#Claire Hennesey
Explore tagged Tumblr posts
rathertoofondofbooks · 5 years ago
Text
Tumblr media
Stacking the Shelves is a weekly meme hosted by Tynga’s Reviews and Reading Reality, which is all about sharing the books that you’ve acquired in the past week!
  Purchased Books
The No You Never Listened To by Maggie Royer
This poetry collection has been on my wish list for ages but when I was sorting through the list this week it caught my eye again and I decided now was the time to buy it. I think this will be a tough read but also a cathartic one.
Bad Girls With Perfect Faces by Lynn Weingarten
I read and enjoyed one of the author’s previous novels so I bought this one without knowing a huge amount about it. I’m looking forward to reading it.
  Purchased eBooks
Dead Mountain by Donnie Eichar
I’ve already read this book and it was fascinating. It was all about a journalist who tries to uncover what happened to a group of hikers who died on a mountain in 1959, a case that has remained unresolved.
Bird Therapy by Joe Harkness
I’ve seen some fab reviews of this from the recent blog tour so decided to treat myself. I’m not particularly interested in birds but it seems this book is much more about how the author helped himself through a tough time, and that really interests me.
Like Other Girls by Claire Hennesey
This was an impulse buy when it was a kindle daily deal this week!
  Purchased AudioBooks (Audible UK’s 14th birthday sale has had some great books on offer!)
The Lost Man by Jane Harper
I was so excited to spot this book in the Audible sale as I loved Jane Harper’s first book and I’m hoping to read her second one soon. It’s fab to now have the third one waiting for me!
Company of Liars by Karen Maitland
I’ve heard of this book before but I wasn’t sure if it fully appealed to me but spotting it on sale made me take a chance on it and I’m looking forward to listening to something a bit different.
Alone in Berlin by Hans Falluda
I had a paperback of this ages ago but never got around to reading it. I think this might be a book that works better for me on audio so I’m really glad to have this copy now.
The Darkest Minds by Alexandra Bracken
I bought this one entirely on the recommendation of a lovely lady in a FB book group. It doesn’t sound like my kind of read but I’m happy to try something a bit different and I’m looking forward to it.
Lost At Sea by Jon Ronson
I love Jon Ronson’s non-fiction books so am delighted to have another one to listen to soon.
Runaway by Peter May
I bought this audio book on a whim as it sounds like a good novel. I do like a crime novel that is set in the past and present so I think I’ll really enjoy this one.
  ARCs
The Closer I Get by Paul Burston
I actually got this book a couple of weeks ago but somehow missed if off my book haul. I’m so keen to get to this one as it sounds so good, I’ll definitely be reading this one very soon!
Lake Child by Isabel Ashdown
I love Isabel Ashdown’s writing so was delighted to get approved to read her forthcoming novel on NetGalley!
The Escape Room by Megan Goldin
I requested this one on NG after seeing some good reviews of it so I’m really keen to start this one, it sounds like it’s going to be a really fast-paced thriller!
    Have you bought any new books over the last week? Please tell me below. 🙂 If you join in with Stacking the Shelves please feel free to leave your link and I’ll make sure to read and comment on your post.
My New Book Haul! (Stacking the Shelves 29 Jun 2019) Stacking the Shelves is a weekly meme hosted by Tynga’s Reviews and Reading Reality, which is all about sharing the books that you’ve acquired in the past week!
0 notes
lignes2frappe · 5 years ago
Text
« 2001 » DE DR. DRE : 20 ANS DE GANGSTA RAP
L'album d'une génération passé au crible...
Tumblr media
16 novembre 1999. Sept ans déjà qu'est sorti The Chronic, l'opus qui a changé la face du rap.
Sept ans c'est très long, surtout qu'entretemps Dr. Dre s'est pris les pieds dans le tapis à plus d'une reprise : départ en catastrophe de chez Death Row, bide de l'album du supergroupe The Firm, lancement foireux de son propre label Aftermath… À désormais 34 ans, il fait gentiment figure de has been à une époque où dominent les jeunes loups newyorkais Roc-A-Fella et Ruff Ryders.
