#Ambulatoire
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Avec Christine, on a fêté nos 40 ans d'amitié en faisant un voyage de 15 jours en Sicile. Nous voici maintenant à Piazza Armerina, à l'intérieur des terres.
Non loin, la Villa del Casale (bâtie fin IIIe s. apr. J-C.) aux mosaïques romaines grandioses (3500m² de surface !!).
L'extraordinaire ambulatoire de la Grande Chasse : des animaux exotiques (antilopes, éléphants, rhinocéros, autruches ou tigres...) sont acheminés en carriole, embarqués sur des galères puis débarqués pour les Jeux du Cirque à Rome. Ailleurs, un esclave se fait rosser par son maître...
Cette mosaïque fait 60 mètres de long !
#sicile#italie#piazza armerina#villa del casale#mosaïque#archéologie#rome antique#galère#jeux du cirque#circus maximus#antilope#éléphant#autruche#ambulatoire de la grande chasse#chasse
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Chez Normeditec, nous proposons des unités mobiles à flux d'air laminaire à faible coût pour les salles d'opération et les salles ambulatoires. Nos systèmes de ventilation pour salle d'opération jouent un rôle essentiel dans l'amélioration du niveau d'asepsie pendant l'opération dans une salle d'opération. Les différents niveaux d'assainissement de l'air pur permettent d'adapter le degré d'asepsie souhaité en fonction du type d'opération.
#Systèmes de ventilation ultra-propres#Ventilation des salles de clinique ambulatoire#Systèmes de ventilation pour salle d'opération
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Pharmacie : Traitement de la dépression
L'âge moyen de la première dépression est de 20 ans, apparition du premier épisode dépressif entre 17 et 27 ans en moyenne. C'est le trouble psychiatrique le plus fréquent ; c'est 70% des PEC en médecine générale, à tous les âges de la vie. Elle est plus fréquente chez la femme.
N.B : En cas de syndrome dysphorique prémenstruel la pilule contraceptive est plus efficace qu'un antidépresseur
Pour parler d'épisode dépressif caractérisé (EDC) il faut :
Rupture avec un état antérieur ; le patient n'est pas dans son état habituel (capital sinon pas dans un EDC)
Symptômes évoluant depuis au moins 2 semaines.
Humeur triste ne fluctuant plus. C'est une tristesse pathologique ; - Souffrance morale, décrite pire que la souffrance physique par le patient - Anhédonie ; perte de la capacité à éprouver du plaisir - Perte d'intérêts - Anesthésie affective
- Ralentissement psychomoteur du patient dépressif
Ralentissement psychique - bradypsychie ; pensée qui vont lentement - discours lent, monotone, monothématique - troubles cognitifs de concentration/mémoire
Ralentissement moteur - asthénie permanente - clinophilie (rester allongé toute la journée) - incurie (pas prendre soin de soi) - apragmatisme (ne rien faire, absence d'activité) - présentation : patient figé, bradykinésie, hypomimie, Ω mélancolique (sourcils font la forme Ω)
Ralentissement somatique
- hyporexie ⇒ anorexie, amaigrissement (mais parfois hyperphagie)
- troubles du sommeils ; insomnie du petit matin
- troubles sexuels ; anorgasmie, impuissance, frigidité, dyspareunie (= douleur pendant les rapports)
Dépression iatrogène
Médicaments Pouvant Donner des Dépressions
Interféron α (IFN α) ;
Isotrétinoïne ;
Bêtabloquants ;
Diurétiques thiazidiques ;
Mefloquine ;
Fluoroquinolones et quinolones ;
Nitro-imidazolés ;
Glucocorticoïdes ;
Œstrogènes et oestroprogestatifs ;
Sulfamide
Prise en charge
Le plus souvent en ambulatoire avec le médecin généraliste (premier intervenant pour soigner la dépression)
Association : antidépresseur (6 à 12 mois) + psychothérapie
Le traitement par antidépresseur met environ 2/3 semaines pour montrer des effets positifs. Si le patient dépressif voit une amélioration de son état dépressif par la médication au bout d'un mois, il doit quand même continuer son traitement au moins 6 mois après la normothymie (= retour à l'état normal de l'humeur)
ISRS : Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine
Citalopram (Séropram®), Escitalopram (Séroplex®), Fluoxétine (Prozac®), Fluvoxamine (Floxyfral®), Paroxétine (Déroxat®, Divarius®), Sertraline (Zoloft®)
Propriétés : Psychostimulant, sédatif, anxiolytique
Indications :
Syndrome dépressif
Trouble obsessionnel compulsif
Trouble panique et phobie sociale
Trouble anxieux généralisé
État de stress post-traumatique
Contre-indications : Allongement de QT (Citalopram et Escitalopram), insuffisance rénale sévère (Citalopram)
Interactions médicamenteuses : Pimozide, Duloxétine, Agomélatine, Tramadol, IMAO sélectifs, Tamoxifène, Triptans
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Gastralgies, nausées, vomissements, diarrhées
Allongement de QT pour le Citalopram et l’Escitalopram
Prise de poids
Perte d’appétit avec la Fluoxétine
Baisse de la libido, impuissance
Sueurs
Éruption cutanée
Hyponatrémie
IRSNa : Inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline.
