#Asclépiade
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Jus d'insectes, mégots de cigarettes, plantes toxiques : les drôles de méthodes des animaux pour se soigner
See on Scoop.it - EntomoScience
Si l'automédication concerne certaines espèces proches des humains, les insectes aussi semblent familiers de cette pratique.
Solveig Blakowski – 9 septembre 2024 à 20h55
[...]
Des papillons femelles médicamentent leurs bébés avant leur naissance
Lorsque les papillons monarques contractent une maladie mortelle, ils mangent des asclépiades (des plantes toxiques) pour se rétablir. Jusqu'ici rien d'exceptionnel: les chenilles Isie isabelle dont nous avons déjà parlé le font aussi. Néanmoins, les chercheurs ont été abasourdis de découvrir que lorsque les femelles sont enceintes, elles choisissent de déposer leurs œufs sur cette plante, anticipant ainsi les risques d'infection pour leur progéniture à venir.
L'intention des animaux derrière ces comportements est dure à prouver. Selon Michael Huffman, «comme nous ne pouvons pas parler aux animaux, nous ne pouvons que décrire ce que nous voyons et mesurer les résultats de ces actions», explique-t-il à propos de l'automédication animale. Elle mérite tout de même d'être analysée avec attention, car elle pourrait bien être la solution à de nombreux problèmes que la médecine moderne tente de résoudre."
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NDÉ
Image : Monarch caterpillars snack on milkweed, which are toxic to the potentially lethal disease Ophryocystis elektroscirrha that can cause wing deformities. They're one of many a species medicating beyond the primate order.
Photograph By Jaime Rojo, National Geographic Image Collection
via "5 clever animals that treat and prevent their own illnesses" https://www.nationalgeographic.com/animals/article/animals-medicine--prevention-parasites-disease-wounds
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A la bibliothèque je ne croise personne, à la piscine je tombe sur M et S. J’oublie de prendre une douche avant d’entrer dans l’eau. Après la baignade et pour me réchauffer, j’enfile chemise et pantalon secs en me contorsionnant dans ma serviette la décence sur le béton chaud. J’aime les retrouvailles avec les habits après la peau exposée, avec les amis les cheveux mouillés plaqués en arrière qui dégouttent sur nos torses. Il fait frais on a faim. S m’offre l’intérieur d’une asclépiade je crois à une sardine albinos qui aurait pris un coup de soleil.
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Scarlet Milkweed ~ Mexican Butterfly Weed ~ Blood-flower ~ Tropical Milkweed ~ Asclepias curassavica ~ Asclépiade ~ AsclépiadeDeCuraçao #Herbe #HerbeÀGendarme #Maadi #Cairo #Egypt
#Milkweed #ScarletMilkweed #MexicanButterflyWeed #BloodFlower #TropicalMilkweed #Asclepias #Asclepiascurassavica #Asclépiade #AsclépiadeDeCuraçao #Herbe #HerbeÀGendarme #Maadi #Cairo #Egypt #macros #macrophotography #macroofinstagram ~ https://www.flickr.com/photos/rachidh/albums
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Regardez cette asclépiade et son magnifique chapeau d'hiver en cristaux ! Regardez la deuxième photo pour voir de plus près ces détails scintillants. #naturelovers #winterwonderland #ice #winter #snow #nature #naturephotography #cold #photography #photooftheday #frozen #love #domianick (à Chateaugay) https://www.instagram.com/p/CnigKGGN4pv/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#naturelovers#winterwonderland#ice#winter#snow#nature#naturephotography#cold#photography#photooftheday#frozen#love#domianick
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Asclépiade... faut en prendre soin. Tellement utile.
Milkweed
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Les fleurs comestibles du jardin fleurissent mes salades!
Ajoutez un peu de "wow" dans vos salades avec les fleurs de votre jardin.
Les fleurs comestibles Nous sommes plusieurs à cultiver des fleurs pour la beauté dans notre jardin. Souvent, on ignore que plusieurs d’entre elles sont également comestibles. La plupart des fleurs étant sensibles à la chaleur, leur consommation en salade est idéale. Donnez à un enfant une salade décorée de fleurs juste pour voir ses yeux s’illuminer. Alternativement, ces fleurs comestibles…
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#Achillée millefeuille#Agastache#Ail#Allium#Asclépiade#Aspérule odorante#Basilic#Capucine#Chardon béni#Chardon des champs#Chardon-Marie#Chicorée#Ciboulette#Échinacée#Guimauve#Hémérocalle#Hosta#Hysope#Julienne des dames#Lamier#Lavande#Lierre terrestre#Lilas#Marguerite#Mauve#Menthe verte#Monarde#Oignon#Origan#Pensée sauvage
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Lundi 22 mars
René
Réflexions sur le système de la santé
La notion de système fait appel aux modalités argumentatives que propose la logique formelle, celle-ci fournissant au discours, la plus grande exhaustivité souhaitable à l’exposition d’un sujet.
