#Crise en Haïti
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"Le choix d’un Premier Ministre demeure la priorité du CPT pour l’instant ", dixit Louis Gérald Gilles
Le Conseil Présidentiel de Transition est davantage concentré, en ce moment, sur le choix d’un chef du gouvernement. C’est ce qu’a indiqué Louis Gérald Gilles, le représentant de l’Accord du 31 Décembre au sein de la structure politique qui dirige à présent le pays. Trois semaines après son installation, le Conseil Présidentiel de Transition n’arrive toujours pas à dégager un consensus sur le…

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Premier ministre Garry Conille Rencontre les Associations de Médias en Ligne pour Discuter de la Crise Sécuritaire en Haïti
Le Premier ministre Garry Conille a rencontré ce mercredi les représentants du Réseau National des Médias en ligne (RENAMEL) et de l’Association Haïtienne des Médias en ligne (AHML) pour discuter de la crise socio-sécuritaire actuelle en Haïti. Conscient de l’importance des médias en ligne pour résoudre cette crise, le Dr Conille a souligné la nécessité de créer un espace de dialogue entre le…
#AHML#crise sécuritaire Haïti#état d’urgence sécuritaire Haïti#médias en ligne Haïti#Premier ministre Garry Conille#RENAMEL#rôle des médias en ligne
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6 million years of human evolution in 40 seconds
Les conflits toujours en cours en 2023. Myanmar : crise politique, Haïti : pauvreté, violence, République démocratique du Congo : un quart de la population meurt de faim, La Corne de l’Afrique : crise climatique, Le Burkina Faso, le Mali, le Niger : guerre de pouvoir, Afghanistan : pire endroit pour les femmes et les jeunes filles, Liban : crise économique et financière et une corruption à outrance, Syrie : plus de 11 ans de guerre contre Daesh, Yémen : des conditions de vie désespérées, Sud Soudan : conflits et crise climatique, Nigeria : le règne de l’insécurité et la famine généralisée dans le nord-est, le Haut-Karabakh : oublié de tous une guerre de territoire, idem pour la Russie et Ukraine, Israël Palestine même topo ..... 14 octobre 2023
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Pas d’élections en Haïti avant 2026 : Une transition dans la transition !
L’instabilité politique et sécuritaire en Haïti prend une nouvelle tournure à l’approche de l’année 2025, marquée par une grave crise institutionnelle qui semble inévitable. L’accord ayant conduit à la formation du Conseil Présidentiel de Transition (CPT) en 2023, censé conduire le pays vers des élections, est désormais sur le point de se désintégrer, ne tenant pas face à l’ampleur des défis…
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démantèlement de la coalition de gangs "Viv Ansanm" en Haïti est au cœur des préoccupations actuelles.
démantèlement de la coalition de gangs “Viv Ansanm” en Haïti est au cœur des préoccupations actuelles. Cette alliance, formée par les groupes armés les plus puissants de Port-au-Prince, a considérablement exacerbé la crise sécuritaire et humanitaire dans le pays. Plusieurs facteurs rendent le démantèlement de “Viv Ansanm” extrêmement complexe : L’enracinement des gangs: Les gangs sont…
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La violence des gangs plonge Haïti dans une crise sanitaire : quatre femmes enceintes décèdent
En Haïti, la situation sanitaire est de plus en plus critique à cause de l’escalade de la violence des gangs armés qui paralyse les hôpitaux et empêche les soignants d’intervenir à temps. Ces deux derniers jours, quatre femmes enceintes ont perdu la vie, leurs interventions chirurgicales, y compris les césariennes, annulées à cause de l’impossibilité des médecins et anesthésistes de se rendre sur…

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Quels seraient les impacts d’un second mandat de Trump sur Haïti et la communauté haïtienne ?
L’éventualité de Donald Trump redevenant président en 2024 suscite des questions importantes pour la communauté haïtienne, que ce soit en Haïti ou dans la diaspora. Pour comprendre l’impact potentiel, il est essentiel de se pencher sur les politiques du Parti républicain envers Haïti, les positions spécifiques de Trump vis-à-vis du pays, et le contexte actuel de la crise politique haïtienne. La…
#déportation des migrants illégaux Haïtiens#Donald Trump#Elections#États-Unis d’Amérique#Haiti#Kamala Harris
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LE CONSEIL PRÉSIDENTIEL SAURA-T-IL DÉFENDRE LES INTÉRÊTS DE LA POPULATION HAÏTIENNE?
