#Débarras
Explore tagged Tumblr posts
Text
https://videmaison.eu/role-des-services-de-compensation-de-la-maison/
Un espace de vie en désordre peut être accablant et bouleversant. Les objets indésirables, les meubles inutilisés et les ordures collectées peuvent transformer une maison autrefois confortable en un climat tumultueux.
#vide maison#vide maison Bruxelles#vide appartement#service débarras d’encombrants#achat meubles#vide cave#vide garage#vide grenier#vide tout#débarras#antiquaire vide maison#Le Nettoyage#Devis Gratuit#Vide Entrepôt#Vide Bureau#vide Débarras d’encombrants#vide cave et grenier gratuit#vider vos bureaux#Service de vide maison#Service nettoyage#Enlèvement de déchets#Evacuation de débris de construction#Débarras de meubles#Enlèvement de débris de jardin#Enlèvement et débarras de matelas#Enlèvement et mise au rebut des ordures#Enlèvement et élimination de déchets électroniques#Nettoyage de maisons et de garages#Evacuation de caves et grenier#Vide maison a Bruxelles
0 notes
Text

DING DONG THE BASTARD IS DEAD
84 notes
·
View notes
Text
Gaetz just gave up and decided to save his own skin. Good fucking riddance. Let's hope the rapist nominated for Defense does the same thing.
2 notes
·
View notes
Text
Sinwar est mort j’espère que quelqu’un est au chevet d’Aymeric Caron qui doit être dépité .
#hâte de lire les unes des journaux de gauche sur sa passion de l’horticulture ou truc du genre#bon débarras !
4 notes
·
View notes
Photo

Les aventures de “One book a day...” seront désormais à suivre sur Bonheur Portatif (et ressembleront plus probablement à “Several books a month...”) (et seront noyées dans un flux d’annotations quotidiennes). Au plaisir de vous y retrouver, néanmoins, Philippe
8 notes
·
View notes
Text
#Débarras de succession#Débarras de succession a bruxelles#Débarras de succession en belgique#Débarras de succession a wavre#vide maison#vide maison a bruxelles
0 notes
Text
Rôle des services de compensation de la maison
Un espace de vie en désordre peut être accablant et bouleversant. Les objets indésirables, les meubles inutilisés et les ordures collectées peuvent transformer une maison autrefois confortable en un climat tumultueux. Pas de grande surprise un nombre toujours croissant de particuliers recherchent un service de débarras.
Cet article explore les avantages de décharger votre sous-sol et votre grenier et comment les services de nettoyage vous aident à changer votre maison. Les tâches particulières et les avantages de chacun de ces services de nettoyage sont indiqués ci-dessous.
Augmenter l’espace
Une cave vide et un grenier libre sont souvent des zones sous-utilisées dans une maison. En déchargeant et en nettoyant ces espaces, vous pouvez augmenter votre stockage accessible ou créer de nouvelles régions utilitaires. Ceux-ci peuvent devenir des espaces de travail, des chambres d’amis ou des espaces sportifs. Cette amélioration de la pièce ajoute à un climat de vie plus coordonné et plus efficace.
Nettoyer et coordonner

Changement et personnalisation
Une fois épuisés, les sous-sols et les greniers peuvent être transformés en régions qui répondent à vos besoins et inclinations particuliers. Que vous décidiez de créer un centre de loisirs à domicile, un espace d’art ou d’intérêt secondaire, les résultats potentiels sont insondables. Ce changement vous permet de personnaliser votre maison et de capitaliser sur son espace accessible.
Efficacité améliorée
Les lieux de travail collecteront le plus souvent des dégâts, du matériel obsolète et du travail administratif sur le long terme. En épuisant et en nettoyant votre espace de bureau, vous établissez un climat impeccable et coordonné qui favorise l’efficacité et la concentration. Une zone de travail sans désordre prend en considération une meilleure fixation, diminue les interruptions et développe davantage la productivité générale du travail.
Utilisation efficace de l’espace
Épuiser votre bureau vous permet de réévaluer et de faire progresser l’utilisation de l’espace accessible. Vous pouvez améliorer le mobilier, mettre des ressources dans des arrangements de capacité utilitaire et créer un format de bureau améliorant le processus de travail. Une utilisation réussie de l’espace incite à développer davantage l’efficacité et à créer un lieu de travail plus agréable.
