#Ambulatoire
Explore tagged Tumblr posts
Text







Avec Christine, on a fêté nos 40 ans d'amitié en faisant un voyage de 15 jours en Sicile. Nous voici maintenant à Piazza Armerina, à l'intérieur des terres.
Non loin, la Villa del Casale (bâtie fin IIIe s. apr. J-C.) aux mosaïques romaines grandioses (3500m² de surface !!).
L'extraordinaire ambulatoire de la Grande Chasse : des animaux exotiques (antilopes, éléphants, rhinocéros, autruches ou tigres...) sont acheminés en carriole, embarqués sur des galères puis débarqués pour les Jeux du Cirque à Rome. Ailleurs, un esclave se fait rosser par son maître...
Cette mosaïque fait 60 mètres de long !
#sicile#italie#piazza armerina#villa del casale#mosaïque#archéologie#rome antique#galère#jeux du cirque#circus maximus#antilope#éléphant#autruche#ambulatoire de la grande chasse#chasse
7 notes
·
View notes
Text
Chez Normeditec, nous proposons des unités mobiles à flux d'air laminaire à faible coût pour les salles d'opération et les salles ambulatoires. Nos systèmes de ventilation pour salle d'opération jouent un rôle essentiel dans l'amélioration du niveau d'asepsie pendant l'opération dans une salle d'opération. Les différents niveaux d'assainissement de l'air pur permettent d'adapter le degré d'asepsie souhaité en fonction du type d'opération.
#Systèmes de ventilation ultra-propres#Ventilation des salles de clinique ambulatoire#Systèmes de ventilation pour salle d'opération
0 notes
Text
Pharmacie : Traitement de la dépression
L'âge moyen de la première dépression est de 20 ans, apparition du premier épisode dépressif entre 17 et 27 ans en moyenne. C'est le trouble psychiatrique le plus fréquent ; c'est 70% des PEC en médecine générale, à tous les âges de la vie. Elle est plus fréquente chez la femme.
N.B : En cas de syndrome dysphorique prémenstruel la pilule contraceptive est plus efficace qu'un antidépresseur
Pour parler d'épisode dépressif caractérisé (EDC) il faut :
Rupture avec un état antérieur ; le patient n'est pas dans son état habituel (capital sinon pas dans un EDC)
Symptômes évoluant depuis au moins 2 semaines.
Humeur triste ne fluctuant plus. C'est une tristesse pathologique ; - Souffrance morale, décrite pire que la souffrance physique par le patient - Anhédonie ; perte de la capacité à éprouver du plaisir - Perte d'intérêts - Anesthésie affective
- Ralentissement psychomoteur du patient dépressif
Ralentissement psychique - bradypsychie ; pensée qui vont lentement - discours lent, monotone, monothématique - troubles cognitifs de concentration/mémoire
Ralentissement moteur - asthénie permanente - clinophilie (rester allongé toute la journée) - incurie (pas prendre soin de soi) - apragmatisme (ne rien faire, absence d'activité) - présentation : patient figé, bradykinésie, hypomimie, Ω mélancolique (sourcils font la forme Ω)
Ralentissement somatique
- hyporexie ⇒ anorexie, amaigrissement (mais parfois hyperphagie)
- troubles du sommeils ; insomnie du petit matin
- troubles sexuels ; anorgasmie, impuissance, frigidité, dyspareunie (= douleur pendant les rapports)
Dépression iatrogène
Médicaments Pouvant Donner des Dépressions
Interféron α (IFN α) ;
Isotrétinoïne ;
Bêtabloquants ;
Diurétiques thiazidiques ;
Mefloquine ;
Fluoroquinolones et quinolones ;
Nitro-imidazolés ;
Glucocorticoïdes ;
Œstrogènes et oestroprogestatifs ;
Sulfamide
Prise en charge
Le plus souvent en ambulatoire avec le médecin généraliste (premier intervenant pour soigner la dépression)
Association : antidépresseur (6 à 12 mois) + psychothérapie
Le traitement par antidépresseur met environ 2/3 semaines pour montrer des effets positifs. Si le patient dépressif voit une amélioration de son état dépressif par la médication au bout d'un mois, il doit quand même continuer son traitement au moins 6 mois après la normothymie (= retour à l'état normal de l'humeur)
