#Brasserie Les Deux Palais
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Brasserie Les Deux Palais, Paris, France: located in the 4th arrondissement of Paris, The brasserie Les Deux Palais is a special place that invites you on a historical, cultural and culinary journey...Classic regional dishes including snails, omelets & onion soup in a grand, Belle Epoque brasserie... The 4th arrondissement of Paris is one of the twenty arrondissements of the capital city of France. In spoken French, this arrondissement is referred to as quatrième. Wikipedia
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Rallye Flipper #3 à Genève
Du 18 au 30 novembre 2024 Un événement tout public
12 lieux insolites et 16 flippers à découvrir. Une manière ludique d'explorer d'autres facettes de la ville.
Le prix spécial Le dernier jour du Rallye à 21h à L'amicale du flipper, les feuilles de participation cumulant les tampons des 12 étapes seront récoltées pour le prix spécial: un resto complet pour deux personnes.
L'attribution du prix sera déterminée par un tirage au sort (parce que la compétition et la performance ça va un moment...).
Parties gratuites Les participant.e.x pourront jouer gratuitement aux flippers des étapes, le nombre de parties offertes sont au gré des établissements.
Plusieurs étapes, plusieurs cadeaux. Les lieux et établissements d'accueil pourront proposer aux participant.e.x un ou des cadeaux de leur cru selon les critères de leur choix (meilleur score, score au hasard, meilleure blague, etc). Cette organisation est facultative et donc interne aux établissements.
Heures d'ouverture des étapes:
- Ludothèque de la Jonction, av. Sainte-Clothilde 1 (Ma 15h30-18h, Me-Je 09h-11h30 et 15h30-18h00, Sa 09h-12h)
- Ernest, rue des deux ponts 29 (Ma-Me 17h-00h, Jeu 17h-01h, Ve-Sa 17h-02h)
- La Turbine, rue de la Coulouvrenière 26 (Lun 17h-22h, Mer 17h-00h, Jeu 17h-01h, Ve-Sa 17h-02h)
- Le Grand Bain, rue des Bains 33 (Ma-Me 16h-22h, Jeu 16h-01h, Ve-Sa 16h-02h)
- Floky La Loutre, rue de Carouge 44 (Ma-Me 15h-00h, Je-Ve 15h-01h, Sam 17h-01h)
- La Citadelle, rue des Sources 22 (Dim à Jeu 17h-02h et Ven-Sam 17h-04h!)
- Le Palais Cosmique Square Orange (Jeudis 14h-19h et Samedis 10h-18h)
- La Guinguette de La Vieille école, av. de Thônex 65 (Chaque vendredi 17h-22h)
- L'Arcadem, rue du Diorama 16 (Lun-Ma-Je-Ve 09h-18h)
- La Brasserie du Mât, av. de Châtelaine 43 (Me -> Ve 15h30-17h30)
- Les Bains des Pâquis, Quai du Mont-Blanc 30 (Mercredi et vendredi, 18h-22h)
- Finale à L'Amicale du Flipper*, Bvd Carl-Vogt 7 (Samedi 30 novembre, 18h à 22h)
Inscriptions Tout au long de la semaine, au comptoir de chaque étape* *Attention, les étapes suivantes ne délivrent pas de feuille d'inscription: - La Ludothèque de la jonction - Les bains des Pâquis - L'Arcadem
Les fiches de participation sont individuelles. Elle peuvent être transmissibles en cas d'incompatibilité horaires personnelle avec une des étapes, indisponibilité, etc (une transmission maximum par personne).
Participation: 20 francs Participation de soutien: plus que 20.- selon votre engouement pour ce projet.
Votre participation soutiendra les activités gratuites de L'amicale du flipper (Les différents flippers de la ville en accès libre hors-rallye, le loyer du Salon-Lavoir de L'amicale du flipper, les laves-linges en accès libre ainsi que les activités s'y déroulant, etc.)
En espérant que vous prendrez du plaisir à jouer.
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Ce rallye est proposé par L'amicale du flipper
"Association pour la sauvegarde, la réhabilitation et la réintroduction des flippers dans le paysage contemporain"
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Day 5: (how?!)
Today was a busy one! We finally conquered the metro! (Still 19,571 steps today though!) The weather held out and rained very briefly a couple of times but didn't spoil our fun. The food continues to impress, the people are kind (some definitely don't like Americans but overall everyone is friendly). The city is clean and there is so much to see. Very much looking forward to tomorrow!
-Ile de Cité
-Marché aux Fleurs
-Pont Neuf
-Square du Vert Galant
-Place Dauphine
-Brasserie Les Deux Palais
-Sainte Chapelle
-Conciergerie
-Cafe Saint Regis
-Rue Saint Louis
-Arc de Triomphe
-Champs Élysées
-Le Deauville
-Laduree
-Tiffany's 🫣
-Le Chat Blanc
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MARDI 4 AVRIL 2023 (Billet 2 / 3)
Evidemment, vous n’échapperez pas à la suite de notre petite sortie au Carrousel du Louvre. « Après l’effort (le trajet en Métro pour y aller, l’heure et demi de déambulation dans le Salon…), le réconfort ! », c’est-à-dire notre traditionnel « déjeuner post-expo ».
Il y avait tellement de monde au Louvre et de queues devant les différents stands de restauration qui se trouvent au-dessus - un dimanche en début d’après-midi ça peut se comprendre, que nous sommes sortis et retournés à la Brasserie Nemours, Place Colette, à deux pas de la Comédie Française et des Jardins du Palais Royal. Nous la connaissons bien, mais surtout l’été, en terrasse. Là, le temps ne s’y prêtait pas et nous avons préféré déjeuner à l’intérieur.
Nous nous sommes régalés avec un croque-madame tout simple mais excellement bien préparé. Rapport qualité/prix appréciable et de « vrais » serveurs qui officient en tenue. Service impeccable ! Nous y sommes très sensibles…
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Île de Ré, le 10 Août
Cher monsieur Roland,
Veuillez excuser mon oncle, la paresse qui m’a fait vous écrire si peu pendant le mois de Juillet. Plus encore que les cartes postales, ce sont les lettres de quatre pages sur papier léger que je regrette de ne plus écrire et de ne plus recevoir. Le charme des années quatre-vingt-dix c’était aussi l’écriture arrondie des petites amoureuses, à l’encre bleue clair, et les cœurs sur les “i”. On ne reçoit par voie postale de nos jours plus que des factures, toutes en points elles. Ainsi jusqu’au point final?
Ces vacances insulaires attendues toute l'année sont peut-être les dernières. Une atmosphère de lassitude flotte dans l'air, une certaine pression antivitale semble exercer son poids sur les épaules des gens de la bourgeoisie, jeunes et vieux, que je ne vois plus fleureter comme il y a seulement un an, ni s'habiller décemment, ni se parfumer, ni plus rien faire de leurs privilèges. Quelque chose écrase cette "bourgeoisie blanquette de veau" dont je ne suis pas, que je côtoie à la marge, et pour laquelle je n'ai pas cette haine des refoulés à l'entrée puisque vous m'y avez si souvent accueilli. Ce n'est pas pour vous ménager mon oncle! Si j'ai toujours béni le ciel de vous avoir pour protecteur c'est aussi sur des critères esthétiques. Vous êtes l'un des derniers représentants de cette classe de Français qui a terminé ses études avant mai 68, et j'aime tout de ce que vous m'avez appris à votre insu. Vos imparfaits du subjonctif et vos jurons, le Gaffiot et le Littré aux reliures défoncées posés sur la table basse, et l'intégrale de Tintin et Milou sur l'étagère, au milieu des "Pléiades" et des "Belles Lettres". C'est vous qui m'avez donné à voir ce que la France a produit de plus beau, comme technique de vie pratique incarné dans les manières, les bâtiments et les jardins, ce côté Septième arrondissement, Quai d'Orsay, le feutré mais aussi le direct, les beaux appartements anciens si bien pensés, mais aussi la cuisine de brasserie au Saint-Estèphe, tout ce savoir accumulé que l'on retrouve en tout ce que vous touchez familièrement, concentré, vibrant, pertinent (vous avez certainement bon goût). Le Littré donne au mot usage une "pratique acquise par l'expérience". Depuis l'enfance je n'ai aimé que l'usage, les sentences des vieux, préférant sans même le comprendre, le classique à la mode. Par exemple le poli de la rampe d'escalier de votre immeuble de Guynemer, éclairé seulement par la verrière quand on éteint la minuterie, me laisse tout à fait rêveur et ce depuis l’âge de cinq ans. Je pourrais passer des heures à scruter les avenues du plan Truchet & Hoyaux encadré dans votre corridor. Une jeune fille bien habillée m'interpelle davantage qu'une jeune fille bien balancée. Le musée Guimet, l'aile Denon, les hauts volumes du palais de Chaillot, les détails ornementaux de la salle Pleyel, le laconisme, la citation sibylline, la diète, me semblent depuis que j'ai 5 ans les fragments des trois cariatides que j'ai trouvé chez Céline à 25 ans: la Légende, le Mystère, la Grandeur.
