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Appartement de vacances à Tanger
Appartement de vacances à Tanger https://ift.tt/4tO5AJH [rp_property_list posts_per_page=”2″]Tanger est une ville marocaine en bordure du détroit de Gibraltar, connue pour son histoire riche et sa culture vibrante. C’est également une destination touristique populaire, avec de nombreux sites historiques, plages, restaurants et magasins. Si vous envisagez de visiter Tanger, la location d’un appartement de vacances peut être une option intéressante. Dans cet article, nous allons vous présenter... Cet article Appartement de vacances à Tanger est apparu en premier sur MBI Investment. via MBI Investment
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Appartement de vacances à Tanger
Appartement de vacances à Tanger https://ift.tt/X6yVMbE Tanger, ville située au nord du Maroc, est une destination touristique de choix pour les vacances. Connue pour son histoire riche, son architecture unique et sa cuisine délicieuse, Tanger offre une expérience d’appartement de vacances mémorable pour les voyageurs de tous les horizons. Si vous cherchez une location de vacances à Tanger, vous êtes au bon endroit. Dans cet article, nous allons vous guider à travers les différentes options de location de vacances à Tanger. Location appartement de vacances à Tanger, pourquoi faire? Première option : La première option de location de vacances à Tanger est l’appartement. Les appartements à Tanger offrent un excellent rapport qualité-prix et une grande flexibilité. Vous pouvez choisir parmi une variété d’options en fonction de votre budget et de vos préférences. Les appartements à Tanger sont souvent situés dans des quartiers centraux et touristiques, ce qui vous permet d’accéder facilement aux attractions de la ville. Deuxième option : La deuxième option de location de vacances à Tanger est la villa. Les villas sont idéales pour les familles ou les grands groupes qui cherchent à séjourner ensemble. Les villas à Tanger sont souvent situées dans des quartiers plus calmes et résidentiels, offrant une expérience de vacances plus détendue. Sans compter que ces villas sont également équipées d’une cuisine, ce qui vous permet de préparer vos repas et de réduire les coûts de vos vacances. Coups de coeur 7 Malabata, Tanger Appartement Court Terme Location court terme CT.M.T.1324 800 Dh MBI met à votre disposition pour la location court terme un superbe appartement meublé dan [plus] MBI met à votre disposition pour la location court terme un superbe appartement meublé dans une résidence familiale [plus] 2 1 90 m2détails Amal HARRACH 18 Nejma, Tanger Appartement Court Terme Location court terme CT.N.T.1348 1 200 Dh Mbi met Magnifique cet appartement meublée en location court terme à Tanger, d’une superf [plus] Mbi met Magnifique cet appartement meublée en location court terme à Tanger, d’une superficie de 140 m² , meublé a [plus] 3 1 140 m2détails Amal HARRACH plus d'annonces Enfin, la dernière option de location de vacances à Tanger est la maison traditionnelle. Ces maisons historiques offrent une expérience de vacances unique et authentique. Les maisons traditionnelles à Tanger sont souvent situées dans la médina, le cœur historique de la ville. Vous pouvez profiter de la vie locale en explorant les rues étroites et en visitant les souks et les marchés locaux. Les maisons traditionnelles à Tanger sont également équipées de toutes les commodités modernes, vous offrant ainsi une expérience de vacances confortable. En louant une maison de vacances à Tanger, vous pouvez profiter de la ville à votre propre rythme. En suite vous pouvez explorer les sites touristiques, découvrir la culture locale et profiter de la nourriture délicieuse. Tanger est également située à proximité d’autres destinations touristiques populaires, telles que Chefchaouen et Asilah. Vous pouvez facilement organiser des excursions d’une journée pour découvrir les merveilles du nord du Maroc. En conclusion, louer une maison de vacances à Tanger est un excellent moyen de profiter de cette ville magnifique et de découvrir tout ce qu’elle a à offrir. Que vous cherchiez un appartement, une villa ou une maison traditionnelle, Tanger a quelque chose à offrir pour tous les goûts et tous les budgets. Alors! réservez dès maintenant votre location de vacances à Tanger et préparez-vous à vivre des vacances inoubliables dans cette ville fascinante du nord du Maroc. The post Appartement de vacances à Tanger appeared first on MBI Maroc. via MBI Maroc
#News#appartement à louer par jour#Location appartement meublé par jour#Location de vacances à Tanger#villa à louer par jour à Tanger
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Apart 2 chambres 2SDB 5éme étage, Hivernage
#youtube#Location d’un appartement lumineux et traversant non meublé au dernier étage (5ème) d’une belle résidence sécurisée au quartier chic Hiver
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Quand j'habitais dans la capital de la province, une zone rurale très isolée qui perd population chaque année en générale et cette ville en particulier perd des habitants par centaines, et je voyais des annonces comme ça. "Idéal pour investir". Investir en quoi ? La moitié des apparts sont vides. Il y a des affiches "à louer", "à vendre" partout. Il y a des maisons superbes à vendre depuis des années, peut-être des décennies, mais non c'est pas pour y habiter, c'est pour investir. Pour que les touristes viennent payer l'hypothèque, pour louer aux jeunes qui viennent étudier à l'université. Mais pas pour que moi, freelance, puisse y vivre tranquillement avec mes chats.
