#Débarras
Explore tagged Tumblr posts
videmaison · 1 year ago
Text
https://videmaison.eu/role-des-services-de-compensation-de-la-maison/
Un espace de vie en désordre peut être accablant et bouleversant. Les objets indésirables, les meubles inutilisés et les ordures collectées peuvent transformer une maison autrefois confortable en un climat tumultueux.
0 notes
doctortwhohiddles · 7 days ago
Text
Gaetz just gave up and decided to save his own skin. Good fucking riddance. Let's hope the rapist nominated for Defense does the same thing.
2 notes · View notes
a-room-of-my-own · 1 month ago
Text
Sinwar est mort j’espère que quelqu’un est au chevet d’Aymeric Caron qui doit être dépité .
4 notes · View notes
bondebarras · 2 years ago
Photo
Tumblr media
Les aventures de “One book a day...” seront désormais à suivre sur Bonheur Portatif (et ressembleront plus probablement à “Several books a month...”) (et seront noyées dans un flux d’annotations quotidiennes). Au plaisir de vous y retrouver, néanmoins, Philippe
8 notes · View notes
ruemorinpointcom · 10 months ago
Text
Objectif Scène
Dévoilement de la troisième édition de l’événement Les Mots Parleurs Continue reading Untitled
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
where-s-all-blue · 1 year ago
Text
Usopp, reading the news: Oh they are saying that the Eiffel Tower is going to be demolished-
Sanji: Au revoir et bon débarras, espèce de connasse triangulaire.
Usopp: What
Zoro: He said "Good bye and good riddance you triangular cunt".
Usopp: Oh
Usopp:
Usopp: Wait, you can speak French?
Zoro: I only understand the insults
Usopp: Oh
Usopp: .....
Usopp: How many-
Zoro: A lot.
Sanji: *ranting about how unromantic and ugly the Eiffel Tower is and how it was supposed to stay only until a fair or sort was over only for some idiot choosing to add light to it and copyright every single photo taken of the thing at night*
Zoro: Observe how the Eiffel Tower will be the only lady Sanji will ever disrespect.
Usopp: Nobody truly hates anything like the French...
225 notes · View notes
videmaison · 1 year ago
Text
Rôle des services de compensation de la maison
Un espace de vie en désordre peut être accablant et bouleversant. Les objets indésirables, les meubles inutilisés et les ordures collectées peuvent transformer une maison autrefois confortable en un climat tumultueux. Pas de grande surprise un nombre toujours croissant de particuliers recherchent un service de débarras.
Cet article explore les avantages de décharger votre sous-sol et votre grenier et comment les services de nettoyage vous aident à changer votre maison. Les tâches particulières et les avantages de chacun de ces services de nettoyage sont indiqués ci-dessous.
Augmenter l’espace
Une cave vide et un grenier libre sont souvent des zones sous-utilisées dans une maison. En déchargeant et en nettoyant ces espaces, vous pouvez augmenter votre stockage accessible ou créer de nouvelles régions utilitaires. Ceux-ci peuvent devenir des espaces de travail, des chambres d’amis ou des espaces sportifs. Cette amélioration de la pièce ajoute à un climat de vie plus coordonné et plus efficace.
Nettoyer et coordonner
Tumblr media
Changement et personnalisation
Une fois épuisés, les sous-sols et les greniers peuvent être transformés en régions qui répondent à vos besoins et inclinations particuliers. Que vous décidiez de créer un centre de loisirs à domicile, un espace d’art ou d’intérêt secondaire, les résultats potentiels sont insondables. Ce changement vous permet de personnaliser votre maison et de capitaliser sur son espace accessible.
Efficacité améliorée
Les lieux de travail collecteront le plus souvent des dégâts, du matériel obsolète et du travail administratif sur le long terme. En épuisant et en nettoyant votre espace de bureau, vous établissez un climat impeccable et coordonné qui favorise l’efficacité et la concentration. Une zone de travail sans désordre prend en considération une meilleure fixation, diminue les interruptions et développe davantage la productivité générale du travail.
