#Serge Quadruppani
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wumingfoundation · 6 months ago
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Wu Ming, ou la complexité subversive
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A l'occasion de la sortie française de notre roman Ufo 78, le magazine en ligne subversif Lundi Matin a publié la postface de l'écrivain Serge Quadruppani, qui est le traducteur du roman. Nous reproduisons ici la brève prémisse éditoriale.
«Après la publication très remarquée de l’incroyable enquête Q comme qomplot, Comment les fantasmes de complots défendent le système (voir notre interview ici), le collectif italien Wu Ming revient dans les bacs avec Ovni 78 aux éditions Libertalia. Nous en publions ici la postface de Serge Quadruppani qui introduit ce livre d��capant et passionnant en le réinscrivant dans l’histoire insurrectionnelle italienne et son écrasement par l’État
Bonne lecture.»
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liqueuramere · 1 year ago
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Les deux visages de la mort
Chronique des nouvelles Le Singe et Le Chenal de Stephen King, 1980-1981 (traduction française : 1987)
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C’était la première fois que je lisais un livre de Stephen King, au hasard d’une récolte dans une boîte à lire. De ce fait il m’est impossible de situer et juger ces deux nouvelles par rapport aux autres textes de l’auteur, donc, tout en donnant mon avis, je me garderai bien de préjuger du reste de son œuvre.
Stephen King a d’abord publié ces deux nouvelles dans la presse américaine : Le Singe (en : The Monkey) en 1980 dans le magazine Gallery, et Le Chenal (en : the Reach) en 1981 dans le magazine Yankee. Les deux textes ont ensuite été publiés, avec vingt autres, dans le recueil Brume (en : Skeleton Crew) en 1985. C’est un choix des éditions françaises Flammarion d’avoir ensuite réuni ces deux nouvelles seules dans un recueil court et peu coûteux, dans leur collection “Folio”, en 1994. La traduction française est de Michèle Pressé et Serge Quadruppani.
Le Singe, 1980
L’intrigue de la nouvelle se déroule sur deux périodes temporelles séparées de vingt ans. Le texte s’ouvre sur Hal Shelburn, son épouse Terry, et leurs deux fils Dennis (12 ans) et Petey (9 ans), qui inspectent le grenier de la maison d’enfance de Hal, celle de son oncle Will et de sa tante Ida, aujourd’hui décédée. Dans un carton, Dennis et Petey trouvent un jouet, un singe mécanique à cymbales. Immédiatement cette vision saisit Hal d’effroi, car il s’agit du même singe qui, vingt ans auparavant, a hanté son enfance : “Le singe lui souriait, ses yeux d’ambre sombre fixés sur lui, des yeux de poupée, pleins d’une gaieté stupide, ses cymbales de cuivre prêtes à s’entrechoquer pour scander la marche de quelque fanfare venue de l’enfer.” (p.13) Le jouet a toujours semblé cassé (la clef qui sert à le remonter tourne dans le vide), mais de temps en temps, sans que l’on puisse l’expliquer, il se mettait à jouer des cymbales. Or à chaque activation du mécanisme, comme sous l’effet d’une malédiction, quelqu’un de l’entourage de Hal mourrait dans de tragiques circonstances. À de nombreuses reprises le jeune garçon avait essayé de se débarrasser du jouer, mais en vain : à chaque fois, il trouvait un moyen de revenir le tourmenter, y compris jusqu’à ce jour.
Dès lors, le récit alterne le présent (de la narration) et le passé (flashbacks) pour montrer comment le singe a terrorisé Hal lorsqu’il était enfant, et nous aider à comprendre pourquoi, une fois devenu adulte, ce dernier va à nouveau retomber dans ses angoisses et vouloir à tout prix réessayer de se débarrasser du singe. D’autant qu’entre-temps Hal est devenu père ; un père un brin pathétique et en conflit avec son fils aîné, mais un père tout de même soucieux de protéger ses enfants du mal qui l’a traumatisé. Impulsivement, Hal décide de “tuer” définitivement le singe et embarque avec lui son fils Petey, qui semble lui sensible à sa puissance maléfique.