Là où nombreux sont ceux qui ne se seraient jamais relevés, il réussit cependant à retrouver toute sa superbe en deux coups de cuillère à pot : tout d'abord avec la signature d'Eminem, puis avec la sortie du pharaonique 2001.
Loin de se contenter d'être une resucée de The Chronic, ce second album révolutionne à nouveau le game grâce à une formule (à nouveau) totalement novatrice.
S’appuyant cette fois, non pas sur des samples de funk, mais sur toute une bande de musiciens de studio (Mike Elizondo à la basse, Scott Storch au piano, Jason Hann aux percussions, Sean Cruse à la guitare..), Dre élabore un son clair, dépouillé, précis qui doit autant à la qualité des enregistrements qu’à celles du mixage et du mastering – qu’il se soit ensuite reconverti dans la production de casques audio est somme toute assez logique.
In fine, cela donne, d’une part, des instrumentales hyper travaillées qui s’écoutent sans jamais forcer l’oreille, et de l’autre, un raz-de-marée commercial avec près de 8 millions de copies écoulées sur le sol US.
Vingt ans après, passage au peigne fin de ce monument.
Tumblr media
 1. Lolo (Ft. Big Tray Deee, Kurupt & Xzibit)
Une introduction/interlude qui ne sert pas à grand-chose, mais qui a le bon goût de ne pas tirer en longueur.
Sinon pour ceux assis au fond de la classe, « lolo » ça veut dire « lowrider », soient ces caisses customisées pour rouler au plus près du sol et dont les roues peuvent s’élever grâce à un système de suspensions hydrauliques.
Popularisées par les gangsta rappeurs, elles ont en réalité été inventées par leurs voisins chicanos (qui eux les surnomment les « ranflas »).
2. The Watcher (Ft. Eminem & Knoc-turn'al)
Un premier track à l’ambiance atmosphérique qui sans être spectaculaire se révèle diablement efficace à mesure qu'il défile.
Rappé de A à Z par un Dre au meilleur de sa forme, il s’agit là de son seul solo de l’album, lui qui, dès la fin du premier couplet, prévient avec son « I just sit back and watch the show » que sur ce point il ne faudra pas compter plus que ça sur lui pour la suite.
Supposément ghostwritté par Nas, The Watcher connaîtra ironiquement une suite sur le Blueprint 2 de Jay Z en 2002.
3. Fuck You (Ft. Devin The Dude & Snoop Dogg)
Tout est dans le titre : c’est cru, c’est crade et c’est misogyne, mais qu’est-ce que c’est jouissif !
Quand bien même juste avant Dr. Dre se vantait paradoxalement d’être un « family man », quand bien même Devin The Dude n’a jamais été aussi libidineux (ce qui vu son pedigree n’est pas rien), quand bien même Snoop hériterait aujourd’hui d’un hashtag à la #BalanceTonPorc pour la ligne « Baby was a virgin, that’s what she said, so I gave her some Hennesey, she gave me some head », impossible de ne pas apprécier ce sommet de « West Coast’ness » au faux airs de mauvaise blague.
Et comment oublier cette version live lors de la tournée Up In Smoke qui en aurait poussé plus d’un à vendre père et mère pour rejoindre la petite troupe en backstage sitôt le concert terminé ?
4. Still D.R.E. (Ft. Snoop Dogg)
L’un des meilleurs morceaux de rap de tous les temps.
Le staccato de Scott Storch, les lyrics de Jay Z, le refrain croisé avec Snoop… sous la férule du maître des lieux tout se combine à la perfection sans que le moindre effort ne transparaisse.
Un banger d’une fluidité et d’une sobriété inégalées donc, et ce d’autant plus que la production n’a absolument pas vieilli.
Tumblr media
5. Big Ego's (Ft. Hittman)
Forcément un ton en dessous, cette cinquième piste parvient néanmoins à ne pas faire retomber le soufflé, ce qui en soi constitue déjà un petit exploit.
