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#Catherine Lorent
llllllllllii · 2 years
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Eröffnung von :ALS WÄREN ES MEINER DREI ..im Neuen Kunstverein Aschaffenburg am Samstag 1. Oktober,18 Uhr. Mit Justine Otto, Miriam Vlaming, Katrin Kunert, Catherine Lorent, Cornelia Renz, Eva Schwab und mir. Kuratiert von Justine Otto, Iris Solbès. Mit dem MalerinnenNetzWerk Berlin /Leipzig zu Gast im KunstLANDing Abbildung: - Stephanie Dost: -Desiree Nosbusch und Bodo Staiger in Der Fan, 1982- , Tusche auf Papier, 2022, 17,50 x 25 cm #stephaniedost #malerinnennetzwerkberlinleipzig #kunstlanding #lovers #inkdrawing (hier: KunstLanding) https://www.instagram.com/p/CjGUlOeIbZp/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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alexlacquemanne · 8 months
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Janvier MMXXIV
Films
Bridget Jones Baby (Bridget Jones's Baby) (2016) de Sharon Maguire avec Renée Zellweger, Patrick Dempsey, Shirley Henderson, Gemma Jones et Jim Broadbent
Arnaque à Hollywood (The Comeback Trail) (2020) de George Gallo avec Robert De Niro, Tommy Lee Jones, Morgan Freeman, Zach Braff, Eddie Griffin, Emile Hirsch et Kate Katzman
Copie conforme (1947) de Jean Dréville avec Louis Jouvet, Suzy Delair, Annette Poivre, Madeleine Suffel, Jane Marken, Danièle Franconville, Jean-Jacques Delbo et Léo Lapara
L'Inconnu du Nord-Express (Strangers on a Train) (1951) d'Alfred Hitchcock avec Farley Granger, Ruth Roman, Robert Walker, Leo G. Carroll, Patricia Hitchcock, Marion Lorne, Jonathan Hale et Laura Elliott
Une affaire d'honneur (2023) de et avec Vincent Perez et aussi Roschdy Zem, Doria Tillier, Damien Bonnard, Guillaume Gallienne, Nicolas Gaspar, Pepe Lorente
Hôtel fantôme (Das letzte Problem) (2019) de et avec Karl Markovics et aussi Stefan Pohl, Maria Fliri, Julia Koch, Max Moor, Sunnyi Melles Laura Bilgeri
Aviator (The Aviator) (2004) de Martin Scorsese avec Leonardo DiCaprio, Cate Blanchett, Kate Beckinsale, Adam Scott, Kelli Garner, Alec Baldwin, Ian Holm, Jude Law et Danny Huston
Palais royal ! (2005) de et avec Valérie Lemerciere et aussi Lambert Wilson, Catherine Deneuve, Michel Aumont, Mathilde Seigner, Denis Podalydès, Michel Vuillermoz, Gisèle Casadesus, Gilbert Melki, Maurane
Du plomb pour l'inspecteur (Pushover) (1954) de Richard Quine avec Fred MacMurray, Philip Carey, Kim Novak, Dorothy Malonne, E.G. Marshall, Allen Nourse, James Anderson et Joe Bailey
Les Douze Salopards (The Dirty Dozen) (1967) de Robert Aldrich avec Lee Marvin, Ernest Borgnine, Charles Bronson, Jim Brown, John Cassavetes, Richard Jaeckel, George Kennedy, Trini Lopez et Telly Savalas
Le silence des ânes (Das Schweigen der Esel) (2022) de et avec Karl Markovics et aussi Julia Koch, Caroline Frank, Gerhard Liebmann, Valentin Sottopietra, Klaus Windisch, Tobias Fend, Julian Sark, Stefan Pohl
