#Baptiste Vignol
Explore tagged Tumblr posts
Text
Emile Titan – Dix jours pour sauver Paris ! de Vincent Baguian, Baptiste Vignol et Raphaël Gauthey
Achat : https://amzn.to/3ZErs8l Une course contre la montre palpitante aux côtés du plus jeune espion de tous les temps ! Chronique : La couverture est très belle et super intrigante. J’aime beaucoup les couleurs et le style de l’illustratrice. Je trouve que la pochette a tout pour attirer le regard sans l’être trop. Il n’y a pas d’images dans ce livre, mais cela ne me dérange pas. Je n’en…
View On WordPress
0 notes
Photo
Babatunde Olatunji - Drums of Passion (1959) Babatunde (1927-2003) connects the world with the roots of human music, a direct connection with rhythm and the soul, the very nature of the music shows what Babatunde is all about: “Yesterday is history. Tomorrow is a mystery. And today?. Today is a Gift. Thats why we call it the present." 1. Akiwowo (Chant to the Trainman) (0:00) 2. Baba Jinde (Flirtation Dance) (3:42) 3. Jin-Go-Lo-Ba (Drums of Passion) (9:16) 4. Kiyakiya (Why Do You Run Away?) (12:33) 5. Odun de! Odun de! (Happy New Year) (16:50) 6. Oya (Primitive Fire) (21:29) 7. Oyin Momo Ado (Sweet as Honey) (27:06) 8. Shango (Chant to the God of Thunder) (32:07) Babatunde Olatunji contre Serge Gainsbourg - Déja entendu ça Serge Gainsbourg cover of Babatunde Olatunji’s ‘Akiwowo … Gainsbourg plagiaire – Le jardin aux chansons qui bifurquent Gainsbourg Percussions - 7 New York USA - YouTube LCS 160. Babatunde Olatunji, « Akiwowo », 1959 | Réflexions … : Michael Babatunde Olatunji, « Akiwowo (Chant To The Trainman) », sur l’album Drums Of Passion, paru en 1959 chez Columbia. Le mot du regretté Guy Béart : « Un jour, je suis tombé à New York sur le disque de Babatunde Olatunji, Drums Of Passion, en 1959, que m’avait offert Belafonte, en fait. La musique de ce percussionniste américain d’origine nigériane m’avait frappé. J’ai donné son disque à Claude Nougaro, ainsi qu’un autre à Claude Dejacques, qui était directeur artistique chez Philips. Il l’a fait découvrir à Gainsbourg qui a, quelque temps après, sorti un disque, Gainsbourg Percussions, en 1964, où il plagie carrément Olatunji. Dans l’album, c’est marqué « paroles et musique de Gainsbourg ». Sauf que c’est une copie absolue, mais absolue ! Il suffit d’écouter « New York USA » et « Akiwowo » ! A l’époque, il n’y avait pas d’Internet ni de tweet, on pouvait passer entre les gouttes. Mais il y a eu un procès, que Gainsbourg a perdu. Gainsbourg était un homme de talent, mais un grand affabulateur. Pourtant, il durera car, en avance sur son époque, il était à l’image des médias. Il savait faire le buzz. » (Propos extraits d’une interview donnée à Baptiste Vignol, publiée en mai 2014 dans le n° 11 de la revue Schnock, p. 88). Serge Gainsbourg, génie ou plagiaire - Egalite et Réconciliation CLAUDE NOUGARO l'amour sorcier - YouTube
#Babatunde Olatunji#Drums of Passion#Serge Gainsbourg#Guy Béart#Harry Belafonte#Claude Nougaro#Claude Dejacques#Gainsbourg Percussions#New York USA#Akiwowo#plagiat#Baptiste Vignol#Schnock
4 notes
·
View notes
Photo
Baptiste Vignol - Ce qui est incroyable, c’est que les duettistes Roche-Aznavour ont été créés presque par erreur !
Charles Aznavour - Oui. Lyne Jack, la speakerine du Concert Mayol où nous nous produisions séparément, s’est trompée en nous annonçant : “Roche-Aznavour !”
BV - Et vous voilà obligés d’improviser !
