#Chapitre V
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#l'île Verte#La Ciotat#Southern France#Marseille#island#Mediterranean sea#Chapitre V#Bonjour Tristesse#Françoise Sagan#book#French literature#Calanques#Nature#Loneliness#wilderness
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~ Summary ~
Commissions are open ! More info here
InPrnt shop open!
Side RP blog: @luniluvia
~Of Gold and Blood~
I'm (re)writing Luvia's story 🫣
I've written a few chapters but I'm not sure what to do with this 😂
I'm just having fun writing this and I'm not used to make that kind of thing, but I hope you'd still enjoy it anyway !
Also, English isn't my native language so don't be surprised if there are some mistakes 🫣
Chapter I - The Encounter
Chapter II - A New Home
Chapter III - How it started...
Chapter IV - The Desillusionment
Chapter V - A bit of Kindness
Chapter VI - The Calm Before the Storm
Chapitre VII - A Fire Within
Chapter VIII - Too Familiar
Chapter IX - Feelings
Chapter X - As Red as Blood
Chapter XI - Stubborn
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Other:
BabyAU (Luviahel) 1 - 2 - 3 - 4
What Will Never Be (BabyAU variant) 1 - 2 - 3 - 4 - ....
Little Dove (Luviaarlep)
~ Wanna-draw list ~
Luvihael in traditional French & Italian outfits (something like the 17th century)
Luvia's character sheet
Ascended Raphael
Raphael in Helldusk Armor
SugarDaddy!Raphael with SugarBaby!Luvia
Modern!Luvia in different outfits (like in the Sims ! Casual, fancy etc...)
Luvihael's wedding
#art#artists on tumblr#baldur's gate 3#bg3#fantasy#video games#digital art#bg3 gortash#bg3 raphael#bg3 oc
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 8 : Bienvenue à Storybrooke
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Agatha, Lilia, Ivana, Lucillia, Jen et Alice se tenaient au milieu d'une route en bitume, entourées par un paysage qui semblait tout droit sorti d'un rêve. Le bitume noir, brillant sous le soleil, s'étendait à perte de vue, bordé de chaque côté par des arbres majestueux dont les feuilles dansaient doucement au gré du vent.
Les sorcières avaient l'air perdues, leurs visages trahissant la confusion et l'inquiétude. Agatha, avec ses cheveux ondulés et son regard perçant, scrutait l'horizon, espérant apercevoir un signe de leur destination. Lilia, quant à elle, jouait nerveusement avec une mèche de cheveux, son esprit tourbillonnant d'inquiétude. Ivana, toujours pragmatique, tentait de calmer le groupe, mais son ton trahissait son propre doute.
Lucillia et Jen, échangaient des regards inquiets, tandis qu'Alice, semblait perdue dans ses pensées, contemplant les nuages qui flottaient paresseusement dans le ciel bleu. Les murmures des sorcières se mêlaient au chant des oiseaux, créant une mélodie douce-amère d'incertitude.
La chaleur du soleil pesait sur elles, et l'odeur d'herbe fraîche s'élevait dans l'air, mais cela ne faisait qu'accentuer leur sentiment d'errance. Elles se tenaient là, au milieu de cette route, réalisant qu'elles étaient loin de chez elles, sans aucune idée de la manière dont elles avaient atterri ici. Leurs cœurs battaient à l'unisson, un mélange d'appréhension et d'espoir, alors qu'elles cherchaient désespérément une direction, un indice, ou simplement un moyen de retrouver leur chemin.
Subitement, le groupe d'amies fut tiré de ses pensées par un éclat de lumière éblouissant. Une voiture, d'un rouge vif, s'arrêta brusquement juste devant elles, faisant crisser ses freins sur le bitume. Les sorcières échangèrent des regards surpris, le cœur battant à l'unisson dans cette atmosphère tendue.
L'homme qui sortit de la voiture avait l'air complètement perturbé. Ses cheveux en désordre et son regard écarquillé trahissaient son étonnement face à cette scène incongrue. Il s'approcha d'elles, l'air inquiet, et demanda d'une voix hésitante :
« Que se passe-t-il ici ? »
Agatha, qui avait toujours eu un tempérament fort, le regarda avec un regard noir, ses bras croisés sur sa poitrine.
« Qui êtes-vous ? » demanda-t-elle d'un ton ferme, ne laissant aucune place à l'ambiguïté.
L'homme, visiblement pris au dépourvu par son attitude, balbutia un instant avant de répondre :
« Je m'appelle David Nolan. Je suis le sherif de la ville , je ne m'attendais pas à voir un groupe de femmes au milieu de la route. C'est dangereux ! »
Lilia, se penchant légèrement en avant, ajouta avec un sourire moqueur : « Oui, et nous ne sommes pas là pour faire du camping, vous savez. »
Ivana, toujours pragmatique, tenta de calmer la situation. « Écoutez, David, nous sommes un peu perdues. Peut-être pouvez-vous nous aider ? En réalité on se sais même pas comment on à fait pour att »
David, réalisant qu'il avait interrompu quelque chose d'important, se gratta la tête, l'air embarrassé. « Euh, bien sûr. Je peux vous donner un coup de main... mais il faut que vous vous écartiez de la route. »
Jen, avec un clin d'œil, murmura à Alice : « On dirait que notre sauveur est arrivé. »
☆○o。 。o○☆
La nouvelle de l'arrivée de ces étranges personnes avait déjà commencé à circuler, et il savait que chaque seconde comptait. Il rassembla toutes les sorcières, et les conduisit vers le bureau de Regina.
Arrivés devant le bureau, il frappa à la porte, le bruit résonnant comme un tambour dans le silence tendu. Regina, avec ses cheveux brun et son regard perçant, ouvrit la porte. Elle les accueillit avec un sourire amère et David pouvait voir l'inquiétude dans ses yeux.
Regina, avec ses cheveux brun qui brillaient sous la lumière du soleil, fixa Agatha avec un regard perçant. Ses sourcils se froncèrent légèrement alors qu'elle prenait la mesure de la sorcière devant elle.
« La sorcière du chaos, vraiment ? » s'exclama Regina, levant les yeux au ciel avec une exaspération palpable. « Je peux savoir ce que tu fais dans ma ville ? »
Agatha, avec un sourire énigmatique, répondit d'une voix douce mais assurée : « Nous sommes arrivées par hasard, Regina. C'était imprévu. »
Regina plissa les yeux, visiblement sceptique. « Par hasard ? Je doute que le chaos soit une simple coïncidence. »
C'est alors que Lucillia, avec son enthousiasme habituel, s'avança, les bras légèrement écartés comme pour apaiser la tension. « C'est vrai, madame ! On était sur la route des sorcières et on a atterri ici. »
Regina tourna son regard vers Lucillia, surprise par sa franchise. « La route des sorcières, dis-tu ? » demanda-t-elle, son ton se radoucissant légèrement. « Et vous pensez que cela justifie votre présence ici ? »
Lucillia hocha la tête vigoureusement. « Oui ! C'est un peu comme un accident de voyage. On ne voulait pas déranger, mais maintenant que nous sommes là, peut-être que nous pourrions... »
« Non, non, non, » interrompit Regina, levant une main pour couper court aux explications. « Je ne peux pas simplement laisser des sorcières errer dans ma ville sans savoir ce qu'elles prévoient. »
Ivana croisa les bras, un sourire amusé aux lèvres. « Peut-être que si nous vous racontions notre histoire, vous comprendriez mieux pourquoi nous sommes ici. »
Regina soupira, son regard balayant le groupe de sorcières. « Très bien. Je vous écoute. Mais sachez que je n'hésiterai pas à agir si je sens que vous représentez une menace. »
La tension dans l'air était palpable, et le silence s'installa alors que les sorcières se préparaient à expliquer leur présence, chacune consciente que le destin de leur rencontre dépendait des mots qu'elles choisiraient.
Ivana, avec une lueur d'enthousiasme dans les yeux, s'avança, les mains gesticulant légèrement. « Nous avons pris la route pour obtenir la récompense à la fin du chemin, mais sur la route, un portail nous a transportées ici ! » expliqua-t-elle, sa voix pleine d'excitation. « Nous voulons bien repartir, vraiment. »
David, les bras croisés, secoua la tête avec une moue désapprobatrice. « C'est impossible. Les limites de la ville sont bloquées avec la magie. Vous ne pouvez pas partir comme ça. »
Agatha éclata de rire, un son clair et moqueur qui résonna dans l'air. « Alors, un sort que tu as encore raté, Regina ? » dit-elle en se tournant vers la sorcière, son sourire taquin trahissant son amusement.
Regina, irritée par le commentaire, lança un regard noir à Agatha. « Si tu ne veux pas que je te transforme en carpeaux, tu ferais mieux d'arrêter de me charrier, » rétorqua-t-elle, sa voix ferme et pleine de menace sous-jacente.
