#Bataille de Dunkerque
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Canon de 75 mm servi par des soldats français pour couvrir l'évacuation de Dunkerque (Opération Dynamo) face aux allemands - Bataille de Dunkerque - 28 mai 1940
#WWII#Bataille de France#Battle of France#Bataille de Dunkerque#Battle of Dunkirk#Opération Dynamo#Dynamo operation#Evacuation de Dunkerque#Dunkirk evacuation#Armée française#French army#Artillerie#Artillery#Artillerie de campagne#Field artillery#Canon de 75 mm#Dunkerque#Dunkirk#France#28/05/1940#05/1940#1940
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Remémorer vous la 2ème guerre mondiale. Ça me brise absolument le cœur. Je pense à mon propre arrière-grand-père lors de la bataille de Dunkerque en 1940. Et aujourd'hui quand je regarde ceux qui m'entoure je pense aux anciens et je me sens trahis. À quoi bon
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Soon les UA complets, avec des gays à la 1ere GM, des soldats dévoués les uns aux autres, des batailles, des zombies et des apocalypses... Hâte d'écrire tout ça et j'espère que vous kifferez
(bien sûr tt le monde ne mourra pas, je veux l'esthétique Dunkerque, ou du couple gay d'une autre époque)
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classement final de Ligue 2 : Les Bookmakers livrent leurs pronostics
La Ligue 2, longtemps considérée comme une pépinière de talents pour la Ligue 1, continue de nous étonner cette saison. Alors que les fans et les experts du football avaient leurs favoris en début de saison, les performances sur le terrain ont chamboulé les pronostics et les bookmakers ont dû ajuster leurs cotes en conséquence pour dresser le classement final de Ligue 2. L'ascension fulgurante de l'AJ Auxerre Les Girondins de Bordeaux, initialement favoris pour la première place en Ligue 2, ont vu leur position de leader s'évaporer au fil des semaines. C'est l'AJ Auxerre qui a créé la surprise en prenant les commandes du championnat, montrant une forme impressionnante et une détermination sans faille. Auxerre, dirigé par Jean-Marc Furlan, a été une véritable révélation cette saison. Avec un jeu offensif attrayant et une défense solide, leur montée en puissance est indiscutable et ne peut être ignorée. Voir aussi : - EA FC 24 : Les budgets des clubs de Ligue 1 et Ligue 2 dévoilés ! La résurgence de l'AS Saint-Étienne L'ASSE a également fait sensation cette saison en Ligue 2. Malgré leur récente relégation de la Ligue 1, les Verts ont montré qu'ils avaient les ressources nécessaires pour rebondir. Leurs performances solides leur ont permis de se maintenir dans le haut du classement, mettant ainsi la pression sur les autres prétendants au titre. Le club stéphanois, porté par une défense compacte et une attaque dynamique, a su rester dans la course au titre. Classement final de Ligue 2 : Laval, la surprise de la saison Une des surprises les plus marquantes de cette saison de Ligue 2 est l'équipe de Laval. Longtemps considérée comme un outsider, Laval a fait taire les sceptiques en se hissant en tête du classement. Leurs performances impressionnantes et leur esprit d'équipe indomptable les ont propulsés en tête du classement, faisant d'eux une équipe à surveiller de près. L'équipe de Laval, dirigée par un entraîneur ambitieux, a réussi à créer un environnement propice à la réussite. Troyes, Valenciennes, Quevilly-Rouen et Dunkerque en difficulté En revanche, la saison n'a pas été aussi clémente pour certains clubs. Troyes, Valenciennes, Quevilly-Rouen et Dunkerque ont tous rencontré des difficultés sur le terrain. Leur lutte pour éviter la relégation a été intense, et chaque point gagné est précieux dans cette bataille acharnée. Voir aussi : - Les Joueurs les plus chers de Ligue 2 : qui dominent le classement ? Le classement final de la Ligue 2 selon les bookmakers 1 - AJ Auxerre = 3,5 2 - AS Saint-Étienne = 4,5 3 - Angers SCO = 4,5 4 - Stade Lavallois = 6 5 - Grenoble Foot = 10 6 - Guingamp = 12 7 - AC Ajaccio = 15 8 - Girondins de Bordeaux = 15 9 - SM Caen = 20 10 - Rodez = 25 11 - ESTAC Troyes = 33 12 - SC Bastia = 50 13 - Amiens SC = 60 14 - Pau FC = 60 15 - Paris FC = 150 16 - FC Annecy = 150 17 - Concarneau = 200 18 - Quevilly-Rouen = 500 19 - Valenciennes FC = 750 20 - Dunkerque = 750 ________ Pour retrouver tous nos pronostics football, rendez-vous aussi sur notre page Facebook ou sur notre page Twitter. Read the full article
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• Découvre/Redécouvre les 20 secrets du film " Dunkerque " de Christopher Nolan ! •
Avec Dunkerque, Christopher Nolan trouve l'équilibre parfait entre le divertissement épique et la rigueur historique. Basé sur l'Opération Dynamo de 1940, son long métrage place le spectateur sur la plage de Dunkerque avec les soldats, sur le pont d'un voilier avec un des plaisanciers venus les secourir et dans le cockpit d'un Spitfire avec un des pilotes venus les protéger depuis les airs. Le film sort en salles ce 19 juillet.
1 – Une histoire vraie
Dunkerque raconte l'histoire vraie de l'Opération Dynamo qui a eu lieu pendant la Deuxième Guerre mondiale. Entre le 26 mai et le 4 juin 1940, plus de 300 000 soldats britanniques, français, belges et canadiens ont été évacués des plages de Dunkerque alors cernées par les Allemands. Ils ont été rapatriés grâce à une flotte de près de 800 bateaux, principalement de pêcheurs et de plaisanciers civils, qui ont traversés la Manche pour les sauver. Pour écrire son film, Christopher Nolan s'est inspiré du livre Forgotten voices of Dunkirk de Joshua Levine – devenu conseiller historique sur le film – mais aussi de témoignages de survivants et de documents collectés par le Musée impérial de la guerre britannique.
2 – 19 heures sur la Manche
Dans les années 90, déjà passionnés par l'Opération Dynamo, Christopher Nolan et sa femme – et productrice – Emma Thomas ont fait la traversée de la Manche jusqu'à Dunkerque sur un petit voilier, du même genre que ceux utilisés en 1940 pour secourir les soldats. La météo s'est vite dégradée et ce qui devait être un voyage d'agrément de 8 à 9 heures s'est transformé en un calvaire houleux de 19 heures. Mais au moins, comme aime le rappeler le réalisateur, ils ne naviguaient pas sous les bombes, eux.