quand je vois une annonce immobilière qui balance d'entrée de jeu un "appartement idéal investisseur loyer meublé [HORS DE PRIX] soit une rentabilité annuelle de [POURCENTAGE D'ESCROQUERIE]" tout ce que je souhaite c'est la mort du parasite qui l'a postée et la mort des parasites qui pourraient être intéressés
#j'ai vu des apparts complètement meublés à vendre avec les meubles et tout. Des meubles de famille#mais non c'est pour investir dans cette zone oubliée
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Par contre, j'ai accompagné mon mec pour déménager et son appartement il est tellement flingué mdrr. Genre, le mien est tellement mieux à côté. En fait, j'adore avoir un appart où je me sens bien, où j'ai tout customisé et tout. Surtout qu'au début mon appartement c'était un non meublé et ça me saoulait parce que fallait acheter les meubles et jsuis pauvre quoi mais bon, en vrai j'ai craqué le pel l'année dernière et j'en suis très satisfaite. En fait, le bonheur d'avoir ses meubles, acheter ses affaires, choisir leur place, c'est un luxe que j'ai tjrs sous estimé après 3 ans de coloc (bon j'avoue c'était une coloc de zinzin, une grande maison pour 3 là). J'aime bien me dire que le temps du contrat c'est mon appartement à moi et qu'il me représente et que tout a sa place et que tout a une correspondance.
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La seule étape de la vie d'adulte que je n'ai pas encore fait c'est d'avoir un appartement individuel non meublé.
J'ai géré mes papiers, j'ai eu un job, j'ai dit merde au job, je commence à apprendre mes limites, j'arrive à dire non, je dis merde à mes parents, j'aime bien être seule, j'apprends à me faire des potes en étant adulte, je sais faire des activités solo, je n'ai pas besoin des autres pour être bien, je me fais de bons petits plats, j'apprends à me foutre du regard des autres, j'essaye de garder mes ami.e.s de longue date, je sais baroudeur (c'est genre ma capacité n°1), j'ai appris à m'écouter, j'ai appris à prendre en main mes problèmes de santé, j'ai appris à appeler et parler au téléphone (mes millenials sûrs vous savez), j'ai une voiture et je l'entretiens, je vois une psy BREF il me reste plus que l'appartement non meublé qui m'a l'air d'être une montagne.
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Instantané du 30 juillet 2024 : ‘’en off’’ avant prises de vues, Mode décalée avec Noa dans un appartement meublé époque Napoléon III. ‘’off-camera’’ before shooting Quirky fashion with Noa in a furnished Napoleon III period apartment©Michel Hénot Snapshot Photographer. Photographe toutes images Reblog avec source.
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"Il était dix heures du matin et il neigeait de nouveau. Une neige légère, presque des gouttes de pluie. Elle avait froid et elle sentait des points douloureux dans tout son corps. Il fallait "dénouer les nœuds", comme disait Kniaseff. Alors, elle décida de se rendre chez Pola Hubersen. Elle était la seule à pouvoir la soulager. Elle s'allongeait sur le lit, Pola Hubersen la caressait, et ses doigts s'arrêtaient aux bons endroits, avec une précision d'acupuncteur. Ses lèvres effleuraient les siennes, et leur contact, sur son corps, était encore plus doux que ses doigts. Peu à peu, les nœuds se dénouaient sans qu'elle éprouve la souffrance qui était la sienne au début des cours de danse. Il lui arrivait de manquer un cours et de se retrouver au lit avec elle. Alors, elle se laissait aller au fil de l'eau en fermant les yeux. (...)
Elle entra dans l'immeuble du début de la rue Quentin-Bauchart. Pola Hubersen se levait très tard et peut-être n'était-elle pas encore réveillée. Elle traversa le vestibule, et quand elle fut entrée dans le salon, elle remarqua un manteau d'homme sur le grand canapé. Pola Hubersen était sûrement en compagnie de quelqu'un dans sa chambre et elle ne voulait pas la surprendre. Cet appartement donnait l'impression d'être exigu : le vestibule, le salon sur la rue et le long couloir qui menait à la chambre. Mais une petite porte qui se confondait avec le mur, de l'autre côté, donnait accès à une enfilade de pièces le long d'un autre couloir, des pièces dont la plupart étaient vides, ou simplement meublées de divans très bas. Elle prit ce chemin-là, ouvrit la dernière porte à droite et se retrouva dans la grande salle de bains contiguë à la chambre de Pola Hubersen. La lumière était allumée, la porte grande ouverte sur la chambre.
Elle se déshabilla et enfila un peignoir, l'un de ceux qu'elle portait toujours après un spectacle et qu'elle avait oublié là. Elle entra dans la chambre. Un homme était allongé sur le lit, qu'elle reconnut aussitôt et avec qui elle avait répété un duo au studio Wacker, un certain Georges Starass. En dansant avec lui, elle avait eu une sensation qu'elle n'avait jamais ressentie avec aucun de ses partenaires, comme si ce contact était plus intime qu'un simple exercice, au point qu'elle avait voulu le prolonger.