Compétence compétente
Les administrations de nettoyage de maison fournissent des experts préparés qui travaillent au nettoyage et à l’aménagement des espaces de vie. Leurs compétences aident les titulaires de prêts hypothécaires à tirer des conclusions éclairées sur les biens à conserver, à vendre, à donner ou à éliminer. Ils gèrent le cycle avec compétence et garantissent que les choses nostalgiques sont traitées avec soin.
Fonds de réserve d’investissement importants
Le nettoyage de toute une maison ou d’un bureau nécessite un investissement critique. Recruter des administrations de nettoyage vous permet de confier cette mission à des experts disposant des compétences fondamentales. Cela vous permet d’économiser un investissement qui peut être mieux dépensé dans d’autres parties importantes de votre vie ou de votre entreprise.
Conclusion
L’épuisement des sous-sols, des lieux de travail, des administrations de nettoyage de maison, joue un rôle crucial dans la création d’un climat de vie et de travail parfait. Le nettoyage des sous-sols et des chambres hautes prend en compte l’amélioration, le nettoyage et la personnalisation de l’espace. Il transforme les régions sous-utilisées en espaces utiles qui répondent à vos besoins particuliers, qu’il s’agisse d’un espace de travail ou d’une pièce de rechange.
URL : https://videmaison.eu/
#vide maison#vide maison Bruxelles#vide appartement#service débarras d’encombrants#achat meubles#vide cave#vide garage#vide grenier#vide tout#débarras#antiquaire vide maison#Le Nettoyage#Devis Gratuit#Vide Entrepôt#Vide Bureau#vide Débarras d’encombrants#vide cave et grenier gratuit#vider vos bureaux#Service de vide maison#Service nettoyage#Enlèvement de déchets#Evacuation de débris de construction#Débarras de meubles#Enlèvement de débris de jardin#Enlèvement et débarras de matelas#Enlèvement et mise au rebut des ordures#Enlèvement et élimination de déchets électroniques#Nettoyage de maisons et de garages#Evacuation de caves et grenier#Vide maison a Bruxelles
0 notes
Text
Objectif Scène
Dévoilement de la troisième édition de l’événement Les Mots Parleurs Continue reading Untitled

View On WordPress
#amélie prévost#édition#évènement#bon débarras#dévoilement#improvisation#Improvisaton#jean-bernard hébert#les mots parleurs#lni#machette#nadyne bédard#objectif scène#philippe b#porte-parole
0 notes
Text
Usopp, reading the news: Oh they are saying that the Eiffel Tower is going to be demolished-
Sanji: Au revoir et bon débarras, espèce de connasse triangulaire.
Usopp: What
Zoro: He said "Good bye and good riddance you triangular cunt".
Usopp: Oh
Usopp:
Usopp: Wait, you can speak French?
Zoro: I only understand the insults
Usopp: Oh
Usopp: .....
Usopp: How many-
Zoro: A lot.
Sanji: *ranting about how unromantic and ugly the Eiffel Tower is and how it was supposed to stay only until a fair or sort was over only for some idiot choosing to add light to it and copyright every single photo taken of the thing at night*
Zoro: Observe how the Eiffel Tower will be the only lady Sanji will ever disrespect.
Usopp: Nobody truly hates anything like the French...
#this is a reference to a tumblr post that made my mom laugh like crazy#one piece#onepiece#one piece conversation#incorrect one piece quotes#black foot sanji#sanji vinsmoke#one piece sanji#ronoroa zoro#one piece zoro#one piece usopp#usopp#god usopp#sogeking usopp#eiffel tower
228 notes
·
View notes
Text

— taste // wolfstar x oc
00 — august ❝but i can see us lost in the memory august slipped away into a moment in time cause it was never mine and i can see us twisting the bedsheets august slipped away like a bottle of wine cause you were never mine❞
pairing: remus lupin x oc (eventual wolfstar x oc)
synopsis: falling in love isn't supposed to be so easy, so hard and fast, especially when remus knows it can't last forever.
warnings: oc, some character descriptions, oc name mentioned, NOT x reader, french (some of this may be poorly translated ngl because I haven't spoken consistent french in awhile)
word count: 1.9k
marauders masterlist main masterlist

Summer 1976.
