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mbiinvest · 2 years ago
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Appartement de vacances à Tanger
Appartement de vacances à Tanger https://ift.tt/4tO5AJH [rp_property_list posts_per_page=”2″]Tanger est une ville marocaine en bordure du détroit de Gibraltar, connue pour son histoire riche et sa culture vibrante. C’est également une destination touristique populaire, avec de nombreux sites historiques, plages, restaurants et magasins. Si vous envisagez de visiter Tanger, la location d’un appartement de vacances peut être une option intéressante. Dans cet article, nous allons vous présenter... Cet article Appartement de vacances à Tanger est apparu en premier sur MBI Investment. via MBI Investment
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mbimaroc · 2 years ago
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Appartement de vacances à Tanger
Appartement de vacances à Tanger https://ift.tt/X6yVMbE Tanger, ville située au nord du Maroc, est une destination touristique de choix pour les vacances. Connue pour son histoire riche, son architecture unique et sa cuisine délicieuse, Tanger offre une expérience d’appartement de vacances mémorable pour les voyageurs de tous les horizons. Si vous cherchez une location de vacances à Tanger, vous êtes au bon endroit. Dans cet article, nous allons vous guider à travers les différentes options de location de vacances à Tanger. Location appartement de vacances à Tanger, pourquoi faire? Première option : La première option de location de vacances à Tanger est l’appartement. Les appartements à Tanger offrent un excellent rapport qualité-prix et une grande flexibilité. Vous pouvez choisir parmi une variété d’options en fonction de votre budget et de vos préférences. Les appartements à Tanger sont souvent situés dans des quartiers centraux et touristiques, ce qui vous permet d’accéder facilement aux attractions de la ville. Deuxième option : La deuxième option de location de vacances à Tanger est la villa. Les villas sont idéales pour les familles ou les grands groupes qui cherchent à séjourner ensemble. Les villas à Tanger sont souvent situées dans des quartiers plus calmes et résidentiels, offrant une expérience de vacances plus détendue. Sans compter que ces villas sont également équipées d’une cuisine, ce qui vous permet de préparer vos repas et de réduire les coûts de vos vacances. Coups de coeur 7 Malabata, Tanger Appartement Court Terme Location court terme CT.M.T.1324 800 Dh MBI met à votre disposition pour la location court terme un superbe appartement meublé dan [plus] MBI met à votre disposition pour la location court terme un superbe appartement meublé dans une résidence familiale [plus] 2 1 90 m2détails Amal HARRACH 18 Nejma, Tanger Appartement Court Terme Location court terme CT.N.T.1348 1 200 Dh Mbi met Magnifique cet appartement meublée en location court terme à Tanger,  d’une superf [plus] Mbi met Magnifique cet appartement meublée en location court terme à Tanger,  d’une superficie de 140 m² , meublé a [plus] 3 1 140 m2détails Amal HARRACH plus d'annonces Enfin, la dernière option de location de vacances à Tanger est la maison traditionnelle. Ces maisons historiques offrent une expérience de vacances unique et authentique. Les maisons traditionnelles à Tanger sont souvent situées dans la médina, le cœur historique de la ville. Vous pouvez profiter de la vie locale en explorant les rues étroites et en visitant les souks et les marchés locaux. Les maisons traditionnelles à Tanger sont également équipées de toutes les commodités modernes, vous offrant ainsi une expérience de vacances confortable. En louant une maison de vacances à Tanger, vous pouvez profiter de la ville à votre propre rythme. En suite vous pouvez explorer les sites touristiques, découvrir la culture locale et profiter de la nourriture délicieuse. Tanger est également située à proximité d’autres destinations touristiques populaires, telles que Chefchaouen et Asilah. Vous pouvez facilement organiser des excursions d’une journée pour découvrir les merveilles du nord du Maroc. En conclusion, louer une maison de vacances à Tanger est un excellent moyen de profiter de cette ville magnifique et de découvrir tout ce qu’elle a à offrir. Que vous cherchiez un appartement, une villa ou une maison traditionnelle, Tanger a quelque chose à offrir pour tous les goûts et tous les budgets. Alors! réservez dès maintenant votre location de vacances à Tanger et préparez-vous à vivre des vacances inoubliables dans cette ville fascinante du nord du Maroc. The post Appartement de vacances à Tanger appeared first on MBI Maroc. via MBI Maroc
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abdelhak-el-hamri-blog · 2 years ago
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Apart 2 chambres 2SDB 5éme étage, Hivernage
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motsimages · 3 months ago
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Quand j'habitais dans la capital de la province, une zone rurale très isolée qui perd population chaque année en générale et cette ville en particulier perd des habitants par centaines, et je voyais des annonces comme ça. "Idéal pour investir". Investir en quoi ? La moitié des apparts sont vides. Il y a des affiches "à louer", "à vendre" partout. Il y a des maisons superbes à vendre depuis des années, peut-être des décennies, mais non c'est pas pour y habiter, c'est pour investir. Pour que les touristes viennent payer l'hypothèque, pour louer aux jeunes qui viennent étudier à l'université. Mais pas pour que moi, freelance, puisse y vivre tranquillement avec mes chats.
quand je vois une annonce immobilière qui balance d'entrée de jeu un "appartement idéal investisseur loyer meublé [HORS DE PRIX] soit une rentabilité annuelle de [POURCENTAGE D'ESCROQUERIE]" tout ce que je souhaite c'est la mort du parasite qui l'a postée et la mort des parasites qui pourraient être intéressés
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e642 · 3 months ago
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Par contre, j'ai accompagné mon mec pour déménager et son appartement il est tellement flingué mdrr. Genre, le mien est tellement mieux à côté. En fait, j'adore avoir un appart où je me sens bien, où j'ai tout customisé et tout. Surtout qu'au début mon appartement c'était un non meublé et ça me saoulait parce que fallait acheter les meubles et jsuis pauvre quoi mais bon, en vrai j'ai craqué le pel l'année dernière et j'en suis très satisfaite. En fait, le bonheur d'avoir ses meubles, acheter ses affaires, choisir leur place, c'est un luxe que j'ai tjrs sous estimé après 3 ans de coloc (bon j'avoue c'était une coloc de zinzin, une grande maison pour 3 là). J'aime bien me dire que le temps du contrat c'est mon appartement à moi et qu'il me représente et que tout a sa place et que tout a une correspondance.