Maintenant, ils étaient seuls tous les deux dans la chambre, et au bout de quelques instants elle avait de nouveau cette sensation, comme l'autre jour au studio Wacker, de danser avec lui à la même cadence, en parfaite harmonie... Et bientôt des éclats de plus en plus forts se succédaient à des intervalles de plus en plus courts. Chaque fois, elle éprouvait un vertige qui s'amplifiait à l'infini.
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Hello !
J’avais un peu envie de discuter ✍🏻
En ce moment je suis chez moi ! Dans mon appartement tout douillet avec mes plantes 🪴 et toutes mes affiches que j’ai collé au mur ! Je me sens apaisée et j’ai envie d’y rester ✨
J’essaye de garder l’appartement rangé 🧹 pour pas que le bazar m’encombre l’esprit, que les idées que j’ai y reste clair et ne soit pas noirci par du glitch 🗑️
Je pense que la tâche ménagère que j’aime le moins c’est passer l’aspirateur !
Je sais pas si c’est parce que je me sens frustrée de pas avoir assez de force musculaire au niveau des bras ou parce que j’ai aussi l’impression que l’aspirateur n’aspire pas ! Alors que GYUS c’est ton job enfaite !
Aniway !
En tout j’aime beaucoup mon coin bureau !!
J’ai d’ailleurs pris des petites photos pour vous le montrer hihi
J’adore vraiment et d’un côté *chuchote* « je suis contente que mon deuxième écran se soit cassé » !
Car oui comme mon appartement est un meublé ! J’ai pas eu le choix que de garder le bureau !
Snifff 😢 mon grand bureau blanc que j’affectionne tant ! Mais ainsi est fait la vie, j’ai plus de place comme ça dans l’appart 😎 !
En tout cas j’aime beaucoup le rendu avec la lampe arc-en-ciel 🌈 et le petit rangement en bois que ma Mamounette m’a donné !
J’espère que mon petit coin bureau vous aura donné de l’inspiration !
Sur ce je vais dodo 🦤
Merci de m’avoir lu, je vous souhaite une bonne soirée, une bonne journée et vous dis à très bientôt ! Bisouuus sur votre petit nez rouge à cause du froid !
Papillon Lune 🦋🌙
#racontage de vie#aspirateur gif#pluiiedelune#journal de la Lune it’s me#c’est quoi ta tâche ménagère que t’aime pas#bureau aesthetic ou de Pinterest comme tu veuux#study desk#kiki la petit sorcière
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À VENDRE APPARTEMENT MEUBLÉ T3 PAMATAI VUE MER! à 7 minutes de l'aéroport.
À VENDRE APPARTEMENT MEUBLÉ T3 PAMATAI VUE MER! à 7 minutes de l'aéroport. Appartement rénové. Composition : - 2 chambres climatisées (literie King Size) - 1 salon (canapé, grand écran TV) - cuisine équipée (machine à laver 7kg eau chaude) - 1 salle de bain (douche) - 1 balcon vue sur la rade de Papeete - 1 place de parking extérieure Équipement : Chauffe eau solaire. Prix de cession : 32 millions (FAI). Contactez Julien au 89 24 96 70 ou par mail à [email protected] Read the full article
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A LOUER S+1 – WAHAT – 53672333 – FB.7057
Prix de location : 1350dt Superficie : 58m² Type : S+1 Adresse :AL WAHAT Contacter notre conseiller en immobilier au : 53672333– 56096179 – 70727279 A louer un appartement S+1 richement meublé d’une surface égale à 58m2 au 1ére étage dans une résidence bien gardée , l’appartement très haut standing compose d’un salon , un chambre a coucher , une cuisine bien équipé (haute , plaque ,four )…
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Souvent une initiative se situe a la conjonction de divers intérêts, le premier intérêt de l'ONA sise a Rabat concerne la réhabilitation du quartier Français ou néocolonial, d'architecture Mauresque du centre ville de Rabat
Le deuxième intérêt est d'ordre lucratif, le troisième intérêt est d'étendre cette initiative aux principales villes du Royaume
Pour la constitution d'une collection de 30 hôtels particuliers dans le Royaume avec Cogemad Maroc, filiale de Cogemad, promoteur immobilier Français de plus de 25 ans d’expérience, spécialiste dans la réhabilitation d'immeubles en vue de les mettre sur le marché entant qu’hôtels particuliers
Effectivement l'ONA vise a lancer la mode d’hôtels particuliers dans les centres villes du Royaume qui disposent d'un tel patrimoine architectural, avec déjà 3 projets pour la ville de Rabat
Nos partenaires pour cette initiative sont les Wilayas du Royaume ainsi que l'état, ces projets d’hôtels particuliers concernent des immeubles sur pied, avec souvent l'aménagement de parkings souterrains, ce ne sont pas non plus des projets de façade,
Cogemad Maroc devra réaliser des bilans structurels de chaque immeuble, revus de fond en comble, aménagés et meublés, et mis a la vente aux enchères, privées, ou nous voulons réunir les amis du Maroc, nationaux et étrangers a l'international
Car il ne s'agit pas que de vendre, nous souhaitons proposer des résidences d'exception a ceux qui considèrent le Maroc comme un second pays, et aux nationaux qui verront des avantages a disposer de tels hôtels particuliers au centre ville, n'étant pas exclu que cela évolue vers une formule de timeshare, donc de pouvoir disposer non pas d'une seule de ces résidences mais de l'ensemble
