#Ba Ag Moussa
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Mali : la France annonce avoir tué un haut responsable djihadiste lié à Al-Qaïda
AFRIQUE
L’armée française a abattu un haut-responsable d’Al-Qaïda. Ba Ag Moussa est décrit comme le «chef militaire» du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM)
La France a annoncé ce vendredi la “neutralisation” au Mali, par la force Barkhane, d’un cadre opérationnel jihadiste de tout premier plan lié à Al-Qaïda, dont le nom était associé ces dernières années à de…
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la France annonce avoir tué un haut responsable djihadiste lié à Al-Qaïda AFRIQUE L’armée française a abattu un haut-responsable d’Al-Qaïda. Ba Ag Moussa est décrit comme le «chef militaire» du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM) La France a annoncé ce vendredi la « neutralisation » au Mali, par la force Barkhane, d’un cadre opérationnel jihadiste de tout premier plan lié à Al-Qaïda, dont le nom […] Mali : la France annonce avoir tué un haut responsable djihadiste lié à Al-Qaïda
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“Sometimes the truth isn't good enough, sometimes people deserve more. Sometimes people deserve to have their faith rewarded.”
A B O U T
Name: Myriam Moussa Beckett Nickname: Myriam Age: Twenty Four Date & Place of Birth: February 14th, 1993 & Syracuse, NY Sexuality: Pansexual Pronouns: She/Her Faceclaim: Aiysha Hart Alternate FCs: Medalion Rahimi, Summer Bishil, Naomi Scott Status: TAKEN
M O R E
Major: BA in English + Biology; currently seeking Masters in Biochemistry Classification: 1st Year Graduate Student Occupation: Research Assistant Rank: Hero Power: Mental Projection Limitations: Her thoughts could go out of control causing unintentional disasters, especially if she is dreaming. Sleep deprivation affects abilities.
P E R S O N A L I T Y
+ driven, charismatic, reliable - methodical, pragmatic, passive
B I O G R A P H Y (tw: abuse)
Myriam always wanted to be a superhero. It was her dream and she grew up watching people fly around the world helping and saving people. She wanted that. She wanted to fly around the world and help and save people. She didn’t want the fame or the fortune. She wanted to make people’s lives better. That alone would be a reward. But, Myriam wasn’t a fighter. She couldn’t fight and combat these super villains with their death rays and mechanical minions. Her powers of mental projection never seemed to help her as she could never master her gifts and could never find anyone to help her. All hope to be a superhero seemed lost.
As Myriam got older, she was the top of her class. Her intellectual prowess was a force to be reckoned with and people knew she would go far. Many people loved her. She was beautiful, kind, driven, and highly intelligent. She had a loving boyfriend, a great relationship with her brother and the rest of her family, and a full ride to a Columbia. She had almost forgotten about her hopes and dreams of becoming a superhero and she believed that she could be a different kind of hero through science. For the time, her powers were dormant.
When Myriam was set to leave for college a full year ahead of her classmates, she decided to break up with her boyfriend. She wanted to focus on her studies rather than a relationship when she started at the prestigious Ivy League school. Her boyfriend didn’t take the break up lightly and his entire behavior towards her changed. He went from surprising her with flowers to showering her with threats, even going as far as laying a hand on her. It was something she was scared to go to her father or the police and something that her brother would not let slide.
Whenever Myriam went to sleep, she suffered from paranoia and nightmares, which immediately activated her mental projection powers. She unknowingly projected a dangerous version of herself that would spend the nights wreaking havoc. When she woke up, she wasn’t aware of what happened until she read the news of a dark, female figure dressed in leather robbing banks or beating down criminals. Myriam eventually noticed the potential connection and turned to Skybourne University. She opted to go to the specialized school for heroes rather than Columbia, believing Skybourne to be the better choice. They promised to give her the proper training and counseling and a chance to become the superhero she always wanted to be.
F A M I L Y
Sebastian Beckett (father - alive) Sara Moussa (mother - alive) Farrah Elmasry (step mother - alive) Karim Beckett (younger half brother - alive)
C O N N E C T I O N S
Karim Beckett: Even though Karim is younger than she is, Myriam has always appreciated that he looked after her. After she found out that Karim got revenge on her abusive ex, she decided it was time to go back to looking after him as it was her duty as his older sister. When he was arrested and sent to prison, she visited him as often as she could. Eventually, she was able to pull strings at Skybourne University and got him a scholarship and a place at the school.