Si De battre mon cœur s'est arrêté dont je vous rebattais les oreilles en 2005 m'avait tant secoué c'est qu'il s'agissait du seul film où l'on pouvait apercevoir ce que j'avais entrevu chez vous, enfant. Du point de vue esthétique, des choix parfaits, sous-exprimés, voilés. Quant au personnage principal il représente le type même du Français tel que je me le suis toujours figuré, un Athos que sa sensibilité déchire parce qu'il vit dans un monde de brutes épaisses et de destructeurs, un fils qui aime son père contre un monde parricide, un artiste capable de prendre des risques physiques. Ce film prend quelques libertés avec la doxa, et les étrangers qu'on y voit sont tous des figures hostiles: le restaurateur carthaginois, le professeur de musique levantin, l'affairiste russe au nom de ville (Minsk-off, je crois que vous comprenez), autant de choix conformes à la réalité de terrain, et qui ne résisteraient pas à un décryptage vigilant. Dans ce monde où tout est contre lui, le personnage principal garde en-dedans sa ferveur pour la musique classique et ne se vend pas au monde, il reste dans la vigilance et dans une certaine santé xénophobe. Ces traits de caractères qui outragent le commun sont à bien y regarder autant de hautes vertus et les gens d'école de commerce m'ont toujours semblé des "brutes en tam-tam" fin prêt pour la colonisation par l'Afrique, à laquelle ils n'ont jamais rien trouvé à redire du reste. Lorsqu'à dix-huit ans on est à la fois de gauche sociétale et d'extrême-droite du fric on est déjà un vieux con et un N* mental, et comme j’avais dès cet âge l'instinct de cette dichotomie je truandais chaque année l'entrée du gala de l'école de commerce de Grenoble pour voler le champagne par caisses de douze en me faisant passer pour un renfort BDE, remplir les flûtes d’un liquide jaune et rosser les étudiants. J'avais contre eux une vraie haine et éprouve aujourd'hui encore davantage d'empathie pour la racaille que pour l'étudiant en école de commerce.
Je cherchais le monde des grandes personnes que j'avais entrevu enfant et il n'existait plus. Derrière vous il y avait la stabilité classique, lorsque les bourgeois français traduisaient Sophocle et Virgile pour entrer rue Saint-Guillaume, puis soudain partaient au combat outre-mer dans les guerres des années 50, comme vous l'avez fait. Quelqu'un a dit que "l'adolescence, dans les classes aisées, est fasciste d'instinct". Ce quartier vieillot de la rive gauche sera toujours pour moi le lieu de la plus pure jeunesse, et idem de ses comptoirs du littoral de l'ouest d'où je vous écris.
Je pardonne tout à la bourgeoisie blanquette de veau mais pas qu'elle se déboutonne, pas qu'elle s'encanaille, pas qu'elle souffle dans le didgeridoo et attrape un herpès. J'ai besoin de voir des gens qui se tiennent bien, et qui en étant exigeant pour eux-mêmes rehaussent les standards du maintien pour les autres, à une époque qui ne fait que s'avachir, et jouir de s'avachir toujours davantage. J'ai écouté du rap entre 1997 et 2001 pendant sa phase classique, où le fond était certes stupide, mais la rime exigeante (Akhenaton, Luciano...). Il aura donc fallu 20 années pour que ce mouvement marginal se répande aux adolescents de la bourgeoisie au point qu'ils n'écoutent plus que cela, même en vacances, même sur enceintes portatives, et qu'ils en adoptent les codes oraux. Mais il faut les plaindre plus que les détester car en se configurant ainsi aux racailles, loin de les neutraliser mentalement ils s'en font des donneurs d'ordre. Comment tout cela finira-t-il? On sent venir la dictature prédite par Céline, Morand, par tous les grands anciens. "Le côté obscur brouille tout" répond Yoda à une question sur l'avenir.
Quarante jours sur les routes de France chaque été m'ont déniaisé de la campagne. Oh certes, elle est superbe, et beaucoup plus belle que la campagne italienne (trop sèche) et que l'anglaise (trop mouillée), beaucoup plus variée aussi. Mais je ne puis supporter le saccage forcené, le quadrillage par stries métalliques du moindre horizon ouvert. Toute la Picardie ravagée de métal, éoliennes à perte de vue sur centaines de kilomètres. Les bords de Loire câblés de treillage imbécile, les hauteurs de Saumur, Montsoreau, toutes massacrées. Vierzon, Bourges: des ruines et des hangars, et des "migrants" à profil en escalier. Partout le singe, ou le robot. Il y avait un pré? Il n'y en a plus. Ici d'énormes pancartes: "Terrains viabilisés, 4 EUROS LE MÈTRE CARRE", c'étaient des mercantis qui faisaient un rabais sur la vente de leur propre mère à la criée.
"Mais quand l'astre du jour a banni ces vains songes, et que sa vive lumière ramène l'ordre dans les pensées et les actions des hommes, qu'elle les réveille et les met en mouvement selon l'expression de Démocrite, alors, ranimés par l'éclat nouveau du jour, et pris d'un vif désir de se voir et de s'entretenir les uns les autres, de renouveler un commerce qui fait le plus doux assaisonnement de la vie, ils se lèvent promptement pour vaquer, chacun de son côté, à leurs occupations particulières".
Plutarque, emprunté dans votre bibliothèque (je vous le rends bientôt!).
Les jours où je vais bien tout ce fatras est déposé au sol et la lumière penchée du soleil matinal me frappe en pleine face quand je m'extrais de la tente. Un thé et direction la plage en chantant Les Cosaques. Le ciel est bleu uni, les rais de lumière dans l'eau sont tantôt réfléchis en paillettes, tantôt traversent jusqu'au fond, et ce spectacle suffit à nous sentir enfin en vacances quand nous renouons avec la civilisation des thermes et du baptême par immersion. Ces aspersions d'eau lustrale nous recréent, l'eau nous soutient et nous entraîne, et nous flottons sans effort dans un monde prénatal où les sens sont détrompés. L'eau paraissait froide, elle est fraîche et tonique. La mer semblait obscure, elle est claire et nettoyée. La baignade nous sauve de l'abrutissement calorifère et de l'empâtement calorique, et lorsqu'après le plongeon nous crevons à nouveau la surface c'est pour renaître, et nous haletons et sourions dans les flots vert clair.
Les jours où je vais mal je manque dix fois de me faire massacrer dans une marave, de me noyer pendant une baignade trop hardie au-delà des bouées, d'être arrêté pour actes de ********. Ainsi de tous les hommes pressés, compressés dans ce sale carcan où le quidam se contraint de bonne grâce. Sustine et abstine? Tout m'agresse ici bas, je ne fais aucun progrès en sagesse, et ne puis passer un jour sans répliquer aux coups reçus par des coups donnés. Une journée réussie sous mes latitudes comporte au moins une heure de Sénèque, deux entraînements, une empoignades, trois réconciliations, un attentat sur pseudo-monument public, et un seul repas. Tout ce que vous ajouterez ou retrancherez d'un tel agenda m'est de la pâtée pour chiens d'un esclave soumis au Temps, et moi je veux soit n'avoir pas le temps, soit avoir tout le temps. Vous connaissez le démon qui est en moi quand il est réveillé? Ce n'est qu'après un minimum d'horreurs traversées en périlleux équilibre que je commence à regarder un tout petit peu le paysage. Vous connaissez le démon qui est en moi quand il est réveillé? Et le doigt pointé contre la poitrine, le doigt accusateur qui chaque matin vous redemande les intérêts du capital reçu à la naissance? "Prouve encore aujourd'hui que tu es un homme", voilà ce que ça dit chaque matin. Etre un homme et le rester me semble très au-dessus de mes forces. Regardez les statistiques du chômage, des dépressions, des suicides, des asiles, des accidents du travail, des accrocs aux drogues, des sans-domicile fixe... Bien examinés, ces chiffres disent tous qu'être un homme est 3 à 10 fois plus difficile qu'être une femme. Alors être un Blanc... J'ai tous les inconvénients du Blanc et aucun avantage de l'immigré (passerai-je les 40 ans à votre avis mon oncle?). C'est une chose terrible que d'exiger pour soi un certain maintien, mais c'est une chose bien plus terrible que de se déboutonner. Regardez le relâchement chez les femmes après 25 ans! Leur voix tabagique, leur langage ordurier, leur vêture, leur peau craquelée, boucanée, ravagée de bronzage "merde de chicanos", leur vulgarité, leur saleté... L'état de leurs jambes, l'état de leurs pieds! Et leurs petits compagnons chiens-chiens qui font la vaisselle pour ne pas divorcer, misère de l'homme pris au hameçon du Génie de l'Espèce! "Tu jetteras beaucoup de semence dans ton champ, et tu en recueilleras peu"... Misère de ces hommes rampant sous shit et whisky pour supporter l'esclavage de ces tyrans domestiques. Misère de ces hommes "ruisseau dans l'égout" qui rivalisent de "trail" et de "prote", esclaves de "muscu" qui se harnachent de lourdes charges pour un mollusque appelée compagne qui elle, engraisse, et coule comme une fin de cierge. Misère de l'homme seul, mais misère aussi de l'homme en couple, et du jaloux, et du repu, de l'eunuque, du queutard, misère de la fonction masculine toute entière dans une société femelle de mensonge et de manipulation où celles-ci ont tous les droits et ceux-ci tous les devoirs. Ils croient agir? Ils sont agis. Je veux bien mon oncle, être un fasciste, si c'est par romantisme, et je veux bien être un romantique, si c'est par quête d'une vérité perdue, cachée, confisquée, à la façon Baudelaire. Je veux bien "prendre des risques physiques pour la cause" mais en tant que poète et seulement ainsi. Je veux bien publier ici et là en rime et prose, mais en tant que combattant et seulement ainsi. De huit années de collège et de lycée je n'ai retenu que Cyrano, et je n'ai pas de distance critique avec la double fonction de Cyrano. Tout cela doit se vivre et s'incarner dans nos vies plutôt que se discuter. Mais vous savez tout cela mieux que moi et l'avez assez prouvé...