Nombre de pièces sont d'époque, y compris les ascenseurs, les rampes d'escaliers sont fabriquées en France par des artisans Français, les fauteuils ainsi que les lustres également
Ce qui est attendu de Cogemad est un travail exceptionnel et ils savent faire, leurs réalisations parlent pour eux, ce qui est attendu de l'état est de faciliter la vente de ces immeubles dans un intérêt de préservation, et d'enrichissement du patrimoine, quand a l'ONA non seulement nous avons en charge le financement intégral, mais le groupe se porte acquéreur de l'ensemble, a prix coûtant
Outre notre participation de 40% dans Cogemad Maroc
Rabat, Casablanca, Tanger et Tétouan, a voir pour le reste, c'est un véritable travail de marche a pied que de découvrir ces immeubles, dont la majorité sont constitués d'appartements et d'imaginer ce qu'ils peuvent devenir, des hôtels particuliers
Le Maroc a des amis, il en a toujours eut, Paul Bowles était l'un de nos amis, et l'un de ces hôtels particuliers a Tanger est destiné a devenir une résidence d'écrivains, financée par la Fondation ONA
Paul Bowles avait commencé par visiter des appartements au centre ville, qu'il a trouvé trop chers, pour finalement s'installer dans une maison dans la médina, avec un loyer qu'il ne payait pas toujours a temps, et il s'en est voulu d'avoir cherché plus cher au centre ville, étant devenu Marocain, par la force des choses ou par affinité
Et donc il faut donner de la plus value a ces unités immobilières, outre leur valeur intrinsèque, il faudra exposer les travaux qui sont prévus que ce soit pour le quartier Français de Rabat, ou autres, afin que les clients éventuels sachent que leur investissement se fait dans un contexte plus large, de mise en valeur de leur environnement immédiat
Qu'entendons nous par le quartier Français de rabat, il s'agit du centre historique qui commence a partir de la Médina, intra muros du coté des Orangers et jusqu'au quartier de Hassan
Qu'entendons nous par la mise en valeur de ce patrimoine, nombre de ces immeubles ont disparu pour être remplacés par des immeubles sans réelle valeur architecturale,
qui doivent être remplacés purement et simplement par des immeubles d'architecture Mauresque, le projet est de reconstituer le quartier Français de Rabat, d'embellir sans surfaire l'existant et de construire de nouveaux immeubles, sans compromis, la valeur de ce centre historique étendu surpasse et de loin l'existant
Face a la question que par principe il n'aurait pas du quasiment disparaître, nous voulons opposer la prise de conscience de la valeur de ce patrimoine dans un contexte d'attractivité touristique, et de la diversité de ce que le ville de Rabat offre a ses visiteurs, donc après les immeubles cela se démolit et se reconstruit, sont disponibles également des photographies d'époque
Notre vision du quartier historique Français de Rabat, n'est pas celle d'immeubles dont souvent les appartements ont été scindés, mais celles d'appartements de 6 pièces et plus, certains sont des lofts qui occupent tout un étage, ensemble au sein duquel nous voulons disposer des hôtels particuliers, ainsi que des immeubles a usage bureau, et y installer nombre d'entreprises et surtout d'ONG
Quid du rez de chaussée, Avenue Mohamed V, il s'agit de l'abécédaire des marques de luxe, de cafés et restaurants élégants, voila ce que ce quartier peut et doit devenir,
la clientèle n'y est pas, la clientèle cela s'achète comme tout fond de commerce, dans un contexte ou même la médina historique est appelée a devenir des ryads luxueux
L'ONA entend construire pour son siège l'équivalent du Liberty Tower a New York en lieu et place de l'immeuble Essaada, le Maroc a fini de vivoter, la globalisation est passée par la, place a la valorisation d'un patrimoine immobilier longtemps resté sous évalué, aux portes de l'Europe, a mi chemin entre les Ameriques, le Moyen Orient et l'Asie, et qui a ces racines dans le continent Africain
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Disponible à fidjrossé au bord du goudron en face de l'école PIERRE MANOÉL TALON un *appartement meublé entrée personnelle* au premier étage de
*4 chambres* salon :
dzs
- climatisé et ventilé ,
- staffé carreaux miroir baies vitrées placard dans toutes les chambres ,
- grand balcon ,
- trois salles d’eau avec chauffe eau dont un avec baignoire,
- boyerie et buanderie avec machine à laver
- toilette visiteur,
- cuisine moderne
- garage d'une voiture
*Loyer mensuel : 1,200,000f*
Long séjour exigé 🧏🏻♂���
Contact : +229 66039749
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太鼓 (taiko)
Nous sortons les tambours du van au petit matin.
Mes cheveux sont balayés par le vent de la mer — nous sommes au bord de la côte. Je dépose le tambour qu'on me tend dans les hautes herbes. Le temps de rattacher mes cheveux, tenter d'y voir quelque chose.
Le ciel est gris, mais il ne pleuvra pas. Keiko-san, leader non-officielle du groupe, paie bien attention aux prévisions météorologiques. Il ne suffirait que d'une bruine pour endommager le cuir des tambours.
Le coup de vent la fait rire, à mes côtés - cheveux pris dans ses lunettes, bashi de bois dans les mains.