3 – Dunkerque, bis
Ce n'est pas la première fois qu'un film s'inspire de l'Opération Dynamo. En 1958, Leslie Norman a réalisé Dunkerque avec John Mills et Richard Attenborough. Christopher Nolan pense que cet événement majeur dans l'histoire britannique n'a pas été plus souvent mis en scène parce qu'il ne s'agit pas d'une victoire ni même d'une bataille mais d'une défaite et qu'Hollywood ne s'intéresse pas aux défaites.
4 –Ce n'est pas un film de guerre
Christopher Nolan tient à préciser qu'il n'a pas tourné un film de guerre ni une histoire de survie mais un film à suspense, à la Alfred Hitchcock. Il s'appuie sur l'imagerie visuelle et les situations dans lesquels ses protagonistes sont plongés pour créer de la tension et de l'empathie. Outre les films d'Alfred Hitchcock, le réalisateur s'est inspiré d'Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg, de Speed de Jan de Bont, du Salaire de la peur de Henri-Georges Clouzot. Privilégiant l'image aux dialogues, il a également revu quelques classiques du muet comme Intolérance de D.W. Griffith et L'Aurore de Friedrich Wilhelm Murnau.
5 – Un casting entièrement masculin, ou presque
Film sur des soldats oblige, et parce qu'il se veut historiquement authentique et qu'il se concentre sur la seule Opération Dynamo, seules deux actrices sont créditées au générique contre une soixantaine d'acteurs : Miranda Nolan et Kim Hartman, respectivement la cousine et la tante de Christopher Nolan.
6 – Un jeune premier très connu
Christopher Nolan a casté Harry Styles sans savoir qu'il était mondialement connu en tant que chanteur, notamment des One Direction.
7 – Trois perspectives, trois temporalités
Christopher Nolan raconte son histoire de trois points de vue différents avec des personnages fictifs. La survie des militaires sur la plage est vue à travers les yeux d'un jeune soldat joué par Fionn Whitehead et dure une semaine. L'évacuation sur la Manche est vue à travers les yeux d'un plaisancier britannique incarné par Mark Rylance alors à bord de son voilier, le Moonstone, et dure une journée. Les combats aériens entre Anglais et Allemands sont vus à travers les yeux du pilote d'un Spitfire interprété par Tom Hardy et durent une heure. Le film est un montage de ces trois histoires qui s'entrecroisent.
8 – Trois lieux de tournage : sur terre
Pour atteindre l'authenticité désirée, le film est tourné sur les plages de Dunkerque et au mois de mai. La première étape pour accueillir le tournage a été de passer la zone au peigne fin pour s'assurer qu'aucun reste explosif de la guerre ne soit encore enfoui sous le sable. Rien n'a été trouvé. Le môle – un brise-lames en pierre où avait été ajoutée une structure blanche en bois qui permettait de décharger les cargaisons des bateaux – a ensuite été reconstruit à partir des ruines du môle de 1940. Comme à l'époque, une jetée de camions a aussi été créée : en 1940, les soldats avaient en effet eu l'idée de construire des jetées artisanales en alignant des camions dans l'eau, les uns à côté des autres.
9 – Trois lieux de tournage, bis : sur l'eau
La plupart des scènes à bord du Moonstone, l'un des voiliers civils, ont été filmées sur le lac artificiel Ijsselmeer aux Pays-Bas, sans marée mais avec quelques vagues et une profondeur de 3 ou 4 mètres. D'autres séquences aquatiques ont été filmées sur la Manche, près de Dunkerque, mais aussi sur le plateau n°16 des studios Warner en Californie – qui disposent de l'un des plus grands réservoirs d'eau au monde – ou encore à Falls Lake, aux studios Universal, toujours en Californie – pour le naufrage d'un bateau de 55 tonnes.
10 – Trois lieux de tournage, ter : dans les airs
Pour les combats aériens filmés au-dessus de la Manche, la production a loué trois Spitfire de la Royal Air Force d'époque —2 Mark 1 et un Mark 5—ainsi qu'un Spanish HA-1112 Buchón pour tenir lieu d'avions allemands ME-109 ou Messerschmitts. Christopher Nolan a effectué un vol à bord d'un Spitfire afin de comprendre l'expérience des pilotes car il voulait tout montrer de leur point de vue. Tout en utilisant des caméras IMAX. Un objectif pivotant, rappelant un périscope, a donc été conçu afin de pouvoir introduire la grosse caméra IMAX en position verticale dans les espaces très exigus des cockpits. Grâce à ce dispositif, l'équipe a pu tourner en vol à hauteur des yeux d'un pilote, regardant à travers la verrière.
11 – Ton lacet est mal fait
Christopher Nolan pousse l'authenticité historique à un degré extrême. Harry Styles raconte que le premier jour du tournage, quand il s'est montré en uniforme devant Christopher Nolan, le réalisateur l'a examiné de la tête aux pieds et lui a dit qu'il avait mal lacé ses bottes. Les soldats britanniques laçaient leurs bottes en boucles et non en croix.
12 – Une vraie armada
La production a utilisé quelques bateaux qui avaient participé à l'opération Dynamo et qui sont maintenus en bon état depuis cette époque par l'Association des petits bateaux de Dunkerque (The Association of Dunkirk Little Ships). Elle a également déniché des dizaines de navires d'époque, originaires de neuf pays différents, dont trois dragueurs de mines et un navire-hôpital. Elle a aussi récupéré le Maillé- Brézé, un contre-torpilleur français de 107 mètres de long. Ce bateau n'ayant plus de moteur, il a été remorqué depuis Nantes, où il faisait office de musée depuis 1991. Elle a également acheté un voilier cossu de 12 mètres, construit en 1939, pour camper le Moonstone. Elle a enfin trouvé un vieux bateau des garde-côtes de Rotterdam, long de 60 mètres, qui a été transformé en contre-torpilleur avec des canons et des tours adaptés à la bonne échelle. Le jour du tournage en mer le plus chargé, il n'y avait 62 bateaux réunis dans la Manche.
13 – D'une Mercedes à un catamaran
Pour que le spectateur fasse l'expérience du roulis des bateaux, Christopher Nolan a suivi les conseils de Steven Spielberg et de Ron Howard et utilisé autant que possible la caméra à l'épaule. Mais le réalisateur a aussi utilisé son dispositif de caméra télescopique et rotative de 8 mètres de long baptisé la Grue. Il s'en était servi auparavant pour filmer les scènes de poursuite en voitures de sa trilogie The Dark Knight en le fixant sur un SUV Mercedes. Cette fois, la Grue a été installée à l'avant d'un gros catamaran très léger, rapide, facile à manœuvrer et capable de suivre le rythme des autres bateaux et les filmer de très près.
