#Biogaz
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Le RODER Bénin outille ses membres et donne de la voix en faveur des énergies renouvelables
Dans le cadre de son engagement continu pour le développement des énergies renouvelables au Bénin, le Réseau des Organisations pour le Développement des Energies Renouvelables (RODER) a réuni ses membres lors d’une rencontre significative le vendredi 1er décembre 2023 à la Direction Générale des Ressources Énergétiques (DGRE) à Cotonou. L’objectif principal était de renforcer les connaissances…
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#Association Bénin Energie#Biodigesteur#Biogaz#Campagne de plaidoyer#COP28#Energie Renouvelable#Energies Durables#Journal Santé Environnement#JVE Bénin ONG#Lobbying#Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable#ONG Save Our Planet#ReAgro ONG#RODER#RODER Bénin
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Ok guys, things are going BAD AND WORST EVERYDAY
Yesterday, on Saturday 26 of March, 2023, what we can call a civil war happened in Sainte-Soline, Deux-Sèvres, France.
A freaking good exemple of "what is legal is not necessarily legit".
Here, from the French human right ligue :
"We noted several cases of obstruction by the forces of law and order to the intervention of the emergency services, both ambulance and fire brigade."
Green activist were having a congress about ecology and how to build a virtuous agricultural model that respects people and biodiversity.
The project :
https://bassinesnonmerci.fr/index.php/les-bassines-cest-quoi/
Build 16 mega-basin, the biggest one having a 720 billions litres capacity (720 000 000 l.) on 16 hectares of land, with 8 meters high embankment.
The water to fill those basins will be pomp in groundwaters(into the grounds or rivers),it will NOT be rainwater.
This water will be use to irrigate CORN, which don't naturally grow in this part of the world.
This corn will be grown to be exported, or make biogaz, but not to feed animals and humans.
Only 12 farms will benefit of it.
FRENCH PEOPLE are paying for it : since access to water is ALL PUBLIC SERVICE here, and the state is spending 60 billions euros for that, but is NOT the owner of the farms, the state will NEVER have its money back and the French people will never eat that corn.
ON TOP OF THAT most of the country is facing an historical WINTER DROUGHT.
So green activist, farmers and elected greens gathered on the site to protest, despite the prefecture's ban, because our planet cannot wait any longer and water should be a shared good and not for just some farmers. Anyway, our beloved (no) Minister of Home Affairs have been speaking of "how violent it will be" there, despite the ban, speaking of "1000 violents protestors awaited".
What happened :
The prefecture banned every gathering for the weekend, fearing violence as it happened in Notre-Dame-Des-Landes
People came anyway, because ecology is our best chance to survive, moreover after the last GIEC report
3000 policemen (civil) and gendarmes (military) have been sent to guard the construction site.
As you might have understood, things went bad, like REALLY bad.
4.000 grenades thrown by the state's force
3 gendarmes' véhicules burnt.
200 protestors hurt, 28 gendarmes, 5 persons in a life-threatening condition (2 protestors, 3 gendarmes)
Ambulances kept away from the field from the military, despite the injured people needing immediate medical attention.
👇This thread will show you what happened
And now what ?
Well, protests happen EVERYDAY in France. Considering that :
how violent this protest have been,
how fast is our beloved (still no) Minister of Home Affairs to blame far-left and black blocks for every violence during protest
How he used tiredness to justify the violence of the police
How he considers undeclared protestation illegal WHICH IS ABSOLUTELY FALSE
Protests will take place all over the French territory next Tuesday
We already know that there wil be MORE policemen and gendarmes around the protests
Please PLEASE, fellow French protestors, TAKE CARE, even more if one of sainte-soline's protestor or gendarme dies by then.
#france#french protests#upthebaguette#sainte-soline#sainte soline#french police#human rights#civil war
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Darmanin: «On ne répond pas à la souffrance en envoyant des CRS»–Les CRS: expulsent les paysans du siège de Lactalis
A noter: des sympathisants de la Confédération paysanne, et non du syndicat Macron-compatible FNSEA.
Son président, Arnaud Rousseau, est, entre autres, directeur général de Biogaz du Multien, administrateur de Saipol (huiles industrielles) et président de la multinationale Avril (https://www.avril.com/groupe/filiales-et-marques) (Isio4, Lesieur, Matines, Puget)… que Macron affectionne (https://www.lafranceagricole.fr/filieres-vegetales/article/840566/emmanuel-macron-affiche-sa-proximite-avec-le-groupe-avril) particulièrement.
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GRDF Bourgogne-Franche-Comté : à pleins biogaz !