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bienvenuechezmoi · 3 months ago
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La seule étape de la vie d'adulte que je n'ai pas encore fait c'est d'avoir un appartement individuel non meublé.
J'ai géré mes papiers, j'ai eu un job, j'ai dit merde au job, je commence à apprendre mes limites, j'arrive à dire non, je dis merde à mes parents, j'aime bien être seule, j'apprends à me faire des potes en étant adulte, je sais faire des activités solo, je n'ai pas besoin des autres pour être bien, je me fais de bons petits plats, j'apprends à me foutre du regard des autres, j'essaye de garder mes ami.e.s de longue date, je sais baroudeur (c'est genre ma capacité n°1), j'ai appris à m'écouter, j'ai appris à prendre en main mes problèmes de santé, j'ai appris à appeler et parler au téléphone (mes millenials sûrs vous savez), j'ai une voiture et je l'entretiens, je vois une psy BREF il me reste plus que l'appartement non meublé qui m'a l'air d'être une montagne.
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michelhenot-blog · 4 months ago
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Instantané du 30 juillet 2024 : ‘’en off’’ avant prises de vues, Mode décalée avec Noa dans un appartement meublé époque Napoléon III. ‘’off-camera’’ before shooting Quirky fashion with Noa in a furnished Napoleon III period apartment©Michel Hénot Snapshot Photographer. Photographe toutes images Reblog avec source.
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charmemma · 10 months ago
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"Il était dix heures du matin et il neigeait de nouveau. Une neige légère, presque des gouttes de pluie. Elle avait froid et elle sentait des points douloureux dans tout son corps. Il fallait "dénouer les nœuds", comme disait Kniaseff. Alors, elle décida de se rendre chez Pola Hubersen. Elle était la seule à pouvoir la soulager. Elle s'allongeait sur le lit, Pola Hubersen la caressait, et ses doigts s'arrêtaient aux bons endroits, avec une précision d'acupuncteur. Ses lèvres effleuraient les siennes, et leur contact, sur son corps, était encore plus doux que ses doigts. Peu à peu, les nœuds se dénouaient sans qu'elle éprouve la souffrance qui était la sienne au début des cours de danse. Il lui arrivait de manquer un cours et de se retrouver au lit avec elle. Alors, elle se laissait aller au fil de l'eau en fermant les yeux. (...)
Elle entra dans l'immeuble du début de la rue Quentin-Bauchart. Pola Hubersen se levait très tard et peut-être n'était-elle pas encore réveillée. Elle traversa le vestibule, et quand elle fut entrée dans le salon, elle remarqua un manteau d'homme sur le grand canapé. Pola Hubersen était sûrement en compagnie de quelqu'un dans sa chambre et elle ne voulait pas la surprendre. Cet appartement donnait l'impression d'être exigu : le vestibule, le salon sur la rue et le long couloir qui menait à la chambre. Mais une petite porte qui se confondait avec le mur, de l'autre côté, donnait accès à une enfilade de pièces le long d'un autre couloir, des pièces dont la plupart étaient vides, ou simplement meublées de divans très bas. Elle prit ce chemin-là, ouvrit la dernière porte à droite et se retrouva dans la grande salle de bains contiguë à la chambre de Pola Hubersen. La lumière était allumée, la porte grande ouverte sur la chambre.
Elle se déshabilla et enfila un peignoir, l'un de ceux qu'elle portait toujours après un spectacle et qu'elle avait oublié là. Elle entra dans la chambre. Un homme était allongé sur le lit, qu'elle reconnut aussitôt et avec qui elle avait répété un duo au studio Wacker, un certain Georges Starass. En dansant avec lui, elle avait eu une sensation qu'elle n'avait jamais ressentie avec aucun de ses partenaires, comme si ce contact était plus intime qu'un simple exercice, au point qu'elle avait voulu le prolonger.
Maintenant, ils étaient seuls tous les deux dans la chambre, et au bout de quelques instants elle avait de nouveau cette sensation, comme l'autre jour au studio Wacker, de danser avec lui à la même cadence, en parfaite harmonie... Et bientôt des éclats de plus en plus forts se succédaient à des intervalles de plus en plus courts. Chaque fois, elle éprouvait un vertige qui s'amplifiait à l'infini.
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journalpluiiedelune · 1 year ago
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Hello !
J’avais un peu envie de discuter ✍🏻
En ce moment je suis chez moi ! Dans mon appartement tout douillet avec mes plantes 🪴 et toutes mes affiches que j’ai collé au mur ! Je me sens apaisée et j’ai envie d’y rester ✨
J’essaye de garder l’appartement rangé 🧹 pour pas que le bazar m’encombre l’esprit, que les idées que j’ai y reste clair et ne soit pas noirci par du glitch 🗑️
Je pense que la tâche ménagère que j’aime le moins c’est passer l’aspirateur !
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Je sais pas si c’est parce que je me sens frustrée de pas avoir assez de force musculaire au niveau des bras ou parce que j’ai aussi l’impression que l’aspirateur n’aspire pas ! Alors que GYUS c’est ton job enfaite !
Aniway !
En tout j’aime beaucoup mon coin bureau !!
J’ai d’ailleurs pris des petites photos pour vous le montrer hihi
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J’adore vraiment et d’un côté *chuchote* « je suis contente que mon deuxième écran se soit cassé » !
Car oui comme mon appartement est un meublé ! J’ai pas eu le choix que de garder le bureau !
Snifff 😢 mon grand bureau blanc que j’affectionne tant ! Mais ainsi est fait la vie, j’ai plus de place comme ça dans l’appart 😎 !
En tout cas j’aime beaucoup le rendu avec la lampe arc-en-ciel 🌈 et le petit rangement en bois que ma Mamounette m’a donné !
J’espère que mon petit coin bureau vous aura donné de l’inspiration !