Kubo-san, son mari, à genoux dans le van, me tend un deuxième shime. C'est le seul type de tambour que je peux porter à moi seule — et encore faut-il l'agripper correctement, les doigts bien placés autour des ferrures. Son poids est trompeur, douloureux. Surprenant, pour un instrument de si petite taille. Le cercle de mes bras suffirait à en faire le tour.
Le shime est le tambour que je maîtrise le mieux, que j'ai le plus pratiqué. Il a un son sec, aigu, qui ne laisse pas place à l'erreur. Vitesse et précision.
Plus loin, il y a Ryan et Kawamura, qui, à deux, portent le plus gros des sue. Mariko se dépêche d'aligner le support au dessous; les deux autres y abaissent lentement le tambour. Impossible de rouler le support dans l'herbe longue; il faudra recommencer la manoeuvre quand viendra le temps de monter sur scène.
Le sue a un penchant plus chaleureux. Le rouge de son bois, la profondeur de son son. Il est le plus pittoresque des tambours, celui qu'on retrouve dans les temples, lors des cérémonies. Ampleur et dramatisme.
Les oke sont déjà placés plus loin, sur une couverture verte qui protège leur peau de la flore murotoise. Ils émettent un son sourd, un peu agressant, qui peut vaguement rappeler celui du tambourin.
Je dépose mon shime à leurs côtés. Bien sages, tous les tambours attendront le moment de notre performance.
Le vent se calme, et le van est vidé.
Assis sur la couverture, Kuon et Difan attendent que le temps passe. Kuon est Vietnamien, Difan, Indonésien. On parle tous assez mal Japonais, ce qui rend la communication difficile — ou peut-être la simplifie-t-elle. Je leur souris; ils me le rendent.
Les neuf-dixièmes des interactions requises pour apprendre le taiko se résument à tac-tac-tac. Ou, en japonais, taku-taku-taku.
À mes débuts, le hall de pratique était un havre de chaleur et de lumière. Le plaisir d'être bien entourée, de parler un langage commun. Une raison de sortir au soir, quitter mon appartement vide, non-meublé, pour le velours assourdi d'une salle de spectacle, les rires et les encouragements. Dès mes premiers jours à Muroto, j'aurais taku-taku-takué jusqu'au bout du monde pour ces visages accueillants, dont je n'arrivais même pas encore à mémoriser les noms.
Il y a quatre membre-piliers au groupe: Keiko, Kubo, Kawamura, et Iku.
Soit, deux couples de quinqagénaires murotois qui ne parlent pas un mot d'anglais — cela ne les empêche pas de prendre les étrangers de la communauté sous leur aile depuis des années.
La fille unique du couple Kawamura a épousé un des professeurs d'anglais qui ont précédé Mitchell. Elle est déménagée en Australie, lorsqu'il a dû y retourner, pour le suivre; la cérémonie de mariage a eu lieu à Melbourne.
De son écran de téléphone, Kawamura me montre une vidéo de sa petite fille jouant dans la mer. Lunettes de piscine violettes, éclats de rire.
Il m'en montre une autre, et puis encore une autre. M'avoue souhaiter parler mieux anglais, pour pouvoir communiquer avec elle. Au fil des mois, j'essaie de lui apprendre des phrases simples. Sans fruit: il a la mémoire d'un poisson d'eau profonde.
Sa femme, Iku, petite et fine comme une aiguille, est d'un talent inouï pour le taiko. J'associe le son sec du shime avec le mouvement de ses poignets, si rapide qu'il se floutte sur vidéo.
Elle est la meilleure mentor que j'ai pu avoir: découpe les chansons en petit morceaux, digestibles, me les fait répéter plusieurs fois avant de passer au prochain. Je ne suis pas la meilleure élève — il m'aura fallut des mois pour réaliser que malgré tous mes efforts, son tambour resterait le plus difficile. En août, je me suis transférée, progressivement et silencieusement, de mon propre chef, vers la section des sue, plus lente, plus théâtrale.
Les conseils patients d'Iku me manquent à chaque pratique.
Kubo, le mari de Keiko, est mon nouveau professeur de sue.
Kubo a le calme solide des grands maitres d'art martiaux. Visage sévère, yeux doux. Tous les vendredis, il conduit une quarantaine de minutes, aller-retour, pour permettre au vietnamien Kuon d'assister aux pratiques. Ils habitent aux deux extrémités de la ville.
Tous les ans, Kubo courre l'ultra marathon de Kochi — 100 kilomètres. L'an passé, les bénévoles l'ont arrêté au 97e kilomètre, car la limite de temps était dépassée.
Et puis, Keiko. Aimante Keiko, terrifiante Keiko, au rire contagieux et à la poigne de fer.
Le van noir fait face à la mer; Keiko en ferme le coffre des deux bras, d'un mouvement sec et vigoureux.
Les montagnes, à Muroto, se jettent directement dans le Pacifique. Derrière le van vidé, leur vert forêt vire au gris dans la brume côtière. Reste que la vue est spectaculaire.
Assis sur la couverture, Kuon tapote sur ses cuisses, au rythme de "Yuu", une des chansons que nous performerons aujourd'hui. Enfin, "nous" — tout le monde sauf moi. Comme j'ai récemment déménagé de section, je maitrise pas encore la nouvelle partition. Pas que j'aie jamais maitrisé l'ancienne — enfin.