L’usage du terme de système peut n’avoir aucune finalité en soi et être simplement spéculatif, mais il doit répondre d'un esprit de synthèse offrant une claire compréhension du sujet étudié.
Le corpus médical abonde en systèmes qu'ils soient nerveux, endocrinien, cardio-vasculaire, respiratoire etc..., mais quand on aborde le système de la santé qui devrait en toute logique posséder un caractère intégratif unifiant ses divers sous-ensembles, nous nous trouvons devant une curieuse conception théorique. La santé se définit selon l’Organisation Mondiale de la Santé, comme un bien-être physique, mental et social. Cette formulation permet de reléguer le phénomène pathologique dans la catégorie de l’anormal et ainsi de promouvoir la médecine comme une détermination pratique d’améliorer la santé sous ses modalités physiques, mentales et sociales.
Étant donné l’impossibilité pour la médecine de pouvoir connaître les modes constitutifs d’une unité existentielle qui soit physique, mentale et sociale, elle se contente d’opposer le normal comme idéal au pathologique et le pathologique comme atteinte à cet idéal. Cela revient donc à dire que la santé n’est que le constat de ne pas être malade et qu’inversement la maladie n’est que le constat de ne pas être en bonne santé.
La raison de ce paralogisme tient au fait que le normal et le pathologique devraient, dans la juste perspective de faire système, être pensés ensemble suivant une relation de nécessité, cette dernière étant inhérente à la logique du vivant. Il est impossible de penser la vie sans la mort.
La problématologie du système de la santé, vu sous l’angle de la biologie, se rattache donc à son inséparabilité avec celui de la nature et de la place que l’homme s’y donne, suivant la contrainte existentielle qui lui appartient en propre de se savoir mortel.
L’art médical, en devoir d’assumer cette contrainte, s’est originairement soutenu d’un cadre métaphysique proposant des accords sensibles et intelligibles entre l’essence du monde et celle de l’homme. Ces accords qui ont fourni les modalités éthiques des peuples, furent régulés par la capacité théurgique du cérémonial chamanique à marier prophétiquement le sens de la vie à celui de la mort. Cette liturgie sacramentelle initiatrice d’une prêtrise de la fonction thérapeutique, trouve en Grèce sa plus belle enseigne avec la puissance souveraine et divinatoire d’Apollon. Asclépios, fils d’Apollon ouvre la lignée aristocratique des Asclépiades se consacrant à l’art médical avec le soutien des déesses Hygie (d’où vient le mot hygiène) et de Panacée (d’où vient la notion de remède efficace).
C’est en Europe, et seulement en Europe au tournant du XIXe siècle que seront rejetées les bases métaphysiques de la médecine hippocratique au profit de la médecine moderne scientifique d’obédience positiviste. Rappelons que ces bases trouvaient leur transcription thérapeutique dans l’antique tradition apothicaire avec ses milliers de signatures rapportant l’essence de l’homme à celle de la nature. Chaque substrat médicinal possédait son image dans la constitution du sujet, corps et âme confondus.
Le courant homéopathique se présenta à ce moment critique de l'histoire de la médecine, en opposition complète avec celui de la médecine moderne.
L’essence de l’homéopathie, assez mal dégagée par son créateur Samuel Hahnemann, consistait en un renversement structurel du fondement épistémologique de la clinique à partir de l’usage de la tradition apothicaire. Si la nature préservait son statut de matrice, c’était pour que l’homme s’en émancipe. Ce n’était donc plus le mode protecteur et guérisseur de la nature (la natura medicatrix) qui était convoqué, mais le mode obstétrical. L’homéopathie se présentait comme une maïeutique qui nécessitait une reprise de la dialectique platonicienne et sa mise à l’épreuve dans le réel de la clinique.