Sur ce je vais dodo 🦤
Merci de m’avoir lu, je vous souhaite une bonne soirée, une bonne journée et vous dis à très bientôt ! Bisouuus sur votre petit nez rouge à cause du froid !
Papillon Lune 🦋🌙
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le-van-de-noces · 1 year ago
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PASSEGIATA AL LAGO - 15.09.23
Après cette nuit agitée, on profite enfin de la belle vue sur le lac ! Lecture et petit-déjeuner à l'arrière de la camionetta.
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On redescend ensuite à Verbiana pour aller visiter la Villa Taranto, réputée pour ses riches jardins. Acquise en 1930 par un capitaine écossais passionné de botanique, il aurait découvert l'annonce de vente au court d'un voyage à bord de l'Orient Express, en lisant le Times, de retour d'un séjour à Venise... rien que ça ! Déambulation entre arbres centenaires, labyrinthe de dahlias (une pensée pour mon sublime bouquet de mariée ! ♥️) et nénuphars géants ; j'étais plus dans mon élément que Léo - en plus j'y ai bu un deliziosa cioccolata calda !
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Déjeuner rapide cuisiné par mon chef personnel, avant d'embarquer sur le bateau qui nous conduit aux Iles Borromées. Archipel acheté par la famille homonyme au XVème siècle, il est composé de :
l'Isola dei Pescatori, ancien village de pêcheur, charmante mais transformé en village de restaurants et échoppes à touristes
l'Isola Madre, la plus grande, sur laquelle se trouve un "petit" palais, et surtout un parc exotique enrichi au travers des siècles et ouvert au public depuis les années 70
l'Isola Bella, la plus célèbre, constituée d'un Palazzo et de jardins à l'anglaise très étonnants.
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Visite du Palazzo Borromeo donc, de ses nombreuses galeries et chambres encore meublées, les fenêtres laissant entrevoir de superbes vues sur le lac. On traverse de nombreux salons, dont un, particulièrement vaste (haut de trois étages) au plafond duquel on peut lire la devise familiale : humilitas.
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On y apprend également que Napoléon a fait escale sur l'Isola Bella sans prévenir durant sa campagne d'Italie, que lui et sa garnison de 60 soldats se sont comportés comme des goujats, et que l'intendant du palais a été bien heureux que cette visite ait été de courte durée car ils ont laissé après eux "des chambre sales et malodorantes"...
Au rez-de-chaussée, on découvre les Grottes, appartements restant frais par les chaudes journées d'été, tapissés de galets du lac, du sol au plafond.
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Sans oublier que partout sont repris les symboles des Borromeo : un chameau assis, un cèdre, trois anneaux entrelacés et une licorne. Mais ce sont les aménagements extérieurs qui rendent cette île unique : en sortant, après avoir traversé la cour de Diane, on découvre la Serra Elisa, luxuriante et très jolie. Léo y propose un intermezzo musicale.
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Au coeur du jardin se trouve le Teatro Massimo, décor invraisemblable et débauche de statues, terassant les jardins sur plusieurs niveaux. Le tout surplombé par une immense licorne. En haut, une vaste esplanade encadrée de quatre obélisques reprenant les quatre éléments et offrant un panorama sur le lac magnifique.
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Sur le trajet de retour en bateau, je m'improvise photographe de cartes postales - il doit bien y avoir un type dont c'est le job, non ?!
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Une baignade-douche aux abords du lac, de l'essence pour la camionetta, et nous voilà comme neufs pour rouler jusqu'à Stresa, ville d'en face et point de départ principal pour les îles Borromées.
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Sur place, on visualise bien le passif de lieu de villégiature de la région. Sur tout le front de lac, sont alignés de grands hôtels, aux vitres en verres soufflés gigantesques, serveurs en livrée, restaurants de luxe et enseignes lumineuses.
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Après une bonne pizza à emporter sur le port, on reprend un petit peu de hauteur pour observer une dernière fois le Lago Maggiore avant de partir à la découvert des autres lacs !
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cabinetlevytahiti · 15 hours ago
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LIBRE à partir du 17 Décembre- VISITES SUR RDV DE 9H À 12h DU LUNDI à VENDREDI
LIBRE à partir du 17 Décembre- VISITES SUR RDV DE 9H À 12h DU LUNDI à VENDREDI A louer appartement F4 "Meublé/équipé" au 1er étage, sur la route de ceinture à Punaauia (Proche de toutes commodités) Appartement au 1er étage, d’une surface habitable de 90M2, comprenant: grand salon lumineux, cuisine moderne et équipée, 3 chambres avec dressings, une salle d’eau + un wc indépendant et un balcon de 13m2 (Chauffe eau solaire) 1 place de parking attitrée + places visiteurs LIBRE à partir du 17 Décembre- VISITES SUR RDV DE 9H À 12h DU LUNDI à VENDREDI PRIX: 175 000 XPF (Charges incluses: Eau et ordures ménagères) Cabinet Levy – Olivier – Tel: 89 22 56 43 ———————————————————————————————————————————————- Appartement en défiscalisation soumis à des plafonds de revenu annuel net: 34.545 € soit 4.122.255 FCFP, pour une personne seule, • 63.885 € soit 7.623.397 FCFP, pour un couple, • 67.577 € soit 8.063.963 FCFP, pour une personne seule ou un couple ayant une personne à charge • 71.274 € soit 8.505.126 FCFP, pour une personne seule ou un couple ayant deux personnes à charge • 76.208 € soit 9.093.901 FCFP, pour une personne seule ou un couple ayant trois personnes à charge • 81.146 € soit 9.683.152 FCFP pour une personne seule ou un couple ayant quatre personnes à charge • + 5.190 € soit 619.323 FCFP, par personne à charge à partir de la cinquième. Read the full article
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immobilier · 1 day ago
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A LOUER - S+1 MEUBLE - CITE EL WAHAT - TEL 50362627-
Loyer:1200 DT Superficie:75 Type:S+1 Adresse: Cité El Wahat Contacter notre conseillère en immobilière au 50362627 / 56096179 / 70727279. A louer un appartement S+1 meublé au 4 ème étage avec double ascenseurs dans une résidence bien gardée et sécurisée à Cité El Wahat à proximités toutes les commoditès.il se compose d’un salon avec un balcon, cuisine bien équipée avec les éléments ( plaque,…
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actu-juridique · 4 days ago
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Fiscalité locative : les conclusions du rapport Le Meur sur la fiscalité locative