Elmer Gantry le charlatan (Elmer Gantry) (1960) de Richard Brooks avec Burt Lancaster, Jean Simmons, Arthur Kennedy, Dean Jagger, Shirley Jones, Patti Page et Edward Andrews
Tendre Poulet (1978) de Philippe de Broca avec Annie Girardot, Philippe Noiret, Catherine Alric, Hubert Deschamps, Paulette Dubost, Roger Dumas, Raymond Gérôme, Guy Marchand, Simone Renant et Georges Wilson
Judy (2019) de Rupert Goold avec Renée Zellweger, Darci Shaw, Rufus Sewell, Michael Gambon, Finn Wittrock, Richard Cordery, Jessie Buckley et Bella Ramsey
Cinquième Colonne (Saboteur) (1942) d'Alfred Hitchcock avec Robert Cummings, Priscilla Lane, Otto Kruger, Alan Baxter, Clem Bevans, Norman Lloyd, Alma Kruger et Vaughan Glaser
Robin des Bois, prince des voleurs (Robin Hood: Prince of Thieves) (1991) de Kevin Reynolds avec Kevin Costner, Morgan Freeman, Christian Slater, Alan Rickman, Mary Elizabeth Mastrantonio, Nick Brimble et Michael McShane
La Fine Fleur (2020) de Pierre Pinaud avec Catherine Frot, Melan Omerta, Fatsah Bouyahmed, Olivia Côte, Marie Petiot, Vincent Dedienne et Serpentine Teyssier
Maigret et l'Affaire Saint-Fiacre (1959) de Jean Delannoy avec Jean Gabin, Michel Auclair, Valentine Tessier, Robert Hirsch, Paul Frankeur, Michel Vitold, Camille Guérini, Serge Rousseau et Micheline Luccioni
On a volé la cuisse de Jupiter (1980) de Philippe de Broca avec Annie Girardot, Philippe Noiret, Francis Perrin, Catherine Alric, Marc Dudicourt, Paulette Dubost et Roger Carel
Gosford Park (2001) de Robert Altman avec Maggie Smith, Michael Gambon, Kristin Scott Thomas, Camilla Rutherford, Charles Dance, Geraldine Somerville, Tom Hollander, Stephen Fry, Helen Mirren et Emily Watson
Meurtre à Hollywood (Sunset) (1988) de Blake Edwards avec Bruce Willis, James Garner, Malcolm McDowell, Mariel Hemingway, Kathleen Quinlan, Jennifer Edwards, Victoria Alperin et Patricia Hodge
Iron Claw (The Iron Claw) (2023) de Sean Durkin avec Zac Efron, Jeremy Allen White, Harris Dickinson, Holt McCallany, Lily James, Maura Tierney et Stanley Simons
Séries
La croisière s'amuse Saison 1
Une traversée de chien - L'Amour fou - Ami ou Ennemi - Farces et Attrapes - Une célébrité encombrante - Le Grand Air - Le docteur voit double - Le Grand Amour - Le Père du commandant - Monnaie de singe - La vie est belle au large - Tel est pris qui croyait prendre - Jeux de mains - Les Grandes Retrouvailles : première partie - Les Grandes Retrouvailles : deuxième partie - La Victoire en dansant - Le Gros Lot - Coupable, mais de quoi ? - Souvenirs Souvenirs - Il y a des jours comme ça - Qui comprend quelque chose à l'amour ? - Le commandant connaît la musique - Coup de folie - Ne comptez pas sur moi pour tomber amoureuse
Coffre à Catch
#148 : Bonne année 2024 à tout l'univers d'Agius ! - #149 : Zack Ryder : Woo Woo Woo, tu le sais ! - #150 : L'exceptionnel retour de Colby ! - #151 : Les adieux au catch de Tommy Dreamer ? - #152 : Tommy Dreamer enfin champion de la ECW !