ISRS : Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine
Citalopram (Séropram®), Escitalopram (Séroplex®), Fluoxétine (Prozac®), Fluvoxamine (Floxyfral®), Paroxétine (Déroxat®, Divarius®), Sertraline (Zoloft®)
Propriétés : Psychostimulant, sédatif, anxiolytique
Indications :
Syndrome dépressif
Trouble obsessionnel compulsif
Trouble panique et phobie sociale
Trouble anxieux généralisé
État de stress post-traumatique
Contre-indications : Allongement de QT (Citalopram et Escitalopram), insuffisance rénale sévère (Citalopram)
Interactions médicamenteuses : Pimozide, Duloxétine, Agomélatine, Tramadol, IMAO sélectifs, Tamoxifène, Triptans
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Gastralgies, nausées, vomissements, diarrhées
Allongement de QT pour le Citalopram et l’Escitalopram
Prise de poids
Perte d’appétit avec la Fluoxétine
Baisse de la libido, impuissance
Sueurs
Éruption cutanée
Hyponatrémie
IRSNa : Inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline.
Duloxétine (Cymbalta®), Venlafaxine (Effexor®), Milnacipran (Ixel®)
Indications :
Syndrome dépressif
Trouble obsessionnel compulsif
Trouble panique et phobie sociale
Trouble anxieux généralisé
État de stress post-traumatique
Contre-indications : Insuffisance hépatique, insuffisance rénale sévère (Duloxétine), HTA non contrôlée, maladie coronarienne sévère ou instable (Milnacipran)
Interactions médicamenteuses : IMAO non sélectifs, Fluvoxamine, Tamoxifène
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Nausées, vomissements, diarrhées
Hépatite
Baisse de la libido, impuissance
Hyponatrémie
Hypertension artérielle, tachycardie
Tricycliques (imipraminiques)
Ce sont des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, de la noradrénaline et de la dopamine
Amitriptyline (Laroxyl®, Elavil®), Amoxapine (Défanyl®), Clomipramine (Anafranil®), Dosulépine (Prothiaden®), Imipramine (Tofranil®), Maprotiline (Ludiomil®), Doxépine (Quitaxon®), Trimipramine (Surmontil®)
Propriétés : Psychostimulant, sédatif, anxiolytique
Indications : syndrome dépressif, douleur chronique, troubles anxieux
Contre-indications : glaucome à angle fermé, adénome de la prostate, IDM récent, épilepsie
Interactions médicamenteuses : IMAO, Sultopride, inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, alcool, Clonidine
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire (en début de traitement)
Tremblements dose-dépendant
Troubles du rythme et de la conduction
Hypotension orthostatique
Baisse du seuil épileptique
Somnolence
Prise de poids
Effets anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, trouble de l’accommodation (flou visuel), rétention urinaire
IMAO : inhibiteurs de la monoamine oxydase
IMAO non sélectif (A et B) : Iproniazide (Marsilid®)
IMAO sélectif A : Moclobémide (Moclamine®)
Propriétés : psychostimulant, sédatif
Indications : syndrome dépressif
Contre-indications : hypertension artérielle, insuffisance hépatique, phéochromocytome, états confusionnels aigus, alcoolisme chronique
Interactions alimentaires : aliments riches en tyramine (poussées hypertensives) : alcool, chocolat, fèves, ginseng, abats, banane, figue, fromage fermenté, avocat, viandes et poissons fumés ou séchés, saucisson, soja, soupes en sachets ou boites, levure de bière
Interactions médicamenteuses : Buproprion, Midodrine, sympathomimétiques, Tétrabénazine, Triptans, ISRS, IRSNa, Tramadol, Péthidine, Réserpine, ICOMT, Tianeptine
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Épisode maniaque
Insomnie, excitation
Effets anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, trouble de l’accommodation (flou visuel), rétention urinaire
Hypotension orthostatique
Crise hypertensive
Vertiges, sueurs, céphalées
Autres antidépresseurs
Ils ont des mécanismes variés.