Par Jean-Marie Mondésir
Pour encourager l’accroissement économique en Haïti, notre pays a grand besoin de la stabilité politique, des investissements privés et d’une main d’œuvre qualifiée pour réduire le taux de chômage afin d’augmenter le pouvoir d’achat des citoyens. On doit reconnaître que notre pays traverse une crise multiforme sans précédent à cause de l’incompétence des acteurs politiques sur le terrain qui sont assoiffés de pouvoir sans légitimité populaire.
De nos jours, les institutions républicaines sont défaillantes et il n’existe aucune autorité élue de manière démocratique après le coup d’état suivi de l’assassinat du président Jovenel Moïse dans sa résidence privée le 7 juillet 2021. Les acteurs politiques ne sont pas en mesure de s’entendre pour assurer une transition pacifique afin de protéger les intérêts primordiaux des citoyens. Après les événements du 29 février 2024 où les gangs criminels ont contraint Dr Ariel Henry de demeurer à l’extérieur du pays; les acteurs opportunistes sans scrupules se sont précipités devant la scène pour approprier la paternité de ce mouvement dans l’aire métropolitaine de la capitale.
Il s’agit d’un coup d’état classique orchestré par la coalition des gangs dénommée « vivre-ensemble ». On doit savoir qu’il existe un groupe d’intérêt qui supporte ce soulèvement. Il est important de prendre le temps de s’asseoir avec les représentants de cette coalition pour comprendre ses attentes. Sans tenir compte de cette nuisance à la stabilité politique, au renouvellement du personnel politique et au renforcement de l’économie nationale, le Conseil présidentiel de transition risque de ne pas réussir sa feuille de route pour obtenir de résultat escompté.
À bien remarquer, on ne peut pas miser sur les organisations politiques qui n’ont pas de légitimité populaire pour améliorer les conditions socio-économiques des couches défavorisées. Les acteurs opportunistes qui s’improvisent comme élite politique auprès des ambassades occidentales pour approprier le soulèvement des gangs risquent de connaître un cuisant échec s’ils continuent de défendre les intérêts de leurs bailleurs de fonds au détriment de la population. Ils ont proposé un Conseil présidentiel composé de 7 membres avec droit de vote et 2 membres observateurs. Ils doivent s’organiser dans les meilleurs délais pour réussir leur feuille de route et garantir la sécurité des citoyens sur l’ensemble du territoire.
À priori, on sait déjà que ce modèle de structure inconstitutionnel et impopulaire aura beaucoup de difficultés à réussir le pari du fait qu’il y avait eu un précédent en 1956 et 1986 où la collégialité dans la gouvernance du pays ne fonctionnait pas. On ne doit pas négliger l’ingérence de l’élite économique qui cherche à influencer tous les groupes politiques ayant leur représentant au Conseil présidentiel de transition afin de défendre ses propres intérêts au détriment de la population. L’élection de l’ancien sénateur Édgard Leblanc Fils à la tête du Conseil présidentiel le 30 avril 2024 et la maladresse du dirigeant de Pitit Desalin et trois autres groupes ont mis à jour le stratagème du secteur mafia pour influencer le groupe Montana et la famille Lavalas.
Les réactions du groupe Montana et du représentant Lavalas sans compter la dénonciation du dirigeant EDE dans les médias ont démontré clairement que les organisations politiques en Haïti ne défendront pas les intérêts supérieurs de la population qui éprouve beaucoup de difficultés à vaquer à ses obligations quotidiennes et professionnelles. D’ailleurs, les formations politiques en Haïti n’ont pas de vision ni de projet de société viable et chiffré. Il n’y a pas de démocratie au sein du personnel dirigeant des organisations politiques et elles ne sont pas représentatives sur l’ensemble du territoire. Si autrefois, le dirigeant Lavalas travaillait pour le bien-être des gens pauvres des bidonvilles, ce n’est plus le cas avec la famille Lavalas. On ne fait que défendre les intérêts d’un secteur de la bourgeoisie.