Je passe vous voir sur le chemin du retour, le 22 et 23. Vous qui savez prendre les gens par les sentiments, m'invitez-vous au Petit Vendôme que l'on se tape la cloche?
Affectueusement,
LD
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Femme en chemise dans un fauteuil ART INSTITUTE OF CHICAGO/RMN-GRAND PALAIS/IMAGE OF THE MMA-SUCCESSION PICASSO 2020 Picasso, le bonheur esthétique avec Eva
par Philippe Dagen , Le Monde
Publié le 27 août 2020 SÉRIE« Mes œuvres-cultes » (4/6). Notre collaborateur Philippe Dagen, critique d’art, revient sur six créations qui l’ont marqué. Aujourd’hui, « Femme en chemise dans un fauteuil », du maître cubiste. Celle-ci, impossible de savoir quand je l’ai vue pour la première fois. Peut-être photographiée dans le catalogue de la rétrospective Picasso au Museum of Modern Art de New York (MoMA) en 1980, et c’était alors en noir et blanc – les catalogues n’étaient pas encore imprimés tout entier en couleur. A cette date, l’œuvre appartenait à la collection Ganz, à New York, dispersée depuis. Elle a été montrée en 1989 au MoMA de nouveau, mais, à l’inverse d’autres Picasso, elle a peu voyagé. Quelle œuvre ? “Femme en chemise dans un fauteuil”, de l’automne 1913, huile sur toile de dimension moyenne. Les couleurs sont sourdes, les plus intenses étant des nuances de ce que l’on appelle « vieux rose » dans le vocabulaire de la décoration. La femme en chemise est Eva Gouel, l’amie de l’artiste. La toile est une déclaration d’amour. A une date incertaine, Picasso et Fernande Olivier, sa compagne depuis 1905, rencontrent dans une brasserie du boulevard de Rochechouart, à Paris, le peintre Louis Marcoussis et Eva Gouel, qui se fait alors appeler Marcelle Humbert et vit avec lui depuis 1907. Dès lors, les deux couples se rencontrent assez souvent et semblent s’être rendus ensemble chez Gertrude Stein rue de Fleurus. Ils se voient tant qu’à l’automne 1911 Eva et Picasso sont bien plus que des amis. Le peintre, qui est installé depuis l’automne 1909 dans un atelier boulevard de Clichy, reloue alors un atelier à la cité d’artistes du Bateau-Lavoir pour y recevoir Eva secrètement. Secret mal protégé : Gertrude Stein se doute vite que la mention « ma jolie » inscrite dans une nature morte, La Table de l’architecte, ne fait pas allusion à Fernande. Laquelle résout la question brutalement : elle quitte Montmartre au printemps 1912 avec le peintre italien Ubaldo Oppi, qui est alors futuriste. Dès lors, rien ne retient plus Eva et Picasso de partir ensemble dans le Sud, à Céret (Pyrénées-Orientales) d’abord, à Sorgues (Vaucluse) ensuite, puis, de retour à Paris, de changer de rive et de quartier : Montparnasse, boulevard Raspail et, à l’automne 1913, rue Schoelcher. « Marcelle est très gentille et je l’aime beaucoup et je l’écrirai dans mes tableaux », a annoncé Picasso à son marchand Daniel-Henry Kahnweiler, le 12 juin 1912. Dans “Femme en chemise dans un fauteuil”, il ne l’écrit pas, il donne à voir en la peignant – en la peignant selon la manière qui est alors la sienne et qu’elle l’a vu inventer chaque jour. A la fin de 1913, il y a en effet à peu près un an que Picasso et Braque expérimentent ce que l’on nomme « papiers collés », des œuvres dans lesquelles objets et lieux ne sont plus représentés de manière plus ou moins réaliste par la peinture, mais indiqués par plusieurs moyens qui se complètent dans l’esprit du regardeur. Le plus immédiat est le dessin au fusain sur le papier. Il peut être imitatif – la crosse en spirale d’un violon – ou géométrisé et déformé – un trapèze de guingois pour un verre, un triangle pour un nez. Des découpages prélevés dans les journaux et dans les papiers de décoration qui imitent l’aspect du bois ou du marbre affirment sur le fond blanc le profil d’une bouteille ou la matière dans laquelle est construit le violon – le bois – ou la table de bistrot – le marbre. Les fragments imprimés sont aussi à lire pour ce qu’ils annoncent – une actualité, une publicité, le programme d’un cinéma, le titre d’une chanson comme cette Ma jolie, de Fragson. Equation visuelle Il est encore possible d’introduire des mots ou des parties de mots manuscrits, « JOU » pour journal, « Bass » pour la bière, « Bach » pour la musique. Ces différents modes de désignation des êtres et des choses, qui resteraient elliptiques pris séparément, se comprennent quand ils sont associés : l’œuvre fonctionne comme une équation visuelle à résoudre par une suite de déductions. Elles permettent de reconstruire la guitare sur son guéridon, l’homme au chapeau ou tout autre motif. Il ne s’agit pas, comme on le lit encore parfois, de montrer les choses sous différents angles, mais de les suggérer selon différents moyens mentaux autant que visuels. A partir de l’hiver 1912-1913, les deux artistes développent cette méthode absolument nouvelle, à laquelle la plupart de leurs contemporains demeurent étrangers, à l’exception de deux poètes, Guillaume Apollinaire et Max Jacob. “Femme en chemise dans un fauteuil” est l’extension de cette méthode d’« analyse-synthèse » – la formule est d’Apollinaire – à la toile. Aux vrais collages sur papier succèdent des imitations de collages peints, mais l’idée de suggérer les formes par l’allusion, l’abréviation et la métonymie demeure intacte. Donc, si on commence par le plus simple, le fauteuil est en plusieurs morceaux, tantôt une surface brun sombre qui indique le dossier, des parties des accoudoirs traitées en trompe-l’œil délibérément imparfait et les franges à torsades en deux sections. Il s’agit donc d’un beau fauteuil bourgeois, à haut dossier, capitonné, vraisemblablement en velours, de style Second Empire. Pour Eva, c’est moins simple. Pour la recomposer, il est possible de commencer par sa chemise ou par son visage. La chemise froissée aux reflets gris argenté est au centre de la toile. Dès qu’elle est repérée, le nombril l’est aussi : deux petits cercles concentriques. Du nombril, le regard remonte au torse et aux seins longs et pointus, ce que l’on appelle souvent dans la littérature de gare des seins en obus. Si l’œil s’est d’abord fixé sur le triangle presque du même rose que le fauteuil, la ligne blanche verticale qui marque le nez et les deux petits points blancs des yeux suffisent pour marquer l’emplacement du visage. Les ondulations à diverses nuances de brun et d’ocre figurent la chevelure. Elle descend en courbes le long d’un triangle très aigu, qui apparaît comme le cou sur lequel le visage triangulaire est fiché. A la base de ce triangle, il y a deux hémisphères au centre desquels deux cônes sont plantés, on dirait deux fruits – des pommes ou des pêches – qui auraient conservé un bout de queue. Pourquoi ces fruits ? Parce que c’est une banalité que celle qui compare les seins des femmes à des fruits, habitude qu’Apollinaire parodie parfois. Une fois ces éléments identifiés, les autres se mettent en place d’eux-mêmes : la main qui tient le journal, les cuisses de part et d’autre de la chemise, les genoux ronds et jusqu’aux pieds. Inséparable de ses expérimentations La genèse de l’œuvre est passée par des études au crayon et à l’aquarelle. Dans l’une d’elles, il y a une fenêtre ouverte, un ciel traversé de nuages et des fanions, détails que Picasso a supprimés. Dans une autre, le visage est un parallélogramme marqué des signes du nez, des sourcils et de la bouche. Picasso est allé vers une simplification plus épurée encore. Aussi n’a-t-il rien repris de la physionomie de sa compagne, bien qu’il dessine d’elle au même moment un portrait, au sens où ce mot s’entend d’ordinaire, un portrait ressemblant, presque classique. Alors pourquoi Eva dans cet état ? Sans doute d’abord parce qu’elle est, pour Picasso, inséparable de ses expérimentations artistiques, qu’elle suit et comprend bien mieux qu’avant elle Fernande Olivier, que l’art finissait par ennuyer. Plus tard, Picasso associe de même Marie-Thérèse Walter et Dora Maar à des manières spécifiques de dessiner et de peindre, qui sont, si l’on peut dire, leurs manières particulières. Pour Eva, c’est cet état du cubisme, qui n’a plus rien de commun avec ce qu’il était en 1908 ou 1909. Tout est désormais permis, les fragmentations à recomposer, les abréviations à compléter mentalement, les couleurs aussi incongrues que ce vieux rose qui fait irruption dans un monde jusqu’alors à peine coloré de bistres, gris et ocres. Picasso joue avec Eva, qui connaît les règles de ce jeu. Picasso célèbre moins la grâce de la jeune femme – tout en doublant sa poitrine – que leur parfaite entente amoureuse et artistique. Leur bonheur est inscrit dans cette toile et, plus d’un siècle après, il demeure sensible. Lire aussi : A Royan, Pablo Picasso se met au vert Lire aussi : Entre Eluard et son « frère » Picasso, une amitié profonde Lire aussi : Confrontation de baigneuses, à Lyon
#Pablo Picasso#Eva Gouel#Femme en chemise dans un fauteuil#Georges Braque#Guillaume Apollinaire#Max Jacob#Cubisme
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Courbet Selfportrait (1849)
VIE DE COURBET
Gustave Courbet est issu d’une famille de propriétaires terriens, son père Régis Courbet possède des terres au village de Flagey où il élève des bovins et pratique l’agriculture.