Agomélatine (Valdoxan®), Miansérine (Athymil®), Mirtazapine (Norset®), Tianeptine (Stablon®)
Propriétés : psychostimulant, sédatif, antihistaminique
Indications : syndrome dépressif
Contre-indications : porphyrie, hypersensibilité ou antécédent d’agranulocytose due au produit
Interactions médicamenteuses : IMAO, inducteurs enzymatiques
Effets indésirables
Levée de l’inhibition avec risque suicidaire
Nausées, vomissements, diarrhée, constipation
Hypotension orthostatique
Prise de poids
Somnolence
Anxiété
Épisode maniaque
Effets anticholinergiques : sécheresse buccale, constipation, trouble de l’accommodation (flou visuel), rétention urinaire
Diminution du seuil épileptogène
Agranulocytose
Critères de choix
Chez l’Enfant et l’Adolescent
- Prise en charge psychothérapeutique en première intention.
- Les ISRS et leurs apparentés sont déconseillés (sauf Fluoxétine) car ils donnent un comportement suicidaire et/ou hostile.
- Les ATC sont contre-indiqués car effets secondaires psycho-comportementaux.
- En cas de troubles obsessionnels compulsifs (OCD), la Fluvoxamine et la Sertaline (ISRS) peuvent être utilisés chez l’enfant de plus de 6 ans.
Chez la Personne Âgée
- Les ISRS :
o Risque d’hyponatrémie, surtout si prise concomitante de diurétiques ;
o Risque hémorragique, surtout si prise concomitante d’anticoagulants.
- Les ATC ne sont pas prescrits en première intention car ils donnent des effets anticholinergiques risquant d’aggraver les fonctions cognitives en cas de démence.
=> Tous les antidépresseurs peuvent donner un risque de chute car ils donnent une hypotension et une sédation.
- La dose des ATC est réduite de moitié par rapport à celle donnée aux adultes.
Insuffisances Hépatique et Rénale
- Risque accru d’accumulation si IH.
- Risque d’accumulation de la Paroxétine et du Citalopram si IR
PK
Bonne absorption digestive ;
Effet de premier passage hépatique très important pour les ATC ;
Volume de distribution important pour les ATC et les ISRS ;
Liaison importante aux protéines plasmatiques ;
Les ATC, la Fluoxétine et le Citalopram donnent des métabolites actifs ;
Les ATC subissent un cycle entéro-hépatique ;
Ils sont éliminés par voie rénale et biliaire ;
Les ISRS sont des inhibiteurs enzymatiques du CYP450 2D6 et 3A4.
3 notes
·
View notes
Text



🏥3 juin/dernière partie: Évidemment je me suis ensuite bien reposée chez moi. J’étais fatiguée.. Pendant un moment la sonde me faisait mal à la narine mais la douleur a fini par s’estomper puis disparaître. Cette fois-ci elle est à gauche et ce côté-ci supporte beaucoup mieux la sonde! Alors que du côté droit ça n’allait pas du tout.. douleurs qui perdurait même des mois après, escarre incessant, ça me provoquait carrément des sortes de migraines faciales comparé à des paralysies du visage tellement qui y’avait de la pression. Plus jamais à droite! Ça va beaucoup mieux à gauche. J’avais aussi très mal à la gorge mais cette fois-ci ce n’est pas à cause de la sonde, mais à cause de l’endoscope, je sens bien qu’il est passé par là, que ça m’a bien irritée de l’intérieur. Heureusement que ça se calme au fur et à mesure! Au moins c’est supportable comparé à d’autres fois. Vous souvenez-vous la dernière fois qu’on m’avait placé la sonde en ambulatoire? Après l’anesthésie j’avais été sortie trop rapidement, ils n’avaient même pas laissé le temps à mon corps de bien se reposer donc je me sentais terriblement mal, puis les effets des médicaments perduraient car j’étais dans un état indescriptible.. j’avais mal partout, les yeux ultra sec.. bref je ne sais pas comment ils s’étaient débrouillés ce jour-là.. trop de produits anesthésiant ? Heureusement que ça ne l’a pas refais car je craignais cela. Quoiqu’il en soit j’ai branchée ma nutrition et tout se passe bien pour l’instant avec cette nouvelle sonde! Je l’ai fixé à la joue pour éviter que ça tire. Je précise que c’est la première fois que j’ai ce type de pansement au nez. Il permet de fixer très facilement la sonde sans galérer avec les sparadraps. L’embout blanc est un clip relié au pansement et bien évidemment je ne l’aurais plus lorsque je devrais changer le pansement au nez.