Utilisation efficace de l’espace
Épuiser votre bureau vous permet de réévaluer et de faire progresser l’utilisation de l’espace accessible. Vous pouvez améliorer le mobilier, mettre des ressources dans des arrangements de capacité utilitaire et créer un format de bureau améliorant le processus de travail. Une utilisation réussie de l’espace incite à développer davantage l’efficacité et à créer un lieu de travail plus agréable.
Compétence compétente
Les administrations de nettoyage de maison fournissent des experts préparés qui travaillent au nettoyage et à l’aménagement des espaces de vie. Leurs compétences aident les titulaires de prêts hypothécaires à tirer des conclusions éclairées sur les biens à conserver, à vendre, à donner ou à éliminer. Ils gèrent le cycle avec compétence et garantissent que les choses nostalgiques sont traitées avec soin.
Fonds de réserve d’investissement importants
Le nettoyage de toute une maison ou d’un bureau nécessite un investissement critique. Recruter des administrations de nettoyage vous permet de confier cette mission à des experts disposant des compétences fondamentales. Cela vous permet d’économiser un investissement qui peut être mieux dépensé dans d’autres parties importantes de votre vie ou de votre entreprise.
Conclusion
L’épuisement des sous-sols, des lieux de travail, des administrations de nettoyage de maison, joue un rôle crucial dans la création d’un climat de vie et de travail parfait. Le nettoyage des sous-sols et des chambres hautes prend en compte l’amélioration, le nettoyage et la personnalisation de l’espace. Il transforme les régions sous-utilisées en espaces utiles qui répondent à vos besoins particuliers, qu’il s’agisse d’un espace de travail ou d’une pièce de rechange.
URL : https://videmaison.eu/
0 notes
sleepyminty · 3 months ago
Text
Tumblr media
Bon débarras
29 notes · View notes
gentrychild · 11 months ago
Note
Rest in peace Super Anxiety
Bon débarras !
29 notes · View notes
noa-de-cajou · 9 days ago
Text
Zuza appartient à @soupedepates
Le texte qui suit aborde des thèmes lourds autour de la grossesse et de l'accouchement.
Et oui on écrit en français aujourd'hui youpidou
3 décembre 2002, 17h03
– Mademoiselle Nowak ?
Putain, c'est pas trop tôt. J'arrive à cours de barres chocolatées. Moi qui croyait que les fringales s’arrêtaient après la grossesse, je l’ai dans le cul. Au moins le résultat de ladite grossesse pionce tranquillement dans son porte-bébé, enfin.
Le comité est bien garni en tout cas. La sage-femme qui est à sa tête amène avec elle toute une petite cour. Madame Fourrières alias la gynéco la plus safe qui existe, bénie soit cette femme, la nana de l’ASE qui s’occupe du dossier de Tonia, j’ai oublié son nom, une autre sage-femme, à lunettes celle-là, et deux meufs en blouse bleue qui doivent pas être beaucoup plus âgées que moi et qui se chient clairement dessus. Ça m’agace gentiment, cette procession, j'ai l’impression qu'ils viennent admirer la bête curieuse. Déjà qu'ils m’ont pas laissée assister à l’accouchement... Au moins la sage-femme devant est souriante, ça en fera au moins une entre nous deux.
– Vous connaissez déjà le docteur Fourrières et mademoiselle Blin de la protection à l’enfance, je crois.
Blin. Marie Blin. Je me demande comment j’ai pu oublier son nom, à cette pimbêche et ses discours tout faits. Oh, pleine de bonne volonté, hein, mais c’est pas la bonne volonté qui change la situation de merde dans laquelle on est. La sage-femme me sourit toujours malgré mon regard mauvais.
– Moi c’est Amel, j’étais avec Tonia pendant l’intervention. Tout s'est bien passé, elle se repose pour l’instant. Elle a géré la césarienne comme une championne.
C’est tout ? Des heures d'attente au milieu de cris de chiards pour qu'on me lâche que ça “s’est bien passé” ? Et c’est quoi exactement “gérer une césarienne” ? Le regard d’Amel s’adoucit.
