#Coopérative de Mai
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sophaeros · 1 year ago
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sauce: the last shadow puppets after europavox festival in france - alexandradepierre4511 (x)
With regard to @awellhydratedturner pic of the tour bus incident
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Here is the full video...
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bandomgay · 1 year ago
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The Last Shadow Puppets - Europavox -Coopérative de Mai (x)
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i-m-a-leaf-on-the-wind · 2 years ago
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Hii! Do you have any of the gifs of alex pushing miles down with a mic to his chest (or vice versa i forget), I can't find them
Hey, of course darling 😉
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The Meeting Place, Europavox Festival, La Coopérative de Mai, Clermont-Ferrand [02-06-2016]
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jogallice · 8 months ago
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Aujourd’hui, lundi 01/07/24, Journée internationale de la blague : rire pour un monde meilleur 😂 Journée internationale des coopératives 👌 Journée mondiale du bandeau blanc contre la pauvreté 👊 et Journée mondiale du reggae 🎶⁠⁠⁠⁠⁠
Les transports collectifs sont gratuits du lundi 1er juillet au samedi 31/08/24 🚍 Une raison de franchir le pas et de se déplacer en bus au sein de l'agglomération du Grand Annecy 🚌 Profitons de l'été pour laisser notre voiture au garage et préservons ainsi notre cadre de vie❗️
Deuxième jour de la Fête du cinéma, opération promotionnelle de la Fédération Nationale des Cinémas Français (FNCF), l'occasion d'aller voir en salles à moindre coût (cinq € la séance) les derniers films dont on parle… Jusqu'au mercredi 03/07/24 dans toute la France 📽
Qualité de l’air à Annecy : le vent de nord-ouest se renforce et garantit un solide brassage atmosphérique ainsi que des températures contenues 🌡 L’indice ATMO attendu sur une grande majorité de la région est donc moyen. Il pourrait être dégradé dans la vallée du Rhône 💨
L’indice de risque pollinique dans la cité lacustre reste élevé, au niveau 3 en ce qui concerne les graminées (indice communal valable du 22 juin au vendredi 05/07/2024 inclus) 🤧 Personnes allergiques : privilégiez le matin pour vos activités de plein air 😷
Tout comme hier, quatre dictons du jour pour le prix de trois : « À la saint Thierry, aux champs jour et nuit. » 👍 « Qui veut de beaux navets les sème en juillet. » 👩‍🌾 « Qui veut de bons poireaux doit semer en juillet. » 🌱 « Pluie du matin, en juillet est bonne au vin. » 🍇
Et quatre autres dictons du jour : « Premier juillet pluvieux, les jours suivants douteux. » 🌧 « Juillet, orage de nuit, peu de mal, mais que de bruit. » 🌩 « Qu'on soit fumiste ou dramaturge, en juillet il faut qu'on se purge. » 🤔 « Juillet sans orage, famine au village. » 🧐
⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Bon premier jour de la semaine, mais également du mois, à tous et à toutes 🎯
Bonne fête aux Thierry et demain aux Martinien 😘 
📷 JamesO PhotO à Annecy le dimanche 30/06/24 📸
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malevolat · 2 years ago
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«Le redressement de l'économie commença lentement … sans qu'on y prît garde, un peu comme le printemps qui, dans cette région du Septentrion, pousse péniblement ses bourgeons à travers la peau nue et engivrée des branches. Si j'ai bonne mémoire, tout partit de ces poutres que les gens se mirent à s'ôter mutuellement des yeux. Jusqu'alors, ils se refusaient à en voir fût-ce la paille, mais la nécessité conduit finalement nos yeux à se dessiller. Bientôt, le stock de poutres tirées des yeux fut assez important pour que l'on pût procéder à des constructions ; çà et là, aux abords de la ville, apparurent de petites maisons de rondins, des coopératives de logements se formèrent, bref tout fut remis sur pied» 
Le retour de Münchhausen de Sigismund Krzyzanowski
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adalidda · 10 days ago
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Recommandations stratégiques pour les entreprises agroalimentaires et les coopératives des pays en développement : Libérer vos potentiels grâce à la transformation des cultures et au succès à l’exportation
Les exportations agricoles sont un pilier du développement économique des pays à revenu faible et intermédiaire, offrant des leviers de réduction de la pauvreté, de création d’emplois et de génération de devises. Cependant, exploiter ce potentiel exige de surmonter des défis complexes : normes internationales strictes, marchés fragmentés et infrastructures sous-développées. Par exemple, les pays en développement abritent 80 % de la population mondiale mais ne représentent que 40 % de la valeur des exportations, les pays les moins avancés contribuant à peine 1 % des exportations agricoles mondiales. Pourtant, les produits à valeur ajoutée (bio, cultures spécialisées) offrent des opportunités sous-exploitées : le marché bio mondial (17,5 milliards de dollars) rivalise avec celui du café, mais les coûts de certification et les normes fragmentées freinent souvent les petits producteurs. 
Cet article synthétise des stratégies concrètes pour les acteurs du secteur agricole et agroalimentaire, s’appuyant sur des études de cas réussies au Chili, en Éthiopie, au Pakistan et ailleurs. En combinant adoption technologique, collaboration dans la chaîne de valeur et préparation aux marchés, ces acteurs peuvent surmonter les obstacles et répondre à la demande mondiale. 
Recommandations clés, illustrées par des retours d’expériences réels 
1. Investir dans des technologies adaptatives et la formation des agriculteurs 
Expérience au Chili : Des petits producteurs maraîchers ont accru leur compétitivité via l’irrigation goutte-à-goutte et des pratiques culturales innovantes. Leur niveau d’éducation et l’accès à des programmes techniques comme PRODESAL (formation + soutien socio-économique) ont été déterminants. Les agriculteurs diplômés ont 30 % plus de chances d’adopter des technologies avancées, améliorant rendements et accès aux marchés. 
Leçons apprises : Associer technologies évolutives (ex. : outils mobiles de détection des maladies) à des programmes éducatifs pour une adoption durable. 
2. Miser sur les partenariats public-privé (PPP) pour l’accès aux marchés 
Expérience au Pakistan : L’initiative USAID PREIA a simplifié les procédures douanières via le Pakistan Single Window, réduisant de 50 % les délais de dédouanement et digitalisant 91 % des paiements. Les normes locales ont été harmonisées avec les standards internationaux, facilitant l’export de produits périssables. 
Leçons apprises : Promouvoir les PPP pour lever les obstacles structurels (certifications, infrastructures) et aligner les produits sur les attentes globales. 
3. Cibler des marchés de niche avec des produits certifiés et des marques identifiables
Expérience en Éthiopie : Malgré des prix premium, les exportations de café lavé éthiopien stagnent en raison d’une faible productivité et de l’usage du café séché comme épargne par les agriculteurs (taux d’épargne réels négatifs). Seuls les petits producteurs « impatients » adoptent les méthodes de lavage. 
Expérience au Kenya : L’autorité kényane de santé végétale a renforcé la conformité aux normes bio de l’UE, ouvrant l’accès à des marchés premium. Les certifications équitables (ex. : Max Havelaar Suisse) ont aussi permis de valoriser les produits éthiques. 