6 notes
·
View notes
Text
Charcutage d’adolescentes eu nom de l’idéologie du genre
Des centaines d’adolescentes au Canada ont subi une « chirurgie du haut », autrement dit une double mastectomie, au cours des cinq dernières années.
Selon des données compilées par le Canadian Institute for Health Information, les hospitalisations et les visites en chirurgie ambulatoires pour des mastectomies bilatérales demandées par des femmes se…

#genre#théorie du genre#woke#woke liberal madness#wokism#wokisme#lgbt#lgbtq#lgbtqiia+#lgbtqia#lobbying#lobby
6 notes
·
View notes
Photo

Mercredi 19 avril 2023
Le centre de réhabilitation « la Maison du soldat «à Erevan prodigue des traitements de pointe en soins hospitaliers ou ambulatoires à 300 anciens combattants, blessés et handicapés de toutes les guerres et conflits armés auxquels ont fait face l’Arménie et le Haut-Karabakh depuis trois décennies, soit plus de 9000 personnes à ce jour.
Serguei Hambar Dzumyana a été blessé une première fois en octobre 2020 en combattant dans la région de Djebrail. Il a souhaité retourner se battre, et peu de temps après, il a été blessé par un drone.
5 notes
·
View notes
Text
La convalescence après une augmentation mammaire est une période cruciale qui permet à votre corps de récupérer, à la cicatrisation de se faire et aux implants de bien s’intégrer. Bien que chaque patiente soit différente et que les protocoles puissent varier selon la technique utilisée (implants seuls, augmentation composite avec lipofilling, etc.), voici un développement complet des différentes phases et des recommandations pour optimiser votre récupération.
1. Phase Immédiate : Du Bloc Opératoire aux Premières Heures
a. Réveil et Surveillance Post-Anesthésie
Salle de réveil (post-anesthésie) : Immédiatement après l’intervention, vous êtes transférée en salle de réveil où une équipe médicale surveille vos signes vitaux (rythme cardiaque, tension artérielle, saturation en oxygène) pour s’assurer que vous émergez bien de l’anesthésie.
Gestion de la douleur et de l’inconfort : Des médicaments analgésiques et anti-inflammatoires vous sont administrés pour contrôler la douleur et atténuer l’enflure. Certains centres utilisent également des techniques de gestion de la douleur par voie intraveineuse pour assurer un confort optimal dès le réveil.
b. Hospitalisation ou Sortie le Jour Même
Hospitalisation courte : En fonction de la complexité de l’intervention, il est possible que vous passiez quelques heures à une nuit à l’hôpital pour une surveillance rapprochée.
Ambulatoire : Pour certaines techniques et selon votre état de santé, l’intervention peut se dérouler en ambulatoire, vous permettant ainsi de rentrer chez vous le jour même. Dans ce cas, des instructions détaillées pour le suivi à domicile vous seront données.
2. Les Premiers Jours à Domicile : Repos, Soins et Adaptation
a. Repos Absolu et Gestion de la Douleur
Repos et limitation des mouvements : Les 48 à 72 premières heures sont dédiées au repos complet. Il est important de limiter les mouvements brusques et d’éviter toute activité physique intense.