Duloxétine (Cymbalta®), Venlafaxine (Effexor®), Milnacipran (Ixel®)
Indications :
Syndrome dépressif
Trouble obsessionnel compulsif
Trouble panique et phobie sociale
Trouble anxieux généralisé
État de stress post-traumatique
Contre-indications : Insuffisance hépatique, insuffisance rénale sévère (Duloxétine), HTA non contrôlée, maladie coronarienne sévère ou instable (Milnacipran)
Interactions médicamenteuses : IMAO non sélectifs, Fluvoxamine, Tamoxifène
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Nausées, vomissements, diarrhées
Hépatite
Baisse de la libido, impuissance
Hyponatrémie
Hypertension artérielle, tachycardie
Tricycliques (imipraminiques)
Ce sont des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, de la noradrénaline et de la dopamine
Amitriptyline (Laroxyl®, Elavil®), Amoxapine (Défanyl®), Clomipramine (Anafranil®), Dosulépine (Prothiaden®), Imipramine (Tofranil®), Maprotiline (Ludiomil®), Doxépine (Quitaxon®), Trimipramine (Surmontil®)
Propriétés : Psychostimulant, sédatif, anxiolytique
Indications : syndrome dépressif, douleur chronique, troubles anxieux
Contre-indications : glaucome à angle fermé, adénome de la prostate, IDM récent, épilepsie
Interactions médicamenteuses : IMAO, Sultopride, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, alcool, Clonidine
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire (en début de traitement)
Tremblements dose-dépendant
Troubles du rythme et de la conduction
Hypotension orthostatique
Baisse du seuil épileptique
Somnolence
Prise de poids
Effets anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, trouble de l’accommodation (flou visuel), rétention urinaire
IMAO : inhibiteurs de la monoamine oxydase
IMAO non sélectif (A et B) : Iproniazide (Marsilid®)
IMAO sélectif A : Moclobémide (Moclamine®)
Propriétés : psychostimulant, sédatif
Indications : syndrome dépressif
Contre-indications : hypertension artérielle, insuffisance hépatique, phéochromocytome, états confusionnels aigus, alcoolisme chronique
Interactions alimentaires : aliments riches en tyramine (poussées hypertensives) : alcool, chocolat, fèves, ginseng, abats, banane, figue, fromage fermenté, avocat, viandes et poissons fumés ou séchés, saucisson, soja, soupes en sachets ou boites, levure de bière
Interactions médicamenteuses : Buproprion, Midodrine, sympathomimétiques, Tétrabénazine, Triptans, ISRS, IRSNa, Tramadol, Péthidine, Réserpine, ICOMT, Tianeptine
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Épisode maniaque
Insomnie, excitation
Effets anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, trouble de l’accommodation (flou visuel), rétention urinaire
Hypotension orthostatique
Crise hypertensive
Vertiges, sueurs, céphalées
Autres antidépresseurs
Ils ont des mécanismes variés.
Agomélatine (Valdoxan®), Miansérine (Athymil®), Mirtazapine (Norset®), Tianeptine (Stablon®)
Propriétés : psychostimulant, sédatif, antihistaminique
Indications : syndrome dépressif
Contre-indications : porphyrie, hypersensibilité ou antécédent d’agranulocytose due au produit
Interactions médicamenteuses : IMAO, inducteurs enzymatiques
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Nausées, vomissements, diarrhée, constipation
Hypotension orthostatique
Prise de poids
Somnolence
Anxiété
Épisode maniaque
Effets anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, trouble de l’accommodation (flou visuel), rétention urinaire
Diminution du seuil épileptogène
Agranulocytose
Critères de choix
Chez l’Enfant et l’Adolescent
- Prise en charge psychothérapeutique en première intention.
- Les ISRS et leurs apparentés sont déconseillés (sauf Fluoxétine) car ils donnent un comportement suicidaire et/ou hostile.
- Les ATC sont contre-indiqués car effets secondaires psycho-comportementaux.
- En cas de troubles obsessionnels compulsifs (OCD), la Fluvoxamine et la Sertaline (ISRS) peuvent être utilisés chez l’enfant de plus de 6 ans.
Chez la Personne Âgée
- Les ISRS :
o Risque d’hyponatrémie, surtout si prise concomitante de diurétiques ;
o Risque hémorragique, surtout si prise concomitante d’anticoagulants.
- Les ATC ne sont pas prescrits en première intention car ils donnent des effets anticholinergiques risquant d’aggraver les fonctions cognitives en cas de démence.
=> Tous les antidépresseurs peuvent donner un risque de chute car ils donnent une hypotension et une sédation.
- La dose des ATC est réduite de moitié par rapport à celle donnée aux adultes.
Insuffisances Hépatique et Rénale
- Risque accru d’accumulation si IH.
- Risque d’accumulation de la Paroxétine et du Citalopram si IR
PK
Bonne absorption digestive ;
Effet de premier passage hépatique très important pour les ATC ;
Volume de distribution important pour les ATC et les ISRS ;
Liaison importante aux protéines plasmatiques ;
Les ATC, la Fluoxétine et le Citalopram donnent des métabolites actifs ;
Les ATC subissent un cycle entéro-hépatique ;
Ils sont éliminés par voie rénale et biliaire ;
Les ISRS sont des inhibiteurs enzymatiques du CYP450 2D6 et 3A4.
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🏥3 juin/dernière partie: Évidemment je me suis ensuite bien reposée chez moi. J’étais fatiguée.. Pendant un moment la sonde me faisait mal à la narine mais la douleur a fini par s’estomper puis disparaître. Cette fois-ci elle est à gauche et ce côté-ci supporte beaucoup mieux la sonde! Alors que du côté droit ça n’allait pas du tout.. douleurs qui perdurait même des mois après, escarre incessant, ça me provoquait carrément des sortes de migraines faciales comparé à des paralysies du visage tellement qui y’avait de la pression. Plus jamais à droite! Ça va beaucoup mieux à gauche. J’avais aussi très mal à la gorge mais cette fois-ci ce n’est pas à cause de la sonde, mais à cause de l’endoscope, je sens bien qu’il est passé par là, que ça m’a bien irritée de l’intérieur. Heureusement que ça se calme au fur et à mesure! Au moins c’est supportable comparé à d’autres fois. Vous souvenez-vous la dernière fois qu’on m’avait placé la sonde en ambulatoire? Après l’anesthésie j’avais été sortie trop rapidement, ils n’avaient même pas laissé le temps à mon corps de bien se reposer donc je me sentais terriblement mal, puis les effets des médicaments perduraient car j’étais dans un état indescriptible.. j’avais mal partout, les yeux ultra sec.. bref je ne sais pas comment ils s’étaient débrouillés ce jour-là.. trop de produits anesthésiant ? Heureusement que ça ne l’a pas refais car je craignais cela. Quoiqu’il en soit j’ai branchée ma nutrition et tout se passe bien pour l’instant avec cette nouvelle sonde! Je l’ai fixé à la joue pour éviter que ça tire. Je précise que c’est la première fois que j’ai ce type de pansement au nez. Il permet de fixer très facilement la sonde sans galérer avec les sparadraps. L’embout blanc est un clip relié au pansement et bien évidemment je ne l’aurais plus lorsque je devrais changer le pansement au nez.
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Charcutage d’adolescentes eu nom de l’idéologie du genre
Des centaines d’adolescentes au Canada ont subi une « chirurgie du haut », autrement dit une double mastectomie, au cours des cinq dernières années.