Il naît le 10 juin 1819 à Ornans dans le Doubs, sa mère donne aussi naissance à quatre filles.
A l'âge de douze ans, il entre au petit séminaire d’Ornans où il reçoit un premier enseignement artistique. Ensuite, il entre au collège Royal de Besançon où, dans la classe des beaux-arts il suit des cours de dessins d'un ancien élève de David.
Après des études considérées comme médiocres et qu’il abandonne, il part pour Paris vers la fin de 1839. Logé par son cousin Jules Oudot, il suit des études de droit
Son ami d’enfance Adolphe Marlet l’introduit à l’atelier de Hesse un peintre d’histoire qui l’encourage dans la voie artistique.
Courbet se rend aussi au musée du Louvre pour y étudier les maîtres, en particulier les peintres de l’école espagnole du XVIIe siècle Vélasquez, Zurbaran et Ribera.
Il est admiratif du clair-obscur hollandais, de la sensualité vénitienne et du réalisme espagnol.
Le 21 juin 1840 il est réformé du service militaire. Il s’installe au Quartier Latin. Il fréquente l'académie de Charles Suisse, à l'angle du boulevard du Palais et du quai des Orfèvres.
En 1842 il peint un premier autoportrait dit Autoportrait au chien noir
A cette époque il fréquente la brasserie Andler, où s'élaboraient les grandes théories et que Champfleury appelait le temple du réalisme. Il y rencontre la bohème parisienne.
Courbet est au cœur de l’effervescence artistique et politique. Il se lie avec des artistes qui veulent proposer une alternative à l’antagonisme romantisme-académique (tels que Charles Baudelaire, Hector Berlioz … dont il a fait les portraits).
En août 1849 il fait un voyage en Hollande où il découvre les peintures de Frans Hals et Rembrandt.
En 1849 Courbet revient à Ornans, ce retour aux sources va changer sa manière de peindre le faisant abandonner le style romantique de ses premiers autoportraits.
Inspiré par son terroir il crée un style qu’il qualifie lui-même de réalisme. Sa première œuvre de cette période est L’après-diner à Ornans tableau exposé au salon de 1849 qui lui vaut une médaille de seconde classe, et qui est remarqué par Ingres et Delacroix.
Il peint Un enterrement à Ornans, tableau ambitieux dont le grand format est habituellement destiné aux tableaux d’histoire, qui représente un enterrement où figurent plusieurs notables d'Ornans et les membres de sa famille. Au salon de 1851 lors de son exposition le tableau fait scandale auprès de la critique.
En 1852, il décide de se mettre à de grandes compositions de nus en vue de son prochain salon.
Après avoir réformé le paysage, les scènes de guerres, le portrait, il s’attache au dernier bastion de l’académie.
« Les baigneuses » de 1853 a énormément choqué, on voit deux femmes, dont une nue avec un voile. C’est une femme normale (grosse, pas idéalisée), ce qui va choquer la société de l'époque. Les pieds sales de cette femme vont aussi choquer, car à cette époque on liait la saleté du corps à la saleté morale.
En 1853, Courbet fait la rencontre déterminante d’Alfred Bruyas (1821-1876), un collectionneur montpelliérain qui lui achète « Les baigneuses ».
En 1855, avec une série d’ambitieux tableaux, Courbet se montre sensible aux traditions (portraits, nature morte)). Il expérimente une carrière de portraitiste mondain, et apprend à s’adapter à la psychologie comme aux exigences de ses modèles
En 1859, il découvre les côtes normandes : paysages puissants et tourmentés.
Ses idées républicaines et socialistes lui font refuser la Légion d'honneur proposée par Napoléon III. Après la proclamation de la République le 4 septembre 1870, il est nommé président de l'éphémère Fédération des Artistes.
Il propose au Gouvernement de la Défense nationale le déplacement de la Colonne Vendôme, qui évoque les guerres napoléoniennes, aux Invalides. Soutenant l'action de la Commune de Paris, il est élu au Conseil de la Commune par le VIe arrondissement.
La Commune décide, le 13 avril, d’abattre et non de déboulonner la Colonne Vendôme.
Après la Semaine sanglante il est arrêté le 7 juin 1871, et le conseil de guerre le condamne à six mois de prison — qu'il purgera à Paris, à Versailles et à Neuilly — et à 500 francs d'amende[4].
Mais en mai 1873, le nouveau président de la République, le maréchal de Mac-Mahon, décide de faire reconstruire la Colonne Vendôme aux frais de Courbet (soit plus de 323 000 francs selon le devis établi). Il est acculé à la ruine après la chute de la Commune, ses biens mis sous séquestre, ses toiles confisquées.
Il s'exile en Suisse, à La Tour-de-Peilz, près de Vevey.
Courbet obtient de payer près de 10 000 francs par an pendant 33 ans, mais meurt avant d'avoir payé la première traite.
Après quelques semaines passées dans le Jura (Le Locle, La Chaux-de-Fonds), Courbet se rend compte que c'est sur la Riviera lémanique, grâce aux nombreux étrangers qui y séjournent, qu'il aura le plus de chance de nouer des contacts et de trouver d'éventuels débouchés pour sa peinture.
Il loge brièvement à Veytaux (Château de Chillon), Clarens et Montreux, puis jette son dévolu sur la petite bourgade de La Tour-de-Peilz (au bord du lac Léman) et s'installe dans une maison au bord du lac du nom de Bon-Port. Ce sera le port d'attache des dernières années de sa vie.
De là, il circule beaucoup et les rapports que des espions envoient à la police française nous renseignent sur ses nombreux contacts et ses innombrables
Il peint, sculpte, expose et vend ses œuvres ; il organise sa défense face aux attaques du gouvernement de l'« Ordre moral » et veut obtenir justice auprès des députés français ; il est accueilli dans de nombreux cercles démocratiques confédérés et dans les réunions de proscrits.
Comme par le passé, il organise sa propre publicité et entretient des rapports sociaux tant dans les cafés qu'avec les représentants de l'establishment du pays qui l'accueille.
La demande de tableaux était tellement importante depuis 1872 que Courbet ne pouvait suivre et s'était assuré la collaboration d'« aides » qui préparaient ses paysages. Courbet ne faisait aucun mystère de ce mode de production. On sait, en outre, que Courbet n'hésitait pas à signer de temps à autre un tableau peint par l'un ou l'autre de ses collaborateurs[6].
Cette production inégale n'est pas limitée à la période d'exil, mais elle s'accentue depuis la menace qui pèse sur le peintre de devoir payer les frais exorbitants de reconstruction de la Colonne, l'entraînant à produire de plus en plus. Cela a incité de nombreux faussaires à profiter de la situation
Les circonstances (guerre et exil), les procès, l'étroitesse de l'espace culturel du pays qui accueille le peintre, l'éloignement de Paris sont autant de facteurs qui ne l'incitent guère à réaliser des œuvres de l'importance de celles des années 1850.