14 – Tous dans le même bain
Pendant le tournage, les techniciens de différents départements devaient être aussi présents sur l'eau, avec leur propre flottille. Outre les bateaux de tournage, il y avait ainsi des canots de sauvetage, des embarcations pour les maquilleurs/coiffeurs, d'autres transportant les costumes... Même les repas étaient acheminés sur l'eau aux acteurs et à l'équipe technique.
15 – Quelques entorses à l'authenticité
Pour des raisons dramaturgiques, Christopher Nolan a pris quelques libertés avec la vérité historique. Par exemple, dans son film, les ME-109 Messerschmitt ont un nez jaune, alors qu'à ce moment-là de la guerre, ils n'étaient pas encore peints de la sorte. Mais cela permet aux spectateurs de mieux distinguer l'ennemi des Spitfire.
16 – Acrobaties aériennes
Un Yak-52, un avion soviétique deux places assez semblable au Spitfire, a été aménagé en avion de chasse britannique pour filmer les gros plans des acteurs dans le cockpit. Une plate-forme a été conçue permettant à une caméra IMAX d'être fixée sur le Yak en toute sécurité et ainsi filmer les gros plans sous différents angles, en changeant la caméra de place, alors même que l'appareil était encore en l'air.
17 – Ni fond vert, ni fond bleu
Toutes les scènes de cockpit avec Tom Hardy et Jack Lowden n'ont pu être tournées en vol. Certaines d'entre elles ont été filmées sur un plateau mais Christopher Nolan ne voulant utiliser ni fond vert ni fond bleu tout en ayant à chaque fois en arrière-plan de l'eau, à une altitude appropriée, avec un vrai ciel et de la lumière naturelle, il a obtenu l'autorisation de monter un cardan sur lequel était fixé le cockpit d'un Spitfire dans un espace réservé aux garde-côtes américains, sur une falaise de Palos Verdes, en Californie. Le réalisateur avait ainsi une plate-forme en hauteur, d'où il pouvait filmer les acteurs en train de piloter l'avion et obtenir une matière réelle à monter avec les séquences tournées en plein vol.
18 – De l'avantage de la pellicule sur le digital
Pour le crash en mer d'un Spitfire, une réplique de l'appareil a été construite. Une caméra IMAX y a été attachée pour filmer l'accident. L'avion et la caméra ont cependant coulé plus vite que prévu. Quand la caméra a été retrouvée, après quelques heures de recherche, elle était noyée dans sa house imperméable trouée. L'équipe a sorti le film de la caméra mais l'a gardé humide jusqu'à son développement à Los Angeles. Les images qui en ont été tirées se sont avérées parfaites. Ce qui n'aurait pu être possible avec une caméra digitale.
19 – L'harmonie entre la musique et les sons
Le film est une course contre la montre et le compositeur Hans Zimmer a intégré le tic-tac de la montre de Christopher Nolan dans sa bande originale. Il a aussi synthétisé et mixé les bruits de moteur du Moonstone et de quelques autres bateaux.
20 – Imax et 65 mm
75% du film ont été tournés avec une caméra IMAX. Le seul défaut que Christopher Nolan trouve à cette caméra est son bruit qui gêne l'enregistrement en direct des dialogues. Comme le réalisateur n'aime pas les raccords en postsynchronisation – car la performance des acteurs perd alors de sa force – il a utilisé une autre caméra et un autre format – le 65 mm à 5 perforations – pour enregistrer les dialogues. C'était le format utilisé par David Lean pour Lawrence d'Arabie.
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La bataille de Dunkerque : Victoire de Turenne
Sous le règne de Louis XIV, la bataille de Dunkerque fut un événement d’une grande importance militaire et politique. Opposant les forces françaises et anglaises dirigées par le brillant stratège Turenne à l’armée espagnole et celle du prince de Condé et de don Juan d’Autriche, cette bataille marqua un tournant majeur dans l’histoire européenne. Grâce à ses talents de commandant et à sa tactique…
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“N’ayant plus de munitions, stoîques sous la pluie de bombes des avions allemande, ces soldats de l'infanterie de marine française chargés d'une batterie de D.C.A. furent parmi les derniers à évacuer Dunkerque.” - from L’Illustration Nouvelle. June 19, 1940. Page 12.
#world war II#troupes de marine#armée française#dunkirk#dunkerque#miracle of dunkirk#last one out#french marine infantry#republique française#bataille de france#fall of france#battle of france
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14 juin 1658 : bataille des Dunes remportée par Turenne sur les Espagnols ➽ https://j.mp/30J0dMI Le cardinal Mazarin, conformément au traité fait avec Cromwell, entreprit le siège de Dunkerque. Turenne, chargé de cette opération, eut sous ses ordres, indépendamment des troupes françaises, un corps anglais de 6000 hommes, qui avaient fait la guerre de la révolution
#CeJourLà#14Juin#bataille#Dunes#Dunkerque#siège#Turenne#armée#française#Français#Espagnols#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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Les critiques d’Elly, c’est parti! Aujourd’hui, Midway, de Roland Emmerich.
Midway raconte donc l’histoire de la bataille de Midway, victoire stratégique des américains après la tragédie Pearl Harbor. Midway raconte, surtout, les décisions qui ont mené à cette victoire américaine.
Je ne suis pas fan des films de guerre de manière générale. Beaucoup trop de testostérone et de “regardez nos valeureux soldats”. Mais! J’ai beaucoup apprécié Midway pour trois raisons. La première c’est qu’on se place majoritairement du côté américain, mais on voit quand même le côté japonais. On humanise les japonais, on montre des soldats honorables, pas juste des ennemis à abattre. Ils ne sont ni plus ni moins humains que les américains. Ensuite, on ne montre pas les américains comme des héros invulnérables. Le film commence sur Pearl Harbor, et on comprend que l’Etat Major a merdé à ce moment-là. On montre aussi la faiblesse de ces personnages, et le personnage qu’on peut considérer comme principal a un comportement qu’on peut trouver discutable. Enfin, c’est un film qui s’axe aussi sur la stratégie de la guerre et la chance. Toute une partie du film est dédiée aux espions américains, les “codes crackers”, qui ont été décisifs dans la victoire. La guerre ne se joue pas que sur le champ de bataille (ici, la mer et le ciel), elle se joue aussi grâce à l’information, et j’ai trouvé ce focus intéressant. En plus de cela, Midway bénéficie d’un casting fantastique. Je n’aime pas Ed Skrein mais il ne m’a pas particulièrement déplu ici. Surtout, j’ai retrouvé avec plaisir Patrick Wilson, Woody Harrelson, Mandy Moore, Dennis Quaid, Darren Criss, sans compter un ptit caméo de David Hewlett (qui a joué dans Stargate Atlantis, une de mes séries préférées). Et....Nick Jonas. Oui, ce Nick Jonas. Comme quoi après Harry Styles dans Dunkerque, y’a un truc avec les films de guerre et les chanteurs de boys bands. Pas mon film préféré, clairement, mais un moment agréable, bien joué, avec de la tension et une perspective que je trouve un peu différente sur ce genre.