– On va vous raconter en marchant un peu, si vous voulez bien. Julie, Crystal, vous voulez bien faire le tour de vos patientes pendant que je m’occupe de mademoiselle Nowak ?
Les gonzesses en bleu, sûrement les internes, hochent vivement la tête et déguerpissent aussi sec. Bon débarras. Amel me fait signe de la suivre, le docteur Fourrières fait quelques mètres avec nous avant de devoir repartir en intervention aussi sec. Je suis bien remontée contre tout le monde mais elle, je lui en veux pas, vu comment elle a géré ma grossesse et celle de Tonia. Quasi en simultané d’ailleurs. Sans doute pas le meilleur moment de sa carrière. Mais du coup me voilà en train d’arpenter les couloirs puants avec ma môme sur la poitrine, Amel, la gourdasse de l’ASE, et la binoclarde dont j'ai toujours pas le nom.
– Donc, par rapport à Antonina… Vous êtes sa tutrice légale, c'est bien ça ?
– Depuis pas longtemps, ouais. Chais pas si on vous a dit par rapport à sa famille ?
Ces énormes fils de pute ?
– Je leur ai déjà fait un topo, intervient la mère Blin derrière moi.
Nan mais écoutez-la, gngngn je leur ai déjà fait un topo… Au moins ça m’épargnera de la salive.
– Mademoiselle Nowak n'est pas sa tutrice depuis très longtemps, vous comprenez, alors je suis là pour faire en sorte que tout se passe bien…
Mais c’est qu’elle en rajoute en plus ?! Putain, Micheline, j’ai pas cinq ans, j’ai une gosse, un diplôme, une bagnole et un appart, connasse !
– Je vois, répond Amel avec ce qui ressemble à de la politesse pour éviter de lui dire qu’elle s'en fout. Mademoiselle Nowak, on m'a dit que vous sortez de l’école d’infirmières ? Ça doit être pénible de repasser à l’hôpital.
Ouais. Ça l'est. Mais je crois que j'aurais préféré y être pour bosser.
– Ça va. Chuis en congé mat’, de toute façon.
Amel regarde mon petit paquetage de deux mois qui tape toujours sa meilleure sieste. Ce porte-bébé est un putain de cadeau de Dieu.
– Hmhm. Comment il… ou elle, s’appelle ?
– Bronya.
– Bronya, elle répète avec un sourire.
Par rapport à ma grand-mère. Bronislawa. J’avais pas de meilleure idée.
Et cette causette commence sérieusement à me gonfler.
– Bon écoutez, j’aimerais bien qu’on arrête de tourner autour du pot. Si ça s'est si bien passé que ça, pourquoi vous m’en dites pas plus ?
Son sourire se fait plus crispé. C'est pas la gueule d'une menteuse mais c’est bien celle de quelqu'un qu’a pas que des bonnes nouvelles à annoncer.
– Oui, il faut bien y venir… On arrive justement en néonat’. Le pédiatre est un peu débordé, donc c’est moi qui vais faire l’explication.
En… Putain j'avais oublié dans la panique. C’est vrai que l’accouchement était prévu pour février 2003 à la base. J’aurais dû m’attendre à ce que ça soit un préma, vu les circonstances.
Amel explique longuement à la Blin que ce serait mieux qu'elle attende dehors, que pour l’instant il faut éviter d’être trop nombreuses dans la pièce, en gros elle la baratine et l'autre finit par hocher la tête avec un air tout perdu. Dans les dents, grognasse.
On va pas se mentir, une fois devant la couveuse, je me sens plus si fière. Ça fait beaucoup trop de bips et beaucoup trop de tubes pour un bébé aussi riquiqui. Je passe une main sur la petite tête de Bronya, nerveusement. Ça aurait pu être elle dans cette machine. Ça aurait pu être elle.
Amel pose une main sur l’incubateur, tout doucement.
– Voilà. Je sais que c’est impressionnant, mais c’est nécessaire… Et la petite est tout à fait stable. Il n’y a pas vraiment lieu de s’inquiéter.