Dès lors, cette nouvelle dialectique intéressant directement le principe de vie et le principe de mort, pouvait expliciter les enjeux spirituels de l’évolution. Cette opération de retournement du champ clinique renouvelait l’approche du symptôme en faveur d’une didactique existentielle. Il est tout à fait compréhensible que S. Hahnemann n’ait pu assumer une telle tâche que seule une familiarité avec la philosophie de la nature que Schelling et Hegel tentaient de mettre en place, aurait rendue possible.
Il est important de souligner l’opposition philosophique des deux courants médicaux en ce début du XIXe siècle, lequel verra la révolution darwinienne se mettre en place. La question centrale concerne la valeur d’usage critique de la conscience pour un sujet ; elle est fondamentale dans l’anamnèse d’un symptôme en homéopathie et superflue en allopathie.
La médecine officielle épousera la conception darwinienne de l’évolution qui réduit la raison du monde et de l’homme à de simples modalités adaptatives, avec comme seule finalité, la survie. De ce fait, l’homme est assimilé à la logique de la survivance animalière avec un surplus ontologique embarrassant et fort problématique le faisant être rationnel et moral.
À l’inverse, le courant homéopathique propose une conversion totale du système de la nature en sa dimension spirituelle, identifiant dès lors, la logique du vivant à l’effectivité d’une phénoménologie de l’esprit. Ce courant propose à l’homme d’assumer la surélévation de la vie à sa véritable puissance signifiante d’un au-delà de la mort. Ainsi l’homéopathie déploie les ressorts d’une prédétermination des fins de l’homme suivant les motifs sémiologiques que tissent les pathogénésies des substances. Chaque signe est un indice critique pour le cheminant qu’est le patient sur les voies escarpées de la liberté.
L’allopathie choisira la version de la survivance adaptative dont la pandémie actuelle devient le modèle paradigmatique de sa plus grande absurdité. Si la sélection naturelle est le moteur de l’évolution, les virus contribuent efficacement à lui fournir un aiguillon promoteur. Ceci est valable pour l’homme qui devrait accepter que ceux qui survivent à une pandémie représentent des mutations positives en faveur d’une potentialisation du système de la santé.
La conception radicale d’un créationnisme sélectif de nature génétique a eu la faveur de l’hitlérisme qui en a appliqué les lois les plus absolues. On est là au cœur d’un paradoxe, car si notre société moderne a opté pour l’inverse en protégeant les plus faibles, elle n’en conserve pas moins le principe épistémologique central et directeur de la pression sélective.
Cette contradiction n’est pas levée, mais hypothéquée dans l’espérance d’un contrôle renforcé du système génétique jugé capricieux avec ses mauvaises mutations. Par ailleurs, cette espérance se conjoint à l’utopique exploitation des virtualités latentes de la génétique, en résonance avec le mythe du surhomme remarquablement exposé dans le film « Bienvenue à Gattaca » d’Andrew Niccol (1997).
Le paradoxe de cette surprenante conception de l’homme est que la vie est illusoirement élevée à une valeur sublime, alors qu’elle ne fait, comme chez l’animal, que révéler son côté fugace et hasardeux face à la domination tragique et dérisoire de la mort. Ainsi, on pousse l’artifice qualitatif de la vie jusqu’à vouloir s’émerveiller de nos braves seniors parqués dans les EPHAD et devenus incapables de se souvenir qu’ils existent.
Plus de cent mille personnes meurent chaque année, et de plus en plus jeunes, du cancer en France, mais on continue de privilégier les Euménides de la contingence, alors que cette même contingence est censée mener l’évolution vers son objectif glorieux. La science biologique rend définitivement l’existence pathétique, ce à quoi l’homme s’est habitué.
On nombre quotidiennement les morts de la pandémie en ignorant tout d’eux, mais peut-être leur ferons-nous un jour un monument commémoratif comme pour les guerres ; ils deviendront ainsi les héros d’une mort radicalement désignifiées.
Que devient le concept de vaccination dans cette vision surréaliste de l’homme qui se mesure d’un côté à sa toute puissance et de l’autre aux forces obscures et meurtrières de la nature dont il est censé être le fleuron ? La pratique de la vaccination adhère au mythe du combat titanesque que l’homme mène contre les forces de mort que des légions de microbes et virus détiennent inconsidérément. Cependant, ces ennemis ne peuvent être uniquement catégorisés comme tel puisqu’ils font partie intégrante de l’évolution. Une épidémie laisse toujours des survivants puisque, en respectant les logiques darwiniennes concernant l’équilibre des écosystèmes, l’épidémie s’arrête toute seule quand elle a éliminé une partie d’une population, ce qui correspond au seuil d’une immunité collective pour les épidémiologistes.