Difan, couché entre les shime, un avant-bras lui couvrant les yeux, ne tapote le rythme d'aucune chanson. Il est la plus récente addition à notre groupe, mais maitrise déjà toutes les cadences, tous les tambours.
En vérité, si je ne suis pas douée pour le taiko, ce n'est pas seulement par manque de talent — mais bien aussi, et c'est ce qui est si dommage, par manque de discipline.
Je n'assiste qu'à une pratique sur deux. Trop souvent, ces jours-ci, la pensée de sortir de mon appartement, meublé et douillet, pour aller consacrer temps et effort à apprendre un instrument pour lequel je n'ai un intérêt que très moyen, me coûte beaucoup.
À les voir, en uniforme noir et rouge, foulard serré autour du front — je m'en veux de ne l'arborer plus fièrement, plus assurément. Je me dis, comme après chaque performance, revigorée de succès et de courage, que je serai plus assidue aux pratiques, dès maintenant, dès aujourd'hui. Dès la semaine prochaine. Dès l'autre d'après.
Fin d'octobre, déjà. C'est difficile de s'en rendre compte, avec les feuillages qui ne changent pas. Montagnes evergreen, vent marin.
Je fais signe à Keiko de sourire, pour la photo. Kawamura lève les bras, et Ryan tourne la tête pour suivre du regard ce qui attire leur attention.
Iku ne m'entend pas, le vent m'avale.
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Le centre de Paris interdit à Airbnb ? Ce qui semblait impensable il y a dix ans est en passe de devenir réalité : la ville de Paris va interdire les nouveaux meublés touristiques dans les quartiers de la capitale qui souffrent d’un déficit de logements, comme le Marais, le Sentier, le Quartier latin ou la butte Montmartre. La mesure devrait être gravée dans le marbre du futur Plan local d’urbanisme (PLU), en cours de révision. [...]
«No-go zones»
La mairie centrale travaille actuellement, main dans la main avec les mairies d’arrondissement et l’Atelier parisien d’urbanisme (Apur), à délimiter ces zones, qui devraient inclure au moins Paris Centre (Ier, IIe, IIIe et IVe arrondissements) et Montmartre (XVIIIe). Une carte de ces «no-go zones» pour les nouveaux Airbnb sera présentée aux élus parisiens lors du conseil municipal de juin, qui sera consacré à l’examen puis au vote du plus gros chantier de la deuxième mandature d’Anne Hidalgo : la révision du PLU, le document qui définira les nouvelles règles de construction, de transformation et de création d’espaces verts pour au moins les dix années à venir.
«Nous voulons mettre un coup d’arrêt à la création de nouveaux meublés dans les secteurs où il n’y a quasiment plus de résidents permanents», a expliqué jeudi Emmanuel Grégoire, le premier adjoint PS, chargé de l’urbanisme, lors d’une déambulation dans le quartier du Sentier. «Si on ne veut pas que Paris se transforme en Venise, il ne faut pas laisser faire le marché», a ajouté le bras droit d’Anne Hidalgo. L’interdiction, a-t-il précisé, ne s’appliquera pas aux Parisiens qui louent leur résidence principale, dans la limite de 120 jours par an, mais uniquement aux investisseurs professionnels.
Ici, rue de la Lune , c’est un immeuble entier qui a été progressivement «mité» par les locations touristiques. «Petit à petit, des gens ont racheté les appartements qu’ils ont transformés en meublés touristiques. Au bout d’un moment, vous vous retrouvez avec une sorte de résidence hôtelière», explique Dorine Bregman, adjointe chargée des commerces et du tourisme à la mairie de Paris Centre. «Il y a toujours eu des propriétaires bailleurs à Paris, pour obtenir un complément de revenus pour la retraite, par exemple, mais quand le phénomène des locations touristiques est arrivé, les gens se sont aperçus assez rapidement que c’était beaucoup plus lucratif de louer à la semaine, voire deux, trois jours, que de louer sous le bail classique de trois ans». Là, rue des Jeûneurs, en plus des appartements dans les étages, c’est le rez-de-chaussée, jusque-là occupé par un local commercial, qui a aussi changé de destination. La vitrine a été opacifiée, et le tour est joué.
«Pendant des années, nous avons été désarmés, puis, avec [l’adjoint au logement] Ian Brossat, on a pu reprendre la main», a reconnu Emmanuel Grégoire. Comme les autres capitales du globe, Paris a d’abord subi, impuissante, la déferlante de ces locations meublées de courte durée, qui ont fait monter les prix et chassé les habitants des quartiers centraux, entraînant avec eux la fermeture de commerces de bouche ou de services à l’habitant, comme les blanchisseries. [...]