Médication régulière : Respectez scrupuleusement la prescription de votre chirurgien en termes de antalgiques et d’anti-inflammatoires. N’hésitez pas à utiliser des compresses froides (selon les recommandations) pour réduire l’enflure et atténuer la douleur.
b. Soins des Incisions et Hygiène
Entretien des points de suture et pansements : Suivez les instructions pour le soin de vos incisions. Il est généralement conseillé de garder la zone sèche et propre pendant les premiers jours, puis de procéder à des lavages doux avec un produit indiqué par votre médecin.
Observation des signes d’infection : Surveillez la présence de rougeurs, de chaleur, d’un écoulement anormal ou de fièvre. En cas de doute, contactez rapidement votre chirurgien pour une évaluation.
c. Port du Soutien-Gorge de Contention
Importance du vêtement compressif : Le port d’un soutien-gorge chirurgical ou de contention aide à stabiliser les implants, à limiter l’enflure et à favoriser une meilleure cicatrisation. La durée de port varie selon les recommandations, mais il est généralement conseillé de le porter en continu pendant plusieurs semaines, puis de manière intermittente pendant la période de stabilisation.
3. La Première Semaine : Ajustements et Retour Progressif à la Vie Quotidienne
a. Adaptation aux Activités Domestiques
Activités légères : Vous pouvez commencer à reprendre des activités quotidiennes légères comme la préparation des repas, la lecture ou de courtes promenades. Il est conseillé d’éviter toute charge lourde, le levage d’objets ou les mouvements brusques qui solliciteraient la région thoracique.
Conseils pour le sommeil : Pour réduire la pression sur la poitrine, il est recommandé de dormir sur le dos ou dans une position semi-inclinée. Certains chirurgiens préconisent l’utilisation de coussins pour soutenir la zone opérée pendant le sommeil.
b. Gestion de l’Inconfort et de l’Œdème
Suivi de l’enflure et des ecchymoses : Il est courant d’observer un gonflement et des ecchymoses qui s’estomperont progressivement. La patience est essentielle, car la réduction de l’œdème peut prendre plusieurs jours à quelques semaines.
Hydratation et alimentation : Une alimentation équilibrée et riche en protéines, vitamines et minéraux (notamment en vitamine C et zinc) favorise la cicatrisation. Veillez également à rester bien hydratée pour optimiser la récupération.
4. Au Fil des Semaines : Retour Progressif aux Activités
a. De la Deuxième à la Quatrième Semaine
Augmentation progressive des mouvements : Dès la deuxième semaine, vous pouvez progressivement augmenter la durée et l’intensité de vos activités, toujours en évitant les exercices qui sollicitent fortement la région pectorale (par exemple, les sports de contact ou la levée de poids).
Reprise du travail : La reprise du travail dépendra de la nature de votre emploi. Pour un travail de bureau, la reprise est souvent possible après 1 à 2 semaines. Pour un travail plus physique, le délai peut être plus long, selon les recommandations de votre chirurgien.
b. Suivi Postopératoire Régulier
Consultations de contrôle : Des rendez-vous réguliers avec votre chirurgien permettent de suivre l’évolution de la cicatrisation, d’ajuster le traitement médicamenteux si nécessaire, et de vérifier la bonne intégration des implants. Ces consultations permettent aussi de répondre à vos questions et d’adapter le suivi en fonction de votre ressenti.
Évolution du résultat esthétique : Les premiers résultats sont souvent visibles dès quelques semaines, mais le résultat définitif peut s’establir entre 3 à 6 mois, le temps que les œdèmes se résorbent complètement et que les tissus se stabilisent autour des implants.
5. Reprise des Activités Sportives et Vie Sociale
a. Activités Physiques et Sportives
Phase de réintroduction progressive : Les exercices légers, comme la marche ou le yoga doux, peuvent être repris dès la deuxième ou troisième semaine, en fonction de votre tolérance à la douleur et des recommandations de votre chirurgien.
Exercices plus intenses : Les sports sollicitant les muscles pectoraux (natation, musculation, sports de raquette) doivent être évités pendant environ 4 à 6 semaines. La reprise de ces activités doit se faire progressivement et sous avis médical pour éviter toute complication.
b. Vie Sociale et Retour à une Routine Active
Retour progressif aux sorties : La convalescence implique également une adaptation psychologique. Le retour à une vie sociale normale se fait progressivement, à mesure que vous vous sentez mieux physiquement et émotionnellement.
