#Au Disque Bleu
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troquets · 6 months ago
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Au Disque Bleu, Sangatte, Blériot-plage, Pas-de-Calais.
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jamie-007 · 1 year ago
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«Beaucoup sont décédés, ceux et celles qui sont toujours là sont appelé(e)s «les personnes âgées».
Nous sommes né(e)s dans les années 40-50-60.
Nous avons grandi dans les années 50-60-70.
Nous avons étudié dans les années 60-70-80.
Nous étions ensemble dans les années 70-80-90.
Nous nous sommes mariés, ou pas, et avons découvert le monde dans les années 70-80-90.
On s'aventure dans les années 80-90.
On se stabilise dans les années 2000.
Nous sommes devenus plus sages dans les années 2010.
Et nous allons fermement jusqu'en 2020 et au-delà.
Il s'avère que nous avons traversé HUIT décennies différentes...
DEUX siècles différents...
DEUX millénaires différents...
Nous sommes passés du téléphone avec un opérateur pour les appels longue distance, des cabines téléphoniques, aux appels vidéo partout dans le monde.
Nous sommes passés des diapositives à YouTube, des disques vinyles à la musique en ligne, des lettres manuscrites aux e-mails et Whats App.
Des matchs en direct à la radio, à la télévision en noir et blanc, à la télévision couleur, puis à la télévision HD 3D.
Nous sommes allés au magasin de vidéos et maintenant nous regardons Netflix.
Nous avons connu les premiers ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes et maintenant nous avons des gigaoctets et des mégaoctets sur nos smartphones.
Nous avons porté des shorts tout au long de notre enfance, puis des pantalons longs , des pats d'eph ou des mini-jupes, des Oxfords, des Clarks, des foulards palestiniens, des combinaisons, et des jeans bleus.
Nous avons évité la paralysie infantile, la méningite, la poliomyélite, la tuberculose, la grippe porcine et maintenant le COVID-19.
Nous avons fait du patin à roulettes, du roller, du skate, du tricycle, du vélo, du cyclomoteur, de l'essence ou du diesel et maintenant nous conduisons des hybrides ou des électriques.
Nous avons joué aux petits
chevaux et aux dames, aux osselets et aux billes, au 1000 bornes et au monopoly, maintenant il y a candy crush sur nos smartphones
Et nous lisions...beaucoup
Et la religion de nos camarades d'école n'était pas un sujet...
Nous buvions l'eau du robinet et la limonade dans des bouteilles en verre, et les légumes dans notre assiette étaient toujours frais, aujourd'hui on se fait livrer les repas
Oui, nous avons traversé beaucoup de choses, mais quelle belle vie nous avons eu !
Ils pourraient nous décrire comme des «exannuels» ; des gens qui sont nés dans ce monde des années 50, qui ont eu une enfance analogique et une vie adulte numérique.
Il faudrait y ajouter la révolution Biologique à laquelle nous avons assisté. En 1960, la Biologie était très descriptive. On a assisté à l'avènement de la Biologie Moléculaire : les molécules de la Vie ont été decouvertes: ADN, ARN etc. Quand on voit tout ce qui en a découlé : thérapie génique, empreintes genetiques, et autres les progrès sont considérables.
Nous avons en quelque sorte «tout vu» !
Notre génération a littéralement vécu et témoigné plus que toute autre dans toutes les dimensions de la vie.
C'est notre génération qui s'est littéralement adaptée au «CHANGEMENT».
Un grand bravo à tous les membres d'une génération très spéciale, qui sera UNIQUE..»
Photo Woodstock 1969
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Dans le patelin paumé de Trifouillis-les-Oies, l'Auto-École Buissonnière, ancienne gloire de ce vieux briscard de Dubonnet, se la joue maintenant belle au bois dormant sous un soleil qui s’en tamponne, rideaux tirés sur des souvenirs de crémaillères. À l'heure où même les coqs ont la flemme de chanter, un sac poubelle, seul comme un verre de pastis plein dans une réunion des Alcooliques Anonymes, se met à causer du bon vieux temps avec l'enseigne qui a vu plus de départs ratés que la ligne 13. « Eh, le panneau, tu te souviens du temps où les bleus venaient s'essayer à la danse des pédales ? » susurre le sac poubelle d'un ton goguenard. « Ouais, » répond l'enseigne d'une voix craquelée comme un vieux disque, « ils étaient aussi habiles qu'un manchot au crochet. Une vraie fanfare de pieds gauches ! » Soudain, une passante, Madame Michu, s'arrête devant la vitrine, intriguée par le panneau « À louer ». Elle s'adresse à son bichon frisé : « Tu te rends compte, Froufrou, si j'ouvrais ici ma boutique de tricot ? » Elle est comme ça Mme Michu, toujours à tricoter des plans sur la comète. Froufrou, indifférent aux ambitions commerciales de sa maîtresse, se contente de lever la patte vers le sac poubelle, offrant son commentaire acerbe sur la situation. Et c'est ainsi que chaque jour, la petite école de conduite attend son prochain chapitre aux côtés d’un sac poubelle bavard, pendant que Froufrou, philosophe canin, continue de marquer son territoire.
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chic-a-gigot · 1 year ago
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La Mode illustrée, no. 40, 5 octobre 1873, Paris. Modèles de chez Mme Bréant-Castel; rue du quatre-septembre, 19. (Les explications des figures de cette page se trouvent sur la plance de patrons.) Talma en drap olive avec ornements en ficelle. Talma double en drap avec broderie. Mantelet en drap bleu-noir. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Talma en drap olive avec ornements en ficelle.
Oui, vous avez bien lu: en ficelle; ces plaques, ces glands sont faits en grosse ficelle pareille à celle que l'on trouve chez les épiciers. Au milieu des petites plaques, se trouve un disque en jais noir. Le contour est orné d'une large bordure exécutée en perles de jais et d'une guipure de même teinte que le drap employé pour le talma.
Talma in olive cloth with string ornaments.
Yes, you read correctly: in string; These plates, these tassels are made of thick string similar to that found in grocers. In the middle of the small plates is a black jet disc. The outline is decorated with a wide border made of jet beads and guipure of the same color as the cloth used for the talma.
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icariebzh · 1 year ago
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Chacun possède de curieuses rassurantes que les mystères de la vie lui dictent en filigrane. Parfois, ils sont présupposés, dictés par je ne sais quelle obligation supérieure inscrite dans des livres d'une foi, deux fois, cent fois et lois  divine/devine. Ben ma foi... Et  puis quelquefois, les gestes sont ancrés dans l'histoire de racines familiales, à valeur d'exemple, sans qu'on y prenne toujours garde . Ainsi, dans le champ des possibles de mon pré construit, il est une manière de faire au petit matin et soir aussi, je peux bien  l'avouer, consistant à tapoter avec légèreté et insistance tout de même, le baromètre accroché au mur, pour apprendre un peu de ce que la journée pourrait  réserver météorologiquement  parlant- mais en silence- je vous prie; Cette conduite addictive comme l'on dit en fac de psycho je la tiens de mon paternel qui lui même la briguait de son... Enfin bref... chaque journée passée au bercail avant que mes  jeunes ailes m'emportent vers d'autres univers et printemps compris, j'ai pu constater - du coin de l'oeil- que mon géniteur l'air  sérieux et pénétré, pendant quelques  graves secondes entrait en communion -en tout bien tout honneur- avec son instrument de mesure préféré. Je n'avais pas besoin de prendre la place une fois celle-ci libérée, il me suffisait de regarder sa tête pour comprendre quel sort nous était réservé par les dieux du ciel et tout leur barda. Cela fait longtemps maintenant que papa a grillé sa dernière disque bleu filtre; mais lorsqu'à mon tour -quotidiennement- je titille la pression atmosphérique sur la machine léguée par principe , c'est comme si son index dédoublait le mien; et ce doigt coutumier me rassure,  quelles qu'en soient les conséquences du tableau de bord de père.