Les Simpson Saison 1
Noël mortel - Bart le génie - L'Odyssée d'Homer - Simpsonothérapie - Terreur à la récré - Ste Lisa Blues - L'Abominable Homme des bois - Bart a perdu la tête - Marge perd la boule - L'Odyssée d'Homer - L'Espion qui venait de chez moi - Un clown à l'ombre - Une soirée d'enfer
Downton Abbey Saison 5
Tradition et Rébellion - Un vent de liberté - Le Bonheur d'être aimé - Révolution à Downton - Tout ce qui compte… - Étape par étape - Désillusions - Menaces et Préjugés - La Réconciliation
Castle Saison 4
Renaissance - Lame solitaire - Casse-tête - L'Empreinte d'une arme - L'Art de voler - Démons - Otages - Dans l'antre du jeu - Course contre la mort - Détache-moi
Kaamelott Livre IV
Tous les matins du monde première partie - Tous les matins du monde deuxième partie - Raison et Sentiments - Les Tartes aux fraises - Le Dédale - Les Pisteurs - Le Traître - La Faute première partie - La Faute deuxième partie - L’Ascension du Lion - Une vie simple - Le Privilégié - Le Bouleversé - Les Liaisons dangereuses - Les Exploités II - Dagonet et le Cadastre - Duel première partie - Duel deuxième partie - La Foi bretonne - Au service secret de Sa Majesté - La Parade - Seigneur Caius - L’Échange première partie - L’Échange deuxième partie - L’Échelle de Perceval - La Chambre de la reine - Les Émancipés - La Révoquée - La Baliste II - Les Bonnes - La Révolte III - Le Rapport - L’Art de la table - Les Novices - Les Refoulés - Les Tuteurs II - Le Tourment IV - Le Rassemblement du corbeau II - Le Grand Départ - L’Auberge rouge - Les Curieux : première partie - Les Curieux : deuxième partie - La Clandestine - Les Envahisseurs - La vie est belle - La Relève - Les Tacticiens : première partie - Les Tacticiens : deuxième partie - Drakkars ! - La Réponse - Unagi IV - La Permission - Anges et Démons - La Rémanence - Le Refuge - Le Dragon gris - La Potion de vivacité II - Vox populi III - La Sonde - La Réaffectation - La Poétique II : première partie - La Poétique II : deuxième partie
Affaires sensibles
Henri Martin, debout contre la guerre d’Indochine - 1923 : Germaine Berton : l’anarchiste qui tua pour venger Jaurès - Prince de Conty : où sont passés les lingots de l'épave? - De Paris à Dakar, le rallye du désert - Cannes 1987, Pialat et sa palme - Affaire Mis et Thiennot, la fin de l'énigme judiciaire ? - Agnès Le Roux, la disparition d’une héritière - Les mystères de Chevaline
The Crown Saison 6
Un engouement fanatique - Hors du temps
Le Voyageur Saison 2
La Forêt perchée - La tentation du mal
Alfred Hitchcock présente Saison 5, 6, 3, 7
Arthur - La Vengeance - Chantage - Pan! vous êtes mort
Spectacles
Concert du Nouvel An en direct du Musikverein, à Vienne (2024)
Adele Live At The Royal Albert Hall (2011)
Sexe et jalousie (1993) de Marc Camoletti et Georges Folgoas avec Jean-Luc Moreau, Marie-Pierre Casey, Patrick Guillemin, Marie Lenoir et Bunny Godillot
Billy Cobham's Glass Menagerie (1981) live at Riazzino, Switzerland
Agents Are Forever : Danish National Symphony Orchestra (2020) avec Caroline Henderson
Bonté divine (2010) de Frédéric Lenoir et Louis-Michel Colla avec Jean-Loup Horwitz, Benoit Nguyen-Tat, Saïd Amadis et Roland Giraud
Livres
Kid Paddle, Tome 1 : Jeux de vilains de Midam
Détective Conan, Tome 20 de Gôshô Aoyama
Castle, Tome 1 : La dernière aube de Brian Michael Bendis, Kelly Sue DeConnick et Tom Raney
James Bond : Le guide officiel de 007 de Lee Pfeiffer et Dave Worrall
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ifreakingloveroyals · 2 years
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Through the Years → Maria Teresa, Grand Duchess of Luxembourg (376/∞)
20 June 2022 | The Grand Duchess awarded the "Grand Duke Adolphe Prize 2021" to the winner Catherine Lorent for her work "7 fantastic views of the sea", in the presence in particular of the Minister of Culture, Mrs. Sam Tanson as well as the secretary general of the Cercle Artistique de Luxembourg (CAL), Mrs. Satu Corke. (Photo by Maison du Grand-Duc)
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]tip: MalerinnenNetzWerk Berlin-Leipzig, MdbK Leipzig am 19. Februar, Rosa Loy...