Traditionnellement, nos campagnes produisaient à manger pour les villes. Avec le développement de la méthanisation, elles leur fournissent aussi de l’énergie : un gaz vert dont les territoires ruraux, agriculteurs en tête, seront les premiers bénéficiaires. Éric Passetti, directeur régional de GRDF en Bourgogne-Franche-Comté, répond à nos questions sur le sujet. Une unité de méthanisation avec…
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8 au 10 septembre 2023
On grimpe dans les Hauts de Nosy Komba pour passer deux nuits au sein du village d'Akiba, guidés par Laz un enfant du village. On arrive au milieu de la forêt où Jérôme et sa femme Vitaa ont construit plusieurs bâtiments depuis une quinzaine d'années et créé un village en plein cœur de la nature. Aujourd'hui, Akiba c'est une école et une première classe de collège (130 élèves), une production de cacao, d'huiles essentielles, d'alcool, de poivre, de légumes et de fruits, de biogaz à partir des déchets alimentaires et des toilettes. Tous les bâtiments sont auto-construits avec des ressources locales par les habitants et de nombreux volontaires qui viennent aider la communauté quelques mois. L'ambiance est géniale, de la musique, du rire, de la danse et un esprit d'entraide en permanence dans un cadre merveilleux en haut de cette petite île.
Thicoco
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Le programme Interreg France-Suisse poursuit sa programmation : 7 nouveaux projets retenus pour la période 2021-2027
Les partenaires du programme de coopération territoriale Interreg France-Suisse se sont réunis jeudi 16 mai 2024 à l’occasion du comité de suivi à Courtelary (Canton de Berne) où ils ont été accueillis par Etienne Klopfenstein, Président du Conseil du Jura bernois. Ce comité, sous la co-présidence de David Eray, Ministre du Canton du Jura, et de Valérie Pagnot, Conseillère régionale Bourgogne-Franche-Comté en charge des coopérations transfrontalières, a sélectionné 7 projets. Ceux-ci bénéficieront d’un soutien de près de 2,3 millions d’euros de FEDER (Fonds Européen de DEveloppement Régional). Parmi ces projets, deux s’inscrivent dans la priorité 1 du programme « Neutralité carbone et transition écologique », deux ont été retenus au titre de la priorité 2 « Recherche et innovation, usages numériques », un projet au titre de la priorité 4 « Tourisme durable et culture ». Enfin, deux projets ont été programmés dans le cadre de la priorité 5 du programme « Réduire les obstacles à la frontière », via les Plans Territoriaux Intégrés de Coopération (PTIC) qui offrent la possibilité aux territoires de mettre en place des stratégies de coopération transfrontalière à l’échelle locale. ELECTRIVERT : valorisation de la biomasse en électricité Programmé lors du comité de suivi, le projet ELECTRIVERT, porté par l’Université de Bourgogne – Laboratoire ICB (France) et la Haute École d’Ingénierie de Sion HEI-VS, HES-SO Valais (Suisse), a pour objectif de valoriser l'énergie disponible apportée par la biomasse (principalement le biogaz) et de promouvoir sa conversion en électricité par des systèmes de pile à combustible à oxyde solide. Un état des lieux concernant la production, la valorisation et la distribution de biogaz sur le territoire de coopération franco-suisse sera dressé. Les objectifs, de part et d’autre de la frontière, concernant la distribution et la promotion du biogaz pourront ainsi être exposés et comparés. Le but est de sensibiliser les acteurs de ces filières afin de créer des nouveaux producteurs de biogaz et de multiplier l’installation de piles à combustible dans les habitations permettant de transformer la biomasse en électricité verte et en chaleur utilisée sur place. Montant de l’aide européenne (FEDER) programmé : 452 000 €. PTIC COOPTERRJU Le plan territorial intégré de coopération (PTIC) concerne le territoire de coopération le plus septentrional de l'arc jurassien, à savoir le territoire de coopération Nord Franche- Comté - Canton du Jura. Les exécutifs des partenaires engagés dans cette coopération ont identifié des actions et des projets communs relevant des domaines des transports et mobilités, formation supérieure, recherche et innovation, environnement, culture et citoyenneté des jeunes. Pour cette phase de candidature, trois acteurs institutionnels - relevant de différents échelons administratifs - sont mobilisés : la République et Canton du Jura (RCJU), le Conseil départemental du Territoire de Belfort (CD90), la Communauté d'agglomération du Grand Belfort (GBCA). Le but de la stratégie est de coordonner et renforcer les collaborations en cours et d’en développer de nouvelles dans le cadre d’une stratégie de coopération franco-suisse intégrée et durable. Montant de l’aide européenne (FEDER) programmé : 58 000 € Pour rappel, le programme Interreg France-Suisse est doté d’une enveloppe composée de 69,7 millions d’euros de FEDER et 50 millions de francs suisses (fonds fédéraux et cantonaux) qui seront alloués à des projets couvrant le territoire franco-suisse pour la période 2021-2027. L’ensemble des projets soutenus est consultable sur www.interreg-francesuisse.eu. Le prochain dépôt de projets est ouvert jusqu’au 13 septembre 2024. infos > www.interreg-francesuisse.eu Read the full article
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Gaz renouvelables : la filière reste dans l'attente des promesses du Gouvernement
Certificats de production de biogaz, appel à projets pour la pyrogazéification, simplifications administratives : les acteurs des gaz renouvelables tiennent à ce que le Gouvernement n'oublie pas ses promesses en 2024.
