#Croissance

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You don't cross a croissant

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[lesafricainescharmantetfraises]

C'est sourire africaine

[roborevolutionaryrenditionsblog]

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[mirrorontheworld]

Philippe Lamberts et dix-sept autres députés européens issus de cinq groupes politiques différents demandent, dans une tribune au « Monde », une nouvelle stratégie globale pour une économie européenne de postcroissance qui intègre des objectifs sociaux et environnementaux.

[dandanjean]

Donner

En arrivant dans la vie, nos parents s’occupent de nous, ils nous donnent ce dont nous avons besoin pour grandir. Dans nos relations d’amitié, si nous prenons le temps de bien y regarder, nous constaterons que nous donnons et nous recevons beaucoup. Ce sont des gestes anodins de partage. Lorsqu’il arrive des sinistres, un feu, une inondation, panne de courant, il est fréquent de voir des…

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La croissance de têtards en macro [vidéo]

Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/la-croissance-de-tetards-en-macro-video/

La croissance de têtards en macro [vidéo]

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[choses-dingen]

Reste-t-il un espoir pour sauver la Planète ?

Climat : six des neuf limites planétaires ont été dépassées et d'autres signaux s'aggravent. Effondrement en vue ? Difficile à penser. Certains en sont persuadés. D'autres estiment que le pire n'est pas inéluctable. Mais si un sursaut est urgent et crucial, l'inertie politique, économique et sociale complique les choses.

Faut-il avoir peur de 2025 ? En matière climatique, l'an dernier a atteint de « nouveaux dangereux sommets », estime une équipe de scientifiques européens , ôtant la vie à des milliers de personnes et en affectant des millions. Et même en cherchant bien, peu d'experts affirment que notre planète file du bon coton. C'est plutôt l'inverse. De là à dire que le pire est en vue à court terme et que l'effondrement nous guette ? Rares sont ceux qui osent jusque-là. Le pire n'est pas sûr. Le prédire est risqué et… impopulaire.

Le tableau de bord planétaire n'est pourtant pas reluisant. Le plus éclairant est sans doute le constat que six des neuf frontières (limites) planétaires qui définissent un « espace de fonctionnement sûr pour l'humanité » sont actuellement dépassées. Cela concerne par exemple le climat, la biodiversité, l'eau, l'acidification des océans ou la pollution par les produits chimiques et par le plastique. En creux : cela veut dire que l'humanité se trouve dans une zone de vie à très haut risque. Il faut ajouter d'autres nouvelles récentes à ce sombre tableau : la multiplication des signes de déstabilisation des calottes glaciaires en Antarctique, les records de fonte de la banquise en Arctique, l'important recul de la forêt amazonienne et les inquiétudes croissantes relatives aux perturbations de la circulation océanique dans l'Atlantique. Sans compter la démocratie qui recule un peu partout dans le monde…

« Il faut se réveiller »

« La vie sur Terre est en train de s'effondrer et on regarde Netflix », résume avec son franc-parler habituel le penseur systémique français Arthur Keller. « Il faut se réveiller, sérieusement. Nous sommes à côté de la plaque. Nous devrions tous être debout. Nous devrions être mobilisés. Ce n'est pas l'humanité qui est confrontée à une crise écologique, c'est la nature qui est confrontée à une crise humaine. » Effondrement en vue ? Si tous les experts reconnaissent la gravité de la situation, les conclusions divergent. Au début des années 2000, le géographe et biologiste américain Jared Diamond a montré que des civilisations peuvent disparaître, notamment en raison de leur impact sur leur environnement. La théorie de l'effondrement est popularisée, côté francophone, par Raphaël Stevens et Pablo Servigne, dans leur livre Comment tout peut s'effondrer, en 2015. Auparavant, au début des années 2000, l'ingénieur et philosophe français Jean-Pierre Dupuy avait préfacé « l'ère des catastrophes », estimant néanmoins que « pour prévenir une catastrophe, on a besoin de croire en sa possibilité » avec la difficulté que « si on réussit à la prévenir, sa non-réalisation la maintient dans le domaine de l'impossible ». Plaider l'effondrement pour l'éviter? Une majorité des scientifiques préfèrent souligner qu'il est encore possible d'éviter le pire, tout en reconnaissant in petto qu'on y va tout droit. Dans son dernier livre, L'individu écologique , le philosophe français Jean Viard résume : « L'humanité va devoir réinventer un rapport avec le monde qui l'entoure. Ou disparaître. » Mais lui voit le verre à moitié plein et dit son optimisme : « La possibilité d'une disparition » réunira une humanité angoissée qui mettra en oeuvre les révolutions qui lui permettront de s'en sortir. Tout le monde ne partage pas ce méliorisme, comme le qualifie l'ancien ministre français Yves Cochet, pour qui la voie est tracée : l'effondrement à court terme. Probablement pas généralisé, mais peut-être localisé ou partiel… au début. Pourquoi cette éventualité ne passe-t-elle pas ? Parce qu'elle est à la fois probable et impossible à penser ? Parce que nous ne disposons, pour nous représenter des choses inconnues (voire jugées « impossibles »), que de raisonnements et d'éléments connus ? Sur papier, relèvent les scientifiques, il n'est pas trop tard pour redresser la barre. Par ailleurs, annoncer que le pire - sur la base de seules convictions, puisqu'on n'aura sans doute la « preuve » de l'effondrement qu'après qu'il sera inéluctable, voire déjà produit -pourrait entraîner la déresponsabilisation, voire le désespoir de la population. Enfin, beaucoup de responsables politiques et économiques sont convaincus que la croissance économique permettra de régler les problèmes ou que la technologie en viendra à bout. Catastrophisme aveugle d'un côté, ignorance et déni de l'autre ? Seules certitudes : le diagnostic est sombre et l'inertie du système terrestre rend tout changement de cap lent et difficile. Sans compter que le système socio-économique résiste farouchement aux changements. Les forces du statu quo dominent. Allons, en 2025, la fin du monde sera sans doute remise à une date ultérieure. Mais saisit-on pour autant ce qu'il se passe ?