Remus had been looking forward to this summer for months. An entire summer spent in Paris. While most would assume that freedom and adventure were more to James and Sirius’ tastes, Remus couldn’t wait to get a taste of it. He’d miss his friends, sure, without the week-long visits to Potter Manor, but they would all survive one summer, and they’d have plenty of stories to tell when they returned to Hogwarts in the fall.
Despite often being credited as the ‘smart’ one of the Marauders, he wasn’t too proud to admit that he could barely understand a lick of the French spoken all around him. That was definitely Sirius’ department.
He didn’t mind, though. He was too busy taking in the wonderful sights and smells and sounds of the beautiful, old downtown area he’d been spending most of his time in.
He’d been admiring a record shop perched on one of the cobblestone corners for the last couple of days now, and finally, he’d decided today was the day to actually check it out.
The inside of the store was dim but warm, and somehow stuffed full of shelves while still feeling spacious at the same time. It was the kind of place that the owner clearly treated more like a home than a store, the way it emitted such comforting energy.
Apparently, though, the owner was just as possessive of the shop as he would be of his own home too.
Remus had been looking through a shelf of records while playing absentmindedly with his wand before he realised that fiddling with it out in the open like this was probably not the best idea. But when he tucked it back into his sleeve, the shopkeeper sat up stiff behind the desk, shooting quickly to his feet and rounding one of the shelves to plant himself in front of the young wizard before he could move.
“C’est quoi ça??” He snapped, eyes sharp and angry. “Montre, gamin! Pensez-vous que je me suis aveugle?!”
Remus blinked, wide eyed, not a single syllable of the quickly-spoken french registering in his ears. “I- sorry- what…?”
“Oh, vous êtes simple, c'est ça?? Montrer! A ce moment, lorsque j'appelle les autorités!”
While this was happening, what Remus had failed to notice was a pair of inquisitive eyes fixed on him, a tiny smile playing over soft lips as a stranger watched him from between shelves.
She slipped out into the open now as Remus continued to stammer in protest, her movements silky smooth as she stepped up right next to him to face the shopkeeper with narrowed eyes and a defiant curve to her mouth.
“Qu'est-ce qui se passe ici?” She frowned.
Remus blinked at her. Had she been there the whole time?
“Ah, gamin ici pense qu’il peut me voler!”
She rolled her eyes. “Vous êtes paranoïaque, Pierre. Il n’a volé pas au qu'une chose.”
The man’s face seemed to turn red and puffy with anger. “Paranoïaque? Paranoïaque?! Et je prends vos compte maintenant, eh?? Tu es un problème, Chaereah Bane! C’est tous!”
“Et vous?” She retorted with a raised brow. “Un vieillard, aussi timbré que vos femme a lui abandonné.”
Remus nearly stumbled when she linked her arm with his, dragging him towards the door.
“Au revoir et bon débarras, monsieur!”
The shopkeeper yelled after them as they continued out onto the street, but the unfamiliar words fell quickly silent when the door shut behind them.
The strange girl snickered as she continued leading Remus along, though she slipped her arm from his after a moment to produce a record as if from thin air. “Guess that’s what you get for calling some poor tourist a thief,” she chuckled.
Her voice didn’t carry the thick french accent he’d expected. Rather something fainter, but for the most part her voice sounded more like his. But that also wasn’t the main thing on his mind right now, considering he had just watched her pull a record from thin air.
“You… you’re a witch??”
She grinned. “Don’t sound so worried. It’s not like you were doing a good job of hiding your wand in there. Trust me, nobody notices anything strange in a place full of tourist traps.”
“I see…”
“Come on. I know a good place for hot chocolate.”
Her name was Chaereah Bane. Charlie.
On the surface, she was perfect; with her long dark lashes, her tinted and glossed lips, her skirts that were just a little too short to be unintentional. Her only imperfection was the slice of bluish-grey in her otherwise-hazel eyes, like a piece of shattered stained glass, but even that could hardly be counted as a flaw; it was beautiful.
But beyond that, she was chaos in its purest form. She excelled at wandless magic, which meant she could consistently break the rules of underaged magic outside of school without being caught. She really did know all the best places for hot chocolate, she changed the colour of flowers in stalls, shady vendors would mysteriously trip over seemingly nothing when she was near, and despite sounding incredibly insulting at times, her French was the most elegant thing Remus had ever heard in his life.