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transparentgentlemenmarker · 11 months ago
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L’histoire de Rolex est inextricablement liée à l’esprit innovateur et visionnaire de Hans Wilsdorf.
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En 1905, à l’âge de 24 ans, il fonde une société à Londres, spécialisée dans la distribution de montres.
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1908 le génie en cinq lettres
1910 la quête de la précision chronométrique
1914 certificat de précision de Classe « A »
1919 Rolex déménage à Genève, capitale mondiale de l’horlogerie. La société Montres Rolex S.A. y naît en 1920.
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1926‑1945 avancée dans la technique
1926 la première montre-bracelet étanche
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1927 le défi de la traversée de la Manche
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1931 Mouvement Perpetual
1933 le survol de l’Everest
1935 Sir Malcolm Campbell à la conquête des airs
1935 les performances techniques de l’Oyster
1945 la première Datejust
1953 les montres professionnelles, l'Everest, l'Explorer, la Submarine, les premiers vols transcontinentaux
1955 La GMT-Master
1956 La Day‑Date
1957 La Lady‑Datejust
1959 Daytona Beach
1960 Deep Sea Spécial
1963 le Cosmograph Daytona
1967 la Sea-Dweller
1971 l’Explorer II, Comex
1978 Sea‑Dweller 4000
1985 Acier 904L
1992 la Yacht-Master
2000 mouvement 4130
2002 programme Rolex de mentorat artistique
2005 lunette Cerachrom, Spiral Parachrom bleu
2007 la Yacht‑Master II est la première montre au monde à disposer d’un compte à rebours
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2008 la Rolex Deepsea
2012 la Sky‑Dweller, la Rolex Deepsea Challenge est une montre de plongée
2013 la GMT‑Master II dont le disque Cerachrom bicolore est en céramique bleue et noire
2014 le calibre 2236 avec spiral Syloxi
2015 Calibre 3255
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Bracelet Oysterflex
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reprisereprise · 8 days ago
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01/02/2025
Je copie tout un disque dur sur un autre. Un bug informatique me contraint à déplacer les dossiers un par un. À nouveau, après le travail de recherche et de sélection que j’ai effectué dans mes archives pour constituer mon livre photo, je retombe sur des photos oubliées. C’est-à-dire des moments. Clément partout tout le temps. Surpris de le trouver beau, à nouveau, sur cette très courte vidéo où on le voit conduire, s’emparer du frein à main — et on voit ses cuisses, son jean serré — dans un noir et blanc qui relègue ça au passé, irrémédiablement, ainsi que la manière dont notre histoire s’est arrêtée (brutalement et sans possibilité de retour : presque mort).
Il m’écrit je t’aime. J’allais poser mon téléphone pour me coucher. Je lis. Je dors. Il m’écrit je t’aime. Au réveil, je viens à peine d’ouvrir les yeux et je lis ça, à nouveau, sur mon téléphone. Je lui demande si ça va, s’il veut m’appeler ? Deux je t’aime en moins de 24 heures, c’est pas son genre. Il dit oui, s’appeler plus tard, oui. Il dit que tout va bien. Juste il m’aime, c’est tout. C’est tout.
Un peu envie d’une dernière fois, quand même, d’une dernière fois où je croiserais ses jambes devant moi pour avoir son corps tout d’un bloc au bout du mien et pouvoir le pénétrer vraiment entièrement en tenant ses genoux ; ou, comme il aimait, sur le ventre, et venir en lui avec mon visage collé à sa nuque ; sentir son cul chaud et ouvert. Voir ses yeux plissés de plaisir et me déchirer les lèvres sur sa barbe brune. Juste une dernière fois avant le changement de la nature de notre relation que je crois inévitable autant que nécessaire.
Clément, Guillermo, Saint, on dirait que je forme un triangle. Mais ce n’est pas du tout de cela qu’il s’agit. Il s’agit d’une constellation mémorielle, inconsciente, littéraire et réelle tout à la fois. Je pense à ça. Je l’écris. Il n’y a pas d’intention. C’est mon journal. La seule intention que j’y mets est celle de retranscrire sensiblement et au plus proche de ce qu’il se passe dans ma tête au fil des jours, des heures, des minutes.
H. dit qu’il passe le mois de février à Paris. Quand je le verrai je ne lui avouerai pas que j’ai rêvé de lui dans des circonstances très peu avouables. Peut-être lui avouerai-je que je pense souvent à ses yeux bleus depuis mon court séjour à Nantes, ainsi qu’au souvenir ému de son corps au bord de la piscine à Voiron — un maillot de bain, une peau blanche et ensoleillée, qu’importe le reste.
Je ne parle que d’amour.
« Comme tu es très réceptif tu as laissé le langage, les mots, te restructurer. C’est peut-être la seule chose où tu as fait une confiance totale. C’est ton geste d’amour ultime. C’est “puisque je ne comprends rien, adoptons tous les mots pour tenter de comprendre et on verra bien ce qu’ils disent”. C’est courageux bb !! » [Saint, 28 janvier, SMS, 1h32 de la nuit environ]
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matthias-songbook · 12 days ago
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Saul Adamczewski a sorti le plus bel album de Noël post apocalyptique
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Limogé de la Fat White Family, l'artiste aujourd'hui exilé à Londres a traversé des tempêtes personnelles pour enfin sortir un magnifique premier album, Adventures in Limbo. Il reviendra en 2025 avec son autre groupe, Insecure Men, comme la promesse d'un avenir radieux. Rencontre
Parler à Saul n'a pas été une mince affaire. Non pas que le monsieur soit assailli d'interviews, surtout en France où sa notoriété reste à ce stade relative. Disons simplement que nos emplois du temps respectifs, très occupés par le vide qui les caractérise, se sont tourné autour quelques jours avant d'avoir la certitude que quelques minutes passées ensemble au téléphone allaient plus valoir le coup que d'étendre la deuxième machine de la journée.
J'ai toujours écrit des espèces de morceaux de country triste
Fort heureusement, Saul Adamczewski est un homme patient. Et de patience, il en a eu bien besoin ses dernières années : se prenant la crise du Covid et le Brexit de plein fouet, c'est l'isolement suscité par le premier, en bord de mer en compagnie de son ex-femme, qui l'a poussé à écrire Adventures in Limbo, disponible depuis 2023 sur YouTube de façon plus ou moins légale suite à un démêlé avec le label Domino (Arctic Monkeys, Franz Ferdinand) et de gros soucis de drogues. "Cela faisait des années que j'avais un problème avec le crack." Une situation intolérable qui poussa le label à annuler la sortie du disque au dernier moment, conduisant Saul à sombrer dans une spirale infernale. "J'étais marié, j'étais papa. Et je me suis totalement vautré dans la drogue. J'ai fini par réaliser que je n'étais plus avec ma femme, que je ne pouvais plus voir mon enfant. Et en plus de ça on m'interdisait de publier ma musique." Il documenta sa souffrance sur son compte Instagram, s'affichant à l'hôpital et invitant son audience à exiger du label la sortie du disque. "Je n'ai pas été hospitalisé à cause de la situation avec Domino, mais je voulais que les gens leur mettent la pression. (...) Je vais mieux maintenant, mais j'ai clairement fait une dépression nerveuse l'année dernière."