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Les agriculteurs sont énervés, ils veulent tout péter.
C’est autre chose que les manifs contre la retraite à 64 ans pilotées par les syndicats gauchistes.
Les contradictions internes d’une société sont toujours utiles à analyser, surtout quand ce sont celles que nous expérimentons. Le mouvement des agriculteurs est intéressant à cet égard.
Le soutien de l’opinion au mouvement est sans équivoque.
Il y a plusieurs raisons. La première, c’est que la majorité des Français manifestent par procuration à travers leur mouvement. La plupart des Français travaillent dans des PMI-PME et sont donc, par leur expérience professionnelle, cantonnés à une bulle indépendante des autres. Ils n’ont rien à dire aux salariés de la boîte d’à côté, et encore moins à leur voisin.
Ils sont seuls.
Par leur expérience professionnelle, les paysans sont certes des propriétaires terriens, pour la plupart, mais ils sont versés dans des structures collectivisées, à commencer par leur syndicat, la FNSEA, les coopératives capitalistes, etc..
Leur profession est trop bureaucratisée et étatisée pour être comparée à des artisans ou des chefs d’entreprises indépendants. Ils dépendent tellement des subventions publiques, des chambres départementales d’agriculture et du reste, qu’ils forment une sorte de fonction publique officieuse.
S’ils gueulent contre les réglementations, ils savent également que les aides qui y sont liées conditionnent leur survie. Vous ne verrez jamais un paysan demander moins d’aides, uniquement moins de contraintes réglementaires en échange de cette aide. Demander aux paysans de vouloir devenir indépendants est à peu près aussi pertinent que de demander à un fonctionnaire de la Poste de devenir auto-entrepreneur.
Le paysan que l’écrasante majorité des Français a en tête n’a rien à voir avec l’agriculteur contemporain. Celui-là est généralement passé par les lycées agricoles où le cartel syndical, agro-alimentaire et bancaire, le forme à être un technicien entièrement subordonné aux grands intérêts financiers et rien d’autre.
S’il ne suit pas, il sera euthanasié par le système soviéto-capitaliste qui supervise l’agriculture française et européenne.
L’agriculteur de moins de 40 ans est davantage un manager qu’un paysan. D’ailleurs, la FNSEA est tenue par les producteurs de céréales de la Beauce, qui sont principalement des managers de groupes agro-alimentaires et seulement, dans un second temps, propriétaire d’une ferme ou plusieurs.
Syndicats, multinationales, banques, État, c’est impossible de discerner. Il y a longtemps que tout cela est devenu une seule et même chose.
Même la presse communiste dit des évidences à ce sujet.
L’Humanité :
Arnaud Rousseau a un grand nombre de casquettes, ou plutôt de chemises. Si celle-ci est à carreaux, il incarne l’agriculteur et le dirigeant de la FNSEA, principal syndicat du secteur. Lorsqu’elle est bleu pâle avec cravate en soie, on est face au grand patron, habitué des assemblées générales d’actionnaires et qui parle en millions d’euros. Arnaud Rousseau est un homme très occupé. On le retrouve administrateur ou dirigeant d’une grosse quinzaine d’entreprises, de holdings et de fermes : directeur de la multinationale Avril (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.), administrateur de la holding du même nom, directeur général de Biogaz du Multien, spécialisé dans la méthanisation, administrateur de Saipol, leader français de la transformation de graines en l’huile, président du conseil d’administration de Sofiprotéol, qui finance des crédits aux agriculteurs. La liste est longue.
Sur sa biographie officielle du groupe Avril, il est dit qu’Arnaud Rousseau a « un parcours atypique ». Pour un agriculteur, certes, beaucoup moins pour un dirigeant, puisqu’il est diplômé de l’European Business School de Paris et qu’il est passé un temps par le courtage de matières premières agricoles, c’est-à-dire leur mise en vente sur les marchés financiers.
Ces contradictions se retrouvent dans ses prises de position. Il défend une agriculture productiviste française pour nourrir les Français, mais consacre ses champs à une production majoritairement destinée à l’export. Il soutient les agriculteurs qui se plaignent de l’augmentation des taxes sur le gazole non routier (GNR), mais il a entériné cette hausse cet été, lors des négociations avec le gouvernement sur le projet de loi de finances. Avec ses homologues grands céréaliers, il est l’un des principaux bénéficiaires de la PAC, quand les petits éleveurs, ceux-là mêmes dont la colère déborde dans le Sud-Ouest, sont les plus lésés. Ce sont deux classes d’agriculteurs bien distinctes, aux intérêts antagonistes. C’est pourquoi il ne peut répondre aux demandes des manifestants sur la hausse du GNR, qu’il a validée, ni sur les marges des groupes agroalimentaires, lui qui en dirige un. Alors, Arnaud Rousseau a un bouc émissaire tout trouvé : l’Europe et ses normes écologiques.