Le fait est que l’histoire de l’homme s’écrit donc dans sa confrontation avec la mort dans l’ambivalence originelle que représentent les microorganismes à la fois source de vie et de mort.
Les microorganismes sont donc les témoins du premier acte d’une phénoménologie de l’esprit se déterminant pour un plus d’être face au néant de la mort. La vie ne prend définitivement son sens que de la mort qu’elle retient comme son aiguillon. Tel est le message que seul l’homme peut dignement et courageusement assumer. La vaccination est le leurre absolu que la vie vaut pour elle-même sans la mort.
L’homéopathie ne s’est pas construite phobiquement, à l’instar de l’allopathie, contre la mort, mais pour la vie considérée dans son ambivalence fondamentale d’être, par la mort qui l’habite, aussi le lieu de la liberté. L’essence de la thérapeutique homéopathique concerne un mode de dépassement dialectique de la mort faisant appel à la liberté de l’homme. Avec humour, il est possible de dire que chaque substance homéopathique agit comme un petit vaccin enlevant un bout des déterminismes qui enchaînent l’homme à la terre.
La témérité de la conception métaphysique de l’homme est de s’attacher à la nature paradoxale de la liberté dont le propre est d’être pour rien. La liberté ne présente aucun rapport de nécessité avec le monde. Elle en dévoile au contraire le plus grand éloignement car son essence est vide. Elle n’existe que sous une forme extatique en s’échappant de la pesanteur du réel. Elle est sans objet, elle est pour elle-même, elle est sa propre cause, ce qui correspond à la définition d’un sujet en philosophie et à la notion de la grâce en théologie, mais tout cela est oublié.
La liberté est devenue la source fantasmatique des démocraties qui s’en légitiment pour aliéner le sujet dans toutes les dépendances qu’elles produisent ; la liberté s’est même affublée un moment du titre de souveraineté.
La politique de vaccination laisse accroire qu’on peut se réfugier dans la masse ou nasse d’une espèce et attendre le déluge, il viendra trop tard puisqu’on est déjà mort.
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Common Milkweed - Asclépiade commune Asclepias syriaca L. (Asclepiadaceae-Asclépiadacées). Photo by monteregina on Flickr.
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Deze week constateren wij diverse opstoppingen op de #zijdeplant - en dan is de herfstvakantie nog niet eens begonnen. #asclepiassyriaca #asclepidaceae #commonmilkweed #butterflyflower #silkweed #gewöhnlicheseidenpflanze #seidenpflanze #asclépiade #herbealouate #trojeśćamerykańska #mesisilkkiyrtti #sidenört #slakken #botanicalgarden #tuin #hilversum #plantstagram #plantsofinstagram #vruchtzakjes (bij Botanische Tuin Dr. Costerus)
#asclépiade#silkweed#asclepidaceae#hilversum#mesisilkkiyrtti#plantsofinstagram#butterflyflower#sidenört#botanicalgarden#commonmilkweed#herbealouate#asclepiassyriaca#seidenpflanze#trojeśćamerykańska#slakken#tuin#vruchtzakjes#gewöhnlicheseidenpflanze#plantstagram#zijdeplant
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je construirai un cocon duveteux de la soie vivace charnue et sucrée la stérilité n'est que temporaire la rosée efface le gris l'asclépiade commune exige la lumière pour compléter son cycle ©Noémie PC Jour 23 #napomo #miplaf #poèmephotographique #micropoésie #asclépiade #natureurbaine
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Nouveautés 25 JuinOui nous sommes ouvert toute la fin de semaine:Echo Session Ales - SourHybride Gewurztraminer et une sour à la mangue.L'Espace Public - Brasseurs de quartier - Pomme GranadeFruitée, acidulée et humblement florale, elle est bonne à s'en confesser.- Bière De VacancesCette bière sure, on l'a brassée en collaboration avec BAOS pour te rappeler des moments sucrés. L'orange, le lactose et la vanille évoquent le souvenir des pops engloutis devant l'dep comme quand t'étais flo.Brasserie Alpha - Piteraq collaboration Microbrasserie Jackalhop. L’ananas est distinctement l’élément dominant dans cette bière, puis la levure norvégienne kveik vient accentuer les saveurs de fruits tropicaux qui sont aussi très présents dès les premières gorgées.Dispensaire Microbrasserie - GrenadyaGose Aux fruits de la passionVilains Brasseurs - Cabana IPAIPA possède une plaisante amertume et est dangereusement rafraîchissante.Brasserie Benelux - CactusNEIPA juteuse et sèche4 Origines -Lager TchèqueBière de soifFerme Cidricole Équinoxe - SymbioseSymbiose c'est la fusion entre deux entités, l'amalgame ideal pour ne former qu'un tout.Tels le monarque et l,asclépiade, pommette et poire se croisent pour faire un cidre fermier digne de ce nom.