CA - On connaissait trois chansons qu’on avait travaillées pour les apprendre à Édith Fontaine, une comédienne que Francis Blanche a épousée. On a donc chanté ces trois chansons et on a fait un tel triomphe qu’il a fallu les rechanter ! Ensuite, on a fait la tournée des boîtes, à Paris, mais aussi en province. On se déplaçait à bicyclette, l’un assis sur le cadre et l’autre qui pédalait. Comme les trains ne partaient pas, on restait parfois deux ou trois semaines, au lieu d’une seule, dans une ville de province…
in Schnock n° 23, juin 2017
photo Studio Harcourt
0 notes
Text
CLAUDE FRANCOIS, JE REVIENDRAI COMME D'HABITUDE de Baptiste Vignol un superbe livre aux éditions Gründ
CLAUDE FRANCOIS, JE REVIENDRAI COMME D’HABITUDE de Baptiste Vignol un superbe livre aux éditions Gründ
Encore un nouvel ouvrage sur Claude François allez-vous penser? Détrompez-vous, c’est une bible quant à la discographie de l’idole, où vous retrouverez entre autres, tous les vinyles sortis de son vivant. Baptiste Vignol , auteur d’autres ouvrages sur la chanson française (Guy Béart, , Renaud ou Téléphone, entre autres, se penche cette fois sur la carrière incroyable de celui qui près de 40 ans…
View On WordPress
0 notes
Video
youtube
Babatunde Olatunji - Drums of Passion (1959) Babatunde (1927-2003) connects the world with the roots of human music, a direct connection with rhythm and the soul, the very nature of the music shows what Babatunde is all about: "Yesterday is history. Tomorrow is a mystery. And today?. Today is a Gift. Thats why we call it the present." 1. Akiwowo (Chant to the Trainman) (0:00) 2. Baba Jinde (Flirtation Dance) (3:42) 3. Jin-Go-Lo-Ba (Drums of Passion) (9:16) 4. Kiyakiya (Why Do You Run Away?) (12:33) 5. Odun de! Odun de! (Happy New Year) (16:50) 6. Oya (Primitive Fire) (21:29) 7. Oyin Momo Ado (Sweet as Honey) (27:06) 8. Shango (Chant to the God of Thunder) (32:07) Babatunde Olatunji contre Serge Gainsbourg - Déja entendu ça Serge Gainsbourg cover of Babatunde Olatunji's 'Akiwowo ... Gainsbourg plagiaire – Le jardin aux chansons qui bifurquent Gainsbourg Percussions - 7 New York USA - YouTube LCS 160. Babatunde Olatunji, « Akiwowo », 1959 | Réflexions ... : Michael Babatunde Olatunji, « Akiwowo (Chant To The Trainman) », sur l’album Drums Of Passion, paru en 1959 chez Columbia. Le mot du regretté Guy Béart : « Un jour, je suis tombé à New York sur le disque de Babatunde Olatunji, Drums Of Passion, en 1959, que m’avait offert Belafonte, en fait. La musique de ce percussionniste américain d’origine nigériane m’avait frappé. J’ai donné son disque à Claude Nougaro, ainsi qu’un autre à Claude Dejacques, qui était directeur artistique chez Philips. Il l’a fait découvrir à Gainsbourg qui a, quelque temps après, sorti un disque, Gainsbourg Percussions, en 1964, où il plagie carrément Olatunji. Dans l’album, c’est marqué « paroles et musique de Gainsbourg ». Sauf que c’est une copie absolue, mais absolue ! Il suffit d’écouter « New York USA » et « Akiwowo » ! A l’époque, il n’y avait pas d’Internet ni de tweet, on pouvait passer entre les gouttes. Mais il y a eu un procès, que Gainsbourg a perdu. Gainsbourg était un homme de talent, mais un grand affabulateur. Pourtant, il durera car, en avance sur son époque, il était à l’image des médias. Il savait faire le buzz. » (Propos extraits d’une interview donnée à Baptiste Vignol, publiée en mai 2014 dans le n° 11 de la revue Schnock, p. 88). Serge Gainsbourg, génie ou plagiaire - Egalite et Réconciliation CLAUDE NOUGARO l'amour sorcier - YouTube
#Babatunde Olatunji#Drums of Passion#John Coltrane#Tunji#Serge Gainsbourg#Claude Nougaro#Guy Béart#jazz magazine#Gainsbourg Percussions#New York USA#Harry Belafonte#Akiwowo#Baptiste Vignol#revue Schnock#l'amour sorcier
5 notes
·
View notes