Adaptation à la nouvelle image : Pour certaines patientes, l’aspect psychologique de la transformation physique est important. Il est conseillé de prendre le temps de s’habituer à son nouveau corps et, si besoin, de discuter avec un professionnel pour mieux gérer les éventuels changements émotionnels.
6. Suivi à Long Terme et Conseils Pratiques
a. Surveillance Continue et Consultations de Suivi
Suivi à 3, 6 et 12 mois : Des rendez-vous de suivi réguliers permettent de s’assurer que les implants restent bien positionnés et que la cicatrisation est complète. Ces consultations offrent aussi l’opportunité de discuter de toute inquiétude ou de constater d’éventuels déséquilibres esthétiques qui pourraient nécessiter une intervention corrective.
Évaluation de la satisfaction globale : Au fur et à mesure que la convalescence progresse, discutez avec votre chirurgien des résultats obtenus pour vous assurer que vos attentes ont été satisfaites et pour aborder, le cas échéant, des ajustements futurs.
b. Conseils pour Optimiser la Récupération
Respectez le rythme de votre corps : La patience est essentielle. Chaque corps récupère à son propre rythme, et il est important de ne pas précipiter la reprise complète de vos activités.
Adoptez une hygiène de vie saine : Une bonne alimentation, une hydratation suffisante, et un repos adéquat favorisent une récupération optimale.
Écoutez votre corps : Si vous ressentez une douleur inhabituelle ou persistante, une fatigue extrême ou des signes d’infection, n’hésitez pas à contacter votre chirurgien immédiatement.
Suivi psychologique : La transformation esthétique peut entraîner des réactions émotionnelles diverses. En cas de doute ou de difficultés d’adaptation, il peut être utile de consulter un psychologue spécialisé dans le domaine de la chirurgie esthétique.
Conclusion
La convalescence après une augmentation mammaire est un processus en plusieurs étapes, allant de la phase immédiate post-opératoire jusqu’à la reprise progressive des activités physiques et sociales. En respectant les consignes de votre chirurgien et en adoptant une approche patiente et attentive à votre corps, vous maximiserez vos chances de bénéficier d’un résultat esthétique harmonieux et durable. Rappelez-vous que chaque convalescence est unique et qu’un suivi régulier avec votre équipe médicale est indispensable pour adapter les conseils à vos besoins spécifiques et garantir une récupération sans complications. Enfin, l’aspect psychologique ne doit pas être négligé : prendre soin de son bien-être mental est tout aussi important que la guérison physique pour s’adapter pleinement à sa nouvelle silhouette.
0 notes
Text
L’augmentation mammaire est une intervention populaire, mais les patientes ont souvent de nombreuses interrogations avant de se lancer. Voici les questions les plus fréquentes, avec des réponses précises pour vous guider dans votre démarche.
1️⃣ Est-ce que l’augmentation mammaire est faite pour moi ?
L’augmentation mammaire peut être envisagée si vous souhaitez : ✔️ Augmenter le volume de votre poitrine pour une silhouette plus harmonieuse. ✔️ Corriger une asymétrie mammaire. ✔️ Retrouver du galbe après une grossesse ou une perte de poids. ✔️ Reconstruire un sein après une mastectomie.
💡 À savoir : Une consultation avec votre chirurgien est essentielle pour déterminer la meilleure technique adaptée à votre morphologie et à vos attentes.
2️⃣ Dois-je choisir des implants ou un lipofilling mammaire ?
Il existe deux principales techniques pour une augmentation mammaire :
📌 Avec implants mammaires : ✔️ Permet d’obtenir un volume plus important. ✔️ Large choix de formes (rondes ou anatomiques) et de tailles. ✔️ Résultats immédiats et prévisibles.
📌 Par lipofilling mammaire (injection de graisse autologue) : ✔️ Résultat plus naturel, sans corps étranger. ✔️ Convient si vous souhaitez une augmentation modérée. ✔️ Permet de traiter les excès de graisse par liposuccion en même temps.