Par solidarité avec ses compatriotes exilés de la Commune de Paris, Courbet refusa toujours de retourner en France avant une amnistie générale.
Sa volonté fut respectée et son corps fut inhumé à La Tour-de-Peilz le 3 janvier 1878, après son décès survenu le 31 décembre 1877, sa dépouille étant transférée à Ornans en 1919.
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Des concerts à Paris et alentour
Avril 08. Molecule + Arnaud Rebotini + Axmod + Safetalk + Marc Collin + Guajiro + Andrew Claristidge + Mila Dietrich – À la folie (gratuit) 08. The Ex + Massicot – Petit Bain 08. The Specials – La Cigale ||COMPLET|| 09. Young Widows + Nesseria + Abschaum – Petit Bain 10. The Flying Luttenbachers – The University of Chicago Center (gratuit sur résa) 10. Jeff Mills : cinéconcert sur "Paris qui dort" de René Clair – Cinémathèque ||COMPLET|| 10. Daughters + Arto – Point FMR ||COMPLET|| 11. Foudre + Krampf (dj) + Qoso (dj) (no 100 de Mouvement) – CN D (Pantin) (gratuit sur résa) 11. Areva + The Rabblers – Le Zorba 11. Claus & Clausen + Tatu Rönkkö (Pølar fest.) – Église Saint-Merry 11. Pleasure Principle + Danse avec les Schlags + Volage + Vincent ce soir – La Station 11. Ancient Methods + Thomas Delecroix – NF-34 11. The Psychotic Monks + T/O – La Maroquinerie ||COMPLET|| 12. Jad Wio + Jean-Pierre Kalfon – Black Star 12. Femminielli noir + Vomir Rollet + dj Moyo – Treize 12. Orchestra of Constant Distress + Arnaud Rivière + Oliver Brisson – Instants chavirés (Montreuil) 13. Bracco + Ellah a. Thaun + Balladur + Le Groupe obscur + FTR + Brace Brace + San Carol + Yen Yen + UVB76 (dj) (Disquaire Day) – Point FMR (gratuit) 13. Toner Low + Ambassador 21 + The Fat + Orso + Evil Grimace + Gurt + Ddent + Froe Char + End of Mankind + McLane + Suprême Mycosaure (Monospace fest.) – Petit Bain 13. Author & Punisher + Sure. – Espace B 13. Broken English Club + Dactylo + Nizar + Pipi de Freche – NF-34 13. Miss Djax + CJ Bolland + Scalamerya + Dentis + Demian – Studio de Lendit (La Plaine-Saint-Denis) 14. Chocolat Billy + Monsieur Thibault + Zarboth – Cirque électrique 14. Arnaud Rebotini joue la BO de "120 Battements par minute" – Cité de la musique|Philharmonie ||COMPLET|| 15. Tim Shaw + Phill Niblock – La Générale Nord-Est (gratuit) 16. Bazooka + En attendant Ana + Seppuku – Espace B 16. Mimi Kawouin + Oculus Tapageur + FLF + Leandro Barzabal – Garage MU 16. Poutre + Tabatha Crash + AVC – Le Picolo (Saint-Ouen) 17. Teenage Fanclub – Trabendo 17. Soap&Skin + Jungstötter – Le Trianon 17. Cave + Derinëgolem + Korto – Cirque électrique 17. Der Blutarsch & The Infinite Church of the Lending Hand + Mongolito – Black Star 17. Apparat – Gaîté lyrique ||COMPLET|| 18. Chrysta Bell – Supersonic (gratuit) 18. Kompromat – Trabendo 18. Bendik Giske + Kristina Männikkö + Denzel b2b Justus Valtanen b2b J.Lindroos b2b Daniel Kayrouz... (Pølar fest.) – La Station 18. Laurence Wasser + Pratos – Le Zorba 19. Hocico + Heerschaft – Gibus 19. Ho99o9 + Plack Blague – Trabendo 19. Dave Clark + Dasha Rush + Bastos + Society of Silence + Paris Acid Boys + Cuften – Concrete 20. Tout doit disparaître + À travers + Eau de source + Autocastration + Viktor Alles – Studio Campus 20. Vincent Epplay + Black Zone Myth Chant & High Wolf + Domotic + Jean Benoît Dunckel + NSDOS + Erol Alkan + Tim Glass + Roscius + Sahalé + Golden Bug + Pouvoir magique + Cät Cät + RA+RE + Wael Alkak + Molecule (Inasound fest.) – Palais Brongniart 20. Michael Rother joue "Harmonia" de Neu! + Steeple Remove – La Maroquinerie 20. Gazelle Twin + Rkss (dj) + Hante + Kritzkom – Gaîté lyrique 20. Moodie Black + Fusiller – Espace B 20. Rien virgule + Pardans + Ellah a. Thaun – Instants chavirés (Montreuil) 20. The Horrorist + {KRTM} + 14anger + David Asko – Rex Club 20. Margaret Dygas + Shackleton + rRoxymore + Leyf – Concrete 20. I Hate Models + Airod + Thomas P. Heckmann + Dax J + Parfait – tba 21. Wolfgang Flür – Supersonic 21. Plaid + NSDOS + Myako & Basses Terres + Jonathan Fitoussi + Danton Eprom + La Fraîcheur + Edouard Rostand + Prieur de la Marne + The Supermen Lovers + Panteros666 & Inès Alpha + Matt Black + Sara Zinger (Inasound fest.) – Palais Brongniart 22. Fontaines D.C. – Point FMR ||COMPLET|| 23. Lambchop – La Maroquinerie 23. Octopoulpe + Boucan + Von Stroheim – La Cantine de Belleville 24. Talky Nerds + PenG + Electric Retro Spectrum – Gare XP 24. Saint Titus + Guilhem All + Les Lumières – Le Zorba 25. Lali Puna + Surma + Zalfa – Petit Bain 25. Kap Bambino – Trabendo 25. Guili Guili Goulag + Flingué – L'International 26. Art brut + Les Olivensteins – Petit Bain 26. Demdike Stare + Eliza McCarthy joue Mica Levi – Église Saint-Merry 26. Nous Deux + David Fenech & Laurent Perrier + Olga Bost – Le Zorba 26. Dick Voodoo + Homoagent + Lostsoundbytes + Metro Crowd – La Station 26. Ensemble économique – Le Klub 26. Truss + Nkisi + 747 + Lacchesi – Rex Club 26. Remco Beekwilder + Speedy J + Nur Jaber – La Machine 27. She Past Away + Isolated Youth + Potochkin – La Machine 27. Chloé : Lumières noires – Le 104 27. Cocaine Piss + Tôle froide + Avale – Petit Bain 27. Thharm + Harpon + Heimat + TG Gondard – Cirque électrique 27. Bérengère Maximin, Fred Firth & Heike Liss – Instants chavirés (Montreuil) 27/28. Alva Noto + Anetha + Antigone & Shlømo + Ciel + Clara 3000 + Daniel Avery + Deena Abdelwahed + Djrum + Kink + Lanark Artefax + Octo Octa b2b Eris Drew + OKO + Red Axes + Sentiments + The Pilotwings + Tryphème + Park Hye Jin (Weather fest.) – La Seine musicale (Boulogne-Billancourt) 30. The Undergound Youth + Dune Messiah – Petit Bain 30. Low Jack b2b Simo Cell + Kekra + AZF (RBMA fest.) – Gaîté lyrique 30. Coilguns + Aiming For Enrike + Revok + Wrong – Espace B 30. Sydney Valette + Sseeing Red b2b IV Horsement + K – Gambetta Club 30. Couloir Gang + Descendeur + Yellow Magic Harpsichord – Instants chavirés (Montreuil) 30. Shifted b2b Sigha + Lotus Eaters (Lucy & Rrose) + Von Grall + Clotur + Emissär + Vâyu – Concrete
Mai 02. Master Musicians of Jajouka – Instants chavirés (Montreuil) 03. Les Boucles étranges + Badbad + Mechanical heaven + Jeanne – Le Klub 03. Zombie Zombie + Dollkraut + Mauvais œil + Joakim (dj) + Justin Strauss (dj) + Colin Johnco (dj) – La Station 03. Atari Teenage Riot (dj) + Rebeka Warrior + Haj 300 – Rex Club 04. Covenant – Petit Bain 04. Tomoko Sauvage – tba 04. Le Villejuif Underground + Deliluh + Rose Mercie + Betty (dj) + Pasteur Charles (dj) – La Station 04. Multiple Man + IV Horsemen + Spit Mask – Espace B 04. Belmont Witch + Dragon's Daughters + Petra Pied de biche (God Save The Chicks! fest.) – Mains d'oeuvre (Saint-Ouen) 04. Headless Horseman + Shxcxchcxsh + Ghost in the Machine + Mayeul + Evil Grimace + Kuss – tba 04. Arnaud Rebotini (dj) + SNTS + Antigone – 42 av. Louis-Roche (Gennevilliers) 07. dEUS – La Cigale 07. Le Prince Harry + UVB76 + Container + Techno Thriller + Succhiamo – Petit Bain 08. Sneaks – Supersonic (gratuit) 09. Bill Nace & Samara Lubelski + Michiyo Yagi & Tony Buck – Instants chavirés (Montreuil) 10. The ChameleonsVox + Varsovie – La Boule noire 10. Vox Low + Pion + David Chalmin – La Maroquinerie 10. Exchpoptrue + Pita (dj) + Vicnet + dj Aï – La Marbrerie (Montreuil) 10. House of Echo + Hyperactiv Leslie + Alfa Mist (fest. Switch) – théâtre de Vanves 10. The Psychotic Monks +Bryan's Magic Tears – Emb (Sannois) 10. Kas:st + Hadone + Michal Jablonski + Cvrdwell – Rex Club 10. Luke Slater + Marcel Fengler + BLNDR + Parfait – Concrete 