même in situ - des assemblages, souvent un brin encombrants ! d’objets hétéroclites, détournés et placés dans des perspectives visuelles ou sonores décalées, utilisant des sons produits de façon électronique et / ou mécanique, pour créer une scénographie et un univers à part.
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TONGUE DEPRESSOR us Duo ( que Le N_J reçut l'année dernière dans une formule contrebasse + cornemuse ) composé de Zach Rowden et Henry Birdsey, tous les deux multi-instrumentistes, compositeurs-improvisateurs.
Ils écrivent, improvisent et interprètent de la musique basée sur des drones - impliquant généralement des accords microtonaux et des fragments réarrangés/ ré-accordés de musique d'église américaine.- avec violons, pedal steel, lap steel,contrebasse, orgue, cloches, cornemuse, parfois même une guitare électrique ( ! ) , selon le lieu, le contexte, l'inspiration.
Collaborations diverses et régulières avec d'autres musicien.ne.s versé(e)s dans le même genre de recherche et hantise sonores ( Leila Bordreuil, Max Eilbacher, Paul Flaherty, Austin Larkin, Weston Olencki,Jakob Battick, John McCowen... ).
"empyrean chimes and subterranean drones from out-musick duo Tongue Depressor -- an in-depth exploration of tuned percussion and just intoned drone that comes highly recommended if you're into the work of Tony Conrad, C.C. Hennix, John Cage, Philip Corner and Michael Ranta -- or if you're into church bells, gamelan, or Popol Vuh's earliest meditations. Floored." --Boomkat
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LE POTENTIEL fr orléans Paul Laurent, le virtuose du magnéto historique Nagra et de la bande magnétique ( en boucle ), maître ès objets amplifiés ( que nous vîmes et reçûmes avec / dedans le duo / trio tragicomique SUICIDE MOTORHEAD - mais qui officie dans d'autres projets aussi ! )  et Axel Gaudron ( au " piano Roland " + effets personnels ). Ensemble, ils ( se ) livrent une joute sonore des plus décapantes, où leurs destins se jouent, s'entremêlent, s'évitent, entrent en collision, s'enlacent, s'épousent pour mieux se repousser, s'abjurer mutuellement, dans un processus de constante composition - ou décomposition in situ, en direct - où ils se jaugent et se stimulent mutuellement, à coup de moult aspérités, voire des silences gênés, dans un duo duel chaloupant, tantôt donc en affrontement vénère, tantôt en simulacre d'une parfaite idylle / osmose - mais ô combien éphémère. 
NCR fr Trio formé par Stéphanie Briand & Philippe Desclais aka Now Cut - duo d'artisans du bruit et de " bouinage sonore ", fabriquant une bonne partie de leur instrumentarium comme leur propre " lutherie sauvage ", électronique et / ou autre ( instruments à vent chelous - aquajlong, zdong, jlong 
& co), responsables aussi de l'excellent label VIA CAVA ) s'associant occasionnellement dont cette fois-ci avec Ruelgo ( " Thedwarf " ), co-fondateur des mythiques Le Syndicat ( groupe + label ), entité pré- / post-industrielle " bruitiste " formée elle aussi, tout comme DSM, au tout début des années 80s." NCR distille une musique organique et métallique mêlant objets, feed-back et électronique. NCR déploie une atmosphère calme et inquiétante, post industrielle, dont les plages sourdes et étirées sont hachées de scratchs et percées de stridences, parfois d’appels… Qu’en est-il, puisque tout le monde deviendra fou ? "
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Fly - Jo L'Indien
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partenaires-coupdecoeur · 3 months ago
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QUAND JE SERAI GRANDE, JE SERAI PATRICK SWAYZE
Jusqu'au 10 décembre 2024
Au Théâtre de l'Œuvre
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Après avoir confondé la compagnie des Filles de Simone, Chloé Oliveres, époustouflante de présence et de bagout, se lance dans son premier seule-en scène. Elle s’empare du plateau et y rejoue ses amours réelles et imaginaires, avec beaucoup d’autodérision, le sens du tragique, une chanson en yaourt, quelques personnages, et pas mal de danse lascive. Du bébé à la quadragénaire, cette actrice décapante parcourt les étapes d’une existence promise à un amour de conte de fées avant de réaliser que, avec ou sans homme à son bras, la femme seule est l’avenir de la femme.
N'attendez plus pour trouver votre Coup de Cœur :
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labobineblog · 4 months ago
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La langue dans tous ses éclats !
Journée centrée sur la richesse de la langue française avec 3 conférences inter-actives, un atelier d'écriture, du théâtre, des lectures, et l'humour toujours !
En détail:
À partir de 14h : Conférences inter-actives sur LES MOTS QU’ON EMPLOIE. Émilie Blondeau, Lise Biscarat et Anne Paquette, vont mettre en évidence d’où viennent ces mots que l’on emploie. Ce sera ludique et il y aura des échanges.