Vivre en bord de mer, ça peut rendre fou
Des embrouilles qui lui ont coûté sa place au sein de la Fat White Family, fragilisée par les affaires de harcèlement visant le label américain Burger Records (sur lequel le groupe avait sorti ses deux premiers albums au format cassette, pour rappel) : "Le boss de Domino a appelé Lias (Saoudi, leader de la Fat White Family, ndlr) et lui a dit que Pink Floyd était devenu le plus grand groupe du monde après qu'ils se soient débarrassés de Syd Barrett." Un message plutôt explicite, même si Saul me précise que des divergences internes existaient déjà : "Je voulais faire de la drone music mais eux ils voulaient, genre, chanter." Même pour cette team de punks londoniens, Saul sentait le soufre : "Les gens pensent soit que je suis fascite, soit que je suis raciste, soit que je suis fou." En m'avouant sa fascination pour les totalitarismes en général, jugeant les excentricités de Mussolini "camp", on peut comprendre que Saul puisse avoir du mal à se faire comprendre et à s'entourer. On se rappelle aussi que Lemmy de Motörhead, porte étendard de la liberté rock'n'roll et connu pour avoir été l'homme le plus simple et gentil du monde, collectionnait les artefacts nazis, fruit d'une fascination que certains pourraient qualifier de morbide. Cautionne-t-on ce qui suscite notre intérêt ? Impossible de le penser au contact de Saul. Et si par malheur vous imaginiez qu'il aurait mis un portrait d'Hitler comme photo de profil Instagram, perdu : il s'agit d'Austin Osman Spare, artiste occulte du XIXème siècle britannique, "comme Aleister Crowley, mais en bien" me répond-il, amusé.
J'ai fini en taule quelques fois
Aujourd'hui, tout va bien (ou presque) : si son visage émacié, ses grands yeux bleus et sa dent en moins caractéristique portent les stigmates d'une vie d'excès, Saul Adamczewski vient malgré tout de publier officiellement Adventures in Limbo sur toutes les plateformes rémunérant très mal les artistes. Un disque magnifique, rempli de douceur et de mélancolie, proposant ponctuellement des thèmes que l'on se surprendrait à murmurer au coin du feu, le regard perdu pendant un repas de Noël trop bruyant et dont les flammes vous auront extirpé pendant un moment. Un quasi disque de Noël quand on ne connaît pas le background chaotique qui lui a servi d'humus.
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Remis d'aplomb, Saul s'apprête à remettre plusieurs pièces dans la machine : d'abord avec The Coward, projet fondé en collaboration avec John S. Hall, un nom bien connu de l'avant-garde new-yorkaise à l'œuvre notamment au sein de King Missile. L'album devrait arriver d'ici fin janvier. Ensuite avec Insecure Men, side project fondé aux côtés de Ben Romans-Hopcraft du groupe Childhood, dont je garde un souvenir ému du premier album paru en 2018, entre pop, doo-wap et ballade de bord de mer avec un saxo pied au plancher. Une suite qui devrait arriver d'ici le début de l'été.
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Enfin, Saul travaille déjà sur un autre album en solo, aidé par Sonic Boom de Spaceman 3, à qui il doit la vie de son propre aveu. Un projet en forme de bouée de sauvetage, l'artiste ayant semble-t-il trouvé un autre moyen de s'exprimer : "Je ne peux plus écrire de poésie pour mes paroles, j'ai juste besoin de dire ce que je ressens. C'est comme ça que j'ai commencé à écrire plus de chansons d'amour. Et je crois que c'est plutôt une bonne chose, à vrai dire."
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Pour écouter (officiellement) Adventures in Limbo de Saul Adamczewski :
Spotify - YouTube - Soundcloud - Apple Music - Deezer
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blogueericdescarries · 21 days ago
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Honda Ridgeline Trailsport et le Salon de l'auto de Montréal 2025
Honda Ridgeline Trailsport et le Salon de l’auto de Montréal
Le 18 janvier 2025
Je suis de retour! En effet, après un superbe temps des Fêtes, j’aurais bien voulu revenir à mon blogue plus vite  mais les évènements se sont bousculés. Évidemment, le Salon de l’auto de Montréal est arrivé plus vite que prévu ce qui m’a demandé du temps de préparation…puis d’autres obligations se sont greffées…mais, vous savez ce dont je parle. Le retour du temps des Fêtes, quoi!
Malgré tout, j’ai pris le temps d’aller chercher une camionnette Honda Ridgeline dans sa finition Trailsport assez élaborée pour mes impressions de conduite hebdomadaires. Tiens! Je suis persuadé que vous vous posez une question qui est la même que la mienne. Le Ridgeline est-il plus un VUS ou un petit pick-up ? Voici mon petit grain de sel...
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La camionnette Ridgeline Trailsport 2025 se reconnaît à sa calandre spécifique plus agressive. (Photo Éric Descarries)
Au départ, il faut comprendre que Honda n’a pas nécessairement voulu suivre la philosophie de ses concurrents avec le Ridgeline. Je me souviens très bien qu’au lancement du modèle en 2005 ou 2006 à San Diego en Californie, les gens de Honda voulaient créer une sorte d’hybride plus axé vers l’usage personnel que vers l’utilisation commerciale. Cependant, le constructeur japonais n’a rien négligé en matière de rigidité lui ajoutant une sorte de châssis contournant la plateforme d’origine quand même déjà robuste. Techniquement, le Ridgeline partage la majeure partie de ses éléments mécaniques avec le VUS Pilot et la fourgonnette Odyssey.
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Le Ridgeline vu de l’arrière avec son panneau embossé de la marque. (Photo Éric Descarries)
Dans le cas de la version Trailsport dont il est question ici, Honda a ajouté au Ridgeline des teintes plus contrastantes, une calandre unique, des roues et pneus plus robustes et quelques autres petits détails spécifiques à la marque incluant une peinture optionnelle de couleur bleu ciel.  Honda ne propose qu’une seule version de sa camionnette soit un véhicule à quatre portes à cinq places avec caisse arrière de 5,3 pieds (comme celle de la concurrence). À noter, par contre, l’espace du plancher entre les puits d’aile des Ridgeline est de 50 pouces ce qui permet d’y glisser un contreplaqué de 4 x 8 à plat ce qui n’est pas offert par la concurrence (même pas par les Ranger ou Colorado) sauf pour les F-150, Silverado/Sierra et Ram de plus grande dimension!
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Le seul moteur disponible est le V6 de 3,5 litres qui est malheureusement invisible sous son couvercle décoratif. (Photo Éric Descarries)
Sous le capot se trouve le même V6 SACT de 3,5 litres que l’on peut voir sous le capot des Pilot et Odyssey. Il fait 280 chevaux et 262 li-pi de couple mais il ne peut venir qu’avec une boîte automatique à neuf rapports et la traction intégrale. La version Trailsport est livrée avec des pneus General Grabber 245/60 R-18 pour des excursions hors-route légères alors que le freinage à quatre disques complète une fiche technique qui spécifie une suspension à jambes de force MacPherson à l’avant et des bras tirés à l’arrière (mon véhicule d’essai était chaussé de pneus d’hiver Michelin Ice Snow SUV). La caisse peut transporter jusqu’à 1600 livres mais la capacité de traction du véhicule est de 5000 livres ce qui est de 2000 à 2500 livres de moins que les Colorado/Canyon et Ranger (le Maverick n’affiche que 4000 livres mais le véhicule est plus petit!). Le poids total du Ridgeline oscille autour des 4500 livres.