Michel De Muelenaere dans Le Soir du 2-1-2025

[nfavocats]

Comment rédiger un business plan qui fait la différence

Comment rédiger un business plan qui fait la différence

https://nf-avocats.fr/comment-rediger-un-business-plan-qui-fait-la-difference/

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[drchristophedelongsblog]

Les os de nos enfants : une croissance fragile

Saviez-vous que les os de nos enfants ne cessent de se transformer ?

Pourquoi c'est important de le savoir ? Comprendre comment les os de nos enfants grandissent est essentiel pour prévenir les blessures lors de la pratique sportive. ⚽️

Les os : une construction en plusieurs étapes

Les cartilages de croissance: Ce sont les zones où les os s'allongent. Ils sont très fragiles et peuvent être facilement endommagés.

L'ossification: C'est le processus qui transforme le cartilage en os. Il se fait tout au long de l'enfance et de l'adolescence.

Les risques liés au sport Les micro-traumatismes répétés lors de la pratique sportive peuvent endommager les cartilages de croissance et entraîner des blessures graves. ⚠️

Comment protéger les os de nos enfants ?

Un bon échauffement: Indispensable pour préparer les muscles et les articulations à l'effort.

Un équipement adapté: Pour protéger les zones les plus fragiles.

Une surveillance médicale régulière: Pour détecter d'éventuels problèmes au plus tôt.

Aller plus loin

[thailandefr]

Quel avenir pour l’économie thaïlandaise?

Au cours des quatre dernières décennies, la Thaïlande a accompli des progrès remarquables en matière de développement social et économique, passant d’un pays à faible revenu à un pays à revenu élevé et réduisant le taux de pauvreté de 58 % en 1990 à 6,8 % en 2020.  Continue reading Quel avenir pour l’économie thaïlandaise?

[livincrans]

Immobilier. Suisse. Selon Wüest Partner, les prix de l'immobilier en Suisse vont continuer à augmenter. La demande reste forte, soutenue par une offre limitée et une croissance démographique. Les régions urbaines et bien desservies par les transports sont particulièrement recherchées. Cette tendance pourrait poser des défis pour l'accessibilité au logement, notamment pour les jeunes et les familles à revenu moyen.

[hcdahlem]

Cabane

S'appuyant sur le rapport Meadows paru en 1972 et annonçant l'épuisement des ressources, Abel Quentin imagine quatre scientifiques réunis à Berkeley jusqu'à la publication de ce best-seller, leur réaction à la réception de l'ouvrage. Haletant, angoissant!

  En lice pour le Grand Prix du roman de l’Académie française 2024 En lice pour le Prix interallié 2024 En lice pour le Prix du livre les Visionnaires 2024 Finaliste du Prix Landerneau des lecteurs 2024 En deux mots En 1972 paraît le « rapport 21 ». Cet ouvrage, cosigné par Mildred et Eugene Dundee, Paul Quérillot et Johannes Gudsonn, est le fruit de plusieurs années de recherche à Berkeley.…