Cette nouvelle illustre parfaitement la définition du fantastique telle qu’énoncée par Todorov :
Dans un monde qui est bien le nôtre, celui que nous connaissons, sans diables, sylphides, ni vampires, se produit un événement qui ne peut s’expliquer par les lois de ce même monde familier. Celui qui perçoit l’événement doit opter pour l’une des deux solutions possibles : ou bien il s’agit d’une illusion des sens, d’un produit de l’imagination et les lois du monde restent alors ce qu’elles sont ; ou bien l’événement a véritablement eu lieu, il est partie intégrante de la réalité, mais alors cette réalité est régie par des lois inconnues de nous. [...] Le fantastique occupe le temps de cette incertitude ; dès qu’on choisit l’une ou l’autre réponse, on quitte le fantastique pour entrer dans un genre voisin, l’étrange ou le merveilleux. Le fantastique, c’est l’hésitation éprouvée par un être qui ne connaît que les lois naturelles, face à un événement en apparence surnaturel. (Introduction à la littérature fantastique, Tzvetan Todorov, 1970)
Dans la nouvelle, les personnages essaient de trouver des explications rationnelles à l’inéluctable retour du singe, mais leurs hypothèses ne sont jamais pleinement satisfaisantes, en particulier pour Hal, qui reste persuadé que le jouet mécanique le persécute et qui imagine, dans des moments de terreurs, que ce dernier lui parle. Est-il un fou en plein délire ou bien le seul à être sensible à l’intentionnalité machiavélique du singe ? La question restera en suspens, même si la coïncidence et l’invraisemblance de certains événements nous feront plutôt pencher dans un sens que dans l’autre. À la fin de la nouvelle, en effet, on quitte quelque peu le temps du fantastique pour basculer dans l’horreur et embrasser pleinement l’hypothèse du singe diabolique. Les dernières phrases du texte essaient tout de même de préserver un doute, et on reste de toute façon à la frontière de ces deux genres, le sentiment de peur restant, à mon humble avis, très modéré.
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Le Chenal, 1981
L’histoire se déroule sur l’île de la Chèvre, une toute petite terre au large de l’État du Maine. Stella Flanders, une dame très âgée, y habite depuis toujours, entourée de sa famille (d’abord ses parents, puis sa descendance) et des autres habitants. Bien que le continent ne soit pas très loin, elle n’a jamais quitté l’île. Arrivée au crépuscule de sa vie et atteinte d’un cancer, elle décide d’entreprendre un unique et ultime franchissement du chenal, profitant du fait qu’il soit gelé par l’hiver. Guidée par des visions d’anciens habitants de l’île, notamment le fantôme de son défunt mari, cette traversée sera pour elle un passage du Styx.
Cette nouvelle m’a semblé beaucoup plus quelconque, même si je lui reconnais une certaine mélancolie. Contrairement à la nouvelle précédente, la mort est représentée comme étant certes imprévisible et parfois brutale, mais aussi et surtout douce et accueillante. Aucune tonalité horrifique dans ce texte (quand bien même une touche de fantastique se glisse dans sa chute) : si les morts hantent d’une certaine manière le personnage de Stella, ce n’est pas pour la tourmenter mais pour l’accompagner dans son dernier voyage (dans tous les sens de l’expression). J’aurais pu saluer une intrigue touchante et épurée si la lecture du texte n’était pas autant encombrée par un foisonnement de personnages secondaires inutiles et au milieu desquels honnêtement on se perd.
C’est, somme toute, un texte agréable mais qui m’a paru bien oubliable. Je suis particulièrement surpris de lire que cette nouvelle serait l’une des préférées de Stephen King lui-même, et que Michael R. Collings, un spécialiste de l’auteur, la considère comme “la meilleure histoire jamais racontée par King”. Encore une fois, je n’ai aucun recul global sur l’œuvre de l’auteur, mais je suis quelque peu sceptique...
Les deux nouvelles de ce recueil sont donc très différentes, et offrent deux visions opposées de la mort : dans Le Singe, elle s’immisce dans le quotidien dans toute son effroyable violence, et vaut comme un mauvais présage ; tandis que dans Le Chenal, elle est un aboutissement, la fin d’un cycle, qui peut être rude mais qui dans son passage relie joliment les morts et les vivants. Pour ma part, j’ai préféré la première nouvelle.
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hobodiffusion · 2 years ago
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★ 21 avril 2023 > bit.ly/hobo-21avril2023
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★ Les nouveautés de nos éditrices et éditeurs sorties le 21 avril 2023 > bit.ly/hobo-21avril2023
L'Enjeu féministe des retraites Christiane Marty, La Dispute
La Planète brûle Pas de révolution climatique sans révolutions sociales David Camfield, Les Nuits rouges
Le Théâtre carcéral Relations à soi et aux autres dans un monde sans commun Alexia Stathopoulos, Éditions du commun
L'Industrie du complotisme Réseaux sociaux, mensonges d'État et destruction du vivant Matthieu Amiech, La Lenteur
Les Psychanalystes et le travail Lise Gaignard, La Dispute
Censored 08 Apocalypticotrashecocidocious Collectif, Lab éditions
Vers la normativité queer Pierre Niedergang, Blast
Sortir du rang La Place des femmes en agriculture Julie Francœur, Remue-ménage
Women's Lands Construction d'une utopie (Oregon, 1970-2010) Françoise Flamant, iXe
L'Écriture de Monique Wittig À la couleur de Sappho Catherine Écarnot, iXe
Maternités subversives Maria Llopis, Goater
Une petite histoire de l’anarchisme Marianne Enckell, Nada
Une histoire personnelle de l'ultra-gauche Serge Quadruppani, Divergences
Mathieu Mestokosho, chasseur innu Serge Bouchard, Dépaysage
Quatre-vingt-neuf Georges Lefebvre, Éditions sociales
Être femme Virginia Woolf, La Variation
La Flemme Michèle Perrein, Les Lapidaires
Pente raide Marvic, Ici-Bas
L’Héritière de Keroulaz Marc Gontard, Goater
Onésime Francis De Miomandre, Les Lapidaires
Cerf, mon frère Juan Pablo Roncone, L'atinoir
Mo’ Meta Blues La musique selon Questlove Ahmir « Questlove » Thompson, BPM & Libertalia
The Velvet Underground Le Son de l'excès Massimo Palma, La Variation
Lacan écoute les Cramps & autres pulsions parallèles László, La Variation
Hollywood propaganda Final Cut Matthew Alford, Éditions critiques
« La question de la retraite des femmes n’est pas une question « spécifique » de celle des retraites. Au contraire, la réflexion sur l’avenir des retraites gagne à se baser sur le modèle de société souhaité qui intègre l’exigence d’égalité. » Christiane Marty, L'Enjeu féministe des retraites, La Dispute.