]tip: MalerinnenNetzWerk Berlin-Leipzig, MdbK Leipzig am 19. Februar, Rosa Loy…
Ausstellende Künstlerinnen: Stephanie Dost (L), Isabelle Dutoit (L), Zohar Fraiman (B), Marie Gold (L), Franziska Guettler (L), Nina K. Jurk (L), Heike Kelter (B), Marianna Krueger (B), Katrin Kunert (L), Kathrin Landa (B), Verena Landau (L), Corinne von Lebusa (L), Catherine Lorent (B), Rosa Loy (L), Justine Otto (B/Hamburg), Gudrun Petersdorff (L), Julia Ruether (B), Maria Sainz Rueda (L),…
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HRH Grand Duchess Maria Teresa of Luxembourg Presents the 2022 Prix Grand-Duc Adolphe I to Ms. Catherine Lorent.
HRH Grand Duchess Maria Teresa of Luxembourg Presents the 2022 Prix Grand-Duc Adolphe I to Ms. Catherine Lorent.
On Monday, June 20, 2022, Her Royal Highness Grand Duchess Maria Teresa of Luxembourg, as Patron of the Cercle Artistique de Luxembourg, presented the 2022 Prix Grand-Duc Adolphe I held at the Palais Grand-Ducal in Luxembourg City. According to the Cour Grand-Ducale, the award was established i 1902 by, “…Grand Duke Adolphe I on the initiative of Grand Duchess Adelaide Marie. The objective was…
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unpensadoranonimo · 8 years
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Una tragedia de género: réplica al periodista Molares do Val
En la sección de "Crónicas Bárbaras" –con un adjetivo muy acertado– de El Correo Gallego el periodista Manuel Molares do Val ha escrito una breve columna que titula "Víctimas de su sexismo". En este artículo –que fue retirado de la edición en la página web tras un comunicado de repulsa del Colegio de Periodistas de Galicia, pero que apareció en la edición impresa– la tesis es contundente: son las víctimas de la violencia de género las culpables de sufrirla. Y, para argumentar su desatinada tesis, el periodista vierte opiniones como que "el miedo al feminismo radical consigue que pocos medios informativos se atrevan a recordar que hay mujeres que se entregan voluntariamente a hombres violentos sabiendo que pueden matarlas". Y, ¿por qué?, sigue razonando Molares do Val: porque esas mujeres "se convierten voluntariamente en esclavas sexuales de posibles asesinos. Los siguen suicidamente por el placer físico que les proporcionan".
Desdeñando "los consejos de los psicólogos que las atienden tras denunciar a su pareja", prosigue el autor, las mujeres "establecen una relación morbosa" porque "esos hombres son buenos amantes" y, de ese modo, "reinciden buscando el éxtasis que demasiadas veces les trae la muerte". Y, remata el periodista, "al culpar sólo al asesino, el feminismo más activo facilita la continuidad de esa cadena mortal", en lugar de ocuparse de "advertir también que la mujer tiene que ser autorresponsable evitando machos violentos".
Veamos, hay tres supuestos, o lindezas, en estas afirmaciones del autor: que a las mujeres les puede el morbo de la relación con el maltratador; que son ellas las únicas culpables de mantener esa situación arriesgando la vida; y que la violencia de género obedece a que hay "machos violentos". Será cuestión de ir por partes ante tales afirmaciones, sin duda bárbaras y deudoras, por cierto y por desgracia, de un imaginario ancestral.
En cuanto al supuesto morbo de las víctimas, parece que este señor desconoce por completo los estudios más expertos sobre los factores de riesgo de la violencia contra las mujeres. La mayoría de los especialistas hablan de estos factores para señalar la imposibilidad de establecer algo así como un catálogo claro y preciso de los mismos. Pero a la hora de  desmitificar aquellas conductas que se asocian por lo común con "factores de riesgo" y que, sin embargo, en sentido estricto no lo son, una de las tesis que se rechaza de plano es la de que –como sostiene el señor Molares do Val– se pueda establecer factor de riesgo alguno asociado a un supuesto masoquismo o placer morboso por parte de la víctima.