La tension était palpable, et un silence lourd s'installa alors que les autres scrutaient Regina, attendant sa réaction. Ivana, un peu intimidée, tenta de calmer l'atmosphère. « Écoutez, nous ne cherchons pas de problèmes. Nous voulons simplement rentrer chez nous. »
David soupira, son regard passant de Regina à Agatha. « Peut-être qu'il y a un moyen de lever le sort, mais pour le moment on cherche encore alors désolé mais vous allez être coincé avec nous un moment. »
Regina, toujours sur la défensive, croisa les bras. « Très bien, mais sachez que je n'hésiterai pas à utiliser mes pouvoirs si cela tourne mal. »
Agatha, visiblement amusée par la situation, se pencha légèrement en avant. « Oh, je suis impatiente de voir comment cela va se dérouler. »
Les regards échangés entre les sorcières et David témoignaient d'une tension palpable, alors que chacun réalisait que leur destin était désormais lié dans cette ville magique.
Lilia, les sourcils froncés, s'approche du groupe avec une lueur d'inquiétude dans les yeux. "Il faut vraiment qu'on trouve un moyen de se loger. On ne peut pas rester ici sans plan," dit-elle, sa voix trahissant une légère panique.
David, toujours prêt à agir, se redresse et lance avec enthousiasme : "Pourquoi ne pas aller chez Granny ? Elle a toujours de la place pour les invité !" Son sourire contagieux semble apaiser un peu l'atmosphère tendue.
Lucillia, visiblement d'accord, acquiesce avec énergie. "C'est une excellente idée, !"
Regina, les yeux levés au ciel, ne peut s'empêcher de sourire malgré elle. "D'accord, d'accord, je valide. Mais je ne veux pas que ce soit trop chaotique, comme d'habitude," ajoute-t-elle en croisant les bras, un air faussement sévère sur le visage, trahissant son amusement.
☆○o。 。o○☆
Le soir était tombé, enveloppant la ville d'une douce lumière tamisée. Une soirée chez Granny s'annonçait, une occasion parfaite pour les nouveaux arrivants de se mêler au reste du groupe. L'ambiance était à la fois excitante et nerveuse, et Lucillia se tenait devant le miroir de sa chambre, son cœur battant la chamade.
Elle observait son reflet, anxieuse, ne sachant pas vraiment quelle tenue choisir. Les pensées tourbillonnaient dans son esprit, des doutes sur son apparence et son style l'assaillant. Finalement, elle opta pour des vêtements simples mais élégants, dans des teintes claires qui reflétaient la douceur de la soirée. La lumière du soleil couchant se reflétait sur les tissus, ajoutant une aura délicate à sa silhouette.
Alors qu'elle attachait ses cheveux avec soin, un léger bruit de toc retentit à la porte, brisant le silence de sa concentration. Lucillia se retourna, le cœur battant, se demandant qui pouvait bien être là, ajoutant une nouvelle couche d'anticipation à sa soirée déjà chargée d'émotions.
Lucillia s'approcha de la porte avec une légère hésitation, son cœur palpitant toujours à cause de l'angoisse de la soirée. Lorsqu'elle ouvrit la porte, une vision éblouissante se présenta devant elle : Lilia, rayonnante dans une tenue soigneusement choisie. La lumière ambiante de la pièce se reflétait sur les tissus de sa robe, mettant en valeur chaque courbe avec une élégance naturelle.
Lucillia ne put s'empêcher de laisser ses yeux glisser le long de la silhouette de Lilia, admirant la façon dont elle avait su marier les couleurs et les textures. Les cheveux de Lilia, soigneusement coiffés, tombaient en cascade sur ses épaules, encadrant son visage délicat. Les détails de sa tenue, un subtil mélange de sophistication et de simplicité, captivaient l'attention de Lucillia, qui se sentit soudainement submergée par la beauté de son amie.
Sa bouche s'ouvrit légèrement, prise au dépourvu par l'éclat de Lilia, incapable de trouver les mots justes pour exprimer ce qu'elle ressentait. Un mélange d'admiration et d'émerveillement l'envahissait, tandis qu'elle réalisait à quel point cette soirée serait marquée par des rencontres mémorables et des moments inoubliables.
Lucillia secoua la tête, chassant les pensées inappropriées qui l'assaillaient, et se força à se concentrer sur Lilia. Avec un sourire émerveillé, elle s'exclama :
« Wow, tu as l'air... incroyable ! »
Lilia, rayonnante, lui répondit avec un sourire complice : « Et toi également ! » Ces mots résonnaient comme une douce mélodie, renforçant le lien entre elles.
Lilia entra dans la chambre, son regard pétillant d'énergie. Elle se tourna vers Lucillia, s'approchant doucement, comme si chaque mouvement était soigneusement orchestré. S'arrêtant juste derrière elle, Lilia commença à glisser ses doigts dans les cheveux de Lucillia, les coiffant avec une délicatesse infinie.
Les doigts de Lilia effleurèrent la nuque de Lucillia, provoquant un léger frisson qui parcourut le corps de cette dernière. Lucillia ferma les yeux un instant, savourant cette attention, tandis qu'un sourire se dessinait sur ses lèvres.
Lilia continua son geste, chaque mouvement créant une atmosphère intime et chaleureuse, renforçant la complicité qui les unissait.
Lorsque Lilia eut terminé de coiffer Lucillia, un sourire délicat illumina son visage. Elle s'approcha doucement, frotta les épaules de Lucillia avec tendresse et dit avec une voix douce :
« C'est tout bon. »
Lucillia, touchée par cette attention, lui rendit son sourire, les yeux pétillants de joie. Elle se pencha légèrement en avant et embrassa la joue de Lilia avec affection, murmurant :
« Parfait, merci ! On y va ? »
Lilia, toujours souriante, hocha la tête avec enthousiasme, ses yeux brillants d'excitation.
« Oui, allons-y ! » répondit-elle, prête à partager une nouvelle aventure avec son amie.
L'atmosphère était légère, empreinte de complicité et d'énergie positive, tandis qu'elles se dirigeaient ensemble vers la porte, prêtes à affronter le monde extérieur.
☆○o。 。o○☆
La soirée chez Ganny's battait son plein, l'ambiance était chaleureuse et animée. Les invités étaient dispersés autour des tables, certains assis, d'autres debout, échangeant des rires et des histoires. La lumière tamisée créait une atmosphère intime, tandis que des éclats de voix et des éclats de rire résonnaient dans la pièce.
David se tenait à côté de Mary-Magarette, mais son attention était ailleurs. Ses yeux, captivés, suivaient Ivana, qui se tenait un peu plus loin. Elle rayonnait dans sa robe élégante, ses cheveux tombant en cascade sur ses épaules, capturant la lumière d'une manière presque magique. Son sourire illuminait la pièce, et chaque mouvement qu'elle faisait semblait hypnotiser David.
Il ne pouvait s'empêcher de la trouver incroyablement belle, une beauté qui le dépassait et le laissait sans voix. Les conversations autour de lui devenaient floues, comme si le monde s'était arrêté, ne laissant place qu'à cette fascination qu'il éprouvait pour Ivana. Le battement de son cœur s'accéléra alors qu'il se perdait dans ses pensées, se demandant si elle avait remarqué son regard.
Lucillia se tenait près d'Henry, un léger sourire sur le visage, découvrant peu à peu la personnalité de ce jeune homme. Il avait une aura chaleureuse, et chaque mot qu'il prononçait semblait empreint de sincérité.
« Alors, quelle genre de magie tu as ? » demanda-t-il avec curiosité, ses yeux pétillants d'intérêt.
Lucillia, un peu hésitante, haussait les épaules. « Eh bien, je ne sais pas vraiment... » dit-elle, une touche d'incertitude dans sa voix. « Je n'ai jamais vraiment pensé à ça. »
Henry, avec un sourire encourageant, lui répondit : « Pas de souci ! Ma mère peut t'aider. C'est une sorcière, tu sais. Au début, elle paraissait un peu méchante, mais en réalité, elle est très gentille. »
À ces mots, un rire léger s'échappa des lèvres de Lucillia. « C'est une bonne idée ! » s'exclama-t-elle, amusée par l'idée d'une sorcière bienveillante.
Elle se sentait soudainement plus à l'aise, comme si une porte s'ouvrait devant elle, pleine de promesses et d'aventures. Henry, satisfait de sa réaction, continua à discuter avec elle, renforçant leur lien naissant, tandis que l'ambiance autour d'eux se remplissait de rires et d'échanges joyeux.
Agatha et Regina étaient assises à une table, entourées d'un doux murmure de conversations et du cliquetis des couverts. Regina, qui connaissait Agatha depuis longtemps, sentit que c'était le moment de briser le silence.
« Tu attendais quoi de la route au juste ? » demanda Regina, inclinant légèrement la tête, curieuse.
Agatha haussait les épaules, le regard perdu dans le vide, comme si les mots lui échappaient. Regina plongea son regard dans celui d'Agatha, cherchant à percer le mystère de son silence.
« Les pouvoirs, » finit par répondre Agatha, sa voix à peine audible.