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en travaux (image pour illustrer)
Dans ce post, vous trouverez le contexte de Protego Maxima, ainsi que sa chronologie détaillée. Nous tenons à rappeler que le contexte a été rédigé par Liebkraft, non exieris & Oreflam Rouge que nous remercions chaleureusement et que la chronologie a été écrite quant à elle par Liebkraft & Oreflam Rouge.
JUIN 1940. OPÉRATION DYNAMO - L’heure est au sauve-qui-peut. Des milliers de nés-moldus britanniques enrôlés de force battent en retraite et quittent les côtes françaises. A leur suite, des ressortissants de France et de Belgique fuient le conflit et rejoignent la Grande-Bretagne par la mer. DÈS JUILLET 1940 - devant le Ministère de la magie, fleurissent des manifestations en faveur de la levée partielle du secret magique. On demande aux sorciers de sortir de leur réserve et d’aider à l’effort de guerre moldu. Les protestations sont tout d’abord réprimées violemment. Devant l’animosité croissante du peuple face à ces méthodes brutales, le Ministère prend deux décisions. Les enfants, les vieillards et le personnel non-essentiel est évacué de Londres vers Poudlard. Certains refusent. Il crée également le Local Defense Volunteers où sont conscrits les nés-moldus, chômeurs et hybrides. Le mot d’ordre est simple – qu’ils défendent Londres face aux exactions de leurs pairs ! LONDRES, AOÛT 1940, ÉPOQUE ACTUELLE - La chaleur est étouffante, les rues vides, le silence pesant. Pour ceux qui restent, le sentiment de fin du monde est palpable. Les esprits s’échauffent à cause de la guerre d’abord, puis des élections sorcières. Elles attisent les antagonismes autour de la question moldue. Si certains veulent les voir comme égaux, beaucoup les considèrent encore comme de la vermine. Des citoyens de seconde zone. Les débats s’échauffent et des duels opposent même parfois les différentes factions politiques. Le chaos est en marche.
1918 - Après le 11 Novembre, des milliers de nés-moldus rentrent au Royaume-Uni blessés et traumatisés. Devenus invalides pour certains, ils vivotent aux marges du monde magique et moldus sans jamais trouver de place. Bon nombre de moldus et de sorciers font la promesse que la Première Guerre Mondiale serait la « La Der des Ders ». Les Hommes, dégoûtés par l’horreur et la violence des combats, ne souhaitent pas prendre le risque de remettre l’Europe à feu et à sang. 1929 - Le Krach Boursier plonge de nombreuses familles sorcières dans la misère. Au départ, circonscrite aux Etats Unis, cette crise touche rapidement le continent européen. Chez les sorciers, la grogne monte. Pour une frange radicale de population, le moldu est désigné d’office comme la source de tous les problèmes. Certains établissements se mettent à refuser la présence de leurs descendants directs. Aussi peut-on lire sur les devantures d’une poignée de commerces : « Interdit aux nés-moldus et aux animaux de compagnie ». La situation économique désastreuse de la Grande-Bretagne entraîne de nombreux mouvements sociaux et permet la création du Communist Party of Great Britain. Les sorciers, notamment les nés-moldus, s’engagent auprès de l’Internationale Communiste des Sorciers et Sorcières Engagée pour le Progrès Social et Humain. Ces derniers défendent la levée partielle du secret magique au nom de la solidarité et l’intégration des nés-moldus dans la société.
La chronologie détaillée de Protego Maxima ci-dessous vous permet de mieux vous imprégner du contexte et de comprendre les évènements du passé qui ont amené la situation actuelle.
1936 - Lorsque la guerre civile espagnole éclate, de nombreux sorciers – devant la passivité du gouvernement de Chamberlain et le Ministre sorcier - rejoignent la péninsule ibérique pour défendre leur idéal de liberté et de fraternité. Ils se battent de concert avec leurs camarades moldus et prennent le maquis face aux forces franquistes. Certains y perdent la vie, les autres rentrent, vaincus. En Albion, ils sonnent l’alarme et préviennent leurs contemporains de l’imminence d’un conflit sanglant. Peu les écoute. 1939 - Le 3 septembre, le Royaume-Uni déclare la guerre à l’Allemagne. Les nés-moldus mâles et certains hybrides sont enrôlés sous conscription comme 8 millions d’autres britanniques. Les soldats envoyés sur le front français et ayant survécu à la déroute sont évacués du 21 mai 1940 au 4 juin 1940 lors de la bataille de Dunkerque. 338 226 hommes dont 120 000 français et belges rejoignent alors, les côtes britanniques, sains et saufs. Les sorciers rescapés sont pointés du doigt et l’antagonisme entre les pro nés-moldus et ceux qui privilégient la valeur du sang monte d’un cran. Le Ministère de la Magie impose le Local Defense Volunteers (LDV) aux nés-moldus, aux chômeurs et aux hybrides afin d’assurer la défense de la cité. L’évacuation des personnes non-combattantes commence. 1940 - A la fin août, les enfants et les personnes jugées fragiles sont d’ores et déjà évacués vers Poudlard, qui adopte des allures de camps de réfugiés. A Londres, les élections se préparent dans une tension palpable. Le Conservative Magical Party (CMP) au pouvoir, qui défend une politique protectionniste, sait sa place remise en jeu. Les partisans de la Wizarding Socialist Union, menés par Albus Dumbledore (WSU ou Union), multiplient les actions coup de poing et les manifestations devant le Ministère de la Magie afin de forcer le Ministère à faire ingérence dans les affaires moldues. En opposition, les membres de la League for Magical Dominion (LMD ou Ligue), dirigés par Gellert Grindelwald, militent pour l’ostracisation des nés-moldus, leur renvoi dans le monde non-maj et prône la disparition du secret magique. Face à la montée des enjeux, une voix émerge des ténèbres. Elle se fait appeler Vox Populiet enjoint les londoniens à prendre les armes auprès de leurs frères moldus. Il s’agit d’une radio pirate de l’Union. 30 AOÛT 1940 - L'ouverture de la fête foraine, dans le comté des Plaines des Augureys, tourne à la foire d'empoigne suite à un discours du porte parole de la CMP. Coupables ou non, les sentences sont distribuées à la pelle : amendes, garde à vue de 24h ou même jours de conscription à la LDV. 7 SEPTEMBRE 1940 - Un sifflement encore inconnu déchire le silence. Une nuée d'avions allemands déferle sur Londres, lâchant leur cargaison explosive. C'est le début du Blitzkrieg, et de journées de bombardements intenses.