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isabelle201180 · 2 years ago
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Commissaire Montalbano – 09 – La peur de Montalbano : Andrea Camilleri
Titre : Commissaire Montalbano – 10 – La peur de Montalbano Auteur : Andrea Camilleri Édition : Pocket Policier (2008) Édition Originale : La paura di Montalbano (2002) Traduction : Serge Quadruppani & Maruzza Loria Résumé : Alors que Montalbano se rend à la pharmacie, des coups de feu éclatent et c’est un vagabond de […]Commissaire Montalbano – 09 – La peur de Montalbano : Andrea Camilleri
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jbgravereaux · 5 years ago
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Andrea Camilleri, à Turin, en 2011. ALBERTO RAMELLA / AGF / SIPA                                                                                                                                                Mort d’Andrea Camilleri, père du « giallo », le polar à l’italienne, par Abel Mestre  publié le 17 juillet 2019                                                                                                                                                                                                              Il écrivait dans une langue riche, mélange d’italien et de sicilien, et avait créé son propre genre. Il est mort à Rome à l’âge de 93 ans.                                                                                                                                                                        Il fut plus qu’un écrivain. Andrea Camilleri, mort mercredi 17 juillet, à l’âge de 93 ans, à Rome, inventa un genre : le polar à l’italienne (« giallo »). Salvo Montalbano, son personnage taciturne, gourmet et d’une intelligence rare, offrit certes un succès tardif à l’auteur sicilien, mais permit surtout à la littérature transalpine de trouver un second souffle.                                                                                                                                                                                        Difficile de dissocier l’œuvre de l’auteur, tant Montalbano (le patronyme est un hommage au Catalan Manuel Vazquez Montalban, père du détective Pepe Carvalho) est un double de Camilleri. Ses nombreuses enquêtes (vingt-six ont été traduites en français, au Fleuve noir, sur trente-deux livres) se déroulent dans un village imaginaire baptisé Vigata. La bourgade n’est qu’un décalque littéraire de Porto Empedocle, à l’est de la Sicile, où le « maestro » est né le 6 septembre 1925.                                                                                                                                                                                                                            Richesse d’écriture                                                                                                                                                                                                                        D’ailleurs, le maire de la ville souhaiterait accoler « Vigata » au nom de la cité, pour rendre hommage à l’écrivain devenu un phénomène en Italie. La série télévisée inspirée des aventures du commissaire Montalbano (1999-2017) a rencontré un tel succès qu’un feuilleton dérivé (« spin-off ») a même été créé, mettant en scène l’inspecteur à ses débuts.                                                                                                                                                                                    Camilleri ne s’est, cependant, pas fait connaître uniquement grâce à ses romans policiers drôles et politiques − homme de gauche, l’écrivain met les thèmes de la corruption, de la mafia et de la crise migratoire au cœur de son œuvre − mais aussi grâce à une langue. En version originale, ses livres sont écrits dans un mélange de dialecte sicilien et d’italien, parfois déroutant pour un Milanais ou un Vénitien. « A la maison, nous avions toujours parlé un dialecte constamment enrichi d’italien, et la distinction établie par Pirandello me convenait parfaitement : la langue italienne exprime le concept, tandis que le dialecte exprime le sentiment », expliquait-il en 2000 à Livres Hebdo.                                                                                                                                              Cette richesse d’écriture a été mise en mots en France par Serge Quadruppani. Grâce à ce travail impressionnant de traduction, empruntant au « français du Midi », la complexité des multiples influences culturelles siciliennes est rendue intelligible pour le lecteur de l’Hexagone. « Le “camillerien” n’est pas la transcription pure et simple d’un idiome par un linguiste, mais la création personnelle d’un écrivain, à partir du parler de la région d’Agrigente », explique le traducteur dans un « avertissement » présent dans chaque volume.                                                                                                                                                Voir aussi Sur les traces du commissaire Montalbano en Sicile                                                                                                                                                            « Polar du terroir »                                                                                                                                                                                                                                    Le phénomène Montalbano a surtout ouvert la voie à toute une jeune génération de « polardeux » italiens. Carlo Lucarelli, Marcello Fois, Loriano Macchiavelli, Massimo Carlotto… Tous doivent énormément à Camilleri, qui a défriché et modernisé la littérature de genre, codifiant presque un style roman policier à l’italienne : les intrigues comptent moins que l’étude des travers de la société transalpine et les héros sont presque tous bourrus, fins gourmets, torturés et solitaires. L’humour et l’autodérision sont également omniprésents. Surtout, grâce aux aventures de Montalbano, Camilleri a été précurseur d’une sorte de « polar du terroir ». A l’image du Sicilien, presque tous les auteurs placent leurs intrigues dans des régions particulières. Résultat : le roman policier italien est pro­fondément enraciné dans l’histoire et la géographie de la Péninsule.                                                                                                                                                                                                                                                