https://justifiable.fr/?p=663 https://justifiable.fr/?p=663 #conclusions #fiscalité #les #locative #Meur #rapport #sur Le rapport très attendu sur la fiscalité des revenus locatifs remet en cause la niche fiscale Airbnb. Il propose d’unifier les revenus locatifs sous la catégorie des revenus fonciers, sauf pour le locatif meublé professionnel, qui resterait imposé comme BIC selon des critères réévalués. Les trois scenarii proposés jouent sur les abattements en régime micro, les seuils de passage du micro au réel et la prise en compte des amortissements. Commandé par le gouvernement en juillet 2023 suite à plusieurs initiatives parlementaires, le rapport de la députée Renaissance, Annaïg Le Meur (réélue), sur la fiscalité locative a été publié le 15 juillet dernier (« Propositions de réforme de la fiscalité locative », Annaïg Le Meur, Assemblée nationale). Ses conclusions doivent inspirer le législateur et le futur gouvernement pour prendre les mesures qui s’imposent dans un contexte de crise du logement. Les réformes fiscales qu’il propose ont pour objectif de favoriser la location de longue durée à titre de résidence principale et d’assurer une offre de logements locatifs privés à loyers abordables et de qualité. La réforme hasardeuse de la loi de finances pour 2024 Ce rapport est attendu par un très large public : les acteurs de la ville, les ménages et les propriétaires bailleurs qui s’attendent à voir évoluer la taxation des revenus locatifs. D’ailleurs, leur situation a déjà évolué, avec l’adoption « hasardeuse » par l’article 45 de la loi de finances pour 2024 (L. n° 2023-1322 du 29 décembre 2023 de finances pour 2024, JORF n° 0303 du 30 décembre 2023) d’une réforme dont le gouvernement alors en place ne souhaitait pas. La loi de finances pour 2024 prévoit en effet un durcissement des règles micro-BIC applicables aux loueurs de meublés de tourisme non classés (villas, appartements ou studios meublés à l’usage exclusif du locataire, offerts à la location à une clientèle de passage qui y effectue un séjour caractérisé par une location à la journée, à la semaine ou au mois). Elle abaisse sa limite d’application, qui passe à 77 700 euros (de chiffre d’affaires HT de l’année civile précédente ou de la pénultième année) à 15 000 euros. Les loueurs de meublés de tourisme classés ne sont pas concernés par cette disposition et relèvent toujours de la limite d’application du régime micro-BIC fixée à 188 700 euros. De plus, la loi abaisse le taux d’abattement 50 % à 30 %. Une fiscalité complexe et injuste Le cadre analysé, qui raisonne en partie sur la fiscalité antérieure à l’intervention des mesures adoptées dans la loi de finances pour 2024 apparaît « excessivement complexe et déséquilibré ». Il repose sur une différence de traitement entre la location nue et la location meublée, en faveur de celle-ci. Il est considéré « comme sans justification, ni économique, ni juridique, et comme inéquitable ». Les revenus de la location nue sont imposés en revenus fonciers et ceux de la location meublée en tant que bénéfices industriels et commerciaux (BIC). Jusqu’à la loi de finances pour 2024, les régimes simplifiés dits « micro » permettaient des abattements forfaitaires sur les revenus à des taux plus élevés pour les meublés que pour la location nue, et les seuils du régime micro étaient beaucoup plus élevés pour les meublés. « On arrive, dans certaines situations, à ce que les revenus locatifs tirés d’une location en meublé soient totalement exonérés d’impôt », indique le rapport. 68 % des contribuables en régime BIC réel ne sont pas imposés sur leurs revenus locatifs, contre seulement 14 % de ceux imposés en régime foncier. De plus, les régimes d’imposition au réel permettent d’amortir le bien meublé, mais pas le bien nu. Même constat pour la taxation des plus-values de cession : le régime est plus favorable pour les meublés que pour les biens nus. Ces six dernières années, le rapport rapporte une baisse faible (-0,2 %) mais historique du nombre de logements nus déclarés, alors que le nombre de logements meublés a crû de plus de 50 % sur la même période. Ce phénomène n’est pas dû qu’au régime fiscal. Le rapport rappelle que les locations meublées présentent un rendement locatif supérieur, surtout pour des locations de courte durée et bénéficient d’un cadre juridique plus souple dans les relations bailleur-locataire. Neutraliser les incitations fiscales et faire converger les régimes Toutefois, « la fiscalité n’a pas à encourager tel type de location par rapport à tel autre, et devrait rester neutre en traitant les locations nues et meublées dans un même régime, aussi bien pour le régime micro simplifié que pour le régime au réel ». En revanche, il y a « un objectif de politique publique à encourager la location de longue durée, qui permet de donner une résidence principale à des familles, avec également des segments de loyers accessibles pour des publics défavorisés qui ne peuvent pas tous entrer dans le parc social ». C’est pourquoi, le rapport recommande, de façon générale, la convergence des régimes de la location nue et de la location meublée. Il propose d’unification des revenus locatifs sous la catégorie des revenus fonciers – excepté pour le locatif meublé professionnel (LMP), ceux-ci restant imposés comme BIC selon des critères réévalués. Les paramètres de réforme sont principalement les abattements en régime micro, les seuils de passage du micro au réel et la prise en compte des amortissements. Plusieurs scénarios de réforme sont présentés en ce sens, tous tendant aussi à simplifier la fiscalité. Ils ont quatre éléments en commun. La réunification des revenus locatifs patrimoniaux dans une seule catégorie d’imposition : celle des revenus fonciers. Tous les revenus issus de la location nue seraient donc déclarés en revenus fonciers, qu’il s’agisse de locations nues, ce qui est déjà le cas, ou de locations meublées non professionnelles, jusqu’à présent imposées dans la catégorie des BIC. Une réforme à la marge de la fiscalité du loueur meublé professionnel (LMP). Ce régime du LMP restera en dehors de la réunification et demeurera en BIC. Toutefois, il est proposé, dès à présent, trois mesures dans le rapport : Relever le plancher pour y accéder : de 23 000 euros il pourrait passer à au moins 30 000 euros « pour éviter une aspiration artificielle des LMNP vers les LMP, par attrait pour le dispositif de l’amortissement » ; Intégrer dans le montant total des autres revenus, les revenus de capitaux mobiliers ; Afin éviter les effets de bords entre les logements meublés non professionnels et professionnels, la première année de dépassement d’un côté comme de l’autre, le régime initial serait conservé. Le régime ne pourrait être adopté qu’après