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Le tableau de bord est simple mais très efficace. (Photo Éric Descarries)
L’intérieur de ce Honda est intéressant. Il n’est peut-être pas flamboyant mais il est pratique. Le tableau de bord est simple mais bien aménagé avec la majorité des instruments faciles à lire. Vous noterez l’absence d’un levier de vitesse celui-ci étant remplacé par des commandes électriques digitales (manipulées par la pression d’un doigt) à la console. Petit détail amusant mais très utile (selon moi), le frein de stationnement n’est pas électronique mais manuel étant activé par le pied ! Étant destiné à quatre passagers, il y a quand même de la place pour trois personnes à l’arrière. Et le coussin de la banquette (divisible) peut se relever pour le transport de certains objets encombrants (comme un vélo de montagne, par exemple). Vu qu’il s’agit ici d’une carrosserie monocoque (« hardbody » avec une séparation visuelle mais fausse d’avec la caisse), il n’y a pas de partition amovible entre l’habitacle et la caisse.
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On peut monter à trois à l’arrière. (Photo Éric Descarries)
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En soulevant le fauteuil, on obtient un espace de chargement intéressant. (Photo Éric Descarries)
En parlant de cette caisse de 5,3 pieds, rappelons que son plancher (en composite) accepte le traditionnel panneau de contreplaqué de 4 x 8 à plat entre les passages de roue. On accède à cette caisse par le panneau arrière qui peut s’abattre à plat ou s’ouvrir comme une porte. Les Ridgeline ont toujours eu un coffre verrouillable et bien étanche dans le plancher arrière de la caisse ! De plus, si l’on veut transporter certains objets plus longs mais moins larges, l’utilisateur peut toujours ouvrir la petite fenêtre de la lunette arrière (une option disponible qu’avec les deux versions les plus coûteuses) pour ce faire.
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Désolé pour la neige dans la caisse, c’est l’hiver au Québec! (Photo Éric Descarries)
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Détail intéressant, le Ridgeline possède un coffre verrouillable dans la caisse. (Photo Éric Descarries)
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Les finitions plus poussées ont droit à une petite fenêtre arrière ouvrante à commande électrique…plutôt pratique. (Photo Éric Descarries)
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Tous les Ridgeline ont droit à ce panneau arrière rabattable qui peut aussi ouvrir comme une portière. (Photo Éric Descarries)
Sur la route…et même hors-route !
Le Ridgeline est un véhicule très amusant à conduire, comme tout Honda. Ses performances sont respectables (avec un 0-100 km/h en quelque sept secondes) sans être éclatantes. Mais sa conduite, sa tenue de route et son comportement routier sont à la hauteur des attentes des amateurs de Honda! Beaucoup plus que chez la concurrence ! La suspension n’est pas trop ferme mais, ne vous en faites pas. Même si ce n’est pas le véhicule hors-route par excellence (ici, la concurrence peut sembler y avoir tout un avantage), j’ai déjà réussi des manœuvres assez difficiles avec un Ridgeline! Malheureusement, je le répète, la capacité de remorquage du Ridgeline est plutôt limitée comparativement à la concurrence. Toutefois, pour la majorité des automobilistes, elle est suffisante. Qui plus est, avec son apparence plus modérée et u seuil de porte moins élevé, le Ridgeline fait plus VUS que pick-up pour un usage quotidien !
Question consommation, si vous croyez que, parce que c’est un Honda, il ne consommera pas (une remarque qui m’a si souvent été passée durant ma semaine d’essai!), sachez que durant une période hivernale modérée, je n’ai pu faire mieux que 15,8 l./100 km (semblable à ce que l’ordinateur de bord m’indiquait) soit l’équivalent de ce que me donnent les pick-up intermédiaires de la concurrence me donnent. Et ce, malgré la fonction Econo activée par un bouton au tableau de bord…Un peu déçu…
Enfin, le prix de ce beau pick-up est vraiment concurrentiel. Incluant l’option Trailsport, Honda annonce ce Ridgeline à 57 112 $. Il faut alors ajouter 2112,50 $ pour le transport et la préparation en plus des taxes locales et ainsi de suite. Donc, si vous êtes à la recherche d’un pick-up intermédiaire dont le comportement routier et la conduite sont des plus agréables, ajoutez donc le Ridgeline à votre liste de recherche. Vous allez peut-être paraître moins « macho » au volant de ce véhicule qu’au volant d’un des monstres un peu plus brutes de la concurrence mais en revanche, vous allez vivre avec un véhicule plus civilisé qui vous offrira des possibilités inattendues!
Le Salon de l’auto de Montréal, toujours aussi captivant!
J’ai déjà eu l’opportunité de visiter le Salon de l’auto de Montréal (sauf la section des autos modifiées), version 2025 et, malgré le fait que j’ai beaucoup d’information et de divertissement sur le sujet à longueur de journée, je ne peux que vous inciter à y aller de vous-même! Le Salon qui se déroule toute la semaine (jusqu’à dimanche prochain) au Centre des Congrès de Montréal vaut, encore une fois, le déplacement, croyez-moi. J’y retournerai certes cette semaine car il y a de l’information que je n’ai pas pu glaner lors de la journée de la présentation de la presse spécialisée. Toutefois, puis-je vous suggérer d’y aller par métro? La circulation en ville, c’est l’enfer. Puis, il y a le prix très élevé du stationnement…Mais, j'y reviendrai la semaine prochaine...
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Mon coup de cœur, le VUS Gravity de Lucid. (Photo Éric Descarries)
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Vous serez peut-être attiré par la superversion GTD de la Mustang à 440 000 $... (Photo Éric Descarries)
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Le plus important dévoilement au Salon de Montréal? Celui du VUS tout électrique Ioniq 9 de Hyundai! (Photo Éric Descarries)
Enfin, sachez que, malgré certains plans que j’avais élaboré, je ne me suis pas rendu au Salon de l’auto de Detroit qui a ouvert quelques jours avant celui de Montréal. La raison? Ce n’est plus le North American International Auto Show. Donc, plus de prototypes, plus de grands stands avec des présentations internationales. Detroit n’est pas plus important que Montréal maintenant…
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recidivelocale · 25 days ago
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Vincent - Troisième Partie
Cette nuit, j’ai caressé mes rêves. Ils s’accrochaient à moi comme des sangsues, gonflés de couleurs fades et de cris étouffés. Le poids des couleurs était déterminant, comme toujours. J’ai ressorti ma balance chromatique, ce vieux nuancier abîmé, et j’ai trié les ombres des songes : du gris, du brun, un peu de jaune maladif. Rien de bleu. Pas de vert. Le rouge, lui, s’étirait comme un ruisseau capricieux, indélébile.
Je suis dans cet appartement gris, vieillot, encombré de meubles dépareillés qui craquent s’affaissent, débordent comme éviscérés. Un fauteuil défoncé attend dans le coin, sa mousse éventrée jaillissant comme une plaie ouverte. La lumière tremble au plafond, une ampoule nue pendue à un fil poussiéreux. L’air pesant, chargé de relents de renfermé et d’humidité, comme si les murs eux-mêmes pleuraient.