Ce que L’Humanité ne dira jamais, c’est que tous les syndicats ont la fonction de la FNSEA : une bureaucratie parasitaire qui est maintenue par l’oligarchie et l’État pour tenir en respect la base.
C’est le job de la CGT dans d’autres professions.
La CGT parle d’ailleurs comme le MEDEF immigrationniste.
Les gauchistes n’aiment pas les agriculteurs parce qu’ils ne sont pas sous leur contrôle, c’est aussi simple que ça.
Par réflexe, les urbains de droite se disent que les agriculteurs sont de leur bord. Les béotiens sont par exemple choqués par ces histoires soviétiques de surveillance satellitaire.
Pour l’agriculteur du 21e siècle, ce n’est pas de la surveillance, c’est de la toute-puissance technologique simplement mal utilisée.
Vous vous payez un Iphone à 1,000 euros en pensant épater les gonzesses, l’agriculteur se paye un tracteur au prix d’une maison avec un système de navigation hyper sophistiqué pour récolter du blé au centimètre près.
Il y a des fans de tunning et il y a des fans de tracteurs.
Les agriculteurs sont des fans de tracteurs, de moissonneuses et d’engins énormes en général. S’endetter énormément pour en acquérir est leur raison d’être.
Ils adorent bloquer les routes avec ces énormes machines, surtout l’été.
Ils en collectionnent même des maquettes.
Ce n’est ni mal, ni bien, c’est un autre univers.
Le paysan de jadis qui vit dans la tête de l’urbain de droite – ou de gauche – est aussi représentatif du monde paysan actuel qu’un producteur de beuh peut l’être.
On en trouve. Un ou deux, dans l’Armorique profonde. Les écolo-gauchistes des grandes villes en font des films, avec des étoiles dans les yeux.
La chose qui s’en rapproche le plus sont des néo-ruraux venus à la terre par l’écolo-marxisme. Ceux-là ont contracté la maladie auto-immune de l’enracinement sans-frontiériste.
C’est le blut und boden national socialiste, mais revu et corrigé par les zadistes.
C’est une reconstruction du cerveau sur la base de théories marxistes hétérodoxes appliquées au monde rural.
Cette clique se coagule dans la Confédération Paysanne. Au programme, anarcho-communisme agraire, aide aux migrants et, c’est assez drôle, préservation nationale-socialiste des éco-systèmes jusqu’au fascisme assumé.
Là aussi, ils se cachent en Bretagne, bien qu’aucun, ou presque, ne soit breton. À Trémargat, dans les Côtes d’Armor, un soviet s’est formé il y a des décennies déjà.
Bien que les habitants ne l’étalent pas excessivement, c’est une base arrière de l’immigration clandestine dans la région.
Tout ça est extraordinairement dogmatique. Les races anciennes d’animaux qu’ils veulent préserver sont généralement des fins de race. Elles sont si étroites numériquement que les élever consiste à entretenir une ultra consanguinité, plus grave encore que celle qui sévit en Algérie. Cela produit des abeilles ou des poules totalement tarées, objectivement finies selon les lois darwiniennes.
C’est là que le constructivisme de gauche joue à fond : en fait de conservation, ils luttent contre les lois de la sélection, quitte à sauver des choses catastrophiques. Mais les écolo-marxistes, avec leur posture biologique ultra-réactionnaire, y tiennent férocement.
Ils vous tueraient volontiers pour sauver une race tarée d’abeilles qui essaime n’importe quand.
Quand on leur demande pourquoi ils veulent préserver une race de poules ancienne, mais métisser l’humanité, ils cessent de fonctionner.
Vous avez donc le choix entre le manager de la FNSEA, esclave des financiers juifs, et Cédric Herrou, esclave des financiers juifs.
Le type de base de la FNSEA se fout énormément de ravager les éco-systèmes, parce que son monde est régi par le nombre de chevaux de son tracteur. En ce sens, ils sont vraiment paysans, parce qu’ils peuvent vous éclater des châtons à mains nues simplement parce que ça les amuse.
Ils le font d’ailleurs.
Ils aiment aussi pousser l’exploitant voisin au suicide pour récupérer ses terres et accélérer la concentration turbo capitaliste des terres que leur dicte le cartel auquel ils appartiennent.
C’est le véritable monde paysan, violent, cruel, égoïste, hypocrite, calculateur, suicidaire, alcoolique. Ce sera toujours ça, le vrai monde paysan.