It started with the exchanging of addresses for owls.
She lived in a large apartment with her mother and uncle, who seemed absolutely wonderful from the way she talked about them, and when she showed up where he and his father were staying to pick him up, she proved the impossible true; charming the socks off Lyall Lupin.
They met in coffee shops and parks and bookstores, talking about everything from their studies to the most questionable school rules they’d broken and gotten away with it. They recommended books and music and she made him laugh in a way he hadn’t thought possible from someone he’d known such a short time. They were the perfect pair.
And before either of them could catch the ground slipping out from under their feet, playful glances were turning into long looks while the other’s gaze was elsewhere. Knuckles bumping together as they walked down the street turned to fingers laced together and her form tucked perfectly under his arm, hers looped around his middle. Friendly meetings became kisses exchanged in coffee shop booths and on park benches.
Falling in love with her was so blissfully easy. How could it not be, when she was the way that she was?
And then came that dreaded night. The first full moon of the summer.
Remus was irritable all day long, every inch of his skin itching and aching with the approaching change. He’d decided the best thing he could do was go to the remotest area of the woods outside the city and isolate himself. It was right around then that he really felt how much he missed his friends.
He couldn’t tell Charlie. Part of him wanted to, really, but the mere idea of the words leaving his mouth made him feel nauseous.
What if she hates me? He didn’t think he could bear it if she hated him. And how could she not?
On the phone with her earlier in the day, he knew she could tell something was wrong. Her voice was softer, her questions more calming than prying. But she could also tell he didn’t want to talk about it, and she let the matter go.
What he didn’t know as the taxi lights disappeared down the country road behind him, and he wandered into the darkness of the woods, was that Charlie had never really let the matter go.
She hadn’t stopped thinking about it all day. She hadn’t stopped worrying.
And as the chill of the falling night wrapped around them both – Remus alone in the woods, Charlie worrying her lip between her teeth on her balcony – they both looked up at the same moon with a dreading kind of feeling.

When the sun rose the next morning, Remus’ first thought was that something was wrong.
He must have fallen asleep at some point, which wasn’t really unusual, but as he slowly regained consciousness in the space beneath the clawing roots of a large tree, he thought it was especially strange that he was under a patchwork blanket.
Blinking, he sat quickly upright, pulling the blanket around him to cover himself. What in the world…?
Then a strange noise met his ears. It was faint, but not necessarily distant. Was that… humming?
Slowly – still using the blanket like a robe – Remus got to his feet and stepped out from under the tree to peer around. He didn;t have to go very far before the sound grew clearer, like it was right on top of him.
Then he looked up, and his lips parted in shock and horror. The sound was right overtop of him.
Resting on one of the tree branches overhead was the sitting form of a girl, one foot propped up on the branch she was sitting on to rest a notebook against her leg, the other swinging freely below her. She hummed quietly with a pensive expression as she spun a pencil absentmindedly between her fingers. Charlie.
The humming trailed off suddenly, as she seemed to feel the eyes on her. When she glanced down and spotted Remus below her, a small smile curved her lips.
“Sleeping Beauty finally rises,” she joked. “I would have given you a kiss, but you were a bit… furry.”
Adjusting her sitting position in the tree, she snapped her notebook shut and slid a bag off her shoulder, dropping it to the ground. “Here, I brought you this. You should put on some clothes.”
Remus still had yet to say a word, blinking mutely at the bag that appeared to have his clothes in it. When he glanced back up at Charlie, she had a hand over her eyes, waiting patiently.
Swallowing hard, he quickly slipped into his dark jeans and loose knit jumper. He shuffled nervously from foot to foot for a moment before finally somehow making himself speak.
“It’s, uh… you can look now.”
Charlie peered at him quickly through her fingers before lowering her hand and beginning the climb down the tree.
When she finally dropped back to the ground with a small huff, Remus was observing her almost cautiously, as if trying to figure out what kind of game she was playing.
A long beat of silence passed. Then…
“How did you… how did you find out?”
Charlie raised a brow. “It wasn’t exactly hard. Your scars, the way you avoid certain topics. I wasn’t entirely sure until I called you yesterday, though.”