Il serait injuste de résumer l’œuvre impressionnante de Camilleri aux seuls « gialli »qui ont bâti son succès à partir de 1994 (La Forme de l’eau, traduit en français en 1998 chez Fleuve noir, le Sicilien avait alors 69 ans). La première partie de sa vie, Camilleri la consacra au théâtre, à la poésie et à la télévision. Il vivait alors à Rome, et mit en scène plus de 150 pièces de théâtre. Il multiplia les mises en scène de Luigi Pirandello, cousin de sa mère. En 1958, il fut le premier en Italie à faire découvrir Samuel Beckett. Pour la Radiotelevisione Italiana (RAI), il produisit des téléfilms et des séries adaptés des romans de Georges Simenon. Les enquêtes du commissaire Maigret ont eu une réelle influence sur celles de Montalbano.                                                                                                                                                                                                    Mais l’envie d’écrire des romans le brûlait. Il avait bien un manuscrit, mais il fut refusé par toutes les maisons d’édition pendant une dizaine d’années. Heureusement, son ami l’écrivain Leonardo Sciascia veillait et le motivait. Son livre parut en 1982 (Un filet de fumée, Fayard, 2002). Plus d’une quarantaine ont suivi, la plupart dans une veine historique et toujours à Vigata.                                                                                                                                                              Un regard négatif sur le pouvoir berlusconien                                                                                                                                                                                    Dans ce pan de l’œuvre camillerienne, une sorte de fresque historique de son pays, les livres traitant de l’Italie fasciste ressortent du lot. Ils sont le prétexte à une critique féroce de l’Italie postmoderne, où une sorte de « démocrature » est à l’œuvre. Camilleri jette ainsi un regard extrêmement négatif sur le pouvoir berlusconien, qui s’accompagne de l’arrivée de l’extrême droite et des populistes aux manettes. Il tira de cette période un roman magistral, Privé de titre (Fayard, 2007) qui démonte les mécanismes du mensonge d’Etat et de la fabrication d’un coupable. Ou encore La Prise de Makalé (Fayard 2006), son roman le plus dérangeant, qui décrit le fascisme comme un viol permanent des populations qui se trouvent sous son joug.                                                                                                                                                                                            « Le fascisme est un virus, dont on a cru se débarrasser en pendant le chef par les pieds, mais qui revient depuis des décennies, sous des formes différentes », confiait-il en 2006 au Monde. Il en savait quelque chose : la famille Camilleri était mussolinienne. Son père, inspecteur des ports de Sicile méridionale, avait participé à la marche sur Rome, et sa mère, quoique un peu moins impliquée, était sympathisante. Si bien qu’à 10 ans, juste après le début de la guerre d’Ethiopie, le petit Andrea n’avait qu’un désir : « Tuer des Abyssins » − ambition dont il fit part au Duce dans une lettre enflammée. « Il m’a répondu, le cornuto, que j’étais trop petit pour faire la guerre, mais que les occasions ne manqueraient pas dans l’avenir, se souvenait-il près de soixante-dix ans plus tard. Le jour où elles se sont présentées, bien sûr, je ne voulais plus. »                                                                                                                                            Lire notre entretien avec Andrea Camilleri : « La majorité des Italiens ont adoré Mussolini, et cette volonté d’obéissance n’a jamais disparu »                                                                                                                                                        Andrea Camilleri en quelques dates                                                                                                                                                                                                        6 septembre 1925 – Naissance à Porto Empedocle (Sicile)                                                                                                                                                              1982 Un filet de fumée                                                                                                                                                                                                                        1994 La Forme de l’eau, premier livre de la série du commissaire Montalbano                                                                                                                                  2003 La Prise de Makalé                                                                                                                                                                                                                      2005 Privé de titre                                                                                                                                                                                                                                  2018 Ne me touche pas                                                                                                                                                                                                                          17 juillet 2019 Mort à Rome
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ill-will-editions · 3 years ago
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antikorg · 5 years ago
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« Nous sommes fier-e-s de cette jeunesse ! »
« Nous sommes fier-e-s de cette jeunesse ! »
[ad_1] 2020-02-18 00:15:28 Source
Parmi eux Alain Damasio, Jean Jouzel, Frédéric Lordon, Jérôme Baschet, Corine Morel Darleux, Christophe Bonneuil, Alèssi Dell’ Umbria, Serge Quadruppani, Eric Beynel, Alessandro Pignocchi, Alessandro Stella, Laurence de Cock, Josep Rafanell i Orra, Michel Kokoreff, etc.