La surprise illumina le visage de Regina. « Attends quoi ? Tu n'as plus de pouvoir ? » s'exclama-t-elle, laissant échapper un fin rire, à la fois incrédule et amusée.
Agatha, un peu agacée par la réaction de son amie, lui lança un regard sérieux. « Ça va, arrête de rire. Non, je n'ai plus de pouvoir, » répondit-elle, sa voix teintée d'une tristesse contenue.
Regina, réalisant la gravité de la situation, se fit plus attentive. Elle comprit que derrière cette révélation se cachait une histoire bien plus complexe que ce qu'elle avait imaginé.
Agatha, les yeux rivés sur la table, prit une profonde inspiration avant de révéler :
« Si tu veux tout savoir, c'est la société rouge qui m'a pris tous mes pouvoirs. » Ses mots résonnaient avec une gravité palpable, et Regina ne put s'empêcher de froncer les sourcils, perplexe.
« Tu penses vraiment que la route aurait pu te donner ça ? » demanda Regina, sa voix trahissant une combinaison d'incrédulité et de préoccupation.
Agatha, quant à elle, haussait les épaules, l'air résigné, sans rien dire de plus. Son silence en disait long, et Regina sentit une vague d'empathie l'envahir. L'atmosphère autour d'elles devint soudainement plus lourde, comme si le poids des secrets d'Agatha pesait sur leurs épaules. Regina savait qu'il y avait davantage derrière cette histoire, mais elle respectait le besoin d'Agatha de ne pas en dire plus pour l'instant.
Les yeux d'Agatha se posèrent sur Ivana, qui était en plein échange avec David. Une vague de dégoût l'envahit ; elle détestait cet homme. Son regard s'assombrit, et Regina, qui observait la scène, remarqua immédiatement ce changement. Elle connaissait parfaitement ce regard, ce regard de la jalousie qui trahissait les sentiments tumultueux d'Agatha.
Regina, un peu amusée par la situation, prit une gorgée de son verre avant de se tourner vers Agatha. « Tu sais, tu pourrais aller lui parler ou même lui dire ce que tu ressens, » proposa-t-elle avec un sourire encourageant.
Agatha lâcha un rire amer, vidant son verre d'un trait. « Je ne suis pas assez ivre pour ça, » rétorqua-t-elle, un brin sarcastique.
Regina ne put s'empêcher de rire doucement. « Depuis quand as-tu besoin d'alcool pour ça ? » demanda-t-elle, taquine.
Agatha la regarda, un sourire en coin. « Depuis que c'est la fille de Wanda, » répondit-elle, le ton de sa voix trahissant une frustration mêlée à une pointe d'humour.
Regina connaissait ce sentiment, celui qui rongeait Agatha de l'intérieur. Elle pencha la tête sur le côté, son regard plein de compréhension.
« Quand je te dis que l'amour est une faiblesse, » commença-t-elle, sa voix douce mais ferme.
Agatha hocha la tête, le cœur lourd, avant de se lever pour se resservir un verre. Le bruit du liquide qui s'écoule dans le verre résonna dans le silence ambiant, créant une pause dans leur conversation. Regina, toujours attentive, ne la quittait pas des yeux. Elle pencha à nouveau la tête sur le côté, comme si elle pesait ses mots.
« Tu mérites ta fin heureuse, Agatha. Vraiment, » affirma-t-elle, son ton sincère et encourageant.
Agatha esquissa un sourire doux, mais son regard se perdit au loin, et elle baissa la tête. « Ça ne sera sans doute pas avec elle... » murmura-t-elle, une mélancolie palpable dans sa voix.
Regina, déterminée à redonner espoir à son amie, pencha encore la tête sur le côté et dit : « Ça peut. De toute façon, elle ne peut pas être pire que Rio. »
Son sourire était contagieux, et bien que la situation fût délicate, il y avait dans ses mots une lueur d'espoir, une promesse que tout pouvait encore changer.
☆○o。 。o○☆
La soirée avait doucement tiré à sa fin, laissant derrière elle les échos de rires et de conversations animées. Les lumières tamisées de la salle s'éteignaient progressivement, plongeant les lieux dans une atmosphère paisible. Mary-Margarette, Emma et David avaient pris le temps de dire au revoir, chacun portant avec lui les souvenirs de cette belle soirée.
David, le visage marqué par la fatigue, avait décidé de se retirer se coucher, laissant les deux femmes dans la cuisine.
Mary-Margarette se tenait dans la cuisine, son regard perdu dans le vide, un léger froncement de sourcils trahissant son trouble habituel. Emma, attentive et observatrice, ne pouvait s'empêcher de remarquer ce changement. Elle s'approcha de sa mère, son cœur battant un peu plus vite, et lui demanda d'une voix douce :
«Qu'est-ce qui se passe ? Tu sembles différente aujourd'hui. »
Mary-Margarette, se redressant légèrement, répondit d'un ton léger, « Oh, tout va bien, ma chérie. » Mais son sourire était trop forcé, et Emma le remarqua immédiatement.
« Ne me mens pas, » répliqua Emma en croisant les bras, son regard perçant fixé sur sa mère. « Dis-moi la vérité. »
Mary-Margarette soupira, réalisant qu'elle ne pouvait pas cacher son malaise plus longtemps. « D'accord, » avoua-t-elle finalement. « Je ne sens pas Ivana. Il y a quelque chose d'étrange chez elle, et je ne l'aime pas. »
La révélation laissa Emma sans voix, ses yeux s'écarquillant de surprise. « Quoi ? Mais pourquoi ? » demanda-t-elle, cherchant à comprendre ce qui avait pu provoquer un tel sentiment chez sa mère.
Mary-Margarette se mordit la lèvre, cherchant les mots justes. « Je ne sais pas exactement, mais il y a quelque chose dans son attitude qui me dérange. »
Emma, toujours sous le choc, réfléchit un instant avant de répondre. « Tu penses qu'il y a vraiment un problème avec elle ? »
Mary-Margarette hocha la tête, le regard sérieux. « Oui, et je préfère que tu sois prudente. »
Un silence pesant s'installa entre elles, chacune plongée dans ses pensées, alors que la tension de la conversation flottait dans l'air.
Emma, toujours perplexe face aux inquiétudes de sa mère, décida de défendre Ivana. « Mais moi , je trouve qu'Ivana est très correcte »
Mary-Margarette haussait les épaules, une expression de scepticisme sur son visage. « Moi, je me méfierais, » répondit-elle, son ton trahissant une légère impatience. « Sans compter qu'Agatha connaît Regina. Je ne serais pas surprise si ça tourne mal. »
Emma fronça les sourcils, visiblement troublée par cette déclaration. « Tu es pourtant la plus optimiste d'entre nous, » lui fit-elle remarquer, cherchant à comprendre ce qui avait bien pu changer.
Mary-Margarette haussait à nouveau les épaules, son visage se fermant légèrement. Elle ne répondit pas, laissant le silence s'installer entre elles, pesant lourdement sur l'atmosphère de la cuisine. Emma, sentant l'inquiétude de sa mère, commença à se demander si elle avait raison de faire confiance à Ivana.
☆○o。 。o○☆
Agatha faisait les cent pas dans sa chambre, ses pensées tourbillonnant comme une tempête. Chaque pas résonnait dans le silence lourd de la pièce, marquant son agitation intérieure.Elle ne pouvait s'empêcher de repenser à la discussion qu'elle avait eue avec Regina au sujet d'Ivana. Les mots de Regina résonnaient dans son esprit, comme un écho incessant : «Elle est un peu être ta fin heureuse . »
Agatha s'arrêta un instant, le regard perdu dans le vide, puis se remit à arpenter la pièce. L'image d'Ivana près de David lui revenait sans cesse, et cela la dégoûtait. Elle se voyait les observer, rire ensemble, une complicité qui lui était insupportable. Chaque fois qu'elle imaginait cette scène, une colère sourde montait en elle, alimentée par la jalousie.
Plus elle y pensait, plus son esprit s'emballait, imaginant des scénarios catastrophiques qui n'avaient jamais eu lieu. Cette spirale de pensées la rendait folle, et elle se sentait piégée dans un tourbillon d'émotions contradictoires, entre la rage et l'inquiétude. Agatha s'arrêta finalement, le souffle court, réalisant qu'elle devait trouver un moyen de calmer son esprit avant que cela ne la consume complètement.
Agatha prit une profonde inspiration avant de frapper doucement à la porte communicante entre les deux chambres. Le bruit résonna légèrement, brisant le silence pesant qui l'entourait. Elle attendit un instant, le cœur battant, avant d'ouvrir la porte.
En entrant dans la chambre d'Ivana, elle fut frappée par la vue de son amie, toujours vêtue de sa tenu de soirée.
Le regard d'Ivana se posa sur Agatha , qui la fixait avec une expression d'incompréhension. Les yeux d'Ivana, cherchaient à comprendre la raison de cette visite inattendue.