He nodded slowly. “Why did you come after me?”
“Because I figured it would probably really suck to have to wake up in the middle of nowhere all by yourself after a night like that,” she replied simply, rummaging through the bag she brought. “Here.”
She handed him a chocolate bar, and despite his confusion and hesitation, he couldn’t help the small smile that fought its way onto his lips.
“Thanks…” His eyes flickered between her and the ground. “So… you don’t hate me.”
She looked at him like he was completely dumb. “Hate you? Rem, I’m pretty sure I love you. Which is – wow, that’s the fastest I’ve ever said that to anyone. Why would I hate you for something you can’t even control?”
He shrugged, feeling a little surer the longer she didn’t run away screaming. “Most people would.”
“Then most people are stupid,” she replied. There was a small pause before she held out her hand. “Come on. Want some coffee?”
She was so casual about it, his heart could have glowed. His smile was adoring as he accepted her hand, and she pulled him into her side.
“Coffee sounds great. You know a place?”
She smirked. “Of course I do.”

#remus lupin x oc#remus lupin oneshot#remus lupin#moony#marauders era#marauders fanfic#wolfstar fanfic#wolfstar oneshot#wolfstar x oc#vane writes things#remus lupin x reader#sirius black x reader#wolfstar x reader#marauders x reader
34 notes
·
View notes
Text
Bon débarras
#j’habite en france et je comprend bien pourquoi elle a devenu comme ça#je sais que mary elle est un poupée japonais mais c’est plus drôle si elle est européen#parce que la robe lolita que elle portes#u dont need to understand what the fuck im saying in the tag#death mark#death mark shitpost#death mark yashiki#death mark mary#death mark meme#spirit hunter death mark#shiin meme#shiin#yashiki kazuo#kazuo yashiki#mary kujou#mary
32 notes
·
View notes
Text
Pourquoi créer ce tumblr ?
Je vous avoue que moi-même je n'ai pas une réponse claire. L'envie m'a prise comme ça, sur un coup de tête, parce que j'avais beaucoup de choses à dire, parce que je voulais me remettre dans la communauté et me créer un réseau ou peut-être pour promouvoir mes personnages, mes styles et mes idées de forums.
Toutefois, une petite présentation s'impose.
L'anonymat c'est bien, mais vous pouvez m'appeler Mia, un tout nouveau pseudo que j'utilise après une pause de plus de 4 ans. Non pas que l'ancien était problématique mais parce que ça ne me correspondait plus.
Je ne suis pas une grande écrivaine, j'ai découvert le RPG sur forum vers 2016, et après plusieurs pauses, je me rends toujours compte que l'écriture est mon échappatoire malgré mon niveau modeste. Si j'écris toute seule, mes pensées prennent le dessus et tout devient morose dans ma vie, chose que le RPG ne fait pas. Parce qu'il est participatif, parce qu'il est communautaire, il m'apporte joie, tristesse, bonheur et fou rire.
C'est ainsi que je fais mon retour, aux portes de la trentaine, j'espère retrouver la joie que j'ai senti au début de ma vingtaine, garder un moment régulier pour mes personnages et laisser libre court à mon imagination et à mes envies.
Bref, ce tumblr sert de débarras, de pinterest rpgique ou de coin publicitaire pour ceux qui le souhaitent ~
9 notes
·
View notes
Text
#vide maison#vide maison Bruxelles#vide appartement#service débarras d’encombrants#achat meubles#vide cave#vide garage#vide grenier#vide tout#débarras#antiquaire vide maison#Le Nettoyage#Devis Gratuit#Vide Entrepôt#Vide Bureau#vide Débarras d’encombrants#vide cave et grenier gratuit#vider vos bureaux#Service de vide maison#Service nettoyage#Enlèvement de déchets#Evacuation de débris de construction#Débarras de meubles#Enlèvement de débris de jardin#Enlèvement et débarras de matelas#Enlèvement et mise au rebut des ordures#Enlèvement et élimination de déchets électroniques#Nettoyage de maisons et de garages#Evacuation de caves et grenier#Vide maison a Bruxelles
0 notes
Text
Zuza appartient à @soupedepates
Le texte qui suit aborde des thèmes lourds autour de la grossesse et de l'accouchement.