Le recomiendo al periodista que, para disolver éste y otros fantasmas (o fantasías) acuda a ilustrase en fuentes expertas. Y, a la vista de su aversión por las mujeres y, más concretamente, las feministas, le recomiendo encarecidamente la lectura de los títulos de Miguel Lorente Acosta, algunos de los cuales gustosamente le indico en nota*.
Aparte de esta argumentación, no ya improcedente sino claramente caduca, el señor Molares do Val culpa a las mujeres de mantenerse en esa relación de violencia, aunque saben que puede costarles la vida. Ante esta nueva bajeza argumentativa, me remito a las palabras de la jurista norteamericana Catherine MacKinnon, quien afirma tajantemente: "Por qué una persona 'permite  la fuerza' en lo privado (la pregunta de por qué no se marcha que se hace a las mujeres maltratadas) es una pregunta que se convierte en un insulto por el significado social de lo privado como si fuera una esfera de opción. Para las mujeres la medida de la intimidad ha sido la medida de la opresión".
Efectivamente, en la intimidad se intimida a las mujeres y el pánico al agresor, cimentado en la anulación de la propia autoestima, es la respuesta más clara a por qué una mujer maltratada se resiste a romper el vínculo o a denunciar. El respaldo que una mujer necesita para dar estos pasos es proporcionalmente tan grande como el terror en el que vive. Pretender que sólo depende de su voluntad acabar con el círculo del maltrato es tanto como pretender insidiosamente que estamos hablando de un problema individual, personal y de conciencia de la propia mujer; es negar la necesidad de una implicación social e institucional; es, en fin, tan inaudito a estas alturas como querer volver a confinar esa violencia estructural al ámbito de lo privado como si fuera poco menos que "un asunto de alcoba".
Por último, el señor Molares do Val se despacha contra el feminismo que no advierte a las mujeres para que eviten los "machos violentos" –¡lo que, al parecer, les hace según el periodista ser "buenos amantes"!–. Atribuir la violencia de género al carácter violento de algunos machos no tiene otro objetivo que el de abstraer esta de todo discurso sobre la desigualdad entre los sexos y evitar, con ello, ir a las causas últimas que hacen posible esta violencia. Una violencia que no es violencia sin más, sino que, como la ha expresado la norteamericana Carol Sheffield, es "poder sexualmente expresado".
Hablar del carácter violento de determinados "machos", cuya conducta es de suponer que respondería a un exceso de testosterona, es obviar la causa por el efecto: es querer hacer pasar lo que es estructural por un hecho individual, por el que las mujeres individuales vuelven a ser culpabilizadas de no saber distinguir a esos impetuosos varones individualmente arrastrados por la fuerza de su singular agresividad.
De nuevo conviene recomendar al señor periodista que lea a los expertos: ni los ingresos económicos, ni el nivel de educación, ni el estatus social ofrecen datos relevantes para poder diseñar un perfil del maltratador que pudiera comprenderse como factor de riesgo. E incluso en el caso del llamado "agresor patológico", cuya conducta de agresión obedece a trastornos de la personalidad o a enfermedades mentales, los expertos nos dicen que estos casos componen un porcentaje tan escaso del total de los casos de violencia de género que hay que desechar su tratamiento como factor de riesgo.
Yo creo que el señor Molares do Val, a pesar de sus injuriosas argumentaciones para hacer de las víctimas verdugos, tiene que saber que, en última instancia, el ser mujer viene a resumir la motivación última de esta violencia masculina. Y tiene que saberlo porque sólo ello explica su denodado esfuerzo por insultar a las mujeres víctimas de violencia y por desviar la atención del verdadero problema: que la violencia de género no puede atajarse sin cambiar las estructuras profundas de nuestra desigualdad socio-sexual. Que, en fin, estamos ante una auténtica tragedia de género, por mucho que se pretenda hacerla pasar por poco más que una comedieta vulgar.
Fuente: Luisa Posada Kubisa
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