La régulation a fait son effet
La France est le deuxième marché mondial pour Airbnb, derrière les Etats-Unis. Première destination touristique mondiale, sa capitale reste une ville de cocagne pour la firme de San Francisco, surtout dans la perspective des Jeux olympiques l’été prochain. D’où l’urgence de compléter l’arsenal juridique mis en place à partir de 2018 par Ian Brossat, à base de régime d’autorisation préalable et de règles strictes de compensation pour les professionnels, en parallèle à l’obligation faite à Airbnb de désactiver les annonces, désormais pourvues d’un numéro d’enregistrement, dont le nombre de nuitées dépasse 120. Ainsi, depuis janvier 2022, tout changement d’usage d’un commerce en meublé touristique est désormais soumis à autorisation de la mairie et les logements transformés en locations touristiques doivent faire l’objet d’une double, voire d’une triple compensation en surface. Il était temps : en à peine deux ans (2020-2022), un commerce sur huit a été transformé en meublé touristique au cœur de la capitale, selon Dorine Bregman, l’adjointe de Paris Centre. De manière générale, la régulation a produit son effet, puisqu’on assiste à un «tassement du nombre de meublés touristiques déclaré», affirme Emmanuel Grégoire.
[...] Longtemps hostile à toute réglementation, au point d’adresser régulièrement des «bras d’honneur» à la mairie, dixit Ian Brossat (1), la plateforme américaine assure aujourd’hui être non seulement en règle, mais avoir renoué avec son mythe fondateur, puisque «les trois quarts des hébergements loués l’an dernier à Paris sur Airbnb étaient des résidences principales ou des chambres chez l’habitant». Omettant de rappeler la bataille qu’a dû livrer la ville de Paris (mais aussi d’autres métropoles régionales et jusqu’à l’île d’Oléron, qui a attaqué récemment la firme en justice) pour récupérer la taxe de séjour. Sans parler des tentatives, infructueuses celles-là, pour qu’Airbnb paie des impôts en France à proportion du chiffre d’affaires qu’y génère son activité : peine perdue, puisque la maison mère est basée en Irlande, un quasi-paradis fiscal.
«Un trou dans la raquette»
Cette offensive pour «déloger» Airbnb n’est pas que parisienne : la municipalité écologiste d’Annecy, victime à son tour de son attractivité, a ouvert la voie en votant fin février la mise en place de quotas de meublés de tourisme pour tenter de faire revenir sur le marché plusieurs centaines de logements. Ces quotas s’appliqueront dès juin dans la commune, qui a été divisée en trois zones, la plus restrictive étant la vieille ville, très touristique. Une mesure jugée «discriminatoire et disproportionnée» par le Syndicat Annecy Meublés, représentant les intérêts des loueurs, qui a annoncé son intention de saisir la justice. Le lobby des professionnels de l’immobilier, qui a déjà eu la peau de l’encadrement des loyers (finalement rétabli), va-t-il repartir à l’attaque contre le régime d’interdiction appelé à se mettre en place à Paris ?
La transformation des logements et commerces en meublés de tourisme étant désormais très encadrée, les élus parisiens redoutent que l’appétit des investisseurs ne se tourne désormais vers les bureaux. D’autant qu’avec la généralisation du télétravail, les besoins des entreprises en m² de bureaux se sont beaucoup réduits. «Ce qui nous manque aujourd’hui, ce sont des déclarations préalables pour la transformation de bureaux en Airbnb, et puis il y a un trou dans la raquette concernant les locations de passoires thermiques, sur lesquelles il y avait une exception pour les meublés touristiques», confirme Emmanuel Grégoire.
Pour boucher ces trous, la ville compte sur la proposition de loi transpartisane visant à «remédier aux déséquilibres du marché locatif en zone tendue», qui sera débattue le 13 juin à l’Assemblée. Selon son corapporteur, le député de la Nupes Iñaki Echaniz, présent lors du déplacement dans le Sentier, son article 2 propose justement «d’étendre aux meublés touristiques le droit de regard des élus», en leur permettant de mettre en place une autorisation préalable à la location touristique. Ce régime dit «de changement d’usage d’un local», bureaux inclus, ne concerne aujourd’hui que les communes de plus de 200 000 habitants et trois départements de la petite couronne francilienne, a précisé le député socialiste.
Véto fiscal de Bercy
Reste le nerf de la guerre : la fiscalité. Relayant une demande ancienne des associations de mettre fin à la «niche fiscale Airbnb», l’article 3 de la proposition de loi suggère de réduire l’abattement dont bénéficient les investisseurs sur leurs revenus locatifs, qui peut aller jusqu’à 71 % ! «Je plaidais aussi pour une révision de la taxe sur les résidences secondaires, mais Bercy ne veut pas en entendre parler», a regretté Iñaki Echaniz. Explication : cette taxe est une majoration de la taxe foncière. En raison de ce «couplage», toute hausse de la première entraîne mécaniquement une hausse de la seconde. Résultat, les maires qui voudraient augmenter la pression fiscale sur les résidences secondaires pour inciter les propriétaires à remettre sur le marché ces logements inoccupés une bonne partie de l’année devront augmenter les impôts locaux. Aucune chance qu’ils le fassent… D’où l’idée portée par le Parti socialiste d’un «découplage», sur lequel Bercy a mis, sans surprise, son veto.