Donc c’est une fille. Bon. Je pensais que l’annonce du genre allait me faire plus d’effet, mais là je m’en fous un peu.
– Elle s’appelle comment ?
Silence dans la salle. J’ai mis les pieds dans le plat ? On dirait bien. Parce que binocles a l’air hyper contrite et qu’Amel soupire.
– Vous… Vous savez déjà, mademoiselle Nowak, que certaines patientes peuvent avoir des réactions très… fortes après un accouchement, surtout s'il est traumatique.
Ouais. Je sais. Encore une fois, je suis infirmière. Et j’aime pas du tout cette prémice.
– Antonina… n’a pas voulu nous croire quand on lui a dit que c’était son bébé. Elle a refusé de lui donner un nom, elle n’a pas arrêté de crier et de pleurer, on a dû vite l'enlever de sa vue parce que ses constantes s'affolaient.
… Putain. Putain, voilà pourquoi j’ai insisté pour qu’ils me laissent venir, mais non, hein, le moins de personnes possibles, c’était mieux de me faire attendre sur un siège défoncé pendant que la gamine dont j’ai la responsabilité légale fait une crise de nerfs en accouchant parce qu’elle a pas onze ans, putain.
– Elle s’est aussi mise à refuser de parler autrement qu'en polonais… Sans Zuza, on n'aurait jamais réussi à la calmer.
Elle désigne la binoclarde, qui a toujours pas pipé mot et qui rosit en se faisant mentionner. J'en profite pour la regarder un peu mieux. Elle est pas très grande, le nez un peu arqué et les cheveux tirés en arrière, ce qui la vieillit vachement alors qu'elle doit avoir vingt-cinq ans à tout péter. Mais elle a une bonne tête, ça va.
– Vous lui avez parlé polonais ?
Elle hoche doucement la tête. Sans rien dire de plus. C'est vrai que “Zuza”, ça sonne polonais.
– … Merci.
Elle a un tout petit sourire et ça change tout sur son visage.
– C’est normal, je n’ai fait que mon travail.
Putain sa voix est super apaisante. C’est pas grand-monde qui peut souffler ma colère comme ça. Même Bronya, qui s’est réveillée à cause des bips partout, la fixe avec de grands yeux. Sans chouiner.
– Antonina a été très courageuse, se sent obligée de préciser Amel. Mais Zuza a été une aide précieuse, vraiment.
Bien sûr qu'elle a été courageuse. Elle avait pas le choix. C'est déjà assez dingue qu'elle ait pas décidé de juste abandonner le bébé ou de faire ça sous X.
– On pensait vous demander de la nommer, mademoiselle Nowak, reprend Amel.
Je jette un œil à l’espèce de crevette rabougrie et intubée de partout dans sa couveuse. Ça m'inspire rien du tout. J’ai toujours été nulle avec les noms. Et puis même si elle en veut pas, c’est le bébé de Tonia, pas le mien.
– Chais pas trop.
Zuza s'approche, l’air un peu hésitante.
– Vous savez, je pense que ça ne dérangerait pas Antonina. Elle a parlé de vous plusieurs fois, même en délirant. Et vous avez l’air de beaucoup l'aimer.
Ouais. C’est vrai. Je l’adore, cette gamine. Même enceinte jusqu'aux yeux à un âge où tu devrais juste être en train de jouer aux Legos et de t'inquiéter de tes devoirs de maths, elle arrivait encore à me sourire. À faire des blagues. À me parler de films qu’elle voulait voir. À s'extasier sur mon bébé à peine né dont je savais même pas quoi penser. Je comprends pas comment on peut ne pas l'aimer. Je comprends pas les messages sans réponse envoyés à Eunika pour lui dire de venir, putain, c’est ta petite sœur quand même, pour qu’au final mes SMS s'envoient même plus. Bloquée. Tu parles d'une amie, tu parles d'une sœur. Ils peuvent aller crever, elle et son mec. Surtout son mec.