Et oui on écrit en français aujourd'hui youpidou
3 décembre 2002, 17h03
– Mademoiselle Nowak ?
Putain, c'est pas trop tôt. J'arrive à cours de barres chocolatées. Moi qui croyait que les fringales s’arrêtaient après la grossesse, je l’ai dans le cul. Au moins le résultat de ladite grossesse pionce tranquillement dans son porte-bébé, enfin.
Le comité est bien garni en tout cas. La sage-femme qui est à sa tête amène avec elle toute une petite cour. Madame Fourrières alias la gynéco la plus safe qui existe, bénie soit cette femme, la nana de l’ASE qui s’occupe du dossier de Tonia, j’ai oublié son nom, une autre sage-femme, à lunettes celle-là, et deux meufs en blouse bleue qui doivent pas être beaucoup plus âgées que moi et qui se chient clairement dessus. Ça m’agace gentiment, cette procession, j'ai l’impression qu'ils viennent admirer la bête curieuse. Déjà qu'ils m’ont pas laissée assister à l’accouchement... Au moins la sage-femme devant est souriante, ça en fera au moins une entre nous deux.
– Vous connaissez déjà le docteur Fourrières et mademoiselle Blin de la protection à l’enfance, je crois.
Blin. Marie Blin. Je me demande comment j’ai pu oublier son nom, à cette pimbêche et ses discours tout faits. Oh, pleine de bonne volonté, hein, mais c’est pas la bonne volonté qui change la situation de merde dans laquelle on est. La sage-femme me sourit toujours malgré mon regard mauvais.
– Moi c’est Amel, j’étais avec Tonia pendant l’intervention. Tout s'est bien passé, elle se repose pour l’instant. Elle a géré la césarienne comme une championne.
C’est tout ? Des heures d'attente au milieu de cris de chiards pour qu'on me lâche que ça “s’est bien passé” ? Et c’est quoi exactement “gérer une césarienne” ? Le regard d’Amel s’adoucit.
– On va vous raconter en marchant un peu, si vous voulez bien. Julie, Crystal, vous voulez bien faire le tour de vos patientes pendant que je m’occupe de mademoiselle Nowak ?
Les gonzesses en bleu, sûrement les internes, hochent vivement la tête et déguerpissent aussi sec. Bon débarras. Amel me fait signe de la suivre, le docteur Fourrières fait quelques mètres avec nous avant de devoir repartir en intervention aussi sec. Je suis bien remontée contre tout le monde mais elle, je lui en veux pas, vu comment elle a géré ma grossesse et celle de Tonia. Quasi en simultané d’ailleurs. Sans doute pas le meilleur moment de sa carrière. Mais du coup me voilà en train d’arpenter les couloirs puants avec ma môme sur la poitrine, Amel, la gourdasse de l’ASE, et la binoclarde dont j'ai toujours pas le nom.
– Donc, par rapport à Antonina… Vous êtes sa tutrice légale, c'est bien ça ?
– Depuis pas longtemps, ouais. Chais pas si on vous a dit par rapport à sa famille ?
Ces énormes fils de pute ?
– Je leur ai déjà fait un topo, intervient la mère Blin derrière moi.
Nan mais écoutez-la, gngngn je leur ai déjà fait un topo… Au moins ça m’épargnera de la salive.
– Mademoiselle Nowak n'est pas sa tutrice depuis très longtemps, vous comprenez, alors je suis là pour faire en sorte que tout se passe bien…
Mais c’est qu’elle en rajoute en plus ?! Putain, Micheline, j’ai pas cinq ans, j’ai une gosse, un diplôme, une bagnole et un appart, connasse !
– Je vois, répond Amel avec ce qui ressemble à de la politesse pour éviter de lui dire qu’elle s'en fout. Mademoiselle Nowak, on m'a dit que vous sortez de l’école d’infirmières ? Ça doit être pénible de repasser à l’hôpital.
Ouais. Ça l'est. Mais je crois que j'aurais préféré y être pour bosser.
– Ça va. Chuis en congé mat’, de toute façon.
Amel regarde mon petit paquetage de deux mois qui tape toujours sa meilleure sieste. Ce porte-bébé est un putain de cadeau de Dieu.