Ivana, brisant le silence, demanda à Agatha d'une voix douce :
« Tout va bien ? »
Sa question, simple mais chargée d'inquiétude, résonna dans la pièce. Agatha sentit une vague d'émotions l'envahir, entre la colère, la jalousie et une profonde tristesse. Elle savait qu'elle devait répondre, mais les mots semblaient bloqués dans sa gorge, incapables de franchir le seuil de ses lèvres.
Leurs regards se croisèrent, et dans ce moment suspendu, Agatha réalisa à quel point la situation était délicate. Elle devait trouver les mots justes pour exprimer ce qu'elle ressentait, tout en évitant de blesser Ivana. L'intensité de ce moment la plongea dans une réflexion profonde sur leur amitié, sur les tensions qui s'étaient installées entre elles, et sur ce qu'elle allait dire ensuite.
Agatha se tenait là, les pensées embrouillées, ne sachant pas comment répondre à la question d'Ivana. Le brouillard de l'alcool qu'elle avait partagé avec Regina commençait à s'installer dans son esprit, rendant chaque pensée plus floue que la précédente. Elle pouvait sentir une chaleur familière dans son corps, une légère ivresse qui la rendait à la fois audacieuse et vulnérable.
S'approchant lentement d'Ivana, Agatha ne pouvait s'empêcher de la fixer, ses yeux cherchant à capter la moindre émotion sur le visage de son amie. Ivana, quant à elle, restait immobile, comme figée dans le temps, ne comprenant pas vraiment ce qui se passait. Son regard était interrogateur, mais aussi un peu inquiet, cherchant des réponses dans le visage d'Agatha.
L'espace entre elles semblait se rétrécir à chaque pas qu'Agatha faisait, et elle pouvait presque sentir la tension palpable dans l'air. Les battements de son cœur résonnaient dans ses oreilles, amplifiés par l'angoisse de la situation. Elle s'approcha encore, le sol craquant légèrement sous ses pas, chaque mouvement semblant résonner dans le silence de la chambre.
Ivana, toujours immobile, ne bougea pas d'un pouce, laissant Agatha venir vers elle. À mesure qu'Agatha se rapprochait, elle pouvait voir les détails du visage d'Ivana : la manière dont ses sourcils se froncèrent légèrement, la façon dont ses lèvres s'entrouvrirent, comme si elle était sur le point de dire quelque chose, mais n'en avait pas encore trouvé le courage. Ce moment, suspendu dans le temps, était à la fois délicat et chargé de promesses, et Agatha savait qu'elle devait choisir ses mots avec soin.
Agatha, avec une douceur presque hypnotique, passa ses doigts dans les cheveux d'Ivana. Ses mouvements étaient lents et délicats, comme si elle caressait un trésor précieux. Les mèches de cheveux glissaient entre ses doigts, et elle pouvait sentir la chaleur de la tête d'Ivana sous sa main. Chaque geste était empreint d'une tendresse qui semblait créer une bulle d'intimité autour d'elles.
Sans jamais quitter le regard d'Ivana, Agatha continua à glisser ses doigts, la connexion entre elles se renforçant à chaque instant. Les yeux d'Ivana brillaient d'une lueur d'incertitude mêlée à une curiosité palpable. Agatha, consciente de l'effet qu'elle avait sur elle, laissa échapper un léger sourire, un mélange de défi et de douceur.
Puis, avec une assurance nouvelle, Agatha plaça doucement ses deux mains sur les joues d'Ivana. Ce contact, à la fois intime et électrisant, fit battre le cœur d'Ivana un peu plus vite. Elle pouvait sentir la chaleur des paumes d'Agatha sur sa peau, et une vague d'excitation l'envahit. Agatha rapprocha lentement ses lèvres de celles d'Ivana, créant un espace chargé de tension et d'anticipation.
Leurs souffles se mêlaient, se croisant dans l'air, créant une atmosphère presque palpable. Ivana ferma les yeux un instant, savourant cette proximité. Elle aimait ça, cette sensation d'être à la fois vulnérable et désirée. Son cœur battait la chamade, et l'excitation de la situation la submergeait. Chaque seconde semblait s'étirer, suspendue entre le désir et la peur, alors qu'Agatha se tenait là, prête à franchir cette ligne délicate qui les séparait.
Ivana, avec une détermination douce, posa ses mains sur les hanches d'Agatha. Ce geste, à la fois tendre et audacieux, laissa échapper une sensation de chaleur qui traversa leurs corps. En la rapprochant doucement d'elle, Ivana pouvait sentir le rythme du cœur d'Agatha s'accélérer sous ses doigts, comme si elles étaient toutes deux synchronisées dans ce moment suspendu.
Les lèvres d'Agatha, douces et hésitantes, allèrent ce poser sur celle d'Ivana cependant, au plus profond de son esprit, un brin de lucidité fit surface, comme une alarme silencieuse. Agatha réalisa soudain l'absurdité de la situation : elle était ivre, et Ivana, n'était autre que la fille de Wanda.
Agatha, baissa lentement la tête, comme si elle cherchait à fuir cette vérité qui la rattrapait. Sa voix, teintée de regret, s'éleva dans l'air chargé de tension :
"Non, je suis désolée, je ne peux pas, c'est impossible." Ces mots résonnèrent comme un écho de désespoir, brisant la magie du moment et laissant place à un silence lourd de non-dits et de sentiments conflictuels.
Agatha quitta la pièce, ses pas résonnant faiblement sur le sol, comme si chaque mouvement était un adieu. Son cœur, lourd et brisé, semblait se fissurer un peu plus à chaque seconde. La douleur de la situation l'étouffait, et elle savait qu'elle ne pouvait plus gérer ce tourbillon d'émotions qui la submergeait.
Une fois dans sa chambre, elle ferma la porte derrière elle avec un léger claquement, comme pour se couper du monde extérieur. L'air y était devenu lourd, chargé des souvenirs de ce qui venait de se passer. Agatha laissa échapper un fin soupir, un son presque inaudible, mais qui portait tout le poids de sa tristesse. Ce soupir était une libération, une tentative de chasser les pensées qui tourbillonnaient dans son esprit.
Elle s'approcha de sa fenêtre, regardant le paysage qui s'étendait devant elle, mais son regard était perdu, distant. Les du soir se mêlaient, mais elle ne pouvait pas les apprécier. Son cœur battait encore la chamade, et elle se sentait déconnectée de tout, comme si elle flottait dans un océan de désespoir.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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Les illustrations du chapitre 19 de Chloé, Fanny, Franck et les autres !! Avec Fanny ♫ !
#digital art#rpz#gta rpz#illustration#fanfiction#fanfiction illustration#chloé fanny franck et les autres
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Évangile de Jésus-Christ selon Saint Marc 12,38-44
« En ce temps-là,
38 dans son enseignement, Jésus disait : « Méfiez-vous des scribes, qui tiennent à se promener en vêtements d’apparat et qui aiment les salutations sur les places publiques,
39 les sièges d’honneur dans les synagogues, et les places d’honneur dans les dîners.
40 Ils dévorent les biens des veuves et, pour l’apparence, ils font de longues prières : ils seront d’autant plus sévèrement jugés. »
41 Jésus s’était assis dans le Temple en face de la salle du trésor, et regardait comment la foule y mettait de l’argent. Beaucoup de riches y mettaient de grosses sommes.
42 Une pauvre veuve s’avança et mit deux petites pièces de monnaie.
43 Jésus appela ses disciples et leur déclara : « Amen, je vous le dis : cette pauvre veuve a mis dans le Trésor plus que tous les autres.