Selon des données compilées par le Canadian Institute for Health Information, les hospitalisations et les visites en chirurgie ambulatoires pour des mastectomies bilatérales demandées par des femmes se…
#genre#théorie du genre#woke#woke liberal madness#wokism#wokisme#lgbt#lgbtq#lgbtqiia+#lgbtqia#lobbying#lobby
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Mercredi 19 avril 2023
Le centre de réhabilitation « la Maison du soldat «à Erevan prodigue des traitements de pointe en soins hospitaliers ou ambulatoires à 300 anciens combattants, blessés et handicapés de toutes les guerres et conflits armés auxquels ont fait face l’Arménie et le Haut-Karabakh depuis trois décennies, soit plus de 9000 personnes à ce jour.
Serguei Hambar Dzumyana a été blessé une première fois en octobre 2020 en combattant dans la région de Djebrail. Il a souhaité retourner se battre, et peu de temps après, il a été blessé par un drone.
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Géraldine Grangier, Députée Rassemblement National de la 4ème circonscription du Doubs, communique : "Face à la mobilisation des internes en médecine, qui ont manifesté leur colère à Paris ce mercredi 29 janvier 2025, je me suis engagée pleinement pour porter leurs revendications auprès du gouvernement. Dès la veille de la grève, lors des questions orales à l’Assemblée nationale, j'ai interpellé le Ministre de la Santé sur l’urgence d’agir pour répondre aux alertes répétées des internes. Ces derniers dénoncent des conditions de travail écrasantes, une réforme mal préparée et un système de formation inadapté, menaçant autant leur santé mentale que l’attractivité de la profession médicale. "Combien de temps encore le Ministère de la Santé ignorera-t-il les jeunes médecins qui, dans des conditions de travail et de formation insoutenables, maintiennent à bout de bras notre système de soins ?", ai-je déclaré au cours de mon intervention. Avec 68 % des internes souffrant de symptômes d’anxiété et 45 % de dépression, selon les enquêtes syndicales, la crise est profonde. Les causes de ce mal-être sont nombreuses : horaires excessifs et surcharge administrative ; manque de supervision et absence de soutien psychologique ; une réforme de la 10ème année de médecine générale, imposée sans concertation via le 49.3, et devenue aujourd’hui inapplicable. J'ai souligné les points particulièrement préoccupants de cette réforme prévue pour novembre 2026 : 1. l’absence de décrets d’application, laissant les internes et les maîtres de stage universitaires (MSU) dans une totale incertitude. 2. le manque criant de MSU, nécessaires pour encadrer les docteurs juniors en ambulatoire. 3. l’insuffisance des locaux, rendant impossible une formation de qualité dans les cabinets de ville et les structures de proximité. Des revendications légitimes pour sauver la médecine de demain. Les internes en médecine, soutenus par leurs syndicats, demandent des mesures concrètes et immédiates, parmi lesquelles : le report de la réforme, pour garantir une préparation rigoureuse et concertée ; la création d’un statut de docteur junior ambulatoire, assurant une transition stable vers l’exercice médical en ville ; un plan de recrutement et de formation des MSU, à la hauteur des besoins ; la mise en place de locaux adaptés, pour accueillir dignement les internes en ambulatoire. À l’issue de la manifestation, j'ai reçu une délégation d’internes au sein de l’Assemblée nationale, accompagnée de plusieurs collègues députés. Ce moment d’échange a permis d’écouter leurs préoccupations et de leur donner un relais direct auprès des instances décisionnelles. Cette réforme, dans son état actuel, est inapplicable et dangereuse. Elle menace la qualité de la formation des futurs médecins et aggravera la désertification médicale dans nos territoires. Je m’engage à défendre une réforme juste, préparée et respectueuse de la réalité du terrain? Lors de mon intervention parlementaire, j'ai également mis en lumière une nomination controversée : celle de Guillaume Bailly, non spécialiste en médecine générale, à la tête de la commission de pilotage de la 4ème année de médecine générale. Cette décision inquiète les internes et soulève des doutes sur la capacité du gouvernement à mener cette réforme dans l’intérêt des professionnels de santé et des patients. J'ai réitéré mon appel à une prise de responsabilité immédiate de la part du gouvernement pour garantir : une meilleure santé mentale des internes ; une formation médicale solide et équitable ; une lutte réelle contre les déserts médicaux, au bénéfice de tous les Français". Read the full article
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Spiders ‘smell’ with their legs – new research
See on Scoop.it - EntomoNews
As spiders do not have antennae as insects, it’s long been a mystery how they can smell.
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NDÉ
Traduction
Les araignées ont toujours vécu aux côtés de l'homme. Il est donc surprenant de constater tout ce que nous ignorons encore à leur sujet. L'un des mystères les plus anciens concerne la manière dont les araignées détectent les odeurs. Aujourd'hui, nos dernières recherches ont enfin percé le secret.
Dans une étude publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, nous avons démontré que les araignées mâles utilisent des poils olfactifs appelés sensilles à pores ("wall-pores sensilla" en anglais) sur leurs pattes comme un « nez » pour détecter les phéromones sexuelles émises par les araignées femelles.
Notre découverte met fin à une décennie de recherche de ces sensilles insaisissables, qui ont maintenant été identifiées et cartographiées. Elle ouvre également la voie à des études approfondies sur le mécanisme qui sous-tend l'olfaction des araignées.
Bien que les araignées - qui évoluent depuis environ 400 millions d'années - soient réputées pour leur sens des vibrations et certaines, comme les araignées sauteuses, pour leur excellente vision, on sait étonnamment peu de choses sur leur sens de l'odorat. De nombreux éléments ont montré que les araignées peuvent détecter des odeurs telles que les phéromones sexuelles, mais deux grandes questions étaient restées sans réponse.
Premièrement, les araignées n'ayant pas d'antennes comme les insectes, quel était leur principal organe olfactif ? Deuxièmement, des études antérieures avaient suggéré que les araignées n'avaient pas de sensilles, ces structures spécialisées comme celles sur lesquelles les insectes s'appuient pour sentir. Sans ces sensilles, comment les araignées pouvaient-elles détecter les odeurs ?
Notre étude a permis de résoudre ces questions sans réponse. Nous avons découvert des sensilles multi-pores sur les pattes ambulatoires des argiopes-frelons mâles (Argiope bruennichi) et démontré qu'elles peuvent les utiliser pour détecter les phéromones sexuelles en suspension dans l'air avec une grande sensibilité.
Nous avons montré que ces sensilles à multiples pores latéraux ne sont pas propres aux argiopes-frelons, mais qu'elles sont répandues dans tout l'arbre taxonomique des araignées.