deux dépassements consécutifs du seuil. En tout état de cause, l’intégration des revenus de capitaux mobiliers dans l’assiette des autres revenus devrait limiter ces rares cas. Une révision du seuil de passage, du régime micro au réel, de 15 000 euros à 30 000 euros. Le rapport rappelle que ce seuil n’a pas été révisé depuis une vingtaine d’années, alors que le marché du logement est globalement en inflation largement positive. La suppression de l’amortissement au réel : une période transitoire Le rapport préconise la suppression de l’amortissement au régime BIC réel des LMNP, « c’est ce dispositif qui fait du régime LMNP une niche fiscale », indique-t-il, « un biais fiscal disproportionné, et sans fondement économique, en faveur du logement meublé par rapport au logement nu ». Sa suppression va donc fortement impacter les loueurs en meublés dégradant la rentabilité nette des logements loués meublés, et donc des investissements réalisés en tenant compte de ces amortissements. Une période transitoire sera mise en place afin d’étaler le préjudice subi par les propriétaires concernés. Le rapport identifie deux aménagements transitoires possibles : Le premier (qui s’appuie sur le mécanisme proposé par le conseil des prélèvements obligatoires (CPO) dans son rapport de 2018 sur les prélèvements obligatoires sur le capital des ménages) prévoit de limiter la suppression de l’amortissement qu’aux biens mis en location postérieurement à la réforme, ou antérieurement uniquement à l’occasion d’un changement de bail. Ce dispositif présente toutefois un inconvénient majeur puisque, dépendant du caractère volontaire des acteurs de déclarer un changement de bail, il est facilement contournable. Dans cette hypothèse, le bailleur attesterait sur l’honneur dans sa déclaration d’impôt la signature d’un bail avec la date et le nom du ou des locataires. En revanche, il restera possible soit de passer en charge, soit d’amortir les meubles meublants et les dépenses d’équipements pour les logements meublés. Le second aménagement envisagé prévoirait une fin de l’amortissement « en sifflet », d’une période de 3 à 5 ans, avec une limitation graduelle de l’amortissement imputable, sur le modèle de la suppression de la majoration pour non-adhésion à un organisme de gestion agréé. Cette solution emporte la préférence des auteurs du rapport en ce qu’il donne une meilleure visibilité à la fois au contribuable et à l’administration fiscale. Dans tous les cas, les déficits antérieurs provoqués par la constatation des amortissements devraient être préservés et être imputables sur les revenus locatifs nets futurs, puisqu’elles sont des charges antérieures à la réforme. Au 31 décembre 2021, ces déficits non imputés constituaient pour la seule année 2021 déjà 731 millions d’euros. Scénario 1 : Unification des deux régimes et taux d’abattement micro à 40 %. Ce scénario vise à la simplification afin de retirer tout biais fiscal dans le choix du modèle de location pour le bailleur. Ainsi, il supprime le régime BIC pour les locations meublées non professionnelles pour les imposer en revenus fonciers. Les bailleurs en dessous du seuil d’imposition au régime réel (30 000 euros) seront, sauf option pour le régime réel, imposés au micro-foncier, avec un abattement porté à 40 % ; Au régime réel, l’amortissement serait supprimé. Ce scénario n° 1 comptera de 586 000 foyers fiscaux perdants. Une variante 1 bis propose un taux d’abattement dans le régime micro de 50 %. Il permet de limiter le nombre de foyers fiscaux perdants (166 000). Dans ces deux scénarios, le nombre de foyers gagnants dépassent le million. Scénario 2 : Promotion de la location de longue durée avec un abattement majoré de 10 % par rapport à la location de courte durée. Ce scénario n° 2 poursuit une volonté de désincitation de la location meublée de courte durée, avec un décalage d’abattement entre les LMNP touristiques de courte durée et les locations de longue durée. Il propose de renverser l’incitation fiscale par rapport à la situation actuelle. Dans le cadre du micro foncier, les LMNP de courte durée ne bénéficieraient plus que d’un abattement de 30 %, alors que les locations de longue durée (soumises à bail type « loi de 1989 ») bénéficieraient au micro-foncier d’un abattement de 40 %. Le nombre de foyers perdants est estimé à 600 000. Un scénario 2 bis propose un abattement encore plus avantageux pour la location longue durée à 50 % en régime micro, permettant de ne causer aucune perte pour les propriétaires de location meublée longue durée déclarant aujourd’hui en régime micro-BIC. Scénario 3 : Proposition désincitative pour le LMNP de courte durée et la mise en place d’un amortissement spécifique pour le logement longue durée Ce troisième scénario s’appuie également sur une discrimination de la location meublée de courte durée au régime micro, qui ne bénéficierait que d’un abattement de 30 %, contre 40 % pour la location de longue durée. En supplément, il propose un supplément de cette distinction en régime micro, une déduction des amortissements en régime réel pour les locations de longue durée, nues ou meublées. L’amortissement serait fixé à 2 % de la valeur du bien, en excluant la valeur du terrain, qui serait fixé à 40 % de la valeur totale du bien. Cela revient à un amortissement du bâti sur 50 ans. Les revenus déclarés par le biais d’une SCI Le rapport s’est également positionné sur les revenus locatifs encaissés par les sociétés civiles immobilières (SCI). En principe, les SCI sont soumises à l’impôt sur le revenu dans la catégorie des revenus fonciers. En général, elles louent des biens vides et non des biens meublés. La location meublée étant une activité commerciale, les SCI qui exercent l’activité de location meublée sont donc soumises à l’impôt sur les sociétés (IS) en vertu de l’article 206 2° du Code général des impôts (CGI). Dans ce cas, la SCI doit respecter les règles des BIC et peut déduire toutes les charges nécessaires à l’exploitation, y compris l’amortissement du bien. Les SCI ont la possibilité de rester imposées à l’impôt sur le revenu, à condition que le montant des recettes provenant de la location meublée n’excède pas 10 % du montant total des recettes réalisées par la SCI. Selon le rapport, « les loueurs pourront continuer à gérer leur bien immobilier via une société soumise à l’IS comme auparavant. Pour autant, le simple fait de louer un bien immobilier meublé n’aura plus pour conséquence de considérer son activité comme une activité commerciale et donc de la soumettre à l’IS, puisqu’elle dépendra des revenus fonciers, activité civile. Il aura ainsi une certaine neutralité qui sera rétablie dans la gestion des locations meublées comme des locations nues via une société civile ».