Infos et inscription auprès d’A. Paquette : [email protected]
14h : Légende, fable, confession : histoire de parole par Émilie Blondeau, agrégées de Lettres classiques En partant du latin, il s’agira de dérouler le fil sinueux de la riche histoire des mots liés à la parole ; en remontant à leur origine, vous serez invités à découvrir leur descendance nombreuse, souvent inattendue et surprenante : un voyage à travers les langues, de l’Antiquité à nos jours ».
14h45 : Les racines grecques dans le vocabulaire médical : par Lise Biscarat, agrégées de Lettres classiques. Vous souhaitez avoir quelques indices pour comprendre ce que disent les médecins ? N'hésitez pas à venir explorer quelques pistes étymologiques pour vous guider dans la fabuleuse exploration du corps dans tous ses états !"
15h30 : Do you speak français ? ou « Les mots français en anglais » par Anne Paquette Ex-Maître de conférences à l'Université de Paris IV-Sorbonne,et à l'École polytechnique Le savez-vous ? La langue anglaise comporte près de 40% de mots d’origine française. Pourquoi ? Vous en connaissez bien sûr mais certains sont des faux amis, ayant choisi un autre sens ; le français a aussi emprunté des mots anglais en les transformant…D’aucuns nous reprochent d’utiliser des mots anglais que nous pourrions traduire… Rejoignez-nous pour voir cela de plus près !
16h15 : ATELIER D’ÉCRITURE proposé par Michèle Soullier, autrice. Elle a animé durant plusieurs années des ateliers d'écriture, notamment en milieu carcéral, et publié à l’issue « Figures & figurants – rencontres de parloirs » en 2021, ainsi qu’une autobiographie « Elle, août 1957 » en 2023. Enfin, « En héritage » paru en 2024. Elle propose ici un atelier sur un mode ludique et participatif.  « On va aller à la pêche aux mots ! Des mots comme des pièces de puzzle. On les écrit, on les lit, on les relit (relie), on les remanie. On joue avec, sans savoir ce qui va en sortir. Chacun.e selon son envie, son imaginaire, avec ce qu'iel a dans la tête. Mais on fait le pari que ce sera rigolo, étonnant, peut-être détonnant, déroutant... Exit les jugements, les vieilles peurs de « pas y arriver ». Lâcher prise et écrire ! En toute simplicité. » Pour les infos et inscriptions : en amont par mail à [email protected] ou sur place à 14H en fonction des places disponibles (maxi 10 personnes à l’atelier).
18h15 : THÉÂTRE et DECALAGE par Elisabeth Arrighi ARRIGHI et Véronique ESTEL, comédiennes.Complices autant dans le classique, le moderne que dans l’insolite. Saynètes délirantes ou absurdes Elisabeth nous proposera un montage des Beaux jours de Becket (20’) puis ensemble, elles liront des textes décapants et débridés de Dubillard, Ribes, Prévert, Joyet, Marc Fass (à la façon de Queneau), Léo Haag… On va plus que sourire !!! Info et réservation : [email protected] ou 04 75 93 73 90
19h30 : Pause restauration (avec les p’tites propositions de Noria) et bar Avec restitution de l’atelier d’écriture.
21h : LES MOTS TRI-COTÉS  par MONSIEUR MO. Personnage atypique, c’est avec l’inspiration d’un Raymond Devos, d’un Boby Lapointe et d’un Pierre Repp qu’il partage depuis 12 ans déjà avec le public … et avec gourmandise, les trésors jubilatoires de la langue française.Monsieur MO s’adresse au public…et il n’est pas là pour inviter à une simple promenade sur des sujets bateau qui font mouche sur scène. Non ! Il vient pour partager quelques-unes de ses questions existentielles : les croyances ; la peur des autres ; les années qui passent ; les salons de coiffure.. https://www.youtube.com/watch?v=j5R1u5jJD0A
22h15 : SCÈNE OUVERTE Qui veut lit un texte perso ou d’un auteur (prose ou poésie). Allez, lancez-vous, faites-vous plaisir !
Participation aux frais : Conférence inter-actives de l’après-midi : libre participation (chapeau) Spectacle : 14€/ adhérents ou -25 ans :10€ / Chômeurs ou -12 ans : 7€ Pour les 2 spectacles (18h15 et 21h) : 20€ / adhérents ou -25 ans : 15€ / Chômeurs ou -12 ans : 10€
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yespat49 · 7 months ago
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Le front républicain ou la dépossession décomplexée
Le front républicain ce sont des possédés – au sens de Dostoïevski – qui se liguent avec des possédants – au sens de Marx – pour faire barrage aux dépossédés – au sens de Guilluy et Camus. L’analyse décapante de Jean Montalte. L’épiphanie s’est produite ainsi : je voguais sur les réseaux sociaux. M’apparut alors, au hasard des algorithmes, qui font si bien les choses, une intervention du…
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lalema · 7 months ago
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ATTAC Décapant à plancher prêt à utiliser
FYI: http://dlvr.it/T9C9q3
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