Dr. Dre oblige, le beat joue évidemment pour beaucoup. Subtil mélange de flûte, de percussions et de piano, il aurait même mérité un refrain un peu plus haut de gamme.
Sinon, c’est la première intervention au micro du rookie Hittman, mais malheureusement pas la dernière…
6. Xxplosive (Ft. Hittman, Kurupt, Nate Dogg & Six2)
À ceux qui se demandent pourquoi le bon docteur Young est unanimement considéré comme un génie, voici un début d’explication : à sample égal, nul ne lui arrive à la cheville.
Au même titre qu'EPMD ou les Ultramagnetic MC's qui comme California Love avaient chacun échantillonné la chanson Woman To Woman de Joe Cocker sans réussir à décrocher un hit, quand, en 2000, la reine Erykah Badu est allé copié/collé le sample de Xxplosive pour son Bag Lady, personne n’y a prêté attention.
À sa décharge, elle ne disposait ni des versions super guerriers de Kurupt et Nate Dogg, ni d’un xylophone (!?) pour balancer quelques notes dans le fond et faire la diff’.
7. What's the Difference (Ft. Eminem & Xzibit)
Après une apparition non créditée sur The Watcher, voici la véritable entrée en matière d’Eminem.
Et quelle entrée en matière : en pleine possession de ses moyens, il pose de l’avis général l’un des meilleurs couplets de sa carrière, quitte à faire passer les autres invités à la trappe.
Tant pis pour Xzibit (mais si le gars qui présentait Pimp My Ride), tant pis pour Phish (mais si l’illustre inconnu au refrain qui n’a pourtant pas démérité).
R.E.P. Charles Aznavour.
8. Bar One (Ft. Eddie Griffin, Ms. Roq & Traci Nelson)
Habitué à venir poser en interlude sur les albums des rappeurs (The D.O.C., Snoop, Crooked I…), l’acteur nanard Eddie Griffin vient ici combler les fans de ce genre d’exercice… si tant est qu’il en existe encore en 2019.
9. Light Speed (Ft. Hittman, Knoc-turn'al & Ms. Roq)
Le premier track vraiment pas terrible de l’album. Au mieux anecdotique, il aurait clairement mérité d’être laissé de côté.
Qui commence à se dire à voix haute qu’Hittman ne sert pas à grand-chose ?
Tumblr media
10. Forgot About Dre (Ft. Eminem)
Un second single aux allures de démonstration de force de la part d’un Slim Shady résolument déchaîné.
Non seulement le white boy préféré du rap US crame l’instru quatre étoiles dans les grandes largeurs, mais il exécute en sus l’un des refrains les plus mémorables de la fin du siècle dernier (ne serait-ce que pour la façon dont il prononce « gibberish »), non sans ghostwriter au passage les deux très bons couplets de son mentor !
Vingt ans après les faits, c’est donc tout sauf un hasard si ce petit bijou continue d’être toujours autant référencé.
11. The Next Episode (Ft. Kurupt, Nate Dogg & Snoop Dogg)
Le son qui s’il n’est pas joué en soirée vous indique que vous vous êtes trompé de club.
Long de 2 minutes 41 à peine (pas de temps pour un refrain), ce tuto pour apprendre à danser le C-Walk voit les « motherfucking D-O-double G �� et « motherfucking D.R.E. » prendre feu sur le beat, Kurupt lâcher des ad-libs à réveiller les morts, et Nate Dogg balancer avec une science incroyable du timing le légendaire « Smoke weeeed every day » en guise de conclusion.
12. Let's Get High (Ft. Hittman, Kurupt & Ms. Roq)
Changement d’ambiance, mais pas de thème (la défonce et la fornication) pour ce morceau des plus pêchus.
Sans prétention, mais de bonne facture.
13. Bitch Niggaz (Ft. Hittman, Six2 & Snoop Dogg)
Un peu comme The Watcher précédemment, une piste qui ne paye pas de mine à première vue.
Un sample de l’archi grillé Top Billin’ des Audio Two, quelques scratchs et le lazy flow de Snoop réussissent cependant à relever le tout.