Et les tonnes de messages que je reçois de la daronne Zielinska, cette vieille pute, ils valent même pas la peine que je les regarde.
– Ça lui ferait plaisir que vous nommiez ce bébé, Milena.
Milena. Elle m’appelle par mon prénom. J’ai les yeux tout humides, ça doit être la fatigue. Bronya fait pas encore ses nuits mais ce qu'elle me fait c’est de sacrées coliques, et moi chuis crevée.
En parlant de Bronya, la voilà qui se met à babiller maintenant. À deux mois, c’est surtout des “A-ba” et autres variantes toutes aussi lettrées. Je l’écoute d'une oreille en regardant l’autre dans sa couveuse.
… Ça me donne une idée, ce discours de bébé.
– Ada. C'est bien, Ada.
Simple. Ça se lit pareil dans les deux sens. Ça la fera pas chier pour l’écrire à l'école.
– Ada ! s'exclame Amel d'une voix réjouie. C’est très joli. On saura comment l’appeler maintenant.
Elle part dans des explications sur la suite, le peau à peau, les soins, l’allaitement, comment je peux demander de l'aide pour surveiller la santé de Tonia et d’Ada, et puis déclarer la petite à la mairie, je l’écoute à peine. Trop crevée. Épuisée d'avance à l’idée que je vais devoir demander de l’argent à mes parents. Que mon daron le donnera sans problème, mais pas avant que ma mère m’ait copieusement engueulée et traitée d’incapable.
Zuza pose une main sur mon épaule. Je la laisse faire quelques secondes, puis je la repousse mollement. C’est pas grave. Je me démerderai.
Me suis toujours très bien démerdée toute seule.
Et non, je pleure pas, merci beaucoup.
– Vous voulez aller voir Antonina, Milena ? me demande Zuza. On pourra s'occuper d’Ada après.
Je hoche la tête. Ouais. Je veux bien. Ça m’évitera de perdre du temps sur le reste.
Elle a besoin de moi.
Elles ont toutes besoin de moi. Je peux pas les laisser tomber.
5 notes · View notes
lounesdarbois · 7 months ago
Text
Dans l’enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, c’est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d’invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. « Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père. » Il y a assez de place dans l’Église pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m’arrête à son seuil mais qui l’aime et veille sur elle). Ces principes sont décrits par des auteurs comme Julien Langella, comme tous ceux qui entendent concilier foi et identité, et qui s’appuient sur l’exégèse biblique et l’apologétique, disciplines que peu de chrétiens étudient.
(...)
Nouveaux pèlerins, vous cherchez vraiment la vie chrétienne ? Vous ne pouvez plus vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez plus parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement par confort, pas d’un seul millimètre, sans quoi c’est la descente entièrement au primitif ontologique pour n’en plus jamais remonter. En temps d’effondrement vous ne pouvez pas « faire la fête ». On ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les Hilotes devant les Spartiates, ni consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques ; encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d’avoir bouffé, toute l’année, toute la vie. Le salaire des gaudrioles, c’est la honte, le déclassement, la mort, l’oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l’école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de football urbain qui a fini par décourager tant de carrières prometteuses et défigurer l’équipe de « France » (le contre-exemple Griezmann formé en Espagne dit tout par ricochet), tant d’autres déshonneurs ordinaires, sont des plaies qui cicatrisent très vite à condition d’une hausse drastique des standards culturels.
(...)
Vive le prolétariat chrétien
Quand le gras domine sur le muscle, quand l’efféminé domine sur le bonhomme, alors c’est la dictature des bourgeois-bordel sur une Église-armée-mexicaine. C’est le modèle exactement contraire qui est chrétien, et qui commence au prolétariat choyé, révéré, spécifiquement favorisé. Ouvriers, techniciens, artisans, un prolétariat français chrétien qui maîtrise les métiers indépendants productifs, formé sur le modèle de l’école de la Martinerie : non-mixité, sobriété, technique.