Varun Kapoor: They’ve never had much of an actual conversation before but they met when Myriam first started at Skybourne. It began as polite chit-chat over late night coffee in the labs and has slowly turned into one or the other dropping off coffee for the other when seen working late in the lab.
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/la-scene-rock-du-mali-du-niger-et-de-lalgerie-est-plus-vivante-que-jamais/
La scène rock du Mali, du Niger et de l'Algérie est plus vivante que jamais
Sidi Touré, BKO, Tal National et Imarhan sont les fers de lance d’une évolution survitaminée des rythmes et des sons ethniques
Alors que des groupes de rock américains se tournent vers l’EDM avant-gardiste pour rajeunir le genre, les guitares électriques africaines et les instruments traditionnels grincent avec une intensité toute nouvelle après des années trop silencieuses. Là-bas, le scénario romantique du carrefour à la croisée des chemins a été remplacé par un vigoureux commerce culturel international et interethnique au Mali, au Niger et en Algérie. Au milieu de la myriade de variations de la musique africaine, le rock est de nouveau à la hausse.
L’auteur-compositeur et guitariste Sidi Touré vit à Bamako, la capitale du Mali, mais il a grandi à Gao, situé entre le fleuve Niger et le désert du Sahara, à quelques centaines de kilomètres à l’est de Tombouctou. Né d’une noble lignée Songhaï, Touré a vécu parmi les Bozos, les Bambaras, les Fulanis et les membres des Touaregs dans le « désert du blues« . Ce dernier a peut-être inspiré son nouveau Toubalbero, flashy et urgent, un électrochoc avec les sons folkloriques acoustiques qui dominent ses quatre précédents albums. Djadjé Traoré a ajouté une guitare électrique saturée aux côtés du ngoni amplifié d’Ourmane « Papou » Dagnon (un luth recouvert de peau de chèvre) ) et du batteur Mamadou « Mandou » Kone. Sidi Touré avait défié sa famille pour devenir une sorte de griot sans véritable bonne foi. Maintenant, il est encore pire: un griot rocker. Et la distorsion fait office d’une authenticité nouvelle.
Le groupe Tal National se déclare lui-même « Rock and roll puissant d’Afrique de l’Ouest »
Toubalbero est un terme de Goa pour définir un grand tambour traditionnel qui rassemble une communauté. Touré étend ce sentiment d’enchantement communautaire surdimensionné dans des chansons comme Heyyeya, qui reflète un jour de mariage – « rien que le bonheur, rien que la joie » – dans un micmac polyrythmique de plus en plus frénétique. Guitares et ngonis dévoilent des solos et des cris de Touré extasiés pendant Tchirey, une explosion d’urgence de sept minutes au tempérament de tonnerre. Le vaudou fait partie de la tradition spirituelle Songhaï et le groupe de Touré résonne quelque part à la périphérie de l’envoutement.
BKO, d’un autre côté, nécessite une oreille attentive. Le quintet innovant et bruyant sonne comme un Congotronics assourdissant avec des ngonis amplifiés. On trouve aussi des jeli ngonis ou des plus gros donso ngonis (aussi appelés « harpe de chasseur ») aux côtés des percussionnistes sur djembe et tambours dum-dum, ainsi qu’un tube en métal dentelés appelé karagnan. BKO (du nom du code de l’aéroport de Bamako) a donné suite à leur premier album Bamako Today sorti en 2014 avec Mali Foli Coura, traduit par « le nouveau son du Mali« .
Mali Foli Coura est effectivement très innovant, synthétisant des éléments griots et donso dans des morceaux comme le très afrobeat Mali Liberela, un avertissement à la population de ne pas devenir complaisante maintenant que les djihadistes ne terrorisent plus le nord du Mali de façon régulière. Des rythmes simples de danse polyrythmiques accompagnent les paroles chargées spirituellement de Dirty Donso sur le masque komo, tandis qu’un ngoni noyé dans la pédale wha-wha conduit Strange Koreduga, une danse traditionnelle interprétée par des bouffons et des clowns. Pourquoi Mali Foli Coura se conclut avec la très fleur bleue Mon Amour est un mystère. Chaque bataille mérite une ballade, bien sûr, et BKO gagne la sienne en transcendant l’afro par l’afro-punk.