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El Rosario - Mexico
Parmi les autres hypothèses avancées, il y a le changement du ratio mâle/femelle. En effet, la proportion de femelles décline depuis 30 ans. D'après les auteurs, il s'agirait d'un parasite, Ophryocystis elektroscirrha, dont l'impact négatif affecterait plus les femelles que les mâles. Un projet de science citoyenne, MonarchHealth, a d'ailleurs été mis sur pied pour mieux comprendre l'incidence de ce parasite sur le Monarque.
En tant qu'espèce emblématique, le Monarque bénéficie des programmes spécifiques et d’un plan stratégique de protection, au nord (protection d'habitats abritant des asclépiades, sensibilisation de la population invitée à suivre la migration), et au sud (avec notamment la promotion d'un écotourisme local à proximité des zones de reproduction). Le Jardin des papillons à Saint-Pierre (Martinique) participe à la protection de plusieurs espèces de papillons dont le Monarque.
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Migrant Butterfly ~ Catopsilia florella ~ African Migrant ~ Piéride du cassier romancing: Scarlet Milkweed ~ Mexican Butterfly Weed ~ Blood-flower ~ Tropical Milkweed ~ Asclepias curassavica ~ l'Asclépiade de Curaçao ~ Herbe À Gendarme ~ Maadi ~ Cairo, Egypt
#Butterfly #Catopsilia #Catopsiliaflorella #AfricanMigrant #Piéride #PiérideDuCassier #Milkweed #ScarletMilkweed #MexicanButterflyWeed #BloodFlower #TropicalMilkweed #Asclepias #Asclepiascurassavica #Asclépiade #AsclépiadeDeCuraçao #Herbe #HerbeÀGendarme #Maadi #Cairo #Egypt #Entomology #macros #macrophotography #butterflies #papillons #insects #Wildlife #wildlifephotography ~ https://www.flickr.com/photos/rachidh/albums
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Il y a un an, mon ami Rene Gandolfi, médecin, publiait ce texte:
Réflexions sur le système de santé
La notion de système fait appel aux modalités argumentatives que propose la logique formelle, celle-ci fournissant au discours, la plus grande exhaustivité souhaitable à l’exposition d’un sujet.
L’usage du terme de système peut n’avoir aucune finalité en soi et être simplement spéculatif, mais il doit répondre d'un esprit de synthèse offrant une claire compréhension du sujet étudié.
Le corpus médical abonde en systèmes qu'ils soient nerveux, endocrinien, cardio-vasculaire, respiratoire etc..., mais quand on aborde le système de la santé qui devrait en toute logique posséder un caractère intégratif unifiant ses divers sous-ensembles, nous nous trouvons devant une curieuse conception théorique. La santé se définit selon l’Organisation Mondiale de la Santé, comme un bien-être physique, mental et social. Cette formulation permet de reléguer le phénomène pathologique dans la catégorie de l’anormal et ainsi de promouvoir la médecine comme une détermination pratique d’améliorer la santé sous ses modalités physiques, mentales et sociales.
Étant donné l’impossibilité pour la médecine de pouvoir connaître les modes constitutifs d’une unité existentielle qui soit physique, mentale et sociale, elle se contente d’opposer le normal comme idéal au pathologique et le pathologique comme atteinte à cet idéal. Cela revient donc à dire que la santé n’est que le constat de ne pas être malade et qu’inversement la maladie n’est que le constat de ne pas être en bonne santé.
La raison de ce paralogisme tient au fait que le normal et le pathologique devraient, dans la juste perspective de faire système, être pensés ensemble suivant une relation de nécessité, cette dernière étant inhérente à la logique du vivant. Il est impossible de penser la vie sans la mort.