44 Car tous, ils ont pris sur leur superflu, mais elle, elle a pris sur son indigence : elle a mis tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre. »
Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Mc 12,38
« Méfiez-vous… » (Mc 12,38) Dans la bouche de Jésus, voici une parole inattendue ! Nous sommes dans les derniers chapitres de l’Évangile de Marc, avant la Passion et la Résurrection du Christ. Jésus donne ses derniers conseils à ses disciples. Quelques versets plus haut, il leur a dit : « Ayez foi en Dieu (11,22)… Tout ce que vous demandez en priant, croyez que vous l’avez reçu et cela vous sera accordé. » Un peu plus loin, il leur conseillera encore : « Prenez garde que personne ne vous égare… » (13,5). Ici, c’est quelque chose comme « Ne donnez pas votre confiance à n’importe qui ! » Il s’agit de certains scribes. Nous sommes peut-être surpris de cette véhémence de Jésus, mais elle relève du style prophétique : combien de fois avons-nous vu les prophètes employer un langage très violent pour stigmatiser certaines attitudes ; pour autant, il ne s’agit pas pour Jésus de faire en bloc le procès de tous les scribes. Les scribes jouissaient d’une grande considération au temps de Jésus, et elle était généralement justifiée. Qui étaient-ils ? Des laïcs qui avaient étudié la Loi de Moïse dans des écoles spécialisées, des diplômés de la Loi. Ils avaient le droit de commenter l’Écriture et de prêcher. Ils siégeaient au Sanhédrin, le tribunal permanent de Jérusalem qui se réunissait au Temple deux fois par semaine. Les meilleurs d’entre eux étaient nommés « docteurs de la Loi ». Le respect qu’on leur vouait était en réalité celui qu’on ressentait pour la Loi elle-même. Mais cette reconnaissance populaire pouvait bien monter à la tête de certains : dans les synagogues, ils avaient des places réservées dans les premiers rangs, et les mauvaises langues faisaient remarquer que ces places, curieusement, tournaient le dos aux Tables de la Loi et étaient situées face au public ! Jésus manifeste une très grande liberté à leur égard : dans les versets précédents, il a rendu hommage à l’un d’entre eux : Marc nous raconte que « Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : Tu n’es pas loin du Royaume de Dieu. » (12,34). Ici, en revanche, il semble les prendre à partie de façon plus générale ; en réalité, ce n’est qu’une réponse au harcèlement dont il a été l’objet de la part de certains d’entre eux, depuis le début de sa vie publique, et qui lui a fait prendre conscience de leur jalousie à son égard. Jésus est bien conscient de la haine dont il est l’objet, mais ce n’est pas cela qu’il leur reproche ; à ses yeux, il y a plus grave : « Ils dévorent les biens des veuves et, pour l’apparence, ils font de longues prières : ils seront d’autant plus sévèrement jugés. » Et voici qu’une veuve se présente, justement pour faire son offrande. Elle est pauvre, de toute évidence, Marc le dit trois fois (v.42, 43 « pauvre veuve » ; v. 44 « indigence ») : c’était malheureusement le cas général, car elles n’avaient pas droit à l’héritage de leur mari et leur sort dépendait en grande partie de la charité publique. La preuve de leur pauvreté est dans l’insistance toute particulière de la Loi sur le soutien que l’on doit apporter à la veuve et à l’orphelin, ce qu’un scribe ne peut pas ignorer, lui, le spécialiste de la Loi. La veuve s’avance donc pour déposer deux piécettes ; et c’est elle que Jésus donne en exemple à ses disciples : « Amen, je vous le dis : cette pauvre veuve a mis dans le tronc plus que tout le monde. Car tous, ils ont pris sur leur superflu, mais elle, elle a pris sur son indigence : elle a tout donné, tout ce qu’elle avait pour vivre. » L’évangile n’en dit pas plus, mais la réflexion de Jésus à son sujet laisse entendre que sa confiance sera récompensée… Sa confiance en Dieu va jusque-là. Jusqu’à prendre le maximum de risques, le dépouillement complet. (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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Casimir, duc de Mortemart: It's an honour, Your Majesty, thank you for your invitation Napoléon V: Pleasure is mine
Napoléon V: I would also like you, dear Duke, to have your say. I appoint you a member of my Council of State, Duke de Mortemart. Your experience will be invaluable to me. I would like you to participate officially in the preparations for my coronation.
Casimir (grateful): Your Imperial Majesty, thank you.
Marie-Joséphine: Congratulations on your appointment, Duke. It's a great honour for you and your family Casimir: I will honour my new duties with loyalty, Your Majesty. Napoléon V: Your wife and daughter are welcome too. They will join the team of my sister, Madame Hortense
Marie-Joséphine: I will give you all you need to know for this role, Madame Duchess, Charlotte Charlotte: Thank you, Your Majesty
Henri: I'm a new member of the Council of State myself, dear friend. I'm happy to work with you from now on. Casimir: Of course Henri, likewise! Thank you again, Sire, you will not regret your choice. Napoléon V: I don't doubt it
⚜ Le Cabinet Noir | Château de Compiègne, 6 Floréal An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Casimir : C'est un honneur Votre Majesté, merci pour votre invitation. Napoléon V : Tout le plaisir est pour moi.
Napoléon V : Je souhaiterais par ailleurs, cher Duc, que vous ayez voix au chapitre.
Napoléon V : Je vous nomme membre de mon Conseil d'Etat, duc de Rochechouart. Votre expérience me sera précieuse, à n'en point douter. J'aimerais que vous participiez officiellement aux préparatifs de mon sacre. Casimir (reconnaissant) : Votre Majesté Impériale, merci.
Marie-Joséphine : Félicitations pour votre nomination Monsieur le Duc. C'est un grand honneur pour vous et votre famille. Casimir : Je ferai honneur à mes nouvelles fonctions avec loyauté, Votre Majesté. Napoléon V : Votre épouse et votre fille sont les bienvenues également. Elles rejoindront l'équipe de ma soeur, Madame Hortense.
Marie-Joséphine : Je vous donnerai tout ce que vous aurez à savoir pour ce rôle, Madame la Duchesse, Charlotte. Charlotte : Merci Votre Majesté.
Henri : Je suis moi-même un nouveau membre du Conseil d'Etat, cher ami. Je suis heureux de pouvoir travailler avec vous dorénavant. Casimir : Bien sûr Henri, pareillement ! Encore merci, Sire, vous ne regretterez pas votre choix. Napoléon V : Je n'en doute pas
#simparte#sim : henri#sim : louis#sim : marie joséphine#sim : charlotte#sim : casimir#sim : manon#le cabinet noir#sims 4#ts4#compiègne#sims 4 royal story#sims 4 royal#sims 4 royalty#ts4 royalty#ts4 royal#ts4 royals#ts4 royal legacy#ts4 royal simblr
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Chapitre 176:
The Unmoving Body, the new fragrance from CLAMP. Available now!
But OH the aesthetic. CLAMP are once again relishing in the climax of the plot and really giving themselves the space to elevate it all with the drama it deserves.
Which in this case means the cover chapter is a solemn, serious close up of Lava Lamp as he enters this final battle. AND THE DETAILS. The cover shows us his face, but only half his face - only one eye is visible, which means the next chapter pretty much HAS to be the inverse of this, with Syaoran doing the opposite pose with the opposite eye visible. The duality of it all is just RIGHT THERE on display, with each of them being an unequal half of the other, with all that means to each of them and all that’s happened in the plot because of it. Even the visible bands of black and white down the left side of the page (with the shadows on Lava Lamp’s neck and the colour of his clothes) emphasise the pattern of their yin yang connection, but in an orderly balanced fashion, because this is Lava Lamp, and he’s the whole being. There’s also the visual pull through the repeated V shape (the neck of Lava Lamp’s shirt, the shadow on his neck, the tip of his chin, the shape of his nose) that pulls the eye down that stripe of alternating colour to really highlight the contrast between everything that’s happening visually.
And in a fascinating callback Lava Lamp has a SHADOW here, lingering just behind him, which is such a FUN choice considering that the background is already black. They didn’t need another level of a grey tone shadow to make this dramatic but they did it anyway, because it's bringing the entire run of this imagery to its final conclusion. Lava Lamp’s metaphorical shadow is present in the image because Lava Lamp’s literal shadow is in front of him right now, lighting him on fire and trying to kill him. This echo of a person, this shadow come to life, has hung over his entire narrative, his entire life for years now, and its all been leading to this moment.
And lastly the slow drift of sakura petals across the page! That not only present us with the gorgeous imagery we surely don’t need explained, but also CAST SHADOWS ON LAVA LAMP as they fall past him. The shadows AGAIN are a deliberate choice, because they aren’t always given shadows in pages like this, but if they were ever going to it would be HERE, with all that might mean, and all that implies for Lava Lamp, and all that hints at for the future.
This cover is PEAK Clamp design. No notes!
#Even the fact that Lava Lamp’s eye is GREY#In stark contrast to the black and white everywhere else#In a colour only visually present in his SHADOW#UGH PERFECTION#Tsubasa#Liveblogging the reservoir Chronicle#Vol 176#Lava Lamp Guy
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Chapitre surprise :
Le train de o... entre en Gare. Il monte et se dirige vers la place qui lui a été réservée et s'installe.
Tout à coup il s'aperçoit qu'il est le seul passager dans ce wagon. Étonnant ! D'habitude pour cette destination il y a du monde. Il s'apprête à aller voir si il ne s'est pas trompé de train quand le haut parleur se met à raisonner. " départ dans quelques minutes pour Paris, ( Ce qui le rassure). La voiture numéro 5 à été réservé exclusivement pour monsieur O... ". Avant que O... n'est eu le temps de s'interroger à propos de cette réservation mystérieuse, les rideaux se baissent un à un et plonge le wagon dans la pénombre. Une silhouette arrive au loin, vêtue d'une guêpière rouge, porte jarretelle de la même couleur, bas et string noir, de splendide escarpins à talons aiguilles. Mais cette mystérieuse inconnue porte un masque qui l'a rend non identifiable. Elle s'assoit en face de lui, écarte les jambes et lui dit "as tu une langue suffisamment vaillante pour assouvir mon désir imminent ?" Ne sachant pas à qui il avait à faire il refuse catégoriquement. Un coup de cravache lui rapelle qu'il n'est pas en position de refuser. Timidement il s'agenouille, le string prévu à cet effet laisse le passage à cette langue qui exécute délicieusement se qui a été demandé. Au premier contact il devine de suite que c'est bien V... ouf !