Traduit d'après DeepL et ChatGPT
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L'étude
Olfaction with legs—Spiders use wall-pore sensilla for pheromone detection | PNAS, 06.01.2025 https://www.pnas.org/doi/full/10.1073/pnas.2415468121
Image : Semischematic (A–C) and schematic (D) reconstruction of a wall-pore sensillum on a walking leg of an A. bruennichi male and of a wp-sensillum of an insect (E).
(A) Overview of cellular anatomy in longitudinal view. Sensilla are innervated by 1 to 4 (here 3) receptor cells. Mind that the distal processes of the accessory sheath cells are not depicted in (A) but in (B) and (C).
(B) Cross-section through the mid-region of the sensillum shaft showing numerous wall pores. The shaft wall cuticle is perforated, giving it a double-walled appearance.
(C) Cross-section through the basal region of the sensillum shaft which lacks wall pores. Section levels for (B) and (C) are indicated by lines in A.
(D) Schematic representation of a wp-sensillum featuring the most important similarities and differences compared with (E) insect wp-sensilla.
(E) Representative wall-pore sensillum of insects adopted from Wehner & Gehring: Zoology, Thieme 2013.
Labels: asc accessory sheath cells, cu leg cuticle, de dendritic processes, ds dendritic sheath, ecm extracellular matrix, epc epidermal cell, gc glial cell, isc inner (glandular) sheath cell, isl inner sensillum lymph space, lca longitudinal shaft wall canals, msc median sheath cell, osc outer sheath cell, osl outer sensillum lymph space, pasc digitiform distal processes of accessory sheath cells, rc chemoreceptive cell, sca spoke canals, so socket, swc shaft wall cuticle, wp wall pores.
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La convalescence après une liposuccion est une période qui nécessite attention, patience et suivi rigoureux des recommandations médicales pour garantir une guérison optimale et des résultats esthétiques satisfaisants. Voici un guide détaillé étape par étape pour comprendre ce processus :
Immédiatement après l’intervention
1. Retour à la maison
Type d’intervention : La liposuccion est réalisée en ambulatoire dans la plupart des cas, sauf pour des liposuccions étendues nécessitant une surveillance hospitalière.
Accompagnement nécessaire : En raison des effets de l’anesthésie (locale ou générale), il est impératif d’être accompagné par un proche pour rentrer chez soi en toute sécurité.
2. Port de vêtements compressifs
Importance : Ces vêtements sont conçus pour :
Réduire le gonflement (œdème).
Faciliter la rétractation de la peau.
Maintenir les tissus dans leur nouvelle position.
Durée de port : Généralement 4 à 6 semaines, en continu pendant les deux premières semaines, puis selon les recommandations du chirurgien.
3. Apparition de symptômes normaux
Gonflement : Le corps réagit à la procédure en accumulant des liquides dans la zone traitée. Ce gonflement peut durer plusieurs semaines.
Ecchymoses : Des bleus peuvent apparaître sur les zones liposucées. Ils s’estompent généralement après 2 à 4 semaines.
Engourdissement : Une sensation de perte de sensibilité dans la zone traitée peut survenir et persister plusieurs mois avant de disparaître.
4. Gestion de la douleur
Niveau de douleur : La douleur est habituellement modérée, comparable à des courbatures. Des analgésiques sont souvent prescrits pour la soulager.
Sensation de tiraillement : Certains patients ressentent une tension due au processus de guérison des tissus.
Première semaine post-opératoire
1. Repos modéré
Il est conseillé de se reposer les premiers jours, mais pas d’immobilité complète.
Marches légères : Dès le lendemain de l’intervention, des déplacements doux sont recommandés pour prévenir les caillots sanguins et améliorer la circulation.
2. Surveillance des incisions
Nettoyage : Les petites incisions réalisées pour insérer les canules doivent être maintenues propres et sèches.
Changement des pansements : Suivez les recommandations du chirurgien pour éviter les infections.
Fermeture des incisions : Les points ou bandes de suture se résorbent ou sont retirés lors d’une consultation ultérieure.
3. Suivi médical
Un rendez-vous est souvent prévu pour vérifier l’évolution de la cicatrisation et ajuster les soins ou recommandations si nécessaire.
Deuxième à quatrième semaine post-opératoire
1. Réduction progressive des symptômes
Le gonflement commence à diminuer significativement, bien qu'il puisse persister un léger œdème, surtout en fin de journée.
Les ecchymoses s'estompent, laissant place à une coloration normale de la peau.
2. Reprise des activités légères
Les activités quotidiennes peuvent être reprises dès la deuxième semaine si elles ne nécessitent pas d’effort physique intense.
Travail de bureau : Reprise possible après 1 semaine dans la majorité des cas.
3. Ajustement des vêtements compressifs
À partir de la troisième semaine, il peut être conseillé de porter la gaine seulement le jour ou la nuit, selon l’évolution.
Un mois et plus après l’intervention
1. Reprise des activités physiques
Les activités physiques légères (yoga, marche rapide) peuvent être intégrées après 4 semaines.
Sport intense : Il est recommandé d’attendre 6 semaines ou plus, selon les indications du chirurgien.
2. Résultats visibles
Les contours du corps commencent à se définir davantage à mesure que le gonflement diminue.
Résultats finaux : Ils apparaissent généralement entre 3 et 6 mois, lorsque l’œdème résiduel disparaît complètement.
3. Amélioration de la cicatrisation
Les petites cicatrices laissées par les incisions s’atténuent progressivement. Des crèmes cicatrisantes ou des traitements au laser peuvent être proposés pour optimiser leur apparence.
Conseils pratiques pour une récupération optimale
1. Alimentation et hydratation
Riche en protéines : Favorise la réparation des tissus.
Évitez le sel : Réduit la rétention d’eau et l’œdème.
Hydratation constante : Accélère le processus de récupération.
2. Suivi des recommandations médicales
Visites de suivi régulières : Elles permettent au chirurgien de surveiller la guérison et de prévenir d’éventuelles complications.
Respect des consignes : Ne pas retirer le vêtement compressif trop tôt ou reprendre des activités physiques avant le délai recommandé.
3. Pratiques spécifiques
Massages lymphatiques : Recommandés dans certains cas pour réduire l’enflure et favoriser la circulation sanguine.
Évitez le tabac et l’alcool : Ces substances ralentissent la guérison et augmentent le risque de complications.
Risques et complications possibles
Bien que rares, voici ce à quoi il faut prêter attention :
Infections : Rougeur, écoulement anormal ou fièvre.