– Hmhm. Comment il… ou elle, s’appelle ?
– Bronya.
– Bronya, elle répète avec un sourire.
Par rapport à ma grand-mère. Bronislawa. J’avais pas de meilleure idée.
Et cette causette commence sérieusement à me gonfler.
– Bon écoutez, j’aimerais bien qu’on arrête de tourner autour du pot. Si ça s'est si bien passé que ça, pourquoi vous m’en dites pas plus ?
Son sourire se fait plus crispé. C'est pas la gueule d'une menteuse mais c’est bien celle de quelqu'un qu’a pas que des bonnes nouvelles à annoncer.
– Oui, il faut bien y venir… On arrive justement en néonat’. Le pédiatre est un peu débordé, donc c’est moi qui vais faire l’explication.
En… Putain j'avais oublié dans la panique. C’est vrai que l’accouchement était prévu pour février 2003 à la base. J’aurais dû m’attendre à ce que ça soit un préma, vu les circonstances.
Amel explique longuement à la Blin que ce serait mieux qu'elle attende dehors, que pour l’instant il faut éviter d’être trop nombreuses dans la pièce, en gros elle la baratine et l'autre finit par hocher la tête avec un air tout perdu. Dans les dents, grognasse.
…
On va pas se mentir, une fois devant la couveuse, je me sens plus si fière. Ça fait beaucoup trop de bips et beaucoup trop de tubes pour un bébé aussi riquiqui. Je passe une main sur la petite tête de Bronya, nerveusement. Ça aurait pu être elle dans cette machine. Ça aurait pu être elle.
Amel pose une main sur l’incubateur, tout doucement.
– Voilà. Je sais que c’est impressionnant, mais c’est nécessaire… Et la petite est tout à fait stable. Il n’y a pas vraiment lieu de s’inquiéter.
Donc c’est une fille. Bon. Je pensais que l’annonce du genre allait me faire plus d’effet, mais là je m’en fous un peu.
– Elle s’appelle comment ?
Silence dans la salle. J’ai mis les pieds dans le plat ? On dirait bien. Parce que binocles a l’air hyper contrite et qu’Amel soupire.
– Vous… Vous savez déjà, mademoiselle Nowak, que certaines patientes peuvent avoir des réactions très… fortes après un accouchement, surtout s'il est traumatique.
Ouais. Je sais. Encore une fois, je suis infirmière. Et j’aime pas du tout cette prémice.
– Antonina… n’a pas voulu nous croire quand on lui a dit que c’était son bébé. Elle a refusé de lui donner un nom, elle n’a pas arrêté de crier et de pleurer, on a dû vite l'enlever de sa vue parce que ses constantes s'affolaient.
… Putain. Putain, voilà pourquoi j’ai insisté pour qu’ils me laissent venir, mais non, hein, le moins de personnes possibles, c’était mieux de me faire attendre sur un siège défoncé pendant que la gamine dont j’ai la responsabilité légale fait une crise de nerfs en accouchant parce qu’elle a pas onze ans, putain.
– Elle s’est aussi mise à refuser de parler autrement qu'en polonais… Sans Zuza, on n'aurait jamais réussi à la calmer.
Elle désigne la binoclarde, qui a toujours pas pipé mot et qui rosit en se faisant mentionner. J'en profite pour la regarder un peu mieux. Elle est pas très grande, le nez un peu arqué et les cheveux tirés en arrière, ce qui la vieillit vachement alors qu'elle doit avoir vingt-cinq ans à tout péter. Mais elle a une bonne tête, ça va.
– Vous lui avez parlé polonais ?
Elle hoche doucement la tête. Sans rien dire de plus. C'est vrai que “Zuza”, ça sonne polonais.
– … Merci.
Elle a un tout petit sourire et ça change tout sur son visage.
– C’est normal, je n’ai fait que mon travail.
Putain sa voix est super apaisante. C’est pas grand-monde qui peut souffler ma colère comme ça. Même Bronya, qui s’est réveillée à cause des bips partout, la fixe avec de grands yeux. Sans chouiner.
– Antonina a été très courageuse, se sent obligée de préciser Amel. Mais Zuza a été une aide précieuse, vraiment.