Le groupe Tal National originaire du Niger ne cache pas ses allégeances, se déclarant lui-même « Rock and roll puissant d’Afrique de l’Ouest » sur sa page web. Formé en 2000 par le guitariste et (au moins à temps partiel) le juge municipal Hamadal « Almeida » Moumine, le groupe le plus populaire du pays concocte un tourbillon sonore de divers ingrédients culturels. À 380 km à l’est de Gao, la capitale du Niger est également polyglotte, et ses communautés Fulani, Hausa, Songhaï et Touareg se reflètent dans les 13 membres du Tal National. (L’approche collective est particulièrement utile lorsque le groupe de six membres doit jouer deux concerts en même temps.)
Les membres du groupe touareg Imarhan ressemblent à des rockeurs
Tal National sont les stars du math-rock de l’Afrique de l’Ouest. Le rappeur-chanteur nigérian Zara Moussa donne le premier couplet sur le titre d’ouverture de Tantabara, leur quatrième album depuis 2009, avant que tout le groupe ne saute dans la jubilation et décolle au galop sans relâche à travers un groove 12/8 complexe en langue hausa. Enregistré dans un studio improvisé de Niamey par Jamie Carter, un producteur de Chicago plus connu pour avoir travaillé avec Joan of Arc et Chance the Rapper, Tantabara a une ambiance minimaliste et indie-rock qui rappelle le punk afrojazz de Brooklyn Sunwatchers ou Yonatan Gat, guitariste de Tel Aviv.
« Nous sommes un peuple qui vit dans les montagnes sans eau« , entonne l’un des sept chanteurs présents sur les huit morceaux de Tantabara, cette fois dans la langue Tamashek du peuple Touareg. « Nous sommes un peuple qui vit dans ces lieux non pas parce qu’il y a de l’or ou des dollars. » Probablement le titre le plus rapide et le plus grondant enregistré à ce jour, Akokas offre tout sauf une pause. Dans leurs vestes de cuir noir et leurs Levis déchirés, les membres du groupe touareg Imarhan ressemblent à des rockeurs. Imarhan (qui signifie « ceux qui se soucient de moi« ) sont la deuxième génération de guitaristes « assouf« , comme on nomme le style profondément groovie des soi-disant « enfants de Tinariwen« . La connexion est forte. Le chanteur et guitariste d’Imarhan, Iyad Moussa Ben Abderahmane, a suppléé Ibrahim Ag Alhabib pendant quelques années alors que le fondateur de Tinariwen avait besoin de temps en famille. Le bassiste de Tinariwen, Eyadou Ag Leche, a aussi produit son deuxième album, Temet.
Robuste mais chaud, Temet contient des claquements de main, des répondeurs vocaux féminins, et les percussions granuleuses tindé symboles de la musique touareg, mais avec des guitares entremêlées et sans exclamations hurlantes. « Tout le plaisir se termine dans la mort, vous devez le savoir« , Ibrahim chante avec vivacité dans Tamudre (« vivant« ), un rock-noir qui se prépare à un sombre solo façon Keith Richards avant de disparaître avec quelques secondes de larsens. Basés à Tamarasset, en Algérie, Imarhan sont des citadins qui pimentent incessamment les grooves d’assouf avec du disco, du funk et du reggae selon les besoins. « Vous devez fonctionner dans le monde d’aujourd’hui et utiliser Internet et tout le reste« , a déclaré Ibrahim à Andy Morgan du Guardian, « mais vous ne devez pas lâcher les bases de votre ashak [langue Tamasheq pour dire la dignité et l’hospitalité] – C’est essentiel. » Ils sont plus proche de John Lee Hooker que d’Hendrix, mais vous pouvez les sentir élever leur inspiration toujours plus haut, dans l’obscurité, à la lisière de la ville, dans le désert, n’importe où.
Écrit par Richard Gehr, traduit par Baptiste Manzinali
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Mercato : l’argent des agents du foot
LE PARISIEN MAGAZINE. Clos jeudi à minuit, le marché des transferts, marqué par les ventes records de Neymar et Mbappé au PSG et de Dembélé au FC Barcelone, confirme l’appétit des intermédiaires dans le football.