Si le groupe Montana s’associait avec quelques structures politiques sans légitimité populaire pour prôner une transition de rupture, il s’agit d’une tromperie pour capturer les ressources de l’Etat au profit d’un petit groupe. Les dirigeants politiques haïtiens sont au chômage et ils dépendent toujours du financement de certains acteurs économiques. Les formations politiques « Pitit Desalin et les Engagés pour le développement (EDE) » ne font pas exception. S’ils ne reçoivent pas du financement illicite du secteur mafia, des organisations internationales financent autrement leurs activités.
Notre pays vient de perdre plus de 33 mois avec un régime dirigé par Dr Ariel Henry qui ne fournit aucun résultat tangible. Il s’était accaparé de tous les pouvoirs en s’associant avec quelques entrepreneurs politiques qui s’opposaient au régime du président Jovenel Moïse. Les sbires de son régime encourageaient l’éclosion des gangs criminels à la capitale pour empêcher les citoyens de manifester leur mécontentement contre le gaspillage des fonds publics et la corruption généralisée dans l’administration publique. Le Premier ministre Henry n’a jamais adopté des mesures concrètes visant à garantir la sécurité des citoyens. La police n’est pas suffisamment équipée pour combattre les gangs criminels des quartiers difficiles qui terrorisent la population de la capitale.
On kidnappe les paisibles citoyens, on decapitalise les familles de la classe moyenne. On tue les gens comme des mouches et on organise des massacres dans les bidonvilles. On incendie leurs maisons et on pille les marchandises des commerçants de détail. On viole les jeunes filles et on rançonne les chauffeurs du transport en commun. Dr Ariel Henry qui remplissait à la fois les rôles de Premier ministre, de ministre de l’intérieur et des collectivités territoriales et du chef du Conseil supérieur de la police nationale (CSPN) n’a jamais manifesté ses sympathies à l’endroit des victimes qui sont obligées de quitter leur résidence pour se réfugier dans les écoles publiques. Dr Ariel Henry ne s’est jamais préoccupé des besoins prioritaires de la population. Sur son régime, le taux de chômage augmente de manière vertigineuse sans compter la rareté des produits pétroliers et la hausse des produits de première nécessité sur le marché local. Il se soucie uniquement de rendre des comptes aux représentants des ambassades occidentales composant le Core group afin de consolider son pouvoir.
Son gouvernement feignait de solliciter une assistance internationale pour venir en aide à l’institution policière afin d’éradiquer les bandits armés qui sèment la terreur dans les zones populaires. Le Conseil de sécurité de l’organisation des Nations-Unies approuvait sa demande en adoptant une résolution visant l’envoi d’une mission d’assistance et de sécurité soutenue par les États-unis. Le dilemme, aucun pays ne veut pas s’engager à diriger cette mission ni à participer à son financement. Le Kenya a accepté de diriger cette mission avec l’appui du gouvernement américain. Cependant, les conditions ne sont pas encore réunies pour permettre aux soldats étrangers de venir soutenir la force policière dans ses opérations visant à combattre les gangs criminels.
À bien remarquer, ce sont ces gangs criminels constitués en coalition « vivre-ensemble » qui ont forcé le Premier ministre Dr Ariel Henry de demeurer à l’extérieur du pays le 29 février 2024. Cette coalition des gangs a investi les deux principaux centres pénitentiaires de la capitale pour libérer les prisonniers. Les bandits ont démoli et incendié les commissariats de police, les hôpitaux, les pharmacies, les commerces au détail en invoquant la révolution. Plus d’un s’interroge sur les actions terroristes de cette coalition du fait que ce sont les biens des paisibles citoyens qui ont subi des dommages à la suite de leurs exactions malhonnêtes et répréhensibles.
Il est bon de souligner que c’est l’ancien sénateur Guy Philippe qui a prôné une révolution pour couper court au secteur mafia des gens d’affaires qui capture les ressources de l’Etat après son retour des États-Unis. On se rappelle qu’il vient d’être libéré sous conditions après une condamnation de 6 ans dans une prison fédérale pour blanchiment des avoirs provenant du trafic de la drogue.