Après avoir été habilement rassasiée elle se lève subitement et s'éclipse sans un mot. Surpris et malgré tout très déçu que ce moment soit aussi éphémère, Il regagne son siège en restant sur sa faim... les rideaux se lèvent laissant de nouveau pénétrer la lumière ce qui permet de voir que l'effet produit est bien visible, mais attention il a interdiction de se faire plaisir seul sans autorisation de sa maîtresse... bon voyage Mister O.
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NOTE DE LECTURE : Toutes les morts de Laila Starr. Ram V. Filipe Andrade. 2022
Excellent roman graphique ! La couverture marquée du "coup de coeur du libraire" m'avait interpellée et je l'avais gardée dans un coin de ma mémoire, et je ne suis pas déçue.
Laila Starr est la narratrice d'une histoire de vie et de mort qu'elle raconte comme déesse hindoue déchue et réincarnée. A chaque chapitre de son histoire pour retrouver sa place perdue, elle croisera Darius le pauvre humain cause de sa disgrâce mais aussi toutes les affres de notre humanité qui désormais la rendent vulnérable. C'est tout simplement beau, le récit est bien construit avec des chapitres, et les répétitions tragi-comiques de Toutes les morts de Laila Starr. Les illustrations sont épurées et chargées, saturées de couleurs, comme dans la culture indienne puisque cela se passe de nos jours à Mumbay. Et pourtant il émane de ce récit une subtile délicatesse, qui s'achève avec la poésie, et ouvre la champ de la philosophie.
Bref, une BD qui marque en tous points, tout comme l'avait fait auparavant Daytripper : au jour le jour, dont l'auteur a rédigé la préface de cet ouvrage, avec la thématique commune autour de la mort et de notre rapport à la vie.
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Voici le premier chapitre d'une toute petite histoire qui se situe dans le livre V (revisité à ma façon , trés tristre , desolé)
Comme d'habitude ecrit comme ça ...désolé d'avance.
Avertissement : angst (à mort) , tentive de suicide (vraiment désolé)
1ere partie : La fois de trop
Guenièvre était enchantée de faire cette cueillette avec son frère et son acolyte, les deux jeunes hommes expliquaient avec fierté à la jeune femme leurs astuces pour trouver toutes sortes de plantes et de « machin » extraordinaire. Ils furent interrompus par Merlin qui arrivait en trombe vers eux, inquiet apparemment qu’ils se soient empoisonnés.
« Pourquoi on se seraient empoissonnés, on n’a même pas commencé à cueillir quoi ce soit d’abord ! » dit la jeune la femme très surprise de l’attitude de l’enchanteur.
« Ben c’est le Roi ..enfin Arthur qui m’a dit que c’était hyper-urgent et comme quoi vous auriez bouffé des trucs vénéneux !! donc moi je me suis radiné au plus vite ! »
Guenièvre avait un mauvais présentiment, comment le Roi avait-il pu imaginer ça, peut-être s’inquiétait-il de l’avoir laissé avec les deux chevaliers et peut être craignait-il qu’il lui soit arrivé quelque chose de grave. Emue par ce sentiment, elle remercia la petite troupe et se rendit vers la cabane pour rassurer son époux.
Toute guillerette elle ouvrit la porte, délicatement, car elle ne voulait pas qu’elle lui reste dans les mains et s’élança dans la cabane.
« Ne vous inquiétez pas, nous n’avons pas.. »
Elle fut stoppée par la scène devant elle, Arthur qui remontait son pantalon et Démetra qui rajustait sa robe. La situation ne pouvait pas être plus claire. Encore ! Elle le surprenait encore dans cette situation, quoique la dernière fois ce n’était qu’un baiser dans une cuisine. Cependant cette fois ce ne fût pas la colère qui envahit son esprit, non ce fût son cœur qui se brisa, au vu du choc dans sa poitrine, elle se demanda s’ils n’avaient pas entendu le bruit tellement ce fût violent quand il se brisa. Elle ouvrit la bouche mais aucun son ne sorti, en revanche des larmes se mirent à couler sur ses joues. Toujours dans un silence pesant elle rouvrit la porte et s’en alla, les laissant seuls.
Elle se mit à courir droit devant elle à en perdre haleine, elle courait pour fuir.
Son cœur battait tellement fort, comme s’il voulait sortir de sa poitrine, son souffle était court, pas parce qu’elle courait, non, juste car elle n’arrivait plus à respirer normalement. Elle poursuivi sa course dans la forêt, toujours droit devant elle, se moquant totalement de se griffer aux branches sur le chemin. Aucune douleur n’était plus forte que celle qu’elle ressentait dans son cœur, il l’avait encore trompé, comme s’il elle n’était rien, de toute façon elle n’était rien pour lui ou peut être seulement un poids, un boulet qu’il se trainait et dont il rêvait de se défaire. Voilà pensa-t-elle, elle était un poids pour lui, il n’avait jamais voulu qu’elle vienne, elle s’était imposée, comme toujours.
Il ne l’avait pas seulement trahi, il l’avait humilié une fois de plus, il n’avait surement pas pensé un seul instant à elle alors qu’elle pensait à lui perpétuellement et cela depuis le début de leur mariage. Elle avait ralenti sa course et les larmes continuaient à s’échapper de ses yeux, elle avait si mal. Elle se stoppa devant un lac, s’adossa à un arbre et s’écroula sur le sol
Les genoux à terre, les larmes qui s’écoulaient toujours sur ses joues, elle revivait la scène. Elle n’était rien, ni pour lui, ni pour ses parents, ni pour personne de toute façon. Même celle qu’elle croyait son amie l’avait trahi, pourtant Démetra n’était plus la maitresse du Roi, il n’était plus Roi, elle s’était mariée à son frère, elle était devenue sa belle sœur mais elle l’avait trahi quand même.
Démetra aussi n’avait surement pas pensé à elle, personne ne faisait attention à elle. Elle se sentit brisée, pourtant très souvent, trop souvent, elle avait acceptée plus que cela, pourquoi maintenant, pourquoi craquait-elle maintenant, son armure d’optimisme avait fendu. Il ne l’avait pas suivi, il ne l’avait pas retenu, peut être s’attendait-il a qu’elle ne revienne jamais ? Jamais, le mot tournait dans sa tête comme pour la narguer, qu’allait-elle faire maintenant ? où aller ? Vers qui ? Qui avait vraiment besoin d’elle ? Personne !
Ses propres sanglots l’étouffaient, la douleur dans son cœur s’était propagée dans tout son corps, dans toute son âme, elle ne voulait plus de tout ça. Elle se leva doucement et machinalement s’approcha du lac, sans plus aucune pensée elle se dirigea vers le centre de l’étendue d’eau pure, des pétales de fleurs et des feuilles flottaient autour d’elle, une brise tiède vint lui caressait le visage comme pour lui essuyer ses larmes. Plus elle avançait, plus la douleur diminuait, un dernier sourire et elle plongea la tête sous l’eau. Le vide, le silence, afin l’apaisement, un dernier mot dans sa tête « au revoir ! » puis elle ferma les yeux pour se laissait emporter dans une quiétude qui l’empêcha d’entendre son nom qui avait été crié sur la berge, elle n’entendit pas non plus l’homme qui plongea.
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Hello bonjour c'est pour l'ask game 👀 J'ai dû me retenir pour pas toutes te les poser oops
F: Share a snippet from one of your favorite dialogue scenes you’ve written and explain why you’re proud of it.
K: What’s the angstiest idea you’ve ever come up with?
V: If you could write the sequel (or prequel) to any fic out there not written by yourself, which would you choose?
J'ai déja répondu à K précédemment donc voilà V et F !
V: If you could write the sequel (or prequel) to any fic out there not written by yourself, which would you choose?
Oohh alors mon amour pour le lore des Vignobles Hantés Montazac Torez, et du fonctionnement des fantômes dans cet univers, me donne extrêmement envie d'écrire des chapitres de cette fic du POV de Dona, parce que je suis fascinée par tout ce qu'il pourrait traverser. Sinon j'ai fouillé dans mes bookmarks et honnêtement je trouve que la plupart des fics que j'apprécie sont très bien ficelées et se suffisent à elle même ? Que puis je dire vous êtes doués
F: Share a snippet from one of your favorite dialogue scenes you’ve written and explain why you’re proud of it.
:roy_mini:
Elle me met face à moi même cette question
Je pense vraiment pas que les dialogues soient un de mes points forts, mais pourtant j'aime beaucoup les écrire. Je dirais que globalement je suis contente de ceux de Lampyre, les différents membres de la LSPD ont des voix distinctes qui rebondissent bien les unes avec les autres.
Si vous voulez, en avant première pour Tumblr, je peux vous partager un dialogue que j'ai écrit il y a pas longtemps, que je suis même pas sûr de garder tel quel mais que j'aime beaucoup 👀
"Mais je SUIS dégueulasse, mon petit Kiddy. Toute la ville le sait ! Je fais exprès de me faire kidnapper, sans doute que j'aime ça ! Et apparemment, j'ai adopté des gosses juste pour gagner des élections que je n'ai même pas remportées ! Dégueulasse ! Peut être qu'il faudrait que tu restes pour protéger les Croûte de moi, en fait ! Je les ai déjà tabassés, qui sait, je pourrais le refaire ! Peut être que toute la ville devrait le savoir ! C'est Bernard Pichon qui va être content quand le Weasel News publiera que Donatien de Montazac frappe des enfants !"