Tumblr media
Le prolétaire, étymologiquement, c’est l’homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu’est-ce qui a perdu le Liban ? La Syrie chrétienne ? C’est la vie bourgeoise, le mesquin principe du « pas trop d’enfants », la radinerie du « pas de premier enfant avant 30 ans ». En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l’ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d’un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. « Quoi ? Tu n’as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu ne te marieras jamais », authentique. Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par calcul bourgeois. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, pour ensuite s’enrichir. Leurs maisons sont rangées, vivantes, ils prient, ils travaillent, ils chantent, ils lisent, ils s’entraînent, ils s’entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable : la baise, le restaurant, le voyage ; en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s’amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d’en prendre un pour deux et de se serrer dessous ensemble.
10 notes · View notes
2serenity0 · 5 months ago
Text
Tumblr media
Au revoir, à la revoyure, bon voyage, arrivederci, sayonara, adieu, bon débarras, bon vent, que le diable t’emporte à 312 km, ne reviens pas, que je ne te revois plus, hasta la vista, tire toi et taille la route 😊
18 notes · View notes
incorrectandjuliet · 1 year ago
Text
May, jokingly: I heard they're deconstructing the Eiffel Tower! Francois, under his breath: Au revoir et bon débarras, espèce de connard triangulaire. Juliet: WHAT THE FUCK?? May: ??? *Romeo and Lance nod in agreement with Francois*
17 notes · View notes
transgenderer · 7 months ago
Text
Tumblr media
The Holy Face of Lucca (Italian: Volto Santo di Lucca) is an eight-foot-tall (2.4 m), ancient wooden carving of Jesus crucified in the cathedral of San Martino, Lucca, Italy. Medieval legends state that it was sculpted by Nicodemus who assisted St. Joseph of Arimathea in placing Christ in his tomb after the crucifixion. The same legends placed its miraculous arrival in Lucca to AD 782.
At the end of the fourteenth century, such a Holy Face inspired miracles and veneration in the Low Countries, Bavaria and the Tyrol, though its connection with Lucca had been forgotten. The long robe worn by the statue appeared to signify that the figure was of a woman. To account for the beard, a legend developed of a young noblewoman who miraculously grew a beard in order to maintain her virginity. Her father, often said to be the king of Portugal, promised her in marriage to another pagan king. Wilgefortis, who had taken a vow of perpetual virginity, prayed to be made repulsive to her future husband. As a result, she grew a long, flowing beard. In a rage, her father had her crucified. Wilgefortis became a popular figure in folk Catholicism. As a result, she assumed various local names including Kümmernis in Germany or Sainte Débarras in France, and was duly entered in the Martyrologium Romanum in 1583, retaining a devoted following as late as the nineteenth century.
8 notes · View notes
videmaison · 1 year ago
Text
0 notes
actualmermaid · 1 year ago
Text
Today's queer saint of the day is St. Wilgefortis, a bearded lady and virgin martyr.
This cool poster was brought to my attention by a follower who spotted it in their local lesbian bar. It's an original design by Maïc Baxane, who has it available for purchase on their Etsy
Tumblr media
Once upon a time, there was a young, beautiful woman named Wilgefortis (or Débarras, or Liberata, or Uncumber, or a variety of other names in European languages). Her father planned to marry her off to a cruel and impious king, so Wilgefortis prayed to God for deliverance. She grew a beard, and her would-be husband rejected her. Her father became so angry that he crucified her, but she went to heaven with Jesus, Mary, the angels, and the virgin martyrs of old.
This story may not be "true" in a historical sense (if it is, what "really happened" is obscured behind centuries of myth and legend). What is fascinating about St. Wilgefortis is how popular and widespread her cult was, and still is, with people on the margins. She is venerated by lesbians, trans women, chaste and asexual people, people fleeing misogynistic violence, intersex people, gender-nonconforming people, drag performers, sex workers, women with beards and men without them, and many many others. Her cult arose in the 14th century, but was oh-so-helpfully "debunked" by the Church a few hundred years later. In present times, St. Wilgefortis gets the last word, and she remains a patron saint for bearded ladies and the people who love them.
Read more about St. Wilgefortis here
45 notes · View notes