Photo : Théophile Pouillot-Chévara
En juillet 2019, Emmanuel Macron exhortait les…
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journaljunkpage · 8 years ago
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PALACE DÉCATI
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Olivier « Gattuso » Pène
En Érythrée, au crépuscule du xixe siècle, Carlo Lucarelli remet en scène (après La Huitième Vibration) son improbable duo d’enquêteurs : l’Italien Colaprico et son auxiliaire Ogba, génie de la déduction et de l’observation, dans cette intrigue conduite de main de maître, à la manière de Poe ou évidemment de Conan Doyle, nommément cité.
Au départ, on retrouve, pendu, un citoyen, sûrement criblé de dettes de jeu. Pourtant, imperceptiblement, l’enquête se déporte vers la partie financière de ce meurtre camouflé en suicide. Dans cette partie du monde à l’abandon, se retrouvent tous les affres de la société italienne de cette période, déjà en déliquescence post-coloniale et rongée par les scandales notamment mafieux, avec l’effet loupe dû à la chaleur suffocante qui règne dans la corne de l’Afrique.
Cette enquête aux rebondissements menés tambour battant vaut aussi, ou surtout, pour son ambiance délicatement décadente et moite, rappelant même, par moments, les romans transposés en Afrique de Paul-Jean Toulet et leur inégalable et sensuelle langueur. Malgré cette ambiance hors du temps, ce récit court et efficace, parfois lyrique, possède une force de résonnance impressionnante avec notre actualité…
Avec ce grand écart subtil entre roman « début de siècle » et classique roman de détection, Carlo Lucarelli confine, mine de rien, au génie.
Albergo Italia (traduit de l’italien par Serge Quadruppani), Carlo Lucarelli, Métailié, bibliothèque italienne.
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les-toupies-h · 8 years ago
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Serge Quadruppani
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paoloxl · 6 years ago
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Francia : Appello unitario per la mobilitazione di oggi
Per contrastare la disinformazione dei  mass media italiani che tendono a presentare il movimento dei gilet gialli come un’appendice della destra, o al massimo il frutto di una convergenza degli “opposti estremismi”, abbiamo tradotto questo appello unitario di centinaia di esponenti di varie sfumature della sinistra politica e sindacale (ma senza una sola firma del partito socialista...) che ha proposto ai partecipanti alla giornata di mobilitazione internazionale per la giustizia climatica, di convergere nella quarta giornata di mobilitazione dei gilets jaunes. (a.m.)
Giustizia sociale, giustizia climatica: si deve imporre un’inversione di tendenza
Il movimento dei gilets jaunes pone al centro del pubblico dibattito tutta la politica sociale del governo. Più in particolare, sono le politiche neoliberali adottate dai vari governi da decenni che sono poste in discussione. La sempre più difficile difficoltrà di arrivare alla fine del mese, la sempre più spinta precarizzazione del lavoro, l’ingiustizia sociale, il caro-affitti, il deterioramento della vita quotidiana: tale è la condizione in cui si trova la maggioranza della popolazione. Una condizione che riguarda in particolare le donne, molte numerose nelle mobilitazioni del movimento. Parallelamente, l’evasione fiscale non è mai stata così elevata e i più ricchi si sono visti regalare vari abbassamenti di imposte: soppressione dell’ISF [Imposta sulla fortuna], flat tax del 30 % per i redditi di capitale non più sottoposti alla tassazione progressiva, abbassamento delle imposte sulle società… In questa situazione, l’aumento delle tasse sui carburanti è stata “la goccia d’acqua che ha fatto traboccare il vaso”.
Nonostante un tentativo dell’estrema destra si strumentalizzare il movimento, questo è caratterizzato da una forma di autorganizzazione orizzontale e rivendica l’esigenza d’una reale democrazia contro una presidenza autoritaria e sprezzante. Nel momento in cui in Polonia si svolge il COP 24 e la lotta contro il riscaldamento climatico si fa più urgente, questo movimento pone in evidenza anche il rapporto fra la questione sociale e gli imperativi ecologici: i maggiori inquinatori sono esentati da ogni sforzo, le principali cause del riscaldamento climatico non sono prese in considerazione, si prosegue nella riduzione dei servizi pubblici e dei negozi di quartiere e nell’urbanizzazione, non si sviluppano le alternative nel caso dei trasporti comuni. Il modello francese di abitazione sociale è minacciato dalla sua mercificazione, a tutto vantaggio dei grandi gruppi privati. Date queste condizioni, non sono certo le classi medie e popolari quelle che devono pagare il conto della transizione ecologica.