Asymétries : Des imperfections mineures peuvent apparaître mais sont souvent corrigées lors de la cicatrisation finale.
Thrombose : Rare mais grave, elle se manifeste par des douleurs dans les jambes ou une sensation de lourdeur.
Conclusion
La convalescence après une liposuccion est une période essentielle pour garantir le succès de l’opération. En suivant attentivement les recommandations du chirurgien et en adoptant un mode de vie sain, vous maximiserez vos chances d’obtenir les résultats souhaités tout en minimisant les complications. Patience et rigueur sont vos meilleurs alliés pendant cette phase !
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La convalescence après une liposuccion est une étape cruciale pour assurer une guérison optimale et des résultats satisfaisants. Voici ce à quoi vous pouvez vous attendre, ainsi que les étapes et les conseils pour une récupération réussie :
Immédiatement après l’intervention
Retour à la maison :
La liposuccion est souvent réalisée en ambulatoire, vous pourrez rentrer chez vous le jour même.
Une personne devra vous accompagner en raison des effets résiduels de l’anesthésie.
Port d’une gaine de contention :
Un vêtement compressif est généralement prescrit pour réduire le gonflement, favoriser la rétractation de la peau et maintenir les tissus en place.
Il doit être porté en continu pendant les premières semaines.
Gonflements et ecchymoses :
Un œdème (gonflement) est normal et peut durer plusieurs semaines.
Les ecchymoses autour de la zone traitée disparaissent généralement en 2 à 4 semaines.
Première semaine
Repos modéré :
Le repos est essentiel, mais il est conseillé de marcher doucement pour stimuler la circulation sanguine et éviter les caillots.
Gestion de la douleur :
Des analgésiques peuvent être prescrits pour gérer l'inconfort. La douleur est généralement légère à modérée.
Soins des incisions :
Les petites incisions utilisées pour insérer les canules doivent rester propres et sèches.
Des pansements seront changés régulièrement selon les instructions du chirurgien.
Gonflements persistants :
Bien que les résultats commencent à apparaître, le gonflement peut cacher les contours finaux.
Deuxième à quatrième semaine
Reprise des activités légères :
Vous pourrez reprendre des activités légères après 7 à 10 jours.
Les mouvements brusques ou les efforts physiques intenses sont encore à éviter.
Port continu de la gaine :
La gaine de contention doit être portée selon les recommandations (généralement 4 à 6 semaines), parfois seulement le jour ou la nuit à partir de la deuxième semaine.
Réduction du gonflement :
À ce stade, la majeure partie de l'œdème commence à se résorber, révélant progressivement les résultats.
Après un mois et plus
Reprise du sport :
Les activités sportives intensives peuvent être reprises après 4 à 6 semaines, avec l’accord du chirurgien.
Résultats visibles :
Les contours du corps deviennent plus nets, mais il faut généralement attendre 3 à 6 mois pour voir les résultats définitifs.
Cicatrisation :
Les petites cicatrices s’estompent progressivement et deviennent souvent invisibles avec le temps.
Conseils pour optimiser la récupération
Hydratation : Buvez beaucoup d’eau pour favoriser la récupération.
Alimentation équilibrée : Une alimentation riche en protéines et en nutriments essentiels soutient le processus de guérison.
Massage lymphatique : Dans certains cas, des massages drainants peuvent être recommandés pour réduire l'œdème et améliorer la circulation.
Évitez le tabac et l’alcool : Ces substances ralentissent la guérison.
Suivez les instructions du chirurgien : Respectez toutes les recommandations post-opératoires pour éviter les complications.
Risques et signes à surveiller
Infection : Rougeur, fièvre ou douleur inhabituelle autour des incisions.
Saignements : Des saignements persistants ou abondants nécessitent une consultation immédiate.
Gonflement extrême ou asymétrie marquée : Signalez tout changement inquiétant à votre chirurgien.
Conclusion
La convalescence après une liposuccion demande de la patience, mais avec des soins appropriés et un suivi rigoureux, les résultats finaux offrent un contour du corps amélioré et harmonieux. Suivre les conseils de votre chirurgien est la clé d’une récupération rapide et réussie.
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Avec Christine, on a fêté nos 40 ans d'amitié en faisant un voyage de 15 jours en Sicile. Nous voici maintenant à Piazza Armerina, à l'intérieur des terres.
Non loin, la Villa del Casale (bâtie fin IIIe s. apr. J-C.) aux mosaïques romaines grandioses (3500m² de surface !!).
L'extraordinaire ambulatoire de la Grande Chasse : des animaux exotiques (ici un oryx, un rhinocéros, un taureau furieux, une panthère chassant un dromadaire....) sont acheminés en carriole, embarqués sur des galères puis débarqués pour les Jeux du Cirque à Rome. Le personnage central sur la 1ère photo a des airs de....maffioso (désolé !). Quant aux postures de ceux tirant le taureau par ses cornes jusqu'à la galère, elles sont finement restituées.
Cette mosaïque fait 60 mètres de long !
#sicile#italie#piazza armerina#villa del casale#mosaïque#archéologie#rome antique#dromadaire#chameau#taureau#panthère#léopard#oryx#antilope
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La greffe de cheveux est une technique de chirurgie esthétique qui consiste à transplanter des follicules pileux dans les zones dégarnies du cuir chevelu pour redonner densité et volume aux cheveux. C’est une solution durable pour les personnes touchées par la calvitie, la perte de cheveux due au vieillissement ou certaines maladies. Ce guide détaillé présente les indications, les techniques de greffe, le déroulement de l’intervention, la convalescence, les résultats et les précautions à prendre.
1. Qu’est-ce que la Greffe de Cheveux ?
La greffe de cheveux est une intervention chirurgicale qui consiste à transférer des follicules pileux d’une zone donneuse (souvent à l’arrière ou sur les côtés de la tête, où les cheveux sont naturellement résistants à la calvitie) vers une zone receveuse, qui présente une faible densité capillaire ou une perte de cheveux.
Objectifs : Redonner de la densité, redessiner la ligne capillaire, combler des zones dégarnies et restaurer une chevelure naturelle.
Indications : Cette intervention est adaptée aux hommes et aux femmes souffrant de calvitie androgénétique (alopécie), de perte de cheveux localisée ou de cicatrices alopéciques.