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latribune · 15 days ago
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thebusylilbee · 2 years ago
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Le centre de Paris interdit à Airbnb ? Ce qui semblait impensable il y a dix ans est en passe de devenir réalité : la ville de Paris va interdire les nouveaux meublés touristiques dans les quartiers de la capitale qui souffrent d’un déficit de logements, comme le Marais, le Sentier, le Quartier latin ou la butte Montmartre. La mesure devrait être gravée dans le marbre du futur Plan local d’urbanisme (PLU), en cours de révision. [...]
«No-go zones»
La mairie centrale travaille actuellement, main dans la main avec les mairies d’arrondissement et l’Atelier parisien d’urbanisme (Apur), à délimiter ces zones, qui devraient inclure au moins Paris Centre (Ier, IIe, IIIe et IVe arrondissements) et Montmartre (XVIIIe). Une carte de ces «no-go zones» pour les nouveaux Airbnb sera présentée aux élus parisiens lors du conseil municipal de juin, qui sera consacré à l’examen puis au vote du plus gros chantier de la deuxième mandature d’Anne Hidalgo : la révision du PLU, le document qui définira les nouvelles règles de construction, de transformation et de création d’espaces verts pour au moins les dix années à venir.
«Nous voulons mettre un coup d’arrêt à la création de nouveaux meublés dans les secteurs où il n’y a quasiment plus de résidents permanents», a expliqué jeudi Emmanuel Grégoire, le premier adjoint PS, chargé de l’urbanisme, lors d’une déambulation dans le quartier du Sentier. «Si on ne veut pas que Paris se transforme en Venise, il ne faut pas laisser faire le marché», a ajouté le bras droit d’Anne Hidalgo. L’interdiction, a-t-il précisé, ne s’appliquera pas aux Parisiens qui louent leur résidence principale, dans la limite de 120 jours par an, mais uniquement aux investisseurs professionnels.
Ici, rue de la Lune , c’est un immeuble entier qui a été progressivement «mité» par les locations touristiques. «Petit à petit, des gens ont racheté les appartements qu’ils ont transformés en meublés touristiques. Au bout d’un moment, vous vous retrouvez avec une sorte de résidence hôtelière», explique Dorine Bregman, adjointe chargée des commerces et du tourisme à la mairie de Paris Centre. «Il y a toujours eu des propriétaires bailleurs à Paris, pour obtenir un complément de revenus pour la retraite, par exemple, mais quand le phénomène des locations touristiques est arrivé, les gens se sont aperçus assez rapidement que c’était beaucoup plus lucratif de louer à la semaine, voire deux, trois jours, que de louer sous le bail classique de trois ans». Là, rue des Jeûneurs, en plus des appartements dans les étages, c’est le rez-de-chaussée, jusque-là occupé par un local commercial, qui a aussi changé de destination. La vitrine a été opacifiée, et le tour est joué.
«Pendant des années, nous avons été désarmés, puis, avec [l’adjoint au logement] Ian Brossat, on a pu reprendre la main», a reconnu Emmanuel Grégoire. Comme les autres capitales du globe, Paris a d’abord subi, impuissante, la déferlante de ces locations meublées de courte durée, qui ont fait monter les prix et chassé les habitants des quartiers centraux, entraînant avec eux la fermeture de commerces de bouche ou de services à l’habitant, comme les blanchisseries. [...]
La régulation a fait son effet
La France est le deuxième marché mondial pour Airbnb, derrière les Etats-Unis. Première destination touristique mondiale, sa capitale reste une ville de cocagne pour la firme de San Francisco, surtout dans la perspective des Jeux olympiques l’été prochain. D’où l’urgence de compléter l’arsenal juridique mis en place à partir de 2018 par Ian Brossat, à base de régime d’autorisation préalable et de règles strictes de compensation pour les professionnels, en parallèle à l’obligation faite à Airbnb de désactiver les annonces, désormais pourvues d’un numéro d’enregistrement, dont le nombre de nuitées dépasse 120. Ainsi, depuis janvier 2022, tout changement d’usage d’un commerce en meublé touristique est désormais soumis à autorisation de la mairie et les logements transformés en locations touristiques doivent faire l’objet d’une double, voire d’une triple compensation en surface. Il était temps : en à peine deux ans (2020-2022), un commerce sur huit a été transformé en meublé touristique au cœur de la capitale, selon Dorine Bregman, l’adjointe de Paris Centre. De manière générale, la régulation a produit son effet, puisqu’on assiste à un «tassement du nombre de meublés touristiques déclaré», affirme Emmanuel Grégoire.
[...] Longtemps hostile à toute réglementation, au point d’adresser régulièrement des «bras d’honneur» à la mairie, dixit Ian Brossat (1), la plateforme américaine assure aujourd’hui être non seulement en règle, mais avoir renoué avec son mythe fondateur, puisque «les trois quarts des hébergements loués l’an dernier à Paris sur Airbnb étaient des résidences principales ou des chambres chez l’habitant». Omettant de rappeler la bataille qu’a dû livrer la ville de Paris (mais aussi d’autres métropoles régionales et jusqu’à l’île d’Oléron, qui a attaqué récemment la firme en justice) pour récupérer la taxe de séjour. Sans parler des tentatives, infructueuses celles-là, pour qu’Airbnb paie des impôts en France à proportion du chiffre d’affaires qu’y génère son activité : peine perdue, puisque la maison mère est basée en Irlande, un quasi-paradis fiscal.