Bien sûr qu'elle a été courageuse. Elle avait pas le choix. C'est déjà assez dingue qu'elle ait pas décidé de juste abandonner le bébé ou de faire ça sous X.
– On pensait vous demander de la nommer, mademoiselle Nowak, reprend Amel.
Je jette un œil à l’espèce de crevette rabougrie et intubée de partout dans sa couveuse. Ça m'inspire rien du tout. J’ai toujours été nulle avec les noms. Et puis même si elle en veut pas, c’est le bébé de Tonia, pas le mien.
– Chais pas trop.
Zuza s'approche, l’air un peu hésitante.
– Vous savez, je pense que ça ne dérangerait pas Antonina. Elle a parlé de vous plusieurs fois, même en délirant. Et vous avez l’air de beaucoup l'aimer.
Ouais. C’est vrai. Je l’adore, cette gamine. Même enceinte jusqu'aux yeux à un âge où tu devrais juste être en train de jouer aux Legos et de t'inquiéter de tes devoirs de maths, elle arrivait encore à me sourire. À faire des blagues. À me parler de films qu’elle voulait voir. À s'extasier sur mon bébé à peine né dont je savais même pas quoi penser. Je comprends pas comment on peut ne pas l'aimer. Je comprends pas les messages sans réponse envoyés à Eunika pour lui dire de venir, putain, c’est ta petite sœur quand même, pour qu’au final mes SMS s'envoient même plus. Bloquée. Tu parles d'une amie, tu parles d'une sœur. Ils peuvent aller crever, elle et son mec. Surtout son mec.
Et les tonnes de messages que je reçois de la daronne Zielinska, cette vieille pute, ils valent même pas la peine que je les regarde.
– Ça lui ferait plaisir que vous nommiez ce bébé, Milena.
Milena. Elle m’appelle par mon prénom. J’ai les yeux tout humides, ça doit être la fatigue. Bronya fait pas encore ses nuits mais ce qu'elle me fait c’est de sacrées coliques, et moi chuis crevée.
En parlant de Bronya, la voilà qui se met à babiller maintenant. À deux mois, c’est surtout des “A-ba” et autres variantes toutes aussi lettrées. Je l’écoute d'une oreille en regardant l’autre dans sa couveuse.
… Ça me donne une idée, ce discours de bébé.
– Ada. C'est bien, Ada.
Simple. Ça se lit pareil dans les deux sens. Ça la fera pas chier pour l’écrire à l'école.
– Ada ! s'exclame Amel d'une voix réjouie. C’est très joli. On saura comment l’appeler maintenant.
Elle part dans des explications sur la suite, le peau à peau, les soins, l’allaitement, comment je peux demander de l'aide pour surveiller la santé de Tonia et d’Ada, et puis déclarer la petite à la mairie, je l’écoute à peine. Trop crevée. Épuisée d'avance à l’idée que je vais devoir demander de l’argent à mes parents. Que mon daron le donnera sans problème, mais pas avant que ma mère m’ait copieusement engueulée et traitée d’incapable.
Zuza pose une main sur mon épaule. Je la laisse faire quelques secondes, puis je la repousse mollement. C’est pas grave. Je me démerderai.
Me suis toujours très bien démerdée toute seule.
Et non, je pleure pas, merci beaucoup.
– Vous voulez aller voir Antonina, Milena ? me demande Zuza. On pourra s'occuper d’Ada après.
Je hoche la tête. Ouais. Je veux bien. Ça m’évitera de perdre du temps sur le reste.
Elle a besoin de moi.
Elles ont toutes besoin de moi. Je peux pas les laisser tomber.
#noa writes stuff#lysara modern au#noa écrit en français#milena's the true mvp#her pov is so fun to write too#but yeaaaah bazyli's birth wasn't easy#you also get a deadname reveal (six years later he'll change it)#thanks naïs for blindly letting me borrow young Zuza#milena's 21 in this and zuza 25 btw
5 notes
·
View notes
Text
La mémoire, il me faut le croire, si elle est délaissée devient une sorte de pièce remplie de boîtes ou un débarras dans une vieille maison, son contenu est tout mélangé, peut-être pas seulement par négligence mais aussi à force d'y chercher au petit bonheur et, par-dessus le marché, d'y jeter des choses qui n'ont rien à y faire.

3 notes
·
View notes