"Bordel Donatien, ta gueule !"
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2007 - 2012 VERSAILLES
Le quintet conte au travers de ses chansons le récit des « Descendants de la Rose ». Nous allons donc nous attarder sur quatre albums de Versailles, lesquels sont des « chapitres » relatant les uns après les autres l’histoire de ces personnages fictifs. Nous nous basons pour cette série de questions sur le phamphlet publié durant l’ Europe Tour 2011, qui avait pour but de résumer cette « fable » musicale.
V - « Chap I : Lyrical Sympathy »
On peut émettre une hypothèse : « Louis » et « Flowery » choisissent de mettre fin à leur histoire « Le Jour du Tapis Rouge », nommé ainsi car il évoque la mort de la jeune femme. Cette décision finale a-t-elle été prise d’un commun accord par les deux amants ? Si oui, pour quelle raison ont-ils favorisé cette solution, plutЩt qu’une autre qui leur aurait peut-Рtre permis de « vivre » ensemble ?
K - Pour le clan auquel « Flowery » appartenait, la mort était considérée comme étant « l’ultime bonheur », qui n’était atteignable que lors des derniers instants de vie
Tout au contraire de « Louis » qui, quand à lui, désirait l’éternité. Voilà pourquoi il l’a fait : pour elle...
V - « Chap II : Noble »
Pour « Louis », la rose rouge représente l’amour véritable. Mais lequel aurait-il choisi si cet emblème ne s’était pas imposé de lui-même ?
K - Concrètement, pour « Louis », la rose rouge représente aussi le sang. Donc, s’il n’avait pas fait le choix de faire de cette fleur son symbole, il aurait forcément choisi le sang !
V - « Chap III : Jubilee »
« Louis » sauve une petite fille vouée à une mort certaine. Ceci amène « Suzanne », une infirmière qui est en réalité la réincarnation de « Flowery », à enquêter sur cet étrange phénomène, ses recherches la menant finalement jusqu’au Vampire. On peut supposer que « Louis » a sauvé cette petite fille sachant que son grand amour remonterait jusqu’à lui. Qu’en pensez-vous ?
K - Je trouve cela très bien qu’il existe plusieurs interprétations de l’histoire. Je suis vraiment content de constater que vous avez perçu cette vérité.
V - « Chap IV : Holy Grail »
Dans le clip vidéo « Masquerade », on peut voir une petite fille grandir, jusqu’à arriver à un âge avancé. On peut imaginer qu’elle fini par mourir, et que la fillette brune que l’on voit à la fin du PV est sa fille. Alors, dans la continuité de l’histoire de « Louis » et « Flowery », ces protagonistes féminins ont-ils un rapport avec le grand amour du Vampire, ou ne sont-ils qu’une image figurant le temps qui passe, une métaphore décrivant le déroulement d’une vie ?
K - D’après le clip vidéo, l’histoire peut être interprétée ainsi, et autrement, d’une manière totalement abstraite. Appréciez-le avec divers points de vue.
V - Fermons le « livre », et passons à la dernière question ! Versailles a été créé selon un concept bien précis. En partant de là, l’histoire des « Descendants de la Rose » existait-elle dès le départ, ou a-t-elle été imaginée et mise en place au fur et à mesure ?
K - Aux débuts de Versailles, il n’y avait en réalité que « The Revenant Choir ». Par la suite, j’ai écrit les histoires étape par étape pour les adapter aux nouveaux albums
DEPUIS 2013 KAMIJO
C’est maintenant que cette entrevue atteint son point culminant : parce que cet « Entretien avec un Vampire » ne pouvait pas se terminer sans un ultime face à face avec le Roi.
V - Peut-on dire, dans « SYMPHO-NY OF THE VAMPIRE », que le Vampire à qui KAMIJO prête son image est en réalité la repré-sentation d’une seconde vie pour « Louis XVII » ?
K - Tout à fait. Mais seulement s’il était vivant... Gardez cela en tête pour apprécier pleinement cette histoire.
V - Dans « Louis – Enketsu no La Vie en Rose », si l’on se base sur qu’ont les « Roses » en tant que symbole de l’immortalité dans toutes vos oeuvres précédentes, peut-on supposer que ce titre au
rait Оgalement put se nommer « Louis – Enketsu no La Vie Éter-nelle » ?
K - Vous avez raison, cette chan-son aurait pu s’appeler ainsi. Pour ma part, ce que je considère plus éternel encore que les roses est la solitude.
V - « BASTILLE » et « YAMIYO NO LION » peuvent être considérées comme des odes engagées, créées dans le but d’abolir les frontières grâce à « l’Art » et destinées à toucher le « Coeur » de chacun. Pouvez-vous nous expliquer quelles sont selon vous les étapes permettant à ces chansons d’atteindre ce but ?
K - Dans un premier temps, l’Art se transforme en Amour. Puis ce-lui-ci envahit le Coeur du person-nage principal.
V – l’album « HEART », le titre épo-nyme annonce l’arrivée d’un mys-térieux « Comte ». Pouvez-vous nous en dire plus à son sujet ?
K - Ça, en revanche, c’est « Top Secret » !
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1. Petit historique - partie 1 (pseudossier : le phénomène ovni)
Je remercie les chercheuses et chercheurs cité·e·s dans ce pseudossier pour leurs travaux. Pour réaliser ce pseudossier, je me suis appuyé sur des films documentaires, des interviews vidéos, des ouvrages, des articles de presse ou de sites internet. Je remercie les pseudosphéristes passionnés qui en sont à l’origine.
Principales pseudosources :
Je me suis appuyé sur l’ouvrage suivant pour l’ensemble de ce pseudossier : Franck Maurin, Les mystères du phénomène ovni - de la préhistoire à nos jours, Éditions La Vallée Heureuse, 2016
Pour ce chapitre, je me suis également appuyé sur la page Wikipédia qui recense de manière chronologique les principaux cas d’ovni, il est possible, à partir de cette page, d’accéder à des articles plus détaillés : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_de_l%27ufologie
Ovni : https://fr.wikipedia.org/wiki/Objet_volant_non_identifi%C3%A9
GEIPAN : http://www.geipan.fr/index.php?id=206 https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_d%27%C3%A9tudes_et_d%27informations_sur_les_ph%C3%A9nom%C3%A8nes_a%C3%A9rospatiaux_non_identifi%C3%A9s
Pourcentage de PAN non identifiés d’après le GEIPAN : http://www.cnes-geipan.fr/?id=196
Cas d'ovnis dans l'antiquité : http://philippelopes.free.fr/RencontreUfo.htm Chaîne Julie Couvreur - Une Autre Réalité, OVNIS dans l'Histoire (https://www.youtube.com/watch?v=q2HYiZVQ5-A&t=7s)
Foo fighters : http://www.ovni-infos-france.fr/articles.php?lng=fr&pg=65
Vague scandinave de 1946 : (en anglais) https://en.wikipedia.org/wiki/Ghost_rockets
Cas d'Orange-Caritat : Thibaut Canuti, Histoire de l'ufologie française, Le temps des soucoupistes, Éditions Le Temps Présent, (pages 258 à 260)
Lumières de Lubbock :(en Anglais) https://en.wikipedia.org/wiki/Lubbock_Lights https://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/Lubbock/
Carrousel de Washington : (en Anglais) https://en.wikipedia.org/wiki/1952_Washington,_D.C.,_UFO_incident Jacques Lob et Robert Gigi, Le Dossier des soucoupes volantes, Dargaud éditeur, 1972 (pages 42 à 45)
Observation de Antananarivo : Thibaut Canuti, Histoire de l'ufologie française, Le temps des soucoupistes, Éditions Le Temps Présent, (pages 260 à 263)
Marius Dewilde : https://lenord.fr/upload/docs/application/pdf/2014-08/58-web.pdf Bimestriel Ikaris n°20, Gémini édition, avril-mai 2021 (pages 34 à 44)
Madame Lebœuf : https://ufologie.patrickgross.org/1954/26sep1954chabeuilf.htm Thibaut Canuti, Histoire de l'ufologie française, Le temps des soucoupistes, Éditions Le temps présent, (pages 265 à 268)
Aéroport d'Orly : https://www.franceinter.fr/emissions/affaires-sensibles/affaires-sensibles-23-juin-2017 https://ufologie.patrickgross.org/htm/orly1956f.htm Thibaut Canuti, Histoire de l'ufologie française, Le temps des soucoupistes, Éditions Le temps présent, (pages 268 à 272)
Cas de Bentwaters-Lakenheath : https://ufologie.patrickgross.org/htm/bentwaters56.htm Rapport SIGMA 2 (https://www.3af.fr/news/le-rapport-d-avancement-sigma2-2021-2182), pages 119 à 123
Cas de Boianai (Papouasie-Nouvelle-Guinée) : https://ufologie.patrickgross.org/htm/papua59f.htm#events
Betty et Barney Hill : (en anglais) https://en.wikipedia.org/wiki/Barney_and_Betty_Hill (en anglais) https://www.gaia.com/article/betty-and-barney-hill-abduction
Trancas : https://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/Trancas/ Jacques Lob et Robert Gigi, OVNI dimension autre, Dargaud éditeur, 1975 (pages 23 à 29) (en espagnol) http://www.visionovni.com.ar/archivos/646
Affaire de Socorro : Jacques Lob et Robert Gigi, Ceux venus d'ailleurs, Dargaud éditeur, 1973 Ovnis, contacts avec les extraterrestres, Éditions Atlas, 1996 (pages 72 à 75)
Rencontre de Valensole : Jacques Lob et Robert Gigi, OVNI dimension autre, Dargaud éditeur, 1975 (pages 9 à 12) Ovnis, contacts avec les extraterrestres, Éditions Atlas, 1996 (pages 89 à 91)
#pseudossier#phenomene ovni#extraterrestre#soucoupe volante#pan#Foo fighters#Kenneth Arnold#Thomas Mantell#antananarivo#Carrousel Washington#Lubbock#Marius Dewilde#Orly#Lakenheath#Boianai#Betty et Barney Hill#Trancas#Socorro#Valensole#BD#humour
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Les illustrations du chapitre 20 de Chloé, Fanny, Franck et les autres !