Leçons apprises : Prioriser les certifications (bio, équitable) et le développement des marques identifiables pour se différencier. Offrir des incitations financières et des alternatives d’épargne. 
4. Privilégier les marchés régionaux avant de viser l’international 
Expérience en Géorgie : Le programme USAID INVEST a préparé 40 entreprises géorgiennes à l’export vers l’Europe, générant un pipeline de 5 millions de dollars via des partenariats avec des grossistes locaux. 
Expérience au Vietnam : Ce « tigre asiatique » a d’abord consolidé ses marchés régionaux, réduisant les risques logistiques avant de s’étendre. 
Leçons apprises : Commencer par des marchés géographiquement ou culturellement proches pour renforcer ses capacités. 
5. Intégrer l’économie circulaire pour une durabilité rentable 
Expérience en Inde : Le recyclage des déchets de poisson en cuir et en bio engrais a diversifié les revenus et réduit le gaspillage. 
Expérience en Afrique subsaharienne : Les paiements mobiles et la blockchain ont amélioré la transparence des chaînes d’approvisionnement, réduisant les pertes post-récolte de 15 %. 
Leçons apprises : Adopter des modèles circulaires (ex. : valorisation des déchets agricoles) pour répondre à la demande de durabilité et accéder aux marchés premium. 
Conclusion 
Les entreprises agroalimentaires des pays en développement peuvent réussir à l'international en combinant innovation et inclusion. Les succès des programmes chilien (PRODESAL) et pakistanais (Single Window) démontrent que la technologie, la collaboration et l'intelligence de marché sont des éléments clés.
Priorités : 
1. Former les agriculteurs pour combler les manques d’accès aux technologiques. 
2. Développer des partenariats public-privé alignés sur les standards globaux. 
3. Cibler des niches avec des produits certifiés et des marques identifiables. 
4. Consolider d’abord les marchés régionaux. 
5. Intégrer la durabilité pour pérenniser les chaînes de valeur. 
Comme l’illustre le café éthiopien, même les secteurs prometteurs nécessitent des réformes systémiques (ex. : inclusion financière). La réussite à l’export repose sur des stratégies holistiques : autonomisation des producteurs, simplification des échanges et amélioration de la qualité. 
Note contextuelle 
L’USAID a historiquement soutenu la transformation agricole via des innovations majeures (Révolution verte, réformes foncières) et des programmes comme Feed the Future, boostant les exportations horticoles égyptiennes de 150 millions à 1 milliard de dollars annuels. Ses partenariats de recherche (1,4 milliard de dollars avec le CGIAR) ont accru la production alimentaire de 7 à 8 % dans les pays en développement. 
Cependant, la fermeture de l’USAID en 2025 sous l’administration Trump menace ces avancées. Des programmes vitaux, comme l’approvisionnement en antipaludiques au Nigeria (2,3 millions de dollars) ou la lutte contre le VIH en Afrique du Sud (20 % des coûts de traitement couverts par PEPFAR), sont interrompus. L’arrêt des projets laitiers et horticoles kényans illustre le vide laissé. Cette décision compromet la sécurité alimentaire mondiale et les moyens de subsistance de millions de personnes dépendant de l’expertise de l’USAID. 
L’héritage de l’USAID rappelle l’impact d’un développement collaboratif et durable, un modèle aujourd’hui fragilisé. 
J'espère que vous avez apprécié la lecture de cet article et que vous y avez appris quelque chose de nouveau et d'utile. Si c'est le cas, n'hésitez pas à le partager avec vos amis et collègues qui pourraient s'intéresser à l'agriculture et à l'agrobusiness.
M. Kosona Chriv 
Directeur des Ventes et du Marketing du Groupe 
Groupe Solina / Sahel Agri-Sol (Côte d’Ivoire, Sénégal, Mali, Nigeria, Tanzanie) 
https://sahelagrisol.com/fr
Vice-Président en charge des Opérations (COO) 
Deko Group (Nigeria, Cambodge) 
Conseiller Senior 
Adalidda (Inde, Cambodge) 
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soulthom · 11 days ago
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N’allez pas à La Louve !
Eh oui, sous couvert d’une coopérative très horizontaliste (que je quitte avec regrets pour cela, mais ce n’est qu’une façade trompeuse) il s’agit d’une secte réactionnaire qui utilise le féminisme, par exemple, pour culpabiliser les “éléments gênants” (sans doute ont-ils dû s’apercevoir en fouillant de-ci de-lá sur internet que je me réclame du communisme)
Ils se réclament de la sororité : la branche extrémiste á l’origine (certains les qualifiant de nazi-fems) du féminisme qui prône l’exclusion du genre masculin (dans des réunions et dans toutes sortes d’initiatives exclusivement féminines). En “attendant” la réalisation finale de l’utopie “antisexiste” prétendue, c’est soutenu par les mâles dominants (c’est aussi très hiérarchisé !) dans la plus grande hypocrisie, et le féminisme ne sert que de prétexte, qu’à fabriquer des faux (vraiment aberrant, je vous passe les détails).
Par aiIleurs ils parviennent très peu à intégrer les jeunes d’un quartier plein d’immigrés : rares recrues parmi eux, et pour cause !
N’aidez pas les sectes fascistes, n’adh��rez pas á La Louve (et espérons que ce genre de grande surface coopérative fleurira dans des versions non fascistes) !
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tv-star-geneve · 28 days ago
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1. Évaluer Vos Besoins Financiers en Détail
a. Définir l'Objectif du Prêt
Projet Spécifique : Achat d'une voiture, financement de travaux de rénovation, vacances, mariage, etc.
Consolidation de Dettes : Regrouper plusieurs dettes en un seul prêt pour simplifier les remboursements et potentiellement réduire les taux d’intérêt.
Éducation ou Formation : Financer des études ou des formations professionnelles.
b. Calculer le Montant Nécessaire
Estimation Précise : Incluez non seulement le montant principal mais aussi les frais annexes (assurances, frais de dossier, etc.).
Prévoir une Marge : Intégrez une petite marge pour les imprévus afin de ne pas vous retrouver à court de fonds.
2. Vérifier et Optimiser Votre Situation Financière et Votre Crédit
a. Obtenir et Analyser Votre Rapport de Crédit
ZEK (Zentralstelle für Kreditinformation) : En Suisse, la ZEK est l’organisme principal qui fournit les informations de crédit. Vous pouvez obtenir votre rapport de crédit en ligne via leur site web.
Vérifier l’Exactitude : Assurez-vous qu’il n’y a pas d’erreurs ou d’informations obsolètes qui pourraient affecter votre solvabilité.
b. Améliorer Votre Score de Crédit
Payer les Factures à Temps : Un historique de paiement ponctuel améliore votre score.
Réduire le Niveau d’Endettement : Remboursez une partie de vos dettes actuelles pour diminuer votre ratio d’endettement.