«Un trou dans la raquette»
Cette offensive pour «déloger» Airbnb n’est pas que parisienne : la municipalité écologiste d’Annecy, victime à son tour de son attractivité, a ouvert la voie en votant fin février la mise en place de quotas de meublés de tourisme pour tenter de faire revenir sur le marché plusieurs centaines de logements. Ces quotas s’appliqueront dès juin dans la commune, qui a été divisée en trois zones, la plus restrictive étant la vieille ville, très touristique. Une mesure jugée «discriminatoire et disproportionnée» par le Syndicat Annecy Meublés, représentant les intérêts des loueurs, qui a annoncé son intention de saisir la justice. Le lobby des professionnels de l’immobilier, qui a déjà eu la peau de l’encadrement des loyers (finalement rétabli), va-t-il repartir à l’attaque contre le régime d’interdiction appelé à se mettre en place à Paris ?
La transformation des logements et commerces en meublés de tourisme étant désormais très encadrée, les élus parisiens redoutent que l’appétit des investisseurs ne se tourne désormais vers les bureaux. D’autant qu’avec la généralisation du télétravail, les besoins des entreprises en m² de bureaux se sont beaucoup réduits. «Ce qui nous manque aujourd’hui, ce sont des déclarations préalables pour la transformation de bureaux en Airbnb, et puis il y a un trou dans la raquette concernant les locations de passoires thermiques, sur lesquelles il y avait une exception pour les meublés touristiques», confirme Emmanuel Grégoire.
Pour boucher ces trous, la ville compte sur la proposition de loi transpartisane visant à «remédier aux déséquilibres du marché locatif en zone tendue», qui sera débattue le 13 juin à l’Assemblée. Selon son corapporteur, le député de la Nupes Iñaki Echaniz, présent lors du déplacement dans le Sentier, son article 2 propose justement «d’étendre aux meublés touristiques le droit de regard des élus», en leur permettant de mettre en place une autorisation préalable à la location touristique. Ce régime dit «de changement d’usage d’un local», bureaux inclus, ne concerne aujourd’hui que les communes de plus de 200 000 habitants et trois départements de la petite couronne francilienne, a précisé le député socialiste.
Véto fiscal de Bercy
Reste le nerf de la guerre : la fiscalité. Relayant une demande ancienne des associations de mettre fin à la «niche fiscale Airbnb», l’article 3 de la proposition de loi suggère de réduire l’abattement dont bénéficient les investisseurs sur leurs revenus locatifs, qui peut aller jusqu’à 71 % ! «Je plaidais aussi pour une révision de la taxe sur les résidences secondaires, mais Bercy ne veut pas en entendre parler», a regretté Iñaki Echaniz. Explication : cette taxe est une majoration de la taxe foncière. En raison de ce «couplage», toute hausse de la première entraîne mécaniquement une hausse de la seconde. Résultat, les maires qui voudraient augmenter la pression fiscale sur les résidences secondaires pour inciter les propriétaires à remettre sur le marché ces logements inoccupés une bonne partie de l’année devront augmenter les impôts locaux. Aucune chance qu’ils le fassent… D’où l’idée portée par le Parti socialiste d’un «découplage», sur lequel Bercy a mis, sans surprise, son veto.
Ce n’est pas comme si la crise du logement ne frappait pas durement, non seulement l’Ile-de-France, mais une bonne partie du littoral atlantique. Le député basque a décrit le défilé dans sa permanence électorale des saisonniers, étudiants ou membres du personnel de l’hôpital de Bayonne, qui ne trouvent plus à se loger «là où ils travaillent et là d’où ils viennent». La raison ? Le boom des meublés de tourisme, qui ont augmenté de 130 % entre 2016 et 2020 dans la communauté d’agglomération du Pays basque. «Même dans l’arrière-pays, les prix montent. Au centre du Pays basque, une maison achetée 120 000 euros il y a trois ans a été remise sur le marché, avec une piscine en plus, à 400 000 euros, a illustré l’élu. Or nos territoires ne sont pas seulement des centres de vacances : on souhaite avoir des gens qui y vivent !»
Dédiabolisation des «méfaits du business»
Alors qu’Airbnb est montré du doigt pour son rôle dans cette crise, la firme a lancé une opération de séduction pour tenter de redorer son image. «Avec la ville de Paris, la relation est forte, il y a toujours des moyens de l’améliorer mais nous serons un partenaire extraordinairement important du logement», a assuré Brian Chesky, son PDG, dans un entretien aux Echos publié mardi. Et, à moins de 500 jours du top départ des JO, elle se décarcasse pour montrer à quel point sa présence sera bénéfique à l’économie française. Par exemple, elle a commandé une étude au cabinet de conseil Deloitte, qui chiffre à 1 milliard d’euros les retombées économiques attendues pour la France. Un chiffre largement repris dans les médias. Ainsi, les quelque 560 000 touristes «qui séjourneront dans des hébergements loués sur Airbnb pendant les Jeux généreraient un milliard d’euros de chiffre d’affaires, 73 millions d’euros de recettes fiscales (dont 15 millions de taxes de séjour) et devraient permettre la création de près de 7 300 emplois équivalents temps plein dans l’année», détaille l’étude.
Du côté des 130 000 hôtes attendus, Airbnb fait miroiter un jackpot : selon Deloitte, ils devraient empocher 221 euros par nuit en moyenne entre le 26 juillet et le 11 août. Soit une hausse de 85 % par rapport au revenu moyen en 2022 (119 euros). «Cette étude n’a pour but que de dédiaboliser les méfaits du business des meublés de tourisme sur notre territoire et de redorer l’image de l’entreprise, s’agace Vincent Aulnay, membre du collectif ParisvsBnB, cité par le Parisien. Oui, il y aura des retombées économiques fortes durant cette période, mais après ? Va-t-on voir encore une vague d’investisseurs jouer au Monopoly dans nos villes ? Trop de jeunes, de foyers modestes ont énormément de mal à se loger, des quartiers se vident, des classes ferment…» Pour ou contre Airbnb ? Après les trottinettes en libre-service, autre marqueur contesté de la «ville ubérisée», la question ne pourrait-elle pas aussi faire l’objet d’une votation citoyenne ?