Pini Zahavi n’a eu droit à aucun remerciement officiel de la part du PSG et pourtant, sans lui, le club parisien n’aurait peut-être jamais conclu le « transfert du siècle ». A savoir l’achat du prodige brésilien Neymar pour 222 millions d’euros au FC Barcelone. Homme d’affaires rompu aux montages financiers, l’Israélien de 75 ans a été mandaté par le PSG et l’entourage du joueur pour aboutir à un accord global entre toutes les parties. Une mission à la portée de celui que le milieu surnomme « Mister Fix-it » (monsieur Je-répare-tout).
Incontournable, il a aussi gravité autour du dossier Mbappé, qui passe du PSG à Monaco. Les deux parties se sont finalement entendues le 27 août : l’attaquant français est prêté au club parisien pendant un an, avec une option d’achat à 180 millions d’euros à régler en 2018. « Le plus compliqué dans ce genre de transfert, c’est de trouver un accord satisfaisant pour tout le monde, explique l’agent français Yvan Le Mée. Pour Neymar ou Kylian Mbappé, on compte jusqu’à une vingtaine d’acteurs autour de la table : clubs, joueur, famille, conseillers, équipementiers, avocats… Cette profusion explique parfois l’échec d’un transfert et rend nécessaire l’intervention d’un agent. »
En ce qui concerne Neymar, l’existence d’une « clause libératoire » de 222 millions d’euros dans le contrat qui liait le Brésilien au Barça a pourtant simplifié la donne pour le PSG. Ce procédé, interdit en France mais fréquent dans le football ibérique, permet au joueur de se libérer contre le paiement . photo d’un bon de sortie. Les négociations ont donc principalement porté sur le futur contrat du Brésilien, ce qui n’a pas empêché Zahavi d’empocher une commission de 36 millions d’euros, selon les médias espagnols. Un chiffre invérifiable qui est censé correspondre à un pourcentage sur le salaire de Neymar au PSG, estimé à 50 millions d’euros brut par an jusqu’en 2022.
Des intermédiaires payés au pourcentage
En France, cette rétribution est plafonnée par décret à 10 % des rémunérations totales du joueur même si, selon un agent français en activité depuis dix-sept ans, « dans les faits, elle varie en moyenne entre 5 et 7,5 % et est versée chaque année au prorata de son salaire annuel brut ». Un agent peut aussi être rétribué sur le montant d’un transfert quand il a été mandaté par un club pour acheter ou vendre un joueur. « Il perçoit alors une commission sur le prix de vente comprise entre 1 et 10 % selon les dossiers, poursuit cet agent. Mais dans ce cas, il ne peut pas représenter en même temps le joueur concerné, car il y aurait conflit d’intérêts. » L’inflation du montant global des transferts ces dernières années fait gonfler les commissions. L’an dernier, la Juventus de Turin aurait versé 27 millions d’euros à l’agent italo-néerlandais Mino Raiola, qui avait négocié le transfert de Paul Pogba à Manchester United pour 105 millions d’euros. Le site Mediapart a avancé un montant bien supérieur, de l’ordre de 49 millions d’euros !
La famille s’en mêle
En juillet 2017, Kylian Mbappé défendait les couleurs de Monaco contre le PSG. Il a changé de camp depuis. (Anthony Dibon/Icon Sport)
Mais les agents sont aussi concurrencés par les familles des joueurs, qui réclament leur part du gâteau. Le père de Neymar est devenu son agent officiel. Neymar Senior a ainsi été rétribué, en sus de Zahavi, par le PSG. L’an dernier, il avait déjà négocié une prime de 26 millions d’euros lors de la prolongation du contrat de son fils avec Barcelone, une somme gelée par le club catalan depuis son transfert à Paris.