Éviter les Demandes Multiples : Limitez le nombre de demandes de crédit sur une courte période pour ne pas alourdir votre dossier.
c. Calculer Votre Capacité de Remboursement
Revenus Nets Mensuels : Incluez tous les revenus réguliers (salaires, revenus locatifs, pensions, etc.).
Dépenses Mensuelles : Listez toutes vos dépenses fixes et variables (loyer, alimentation, transport, loisirs, etc.).
Ratio d’Endettement : Idéalement, votre taux d’endettement ne devrait pas dépasser 40-50% de vos revenus nets.
3. Comparer les Offres de Crédit de Manière Approfondie
a. Types de Prêteurs en Suisse
Banques Traditionnelles : Offrent généralement des conditions stables et des conseils personnalisés, mais peuvent avoir des critères d’approbation plus stricts.
Courtiers en Crédit : Peuvent offrir une vision d’ensemble du marché et faciliter la comparaison entre différentes offres.
Prêteurs en Ligne : Souvent plus rapides et flexibles, mais vérifiez bien leur réputation et les conditions offertes.
Coopératives de Crédit et Institutions de Microfinance : Proposent parfois des conditions avantageuses pour les membres ou des groupes spécifiques.
b. Comparer les Taux et les Conditions
Taux d’Intérêt Nominal : Le pourcentage annuel appliqué au capital emprunté.
Taux Annuel Effectif Global (TAEG) : Inclut tous les frais liés au prêt (assurances, frais de dossier), offrant une vision plus complète du coût total du crédit.
Durée du Prêt : Influence directement le montant des mensualités et le coût total du crédit.
Flexibilité des Remboursements : Possibilité de moduler les échéances, de faire des remboursements anticipés sans pénalités, etc.
c. Lire les Avis et Témoignages
Réputation du Prêteur : Consultez les avis en ligne, les forums et les évaluations pour connaître l’expérience d’autres emprunteurs.
Service Client : Un bon service client peut être crucial en cas de besoin de conseils ou de gestion de problèmes pendant la durée du prêt.
4. Préparer et Organiser les Documents Nécessaires
a. Justificatifs de Revenus
Salariés : Bulletins de salaire des trois derniers mois, dernier avis de salaire annuel.
Indépendants : Déclarations fiscales récentes, bilans comptables.
Retraités : Attestations de pension.
b. Pièces d’Identité et de Domicile
Pièce d’Identité : Passeport ou carte d'identité valide.
Preuve de Domicile : Facture récente (électricité, eau) ou contrat de bail.
c. Relevés Bancaires
Historique de Compte : Relevés des trois à six derniers mois pour démontrer votre gestion financière.
Transactions Régulières : Preuves de revenus réguliers et de dépenses maîtrisées.
d. Informations sur les Crédits Actuels
Contrats de Prêt : Détails des crédits en cours, y compris les montants restants et les taux d’intérêt.
Échéanciers : Calendrier des remboursements actuels.
e. Autres Documents Possibles
Justificatifs de Patrimoine : Propriété immobilière, véhicules, investissements.
Garanties ou Cautions : Si vous proposez une garantie pour sécuriser le prêt.
5. Soumettre la Demande de Crédit de Manière Efficace
a. En Ligne
Formulaires de Prêt : Remplissez les formulaires en ligne avec précision, en fournissant toutes les informations requises.
Sécurité des Données : Assurez-vous que le site du prêteur est sécurisé (https://) avant de soumettre des informations sensibles.
b. En Agence
Prise de Rendez-vous : Prenez rendez-vous avec un conseiller bancaire pour discuter de votre demande en personne.
Présentation Personnalisée : Une rencontre directe permet de clarifier vos besoins et d’obtenir des conseils adaptés.
c. Par Téléphone
Assistance Directe : Certains prêteurs offrent des services par téléphone où un conseiller peut vous guider dans la soumission de votre demande.
Préparation : Ayez tous vos documents à portée de main avant d’appeler.
6. Suivi et Gestion de la Demande
a. Répondre aux Demandes d’Informations Supplémentaires
Promptitude : Répondez rapidement si le prêteur demande des documents ou des clarifications supplémentaires.
Clarté : Fournissez des informations précises et complètes pour éviter des retards dans le traitement de votre demande.
b. Comprendre les Critères d’Approbation
Solvabilité : Votre capacité à rembourser le prêt selon les conditions proposées.
Historique de Crédit : Un bon historique facilite l’approbation et l’obtention de meilleures conditions.
Stabilité Professionnelle : Une situation professionnelle stable (ancienneté dans l’emploi actuel) est souvent valorisée.
7. Négocier et Signer le Contrat de Crédit
a. Analyser l’Offre en Détail
Conditions Générales : Lisez attentivement toutes les clauses du contrat.
Frais Supplémentaires : Identifiez les frais de dossier, d’assurance, et autres coûts associés.
Pénalités : Comprenez les pénalités en cas de retard de paiement ou de remboursement anticipé.
b. Négocier les Conditions
Taux d’Intérêt : Tentez de négocier un taux plus bas, surtout si vous avez un bon score de crédit.
Flexibilité des Échéances : Demandez des options pour moduler vos remboursements en fonction de votre situation financière future.
c. Signature du Contrat
Documents Légaux : Assurez-vous que tous les documents nécessaires sont bien remplis et signés.
Conservation des Copies : Gardez une copie signée du contrat pour vos archives personnelles.
8. Recevoir et Gérer les Fonds du Prêt
a. Transfert des Fonds
Délais : En général, les fonds sont transférés dans un délai de 1 à 5 jours ouvrables après la signature du contrat.
Vérification : Vérifiez que le montant reçu correspond bien à ce qui a été convenu dans le contrat.
b. Utilisation Responsable des Fonds
Planification : Utilisez les fonds uniquement pour l’objectif défini pour éviter toute dérive financière.
Suivi des Dépenses : Tenez un suivi rigoureux de vos dépenses pour rester dans les limites de votre budget.
9. Gérer le Remboursement du Prêt de Manière Efficace
a. Planification des Paiements
Automatisation : Mettez en place des prélèvements automatiques pour éviter les oublis et les retards.
Calendrier de Remboursement : Intégrez les échéances de remboursement dans votre calendrier financier personnel.
b. Suivi Régulier
Relevés de Compte : Consultez régulièrement vos relevés bancaires pour
vous assurer que les prélèvements se déroulent comme prévu.
Budget Personnel : Ajustez votre budget si nécessaire pour vous adapter aux remboursements mensuels.
c. Anticiper les Difficultés Financières
Communication avec le Prêteur : Si vous anticipez des difficultés à rembourser, contactez votre prêteur dès que possible pour discuter des options (report de paiement, rééchelonnement).
Solutions de Renégociation : Certains prêteurs peuvent offrir des ajustements temporaires des conditions de remboursement en cas de difficultés financières.
10. Optimiser et Finaliser Votre Crédit
a. Remboursements Anticipés
Avantages : Réduire le montant total des intérêts payés.
Conditions : Vérifiez si votre contrat permet des remboursements anticipés sans pénalités ou avec des frais limités.
b. Réévaluation de Vos Besoins Financiers
Après Remboursement : Une fois le prêt remboursé, réévaluez votre situation financière pour d’éventuels besoins futurs en crédit.