De temps en temps, le paysan réel débarque dans la réalité urbaine et les déracinés découvrent la brutalité millénaire de ce monde.
Éventrer un sanglier choque ces gens, mais pas leur consommation annuelle de viande
N’importe quel paysan égorge son cochon.
Il ne bouffera pas ce qu’il produit pour la masse des villes.
Cette violence naturelle jusqu’à la connerie, inséparable de l’ADN paysan, pose problème aux narines sensibles des urbains domestiqués.
Être en colère oui, se révolter non.
La masse urbaine qui manifeste par procuration, via ses écrans, s’énerve : pourquoi ne pas filer le fruit du pillage aux nègres entretenus par les « restos du coeur » ? Rassurons-les : la France le fait déjà en Afrique.
Les agri-managers ne veulent pas quitter le système, ils se plaignent des conséquences logiques du système auquel ils appartiennent tout en voulant s’y intégrer encore plus totalement. Un système soviétisé, mais libre-échangiste, qui considère les agriculteurs exactement comme les agriculteurs considèrent leurs bovins : de la viande à abattre pour une poignée de cash.
Parfois il en manque, parfois il y en a trop. Ce n’est pas le marché qui fait la loi, mais la bureaucratie qui décide de qui euthanasier, sur critères politiques.
L’agriculteur contemporain ne peut pas être révolutionnaire car son horizon se borne aux limites de sa propriété foncière. S’il fait son beurre, le monde peut s’effondrer autour de lui et surtout, de préférence, sur le voisin dont il lorgne les terres.
C’est son expérience catégorielle, il ne peut pas la dépasser. Il ne bouge que lorsque l’éco-système bureaucratique unique et centralisé auquel il appartient est en difficulté et l’affecte personnellement, lui, sur sa terre.
Pour une révolution paysanne, il faut un peu plus que 600,000 personnes pour un pays de 68 millions d’habitants – soit moins de 1% du total. Le temps des révoltes paysannes appartient au passé, quand ils représentaient une masse considérable. Aujourd’hui, ils sont une nuisance de quelques centaines de tracteurs, au mieux, devant une grosse préfecture.
Ils peuvent casser, voire tuer quelques flics, mais pas rien renverser.
L’idée ne leur vient même pas.
C’est, au sens strict, une jacquerie.
Seuls, les paysans n’ont jamais été une force révolutionnaire. Ils sont une force contestataire qui sert de réservoir de violence au profit d’autres, aux visées plus larges.
Pour peu que l’on sache s’en servir.
Regardez un peu ça. Ils ne sont pas en reste de blagues sur les fiottes, mais un euro reste un euro. Si le juif Attal peut se faire mousser en libérateur des paysans insurgés, ils seront très heureux de l’aider, moyennant une poignée d’écus.
Tout ceci pour dire que la conscience révolutionnaire n’est pas subordonnée à l’heure à laquelle on se lève le matin, même si ça peut y contribuer.
La constitution d’une conscience révolutionnaire nécessite un effort identique à celui de l’athlète sur plan radicalement différent. Livré à lui-même, le paysan ne peut, ni veut rien de plus que lui-même. Sa violence est éruptive, subite, feu de paille.
Il y a un ennoblissement au contact de la terre, mais ce contact ne fait pas de l’homme un révolutionnaire. Au mieux, un patriarche précautionneux, ce qui n’est certes pas si mal dans l’environnement actuel.