Élise est là, bien sûr. Elle est toujours là, avec son sourire fissuré et ses mains tremblantes. Elle me parlait encore de café. Cette obsession ridicule. « Vincent, ton café », répétait-elle sans fin. Sa voix sonnait faux, comme un vieux disque rayé. Parfois, j’avais l’impression qu’elle ressassait ces mots pour combler un vide, pour étouffer un cri, ne pas entendre le silence morbide de sa triste vie.
ECOUTEZ-MOI ! MERDE ! PUTAIN !
Je marche. Je marche pour étouffer les chuchotements dans ma tête. Ces murmures acides et venimeux, que je ne peux pas arrêter. On dit que marcher chasse les mauvais esprits. Alors je marche, sans but, juste pour ne pas sombrer. Les pas résonnent sur le parquet, et chaque craquement semble rire de moi. Chaque bruit m’accuse. J’entends des rires fêlés derrière moi, je me retourne, il n’y a rien, que l’ombre froide et lointaine des murs.
La Grande Faucheuse est là. Je la sens. Elle flotte, invisible mais palpable, insidieuse mais claire dans ses intentions, juste derrière mon épaule. Elle murmure des prières tordues, des mots qui me brûlent l’esprit. Je me demande parfois si elle était là quand je suis né, penchée sur le berceau, murmurant déjà son agenda morbide.
Ma mère aurait compris, peut-être. Si elle était encore là. Mais elle n’a jamais été là, pas vraiment. Elle était une ombre qui passait, laissant derrière elle un parfum de cigarettes bon marché et une vague colère. Je crois qu’elle m’aimait, à sa façon. Elle m’appelait « son petit Vincent », avant de disparaître pour des jours, des semaines. Ses absences étaient comme des trous noirs qui avalaient tout.
Un jour, elle est partie pour de bon. Je n’ai même pas pleuré. J’avais dix ans, et dans ma main je serrais ma coupe dorée. Ce trophée ridicule gagné au foot. C’était mon seul bien précieux, ma seule victoire. Ma mère n’est jamais revenue, mais la Faucheuse, elle, n’a jamais cessé de rôder.
Elle a laissé des empreintes, ma mère. Des marques invisibles mais profondes. Parfois, je sens son odeur, même dans cet appartement. Je me retourne, persuadé de la voir, mais ce n’est qu’une illusion, un souvenir moisi par le temps.
Je vous ai parlé d’Elise ? Le calice de la mort, une amanite phalloïde. ELLE DEVAIT MOURIR, c’est moi qui l’ai fait… Je ne regrette pas, enfin si un peu mais ça valait le coup, oh putain oui.
Élise est tombée, elle aussi. Je revois encore le moment où ma coupe s’est enfoncée dans son crâne déjà fêlé. Je ne sais pas pourquoi je l’ai fait. Peut-être parce qu’elle parlait trop. Ou peut-être parce qu’elle ne disait jamais ce qu’il fallait. Ses yeux bleus se sont éteints, devenant une sorte de gris laiteux, comme si l’âme avait fui mais que quelque chose de pire restait. C’est presque drôle de la voir sans qu’elle ouvre sa grande gueule.
Son corps est encore là, effondré sur la vieille chaise bancale. Ça fait combien de jours ? Trois ? Peut-être quatre. L’odeur a envahi l’appartement, lourde, sucrée, insupportable. Parfois, je lui parle. Je lui explique les couleurs de mes rêves, je lui raconte mes souvenirs. Mais elle ne répond jamais. Elle est meilleure comme ça, silencieuse.
Je serre souvent ma coupe contre ma poitrine. Le métal est froid, mais il me rassure. Parfois, je me dis que ce trophée est mon âme, ma seule récompense. Je la nettoie avec soin, même si des traces rouges s’y sont incrustées. C’est beau, dans un sens. Comme une œuvre d’art, une icône.
La nuit expire. Les voix reviennent, insistantes, méchantes. Elles parlent de Dieu, de rédemption, de souffrance. Elles disent que je dois me racheter. Elles disent que je suis un Judas, que je tiens encore les trente deniers dans ma main. Mais je ne crois pas à Dieu. Je ne crois qu’à la douleur, à cette Faucheuse qui me suit partout, presque comme une amie rassurante, toujours présente. Elle est belle malgré tout.
Et vous savez quoi ? La mort du Christ ! Une autre histoire tordue. Ils disent qu’il est mort pour nos péchés, qu’il est revenu. Mais moi, je crois qu’il est resté là-bas, cloué sur son bois. Comme Élise. Comme ma mère. Les icônes sacrées dans les livres à la reliure dorée me fixaient avec des regards pleins de reproches. Ils savaient tout, ces visages peints, mais ne disaient rien.
Je pense à la rédemption parfois. Pas pour moi, mais pour eux. Peut-être qu’en marchant assez, en racontant assez d’histoires, je pourrais alléger le poids de leurs âmes. Ma mère, Élise, même le Christ peut-être. Mais la vérité, c’est que je marche pour moi et pour le temps qu’il me reste, je ne veux penser qu’à moi. Parce que si je m’arrête, je tombe. Et si je tombe, je sais que je ne me relèverai pas.
Quand je me réveille, c’est toujours pareil. La lumière blafarde entre par la fenêtre sale. Les meubles sont toujours là, moisis et grinçants. Élise est toujours là, son sang séché comme une peinture abstraite sur le plancher. Le sang brunoie, le cadavre blanchoie, tu ne vois rien venir, Anne, ma sœur, Anne ?
Mais aujourd’hui, il y a quelque chose de différent. Mon amie la Faucheuse est plus proche, presque intime. Je la sens presque me toucher, sa main froide effleurant ma nuque. Peut-être que c’est le jour. Peut-être qu’elle est venue pour moi cette fois. Je frissonne peut-être pas pour les bonnes raisons. Une chaleur s’installe dans mon bas ventre, c’est très bon.
Je serre ma coupe de foot contre ma poitrine. Elle est lourde, pleine de tout ce que je suis. Mes rêves, mes échecs, mes souvenirs. Je me lève, je vacille. Et je marche. Parce qu’il n’y a rien d’autre à faire.
Marche, Vincent, marche jusqu’à la fenêtre. Encore. Toujours. Jusqu’à ce que la Faucheuse décide que c’est assez.
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leproton · 4 months ago
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La KB 5044384, une maj pas si optionnelle
La grande sage des plantages de la 24H2 de Windows 11 ont fait couler pas mal de bits dans le monde de l’informatique, entre stockage temporaire de 9 GO, plantage des disques western, écran bleu, transition au noir et perte de curseur du mulot, la 24H2 a fait fort , fort heureusement Microsoft est assez réactif et propose une mise à jour optionnelle qui perso je trouve essentielle, la KB5044384…
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omagazineparis · 8 months ago
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Cheveux automne – des vrais coup(e)s de cœur !