Historique de Crédit : Maintenez un bon historique de crédit pour faciliter d’éventuelles futures demandes de prêt.
11. Considérations Légales et Réglementaires en Suisse
a. Lois sur le Crédit à la Consommation
Loi fédérale sur le crédit à la consommation (LCD) : Régit les relations entre emprunteurs et prêteurs, protège les consommateurs en imposant des règles sur l’information précontractuelle, les taux d’intérêt, et les conditions de remboursement.
Transparence : Les prêteurs doivent fournir une information claire et transparente sur les coûts totaux du crédit, y compris les taux d’intérêt et les frais supplémentaires.
b. Protection des Données Personnelles
Confidentialité : Les prêteurs doivent respecter les lois suisses sur la protection des données, assurant que vos informations personnelles sont traitées de manière sécurisée et confidentielle.
Droit d’Accès : Vous avez le droit de demander et de recevoir des informations sur les données que le prêteur détient sur vous.
12. Alternatives au Crédit Personnel
a. Prêts entre Particuliers
Plateformes de Prêt P2P : Utiliser des plateformes comme Swisspeers ou Lend.ch pour emprunter directement auprès d'autres particuliers.
Conditions Flexibles : Parfois, ces prêts offrent des conditions plus flexibles, mais il est essentiel de bien comprendre les risques associés.
b. Crédit-Bail ou Location avec Option d’Achat (LOA)
Pour les Biens Spécifiques : Idéal pour l’acquisition de véhicules ou d’équipements, avec des modalités de paiement différentes d’un prêt personnel classique.
Possession Progressive : Vous pouvez devenir propriétaire du bien à la fin du contrat de location.
c. Utilisation de l’Épargne ou du Patrimoine
Prêts d’Amis ou de la Famille : Emprunter auprès de proches peut éviter les frais bancaires, mais nécessite une entente claire pour éviter les tensions.
Vente de Biens : Liquidation de certains actifs pour financer vos besoins sans recourir à un crédit.
13. Impact du Crédit Personnel sur Votre Situation Financière Globale
a. Gestion de la Trésorerie Personnelle
Équilibre Financier : Un crédit bien géré peut améliorer votre capacité à réaliser des projets sans compromettre votre stabilité financière.
Impact sur le Budget : Assurez-vous que les remboursements s’intègrent bien dans votre budget sans entraîner de surcharge financière.
b. Effet sur le Crédit Futur
Historique Positif : Des remboursements réguliers et ponctuels renforcent votre historique de crédit, facilitant d’éventuelles futures demandes de prêt.
Gestion Responsable : Évitez de surcharger vos finances avec trop de crédits pour maintenir une bonne capacité d’emprunt.
14. Conseils Supplémentaires pour une Demande de Crédit Réussie
a. Soyez Transparent
Informations Précises : Fournissez des informations exactes et complètes dans votre demande pour éviter des retards ou des refus.
Honneteté : Déclarez toutes vos dettes et obligations financières actuelles.
b. Préparez-vous à Justifier Votre Demande
Plan d’Utilisation : Expliquez clairement comment vous comptez utiliser les fonds et en quoi cela est bénéfique.
Projection Financière : Présentez une estimation réaliste de vos revenus et de vos dépenses futures pour démontrer votre capacité de remboursement.
c. Restez Informé des Conditions du Marché
Taux d’Intérêt : Suivez les tendances des taux d’intérêt en Suisse pour choisir le moment le plus avantageux pour emprunter.
Politiques Bancaires : Informez-vous sur les politiques et les changements réglementaires pouvant affecter les conditions de prêt.
15. Ressources Utiles en Suisse pour Demande de Crédit Personnel
a. Sites de Comparaison de Prêts
Comparis.ch : Permet de comparer les offres de crédits personnels de différentes banques et institutions financières.
Moneyland.ch : Offre des outils de comparaison et des conseils pour choisir le meilleur prêt.
b. Conseillers Financiers et Comptables
Conseillers Indépendants : Peuvent offrir des conseils personnalisés et objectifs sur la gestion de vos finances et la demande de prêt.
Cabinets Comptables : Peuvent vous aider à préparer vos documents financiers et optimiser votre dossier de demande.
c. Associations de Consommateurs
Fédération Romande des Consommateurs (FRC), Initiative pour les Consommateurs Suisse (IKS) : Offrent des conseils et des ressources pour vous aider à prendre des décisions éclairées concernant les crédits.
Conclusion Détaillée
Demander un crédit personnel en Suisse est un processus qui nécessite une préparation minutieuse et une compréhension approfondie de vos besoins financiers, de votre situation personnelle et des offres disponibles sur le marché. En suivant les étapes détaillées ci-dessus et en utilisant les ressources appropriées, vous pouvez naviguer efficacement à travers le processus de demande de prêt et obtenir des conditions de crédit favorables.
Points Clés à Retenir :
Préparation : Une évaluation précise de vos besoins et une analyse de votre situation financière sont essentielles.
Comparaison : Prenez le temps de comparer les différentes offres pour trouver celle qui vous convient le mieux.
Documentation : Assurez-vous de fournir tous les documents nécessaires et de maintenir la transparence dans votre demande.
Gestion : Gérez rigoureusement vos remboursements pour préserver votre historique de crédit et éviter les difficultés financières.
Si vous avez des questions spécifiques ou besoin d’assistance supplémentaire, n’hésitez pas à consulter un conseiller financier ou à contacter directement les institutions financières suisses.
Je suis à votre disposition pour toute autre question ou clarification !
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zehub · 30 days ago
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"Elles incarnent une sorte de miracle social" : face aux plans de licenciements, les Scop sont-elles l'avenir des entreprises ?
Duralex, Bergère de France, La Meusienne… Plusieurs sociétés en difficulté ont récemment rebondi sous forme de coopératives que les salariés possèdent et contrôlent. Mais en dépit de leur bonne santé, les Scop restent des exceptions difficilement transposables aux 4,5 millions d'entreprises tricolores.
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latribune · 3 months ago
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valloninfo · 3 months ago
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Image source: Commune de Val-de-Travers La septième installation photovoltaïque de la coopérative solaire COOPSOL a été mise en service à Fleurier sur le collège JJ Rousseau. C’est la deuxième réalisée en collaboration avec la commune de Val-de-Travers après celle installée sur le toit d’espaceVAL. Coopsol et la commune de Val-de-Travers avaient validé en début d’année la réalisation d’une nouvelle installation pour compléter celle d’un autre opérateur, déjà existante sur ce bâtiment, en recouvrant le toit de l’aile nord du bâtiment ainsi que le toit de l’extension pré et parascolaire qui vient d’être inaugurée. Au total c’est une nouvelle installation de 150 kWc qui a été réalisée grâce au financement des citoyens et organisations qui ont rejoint la coopérative. Les derniers réglages sont encore en cours, mais les premiers kilowattheures sont déjà produits et consommés par le collège, avec une production annuelle attendue de 137'000 kWh. Le collège lui-même devrait consommer annuellement 35% de cette énergie produite. Cette mise en service est l’occasion de mettre en avant toutes les nouvelles installations photovoltaïques qui ont été réalisées ces dernières années. En 2022, c’est un potentiel de production de 2'000'000 kWh qui a été installé, 2'260’000 kWh en 2023 et déjà 2'023’000 kWh en 2024, pour un total de production photovoltaïque sur la commune estimée à 9'500’000 kWh environ. Cela représente environ 3.7 % de la consommation d’énergie sur la commune (tous usages confondus, électricité, chaleur, essence). La production de cette nouvelle centrale peut être visualisée en temps quasi réel sur la page internet de COOPSOL (https://coopsol.ch, rubrique « installations »)
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lanuitlennuie · 3 months ago
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Un autre livre a souffert, il est gonflé comme un homme en phase terminale, le ventre démesurément distendu, la peau tirée et jaune. Son nom Mai 68 et ses vies ultérieures.