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Un avenir brillant grâce aux énergies renouvelables
Vous êtes-vous déjà demandé comment les énergies renouvelables peuvent transformer notre monde ? Plongeons ensemble dans cet univers prometteur et découvrons comment ces sources d'énergie peuvent façonner notre avenir. Les énergies renouvelables : une révolution énergétique Les énergies renouvelables sont des sources d'énergie inépuisables et respectueuses de l'environnement, qui peuvent réduire notre dépendance aux combustibles fossiles. Parmi les principales formes d'énergies renouvelables, on retrouve l'énergie solaire, éolienne, hydraulique, géothermique et biomasse. Le potentiel solaire L'énergie solaire est une source d'énergie propre et abondante qui peut être captée grâce à des panneaux solaires installés sur les toits ou les façades des bâtiments. En plus d'être écologique, l'énergie solaire peut également vous permettre de réaliser des économies sur vos factures d'électricité. L'énergie éolienne : un souffle d'air frais L'énergie éolienne est produite grâce aux vents qui font tourner les pales des éoliennes. C'est une source d'énergie renouvelable qui prend de l'ampleur, notamment grâce à la construction de parcs éoliens offshore. L'énergie éolienne est également une alternative intéressante pour les régions où le soleil se fait plus discret. Transformer notre quotidien avec les énergies renouvelables Les énergies renouvelables ne se limitent pas à la production d'électricité. Elles peuvent également être utilisées pour chauffer nos maisons, alimenter nos véhicules et même cuisiner. Le chauffage écologique Les pompes à chaleur sont une solution de chauffage écologique qui utilisent l'énergie géothermique ou aérothermique. Elles sont de plus en plus populaires auprès des ménages soucieux de réduire leur empreinte carbone et leurs dépenses énergétiques. La mobilité verte Les véhicules électriques et hybrides sont une alternative aux voitures à essence et diesel. Ces véhicules utilisent des batteries rechargeables grâce à l'électricité produite par les énergies renouvelables, réduisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre. Cuisiner à l'énergie renouvelable Le biogaz est une source d'énergie renouvelable produite à partir de la décomposition de matières organiques. Il peut être utilisé pour alimenter des cuisinières, des chauffe-eau et même des réfrigérateurs. Les bénéfices pour notre planète et notre santé L'adoption des énergies renouvelables présente de nombreux avantages pour notre planète et notre santé. Lutter contre le changement climatique En réduisant notre dépendance aux combustibles fossiles, les énergies renouvelables contribuent à la diminution des émissions de gaz à effet de serre, responsables du réchauffement climatique. Améliorer la qualité de l'air Les énergies renouvelables n'émettent pas de polluants atmosphériques, contrairement aux combustibles fossiles. En adoptant ces sources d'énergie, nous contribuons à améliorer la qualité del'air que nous respirons, réduisant ainsi les risques de maladies respiratoires. Créer des emplois locaux Le développement des énergies renouvelables crée de nouveaux emplois locaux dans des domaines tels que la construction, l'installation et la maintenance des équipements. Cela peut également stimuler l'économie locale et réduire notre dépendance aux importations d'énergie. A lire également : La déforestation démasquée : impact invisible sur la biodiversité Faites la différence et contribuez à un avenir plus durable Vous êtes convaincu que les énergies renouvelables sont l'avenir ? Vous êtes prêt à passer à l'action et contribuer à ce changement ? Voici quelques gestes simples que vous pouvez faire au quotidien : - Installer des panneaux solaires ou participer à des projets de communauté solaire - Utiliser les transports en commun, le vélo ou la marche plutôt que la voiture - Opter pour des appareils économes en énergie - Réduire votre consommation d'eau et d'électricité En adoptant ces habitudes, vous pouvez faire la différence et contribuer à un avenir plus durable et respectueux de notre planète. En conclusion, les énergies renouvelables sont une solution prometteuse pour répondre à nos besoins énergétiques tout en réduisant notre impact sur l'environnement. Que ce soit pour la production d'électricité, le chauffage, les transports ou l'alimentation, ces sources d'énergie peuvent transformer notre quotidien et assurer un avenir durable pour tous. Il est temps de passer à l'action et de contribuer à ce changement positif. Read the full article
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ACT 71 suite
tableau 3. chants des casseroles
vivre sans manger ni boire oui c'est possible remplace tous les repas par l'inhalation d'un gaz hautement nutritif le E2450 j'ai la formule un disque dur trouvé dans la tombe d'un alchimiste altruiste mélange savant de sylphes et de sylphides un spray nasal de 550 ml à se vaporiser le soir efficacité trente jours fabrication artisanale laissez vos coordonnées première commande tarif moins 50 % non c'est pas chimique c'est du biogaz j'ai essayé ça marche donc plus de digestion difficile plus de constipation plus de rétention urinaire bientôt l'homme sans boyau plus de conquêtes territoriales plus de vaches égorgées plus d'arrachage de légumes plus le cri de la carotte plus le cri de la frite plus le cri de la grappe avec ce gaz je peux supprimer la faim donc la guerre dans le monde hélas les lobbies pharmaceutiques n'en veulent pas regrets éternels donc allons y pour des siècles pipi caca cimetière archives ouvertes il en a fallu du temps pour apprendre le langage des signes entre 4 heures et 5 on bouffe place à la