La politica del governo non dà risposte né alla collera popolare né agli imperativi ecologici. Il governo permette che le multinazionali e le lobby produttiviste facciano di testa loro, privilegiando sempre più gli interessi loro e dei loro azionisti, a spese della maggioranza e dell’avvenire del pianeta. Per giorni e giorni il governo s’è arroccato dietro una posizione intransigente, rifiutando la pur minima concessione e proclamando a gran voce che avrebbe mantenuto la rotta: e ciò nonostante che la stragrande maggioranza della popolazione appoggiasse il movimento. Il suo atteggiamento ha prodotta una crescente esasperazione, che è sfociata anche in atti violenti, cosa della quale il governo sperava di trarre profitto. Ciò non è avvenuto, e l’appoggio della popolazione è rimasto massiccio.
Il governo ha quindi annunciato, fra le altre cose, dapprima la sospensione poi l’annullamento dell’aumento delle tasse sul carburante. È un primo passo indietro, ma è ancora troppo poco e arriva troppo tardi, perché è di tutta la sua politica sociale e delle sue conseguenze economiche ed ecologiche che si deve discutere. Nel momento in cui anche i giovani hanno deciso di scendere in campo per contestare le scelte del potere in materia di istruzione, quel che si deve imporre è un’inversione di rotta. Tanto per cominciare, occorre rispondere alle rivendicazioni sindacali aumentando il salario minimo e rivedendo il massimale dello 0,3 % nell’aumento delle pensioni, ristabilire l’ISF e tassare le multinazionali (fra cui Total), le Gafa [gli oligopoli che controllano Internet] e le banche che finanziano le energie fossili, per invesrtire invece in modo massiccio nell’isolamento termico degli edifici e nelle energie rinnovabili.
È per questi motivi che noi, che firmiamo questo testo, sindacalisti, responsabili di associazioni e di partiti, ricercatori e ricercatrici, universitari, artisti eccetera sosteniamo le rivendicazioni di giustizia fiscale e sociale avanzate dal movimento dei gilets jaunes. Invitiamo la popolazione a mobilitarsi per imporre una politica che consenta una vita migliore, manifestando pacificamente nelle piazze l’8 dicembre, giornata di mobilitazione internazionale per la giustizia climatica, convergendo nella quarta giornata di mobilitazione dei gilets jaunes.
[Questo testo è stato sottoscritto da circa 300 persone, espressione di sindacati (CGT, Confédération paysanne 47, FUS, SUD), partiti e movimenti (Attac, EE-LV, Ensemble, Génération.s, LFI, PCF, PG, République et Socialisme, Résistance sociale, Solidaires), sociologi, economisti, filosofi, universitari, scrittori.
Fra i firmatari più noti ai lettori italiani citiamo Olivier Besancenot, Christine Poupin e Philippe Poutou, portavoci del Nouveau parti anticapitaliste; Marie-George Buffet, deputata del Parti communiste français; gli scrittori Patrick Chamoiseau e Serge Quadruppani; Janette Habel, politologa e copresidentessa della Fondation Copernic; Jean-Luc Mélenchon, deputato, dirigente de La France Insoumise; Ugo Palheta, sociologo, dell’università di Lilla; Catherine Samary, economista altermondialista; Eric Toussaint, storico e portavoce internazionale del CADTM. Significativamente, fra i firmatari non compare nessun esponente del Partito socialista. L’elenco completo può essere consultato in
http://inprecor.fr/article-France-Appel%20:%20Justice%20sociale,%20justice%20climatique%20:%20c'est%20un%20changement%20de%20cap%20qu'il%20faut%20imposer%20?id=2189
Traduzione di Cristiano Dan
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ebouks · 2 years ago
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Maldonnes Serge Quadruppani Dans sa jeunesse révolutionnaire, Antonin a voulu être bandit, mais il a dû admettre qu’il n’était pas doué pour ça, et il est devenu auteur de romans noirs et traducteur. Un matin, des décennies après, alors qu’il attend Olga, boxeuse féministe et amour de sa vie, apparaît Guillaume. Fils d’un droguiste assassiné par un braqueur dont Antonin a soutenu la libération,…
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wumingfoundation · 2 years ago
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« Q comme Qomplot » à Toulouse
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Le 13 septembre 2022, Wu Ming 1 a présenté Q comme Qomplot à la librairie Terra Nova de Toulouse, en compagnie du co-traducteur du livre, Serge Quadruppani, et d'Alexandre Sanchez de Lux Editeur. Grâce à la radio toulousaine Canal Sud, nous avons l'enregistrement de la soirée. Durée : une heure et trente et une minutes. Bonne écoute.