L’homme a traversé la révolution sans y participer, sans non plus y renoncer. Quelques années après sa date printanière, arbitrairement effilée comme le clou du cercueil qu'on avait refermé précocement sur son élan, le mouvement battait encore. Alors que ses collègues d’atelier et l’homme, déjà maigre mais bien vivant, fumaient des clopes sur le trottoir de leur licenciement récent, ils avaient décidé de fonder une coopérative de travail dans un vieil atelier de verre et de tôle sur le bord de la track – on y gelait l’hiver y étouffait l’été – pour y partir leur propre shop d’imprimeurs. Plus tard ils passeraient du plomb à l’ordinateur, apprenant sur le tas des machines dont ils ignoraient tout, jusqu’au nom. L’homme mourant, à la fois décharné et gonflé, avait passé de longues nuits arc-bouté sur ce système, les mains plongées dans sa chimie nouvelle, liant utopie et réalité.
Le livre avait glissé derrière la machine à glace d’une taverne douteuse dont il avait absorbé les fuites. On l’a retrouvé en la débranchant, je le conserve rescapé, l’homme a lui été perdu pour toujours bien que j'y repense souvent.
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librotheque · 3 months ago
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Les communs d’abord est un média web indépendant, qui a pour but de diffuser les initiatives, les publications ou tout autre contenu relatif au mouvement des communs.
Mais, au fait c’est quoi les communs ? Les communs désignent des ressources que l’on peut partager et améliorer de façon collective. Leurs natures peuvent être diverses : compétences, connaissances ou contenu à consulter en ligne. Les communs nous entourent et se diffusent à l’échelle mondiale. La notion de partage y occupe une place centrale et donne aux projets communs une portée plus humaine. On peut citer les exemples des AMAP, des épiceries coopératives ou des jardins partagés.
Entre les articles d’actualité, les comptes-rendus de recherche et les webinaires à voir en ligne; vous trouverez sans aucun doute le format qui vous convient pour vous informer sur ces sujets.
Bibliothèque de Lamballe
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aurevoirmonty · 3 months ago
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Une civilisation se juge selon la manière dont elle juge les paysans. Et ramener le problème paysan au seul problème économique est déjà une forme de mépris.
Certes, il ne saurait être question d’une sentimentalité utopiste de « retour à la terre » et les pâtres enrubannés et sentencieux appartiennent au domaine de la littérature édifiante et non à celui de la révolution politique.
Il ne s’agit pas de savoir s’il y a trop de paysans ou pas assez, si c’est un bien ou un mal qu’en cinquante ans, de 1910 à 1960, la classe paysanne soit passée dans la nation française de 70 % à 20 % seulement. Il ne s’agit pas seulement de statistique. Il s’agit d’abord de respecter les hommes et les femmes de la terre en tant que tels : les paysans sont des producteurs ce qui est déjà hautement louable dans une société qui sécrète tant de parasites, mais ce sont aussi et surtout les dépositaires d’un certain nombre de vertus.
Un homme comme André Siegfried l’avait parfaitement compris, quand il écrivait : « L’agriculture n’est pas seulement une technique de production, c’est un genre de vie impliquant toute une conception de l’homme. »
Ce n’est pas diminuer les fraiseurs-ajusteurs ou les oto-rhino-laryngologistes, les agrégés de l’Université ou les contrôleurs du Métropolitain, que de reconnaître aux vignerons, aux herbagers ou au riziculteurs un certain nombre de qualités spécifiques que les citadins ne possèdent pas ou ne possèdent plus, parce qu’ils ne sont pas, comme les paysans, liés à un village et à un terroir, au vent et au soleil, à une maison et à une lignée.
Par essence, la paysannerie est opposée à tout ce qui cherche à nier le réel, à tout ce qui veut imposer l’abstraction et l’uniformisation. Le paysan sait que les terres et les hommes sont différents parce que telle est la première Loi qu’il constate tous les jours. Il peut distinguer un bon champ d’un mauvais, comme il sait reconnaître un bon ouvrier d’un feignant. Une saine méfiance paysanne place l’expérience vécue et personnelle à la source de toute opinion.
Ces individualistes qui savent s’associer, et qui devront de plus en plus s’associer pour survivre, sont profondément rebelles à tout collectivisme théorique.
Le socialisme rural s’il limite la grande propriété et s’il multiplie les coopératives restera toujours par essence différent du communisme urbain, voué aux métropoles termitières et aux usines concentrationnaires. Il ne s’agit pas de nier la nécessité de l’industrialisation et encore moins les vertus de l’ouvrier. Il s’agit de considérer le paysan comme le gardien d’une autre tradition et nous dirions même d’une autre civilisation qui plonge ses racines dans le Haut Moyen Âge, époque à laquelle les dernières tribus errantes de paysans-guerriers se sont enracinées à l’Occident dans leur longue marche vers les derniers feux du soleil.
Que la civilisation rurale soit par nature réactionnaire est une affirmation qui appartient au seul domaine de la propagande : qui connaît les paysans jutlandais ou frisons comprend très vite ce que peut signifier un authentique socialisme rural dans un pays où il arrive qu’un cultivateur-exploitant soit ministre ou même président du conseil.
La paysannerie ne peut survivre qu’en se révoltant contre les féodalités. Elle est la gardienne naturelle des libertés civiques.
Le communisme ne s’y est pas trompé qui a fait de la lutte contre les « koulaks » un des épisodes les plus sanglants de la révolution rouge. Le capitalisme ne s’y trompe pas davantage qui prend la relève pour détruire aujourd’hui, plus hypocritement et plus efficacement sans doute, le monde paysan.
Une propagande d’autant plus habile qu’elle est sournoise tend à rejeter le paysan hors de la vie moderne. Il n’occupe aucune place sentimentale dans la nation française, où la centralisation forcenée autour de Versailles puis de Paris a non seulement rejeté dans les ténèbres extérieures les paysans mais avec eux tous les provinciaux.
Fait plus grave encore : des paysans eux-mêmes en viennent à chercher leurs mots d’ordre non plus dans leur seule tradition, mais dans les journaux, les cabinets et les partis de leurs pires ennemis.