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Heinkel He 111 du 26e escadron de bombardiers (Kampfgeschwader 26 “Löwen”) abattu au retour d'un raid sur l'Angleterre et désossé par des mécaniciens de la Luftwaffe – Plage près de Dunkerque – Eté 1940
#WWII#Bataille d'Angleterre#Luftwaffe#26e Escadron de bombardiers Löwen#Kampfgeschwader 26 Löwen#KG26#Aviation militaire#Bombardier#Bombardier moyen#Heinkel He 111#Dunkerque#France#1940
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Mars MMXX
Films
Butch Cassidy et le Kid (Butch Cassidy and the Sundance Kid) (1969) de George Roy Hill avec Paul Newman, Robert Redford et Katharine Ross
La Jeune Fille à la perle (Girl with the Pearl Earring) (2003) de Peter Webber avec Scarlett Johansson et Colin Firth
De Gaulle (2020) de Gabriel Le Bomin avec Lambert Wilson, Isabelle Carré et Olivier Gourmet
Dunkerque (Dunkirk) (2017) de Christopher Nolan avec Fionn Whitehead, Tom Glynn-Carney et Jack Lowden
On ne vit que deux fois (You Only Live Twice) (1967) de Lewis Gilbert avec Sean Connery, Tetsurō Tanba et Donald Pleasence
Mais où est donc passée la septième compagnie ? (1973) de Robert Lamoureux avec Pierre Mondy, Jean Lefebvre et Aldo Maccione
Goldfinger (1964) de Guy Hamilton avec Sean Connery, Honor Blackman et Gert Fröbe
Walk the Line (2005) de James Mangold avec Joaquin Phoenix et Reese Witherspoon
Tootsie (1982) de Sydney Pollack avec Dustin Hoffman, Jessica Lange et Bill Murray
Astérix : Le Domaine des dieux (2014) de Alexandre Astier et Louis Clichy avec Roger Carel, Guillaume Briat et Lorànt Deutsch
Astérix et Cléopâtre (1968) de René Goscinny et Albert Uderzo avec Roger Carel, Jacques Morel et Micheline Dax
On a retrouvé la 7e compagnie (1975) de Robert Lamoureux avec Pierre Mondy, Jean Lefebvre et Henri Guybet
Un éléphant ça trompe énormément (1976) de Yves Robert avec Jean Rochefort, Claude Brasseur, Guy Bedos, Victor Lanoux et Anny Duperey
Astérix chez les Bretons (1986) de Pino Van Lamsweerde avec Roger Carel, Pierre Tornade et Serge Sauvion
Nous irons tous au paradis (1977) de Yves Robert avec Jean Rochefort, Claude Brasseur, Guy Bedos, Victor Lanoux et Marthe Villalonga
Le Deuxième Souffle (1966) de Jean-Pierre Melville avec Lino Ventura Paul Meurisse, Raymond Pellegrin et Christine Fabrega
Twist again à Moscou (1986) de Jean-Marie Poiré avec Christian Clavier, Philippe Noiret et Roland Blanche
Hiver 54, l'abbé Pierre (1989) de Christian Ardan avec Lambert Wilson et Claudia Cardinale
Spectacle
Un amour de jeunesse (2020) de Ivan Calbérac avec Stéphane de Groodt, Isabelle Gélinas, Olivia Côte, Nelly Clara et Sébastien Pierre
Séries
Psych Saison 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Voyance et Manigances - Champ de bataille - Shawn chez les super-héros - Un plat qui se mange froid - Plus menteur, tu meurs - À vos masques… - Mission Canada - Comme sur des roulettes - Sensations trop fortes - La Nuit du Loup-Garou - En avant soldat ! - L'Enfer du vendredi - Un mort au pied du sapin - Noël au balcon, tout le monde en prison - La Botte secrète - Un duo vintage - La classe qui tue - À toute vitesse - Mer agitée - En cabane au Canada - Mort de frousse - Premiers de la classe - C'est pas du gâteau ! - Espèce menacée - Immunité problématique - Very Bad nuit - Super héros - Carrément mordus ! - Tous au stade - Shawn au-dessus d'un nid de coucou - Mon père cet escroc - Enfin seuls ! - Indiana Shawn et le Trésor perdu - Complètement babas - À mourir de peur - Les Prétendants - Un crime peut en cacher un autre - À chœur et à cris - Juste Cause - Santa Barbara, ton univers impitoyable - Santa Barbara 2, l'arme fatale 5 - Le Projet BigFoot - Virée mexicaine
Brokenwood Saison 6, 1, 2
Comme un oiseau en cage - Du sang et de l'eau - Les Raisins de la colère - Pour l'amour du golf - Les Fantômes de la ligne de touche - Mourir ou ne pas mourir - Rose sang
Doctor Who Series 12
The Timeless Children
Top Gear Saison 12, 21
Les pires voitures de l’histoire - En route pour la cote d'Azur ! - Trois camions d’enfer - Abou Dabi, du sable dans le carbu
The Grand Tour Saison 4, 1, 2
The Grand Tour Presents: Seamen - Grand Tour vers le futur - Mozambique
Papa a un plan Saison 1
Argent sale - Fausse liberté - Un bébé pour Andi
Alex Hugo Saison 6
Jour de colère
Les Nouvelles aventures de Lucky Luke
Custermania
Meurtres au paradis Saison 9
Meurtre en deux parties - L'Enfant terrible - Sortie de route
Castle Saison 4
Danse avec la mort
Maguy Saison 1
Rose et Marguerite, c'est le bouquet - Babar et Bécassine se mènent en bateau - Docteur j'abuse - L'union fait le divorce - L'annonce faite à Maguy - Le coupe-Georges - Amoral, morale et demie - Cinquante bougies, ça vous éteint !