La problématologie du système de la santé, vu sous l’angle de la biologie, se rattache donc à son inséparabilité avec celui de la nature et de la place que l’homme s’y donne, suivant la contrainte existentielle qui lui appartient en propre de se savoir mortel.
L’art médical, en devoir d’assumer cette contrainte, s’est originairement soutenu d’un cadre métaphysique proposant des accords sensibles et intelligibles entre l’essence du monde et celle de l’homme. Ces accords qui ont fourni les modalités éthiques des peuples, furent régulés par la capacité théurgique du cérémonial chamanique à marier prophétiquement le sens de la vie à celui de la mort. Cette liturgie sacramentelle initiatrice d’une prêtrise de la fonction thérapeutique, trouve en Grèce sa plus belle enseigne avec la puissance souveraine et divinatoire d’Apollon. Asclépios, fils d’Apollon ouvre la lignée aristocratique des Asclépiades se consacrant à l’art médical avec le soutien des déesses Hygie (d’où vient le mot hygiène) et de Panacée (d’où vient la notion de remède efficace).
C’est en Europe, et seulement en Europe au tournant du XIXe siècle que seront rejetées les bases métaphysiques de la médecine hippocratique au profit de la médecine moderne scientifique d’obédience positiviste. Rappelons que ces bases trouvaient leur transcription thérapeutique dans l’antique tradition apothicaire avec ses milliers de signatures rapportant l’essence de l’homme à celle de la nature. Chaque substrat médicinal possédait son image dans la constitution du sujet, corps et âme confondus.
Le courant homéopathique se présenta à ce moment critique de l'histoire de la médecine, en opposition complète avec celui de la médecine moderne.
L’essence de l’homéopathie, assez mal dégagée par son créateur Samuel Hahnemann, consistait en un renversement structurel du fondement épistémologique de la clinique à partir de l’usage de la tradition apothicaire. Si la nature préservait son statut de matrice, c’était pour que l’homme s’en émancipe. Ce n’était donc plus le mode protecteur et guérisseur de la nature (la natura medicatrix) qui était convoqué, mais le mode obstétrical. L’homéopathie se présentait comme une maïeutique qui nécessitait une reprise de la dialectique platonicienne et sa mise à l’épreuve dans le réel de la clinique.
Dès lors, cette nouvelle dialectique intéressant directement le principe de vie et le principe de mort, pouvait expliciter les enjeux spirituels de l’évolution. Cette opération de retournement du champ clinique renouvelait l’approche du symptôme en faveur d’une didactique existentielle. Il est tout à fait compréhensible que S. Hahnemann n’ait pu assumer une telle tâche que seule une familiarité avec la philosophie de la nature que Schelling et Hegel tentaient de mettre en place, aurait rendue possible.
Il est important de souligner l’opposition philosophique des deux courants médicaux en ce début du XIXe siècle, lequel verra la révolution darwinienne se mettre en place. La question centrale concerne la valeur d’usage critique de la conscience pour un sujet ; elle est fondamentale dans l’anamnèse d’un symptôme en homéopathie et superflue en allopathie.
La médecine officielle épousera la conception darwinienne de l’évolution qui réduit la raison du monde et de l’homme à de simples modalités adaptatives, avec comme seule finalité, la survie. De ce fait, l’homme est assimilé à la logique de la survivance animalière avec un surplus ontologique embarrassant et fort problématique le faisant être rationnel et moral.
À l’inverse, le courant homéopathique propose une conversion totale du système de la nature en sa dimension spirituelle, identifiant dès lors, la logique du vivant à l’effectivité d’une phénoménologie de l’esprit. Ce courant propose à l’homme d’assumer la surélévation de la vie à sa véritable puissance signifiante d’un au-delà de la mort. Ainsi l’homéopathie déploie les ressorts d’une prédétermination des fins de l’homme suivant les motifs sémiologiques que tissent les pathogénésies des substances. Chaque signe est un indice critique pour le cheminant qu’est le patient sur les voies escarpées de la liberté.
L’allopathie choisira la version de la survivance adaptative dont la pandémie actuelle devient le modèle paradigmatique de sa plus grande absurdité. Si la sélection naturelle est le moteur de l’évolution, les virus contribuent efficacement à lui fournir un aiguillon promoteur. Ceci est valable pour l’homme qui devrait accepter que ceux qui survivent à une pandémie représentent des mutations positives en faveur d’une potentialisation du système de la santé.