Le masochisme qui anime un bon nombre des dirigeants syndicaux et juvéniles de la paysannerie, si prompts à ridiculiser « l’agriculture de papa » est exactement semblable au masochisme des citoyens standardisés des pays ex-colonisateurs qui depuis quelques années se frappent la poitrine et encaissent avec une humilité repentante les pires calomnies de leurs anciens sujets.
Posséder une terre et la « faire valoir » semble quelque chose de répréhensible et même de séditieux dans une société de plus en plus soumise à l’idée de partage et de communion universels.
Le mépris pour les paysans est surtout sensible en Occident. Il semble se renforcer en Amérique ou les droits des états sont de plus en plus attaqués par le pouvoir fédéral, toute centralisation s’effectuant contre les campagnes. Il semble en revanche s’atténuer en Russie où la classe dirigeante est souvent d’origine rurale et où la vague d’hostilité aux milieux cosmopolites a de profondes racines paysannes.
Les jeunes nations du tiers monde ont compris toute la puissance révolutionnaire que peut recéler la paysannerie. L’enracinement du communisme dans les masses paysannes asiatiques, s’il n’est pas aussi profond que nous l’affirme Pékin, est cependant le gage le plus certain de son avenir. (…)
Le malaise paysan sera sans doute résolu, contrairement à l’opinion des marchands et des planistes, par le maintien et même le développement des petites exploitations familiales.
La transformation de nombreuses fermes de culture en fermes d’élevage devrait par ailleurs permettre la survie d’innombrables paysans européens. L’esclavage scandaleux provoqué par les domaines démesurés, cette plaie de l’Europe méridionale, devra faire place à une véritable libération paysanne, où chacun pourra être « maître sur sa terre » et la transmettre intégralement au plus capable de ses enfants.
Démembrer les domaines féodaux (qu’ils soient aux mains d’individus ou de sociétés), multiplier les petits propriétaires et les libérer de leurs dettes, rassembler les parcelles et améliorer les sols, tels sont les grands impératifs de structure.
Là encore, l’exemple danois est éloquent, à condition que l’on se décide enfin à considérer la paysannerie non dans le cadre des grands états-nations européens mais dans son seul cadre naturel qui est celui des provinces ou des régions. Il n’existe pas d’agriculture française alors qu’il existe une agriculture alsacienne ou limousine.
La paysannerie ne peut se comprendre que dans le cadre géographique, sentimental, historique d’une ethnie bien particulière. Si les paysans sont tellement suspects c’est aussi parce qu’ils parlent généralement en famille une langue différente de celle qui est écorchée à l’ORTF et qu’ils se sentent plus Breton ou Picard, plus Auvergnat ou Normand que Français – et cela d’autant plus que le Français-type c’est toujours le Parisien.
Ces fantassins exemplaires dont les noms se retrouvent par familles entières sur les monuments aux morts sont finalement les moins nationalistes et les moins chauvins des hommes. Ils connaissent le prix du sang. Et ils savent que les barrières entre les différents états européens ne tiennent pas compte des seules réalités et des seules vérités qu’ils défendent : celles des paysages où, sans frontières, chevauchent les nuages et roulent les fleuves de notre monde.
Le paysan au cours de nos dernières guerres mondiales est devenu voyageur. Des garçons qui n’avaient jamais quitté leur village se sont retrouvés artilleur en Flandre ou cavalier en Serbie, parachutiste en écosse ou charretier en Silésie.
Sensibles aux différences qui existent de ferme à ferme, de village à village, de pays à pays, ils furent également sensibles aux similitudes. Un paysan mieux qu’aucun autre pouvait comprendre qu’il n’y a pas de différence essentielle entre lui et un paysan du Sussex, de Bavière ou d’Ukraine. À peu de choses près même rythme de vie au fil des saisons et des travaux, même soumission à la pluie ou au gel, même respect de la femme, même indifférence pour les jongleurs d’abstraction, même dureté au labeur, même âpreté au gain, même fidélité à la religion chrétienne et aux vertus païennes.
Il faut bien reconnaître que le contraste était violent quand leurs fils ont débarqué en Algérie. Malgré une langue de civilisation commune, les paysans français découvraient chez les paysans arabes un univers économique, sentimental ou religieux complètement différent. On peut expliquer ainsi leur hostilité foncière à l’idée d’intégration et la force d’inertie qu’ils ont opposée dans les derniers mois de la guerre. C’est là un aspect méconnu de l’attitude du « contingent »  et qui ne satisfait d’ailleurs pas tellement ceux qui méprisent tout autant les paysans arabes que les paysans français et réservent leurs tendresses aux artisans de la révolution fellouze, pharmaciens ou adjudants, qui sont des gens de « leur monde ».
De ces idées qui viennent comme des herbes folles il me plairait qu’on retienne la notion instinctivement différenciée – et par conséquent enrichissante – que les paysans peuvent avoir de l’unité européenne. Ce sont eux et peut-être eux seuls qui permettront l’Europe des peuples, rigoureusement différente de l’Europe des banques, des parlements ou des congrès.
Rien n’est plus instructif que d’écouter à une table de ferme un paysan dans la force de l’âge, et cette noueuse génération pour qui 45 ans est la course du bel et rude automne.
Beaucoup, au hasard d’une conversation coupée de longs silences et d’ironie imperceptible, en viennent à évoquer les années où ils furent prisonnier de guerre et employés de ferme tous ensemble, en Allemagne. Ce mélange de rancœur et d’attachement échappe bien vite à toutes les définitions des historiens. Voilà des hommes qui ont appris à distinguer les braves gens et les salauds.
Pour eux il n’y a pas deux fermes pareilles et pourtant toutes les fermes se ressemblent du Cotentin à la Poméranie…
Ces hommes-là qui n’ont pas lu La Ville, le plus beau livre « activiste », ont pourtant parfaitement compris ce que signifie pour les paysans européens « la possession ».
« La possession réglait tout, la possession n’était pas seulement l’argent et les biens, c’était l’héritage et la lignée et la famille et la tradition et l’honneur, c’était le passé, le présent, l’avenir. Si quelqu’un perdait sa ferme, il perdait plus que sa propriété. Il perdait parce qu’il gouvernait mal son bien. Mal gouverner son bien, ne pas savoir penser à sa ferme, perdre sa ferme, était encore plus un opprobre qu’un malheur… »
Et Ernst von Salomon dans ce roman va finalement beaucoup plus loin que dans Les Réprouvés parce qu’il aborde un problème hors du temps et hors d’un pays. Il met la Ferme à sa vraie place : « La communauté de lutte des paysans était de prime abord cimentée par la Ferme. La Ferme dominait, traçait, élargissait les frontières. Elle s’affirmait comme cette volonté suprême que la classe ouvrière devait chercher en un chef. »
On ne saurait mieux définir quel est l’esprit des paysans libres, ces hommes des sillons, des clos et de cet océan de blé qui roule ses vagues sur les vieilles terres d’Europe.