💡 Comparaison : 🔹 Implants = Volume plus important, résultats durables. 🔹 Lipofilling = Volume plus discret, aspect très naturel.
👉 Certaines patientes choisissent une combinaison des deux techniques pour un rendu encore plus naturel.
3️⃣ Comment choisir la taille et la forme des implants ?
Le choix des implants se fait en fonction de votre morphologie et de vos attentes.
✔️ Le volume (cc - centimètres cubes) : Plus il est élevé, plus les seins sont volumineux. ✔️ La projection : Un implant peut être peu, modérément ou fortement projeté. ✔️ La forme : 🔹 Implants ronds → Effet plus bombé et galbé. 🔹 Implants anatomiques → Forme en goutte d’eau pour un rendu plus naturel.
💡 Conseil : Lors de la consultation, votre chirurgien vous fera essayer différentes tailles avec un soutien-gorge test ou une simulation 3D.
4️⃣ Où seront placés les implants ?
Il existe deux positions principales pour la pose des prothèses :
📌 Sous la glande mammaire (pré-musculaire) ✔️ Récupération plus rapide. ✔️ Convient aux patientes avec suffisamment de tissu mammaire.
📌 Sous le muscle pectoral (rétro-musculaire) ✔️ Résultat plus naturel pour les patientes minces. ✔️ Moins de risque de "vagues" visibles sur la peau.
💡 Le choix dépend de votre anatomie et du rendu souhaité.
5️⃣ L’opération est-elle douloureuse ?
📌 La douleur varie selon la technique utilisée et la tolérance de chaque patiente.
✔️ Si les implants sont placés sous le muscle, la douleur est plus marquée les premiers jours (sensation de courbatures intenses). ✔️ Si les implants sont placés sous la glande, la douleur est généralement plus légère.
💡 Gestion de la douleur : Des antalgiques sont prescrits et la douleur diminue en quelques jours.
6️⃣ Quelle est la durée de l’intervention et combien de temps dure la convalescence ?
⏳ Durée de l’intervention : 1h30 à 2h sous anesthésie générale. 🏥 Hospitalisation : Ambulatoire ou une nuit à la clinique. 🩹 Retour aux activités normales : ✔️ 3 à 5 jours après l’intervention pour des activités légères. ✔️ 4 à 6 semaines avant de reprendre le sport et les efforts physiques. ✔️ Port d’un soutien-gorge de contention pendant 6 semaines.
7️⃣ Y aura-t-il des cicatrices visibles ?
Les cicatrices dépendent de l’emplacement de l’incision :
✔️ Sous le sein (voie sous-mammaire) → La plus courante, cicatrice cachée dans le pli sous-mammaire. ✔️ Autour de l’aréole (voie péri-aréolaire) → Discrète, mais ne convient pas à toutes les patientes. ✔️ Sous l’aisselle (voie axillaire) → Pas de cicatrice sur le sein, mais moins utilisée.
💡 La cicatrisation évolue sur plusieurs mois et devient de moins en moins visible avec le temps.
8️⃣ Combien de temps durent les implants mammaires ?
Contrairement aux idées reçues, les implants mammaires ne sont pas à changer systématiquement tous les 10 ans.
📌 Ils doivent être remplacés uniquement en cas de complications (coque, rupture, inconfort, changement souhaité du volume). 📌 Les implants modernes ont une durée de vie moyenne de 15 à 20 ans voire plus. 📌 Un suivi annuel est recommandé pour vérifier l’état des prothèses.
9️⃣ Quels sont les risques et complications possibles ?
Comme toute chirurgie, l’augmentation mammaire comporte certains risques : ⚠️ Hématome ou infection (rare). ⚠️ Coque (rétraction de la capsule autour de l’implant). ⚠️ Asymétrie mammaire. ⚠️ Rupture de l’implant (rare avec les implants modernes).
💡 Choisir un chirurgien expérimenté et bien suivre les recommandations post-opératoires permet de réduire considérablement ces risques.
🔟 Est-ce que les seins auront un aspect naturel ?