Dans le camp de Kylian Mbappé, ses deux seuls conseillers officiels sont son père et sa mère. Et il a recours à un cabinet d’avocats spécialisés pour gérer ses contrats. « On voit arriver de plus en plus de gens qui veulent passer à la caisse alors qu’ils ne sont pas habilités et qualifiés pour exercer l’activité d’agent, déplore un intermédiaire. Résultat, ce sont souvent des dossiers qui échouent. Si Mbappé avait un agent attitré, son départ de Monaco aurait été réglé plus rapidement ! »
Une trentaine de privilégiés
En France, l’activité d’agent sportif est soumise à la détention d’une licence délivrée par la Fédération française de football (FFF). Ce n’est pas le cas dans tous les pays. Exemple : Moussa Sissoko, qui a conclu le transfert du Français Ousmane Dembélé du Borussia Dortmund au FC Barcelone pour environ 145 millions d’euros, a une licence malienne et n’est donc pas soumis aux règles de droit de l’Hexagone. Par ailleurs, les joueurs n’ont pas l’obligation d’avoir recours à un agent. Ils sont 417 à avoir leur licence en France, selon la FFF. Un nombre disproportionné par rapport au millier de footballeurs professionnels évoluant dans le pays. « On est seulement une trentaine à pouvoir bien en vivre, confirme Franck Belhassen, qui s’occupe notamment des intérêts d’Alphonse Areola, l’un des gardiens de but du PSG. Les gens nous imaginent avec un cigare aux lèvres et une grosse montre au poignet, mais on est loin de tout ça. Et le mercato n’est qu’une petite partie de notre travail. Le reste de l’année, on accompagne nos joueurs et on multiplie les déplacements, sans faire de note de frais. »
Jorge Mendes
Nationalité : portugaise Age : 51 ans Clients Di Maria, Mourinho, Ronaldo… Patron de discothèque, Jorge Mendes s’est improvisé agent de joueur à 30 ans en négociant le transfert d’un habitué de sa boîte de nuit, un gardien de but qui était remplaçant dans son club de première division portugaise. Vingt ans plus tard, Gestifute, l’entreprise de conseil qu’il a créée en 1996, défend les intérêts de près d’une centaine de joueurs et entraîneurs, dont le total des contrats obtenus a été évalué à plus de 600 millions d’euros en 2016 par le magazine Forbes. Il est le parrain du fils aîné de Cristiano Ronaldo, la star portugaise qu’il accompagne depuis qu’il a 15 ans. Le joueur lui a offert une île grecque en guise de cadeau de mariage. Mendes a été récemment mis en examen par la justice espagnole dans le cadre d’une affaire d’évasion fiscale présumée, impliquant plusieurs de ses protégés. Meilleures ventes Ronaldo au Real Madrid (94 millions d’euros, en 2009), Di Maria à Manchester United (75, en 2014), James Rodriguez au Real Madrid (75, en 2014).
Mino Raiola
Nationalité : Italo-néerlandaise Age : 49 ans Clients Pogba, Ibrahimovic, Verratti… Fils d’un gérant de pizzeria italien ayant émigré aux Pays-Bas, Carmine « Mino » Raiola détonne dans le milieu du football avec ses tenues négligées et son franc-parler. Doué pour les langues (il en parle sept), il rejoint, à 25 ans, une société d’agents néerlandaise avant de s’installer à son compte. Sa rencontre avec Zlatan Ibrahimovic, en 2003, le propulse dans les hautes sphères du football international. En quatorze ans, il a négocié plus de 150 millions d’euros d’indemnités de transfert cumulées pour la star suédoise. Souvent accusé par ses confrères de leur « voler » les joueurs les plus rentables, il a mis la main, cet été, sur Marco Verratti, le jeune prodige italien du PSG. Meilleures ventes Pogba et Lukaku à Manchester United (105 millions d’euros, en 2016 et 82, en 2017), Ibrahimovic à Barcelone (70, en 2009).
Pini Zahavi
Nationalité : Israélienne Age : 75 ans Clients Tevez, PSG, Chelsea… Peu présent jusqu’ici sur le marché français, cet ancien journaliste sportif israélien s’est distingué cet été en servant d’intermédiaire entre le PSG et l’entourage de Neymar pour la réalisation du montage financier complexe à la base du « transfert du siècle ». Un savoir-faire qu’il met au service des clubs de football depuis la fin des années 1970. « C’est lui qui a inventé le métier d’agent, même si aujourd’hui, il s’occupe surtout de placer les joueurs », affirme son confrère français Franck Belhassen. Homme de l’ombre et businessman, Zahavi représente rarement un joueur, mais il met en relation les différentes parties, touchant au passage une juteuse commission. Il est à l’origine du rachat de Chelsea par l’oligarque russe Roman Abramovitch en 2003. Meilleures ventes Neymar au PSG (222 millions d’euros, en 2017), Chelsea à Abramovitch (210, en 2003), Alex Teixeira à Jiangsu (50, en 2016).
Retrouvez cet article dans Le Parisien Magazine du vendredi 1er septembre. A lire en intégralité ici.
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