Ces paysans européens connaissent dans leur village les liens de parenté. Ils savent ce que furent les vieux et ce que promettent les fils. Ils savent ce qui distingue les gens de ce côté-ci de la rivière ou de la forêt et les gens de l’autre côté, et comment il faut parler dans une foire avec ceux-ci et avec ceux-là. Et pourquoi il faut se taire.
Les paysans européens, d’instinct, mettent les hommes et les choses à leur rang et savent qu’il n’est pas naturel et qu’il n’est pas utile de les faire changer de place.
Ce sont des hommes redoutables pour ceux qui rêvent d’un monde ou les maisons seront toutes pareilles, ou les journaux diront tous la même chose, où les originaux et les individualistes seront pourchassés… Ces paysans qui ne nous connaissent pas, qui ne nous lisent pas, qui sont hostiles à tout ce que nous avons de théorique et de sentimental, d’intellectuel et de citadin, ces hommes-là, fatalement, parce que c’est « la nature des choses », se trouvent dans le sens de notre volonté traditionaliste et révolutionnaire.
Ils sont nos alliés. Et ils sont notre espoir.
Jean Mabire – Notre espérance est dans la révolte paysanne.
Publié en Juin 1964 dans L’Esprit public.
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adalidda · 1 month ago
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Autonomiser les productrices de beurre de karité en Afrique de l’Ouest pour prospérer sur le marché mondial 
Le beurre de karité, souvent appelé « l’or des femmes », est devenu une source d’espoir pour les petits producteurs et les coopératives agricoles en Afrique de l’Ouest. Alors que la demande mondiale pour des produits naturels, durables et éthiques ne cesse de croître, le karité offre une opportunité unique aux communautés locales de participer à l’économie mondiale tout en favorisant le développement durable. Cet article explore des stratégies éprouvées et des conseils pratiques pour aider les producteurs de karité ouest-africains à exploiter leur plein potentiel sur le marché international. À travers des récits de réussite, nous découvrirons comment la qualité, l’innovation et la collaboration peuvent transformer les défis en opportunités, permettant aux producteurs de prospérer tout en préservant leur patrimoine culturel et leurs ressources naturelles. 
1. La qualité avant tout : bâtir la confiance grâce à l’excellence 
Sur le marché compétitif des produits naturels, la qualité est non négociable. Les producteurs ouest-africains doivent prioriser : 
- Des procédures de test rigoureuses pour garantir la pureté et la constance. 
- Des certifications (bio, commerce équitable, etc.) pour valider l’authenticité et répondre aux normes internationales. 
- Une amélioration continue des techniques de production pour maintenir des produits de haute qualité. 
Histoire de réussite : La Coopérative des Femmes d’Ojoba (Ghana) 
La Coopérative des Femmes d’Ojoba au Ghana illustre parfaitement l’importance de la qualité. En mettant en place des mesures strictes de contrôle de qualité et en obtenant une certification biologique, elles ont gagné la confiance d’acheteurs internationaux, y compris des grandes marques de cosmétiques comme L’Occitane. Leur engagement envers l’excellence a non seulement augmenté leurs revenus, mais aussi renforcé leur réputation sur le marché mondial. 
Conseil supplémentaire 
Les producteurs peuvent collaborer avec des laboratoires locaux et des organismes de certification internationaux pour simplifier le processus de certification, tout en maîtrisant les coûts. 
2. Adopter la traçabilité et la transparence : raconter l’histoire du produit 
Les consommateurs modernes valorisent la transparence et veulent connaître l’origine de leurs achats. Les producteurs doivent : 
- Documenter les lieux d’approvisionnement et les processus de production. 
- Mettre en avant les pratiques durables et leur impact positif sur les communautés locales. 
- Utiliser la technologie (par exemple, des codes QR) pour permettre aux consommateurs de retracer le parcours du produit. 
Histoire de réussite : L’Association des Femmes de Tungteiya 
L’Association des Femmes de Tungteiya a collaboré avec The Body Shop pour créer une chaîne d’approvisionnement transparente. En mettant en place un système de traçabilité, elles ont permis aux consommateurs de suivre leur beurre de karité, de l’arbre à la table. Cette transparence a renforcé leur position sur le marché et favorisé des partenariats durables. 
Conseil supplémentaire 
Les producteurs peuvent collaborer avec des startups technologiques pour développer des solutions de traçabilité abordables, facilitant ainsi la communication de leur histoire à un public mondial. 
3. Tirer parti de la collaboration : la force de l’union 
La collaboration amplifie l’impact. Les petits producteurs doivent : 
- Former ou rejoindre des coopératives pour augmenter leur pouvoir de négociation et réduire les coûts. 
- Partager des connaissances et des ressources pour améliorer l’efficacité de la production. 
- S’engager dans un marketing collectif pour accéder à des marchés plus vastes. 
Histoire de réussite : L’Alliance Globale du Karité 
L’Alliance Globale du Karité a réuni plus de 500 membres dans 35 pays, créant un réseau puissant pour le partage des connaissances et l’accès aux marchés. Leurs efforts collaboratifs ont entraîné une augmentation de 600 % des exportations de karité d’Afrique de l’Ouest au cours des deux dernières décennies. 
Conseil supplémentaire 
Les coopératives peuvent collaborer avec des ONG et des agences gouvernementales pour accéder à des formations, des financements et des liens commerciaux, renforçant ainsi leur impact collectif. 
4. Développer une intelligence de marché : comprendre le paysage mondial 
L’intelligence de marché est essentielle pour réussir. Les producteurs doivent : 
- Étudier les marchés de niche (par exemple, les cosmétiques de luxe, les aliments biologiques). 
- Se tenir informés des tendances des consommateurs (par exemple, les produits véganes et sans cruauté). 
- Innover en développant de nouveaux produits à base de karité (par exemple, des chocolats ou des bougies infusés au karité). 
Histoire de réussite : Baraka Shea Butter 
Baraka Shea Butter a identifié une demande croissante pour du beurre de karité éthique en Amérique du Nord. En ciblant ce marché de niche, ils ont considérablement développé leur entreprise, fournissant plus de 1 000 marques de soins de la peau. 
Conseil supplémentaire 
Les producteurs peuvent utiliser des outils gratuits ou peu coûteux comme Google Trends et les analyses des réseaux sociaux pour identifier les opportunités émergentes. 
5. Prioriser la durabilité : protéger l’avenir 
La durabilité est un avantage concurrentiel. Les producteurs doivent : 
- Participer à des initiatives de reboisement et de récolte durable. 
- Adopter des pratiques écologiques pour minimiser l’impact environnemental. 
- Promouvoir la biodiversité dans les zones de production de karité. 
Histoire de réussite : Le Projet Shea Parkland de l’ICCO (Ghana) 
Le Projet Shea Parkland de l’ICCO au Ghana combine la production de karité avec la conservation de l’environnement. En formant les communautés aux pratiques durables, ils ont augmenté les rendements tout en préservant la biodiversité, attirant des acheteurs premium qui valorisent la durabilité. 
Conseil supplémentaire 
Les producteurs peuvent collaborer avec des organisations environnementales pour accéder à des financements et un soutien technique pour des initiatives durables. 