(1) Voir son livre Airbnb, la ville ubérisée, éd. La Ville brûle, 2018
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thewul · 23 days ago
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Souvent une initiative se situe a la conjonction de divers intérêts, le premier intérêt de l'ONA sise a Rabat concerne la réhabilitation du quartier Français ou néocolonial, d'architecture Mauresque du centre ville de Rabat
Le deuxième intérêt est d'ordre lucratif, le troisième intérêt est d'étendre cette initiative aux principales villes du Royaume
Pour la constitution d'une collection de 30 hôtels particuliers dans le Royaume avec Cogemad Maroc, filiale de Cogemad, promoteur immobilier Français de plus de 25 ans d’expérience, spécialiste dans la réhabilitation d'immeubles en vue de les mettre sur le marché entant qu’hôtels particuliers
Effectivement l'ONA vise a lancer la mode d’hôtels particuliers dans les centres villes du Royaume qui disposent d'un tel patrimoine architectural, avec déjà 3 projets pour la ville de Rabat
Nos partenaires pour cette initiative sont les Wilayas du Royaume ainsi que l'état, ces projets d’hôtels particuliers concernent des immeubles sur pied, avec souvent l'aménagement de parkings souterrains, ce ne sont pas non plus des projets de façade,
Cogemad Maroc devra réaliser des bilans structurels de chaque immeuble, revus de fond en comble, aménagés et meublés, et mis a la vente aux enchères, privées, ou nous voulons réunir les amis du Maroc, nationaux et étrangers a l'international
Car il ne s'agit pas que de vendre, nous souhaitons proposer des résidences d'exception a ceux qui considèrent le Maroc comme un second pays, et aux nationaux qui verront des avantages a disposer de tels hôtels particuliers au centre ville, n'étant pas exclu que cela évolue vers une formule de timeshare, donc de pouvoir disposer non pas d'une seule de ces résidences mais de l'ensemble
Nombre de pièces sont d'époque, y compris les ascenseurs, les rampes d'escaliers sont fabriquées en France par des artisans Français, les fauteuils ainsi que les lustres également
Ce qui est attendu de Cogemad est un travail exceptionnel et ils savent faire, leurs réalisations parlent pour eux, ce qui est attendu de l'état est de faciliter la vente de ces immeubles dans un intérêt de préservation, et d'enrichissement du patrimoine, quand a l'ONA non seulement nous avons en charge le financement intégral, mais le groupe se porte acquéreur de l'ensemble, a prix coûtant
Outre notre participation de 40% dans Cogemad Maroc
Rabat, Casablanca, Tanger et Tétouan, a voir pour le reste, c'est un véritable travail de marche a pied que de découvrir ces immeubles, dont la majorité sont constitués d'appartements et d'imaginer ce qu'ils peuvent devenir, des hôtels particuliers
Le Maroc a des amis, il en a toujours eut, Paul Bowles était l'un de nos amis, et l'un de ces hôtels particuliers a Tanger est destiné a devenir une résidence d'écrivains, financée par la Fondation ONA
Paul Bowles avait commencé par visiter des appartements au centre ville, qu'il a trouvé trop chers, pour finalement s'installer dans une maison dans la médina, avec un loyer qu'il ne payait pas toujours a temps, et il s'en est voulu d'avoir cherché plus cher au centre ville, étant devenu Marocain, par la force des choses ou par affinité
Et donc il faut donner de la plus value a ces unités immobilières, outre leur valeur intrinsèque, il faudra exposer les travaux qui sont prévus que ce soit pour le quartier Français de Rabat, ou autres, afin que les clients éventuels sachent que leur investissement se fait dans un contexte plus large, de mise en valeur de leur environnement immédiat
Qu'entendons nous par le quartier Français de rabat, il s'agit du centre historique qui commence a partir de la Médina, intra muros du coté des Orangers et jusqu'au quartier de Hassan
Qu'entendons nous par la mise en valeur de ce patrimoine, nombre de ces immeubles ont disparu pour être remplacés par des immeubles sans réelle valeur architecturale,
qui doivent être remplacés purement et simplement par des immeubles d'architecture Mauresque, le projet est de reconstituer le quartier Français de Rabat, d'embellir sans surfaire l'existant et de construire de nouveaux immeubles, sans compromis, la valeur de ce centre historique étendu surpasse et de loin l'existant
Face a la question que par principe il n'aurait pas du quasiment disparaître, nous voulons opposer la prise de conscience de la valeur de ce patrimoine dans un contexte d'attractivité touristique, et de la diversité de ce que le ville de Rabat offre a ses visiteurs, donc après les immeubles cela se démolit et se reconstruit, sont disponibles également des photographies d'époque
Notre vision du quartier historique Français de Rabat, n'est pas celle d'immeubles dont souvent les appartements ont été scindés, mais celles d'appartements de 6 pièces et plus, certains sont des lofts qui occupent tout un étage, ensemble au sein duquel nous voulons disposer des hôtels particuliers, ainsi que des immeubles a usage bureau, et y installer nombre d'entreprises et surtout d'ONG
Quid du rez de chaussée, Avenue Mohamed V, il s'agit de l'abécédaire des marques de luxe, de cafés et restaurants élégants, voila ce que ce quartier peut et doit devenir,
la clientèle n'y est pas, la clientèle cela s'achète comme tout fond de commerce, dans un contexte ou même la médina historique est appelée a devenir des ryads luxueux
L'ONA entend construire pour son siège l'équivalent du Liberty Tower a New York en lieu et place de l'immeuble Essaada, le Maroc a fini de vivoter, la globalisation est passée par la, place a la valorisation d'un patrimoine immobilier longtemps resté sous évalué, aux portes de l'Europe, a mi chemin entre les Ameriques, le Moyen Orient et l'Asie, et qui a ces racines dans le continent Africain
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