10/11. Casse Gueule + Cyclicweetos + Clafoutis Club + Daisy Mortem + Gargäntua + Mss Frnce + Princess Näpalm + Süeür + Titus d'enfer (Fauché fest.) – Espace Albatros (Montreuil) 10/11. Dead Can Dance – Grand Rex ||COMPLET|| 11. Christina Vantzou + Eiko Ishibashi + Jan Jelinek + NPVR (Nik Void & Peter Rehberg) – Le 104 12. Massimo Toniutti + François Bayle – Le 104 13. Foals – Bataclan 14. Romain Berteau + Claus & Clausen + Borja Flames + Ambeyance (fest. Switch) – théâtre de Vanves 14. Erikm & Anthony Pateras + Dieb13 & Burkhard Stangl – Instants chavirés (Montreuil) 16. Saudaá Group + Orgue-Paysage – Fondation Cartier 16. Franck Vigroux & Antoine Schmitt : "Chronostasis" + Quatuor Impact & Giani Caserotto + Open Women Orchestra (fest. Switch) – théâtre de Vanves 17. Philip Glass : Études pour piano – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie 17. Jacco Gardner + Chris Cohen + Eerie Wanda + Tonn3rr3 + Discovery Zone (Le Beau fest.) – Trabendo 17. Hen Ogledd + Faune – Instants chavirés (Montreuil) 17. Inigo Kennedy + Möd4rn + Stephanie Sykes – Rex Club 18. Bruce Brubaker & Max Cooper : Glasstronica – Cité de la musique|Philharmonie 18. Eliane Radigue : musique (diff.) pour "Continuum" de Félicie d'Estienne d'Orves – Centre Pompidou 18. Planningtorock – Gaîté lyrique 18. Thurston Moore + HAHA Sounds Collective + L'Éclair + Luis Ake + Domotic + Pantin Plage (dj) (Le Beau fest.) – Trabendo 18. Brandt Brauer Frick + Collectif sin ~ + Axel Rigaud (fest. Switch) – théâtre de Vanves 19. Julien Claus – Ancienne Brasserie Bouchoule (Montreuil) (gratuit) 22. Housewives – Supersonic (gratuit) 23. Lots in Kiev + Thot + Brusque – Petit Bain 23. 1919 + Guerre froide + Pest Modern + Warum Joe – Gibus 24. Beak> + TVAM – Gaîté lyrique 24. Shonen Knife – Petit Bain 24. Antichildleague + Corps + Geography of Hell – Les Voûtes 25. Sydney Valette + Blind Delon + Ruines – Supersonic (gratuit) 25. Xeno & Oaklander + Automelodi + Void Vision – Petit Bain 26. Jérôme Poret – Ancienne Brasserie Bouchoule (Montreuil) (gratuit) 27. Me Donner + Somaticae + Nani ∞ Guru – Espace B 28. Alice in Chains + Black Rebel Motorcycle Club – Olympia 29. Flotation Toy Warning + Raoul Vignal – Petit Bain 29. Big Brave + My Disco + Tu brûles mon esprit – Instants chavirés (Montreuil) 31. François Bonnet + Knud Viktor + Jim O'Rourke + Florian Hecker (fest. Akousma) – Studio 104|Maison de la Radio
Juin 01. Eryck Abecassis & Reinhold Friedl + Hilde Marie Holsen + Anthony Pateras + Lucy Railton (fest. Akousma) – Studio 104|Maison de la Radio 01. Millimetric + Phase fatale + Terence Fixmer + Dersee + Raffaele Attanasio – Studio de Lendit (La Plaine-Saint-Denis) 01/02. Metronomy + Laurent Garnier + Ricardo Villalobos + Mr Oizo + Bonobo (dj) + Yves Tumor + Marie Davidson + Pond + Sleaford Mods... (fest. We Love Green) – Bois de Vincennes 02. Bernard Parmegiani + Jean Schwarz (fest. Akousma) – Studio 104|Maison de la Radio 05. Shellac – La Maroquinerie 05. Institute + Last Night + The Cherry Bones – L'International 05. Otzeki – Safari Boat 06. Tim Hecker & Konoyo Ensemble + Mondkopf + Kelly Moran (Villette sonique fest.) – Cabaret sauvage 07. Danny Brown (Villette sonique fest.) – Périphérique 08. Julia Holter + Cate Le Bon (Villette sonique fest.) – Trabendo 08. Deena Abdelwahed + David August + Ross from Friends + Objekt (dj) + Apollo noir (dj) (Villette sonique fest.) – Grande Halle 08/09. Aïsha Devi + Belmont Witch + Black Midi + Borja Flames + Bracco + Corridor + Coucou Chloé + Crack Cloud + Efrim Menuck + Fontaines DC + Front de cadeaux + Juan Wauters + Krampf (dj) + Maria Violenza + Mdou Moctar + Musique chienne + Myako + Nova Materia + Nyoko Dokbaë + Novelist + Shanti Celeste + Sinkane + Szun Waves + The Messthetics + Tiger Tiger + Warm Drag + Wiki Zaltan (Villette sonique fest.) – parc de la Villette (gratuit) 09. Stereolab + Jonathan Bree + Anémone (Villette sonique fest.) – Grande Halle 12. The Soft Moon – Safari Boat 12. Matmos + John Wiese – Instants chavirés (Montreuil) 13. Minuit Machine + Hørd + Marble Slave – Supersonic (gratuit) 13. Christian Death + Little Nemo – Gibus 13. Fat White Family – Élysée Montmartre 14/15. Jessica 93 + Year of No Light + Hangman's Chair + JC Satan + Vox Low + White Heat (15 ans de New Noise) – Trabendo 15. Karen Gwyer + Gudrun Gut + Dorit Chrysler joue Laurie Spiegel – Gaîté lyrique 16. Siglo XX + The Arch – La Maroquinerie 18. Simon Whetham + Estelle Schorpp – Instants chavirés (Montreuil) 19. Stephen Malkmus & The Jicks – La Gaîté lyrique 22. The Intelligence + Flatworms – La Maroquinerie 23. La Pince + Leon + Howdoyoudance + Polar Polar Polar Polar – Cirque électrique 26. Magma – Salle Pierre-Boulez|Philharmonie 26. Cannibale – Safari Boat 26. Caterina Barbieri + SKY H1 – La Gaîté lyrique 26. Pigalle – La Maroquinerie 26. Daniel Menche + Point invisible + Tzii – Instants chavirés (Montreuil) 28/29. Rammstein – La Défense Arena (Nanterre) ||COMPLET||
Juillet 02. Interpol – Olympia 04. Cat Power + H-Burns (fest. Days off) – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 05. Klimperei, Sacha Czerwone, David Fenech, Denis Frajerman & Christophe Micusnule – Chair de poule (gratuit) 05. Pantha du Prince + Scratch Massive (fest. Days off) – Cité de la musique|Philharmonie 05. I Hate Models + Jardin + Mount Kimbie + Oktober Lieber + Rodhad + Mor Elian + Olivia... (The Peacock Society fest.) – Parc floral 05. The B-52's – Olympia 06. Jonsi & Alex Somers jouent "Riceboy Sleeps" (fest. Days off) – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 06. Helena Hauff b2b DJ Stingray + Jon Hopkins + Motor City Drum Ensemble + Len Faki + Robert Hood + Octavian + The Black Madonna + Clara! + Nicola Cruz... (The Peacock Society fest.) – Parc floral 07. Jonsi, Alex Somers & Paul Corley : "Liminal Soundbath" (fest. Days off) – Cité de la musique|Philharmonie 07. Ministry – La Machine 07/08. Thom Yorke (fest. Days off) – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 08. Gossip – Salle Pleyel 11. Full of Hell + The Body + Pilori – Gibus 11. Masada + Sylvie Courvoisier & Mark Feldman + Mary Halvorson quartet + Craig Taborn + Trigger + Erik Friedlander & Mike Nicolas + John Medeski trio + Nova quartet + Gyan Riley & Julian Lage + Brian Marsella trio + Ikue Mori + Kris Davis + Peter Evans + Asmodeus : John Zorn's Marathon Bagatelles – Salle Pleyel 11>13. Kraftwerk (fest. Days off) – Philharmonie 13. The Will Gregory Moog Ensemble (fest. Days off) – Le Studio|Philharmonie 13. Chloé & Vassilena Serafimova : "Sequenza" + Apparat (fest. Days off) – Cité de la musique|Philharmonie 17. Grand Blanc – Safari Boat 18. Neurosis + Yob – Bataclan
Août 23>25. The Cure + Aphex Twin... (fest. Rock en scène) – parc de Saint-Cloud 28. Arnaud Rebotini – Safari Boat
Septembre 05. Oh Sees – Bataclan 14. Patti Smith – Olympia 14. Clan of Xymox + Plomb – Gibus 14. Danny Elfman & le Grand Orchestre d'Ile-de-France : cinéconcert sur "Alice au Pays des merveilles" de Tim Burton – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 20. Spiral Stairs + Canshaker Pi – Olympic café 23>25. John Cale – Cité de la musique|Philharmonie
Octobre 05. Nuit de l'orgue avec des œuvres d'Éliane Radigue, Arvo Pärt, Olivier Messiaen, Phillip Glass, Nico Muhly, Jonathan Fitoussi... (Nuit blanche) – Salle Pierre Boulez|Philharmonie (gratuit) 06. Daughters – La Maroquinerie 14. King Gizzard & Tle Lizard Wizard – Olympia 17. Puppetmastaz – Trabendo 18. Dream Syndicate – Petit Bain 19. Sisters of Mercy – Bataclan 19. Pixies – Olympia