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Cheveux automne : toutes les nouvelles tendances pour une super rentrée ! Des vrais coup(e)s de cœur et pour toutes le têtes. Quel que soient courts ou longs, lisses ou bouclés, pas de souci : il y a un look pour tes cheveux aussi. Deviens une reine de beauté en adoptant quelques astuces : ciseaux et couleurs, tes nouveaux mots-clés. Regarde-toi dans le miroir et répète après moi : « Je suis divine » ! Cheveux automne : Juliette Binoche aussi enchantée par le Wet 1980 Juliette Binoche - Cannes Juliette Binoche jeune On l’a vue sur le tapis rouge du Festival de Venise à côté d’une autre icone du cinéma français, Catherine Deneuve : c’est la merveilleuse Juliette Binoche. L’actrice qui a joué le rôle de la fille de Catherine Deneuve dans la pellicule La vérité du réalisateur japonais Kore-eda, a montré, en fait, un look à couper le souffle. De même, cohérente avec les nouvelles tendances cheveux automne, Juliette Binoche a apparu sur le red carpet avec une coiffure New Wet 1980. Comme sortie de la douche ou de la piscine, vous allez craquer pour ce look gracieusement mouillé. Et tout ça grâce à la texture d’un gel ! Et après les vagues de la mer de cet été, le New Wave pour la rentrée De retour de l’été on aura, peut-être, nostalgie de la mer : allez-y alors, avec les ondes en tête New Wave pour la rentrée De retour de l’été on aura, peut-être, nostalgie de la mer : allez-y alors, avec les ondes en tête ! En fait, l’une des nouvelle tendances cheveux automne c’est de prolonger l’été. Comment ? Pourquoi ne pas recréer une mer mouvementée entre les rives de vos cheveux ? Tout d’abord, il faut un fer à boucler pour donner la juste onde à votre coiffure. Néanmoins, n’oubliez pas de défendre vos cheveux de la chaleur du fer : on vous conseille donc d’utiliser un spray thermorégulateur. Et les jeux sont fait ! Même la divine Emma Stone a choisi cette tendance pour créer un look de vraie diva des années 1950. A lire : Coiffures faciles et rapides pour briller en public Carré, carré et encore carré : le prince parmi les coupes de cheveux Le prophète du carré « remis à neuf » avait été l’année dernière, Franck Provost. Carré, carré et encore carré : le prince parmi les coupes de cheveux Le prophète du carré « remis à neuf » avait été l’année dernière, Franck Provost. Et cette année, heureusement, les tendances cheveux automne accueillent encore une fois lui : Monsieur le Roi Carré ! Le fait que le carré soit incontournable à travers les époques, est révélateur. Vous pouvez le lisser ou créer des bouclés. Il est indéniable que vous serez toujours divines ! Un look facile à porter au travail ainsi que pour la soirée. Allez courage alors, on prend un rdv chez le coiffeur et… ciseaux ! Cheveux automne - Couleur: je vois la vie…en violet ! Cheveux automne : toutes les nouvelles tendances pour une super rentrée ! Des vrais coup(e)s de cœur et pour toutes le têtes Cheveux automne - Couleur: je vois la vie…en violet ! Mot-clé de notre guide cheveux Automne : c’est la couleur ! Violet, rose, bleu ou une couleur acajou : voici la palette des artistes coiffeurs. Une rentrée de rêve pour plonger dans un univers de conte de fée. Malgré notre enthousiasme, la musique Métro-boulot-dodo t’angoisse encore ? Change pas de disque. Change de couleur ! A lire : Prévenir la chute de cheveux grâce à une hygiène de vie saine ? Et toi qui lis ? C’est quoi ta tendance cheveux automne préférée ? Hâte de lire tes avis dans les commentaires ! Read the full article
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photos-car · 11 months ago
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alexandrebleus · 1 year ago
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Le « Nom du Père » est le pilier fondamental de tout l’édifice structurel lacanien. (Alexandre Bleus)
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Poursuivant ma petite et courte analyse de quelques concepts clés de la théorie de Jacques Lacan, il est évident que l’ on ne peut passer à coté du concept fondamental du « Nom du Père ». Cette notion ne fait absolument pas référence au père biologique mais bien plutôt à la structure. Et quelle structure ? Celle du langage qui est la seule réalité qui émerge de la logique qui, elle, est du côté du Réel. Cette référence se caractérise comme étant le principe organisateur qui agrège les signifiant au coeur de l’ automaton. L’ automaton étant l’ ensemble des signifiants qui tournent dans le « disque » du Symbolique (si j’ ose cette métaphore quelque peu audacieuse !).
Le Nom-du-Père désigne une fonction symbolique qui représente l’interdit et la loi. Cette fonction peut aisément ne pas être incarnée par le père biologique mais bien aussi par des institutions ou des concepts ou, bien entendu, par le langage bien structuré lui-même grâce à quoi ? mais grâce au principe du « Nom du Père », bien sûr ! Le « Nom du Père » est structurel chez Lacan car, dans la pensée lacanienne, la structure l’ emporte haut la main sur la nature qui n’ en est que la conséquence logique. On retrouve la quelques concepts dérivés immédiatement de la pensée de Hegel et l’ on peut même ajouter que Lacan est plus du côté de Platon que d’ Aristote malgré les nombreuses références qu’ il fait de celui-ci dans ses nombreux écrits et Séminaires.
On peut comprendre que l’ interdit (qui n’ est autre que la conséquence négative de la loi) est un inter-dit en ce sens que la loi est écrite et que l’ écrit est le dépôt du langage.
Le Nom-du-Père est donc le signifiant indicible et organisateur qui permet l’entrée dans l’ordre symbolique, cet univers régi par le langage et les conventions sociales. C’est par l’interdit et la loi que le sujet du langage apprend à différer ses désirs et à entrer en lien social avec les autres êtres de langage.
Le complexe d’Œdipe, étape cruciale du développement psychosexuel, constitue un moment charnière dans l’intériorisation du Nom-du-Père. En confrontant l’enfant à l’interdit de l’inceste et à la rivalité avec le père, ce complexe lui permet de renoncer à la satisfaction immédiate de ses désirs et de se situer dans la lignée du dire généalogique et social. Mais, à titre personnel, je pense que le complexe d’ Oedipe n’ est que l’ effet de l’ intériorisation du Nom du Père et, plus précisément encore, n’ est que la concrétion orchestrée par le Nom du Père lui-même lorsque celui-ci est mis en contact avec l’ automaton. On peut comparer ce principe organisateur à de la glace qui s’ agrégerait autour d’ un bâton plongé dans de l’ eau se refroidissant progressivement sous la température de zéro degré centigrade. Plongez le signifiant indicible (mais possédant bien un signifié) dans le champ des signifiants et vous organiserez le langage de manière signifiante ! On saisit mieux maintenant la raison pour laquelle la forclusion du Nom du Père est cause de la psychose. Nous éclairerons quelque peu le concept de forclusion dans un futur article.
Le Nom-du-Père doit donc être associé à la notion de castration symbolique qui représente l’abandon de la jouissance pulsionnelle et l’acceptation des limites imposées par l’ordre dur Surmoi.
Références bibliographiques
Lacan, J. (1953). Le Séminaire, Livre I : Les écrits techniques de Freud. Paris: Seuil. Lacan, J. (1957–1958). Le Séminaire, Livre V : Les formations de l’inconscient. Paris: Seuil.
Alexandre Bleus
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mysteriis-moon666 · 1 year ago
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LUMINOUS VAULT – Animate The Emptiness
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Le duo Luminous Vault réactive la noirceur des ruelles New-yorkaises avec des éléments électroniques indus et du métal noir pur.
Les parfums de ce disque de Black metal dévalent l'obscurité, ils sont alourdis par une meute de tombeau fleuri, veiné d'un bleu nuit. Dans la pénombre une brume de riff agite ses cendres éthérées. Le chant est une sonorité de vagues de glaise, et de ses picotements suintent de petits séismes sur peau et des larmes heureuses. Il y a la noirceur lunaire de Mesarthim et cette présence des racines de la terre noire, avec les branchements indus de Godflesh pour en éclipser la connectique. Les coups de fouet électro enlacent un temple abandonné entre ruine théâtrale et cité bombardée. Une noire chorégraphie fait écho à une ascension de spleen sombre, au détour d'une ombre sonique et dans une ruelle ténébreuse.