Le peuple haïtien doit se réveiller pour défendre ses intérêts en dénonçant les manœuvres déloyales et opportunistes de certains entrepreneurs politiques qui utilisent ses difficultés socio-économiques pour accaparer le pouvoir afin de s’enrichir au détriment des gens déshérités du pays. On interpelle la conscience des citoyens engagés pour participer à l’éducation populaire de manière à identifier les organisations politiques qui ont un projet de société chiffré et viable susceptible d’améliorer leurs conditions de vie misérables. Sinon, notre pays continue d’être la risée de nos voisins qui traitent nos compatriotes de façon inhumaine à cause de nos dirigeants corrompus et inconscients.
On doit dénoncer la violence systématique des gangs criminels qui sèment la terreur dans les quartiers difficiles où la présence des services publics est quasi inexistante. La diaspora haïtienne doit assumer ses responsabilités en encourageant les autorités gouvernementales à adopter des mesures concrètes pour mieux répondre aux besoins élémentaires des familles pauvres. C’est par ce seul moyen dont on pourra contraindre les autorités publiques à défendre les intérêts de la population civile au lieu de travailler en connivence avec le secteur mafia des gens d’affaires qui capture les ressources de l’Etat dans ses propres intérêts économiques.
Jean-Marie Mondésir
Juriste haïtien | spécialiste en droit civil
Maître en sciences de développement
Éditeur de Port-Salut Magazine | La voix de Dumont | Solidarité paysanne
PDG de Dumont Inter 103.1 FM
Radio-dumont.com
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CPT : Emmanuel Vertilaire plaide pour la gestion de la crise en Haïti et la confiance
La prestation de serment et l’installation des membres du Conseil Présidentiel de Transition (CPT), ce 25 avril 2024, marque une nouvelle ère dans l’histoire haïtienne et rentre dans les annales des régimes politiques d’Haïti. Sous la médiation de la Communauté des Caraïbes (CARICOM), les membres de ce conseil présidentiel investissent leurs fonctions dans un contexte où le pays en a le plus…

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#apaisement social#collaboration#Conseil Présidentiel de Transition#CPT#Emmanuel Vertilaire#Parti Politique Pitit Dessalines#Pitit Dessalines#réconciliation nationale
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Les vols commerciaux entre Haïti et les États-Unis ont repris à l'aéroport international du Cap-Haïtien, avec 155 passagers ayant quitté la ville à bord d'un vol spécial de Sunrise Airways. Cette reprise fait suite à la crise sociopolitique en Haïti, marquée par la montée de la violence des gangs armés, en particulier dans la région métropolitaine de Port-au-Prince. La compagnie aérienne a prévu un autre vol pour l'après-midi, reliant également les villes des Cayes et du Cap-Haïtien. Les vols commerciaux avaient été suspendus en raison de la pression exercée par les gangs en demandant la démission du Premier ministre Ariel Henry, même après son départ et la formation d'un conseil présidentiel par la CARICOM. Malgré l'annonce de la démission du Premier ministre Henry, les gangs armés continuent de semer la terreur et rejettent le conseil présidentiel formé par la CARICOM, entraînant des perturbations dans le pays. La reprise des vols commerciaux entre Haïti et la Floride aux États-Unis est un signe positif pour l'économie et le tourisme, mais la situation instable dans le pays reste préoccupante. Sunrise Airways joue un rôle essentiel dans la reprise des liaisons aériennes, reliant des villes importantes comme les Cayes et le Cap-Haïtien, malgré les défis rencontrés en raison de l'insécurité et de l'instabilité politique. Les passagers qui ont pu quitter le Cap-Haïtien via ce vol spécial étaient probablement soulagés de pouvoir voyager malgré la situation difficile dans le pays. La reprise des vols commerciaux est un signe d'espoir pour les voyageurs et les entreprises, mais des mesures de sécurité renforcées sont probablement mises en place pour garantir la sûreté des vols. La situation politique et sociale en Haïti reste tendue, avec des défis persistants tels que la lutte contre la violence des gangs et la mise en place de structures gouvernementales stables. La compagnie aérienne Sunrise Airways a joué un rôle important dans la reprise des vols entre Haïti et les États-Unis, montrant sa volonté de soutenir la connectivité aérienne malgré les défis. Les voyageurs peuvent désormais envisager de reprendre leurs déplacements en toute sécurité, bien que la situation globale du pays reste fragile. Les autorités locales et les compagnies aériennes doivent collaborer pour assurer la continuité des services aériens et garantir la sécurité des passagers dans un contexte d'incertitude et d'instabilité politique en Haïti. En conclusion, la reprise des vols commerciaux entre Haïti et les États-Unis est un pas vers la normalisation des activités aériennes dans le pays, malgré les troubles politiques et sociaux persistants. Sunrise Airways a facilité ce processus en organisant des vols spéciaux entre le Cap-Haïtien et la Floride, offrant aux passagers une opportunité de voyager malgré les défis rencontrés. Il est important de surveiller de près la situation en Haïti et de mettre en place des mesures de sécurité efficaces pour assurer la protection des voyageurs et le bon fonctionnement des liaisons aériennes dans ce contexte difficile.