Novembre 08. Bedroom Community – Cité de la musique|Philharmonie 10. Amiina : cinéconcert sur "Fantomas" de Louis Feuillade – Le Studio|Philharmonie 10. Ôlafur Atnald + Hugar – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 17. Nitzer Ebb – La Machine 24. The Young Gods + Les Tétines noires – La Machine
Décembre 06. Phillip Glass Ensemble : cinéconcert sur "Koyaanisqatsi" de Godfrey Reggio – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 07. Phillip Glass Ensemble : cinéconcert sur "Powaqqatsi" de Godfrey Reggio – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 08. Phillip Glass Ensemble : cinéconcert sur "Naqoyqatsi" de Godfrey Reggio – Salle Pierre Boulez|Philharmonie
2020
Janvier 04. Rokia Traoré + Ballaké Cissoko & Vincent Segal – Salle Pierre Boulez|Philharmonie
Février 16. Orchestral Manoeuvre in the Dark – La Cigale
Mars 07. Ensemble intercontemporain joue Steve Reich : cinéconcert sur un film de Gerhard Richter – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 20. Ensemble Dedalus joue "Occam Ocean" d'Éliane Radigue – Le Studio|Philharmonie 21/22. Laurie Anderson : "The Art of Falling" – Cité de la musique|Philharmonie
Mai 08. Max Richter : "Infra" + Jlin + Ian William Craig – Cité de la musique|Philharmonie 09. Max Richter : "Voices" – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 10. Max Richter : "Recomposed" & "Three Worlds" – Salle Pierre Boulez|Philharmonie 24. Damon Albarn – Salle Pierre Boulez|Philharmonie
en gras : les derniers ajouts / in bold: the last news
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Paris in August. My true love. Photo: @unealternanteaparis (bij Brasserie Les Deux Palais) https://www.instagram.com/p/ChogXMGs5_0/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Déjeuner!: 16ème Arrondissement
J'aime le 16ème arrondissement parce que ce quartier est principalement un quartier résidentiel. Ces quartiers ont aussi beaucoup de lieux historiques comme l'Avenue Foch, le Bois de Boulogne, et le Trocadéro. Il y a beaucoup de musées, comme le musée de Louis Vuitton et le Palais de Tokyo; c'est multiculturel. D’abord, pour le déjeuner, mon restaurant préféré dans mon arrondissement est la Brasserie Paris Longchamp.Ce restaurant est la brasserie la plus traditionnelle et est le rendez-vous parfait pour le temps avec la famille, les copains, ou les amis. Il a les meilleurs steak-frites à Paris. La restaurant crée une continuité vraie avec le bois de Boulogne. La plupart des gens aime commander du poulet rôti, du bar grillé et d’agneau. C’est l’endroit idéal pour un déjeuner alors allons-y pour ça. Pendant la journée, les vendredis et samedis, c’est la destination pour l’heure de l’apéro avec des cocktails et d’un DJ set.
Paris Brasserie Longchamp
Aussi, on peut aller à l’Archeste. C'est un restaurant qui sert de la cuisine d'haute française. Il y a seulement un menu de dégustation qui a deux entrées, un plat de poisson, un plat de viande, et des desserts. Ce repas coûte cent vingt euros pour chaque personne. Si on va avec les autres personnes, les menus identiques sont servis pour l'ensemble de la table. Le restaurant a un chef japonais et l'ambiance est très élégante et moderne. Je recommande cet endroit pour quelqu'un qui veut la gastronomie.
La cuisine à l’Archeste
Il est essentiel de visiter la boutique Rooftop; c'est un nouveau magasin dans le seizième arrondissement. Ce magasin vend des produits éco-responsables et branchés. Rooftop est situé dans le quartier Auteuil. Il vaudrait mieux faire du sport à l'éco-gymnase Géo-André dans le 16e arrondissement. Les sportifs parisiens peuvent profiter d'un lieu disponible à tous. Vous devriez aller au musée de l'homme pour voir l'exposition d'art des baskets. Ils vont exposer l'évolution des baskets.
via SortiràParis.com: l’évolution des baskets
Nous pouvons aller à Hilly passy pour diner au restaurant le plus chic de Paris et pendant journée, nous pouvons visiter le bois de Boulogne pour voir les choses nautiques. Aussi, il est nécessaire de visiter la fondation de Louis Vuitton et le Palais de Tokyo. La fondation a onze galeries avec des oeuvres. Prendre la ligne un jusqu’aux Sablons. Descendre l’arrêt Fondation Louis Vuitton. La fondation est dix minutes d’ici par pied à travers le Bois de Boulogne.Le palais de Tokyo est le plus grand centre d’art en Europe avec les expositions, les performances, et l’architecture. Pour nous, nous allons visiter l’exposition de Musées du futur qui est une visite atelier pour explorer des oeuvres de la saison. L’histoire du Palais de Tokyo est découverte pour voir la technique du collage et leurs collections. La visite a imaginé collectivement le rôle des musées dans la technique du collage.
via LVMH.com: La fondation Louis Vuitton
Voyage:
Pour le lieu prochain, marcher jusqu'à la gare Port Dauphine, prendre le métro ligne 2, descendre à l’arrêt Barbès- Rochechouart via maps.google.com
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Rallye Flipper #2 à Genève
du 3 juin au 15 juin 2024
Evénement tout public et de tout âge
10 lieux insolites et 11 flippers à découvrir. Une manière ludique d'explorer d'autres facettes de la ville.
Le prix spécial Le dernier jour du Rallye, à 21h à L'amicale du flipper, les feuilles de participation cumulant les tampons des 10 étapes seront récoltées pour le prix spécial, un resto complet, sans prétention, pour deux personnes dans un lieu fameux de la ville. L'attribution du prix sera déterminée par un tirage au sort (parce que la compétition et la performance ça va un moment...).
Parties gratuites Les participant.e.s pourront jouer gratuitement, le nombre de parties offertes étant au gré des établissements.
Inscription Tout au long de la semaine, au comptoir de chaque étape, excepté la ludothèque de la jonction qui ne délivre pas de fiche de participation. Les fiches d'inscriptions sont individuelles, et peuvent exceptionnellement être transmissibles en cas d'incompatibilité horaires avec une des étapes, indisponibilité, etc (pas plus d'une procuration par personne qui fait tamponner) . Attention aux heures d'ouverture des étapes! - Ludothèque de la Jonction, av. Sainte-Clothilde 1 (Mar 16h-18h30, Mer 09h-11h30 et 15h-17h30, Jeu 09h-11h et 16h-18h30, Sam 09h-12h)
- La Turbine, rue Coulouvrenière 26 (Lun 17h-22h, Mer 17h-00h, Jeu 17h-01h, Ven-Sa 17h-02h)
- Floky La Loutre, rue Carouge 44 (Ma-Me 15h-00h, Je-Ve 15h-01h, Sa 17h-01h)
- La Citadelle, rue des Sources 22 (Dim à Jeu 17h-02h et Ven-Sam 17h-04h)
- Le Palais Cosmique Square Orange (Jeudi 14h-19h et Samedi 10h-18h)
- La Vieille école, av. Thônex 65 (Vendredi 17h-22h)
- Le Point Gourmand, rue Lausanne 59 (Ma-Me 11h-19h, Jeu 11h-23h, Ve 11h-02h, Sa 17h-02h)
- La Brasserie du Mât, av. de Châtelaine 43 (Me -> Ve 15h30-17h30)
- Fripes & Bikes Party Chez Gaston, 18 rue du Vélodrome (Jeudi 13 juin UNIQUEMENT, 18h-23h)
- Finale à L'Amicale du Flipper*, bvd Carl-Vogt 7 (Samedi 15 juin, 18h à 23h)
Participation: 20 francs Participation de soutien*: plus que 20.-, voir beaucoup plus selon votre engouement pour ce projet. *votre participation soutiendra les activités gratuites de L'amicale du flipper (Les différents flippers de la ville en accès libre hors-rallye, Les laves-linges en accès libre ainsi que le loyer de l'open-space du Salon-Lavoir de L'amicale du flipper, les activités gratuites s'y déroulant, etc.)