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Le Choix - chapitre 5
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
Guenièvre n'avait pas eu le temps de retirer sa main de la joue d'Arthur et la voix tonitruante de Léodagan retentit dans le couloir.
- Non mais ça va bien oh ? Qu'est-ce que vous croyez que vous êtes en train de faire espèce de grand trou de balle !
Arthur se retourna vers lui, interdit, tandis que Léodagan continuait sa tirade outragée.
- Vous croyez que vous pouvez vous en tirer comme ça à susurrer des mots doux à ma fille ? Elle est reine de Bretagne la petite je vous signale, vous comprenez ce que ça veut dire ? Alors je vous vois venir avec votre yeux bleus larmoyants et votre mèche là, mais elle a pas l'intention de bécoter un sous-fifre c'est moi qui vous le dis - ou alors l'intention va vite lui passer, et c'est moi qui vais m'en charger, j'espère que je me fais bien comprendre !
Arthur n'avait pas eu le temps d'en placer une. Il avait parlé plus vite que sa pensée quand Guenièvre l'avait pris pour Lancelot et qu'il avait répondu sans la détromper. Et maintenant, il devait faire face aux conséquences bien pourraves de son manque de réflexion. Comment allait-il bien pouvoir se tirer de ce mauvais pas ? Avant qu'il ne puisse réagir, Guenièvre avait eu ce léger basculement en arrière qu'elle avait quand elle était sur le point de répliquer et de faire entendre ce qu’elle avait en tête sans se laisser intimider.
- Non mais dites père, je ne vous permets pas !
- Vous, occupez-vous de vos miches !
- Mais justement, je suis bien assez grande pour m'occuper de mes miches toute seule !
- Ah ne commencez pas hein, parce que la réprimande paternelle elle peut partir !
À la menace de Léodagan, le sang d’Arthur ne fit qu’un tour.
- Eh oh, c’est vous qui allez vous calmer ou vous voulez que je m’en occupe ?
Léodagan le toisa calmement, l'œil légèrement pétillant comme s'il avait attendu la remarque de trop avec impatience, et lui colla un bourre-pif monumental sans se laisser démonter.
- Père !
- Nan mais ça va pas la tête !
- Ah mais si vous croyez que je vous ai pas vu tourner autour de la reine depuis tout ce temps ! Alors mon bonhomme si vous croyez que vous pouvez vous adresser au roi de Carmélide comme ça en plus d'essayer de tripoter la reine de Bretagne il va falloir vous remettre les idées en place vitesse grand V !
Arthur avait porté sa main à son nez, et commençait déjà à sentir le sang couler légèrement.
- Seigneur Lancelot de mes deux, marmonna Léodagan, manifestement satisfait de son petit effet.
Mais Arthur n'avait pas l'intention d'en rester là. En essayant d'épargner son nez, il asséna un coup de tête à Léodagan qui se voulait monumental. Au lieu de quoi, ayant eu un peu de mal à jauger sa propre taille, il ne se pencha pas tout à fait assez pour atteindre l'endroit de la tête de Léodagan qu'il visait, et écrasa à nouveau son nez endolori contre le visage de son adversaire. Léodagan laissa échapper un grognement qui ne fut pas sans déplaire à Arthur, mais ce dernier geignit encore plus fort. Sans perdre une seconde, Léodagan empoigna Arthur. Les coups se mirent à pleuvoir de part et d’autre, rythmés par les cris de Guenièvre qui essayait désespérément de les séparer.
Arthur, déséquilibré par ce grand corps qu’il ne connaissait pas encore, ne résista pas à la tentative de Léodagan pour le faire tomber, mais parvint à l’emporter dans sa chute, et les deux hommes finirent par tenter de s’asséner coups de poings et coups de genoux mutuellement sur les dalles froides du couloir. Au bout de quelques minutes d’un pugilat somme toute ridicule, Guenièvre cessa ses efforts pour interrompre leur empoignade et se barra purement et simplement. Cela fit à Arthur l’effet d’une douche froide. En effet, ça ne ressemblait à rien. Léodagan parut reprendre ses esprits exactement de la même manière, et les coups s’arrêtèrent. Les deux hommes se relevèrent, un peu honteux mais toujours pleins d’un orgueil viril. En s’époussetant, Léodagan entreprit d’enterrer la hache de guerre.
- Scusez seigneur Lancelot, c’est pourtant pas pour la loyauté que je porte à mon gendre…
Bon à savoir, se dit Arthur dans un coin de sa tête.
- Mais enfin, vous savez comment c’est, on n’a pas envie que ses enfants se fourrent dans des bourbiers sentimentaux…
- Nan mais je comprends, je comprends, c’est tout à votre honneur.
- Ah mais ne recommencez pas seigneur Lancelot, vous savez très bien que vous gonflez tout le monde avec vos histoires d’honneur et après il suffit de se lever la nuit pour aller pisser et on vous voit en train de… Pardon, ça me reprend.
Arthur ne répondit pas cette fois.
- Bon, ben sur ce ! Pas que ça m’ait beaucoup fatigué de vous latter mais enfin quand même je suis plus de première jeunesse, je retourne au plumard. Passez une bonne nuit seigneur Lancelot, et que je vous prenne pas à rôder autour de la chambre de ma fille, ajouta-t-il sur un ton de plaisanterie qui masquait à peine la menace.
- Bonne nuit à vous, répondit laconiquement Arthur, trop occupé à réfléchir à la tête en vrac qu’il devait à voir, et à ce à quoi le reste de sa nuit allait ressembler.
Tandis que Léodagan s’éloignait en direction de sa chambre, Arthur resta pensif. Sa conversation avec Guenièvre avait ouvert plus de questions qu’elle n’avait apporté de réponses ; pour autant, il ne pouvait pas se permettre d’aller la retrouver dans sa chambre sans crier gare. Un frisson le traversa – le froid du couloir commençait à se faire glacial.
[Votez ici pour ce qui se passe au chapitre suivant !] [Lisez le chapitre suivant ici]
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Oberynxafab!OC / mature
Résumé : "Et quand il posa son regard sur elle, il sut. Inévitablement, indéniablement, il sut. Comme il savait que le soleil se levait chaque matin, comme il savait que la lune brillait chaque et que le printemps succédait à l'hiver. Il sut, qu'il mourrait pour elle. Et quand elle le regarda, elle sut. Indubitablement, incontestablement. Jusqu'à ce que le soleil ne se lève plus sur leur monde, jusqu'à ce que les étoiles se meurent et que l'hiver soit éternel. Elle sut, qu'elle vivrait pour lui."
Mots : Env. 60 000
TW : Violence, sang, angoisses, fausse couche, v*ol, mort, smut, oral sex, deuil, torture, trahison, rupture.
Tags : Soulmate, enemy to lovers, second chance, smut.
Rating : Explicit / 18+
L’honnêteté Dornienne
Appelle-moi Oberyn
L’ordre appelle le chaos
La bête qui sommeille
Songes
Qu’est-ce que tu désir ?
Tintements
Orgueil
Mourir pour toi
Trahison
The Wistfull Princess
The Red Vyper
Nymor
Briser nos deux cœurs
Emporter mon âme
Enfer
Les amants maudits
Celle qu’il avait trouvé sans jamais l’avoir cherché
Amour crucifié
L’héritière des sept couronnes
Deuil
Purgatoire
Jusqu’à ce que notre mon disparaisse
Chapitre Bonus : Sororité
Chapitre Bonus : Je ne suis personne
Chapitre Bonus : Une marque noire sur son âme
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