https://www.canalsud.net/wu-ming-1-q-comme-qomplot
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giancarlonicoli · 6 years ago
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26 MAR 2019 10:30
IL SILENZIO DEGLI INNOCENTISTI/1 - E ORA CHE DICONO VAURO, ERRI DE LUCA, DANIEL PENNAC, BERNARD-HENRI LÉVY E GLI ALTRI CHE DIFENDEVANO CESARE BATTISTI? IL VIGNETTISTA: ''È GIUSTO CHE PAGHI PER I CRIMINI CHE ORA AMMETTE DI AVER COMPIUTO'' - C'ERANO TONI NEGRI, GIAN PAOLO SERINO, MASSIMO CARLOTTO, IL COLLETTIVO WU MING, IL PREMIO STREGA TIZIANO SCARPA. TUTTI CONVINTI, PER DIRLA CON PHILIPPE SOLLERS, CHE L'''ITALIA CERCASSE SOLO UNA VENDETTA''. LA SCRITTRICE FRED VARGAS GLI HA PAGATO GLI AVVOCATI E NE HA SOSTENUTO FINANZIARIAMENTE I PARENTI
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1 - VAURO, ERRI DE LUCA E I FRANCESI È IL SILENZIO DEGLI INNOCENTISTI
S. Dim. per “la Verità”
Il silenzio degli innocentisti. Quelli che, fino a ieri, giuravano sull' incolpevolezza di Cesare Battisti e che oggi, davanti alle ammissioni dell' assassino dei Proletari armati per il comunismo, tacciono imbarazzati. Come lo scrittore Valerio Evangelisti, animatore della campagna a favore del terrorista sulla rivista online Carmilla che, nel 2004, raccolse 1.500 adesioni. Contattato dal nostro giornale, dopo una vita trascorsa a giurare che Battisti era estraneo ai 4 omicidi per cui è stato condannato all' ergastolo, ci risponde: «Mi dispiace, non rilascio interviste su questo tema».
Peccato.
Sono almeno trent' anni che l' intelligencija di sinistra battaglia in nome e per conto del killer di Cisterna di Latina, in Italia e all' estero. Al suo fianco si sono schierati «cattivi maestri» come Oreste Scalzone e Franco Piperno, o ex terroristi rifugiati a Parigi come Marina Petrella ed Enrico Porsia, ma soprattutto intellettuali e scrittori. Schiera a cui Battisti, romanziere noir di scadente ispirazione, si fregia di appartenere. Dan Franck e Tahar Ben Jelloun sono stati i primi a sottoscrivere manifesti di solidarietà per lui, in Francia. «Liberate i polsi di Cesare Battisti e lasciate alle loro vite francesi gli italiani che hanno trovato da voi una patria, seconda e migliore», cantava in ode, sulla prima pagina di Le Monde, Erri De Luca.
Su Liberation, gli rispondevano Toni Negri (presentato come «filosofo») e Nanni Balestrini soffermandosi sulla necessità del «perdono» per gli anni di piombo e per i suoi protagonisti. E così a seguire Daniel Pennac, il papà di Benjamin Malaussène, di professione capro espiatorio; Serge Quadruppani, Gian Paolo Serino, Massimo Carlotto, Gilles Perrault, il collettivo Wu Ming, Christian Raimo, Lello Voce, Antonio Moresco, Luigi Bernardi, Marco Philopat e il premio Strega Tiziano Scarpa. Tutti convinti, per dirla con Philippe Sollers, che l'«Italia cercasse solo una vendetta». C' è chi non si è limitato alle parole di incoraggiamento. La scrittrice Fred Vargas gli ha pagato gli avvocati e ne ha sostenuto finanziariamente i parenti.
Il filosofo Bernard-Henri Levy, che firmò la prefazione al libro del terrorista, Ma cavale (La mia fuga), anni fa riuscì a coinvolgere nella sua arringa a favore dell' assassino comunista il centenario Oscar Neiemeyer, il padre dell' architettura moderna, e altri trecento intellettuali brasiliani affinché il presidente Lula negasse l' estradizione (come poi avvenne). E a paragonare Battisti a Gabriel Garcia Marquez (a sua volta compagno solidale), ai tempi dell' esilio in Messico.
Tutti innamorati del ghigno del terrorista dal grilletto facile. Dopo la prima evasione in Francia, lo scrittore Giuseppe Genna si fece affascinare dalla «fuga (che) catapulta l' uomo nella leggenda». Per Battisti si sono mobilitati pure il regista Davide Ferrario, il produttore Marco Muller; i giornalisti Rossana Rossanda, Piero Sansonetti («caso clamoroso con negazione del diritto») e Gianni Minà.
Roberto Saviano, appena divenne famoso, ritirò il sostegno alla campagna di Carmilla dichiarando di non aver aderito («La mia firma è finita lì per chissà quali strade del Web e alla fine di chissà quali discussioni di quel periodo», si giustificò).
Il vignettista Vauro Senesi racconta di essersi ritrovato arruolato per una firma «per procura» messa da un amico. «Sbagliai a non prendere subito le distanze», spiega oggi alla Verità, «e quindi, per assumermi la responsabilità, decisi di tenere questa testimonianza».