Ce n’est pas comme si la crise du logement ne frappait pas durement, non seulement l’Ile-de-France, mais une bonne partie du littoral atlantique. Le député basque a décrit le défilé dans sa permanence électorale des saisonniers, étudiants ou membres du personnel de l’hôpital de Bayonne, qui ne trouvent plus à se loger «là où ils travaillent et là d’où ils viennent». La raison ? Le boom des meublés de tourisme, qui ont augmenté de 130 % entre 2016 et 2020 dans la communauté d’agglomération du Pays basque. «Même dans l’arrière-pays, les prix montent. Au centre du Pays basque, une maison achetée 120 000 euros il y a trois ans a été remise sur le marché, avec une piscine en plus, à 400 000 euros, a illustré l’élu. Or nos territoires ne sont pas seulement des centres de vacances : on souhaite avoir des gens qui y vivent !»
Dédiabolisation des «méfaits du business»
Alors qu’Airbnb est montré du doigt pour son rôle dans cette crise, la firme a lancé une opération de séduction pour tenter de redorer son image. «Avec la ville de Paris, la relation est forte, il y a toujours des moyens de l’améliorer mais nous serons un partenaire extraordinairement important du logement», a assuré Brian Chesky, son PDG, dans un entretien aux Echos publié mardi. Et, à moins de 500 jours du top départ des JO, elle se décarcasse pour montrer à quel point sa présence sera bénéfique à l’économie française. Par exemple, elle a commandé une étude au cabinet de conseil Deloitte, qui chiffre à 1 milliard d’euros les retombées économiques attendues pour la France. Un chiffre largement repris dans les médias. Ainsi, les quelque 560 000 touristes «qui séjourneront dans des hébergements loués sur Airbnb pendant les Jeux généreraient un milliard d’euros de chiffre d’affaires, 73 millions d’euros de recettes fiscales (dont 15 millions de taxes de séjour) et devraient permettre la création de près de 7 300 emplois équivalents temps plein dans l’année», détaille l’étude.
Du côté des 130 000 hôtes attendus, Airbnb fait miroiter un jackpot : selon Deloitte, ils devraient empocher 221 euros par nuit en moyenne entre le 26 juillet et le 11 août. Soit une hausse de 85 % par rapport au revenu moyen en 2022 (119 euros). «Cette étude n’a pour but que de dédiaboliser les méfaits du business des meublés de tourisme sur notre territoire et de redorer l’image de l’entreprise, s’agace Vincent Aulnay, membre du collectif ParisvsBnB, cité par le Parisien. Oui, il y aura des retombées économiques fortes durant cette période, mais après ? Va-t-on voir encore une vague d’investisseurs jouer au Monopoly dans nos villes ? Trop de jeunes, de foyers modestes ont énormément de mal à se loger, des quartiers se vident, des classes ferment…» Pour ou contre Airbnb ? Après les trottinettes en libre-service, autre marqueur contesté de la «ville ubérisée», la question ne pourrait-elle pas aussi faire l’objet d’une votation citoyenne ?
(1) Voir son livre Airbnb, la ville ubérisée, éd. La Ville brûle, 2018
#real estate#french#upthebaguette#article copié en entier car réservé aux abonnés#enfin j'ai coupé deux trois phrases pour la longueur quand même mais l'essentiel est là#bee tries to talk#air bnb#long post
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Moonlight Films
Dans certains vidéoclubs ou grossistes en cassettes vidéos, une carte de visite y est gardée. Certains magasins la cachent bien, enfermée en sûreté, et nieront son existence. D'autres vous la montreront si vous leur demandez avec le nom précis. Aucuns ne vous montreront où ils la cache.
Sur la carte il y a un nom, "Moonlight Films", et un numéro de téléphone. Toujours un numéro local. Allez dans une cabine téléphonique et composer le numéro. La réponse sera immédiate mais vous entendrez du silence. Attendez 30 secondes. Puis ont vous répondra.
Une voix sèche et monotone vous posera une question : "La route de la vie à la mort est-elle sombre?" La réponse correcte est : "Clair comme la lune."
Si vous répondez autre chose, ils raccrocheront. Si vous échouez la première fois, je vous déconseille de réessayer. Mais si vous répondez correctement, la voix vous dicteras une adresse dans votre ville et raccrochera.
Allez à cette adresse et vous trouverez un petit appartement vétuste. Le tapis sera sale, le papier peint déchiré et moisi, les fenêtres fissurés. Ça sentira la poussière et le tabac. Sur une vieille table basse tachée, il y aura un sac en papier. Votre nom sera inscrit en rouge sur ce sac.
Ouvrez le sac et vous trouverez une cassette VHS sans étiquette. Prenez-la, placez précisément 10,99€ dans le sac et partez.
Vous pouvez regarder la VHS si vous le souhaitez, mais ce n'est pas une obligation. Attention : ce n'est pas plaisant. Vous verrez une chambre où un salon entièrement drapé et meublé en peau et en os humain découpés. La cassette sure approximativement 32 minutes et montrera le meurtre d'une personne et la confection, à partir de son corps, de nouveaux meubles pour la pièce.
L'ayant loué pour une semaine, vous devez la rendre à l'appartement en la glissant dans la boîte aux lettres avant la fin du temps imparti. Après ça, ne revenez plus jamais à l'appartement et ne rappelez plus jamais le numéro.
Je vous suggère de ne pas garder la cassette plus d'une semaine. Les propriétaires n'aiment pas les retardataires et vous savez, une bonne maison ne sera jamais assez meublé.
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