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Crise en Haïti | la RD est prête à fournir un soutien dans le domaine sanitaire
Alors que l’arrivée de la force multinationale est imminente sur le territoire haïtien, la République Dominicaine se veut claire. Aucune aide militaire dominicaine ne sera apportée à Haïti. En pleine crise sécuritaire, le pays attend plus que jamais le déploiement de la Mission Multinationale de Soutien à la Sécurité (MMS). Si toutes les dispositions nécessaires sont déjà prises, d’une part,…

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L’Hôpital Bernard Mevs attaqué par des gangs : une nouvelle crise pour Haïti
Le lundi 16 Décembre 2024, l’Hôpital Bernard Mevs, l’un des rares centres de soins encore opérationnels en Haïti, a été attaqué par le gang Viv Ansanm. Une ambulance a été incendiée sur place, mettant en danger les patients, le personnel soignant et même les nouveau-nés. Cet acte reflète la gravité de la crise sécuritaire qui paralyse le pays. Avec des hôpitaux fermés et des cliniques désertées,…
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Le Gouvernement Haïtien Suspend les Vols vers le Nicaragua
Le Gouvernement Haïtien Suspend les Vols vers le Nicaragua Afflux Massif de Haïtiens au Nicaragua: Suspendre les Vols pour Faire Face à la Crise Migratoire Le Gouvernement Haïtien Agit Face à l’Afflux de Migrants vers le Nicaragua Port-au-Prince, Haïti – En raison de la montée de la criminalité et de la pauvreté en Haïti, des milliers d’Haïtiens ont récemment choisi le Nicaragua comme pays de…

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Haïti : Un appel de 908 millions de dollars pour faire face à la crise humanitaire
Port-au-Prince, 25 février 2025 – La communauté humanitaire en Haïti a lancé son Plan de Réponse Humanitaire (PRH) pour 2025, visant à soutenir les populations les plus vulnérables du pays. Ce plan fait état d’une situation humanitaire qui ne cesse de se dégrader, avec 6 millions de personnes en besoin d’aide cette année, soit près de la moitié de la population. L’objectif est de cibler 3,9…
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Haïti : Une crise humanitaire exacerbée
Un déplacement massif de population: Près de 700 000 Haïtiens ont été contraints de quitter leurs foyers en raison de la violence des gangs. Ce chiffre, en constante augmentation, témoigne de l’ampleur de la crise. Une accélération de la crise: Mi-novembre, ce sont près de 41 000 personnes qui ont été déplacées en seulement dix jours. Cette escalade de la violence est particulièrement…
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Haïti : les défis de la MMSS pour restaurer l'autorité de l'Etat dans les zones contrôlées par les gangs
Dans le contexte de l’aggravation de la crise sécuritaire en Haïti, la Mission multinationale de soutien à la sécurité (MMSS) est confrontée à des défis majeurs pour restaurer l’autorité de l’Etat dans les zones contrôlées par les gangs armés. Lors d’une récente réunion à laquelle ont participé des représentants de plus de vingt pays et organisations internationales, les participants ont exprimé…
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