6. Se concentrer sur les produits à valeur ajoutée : capter plus de valeur 
Monter en gamme maximise les retours. Les producteurs doivent : 
- Développer des produits cosmétiques (par exemple, des lotions, des savons) et culinaires. 
- Créer des produits spécialisés pour différents segments de marché. 
- Investir dans des équipements de transformation à petite échelle pour produire des produits finis. 
Histoire de réussite : Ele Agbe (Ghana) 
Ele Agbe, une entreprise dirigée par des femmes au Ghana, est passée de la vente de beurre de karité brut à la production de produits à valeur ajoutée comme des savons et des crèmes. Cette transition a augmenté leurs profits et créé des emplois dans leur communauté. 
Conseil supplémentaire 
Les producteurs peuvent collaborer avec des universités ou des institutions de recherche locales pour développer des produits innovants à base de karité. 
7. Mettre en avant les bienfaits pour la santé et le bien-être : surfer sur la tendance du bien-être 
Les propriétés naturelles du beurre de karité sont un argument de vente majeur. Le marketing doit mettre l’accent sur : 
- Sa richesse en antioxydants et vitamines (par exemple, la vitamine E). 
- Ses propriétés hydratantes et anti-inflammatoires. 
- Ses avantages pour la santé en tant qu’alternative naturelle aux produits synthétiques. 
Histoire de réussite : Savannah Fruits Company 
Savannah Fruits Company a mis en avant les bienfaits pour la santé de son beurre de karité, établissant des partenariats avec des marques de soins naturels en Europe et en Amérique du Nord. 
Conseil supplémentaire 
Les producteurs peuvent collaborer avec des influenceurs dans le domaine du bien-être pour amplifier leurs efforts de marketing. 
8. Investir dans le branding et l’emballage : se démarquer sur le marché 
Un branding fort différencie les produits. Les producteurs doivent : 
- Développer des emballages écologiques et attrayants. 
- Créer une identité de marque qui reflète le patrimoine culturel et la qualité. 
- Utiliser le storytelling pour créer un lien émotionnel avec les consommateurs. 
Histoire de réussite : TAMA Cosmetics (Burkina Faso) 
TAMA Cosmetics au Burkina Faso a construit une marque forte autour du savoir-faire traditionnel et d’emballages écologiques, pénétrant les marchés haut de gamme en Europe et au Moyen-Orient. 
Conseil supplémentaire 
Les producteurs peuvent utiliser des plateformes de financement participatif pour lever des fonds afin d’améliorer leur branding et leur packaging. 
9. Adopter les ventes en ligne : toucher des clients mondiaux 
Le commerce électronique ouvre les portes des marchés mondiaux. Les producteurs doivent : 
- Créer des boutiques en ligne ou collaborer avec des plateformes e-commerce. 
- Utiliser les réseaux sociaux pour le marketing et l’engagement client. 
- Proposer des livraisons internationales pour élargir leur portée. 
Histoire de réussite : Karitè 
Karitè a utilisé le commerce électronique pour vendre directement à des clients dans plus de 30 pays, augmentant considérablement ses marges bénéficiaires. 
Conseil supplémentaire 
Les producteurs peuvent utiliser des plateformes comme Shopify ou Etsy pour créer des boutiques en ligne abordables. 
10. Rechercher des partenariats stratégiques : élargir les opportunités 
Les partenariats offrent un accès à des ressources et des marchés. Les producteurs doivent : 
- Collaborer avec des entreprises cosmétiques pour un soutien technique et commercial. 
- Travailler avec des ONG et des agences gouvernementales pour obtenir des financements et des formations. 
- Rechercher des partenariats de commerce équitable pour garantir des prix justes. 
Histoire de réussite : La Coopérative Shea Yeleen 
La Coopérative Shea Yeleen a collaboré avec Sundial Brands, augmentant ses revenus de plus de 200 % grâce à un soutien technique et des prix équitables. 
Conseil supplémentaire 
Les producteurs peuvent participer à des foires commerciales et à des événements sectoriels pour réseauter et établir des partenariats. 
11. Former des coopératives : la force de l’union pour la qualité, le partage des coûts et l’accès au marché 
L’une des stratégies les plus efficaces pour les producteurs de karité à petite échelle est de former ou rejoindre des coopératives. Les coopératives permettent de : 
- Garantir une qualité constante grâce à des mesures de contrôle partagées. 
- Réduire les coûts en mutualisant les ressources pour les équipements, les certifications et la logistique. 
- Accéder à des marchés plus vastes grâce à un pouvoir de négociation collectif. 
- Partager des connaissances et des meilleures pratiques pour améliorer la production. 
Histoire de réussite : La Coopérative des Femmes du Réseau Karité (Ghana) 
Cette coopérative a investi dans des équipements modernes et obtenu des certifications bio et équitables. Grâce à des efforts de marketing collectifs, elles ont sécurisé des contrats avec des acheteurs internationaux, augmentant significativement les revenus de leurs membres. 
Conseil supplémentaire 
Les coopératives peuvent explorer des outils numériques pour suivre la production et les ventes, améliorant ainsi la transparence et l’efficacité. 
Conclusion 
Le marché mondial du beurre de karité offre un potentiel immense pour les producteurs ouest-africains. En se concentrant sur la qualité, la durabilité et l’innovation, et en s’inspirant des réussites de coopératives comme Ojoba, Tungteiya et le Réseau des Femmes du Karité, les producteurs peuvent se tailler une place de choix sur la scène internationale. 
La formation de coopératives est une stratégie puissante pour mutualiser les ressources, garantir la qualité et accéder aux marchés mondiaux. Bien que le chemin vers le succès mondial soit semé de défis, les récompenses – croissance économique, autonomisation des communautés et préservation de l’environnement – en valent la peine. 
Alors que le beurre de karité ouest-africain continue de gagner en reconnaissance en tant que produit premium et durable, l’avenir s’annonce prometteur pour les producteurs qui adoptent ces stratégies. En travaillant ensemble, en exploitant la technologie et en restant fidèles à leurs racines, les producteurs de karité d’Afrique de l’Ouest peuvent non seulement rivaliser sur la scène mondiale, mais aussi montrer la voie en matière de pratiques commerciales durables et éthiques. L’opportunité est là, il est temps de la saisir. 
J'espère que vous avez apprécié la lecture de cet article et que vous y avez appris quelque chose de nouveau et d'utile. Si c'est le cas, n'hésitez pas à le partager avec vos amis et collègues qui pourraient s'intéresser à l'agriculture et à l'agrobusiness.
M. Kosona Chriv 
Directeur des Ventes et du Marketing du Groupe 
Groupe Solina / Sahel Agri-Sol (Côte d’Ivoire, Sénégal, Mali, Nigeria, Tanzanie) 
Vice-Président en charge des Opérations (COO) 
Deko Group (Nigeria, Cambodge) 
Conseiller Senior 
Adalidda (Inde, Cambodge) 
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Photo: Beurre de karité (crédit : Sahel Agri-Sol / Adalidda / Domaine Public)
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lonesomemao · 3 months ago
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