La conception radicale d’un créationnisme sélectif de nature génétique a eu la faveur de l’hitlérisme qui en a appliqué les lois les plus absolues. On est là au cœur d’un paradoxe, car si notre société moderne a opté pour l’inverse en protégeant les plus faibles, elle n’en conserve pas moins le principe épistémologique central et directeur de la pression sélective.
Cette contradiction n’est pas levée, mais hypothéquée dans l’espérance d’un contrôle renforcé du système génétique jugé capricieux avec ses mauvaises mutations. Par ailleurs, cette espérance se conjoint à l’utopique exploitation des virtualités latentes de la génétique, en résonance avec le mythe du surhomme remarquablement exposé dans le film « Bienvenue à Gattaca » d’Andrew Niccol (1997).
Le paradoxe de cette surprenante conception de l’homme est que la vie est illusoirement élevée à une valeur sublime, alors qu’elle ne fait, comme chez l’animal, que révéler son côté fugace et hasardeux face à la domination tragique et dérisoire de la mort. Ainsi, on pousse l’artifice qualitatif de la vie jusqu’à vouloir s’émerveiller de nos braves seniors parqués dans les EPHAD et devenus incapables de se souvenir qu’ils existent.
Plus de cent mille personnes meurent chaque année, et de plus en plus jeunes, du cancer en France, mais on continue de privilégier les Euménides de la contingence, alors que cette même contingence est censée mener l’évolution vers son objectif glorieux. La science biologique rend définitivement l’existence pathétique, ce à quoi l’homme s’est habitué.
On nombre quotidiennement les morts de la pandémie en ignorant tout d’eux, mais peut-être leur ferons-nous un jour un monument commémoratif comme pour les guerres ; ils deviendront ainsi les héros d’une mort radicalement désignifiée.
Que devient le concept de vaccination dans cette vision surréaliste de l’homme qui se mesure d’un côté à sa toute puissance et de l’autre aux forces obscures et meurtrières de la nature dont il est censé être le fleuron ? La pratique de la vaccination adhère au mythe du combat titanesque que l’homme mène contre les forces de mort que des légions de microbes et virus détiennent inconsidérément. Cependant, ces ennemis ne peuvent être uniquement catégorisés comme tel puisqu’ils font partie intégrante de l’évolution. Une épidémie laisse toujours des survivants puisque, en respectant les logiques darwiniennes concernant l’équilibre des écosystèmes, l’épidémie s’arrête toute seule quand elle a éliminé une partie d’une population, ce qui correspond au seuil d’une immunité collective pour les épidémiologistes.
Le fait est que l’histoire de l’homme s’écrit donc dans sa confrontation avec la mort dans l’ambivalence originelle que représentent les microorganismes à la fois source de vie et de mort.
Les microorganismes sont donc les témoins du premier acte d’une phénoménologie de l’esprit se déterminant pour un plus d’être face au néant de la mort. La vie ne prend définitivement son sens que de la mort qu’elle retient comme son aiguillon. Tel est le message que seul l’homme peut dignement et courageusement assumer. La vaccination est le leurre absolu que la vie vaut pour elle-même sans la mort.
L’homéopathie ne s’est pas construite phobiquement, à l’instar de l’allopathie, contre la mort, mais pour la vie considérée dans son ambivalence fondamentale d’être, par la mort qui l’habite, aussi le lieu de la liberté. L’essence de la thérapeutique homéopathique concerne un mode de dépassement dialectique de la mort faisant appel à la liberté de l’homme. Avec humour, il est possible de dire que chaque substance homéopathique agit comme un petit vaccin enlevant un bout des déterminismes qui enchaînent l’homme à la terre.
La témérité de la conception métaphysique de l’homme est de s’attacher à la nature paradoxale de la liberté dont le propre est d’être pour rien. La liberté ne présente aucun rapport de nécessité avec le monde. Elle en dévoile au contraire le plus grand éloignement car son essence est vide. Elle n’existe que sous une forme extatique en s’échappant de la pesanteur du réel. Elle est sans objet, elle est pour elle-même, elle est sa propre cause, ce qui correspond à la définition d’un sujet en philosophie et à la notion de la grâce en théologie, mais tout cela est oublié.
La liberté est devenue la source fantasmatique des démocraties qui s’en légitiment pour aliéner le sujet dans toutes les dépendances qu’elles produisent ; la liberté s’est même affublée un moment du titre de souveraineté.