Kaamelott Livre II, I, IV, III, V
Livres
James Bond 007 Tome 13 : L'Homme au pistolet d'or de Ian Fleming
Lucky Luke : Canyon Apache de Morris et René Goscinny
Lucky Luke : Western Circus de Morris et René Goscinny
Lefranc : L'Arme absolue de Jacques Martin et Gilles Chaillet
Lucky Luke : Chasseur de primes de Morris et René Goscinny
Lucky Luke : Le Grand duc de Morris et René Goscinny
Lucky Luke : Le cavalier blanc de Morris et René Goscinny
Lucky Luke : La Guérison des Dalton de Morris et René Goscinny
Lucky Luke : Le Fil qui chante de Morris et René Goscinny
Lucky Luke : Le Magot des Dalton de Morris
Astérix : Le Devin d’André Uderzo et René Goscinny
Lucky Luke : Sarah Bernhardt de Morris et Xavier Fauche
Lucky Luke : Les Rivaux de Painful Gulch de Morris et René Goscinny
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1917 - De Sam Mendes. GoldenGlobisé, de nombreuses fois nominé et certainement très prochainement oscarisé, 1917 est “the” film qui ouvre l’année 2020... Alors oui, même si cela est à peine exagéré, ce film relativement original malgré ses apparences, vaut d’être acclamé et récompensé, pour son intensité, sa justesse et sa pertinence. Ce qui reste remarquable malgré la monstration d’un cinéaste qui s’auto-acclame, est que cet exploit cinématographique soit accompli avec une certaine simplicité de propos et de mise en forme.
Ce n’est pas le grand spectacle qui, contrairement au Soldat Ryan, à Tu n’aimeras point, ou à Fury, est en premier plan. C’est bien davantage à l’occasion d’une expérience extrême comme celle de la guerre, une aventure humaine, littéralement suivie pas à pas dans l’horreur des champs de bataille.
En ce sens, cet opus rejoint la force du très grand Dunkerque, avec un travail sur les expressions des visages, les émotions véhiculées, et sur la narration propre à chaque plan. Cette caméra virtuose relate essentiellement l’opposition entre la naïveté, la candeur du soldat devenu chair à canon à son insu, et l’horreur d’un projet qui au niveau d’une nation se permet des approximations, produit des erreurs et établit des projections dont l’issue reste incertaine en tous points de vue.
Cet aléa de la guerre, cette façon complètement révoltante dont les soldats meurent “au hasard” mais surtout avec ou sans raison valable est la seule constante de ce qui prend par moment l’allure d’un jeu vidéo. Cela y ressemble parfois, et la mise en scène de Mendes le souligne avec les derniers plans du soldat qui détale à travers une pluie de balles dans les ruines d’une ville en flammes.
La guerre n’est pas un jeu, ni une compétition récompensée par des médailles, c’est ce que découvrent progressivement les protagonistes engagés sur le front. Le coût humain y est réel, inéluctable et irréductible. Ces pertes s’avèrent irrémédiables même lorsque plus tard les accords de paix sont signés, et ce quelles que soient les victoires et les bénéfices que cela rapporte.
L’opposition entre la naïveté de ces jeunes soldats que Sam Mendes choisit de ne pas présenter comme charismatiques ou héroïques et la mission suicidaire qui leur est confiée, est relevée par le contraste des paysages. On alterne entre désolation totale des champs de bataille jonchés de cadavres et d’armes éculées, et les résidus d’une verdure calme et paisible encore parsemée de cerisiers en fleurs...
C’est ainsi que ce périple devient le nôtre; Mendes emprunte toutes les ressources d’immersion, de participation du spectateur. Rarement un film nous aura ainsi donné le sentiment physique de la distance parcourue, le soulagement après chaque pas. C’est aussi puissant que pénible, et la force de ces séquences consiste à mobiliser notre envie de prendre part à cette mission impossible malgré tout. De gré ou de force nous y allons, comme ce soldat désigné au hasard par son camarade, qui s’implique et démultiplie ses initiatives à mesure que l’heure tourne et qu’il devient de plus en plus seul et isolé dans l’accomplissement de sa mission.
Le message ultime de ce film reste donc celui des dernières images: “Arrêtez le combat, repliez les vagues d’assaut et stoppez le massacre”. Suite à ces très longues minutes d’enfer, nul ne saurait résister à donner tout son assentiment à cet impératif pacifiste, pas subliminal du tout. Et pour marquer durablement l’impact de ce projet, Sam Mendès termine avec les l’image des gueules cassées, tous ces hommes mutilés par la bataille inutile, marqués à jamais, baignant dans le sang et assourdis par les cris de douleur de l’hôpital de fortune érigé sur le champ de bataille.
Bien davantage que les corps désarticulés flottant sur l’eau, c’est le râle de ces jeunes hommes mutilés à vie par un assaut qui n’aurait même pas du commencer, qui dénonce cette guerre fratricide, aussi dévastatrice qu’inutile.
NOTE 17/20 - Récit primitif, existentiel, organique, qui en passe lui-même par tous les états pour en arriver à la douceur du printemps au lendemain de ce jour d’avril 1917. Inspiré par les récits de son grand-père, Sam Mendes réussit un grand film non pas sur la guerre, mais bien davantage sur la condition humaine perpétuellement engagée dans “la guerre de tous contre tous”...
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classement final de Ligue 2 : Les Bookmakers livrent leurs pronostics
La Ligue 2, longtemps considérée comme une pépinière de talents pour la Ligue 1, continue de nous étonner cette saison. Alors que les fans et les experts du football avaient leurs favoris en début de saison, les performances sur le terrain ont chamboulé les pronostics et les bookmakers ont dû ajuster leurs cotes en conséquence pour dresser le classement final de Ligue 2. L'ascension fulgurante de l'AJ Auxerre Les Girondins de Bordeaux, initialement favoris pour la première place en Ligue 2, ont vu leur position de leader s'évaporer au fil des semaines. C'est l'AJ Auxerre qui a créé la surprise en prenant les commandes du championnat, montrant une forme impressionnante et une détermination sans faille. Auxerre, dirigé par Jean-Marc Furlan, a été une véritable révélation cette saison. Avec un jeu offensif attrayant et une défense solide, leur montée en puissance est indiscutable et ne peut être ignorée. Voir aussi : - EA FC 24 : Les budgets des clubs de Ligue 1 et Ligue 2 dévoilés ! La résurgence de l'AS Saint-Étienne L'ASSE a également fait sensation cette saison en Ligue 2. Malgré leur récente relégation de la Ligue 1, les Verts ont montré qu'ils avaient les ressources nécessaires pour rebondir. Leurs performances solides leur ont permis de se maintenir dans le haut du classement, mettant ainsi la pression sur les autres prétendants au titre. Le club stéphanois, porté par une défense compacte et une attaque dynamique, a su rester dans la course au titre. Classement final de Ligue 2 : Laval, la surprise de la saison Une des surprises les plus marquantes de cette saison de Ligue 2 est l'équipe de Laval. Longtemps considérée comme un outsider, Laval a fait taire les sceptiques en se hissant en tête du classement. Leurs performances impressionnantes et leur esprit d'équipe indomptable les ont propulsés en tête du classement, faisant d'eux une équipe à surveiller de près. L'équipe de Laval, dirigée par un entraîneur ambitieux, a réussi à créer un environnement propice à la réussite. Troyes, Valenciennes, Quevilly-Rouen et Dunkerque en difficulté En revanche, la saison n'a pas été aussi clémente pour certains clubs. Troyes, Valenciennes, Quevilly-Rouen et Dunkerque ont tous rencontré des difficultés sur le terrain. Leur lutte pour éviter la relégation a été intense, et chaque point gagné est précieux dans cette bataille acharnée. Voir aussi : - Les Joueurs les plus chers de Ligue 2 : qui dominent le classement ? Le classement final de la Ligue 2 selon les bookmakers 1 - AJ Auxerre = 3,5 2 - AS Saint-Étienne = 4,5 3 - Angers SCO = 4,5 4 - Stade Lavallois = 6 5 - Grenoble Foot = 10 6 - Guingamp = 12 7 - AC Ajaccio = 15 8 - Girondins de Bordeaux = 15 9 - SM Caen = 20 10 - Rodez = 25 11 - ESTAC Troyes = 33 12 - SC Bastia = 50 13 - Amiens SC = 60 14 - Pau FC = 60 15 - Paris FC = 150 16 - FC Annecy = 150 17 - Concarneau = 200 18 - Quevilly-Rouen = 500 19 - Valenciennes FC = 750 20 - Dunkerque = 750 ________ Pour retrouver tous nos pronostics football, rendez-vous aussi sur notre page Facebook ou sur notre page Twitter. Read the full article
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Hier soir à Lille… Indochine
Le groupe de Nicola Sirkis a donné un concert exceptionnel au stade Pierre Mauroy devant 28 000 spectateurs. Qui n’ont pas manqué de célébrer en fanfare les 60 ans du chanteur.