2. Techniques de Greffe de Cheveux
Il existe principalement deux techniques de greffe de cheveux, la FUE (Follicular Unit Extraction) et la FUT (Follicular Unit Transplantation), chacune ayant des avantages et des spécificités. Une troisième technique, DHI (Direct Hair Implantation), est également de plus en plus populaire.
2.1. Technique FUE (Follicular Unit Extraction)
La technique FUE consiste à extraire individuellement les follicules pileux de la zone donneuse à l’aide d’un micro-punch, puis à les transplanter dans la zone receveuse.
Avantages : Moins invasive, ne laisse pas de cicatrice linéaire visible, idéale pour les petites zones de greffe et permet une récupération plus rapide.
Inconvénients : Elle peut être plus longue à réaliser, car chaque follicule est prélevé individuellement.
2.2. Technique FUT (Follicular Unit Transplantation)
Également appelée technique de la bandelette, la FUT consiste à prélever une bande de cuir chevelu de la zone donneuse, à découper cette bande en unités folliculaires, puis à les implanter dans la zone dégarnie.
Avantages : Permet de prélever plus de greffons en une seule séance, adaptée pour les grandes zones dégarnies.
Inconvénients : Laisse une cicatrice linéaire à l’arrière de la tête, nécessite un temps de récupération plus long et n'est pas recommandée pour les personnes souhaitant garder les cheveux très courts.
2.3. Technique DHI (Direct Hair Implantation)
La technique DHI est une variation de la FUE. Elle utilise un stylet spécial (appelé implanteur Choi) pour extraire et implanter les follicules directement, sans phase de préparation.
Avantages : Meilleur contrôle de l’angle et de la profondeur de l’implantation, idéal pour des résultats précis.
Inconvénients : Peut être plus coûteuse et demande une expertise particulière.
3. Consultation Préliminaire et Planification
La consultation avec le chirurgien capillaire est une étape cruciale avant l’intervention, permettant de déterminer le plan de traitement personnalisé.
Analyse du Cuir Chevelu : Le spécialiste examine la densité capillaire de la zone donneuse, l’ampleur de la calvitie, et évalue la qualité des cheveux.
Détermination du Nombre de Greffons : Le chirurgien estime le nombre de greffons nécessaires en fonction des zones à traiter, de la densité souhaitée et du type de chevelure.
Prise en Compte des Attentes du Patient : Le chirurgien discute avec le patient des résultats souhaités, en ajustant les attentes aux réalités de la greffe.
4. Déroulement de l’Intervention
La greffe de cheveux est une procédure ambulatoire, réalisée sous anesthésie locale, ce qui permet au patient de rester éveillé durant l’intervention.
Étapes de la Greffe de Cheveux
Anesthésie Locale : Le chirurgien applique une anesthésie locale sur les zones donneuse et receveuse pour éviter toute douleur.
Préparation et Extraction des Greffons :
FUE : Les follicules sont extraits un par un à l’aide d’un micro-punch.
FUT : Une bandelette est prélevée, puis découpée en unités folliculaires sous microscope.
Préparation de la Zone Receveuse : Le chirurgien crée de minuscules incisions dans la zone receveuse en déterminant l’angle, la densité et l’orientation des implants pour un résultat naturel.
Implantation des Greffons : Les follicules sont insérés dans les incisions. La technique DHI permet de le faire directement sans incision préalable.
Durée de l’Intervention
L’intervention dure généralement entre 4 et 8 heures, selon le nombre de greffons. Le patient peut faire des pauses durant la procédure.
5. Convalescence et Soins Postopératoires
La période de convalescence après une greffe de cheveux est relativement courte, mais elle nécessite des précautions spécifiques pour assurer une bonne cicatrisation et favoriser la prise des greffons.
Soins Immédiats
Repos et Protection : Il est conseillé d’éviter tout frottement ou choc sur la zone greffée durant les premiers jours.
Éviter l’Exposition au Soleil et aux Chaleurs Intenses : Il est important de protéger le cuir chevelu de l’exposition directe au soleil et de ne pas utiliser de sauna ou de hammam pendant les premières semaines.
Pas de Lavage Immédiat : La zone greffée ne doit pas être lavée durant les 48 premières heures. Ensuite, un shampoing doux est recommandé selon les instructions du chirurgien.
Reprise des Activités
Activités Quotidiennes : La plupart des patients peuvent reprendre des activités légères dès 3 à 5 jours après l’intervention.
Exercice Physique Intense : Il est recommandé d’éviter les activités sportives et les efforts physiques intenses pendant 2 à 3 semaines pour éviter les risques de saignement ou de déplacement des greffons.
6. Résultats et Durabilité de la Greffe de Cheveux
Les résultats d’une greffe de cheveux apparaissent progressivement. La patience est essentielle, car le processus de repousse suit plusieurs étapes.
Chronologie des Résultats
Chute des Cheveux Greffés : Les cheveux greffés tombent souvent dans les 2 à 4 semaines suivant la greffe. Cela est normal et précède la repousse des nouveaux cheveux.
Repousse des Cheveux : Les nouveaux cheveux commencent à repousser à partir du troisième mois. Ils sont d’abord fins, mais s’épaississent progressivement.
Résultat Final : Le résultat final est visible entre 12 et 18 mois après l’intervention, lorsque les cheveux ont atteint leur pleine densité et longueur.
Durabilité
Résultats Permanents : Les cheveux greffés sont issus de la zone donneuse, naturellement résistante à la chute, ce qui garantit une durabilité à long terme.
Entretien des Cheveux Greffés : Une fois la greffe cicatrisée, les cheveux peuvent être traités normalement. Les produits de soins capillaires et les coiffures sont sans impact sur le succès de la greffe.
7. Risques et Effets Secondaires
Bien que la greffe de cheveux soit une intervention sécurisée, elle peut comporter certains risques et effets secondaires.
Infections et Inflammations : Bien que rares, des infections ou une folliculite (inflammation des follicules) peuvent survenir. Elles sont généralement traitées par des antibiotiques ou des soins antiseptiques.
Hématomes et Gonflements : Un gonflement temporaire autour du front et des yeux peut apparaître après l’intervention, mais disparaît en quelques jours.
Sensations de Picotements ou D’engourdissement : Certaines patients ressentent une perte de sensibilité temporaire ou des picotements, qui disparaissent en quelques semaines.
8. Précautions et Conseils pour un Résultat Optimal
Suivre les Instructions du Chirurgien : Le respect des recommandations postopératoires est essentiel pour une cicatrisation rapide et la réussite de la greffe.