La politique de vaccination laisse accroire qu’on peut se réfugier dans la masse ou nasse d’une espèce et attendre le déluge, il viendra trop tard puisqu’on est déjà mort.
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Magnifiques Asclépiades! (à Maison du Marais) https://www.instagram.com/p/CSAFlMBLUJs/?utm_medium=tumblr
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Lâcher prise émotionnellement grâce à une simple (mais énergique) fessée* ? C’est le concept même de ce que l’on appelle la “fessée thérapie”, une pratique aussi vieille que polémique.
La fessée thérapeutique, un mythe ancestral
Il faut remonter au IIème siècle avant J-C., pour trouver les premiers signes d’une quelconque fessée curative ou thérapeutique. En effet, le médecin et philosophe grec Asclépiade, prétendait alors “guérir les maniaques” en les fessant. Trois siècles plus tard, au Vème siècle, Caelius Aurelianus - également médecin de son état - suggérait de recourir à la fessée pour traiter les “délires” et autres “mélancolies érotiques”.
Pour Vasco de Taranta - médecin portugais du 15ème siècle - la déculottée était la pratique curative privilégiée pour traiter l’impuissance et lanymphomanie, si l’on en croit les écrits de Alexandre Dupouy dans son ouvrage “Anthologie de la fessée de la flagellation”.
La fessée thérapie : une pratique, deux vertus (pas reconnues)
Si aujourd’hui, aucun texte ne permet de d’attribuer des vertus médicales effectives à la fessée, durant plus de deux siècles, cette dernière avait deux fonctions : vivifiante d’abord car le simple fait de se faire claquer le séant était reconnu comme étant un excellent stimulus corporel; l’autre fonction étant une fonction libératrice puisque la fessée permettait d’expier ses fautes face aux divinités.
Aujourd’hui, à l’ère du tout connecté, la “fessée thérapie” est un moyen pour les adeptes du BDSM de lâcher-prise et de “canaliser la douleur”. Ce serait également un moyen pour les adorateurs de l’érotisme “douloureux” pour “faire face aux traumatismes graves”. Pour autant, aucune donnée médicale ne vient officiellement corroborer leurs dires.
Ces choses que vous ignorez sur la “fessée thérapie”
Les adorateurs de la fessée étaient considérés comme des malades mentaux
Jusqu’à très récemment, les adeptes de la fessée et tous les aficionados du BDSM étaient considérés comme des malades mentaux selon l'American Psychiatric Association.
La fessée thérapie serait un catalyseur pour l’excitation
Selon un article de la revue Nature Reviews Neuroscience , il y a d’énormes similitudes entre la façon dont notre cerveau traite le plaisir et la douleur. «La fessée peut augmenter l'excitation et les sensations physiques, augmenter l'adrénaline, les endorphines et l'ocytocine, explorer et peut-être pousser la limite entre plaisir et douleur, augmenter l'intimité et le lien», explique la psychothérapeute et sexologue Dulcinea Pitagora.
La tentative de contrôle joue un rôle libérateur dans la “fessée thérapie”
Selon Psychology Today , “la composante essentielle n'est pas la douleur ou la servitude elle-même, mais plutôt la connaissance qu'une personne a un contrôle complet sur l'autre”. Un point de vue partagé par l’experte Sandra LaMorgese, qui explique que “Ça fait du bien d'être totalement en contrôle, et parfois c'est bien d'être totalement soumis: le jeu de puissance est un moyen de se libérer des rôles dans lesquels nous sommes pris au quotidien et cela peut être une libération puissante”.
La fessée thérapie aurait de nombreuses vertus thérapeutiques
Donner à quelqu'un le contrôle total sur soi, transfère les soucis et les fardeaux psychologiques sur l'autre personne. "D'autres encore décrivent la libération de stress comme une évasion de la conscience de soi et de la pensée compulsive et le traitement des émotions", explique Dulcinea Pitagora.
Certains useraient de la fessée thérapie pour faire face à des traumatismes
Si - on le rappelle - les chercheurs n’arrivent pas à s’accorder sur les prétendus bienfaits thérapeutiques d’une fessée, une partie d’entre eux y voit un moyen de faire face à des traumatismes. Sandra LaMorgese va même jusqu’à dire qu’une fessée (curative) aurait les mêmes bienfaits “qu’un bon massage”.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
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