Nicola Sirkis n’aime pas les honneurs. Quand il reçoit une Victoire de la musique, il la donne immédiatement à un membre du public. Quand on lui propose d’être nommé à la légion d’honneur, il décline aussitôt. Alors ses anniversaires, pas question de les fêter, encore moins en public. Seulement voilà. Quand le leader d’Indochine s’est interrogé sur la manière de clôturer en beauté son incroyable «13 tour», il s’est rendu compte que la meilleure date possible pour organiser un concert géant à Lille tombait ce 22 juin 2019, soit le jour de ses 60 ans… Alea Jacta Est. Et à 20h45, Indochine se lance dans la bataille comme on va à la guerre. Oubliée la soucoupe volante disposée au-dessus du public. Cette fois une immense grille lumineuse (dont l’installation a fait baisser le toit du stade de 20 centimètres) submerge la fosse. En fond de scène un immense écran géant, occupant les trois quarts du stade, permet une plongée de l’apocalypse à la lune. La salle est finalement plongée dans un noir total et les premières mesures de «Black Sky» résonnent. Si le son a besoin de trouver ses marques, le groupe lui est immédiatement en place. Tout de noir vêtu, Nicola Sirkis porte ses troupes avec une fougue et une force incroyable. L’immensité de la scène l’oblige à redoubler d’efforts pour aller chercher les gens. Mais dès «2033» et sa pluie de confettis sur la fosse, le stade entier est debout. Et personne ne va se rassoir pendant les trois prochaines heures. Car oui, là est toute la force d’Indochine.
A lire :Nicola Sirkis : "Ma Vie en Indochine"
Avec des prix de place entre 40 et 48 euros et des show ultra-longs, les fans en demandent et en redemandent encore. D’autant que le spectacle est certes musical mais aussi visuel. Sur «Henri Darger», les images d’Erwin Olaf réalisées pour la pochette de «13» défilent. Le concert a démarré depuis près d’un quart d’heure et le groupe n’est pas encore apparu sur les écrans géants. Même chose pour «Station 13», l’exigence visuelle se fait forcément au détriment des habituels gros plans sur les musiciens. Peu importe, car tout s’enchaîne dans une incroyable communion. Si les fans de la première heure chantent dans les gradins «Miss Paramount» ou «A l’assaut» ceux de la seconde génération s’emballent pour
«Alice & June». «Ce soir je vais être très très ému » lâche Nicola Sirkis en déambulant sur l’immense avant-scène qui le mène au cœur du public. Il empoigne une guitare pour «La vie est belle» chantée devant un stade entièrement allumé. Et oui ce soir, la vie est effectivement très belle. Alors sur «Tes yeux noirs» qui lui permet de descendre dans la foule, puis de parcourir les gradins, Nicola craque, submergé par ce trop plein d’amour, par la fidélité des fans, par cette ferveur toujours là, presque 40 ans après ses débuts. Conséquence, il est incapable de chanter «Kimono dans l’ambulance», reprenant le contrôle de la situation qu’un peu plus tard dans le morceau.
A lire :A Lille, Indochine s’offre un stade
Première surprise du soir, le retour de «Dunkerque». «Quand j’étais tout petit, j’ai passé beaucoup de temps dans la région. Alors ce morceau il est pour vous». Ceux qui ont connu Indochine avec «Paradize» (2002) exultent. «Le monde est un pervers / Mais je continuerais de le braver» chante un Sirkis plus déterminé que jamais. Cette fois, l’écran montre son visage bouleversé, son ahurissement devant une salle totalement au diapason. On est loin de la froideur de circonstance parisienne. Pas besoin ici de prouesses pyrotechniques ou de cubes volants pour retourner la salle. Non Indochine joue avec passion. Et cela suffit bien amplement. «La treizième vague» précède l’enchaînement final «Song for a dream » / Un été français», deux chansons récentes intégralement reprises par les spectateurs. Prouvant qu’Indochine sait encore et encore composer des tubes. Les Lillois sautent en l’air dès les premières mesures de «Canary Bay», intégré comme toujours au sein d’un medley. Au fur et à mesure de ce «Club 13», le son devient étouffant, à la limite du décrochage. Parfait pour assommer les esprits ! 1h45 vient de s’écouler et Indochine a depuis longtemps gagné la bataille du soir. Alors que le rappel se fait attendre, quelle surprise quand les lumières se rallument de voir 70 musiciens de la Garde Républicaine entonner les premières mesures de «J’ai demandé à la Lune». Estomaqué, le stade écoute ses hommes dans leur tenue d’apparat revisiter l’un des plus grands tubes du groupe. Quand «Salombo» démarre avec Indochine au complet sur l’avant-scène cela devient un moment hors du temps et tout simplement magique. Le public écoute attentivement les arrangements presque dansant de l’orchestre. «Justine» est exhumée des tiroirs avec délice, et «La chevauchée des champs de blé» fait plus que jamais figure de classique. Lou Sirkis, la fille de Stéphane frère jumeau de Nicolas décédé il y 20 ans, les rejoints pour une version là aussi toute fringante de «Electrastar». 30 minutes viennent de s’écouler et on prie déjà pour que tout cela ait bien été enregistré. Mais alors que Nicola tente de regagner la scène principale, voilà la garde républicaine qui se lance dans un «Joyeux Anniversaire» immédiatement repris par la foule. Nicolas manque de s’écrouler quand il voit sa fille Théa –en plein bac- venir lui apporter un