Oggi, di fronte alla confessione del killer dei Pac, il disegnatore è laconico: «L' unico commento che mi viene in mente è che è giusto che espii la pena per le azioni che, a questo punto, rivendica di aver commesso».
Dai politici che allora si mobilitarono in sua difesa, quasi nessun commento. L' ex deputato di Rifondazione comunista, Giovanni Russo Spena, spiega solo ora al nostro giornale: «Firmai un appello garantista internazionale per chiedere di celebrare un nuovo processo in cui Battisti non fosse contumace». Ma ammette: «Devo dire che la sua figura non mi piace, non fa parte della mia storia».
2. GLI INNOCENTISTI SMENTITI
Pierluigi Battista per il “Corriere della Sera”
E ora? E adesso che Cesare Battisti ha ammesso la sua colpevolezza, che ne è degli artefici della campagna innocentista, degli intellettuali firmatari di tonitruanti appelli per denunciare, attraverso la difesa dello stesso Battisti, la deriva liberticida e autoritaria dello Stato italiano?
Che ne è della «dottrina Mitterrand» applicata a un terrorista che ora ammette i suoi omicidi ma che in Francia prima e in Brasile poi era stato considerato meritevole del diritto d' asilo e di protezione che si riserva alle vittime di uno Stato ingiusto e persecutorio? Perché nelle campagne a favore di Cesare Battisti era il sottofondo ideologico che sorreggeva la tesi della vittimizzazione e di un carnefice che si faceva passare per agnello sacrificale di uno Stato incapace di rispettare le regole elementari del diritto e dei diritti di un imputato.
E non era vero, come dimostra l' ammissione tardiva ma inequivocabile di chi si è macchiato di delitti commessi in nome della rivoluzione e della lotta armata ma che non per questo sono meno odiosi e attuati con una spietatezza sconvolgente.
Si era detto, oltralpe e tra gli scrittori e gli intellettuali che si erano bevuti la favola di Cesare Battisti braccato da un' inquisizione ottusa e oppressiva, che lo Stato lo aveva condannato con prove scarse: non era vero. Che erano stati calpestati i diritti della difesa: non era vero. Che lo Stato italiano aveva imboccato la strada dell' imitazione del Cile di Pinochet: non era vero. Che Cesare Battisti, membro di diritto della corporazione angelicata degli scrittori, non poteva essere un assassino: non era vero.
Che consegnare Battisti alle autorità italiane significava dare in pasto un innocente a uno Stato assetato di sangue: non era vero. Che la mobilitazione e l' appello degli intellettuali fosse un compito doveroso per difendere i diritti umani conculcato in Italia: non era vero. Non erano vere molte cose propalate dai difensori della causa di Cesare Battisti. E ora? E ora, ci sarà almeno in una parte di loro un sussulto di verità? Non un' autocritica, che è termine odioso, in auge nei Paesi autoritari dove si vuole l' umiliazione di chi sbaglia o di chi si presume abbia sbagliato.
Ma appunto un soprassalto di verità, un senso di fastidio per aver divulgato, non sulla base di fatti accertati ma solo per conformismo e pregiudizio ideologico, una storia falsa, deformata, stravolta. Per aver abboccato con puerile accondiscendenza alla menzogna accettata per spirito di gruppo, per una logica tribale dell' appartenenza ideologica, senza nemmeno un briciolo di considerazione per le vittime vere, per i morti ammazzati di una guerra asimmetrica scatenata per fanatismo politico. Cesare Battisti ha chiesto scusa alle vittime del delirio terroristico.
Ma i suoi seguaci sapranno almeno riflettere sulle loro parole malate? Ora la storia è stata rimessa sui suoi piedi, non è più capovolta a testa in giù come hanno preteso i firmatari di appelli insolenti e grotteschi smentiti dalle stesse dichiarazioni di Cesare Battisti. E ora, si vergogneranno almeno un po'?
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isabelle201180 · 2 years ago
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Le tailleur gris d’Andrea Camilleri
Editeur : Métailié (Grand Format) ; Points (Format poche) Traducteur : Serge Quadruppani A coté des enquêtes du célèbre commissaire Montalbano, le regretté Andrea Camilleri nous offre par moments des romans orphelins. Celui-ci se présente comme un roman intimiste sur le doute et la confiance. Un banquier quinquagénaire, veuf depuis dix ans, se retrouve à la retraite et […]Le tailleur gris…
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citation · 7 years ago
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La justice ne produit jamais que les vérités des professionnels de la justice.
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ayurawako · 5 years ago
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Dernier jour ce lundi 19 août pour profiter du festival "Les Ecrits d'août" à Eymoutiers en Haute-Vienne. Crée à l'initiative du journaliste, romancier, éditeur Serge Quadruppani, cette ... source https://kennelrealscoop.com#e91e828e060ca9ca802ea984451113ea
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