grande ripaille acte 1 mâchoires en mouvement dentiers d'occasion prélude ballet alimentaire entrée des artistes mimes dans tous leurs états morts et résurrections expressions corporelles des ci gît ballerines quelle est l'histoire de la bayadère comment se terminera la danse à la fois silence et action danse des fous tarentelle saint guy slam cimetière habits du dimanche coutumes entre proprios locataires sdf entre dehors dedans sac de billes pour les petits agates dans le panier osselets à la récré lieu alternatif du consommable qui se ressemble s'assemble entrée morue en gelée hors d’œuvre faisane farcie tête de vache gribiche poisson frit à l'antillaise qui aime la choucroute royale couscous royal offert crème glacée cimetière en fête banquet gastronomique pour tous vivants morts morts agités les presque morts vivants les jamais vivants gueuleton 5 méga chaudrons feu de bois arbres entiers 3 truies de réforme 230 kg pièce boudins caillettes à l'oseille saucisses lard double jambonneaux côtelettes plates choux pommés choux farcis choux verts choux cabus choux cœur de bœuf choux blanc choux frisés ébullition une vache à la broche qui tourne une édentée irréversible sur son ballet un demi veau à la crème tourtes tartes omelette géante marlin farci le temps passé lèvres pincées je me souviens vous c'est vous l'amant de l'amant vous n'avez pas changé cousinade après des siècles dans mes bras pépé mémé frères sœurs ne m'oubliez pas testament ouvert morts vivants bras dessus bras dessous leurs jambes deviennent des bâtons calcification généralisée cinq méduses vol plein sud escadrille furtive allegrissimo des ombres enflammées rires fous sans le dire plus de retenues pouffe l'agonisante joyeux baptême bénitier de mer déborde de vin rouge bière ambrée pour les communiantes gnôle à la poire dort mon bébé trois fûts de 120 litres à finir ça danse ça se frôle ça se touche ça s'embrasse ça se saute ça colle plus de retenue creusant leurs tombes avec leurs fourchettes panses éclatantes la goinfrerie universelle l'amour la haine on s'en fout youpi du caviar russe louches à ras bord un orgasme à chaque grain couillons pas des œufs noirs de poissons mais des caméras miniatures dans vos assiettes vous mangez donc vous êtes filmés souriez bouches pleines à crever sourires éclatants caméras partout justice nulle part boite de pois chiche ne pas ouvrir paquet de chips ne pas ouvrir petits pois carottes danger pilules nutritives mines boites de chocolat boule en fusion fond sur la langue mangue sur l'arbre noyau terroriste
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Biométhanisation / organibac, pour vos restes de table, une fausse bonne idée?
Je vais commencer par énoncer que je composte dans ma cour arrière depuis plus de 15 ans, grâce à des composteurs fabriqués avec des matériaux de récupération. Je n’ai pas attendu l’année 2017. Lisez d’ailleurs mes chroniques « Comment fabriquer un composteur » et celle « Comment composter » pour davantage de détails.
La biométhanisation demeure une excellente option pour le traitement des extrants à l’instar des boues municipales (les solides qui sortent des égouts et stations d’épuration…), des ordures ménagères, des fumiers et lisiers agricoles, des rejets des grandes fromageries, de toute autre structure d’ampleur industrielle. Nous parlons ici dans cette chronique de la biométhanisation avec organibac et collectes pour les résidents de municipalités participant via leur MRC à ces programmes. On exclut donc de l’analyse le processus naturel du compostage, pratiqué par certaines municipalités et particuliers.
À comparer, sachez qu’une année de compostage pour une famille de 4 personnes ne « rapporte » que quelques dizaines de litres de compost en volume, soit une ou deux brouettes. Le rendement n’est pas extraordinaire, c’est comme faire cuire des épinards!
En introduction, je vais vous narrer rapidement comment fonctionne cette biométhanisation résidentielle. En tant que citoyen responsable, vous déposez votre peau de banane dans votre organibac, gros bac en plastique ayant généré des GES pour sa fabrication et son transport, mais c’est un détail. En plus, vous avez le sentiment du devoir accompli. Un camion de collecte, consommant entre 30 et 40 litres de diesel aux 100 km, vient donc vider hebdomadairement ou aux deux semaines (exemples de collectes) votre bac quasiment vide la plupart du temps. Dans mon secteur géré par la SEMECS, qui « dessert ainsi les territoires des trois MRC fondatrices, comprenant 27 municipalités, pour une population d’environ 235 000 personnes », ladite peau de banane parcourrait donc 40 km pour commencer.
Ce beau camion de couleur vert-écolo et fonctionnant aux énergies fossiles arrive ensuite à l’usine bétonnée pour décharger sa cargaison (voir photo ci-dessus de celle de Verchères ayant coûté 57,8 millions pour seulement la construction en 2016). Mentionnons que l’usine est construite/maintenue avec l’argent des taxes des contribuables à l’année longue. Cette matière est broyée puis triée avec de la machinerie spécifique (qu’il faut aussi payer et entretenir), puisque tous les résidents ne sont pas scrupuleux à propos de leurs matières. Ce qui ne part pas à un site d’enfouissement après le tri est placé ensuite dans un réacteur électrique, autrement appelé biodigesteur, pour demeurer politiquement correct. Celui-ci chauffe la peau de banane à 35 degrés Celsius et plus en absence d��oxygène, dans un processus dit de digestion anaérobie, comme pour un estomac. Certaines technologies permettent de fonctionner à partir de 20 degrés pour les matières industrielles, ce qui limite les coûts de fonctionnement. Le réacteur fonctionne avec de l’énergie externe, bien entendu.