C'est un dDisque de nuit et d'hiver, cendré de peste électroniques et de black metal.
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traces-ecrites · 1 year ago
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Randocéane
J’ai suivi le GR8 pendant 4 jours, le long de l’océan Atlantique. J’ai marché beaucoup (et aussi un peu pédalé) en compagnie de 2 amies. J’ai rechargé mes batteries à bloc et j’ai emmagasiné plein d’images et de sensations, toute une valise de beaux souvenirs, à conserver précieusement, pour les moments de moins bien. Pour être sûre de bien les conserver, j’en laisse ici une trace écrite.
Le GR8 démarre de Saint-Brévin-les-Pins, juste au sud de l’estuaire de la Loire et longe la côte vers le sud, en théorie jusqu’au Pays Basque. En réalité, la continuité du tracé n’est pas encore partout assurée. Mais je ne comptais pas aller si loin. Dans la partie qui m’intéressait, en Loire-Atlantique et en Vendée, le tracé était parfait.
Je marche régulièrement sur des chemins de campagne, je peux aller marcher en forêt sans partir loin de chez moi, j’ai la chance de pouvoir assez souvent prendre de la hauteur sur des sentiers de montagne, j’ai déjà goûté au plaisir de marcher le long de la mer Méditerranée. L’Atlantique, c’était une nouveauté. Ses horizons infinis me faisaient rêver. Voilà un rêve réalisé.
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À mon retour, j’ai trié mes souvenirs, j’ai cherché à choisir ceux qui m’avaient le plus touchée. J’en ai fait un collier précieux, un cordon soyeux sur lequel j’ai enfilé 7 perles de toutes les couleurs.
Lever de soleil
Rouge comme l’astre solaire lorsqu’il jaillit de derrière l’horizon au début du jour. J’ai rarement observé le lever du soleil : c’est trop tôt pour moi. Mes 2 amies non plus ne sont pas « du matin ». Pourtant, là, pas le choix : le mari d’une de mes amies, qui devait nous conduire à notre point de départ, n’était disponible que tôt le matin, pour répondre ensuite à d’autres engagements.
Finalement, nous l’avons remercié de nous avoir imposé cet effort. Grâce à cela, nous avons vécu le moment magique de la naissance du jour dans un paysage magnifique : l’estuaire de la Loire, tout voilé de brume. Nous ne pouvions pas démarrer notre aventure sous de meilleurs auspices. Nous avons admiré les premières lueurs incandescentes poindre à l’horizon, grandir progressivement jusqu’à devenir un disque écarlate, au-dessus des haubans du pont de Saint-Nazaire. Puis, nous lui avons tourné le dos pour nous mettre résolument en chemin en direction de la plage.
Le soleil nous généreusement accompagnées pendant notre expédition, il nous a même fait ardemment transpirer. Pour tester notre détermination, nous avons aussi essuyé un bel orage, bref mais intense, avec éclairs et tonnerre, au 2e matin, ainsi qu’une petite averse qui nous a conduites à écourter notre pause déjeuner du 3e jour. Tant pis pour la sieste !
Couleur sable
Savez-vous ce qu’est une pêcherie ? Moi, je l’ignorais avant d’en découvrir toute la collection qui jalonne la côte dans cette région. Il s’agit de constructions sur pilotis, bâties en bois, soit installées sur la plage, soit reliées à la côte quand celle-ci est rocheuse. Certaines ne sont accessibles qu’à marée basse. Elles permettent la pratique de la pêche au carrelet, un grand filet carré, tendu sur des armatures, se manœuvrant à l’aide de cordes. Cette technique de pêche artisanale remonte à la nuit des temps.
Les pêcheries sont généralement équipées d’une petite cabane, pour se mettre à l’abri. Elles s’adaptent avec ingéniosité à la configuration des lieux et adoptent toutes des formes différentes. Rarement peintes, la plupart ont la couleur du bois brut battu par les vagues, les embruns et l’air marin, une couleur indéfinissable dans une palette de gris tirant vers le beige ou le brun, une teinte néanmoins chaude, qui tranche sur le bleu de l’eau et de l’air.
Sur la plage, elles peuvent former d’étranges alignements, comme de gigantesques insectes posés à la lisière entre l’eau et le sable. Quand la côte devient rocheuse et sinueuse, c’est une surprise chaque fois qu’on les découvre au détour du chemin. Elles ont été les sujets de mes plus belles photos. J’aurais adoré voir des pêcheurs à l’œuvre sur l’une d’entre elles, mais non. Peut-être une autre fois ?
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Pieds nus sur le sable
Dans les dessins d’enfants, le ciel et la mer sont bleus, le soleil et la plage sont jaunes. En réalité, le sable est rarement jaune. Il peut prendre une infinité de nuances, un éventail aussi large que du blanc au noir. Le long de l’Atlantique, disons que le sable est blond. Plus que sa couleur, ce qui me plaît avec le sable, c’est sa douceur. Pendant une journée entière, le 1er jour, nous avons marché pieds nus le long de la plage. Pour une de mes 2 amies, c’était une découverte : la première fois qu’elle marchait aussi longtemps pieds nus ! C’est pourtant elle qui est originaire du pays nantais…
Quel bonheur que de ressentir la texture du sable sous les pieds ! Là aussi, la palette est large : de frais et élastique quand il est humide, sur la bande où la terre et la mer se rejoignent, à chaud et mou là où il est sec et où les pas s’enfoncent péniblement. Il peut aussi devenir gluant quand, à certains endroits en retrait, la plage tourne un peu au marécage. Et marcher dans l’eau, en choisissant la hauteur comme pour des chaussettes : à la cheville, à mi-mollet, sous le genou, n’est-ce pas délicieux ?
Évidemment, nos pieds ont perdu l’habitude de se passer de la protection rassurante de chaussures. Parfois, quand ils se posent malencontreusement sur un caillou pas poli ou sur un coquillage, ça fait aïe ! Encore plus redoutable, c’est quand des débris de coquillages forment tout un tapis qui recouvre le sable. Mais pour moi, le pire c’est quand, à la fin de la plage, il faut reprendre des chemins et des trottoirs goudronnés. Quel calvaire de devoir renfiler mes chaussures, surtout avec encore des grains de sable entre les orteils !
Rencontre avec des arbres
Avant de la découvrir, je n’imaginais pas que la côte atlantique pouvait être bordée d’autant d’arbres. Rien à voir avec l’aridité de la côte méditerranéenne. Rien à voir non plus avec la forêt landaise et ses alignements de pins. Dès le 2e jour, après la longue plage, quand le chemin se met à suivre une côte plus sinueuse, où alternent criques et falaises, il passe régulièrement au pied d’arbres isolés ou en petits groupes. On observe différentes sortes de chênes, de pins ou de cèdres, pour ne citer que ceux que je sais reconnaître. Ces arbres se trouvent dans le domaine public ou dans les parcs des belles propriétés qui ont choisi les plus beaux emplacements le long de la côte.