Éviter le Tabac et l’Alcool : Il est conseillé d’éviter la consommation de tabac et d’alcool avant et après l’intervention, car ils peuvent ralentir la cicatrisation et la prise des greffons.
Consulter en Cas de Doute : Si le patient constate des douleurs inhabituelles, des saignements ou des rougeurs persistantes, il doit consulter son médecin.
Conclusion
La greffe de cheveux est une solution efficace et durable pour les personnes souffrant de perte de cheveux. Grâce aux avancées des techniques modernes, comme la FUE et le DHI, cette intervention est peu invasive et offre des résultats esthétiques naturels et permanents. Une bonne préparation, un suivi postopératoire rigoureux et le respect des recommandations du chirurgien permettent de maximiser la réussite de la greffe et d’obtenir une chevelure dense et naturelle.
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Image by Myriams-Fotos from Pixabay En 2025, la prime mensuelle moyenne d'assurance-maladie en Suisse s'élèvera à 378,70 francs, soit une hausse de 21,60 francs (+6%) par rapport à 2024. Cette augmentation reflète la hausse continue des coûts de la santé, notamment en raison des nouveaux traitements, des médicaments et du vieillissement démographique. Pour les adultes, la prime atteindra 449,20 francs, tandis que pour les jeunes adultes et les enfants, elle sera respectivement de 314,10 francs et 117,90 francs. L'augmentation des coûts dans divers secteurs, tels que les traitements ambulatoires et hospitaliers, ainsi que le renchérissement, sont des facteurs majeurs de cette hausse. Le Conseil fédéral et le Parlement cherchent à maîtriser ces coûts par des mesures comme la promotion des génériques et une réforme du financement des prestations de santé. Cette réforme sera soumise au vote le 24 novembre 2024 et vise à uniformiser le financement des soins ambulatoires et stationnaires, pour réduire les incitations financières actuelles. Les assurés auront jusqu'à la fin novembre 2024 pour changer d'assurance de base, et peuvent consulter les primes et les options de réduction sur le site Priminfo.ch. Augmentation des primes d’assurance-maladie 2025 : des visions divergentes entre le PLR et le PS L'annonce des nouvelles hausses de primes d'assurance-maladie pour 2025 fait couler beaucoup d'encre en Suisse, et Neuchâtel n'y fait pas exception. Les positions des différents partis politiques divergent, reflétant des visions opposées pour remédier à ce fardeau pesant sur les ménages, en particulier ceux de la classe moyenne et populaire. Le PLR : des solutions libérales pour alléger les charges des citoyens Le PLR se positionne clairement en faveur de mesures visant à réduire les coûts de la santé. Le parti soutient une réforme cruciale qui sera soumise au vote en novembre prochain : le financement uniforme des prestations ambulatoires et hospitalières (EFAS). Cette réforme, selon le PLR, permettra de diminuer les coûts de 440 millions de francs par an en remplaçant les séjours hospitaliers coûteux par des interventions ambulatoires modernes. En parallèle, la qualité des soins augmenterait, et le personnel soignant serait soulagé des gardes de nuit superflues. Le PLR accuse à la fois la gauche et une partie de la droite, notamment l'UDC, de refuser cette réforme et de cultiver le problème des hausses de primes. Le parti libéral-radical s’indigne que l'UDC adopte des "recettes socialistes" en préférant redistribuer l'argent public plutôt que de s'attaquer aux véritables causes des coûts élevés du système de santé. Le PLR appelle donc les forces de droite au sein de l'UDC à changer de cap, sous peine d’aggraver la situation pour les contribuables lors des prochaines augmentations de primes et d’impôts. Par ailleurs, le PLR insiste sur l’importance de renforcer les modèles d’assurance alternatifs, avec des contrats pluriannuels et des franchises plus élevées, tout en promouvant la digitalisation du système de santé (dossier électronique du patient). Pour le PLR, il est essentiel de supprimer les mauvaises incitations, notamment en évitant que les médecins et hôpitaux soient récompensés pour des interventions répétées dues à des échecs initiaux. Le PS : une initiative pour limiter les primes à 10% du revenu De son côté, le Parti socialiste neuchâtelois (PSN) exprime sa profonde inquiétude face à l'augmentation inéluctable des primes, qu'il considère comme une véritable "taxe" pesant sur les revenus des assurés. Le PSN rappelle que, depuis un an, il milite pour une initiative visant à limiter les primes à 10% du revenu, et exige une application rapide de cette mesure pour soulager les familles et la classe moyenne. Chaque automne, selon le PS, le scénario se répète : les primes augmentent, forçant les ménages à choisir entre des dépenses essentielles comme le logement et l’alimentation ou des soins de santé abordables. Le parti
critique également la décision du Conseil d'État neuchâtelois, qui, malgré des finances cantonales saines, a choisi une baisse d'impôts favorisant surtout les hauts revenus au lieu de renforcer le soutien aux ménages les plus modestes. Pour le PS, la santé est un droit fondamental et doit être financée de manière équitable. Le parti se bat pour un mécanisme semblable à celui du Canton de Vaud, où depuis cinq ans, les primes sont plafonnées à 10% du revenu. Le PS estime que ce système a fait ses preuves et que Neuchâtel devrait adopter une solution similaire afin de garantir un accès équitable aux soins tout en freinant l'augmentation des primes. Deux visions, une même urgence Si le PLR et le PS s'accordent sur un point, c’est bien sur l’urgence de réformer le système de santé pour éviter que les primes continuent d’étrangler les ménages. Cependant, leurs solutions divergent profondément : d’un côté, le PLR prône des réformes axées sur la responsabilité individuelle, la digitalisation, et la réduction des coûts hospitaliers. De l’autre, le PS appelle à une régulation plus stricte des primes, avec un plafonnement proportionnel aux revenus. L’enjeu est donc de taille pour les citoyens neuchâtelois, qui devront se prononcer sur les mesures à adopter pour contenir cette spirale des coûts de la santé.
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20 novembre 2023/partie.3: Du coup j’avais rdv en fin de journée avec une infirmière pour qu’elle me place tout le matériel afin de passer l’examen de polysomnographie. Cela peut se faire soit en milieu hospitalier, soit en ambulatoire. Dans mon cas c’est donc à domicile. Mon père m’a accompagné et récupéré en voiture car autrement ça aurait été galère en transport avec tous ces câbles. C’est bizarre mais à un moment les électrodes sur mon torse et mon dos chauffait beaucoup, sensation étrange.. normalement avec mon pacemaker il n’y a pas de problème mais je me demande si ça a un quelconque effet. Bref suite dans la prochaine publication pour mieux vous expliquer tout ça!