Bon après question paroles, c’est quand même assez léger pour qui n’apprécie pas spécialement d’entendre répété en boucle le mot « bitch » et toutes ses déclinaisons (« biatch », « beyotch »…).
14. The Car Bomb (Ft. Charis Henry & Mel-Man)
Cet interlude étant inintéressant au possible, profitons-en pour évoquer brièvement le cas Mel-Man : non-content de coproduire un bon tiers de 2001 et de poser dans le livret du CD, il s’en est allé bosser l’année suivante sur le second album rap le plus vendu de l'histoire, The Marshall Mathers LP.
Très étonnamment, sa carrière est ensuite restée au point mort.
Tumblr media
15. Murder Ink (Ft. Hittman & Ms. Roq)
Une sorte de variation du Serial Killa de Doggystyle qui reprend sans grande originalité la musique culte du film d’horreur culte��Halloween réalisé en 1978 par John Carpenter.
Si pour sa quatrième apparition Ms. Roq parvient enfin à se faire un peu remarquer, cela sera toutefois insuffisant pour faire d’elle la Lady of Rage d’Aftermath.
À un compte Twitter près (149 followers…), elle est d’ailleurs depuis complètement retombée dans l’anonymat.
16. Ed-Ucation (Ft. Eddie Griffin)
L’interlude le plus pertinent de l’album dans lequel est expliqué à tous les mecs qui prennent le bus pourquoi ils sont mal barrés avec les meufs, et à tous les mecs qui ont une situation confortable pourquoi ils doivent impérativement se protéger quand ils trompent leur femme.
17. Some L.A. Niggaz (Ft. Defari, Hittman, King T, Knoc-turn'al, Kokane, MC Ren, Time Bomb & Xzibit)
Ouf, enfin un morceau de bon aloi.
Pas aussi prometteur que sur l’affiche (l’ex N.W.A. MC Ren est cantonné à l’intro, Dre est encore absent, le beat n'est pas franchement exceptionnel…), ce gang bang de Cali emcees rehausse tout de même le niveau de cette seconde partie qui commençait sérieusement à sentir le remplissage.
18. Pause 4 Porno (Ft. Jake Steed)
Un interlude où l’on entend une star du X éjaculer bruyamment dans l’œil de sa partenaire... Ça dure 1 minute 30…
Tumblr media
19. Housewife (Ft. Hittman & Kurupt)
Le titre le plus G-Funk de 2001, et qui en vrai serait presque passé crème dans la tracklist de The Chronic… ou sur un album des Dogg Pound tant Kurupt se tape ici tout le taf.
Dommage que personne n’ait eu la présence d’esprit de convier Nate Dogg.
20. Ackrite (Ft. Hittman)
Le titre solo de Hittman…
Au-delà du fait qu’il soit très dispensable (à croire que Dre pionçait dans la pièce d’à côté au moment de la sélection finale), ce qui agace particulièrement avec cette NEUVIÈME APPARITION (!!!) c’est qu’elle se fait au détriment des Snoop, Eminem ou Xzibit qui eux n’ont jamais été aussi chauds de leur carrière.
Du gâchis.
21. Bang Bang (Ft. Hittman & Knoc-turn'al)
Sans être mauvaise, encore une piste qui a beaucoup (beaucoup) de mal à tenir la comparaison avec la première partie de l’album.
Certes, il est un peu facile d’exiger de Dre qu’il ne sorte que des tueries, mais peut-on observer qu’il eut été plus raisonnable de resserrer un peu les rangs ?
22. The Message (Ft. Mary J. Blige & Rell)
Un hommage mélancolique à son frère Tyree décédé dix ans plus tôt dans une rixe qui a mal tourné.
Écrit par Royce Da 5'9 sans qu’il sache exactement qui Dre souhaitait évoquer, l’exercice est dénué de la moindre attaque ou insulte.
Sincère et émouvant, ce morceau à part conclut les débats avec ce qu’il faut de sobriété .
23. Outro (Ft. Thomas Chong)
Une skit marrante et bien amenée (comme quoi ça existe) narrée par la moitié du célèbre duo pro fumette Ching & Chong.