Plusieurs étapes, plusieurs cadeaux. Les lieux et établissements d'accueil pourront proposer aux participant.e.x un ou des cadeaux de leur cru selon les critères d'attribution de leur choix (meilleur score, score au hasard, meilleure blague, etc), les personnes lauréates seront avisées personnellement par l'établissement à la fin du rallye.
En espérant que vous prendrez du plaisir à jouer. ------------------------------------------------------------------------------ Ce rallye est proposé par L'amicale du flipper "Association pour la sauvegarde, la réhabilitation et la réintroduction des flippers dans le paysage contemporain"
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#Waiter scene being #seated for #lunch #café #brasserie #lesdeuxpalais #Paris #IgersParis #Parismaville #Parisjetaime #villedeParis #parisfind #thestreetsofparis (at Café Brasserie Les Deux Palais, Paris)
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SAMEDI 12 OCTOBRE 2019 (Billet 1 / 3)
Il y a quelques jours nous étions en goguette sur les Champs.
Légende des photos ci-dessus
Photo 1. Ce jour-là, une école avait organisé sur la pelouse, près du « Bouquet », un pic-nic pour une trentaine d’élèves de CM2. Apparemment ils devaient participer ensuite à un jeu/découverte autour de la « chose ». On les voyait en effet aller et venir, un carnet de notes à la main. Nous aurions bien voulu connaître les questions qui leur étaient posées...
Photo 2. Et voilà le « fameux » Bouquet ! Coincé entre le Petit Palais et la Seine, après la levée de boucliers qu’il a suscité, puisqu’on ne pouvait pas faire autrement que de l’avoir, c’est finalement là où on le voit le moins... le moins pire des emplacements.
Photo 3. Les mêmes « tulipes » mais prises cette fois avec le « super grand angle » de l’iPhone. Le bouquet est toujours aussi incongru mais les nuages dans ce beau ciel bleu parisien et en toile de fond la façade du Petit Palais construite par Charles Girault, le rendraient presque tolérable.
Photo 4. La plaque où il n’est même pas mentionné que ce « Bouquet » a été offert en hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015. Il faut dire que le rapport ne saute pas forcément aux yeux.
Photo 5. Le même mais en contre-jour. Bof, bof !
Photo 6. « Le Doyen ». Nous y avions filmé un très beau mariage du temps de J2M VIDEO. Le chef n’était pas le même qu’aujourd’hui mais tous les deux (Le Squer et Allieno), dans ce lieu, ont fait briller leurs 3 Etoiles. JM avait dit à Marina qu’il l’invitait dans un p’tit resto sur les Champs au rapport qualité/prix plus qu’intéressant, une chose est sûre, ce n’était pas là. Dommage…
Photos 7, 8, 9 et 10. L’adresse sur les Champs qu’on vous recommande, si vous n’avez pas envie de dépenser trop de sous pour un déjeuner, tout en évitant les Mc Do, Burger King et consort, c’est celle-ci : le « Bistro des Champs ». Il est situé juste à côté de l’Apple Store, presqu’en face de Louis Vuitton, au Métro George V. Les plats, style « brasserie », sont copieux, en aucun cas « grande cuisine » mais les serveuses sont sympathiques, on a pu déjeuner en terrasse, se chauffer au soleil d’octobre, les frites étaient chaudes et même si on a déjà mangé ailleurs de meilleurs croque-monsieur, ils étaient corrects. La prochaine fois nous choisirons une andouillette AAAA, elles avaient l’air délicieuses.
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Place des pyramides : à leur place se peuvent mettre des obèses Phrases Talc d’une fée morte Bouée Qui eut jumelle en son palais? Égyptienne Jeanne Des pires pyramides.
Si l’extirpé est loin Moins n’essaime Moins est nécessaire ? Réussir à être tous les jours devant Pour devenir. Robe pas devant les autres, les docteurs, les familles. Tous les jours se rouvrent, trouver Ce temps qui m’est alloué Décompose mon corps L’endimanche. Grandes artères il faut les verser Colonne de vivres drapés Allumage, chablis, râteau glose Colette de villes apnées Fêtard, tuile, visite du souvenir déjà écrit Qui se noie en noyant les autres Fils sous pont enlacé de cordes Noyés dérivés Fils de noyer Que suis-je beau à cernes Retenu au sous sol Dans les toilettes que suis-je beau La terre sous moi se brise J’ai reposé mon verre sur la table je l’ai senti J’assiste au paradis des chevaux J’écoute La sympathie qui s’exerce morne et vitale La blague du joueur La répartie du sable Abbaye à W Perdue Perte Une petite voix Suivre le sentier de la corde Le dame y Le drame du suricate Sur l’ombre de l’olivier Les ratés de la bible, râleurs, fugitifs, et menteurs grâce à Pinnochio Prénom est l’entrée et le nom de famille la sortie de la baleine Sous la lèvre de la baleine, collé. Lever yeux croire miroir mais lumière Baleine sur scène, ajoute boyaux, poissons, toboggan souvenirs Ouvrir portée de chat Prends le Sylex et allume, reste incompris en parole L’allemand est la robe Frisson sapin, ça me fait souvent qu’ils s’offusquent, Sophocle Je suis beau et mortel Dignes aimants ! Ma proue s’est écorchée Arrachez Mines, fauchés sont les diamants Bafoués les pélicans Et les maussades armées Bousculées par une moindre réponse Agitent l’eau trouble et charment.
Pour chanter ils faut dire des choses Ajouter un plus à un moins C’est se souvenir. La Shoah électrique L’électricité Prenant des bains il s’offre Déposer Déchausser la remorque de l’autre Échanger nos chaussures Attendant devant soi Les autres sont rien Dans le miroir je dessine une tornade Pied bleu ainsi sur la table comment Faut la filmer Table Quand discute oublie corps Drap sur les valises Rabatteur, chasseur en a besoin, pour n’oublier pas de chasser Sur la ligne du chasseur Clin d’œil pourquoi Car l’Émile de la cible Pour mieux être vu ou voir le clin en œil ? Cible prendre un œil fermer Et l’ouvert, plus ouvert que les deux normalement Le chasseur est le restaurateur Reste assise. Va crever en même temps que la lave. Cette phrase ne laisse pas de traces Elle arrive comme cela Au milieu des terrains vagues Rodrigue et Salomon Je veux acheter de l’argent Tournées des pouces-milles Elle oublie qu’elle rigole Aime dans le noir Lune Perte garçon je lui dis Elle défend Je transforme vélo en nage Elle perd ses cheveux Frère se ressemblent deux Joanna premier pas vers Jonas Jaune ou Laura John Lancer l’élan Espagnole la route Le H où je me tiens Tatouage lu Tatouage mur au marteau piqueur Elle lue l’entrée prisonnière de la grotte Abîmer la surface du mur Encre prisonnière mur Corps repousse Encre vivante Peau vivante Mur pas vivant Est-ce un pas que de vivre ? Ce n’est pas une bague armée de main Ne le dites pas Disparaître corps fait divers et multiples Lubriques Cigarette disparaît tatouage Mot dit et échappe pas Je saigne du doigt avec mon bleu Le sin La sine Le laser des Tuileries Manière nonchalante cigarettes Tu le vois énerver je vais hurler Chirurgien bout de la rue Elle m’a vouvoyé pour que je reste Galope ration Agglomération Ruse de la poupée Amoureuses les filles Nous connaissons la tristesse.
J’arrête et ne change De gestes fins Deux personnes amoureuses sans le savoir. Eau et cheminée Savent pas je sais Aime des R Jouer Fait un r Croiser doigts Majeur index M et apostrophe confond avec cicatrice Image et œuvre mais image de l’oeuvre Amour amour Vacances Ennui S’y soustraire Pour le coup il a vraiment une âme
Un poulet à la mode s’il vous plaît, j’ai demandé en rentrant dans la brasserie.
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