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Voici un guide complet sur la liposuccion, une intervention de chirurgie esthétique visant à éliminer les dépôts de graisse tenaces qui ne répondent pas à un régime alimentaire et à l'exercice. Elle permet de sculpter la silhouette en retirant des excès de graisse dans des zones spécifiques du corps.
1. Première consultation
La première consultation avec un chirurgien esthétique est essentielle pour déterminer si vous êtes un bon candidat pour la liposuccion. Pendant cette consultation, le chirurgien :
Évaluera votre état de santé général.
Examinera la répartition de la graisse dans les zones ciblées.
Vous expliquera les différentes techniques de liposuccion et leurs résultats attendus.
Discutera de vos antécédents médicaux et de vos objectifs esthétiques.
Prendra des photos pour comparer les résultats avant et après l'opération.
2. Maturation de la décision
Avant de procéder à une liposuccion, il est important de prendre le temps de réfléchir à vos motivations et à vos attentes. Vous devez être conscient que la liposuccion n'est pas une solution de perte de poids, mais plutôt une méthode de remodelage de la silhouette pour traiter les amas graisseux localisés.
3. Choix du chirurgien esthétique
Choisir un chirurgien qualifié est crucial pour obtenir de bons résultats et minimiser les risques. Assurez-vous de choisir un chirurgien reconnu pour ses compétences en chirurgie esthétique, en particulier en liposuccion. Consultez plusieurs chirurgiens si nécessaire pour comparer leurs expériences et comprendre les différentes techniques qu’ils utilisent.
4. Pourquoi éviter la Tunisie ?
Bien que certaines destinations comme la Tunisie puissent offrir des prix plus bas, il est important de considérer les risques potentiels liés à la qualité des soins et au suivi postopératoire. Opter pour un chirurgien local vous garantit un meilleur suivi et une prise en charge en cas de complications, ce qui peut être plus difficile à organiser à distance.
5. Types de liposuccion
Il existe plusieurs techniques de liposuccion qui peuvent être utilisées en fonction de vos besoins spécifiques :
Liposuccion classique (tumescente) : La technique la plus courante. Elle consiste à injecter une solution saline dans la zone ciblée pour faciliter l'extraction de la graisse, puis à utiliser une canule pour aspirer les cellules graisseuses.
Liposuccion assistée par laser (LAL) : Utilise un laser pour liquéfier les cellules graisseuses avant de les retirer. Cette technique peut être utile pour des zones plus petites et pour resserrer la peau.
Liposuccion assistée par ultrasons (UAL) : Utilise des vibrations ultrasoniques pour décomposer les cellules graisseuses avant de les aspirer. Elle est particulièrement utile pour traiter les zones où la graisse est plus dense.
Liposuccion assistée par aspiration (PAL) : Utilise un dispositif mécanique qui effectue des mouvements rapides pour faciliter l'extraction des graisses.
6. Parties du corps traitables par la liposuccion
La liposuccion peut être effectuée sur plusieurs parties du corps :
Abdomen et flancs : Pour traiter les poignées d’amour et le ventre.
Cuisses : Pour affiner l'intérieur et l'extérieur des cuisses.
Hanches et fesses : Pour un remodelage global du bas du corps.
Bras : Pour réduire l'excès de graisse au niveau des bras.
Menton et cou : Pour affiner le profil et éliminer le double menton.
Dos : Pour retirer les bourrelets graisseux.
Genoux et mollets : Pour affiner les jambes.
7. Déroulement de l'opération
La liposuccion est une procédure ambulatoire, ce qui signifie que vous pouvez généralement rentrer chez vous le jour même. Le déroulement de l’intervention suit ces étapes :
Anesthésie : Selon l’étendue de la liposuccion, une anesthésie locale ou générale sera administrée.
Incisions : De petites incisions sont réalisées dans les zones ciblées pour insérer la canule (tube fin utilisé pour aspirer la graisse).
Extraction des graisses : Le chirurgien déplace la canule sous la peau pour détacher et aspirer les cellules graisseuses.
Fermeture : Les incisions sont généralement petites et ne nécessitent pas de sutures complexes.
8. Convalescence et récupération
La récupération après une liposuccion dépend de la quantité de graisse retirée et des zones traitées. Voici les principaux aspects à prendre en compte :
Port d’un vêtement de contention : Un vêtement compressif sera porté pour réduire l’enflure et aider la peau à se rétracter.
Douleurs et inconfort : Les douleurs sont généralement modérées et peuvent être contrôlées avec des analgésiques. Un gonflement, des ecchymoses et une sensation d'engourdissement sont courants dans les premiers jours.
Durée de récupération : Vous pouvez reprendre une activité normale après environ 1 à 2 semaines, mais il faut attendre 4 à 6 semaines avant de reprendre des activités physiques intenses.
Suivi postopératoire : Le chirurgien programmera des visites régulières pour s’assurer de la bonne cicatrisation et des résultats optimaux.
9. Résultats définitifs
Les résultats de la liposuccion ne sont généralement visibles qu'après plusieurs mois, une fois que l'enflure est complètement résorbée. Les résultats sont permanents à condition de maintenir un mode de vie sain avec une alimentation équilibrée et de l'exercice régulier.
10. Questions fréquentes des internautes
Est-ce que la liposuccion élimine la cellulite ? La liposuccion ne traite pas directement la cellulite. Elle se concentre sur l’élimination de la graisse sous-cutanée, mais peut améliorer l’apparence générale de la peau.
Puis-je reprendre le sport rapidement ? Il est recommandé de reprendre une activité sportive légère après environ 3 à 4 semaines, mais les exercices intenses doivent être évités pendant au moins 6 semaines.
Quels sont les risques associés à la liposuccion ? Comme pour toute intervention chirurgicale, la liposuccion comporte des risques : infections, irrégularités de la peau, cicatrices, et en de rares cas, des caillots sanguins.
Combien de temps durent les résultats ? Les résultats de la liposuccion sont permanents, car les cellules graisseuses retirées ne se régénèrent pas. Cependant, une prise de poids excessive peut affecter le résultat.
11. Conclusion
La liposuccion est une procédure sûre et efficace pour améliorer la silhouette en éliminant les amas graisseux localisés. Cependant, il est important d’avoir des attentes réalistes et de maintenir un mode de vie sain pour conserver les résultats à long terme.
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