Tumblr media
Verdict : « 2001 » est-il vraiment un classique ?
Quitte à en faire tousser pas mal, il ne s’agit pas d’un album parfait.
Loin de là même : nouveaux venus transparents, interludes trop nombreux, fillers à gogo dans la seconde partie, lyrics qui ne volent pas haut… 2001 n’est ni Illmatic, ni Reasonable Doubt, ni Ready To Die.
Reste une qualité audio sans pareil, des singles ravageurs et une influence culturelle qui aujourd’hui encore ne se dément pas.
Est-ce suffisant pour faire pencher la balance ? La réponse dépend ici de la définition que chacun donne au mot classique.
Publié le 17 novembre 2019 sur Booska-p.com.
0 notes
uchidakoichi · 7 years ago
Video
Lambing Season from Delaval Film on Vimeo.
Lambing Season is a fast moving, claustrophobic thriller set in the secluded North Yorkshire Moors.
The film follows Joe, a young farmhand learning to take the reigns from his father on their remote lambing farm. During the film, Joe is tasked with helping his father birth the spring lambs, whilst caring for his wheelchair bound mother. But as new developments in an historic missing persons case come to light, suddenly not everything is as it seems, and Joe begins to question the family around him.
Taut and unnerving; Lambing Season is about a son who comes to understand that everything he has ever known is a lie and all he has gained from the truth is fear.
Funded by Creative England & BFI Net.Work
SELECTED AWARDS & SCREENINGS
Online Premiere - Short of the Week World Premiere - Newport Beach Film Festival Winner Audience Award - Leeds International Film Festival Special Mention Yorkshire Short - Leeds International Film Festival Nominated Best Drama - The Smalls Film Festival Nominated Best Producer - Underwire Film Festival Official Selection - British Shorts Berlin Showcase Screening - Aesthetica Film Festival Showcase Screening - Borderlines Film Festival
CAST & CREW
JOE Scott Chambers EVELYN Jennifer Hennesey ABEL Graeme Hawley PRODUCER Loran Dunn PRODUCTION CO-ORDINATOR Jonathan Bulloch CASTING DIRECTOR Claire Bleasdale PRODUCTION DESIGNER Claire Molloy ART DIRECTOR Katie Ryder 1 st ASSISTANT DIRECTOR Danny Scott-Smith 2 ND ASSITANT DIRECTOR Shelley Lankovits RUNNER Keith Myers DIRECTOR OF PHOTOGRAPHY Davey Gilder 1 st ASSISTANT CAMERA Vicky Hanna 2 ND ASSISTANT CAMERA Josh Tilley CAMERA TRAINEE Joseph Oldroyd GRIP Aiden Bell ELECTRICIAN Adam Grasso ELECTRICIAN James Johnson GAFFER Mike Johnson GAFFER James Bridger GAFFER Alice Wooldridge Stevens COSTUME DESIGNER Lauren Reyhani MAKE UP ARTIST Sophie King SOUND DESIGNER Joe Natrass SOUND EFFECTS EDITOR Marcus Alexander COMPOSER Samuel William Jones EDITOR Jack Benjamin Gill VFX Sunny Teich GRAPHICS Phil Shelly BEHIND THE SCENES Martin McGreal STILLS PHOTOGRAPHER Paul Daly INSURANCE Paul Hillier Integro Entertainment
For Creative England
HEAD OF FILM Caroline Cooper Charles SENIOR FILM EXECUTIVE Paul Ashton EXECTUTIVE PRODUCER Jessica Loveland TALENT CO-ORDINATOR Alice Ramsey PRODUCTION MANAGER Jude Lister FINANCE OFFICE Lauren Summers
Special Thanks
Elizabeth Harding, Stuart Fear & Florrie Collie Pettinger Anthony Hewetson Rome Farm Sandford Farm Sam St John Chris Stodart-Hall
NO ANIMALS WERE HARMED IN THE MAKING OF THIS FILM FILMED ON LOCATION IN NORTH YORKSHIRE
0 notes