Une fois la peau de banane voyageuse broyée et bien cuite, est-ce que le biogaz généré est directement exploitable? Ben non! Le méthane, qui sera vendu et réinjecté dans le réseau de l’utilité publique locale ou utilisé à d’autres applications, ne compose typiquement que les deux tiers du biogaz. Ce biogaz ainsi produit après moults efforts et opérations coûteuses, doit être conséquemment purifié avec aussi moultes quincailleries et technologies. Le CO2, typiquement le tiers du volume brut du biogaz initial, doit aussi être capté et neutralisé. Finalement, les déchets organiques non transformés en gaz forment le digestat, et sont utilisés comme fertilisant par certains agriculteurs, ce qui génère encore du transport avec de la grosse machinerie diesel. Mais le digestat peut aussi poser des problèmes, comme dans le cas de l’usine de Saint-Hyacinthe.
Au cours de ce beau processus, on reproduit ainsi une énergie fossile (méthane) dont l’humanité doit se débarrasser au nom de l’urgence climatique. Les génies marketing des compagnies de distribution gazière, à l’instar de Gaz Métro – Énergir, évoqueront le « gaz naturel renouvelable ». Quelle fumisterie doublée d’une plaisanterie grotesque. Globalement, le pouvoir de réchauffement du méthane est 28 fois plus élevé que celui du CO2. De plus, « le GIEC estime ainsi que l'impact d'une unité de masse de méthane sur le climat est équivalent à 84 fois celui du CO2 sur une durée de 20 ans ». Mais rassurons-nous, brûler du soi-disant « gaz naturel » est moins polluant que de brûler du charbon, soit 2 fois moins. Énergir dispose ici d’un bel argument publicitaire dont il pourrait se prévaloir!
J’en pense donc que les bacs bruns avec biométhanisation tout au bout de la route constituent un non-sens économique et environnemental. Je ne comprends pas comment les municipalités concernées ont embarqué dans de tels projets, plutôt que de développer leurs propres solutions de compostage municipal et local vertueuses pour l’environnement et la communauté, avec redistribution de compost aux citoyens participants.
Quand des usines ont été construites et que des contrats d’exploitation et de maintenance ont été signés à long terme, il est impossible de revenir en arrière, même si le système et l’emploi créés sont maintenus artificiellement avec l’argent des taxes. De plus, demander aux citoyens des municipalités de composter chez eux sur une base volontaire est tout autant impossible, connaissant les quelques contraintes de ce processus. De toute manière, l’impact de l’urgence climatique n’est pas encore compris, tant au Québec ou ailleurs, quand on consulte par exemple l’augmentation des ventes de camions à énergie fossile et autres dans la province ou l’augmentation continue des GES au niveau mondial.
En conclusion à la chronique, disons que l’organibac « biométhanisé », c’est juste mieux que rien.
Crédits photos : organibac, schéma de biométhanisation, réacteur d’avion.
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Du biogaz fabriqué à partir de... fiente de volaille
http://dlvr.it/StBmPS
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Redukcja, ponowne użycie i recykling
Niemal każde gospodarstwo domowe, firma i organizacja generuje jakąś formę odpadów. Odpady obejmują wszystkie materiały i substancje, które spełniły swoje zadanie i nie są już potrzebne, w tym opakowania, resztki żywności, papier biurowy, skrawki drewna, metale, szkło, tworzywa sztuczne i inne. Najpopularniejszym rodzajem odpadów są stałe odpady komunalne.
Wiele rodzajów odpadów można poddać recyklingowi lub ponownie wykorzystać. Niektóre z nich są przekształcane w energię w procesach termochemicznych lub biochemicznych, które mogą być wykorzystywane do dostarczania czystych i przyjaznych dla środowiska źródeł energii, takich jak energia elektryczna, biogaz i biometan. Inne są przekształcane w surowce do produkcji nowych produktów, takich jak plastikowe torby i butelki, materiały izolacyjne i kruszywa budowlane.
Odpady można również przekształcić w materiał przydatny w rolnictwie i leśnictwie, taki jak obornik lub kompost. Są to odpady biodegradowalne. Inne rodzaje odpadów są uważane za nienadające się do odzysku i trafiają na wysypiska śmieci. Mogą to być przedmioty, których nie można poddać recyklingowi, takie jak wyrzucone urządzenia elektroniczne i baterie oraz odpady ostre.
Najlepszym sposobem na zmniejszenie ilości odpadów jest zminimalizowanie ich wytwarzania. Można to zrobić poprzez praktykowanie 3 R: redukcja, ponowne użycie i recykling. Inne wskazówki dotyczące ograniczania ilości odpadów obejmują unikanie nadmiernej produkcji, wykorzystywanie materiałów pochodzących z recyklingu i materiałów organicznych, gdy tylko jest to możliwe, ograniczanie odległości, na jaką transportowane są odpady i nieutrzymywanie niepotrzebnych nadwyżek magazynowych.
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