immense bouquet de roses blanches. Le secret avait été bien gardé et le chanteur est une fois encore submergé par cette soirée définitivement pas comme les autres. Il reprend néanmoins le contrôle des événements en attaquant «College boy», puis fait chavirer la foule de longues minutes avec un «trois nuits par semaine» épique. Il est 23h20 quand les premières mesures de «L’aventurier » explosent dans le stade. Indochine joue depuis plus de 2h30 et rien ne semble les arrêter. Dans les gradins ou dans la fosse, personne non plus n’a l’air de vouloir partir. On ne peut que s’incliner devant un tel dévouement, devant une telle relation entre un public et son groupe. Oui l’acharnement de Nicola Sirkis est admirable. Oui la musique a été une thérapie à un moment de sa vie où plus rien n’allait. Mais celui qui lui a permis une incroyable renaissance artistique. Ces deux concerts lillois, il les a produits seul, sans producteur, assumant les risques financiers lui-même. Il y a peu de groupe dans l’histoire de la musique en France qui ont connu un tel destin. Et c’est ce qui le rend toujours aussi passionnant, toujours aussi pertinent. Difficile de croire que 40 années ou presque se sont écoulées depuis la parution «L’aventurier», qui continue de rendre les foules hystériques. Nicola Sirkis ne termine pas pour autant la soirée sur une note nostalgique. Et préfère saluer une dernière fois ses ouailles avec «Cartagène» et surtout la ballade épique «Karma Girls». Au bout de 2h58 de show –soit le concert le plus long de toute l’histoire du groupe- un message s’affiche sur l’écran géant. « merci à vous tous du 13 tour. A bientôt ?» Le point d’interrogation est coquetterie. Car personne hier soir à Lille n’a pu repartir avec un sentiment d’inachevé. Si certains seront encore là ce dimanche soir pour une ultime salve (et une setlist différente), tous seront évidemment aux prochains rendez-vous qu’Indochine voudra bien leur donner. Dans trois ans ? Dans douze mois ? Peu importe, la Indochine Nation est plus forte que jamais. Lille l’a montré avec brio.
Setlist du 22 juin, Lille, Stade Pierre Mauroy
1/ Black Sky2/ 20333/ Henri Darger4/ Station 135/ Alice & June6/ Miss Paramount7/ A l’assaut8/ La vie est belle9/ Tes yeux noirs10/ Kimono dans l’ambulance11/ Dunkerque12/ La 13ième vague13/ Song for a dream14/ Un été français15/ Club 1316/ J’ai demandé à la lune17/ Salombo18/ Justine19/ La chevauchée des champs de blé20/ 3Ième sexe21/ Electrastar22/ College Boy23/ Trois nuits par semaine24/ L’aventurier25/ Carthagène26/ Karma Girls
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La bataille d’Hajin : victoire tactique, défaite stratégique ?
La bataille d’Hajin (septembre 2018 – janvier 2019) du nom d’une petite localité située sur la rive Est de l’Euphrate aux confins de la Syrie et de l’Irak mérite de laisser son nom dans l’histoire militaire à plus d’un titre. Elle est d’abord la dernière « bataille rangée » contre le pseudo État islamique et semble mettre un point final à sa volonté de contrôler un territoire. Elle est ensuite, pour nous Occidentaux, riche d’enseignements sur la guerre, et tout spécialement les limites de la guerre par procuration et de notre approche tournée vers la suprématie technologique.
Au XIXe siècle, le sort d’une bataille mettant en jeu quelques milliers d’hommes était réglé en une journée – Austerlitz par exemple ; au XXe siècle, il faut compter en semaines – que l’on pense à la poche de Dunkerque en 1940 ; au XXIe siècle, il faut près de cinq mois et une accumulation de destructions pour venir à bout de 2 000 combattants ne disposant ni d’appui aérien, ni de moyens de guerre électronique, ni de forces spéciales, ni de satellites. Telle est la réalité de la guerre aujourd’hui qui doit nous conduire, décideurs politiques et chefs militaires à un examen critique salutaire sur notre façon de concevoir et faire la guerre. Certes, la bataille d’Hajin a été gagnée mais de façon très poussive, à un coût exorbitant et au prix de nombreuses destructions. Certes, les Occidentaux, en refusant d’engager des troupes au sol, ont limité les risques et notamment celui d’avoir à s’expliquer devant l’opinion. Mais ce refus interroge :
pourquoi entretenir une armée que l’on n’ose pas engager ?
Si la réduction du dernier bastion de l’État islamique ne vaut pas la peine d’engager des troupes conventionnelles, quelle cause sera assez importante pour le faire ? Extrêmement à l’aise pour remplir les grands états-majors multinationaux d’une ribambelle d’officiers, les nations occidentales n’ont pas eu la volonté politique d’envoyer 1 000 combattants aguerris régler en quelques semaines le sort de la poche d’Hajin et épargner à la population plusieurs mois de guerre. Par ailleurs, en sous-traitant aux Forces démocratiques syriennes (FDS), c’est-à-dire à des proxys – des troupes soutenues par les Américains qui leur ont délégué le droit de se battre à leur place – la conduite des opérations au sol, la Coalition a renoncé à sa liberté d’action et perdu la maîtrise du tempo stratégique. Prise en étau entre la décision de Donald Trump de se retirer du Nord-Est syrien et le bon vouloir des FDS, elle n’a pas trouvé de meilleure solution que d’intensifier les bombardements pour en finir au plus vite, compromettant ainsi durablement l’avenir de cette province.
In fine, la question qui se pose est de savoir si la libération d’une région ne peut se faire qu’au prix de la destruction de ses infrastructures (hôpitaux, lieux de culte, routes, ponts, habitations, etc.). C’est là, l’approche assumée sans complexe, hier et aujourd’hui, par les Américains ; ce n’est pas la nôtre et nous souhaitons ici indiquer ce qui aurait pu être fait pour mettre l’ennemi hors de combat sans transformer la poche d’Hajin en champs de ruines.
François-Régis Legrier :
Colonel. Chef de corps du 68e régiment d’artillerie d’Afrique. Commandant la Task Force Wagram au Levant d’octobre 2018 à février 2019. Auteur de Si tu veux la paix prépare la guerre aux Éditions Via Romana.
https://drive.google.com/file/d/1vX-7LX8pem2dpEEZkvrR0d5HQR3CEXW4/view
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