En passant, nous les saluons d’un regard, nous profitons de leur ombre, nous les remercions pour l’oxygène qu’ils nous apportent sans compter. Eux aussi souffrent de la chaleur et de la sécheresse. Et pendant ce temps, ailleurs, l’humanité est assez folle pour continuer d’abattre des arbres anciens pour construire des autoroutes à péage… Mais je m’égare ; les arbres que nous avons rencontrés étaient remplis de puissance tranquille.
Nous avons rendu visite à 2 grands chênes vénérables, un peu en retrait du chemin, mais connus des initiés. Le premier est tout seul, au bord d’un champ ; ses branches s’étalent tellement loin autour de lui qu’il est bien plus large que haut. Il se dégage de lui une force intimidante. Le second est entouré d’autres chênes plus petits, qui gardent avec lui une distance respectueuse : on voit bien qui est le maître. Je me suis allongée à l’ombre de ses branches, sur un tapis de feuilles. J’ai imaginé ses racines plongées dans la terre avec la même vigueur que ses branches plongées dans le ciel. Et moi, minuscule, posée entre les deux…
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Caresse de l’eau fraîche
Je me suis baignée dans l’océan ! C’est un exploit, pour moi qui ne me sens pas particulièrement à l’aise dans l’eau, surtout quand il n’y a pas de bords tout autour. Par deux fois, après avoir bien marché et beaucoup transpiré, l’appel s’avérait irrésistible. Et la température de l’eau étonnamment agréable. Moi qui croyais cette légende selon laquelle elle est toujours froide en Bretagne ! Une fois le nombril franchi, puis les épaules immergées, quel délice que de se laisser envelopper par cette fraîcheur soyeuse et nettoyer par ce massage revigorant.
Nous nous sommes également baignées dans les piscines des campings où nous avons fait étape. Là aussi, c’était un plaisir que de se laisser glisser dans l’eau pour se délasser de la fatigue d’une journée de marche. J’ai apprécié l’eau à une température encore plus agréable et le confort d’un environnement moins intimidant, avec douche et toilettes à proximité.
Déserté par les vacanciers de l’été, le 2e camping était particulièrement plaisant : nous étions quasiment les seuls à profiter de ses vastes installations, avec de grands bassins, jets d’eau et bains bouillonnants, rien que pour nous. Et même 3 grands toboggans parallèles, sur lesquels, comme 3 gamines, nous avons laissé éclater nos rires ! Heureusement, il n’y avait pas grand monde autour…
La nuit sous la tente
Les 3 premiers jours, nos étapes à pied duraient entre 15 et 20 km : marche d’endurance, mais sur un rythme tranquille. Pour la 2e étape à Pornic, c’était facile : nous étions hébergées chez mon amie, la « locale de l’étape ». L’étape d’avant et celle d’après, nous avons fait halte au camping. Nous avons en plus bénéficié de conditions idéales : le mari de mon amie pornicaise, celui qui nous a conduites à l’aube à notre point de départ initial, nous a rejointes les 2 soirs, avec tout le matériel. Tentes, matelas, duvets, vêtements de rechange, nécessaire de cuisine, nous n’avions rien à porter de tout cela. Quel luxe !
Nous avions tout de même chacune à installer notre campement. J’ai donc appris à monter ma tente de bivouac toute seule : un pas vers l’autonomie, qui me permet d’envisager d’autres aventures en solo (il faudra bien que je porte mon matériel…). Quel bonheur de me retrouver toute seule, dans le silence de la nuit, sous ma mince toile de tente et d’y dormir comme un bébé !
La 3e étape finissait au port du Collet, à la frontière entre Loire-Atlantique et Vendée. Je rêvais d’aller ensuite jusqu’à l’île de Noirmoutier et d’emprunter le passage du Gois, cette chaussée submersible qu’on ne peut emprunter qu’à marée basse. Mais cela dépassait largement les 20 kilomètres, d’autant qu’avec la marée, nous n’aurions pas pu revenir par le Gois. Qu’à cela ne tienne, allons-y à vélo !
Mes amis pornicais, décidément pleins de ressources, nous ont prêté les vélos, et même les shorts rembourrés pour ménager nos fesses ! Des conditions parfaites pour expérimenter cet autre mode de déplacement sans assistance motorisée. Ma conclusion : c’est confirmé, je préfère quand même marcher. Mes cuisses manquent de puissance et le tempo pas à pas convient mieux à ma lenteur naturelle. Mais j’ai adoré sillonner les petites routes et les belles pistes cyclables qui serpentent entre les marais salants de ce joli coin de Vendée.
Nous avons réussi à aller jusqu’au premier kilomètre du Gois : cela méritait le détour, mais trop de touristes au m² ! Les petites routes étaient bien plus tranquilles, où nous nous sommes baladées ensuite sans objectif bien précis. Au total, plus de 50 km parcourus, soit à peine moins qu’à pied pendant la totalité des 3 jours précédents. À pied, il nous aurait été impossible d’aller si loin dans le temps imparti. C’est là que réside toute la supériorité de la bicyclette.
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Papotage, silence et bain sonore
Je le reconnais, j’adore marcher seule, avancer à mon rythme, me laisser imprégner par le chemin et fondre dans le paysage. C’est à mon sens, une expérience à nulle autre pareille, celle qui me relie le mieux avec la magie de la vie. J’aime aussi me retrouver dans une sorte de tête-à-tête avec moi-même, avec mes divagations intérieures. C’est le meilleur moyen à ma portée pour m’entraîner à apprivoiser la solitude. Me retrouver seule a longtemps été quelque chose d’effrayant pour moi. Avec l’âge, je le savoure de plus en plus.
Cependant, j’aime aussi marcher en compagnie, pour peu qu’elle soit de qualité et pas trop nombreuse, ce qui était le cas pendant ces quelques jours. C’est agréable de partager nos impressions et nos émotions, de rire ensemble, de se soutenir et s’encourager mutuellement. J’ai apprécié de pouvoir marcher à plusieurs, tout en étant parfois seule dans ma bulle.
À propos de bulle, je ne pourrais terminer mon collier de perles sans parler de « bulle sonore ». C’est l’appellation qu’a donnée mon amie toulousaine à son activité de sonothérapeute. Elle était venue avec sa petite valise remplie de sa collection de bols tibétains. Elle ne les avait évidemment pas avec elle pendant notre randonnée. Mais le dernier soir, de retour à Pornic, pour conclure notre aventure atlantique et refermer cette parenthèse enchantée, elle nous a offert un dernier voyage, immobile celui-là.
Juste posée là, sur le sol, sans attente. Rien d’autre à faire que de se laisser aller. Bercée, percée, transpercée par les vibrations. Sensations tactiles : un souffle d’air passe sur ma joue, une main imaginaire touche mon ventre. Les pensées décantent, ce qui était trouble s’éclaircit, le sable en suspension se dépose. Je deviens transparente et limpide comme de l’eau. Temps suspendu. Moment présent. Cadeau.
***
Post-scriptum : impossible de terminer cette trace écrite sans parler de Nova, la 4e de l’équipe ! Nova, c’est la chienne de mes amis de Pornic, une adorable Border Collie. Elle nous a suivies dans notre randonnée les 1er et 3e jours, pendant lesquels elle a sûrement parcouru la même distance que nous en 4 jours. Son instinct de chien de berger la conduit à toujours s’assurer que son troupeau ne se disperse pas trop, elle a donc passé son temps à aller et venir entre nous 3, très souvent en courant. À la fois joueuse et docile, impétueuse et câline, elle est une compagne attachante. Si j’adoptais un chien, j’aimerais que ce soit une Nova.
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