✅ Oui, si la taille des implants est bien choisie et adaptée à votre morphologie. ✅ Les seins deviennent plus souples au bout de quelques mois. ✅ Les mouvements restent naturels, surtout si l’implant est placé sous le muscle.
💡 Un bon chirurgien privilégiera toujours une augmentation harmonieuse plutôt qu’un volume excessif.
1️⃣1️⃣ L’augmentation mammaire empêche-t-elle l’allaitement ?
📌 Non, dans la majorité des cas, l’allaitement reste possible. 📌 La pose de l’implant sous la glande ou sous le muscle n’endommage pas les canaux lactifères. 📌 Si l’incision est faite autour de l’aréole, il y a un léger risque de réduction de la sensibilité et d’impact sur l’allaitement.
💡 Si vous prévoyez d’avoir un enfant après l’opération, discutez-en avec votre chirurgien.
1️⃣2️⃣ Quel est le coût d’une augmentation mammaire ?
💰 Le prix varie selon plusieurs facteurs : ✔️ Type d’implants utilisés. ✔️ Technique chirurgicale. ✔️ Frais de clinique et honoraires du chirurgien.
📌 En Suisse et en France, les prix sont généralement compris entre 5 500 et 8 000 €. 📌 La Sécurité Sociale ne prend en charge l’opération que dans le cadre d’une reconstruction mammaire.
📍 Prête à franchir le pas ?
L’augmentation mammaire est une décision personnelle et réfléchie. Pour obtenir un avis expert et une prise en charge adaptée, consultez un chirurgien qualifié qui saura vous guider et répondre à toutes vos questions.
💌 Prenez rendez-vous avec le Docteur [Nom] dès aujourd’hui !
0 notes
Text

Géraldine Grangier, Députée Rassemblement National de la 4ème circonscription du Doubs, communique : "Face à la mobilisation des internes en médecine, qui ont manifesté leur colère à Paris ce mercredi 29 janvier 2025, je me suis engagée pleinement pour porter leurs revendications auprès du gouvernement. Dès la veille de la grève, lors des questions orales à l’Assemblée nationale, j'ai interpellé le Ministre de la Santé sur l’urgence d’agir pour répondre aux alertes répétées des internes. Ces derniers dénoncent des conditions de travail écrasantes, une réforme mal préparée et un système de formation inadapté, menaçant autant leur santé mentale que l’attractivité de la profession médicale. "Combien de temps encore le Ministère de la Santé ignorera-t-il les jeunes médecins qui, dans des conditions de travail et de formation insoutenables, maintiennent à bout de bras notre système de soins ?", ai-je déclaré au cours de mon intervention. Avec 68 % des internes souffrant de symptômes d’anxiété et 45 % de dépression, selon les enquêtes syndicales, la crise est profonde. Les causes de ce mal-être sont nombreuses : horaires excessifs et surcharge administrative ; manque de supervision et absence de soutien psychologique ; une réforme de la 10ème année de médecine générale, imposée sans concertation via le 49.3, et devenue aujourd’hui inapplicable. J'ai souligné les points particulièrement préoccupants de cette réforme prévue pour novembre 2026 : 1. l’absence de décrets d’application, laissant les internes et les maîtres de stage universitaires (MSU) dans une totale incertitude. 2. le manque criant de MSU, nécessaires pour encadrer les docteurs juniors en ambulatoire. 3. l’insuffisance des locaux, rendant impossible une formation de qualité dans les cabinets de ville et les structures de proximité. Des revendications légitimes pour sauver la médecine de demain. Les internes en médecine, soutenus par leurs syndicats, demandent des mesures concrètes et immédiates, parmi lesquelles : le report de la réforme, pour garantir une préparation rigoureuse et concertée ; la création d’un statut de docteur junior ambulatoire, assurant une transition stable vers l’exercice médical en ville ; un plan de recrutement et de formation des MSU, à la hauteur des besoins ; la mise en place de locaux adaptés, pour accueillir dignement les internes en ambulatoire. À l’issue de la manifestation, j'ai reçu une délégation d’internes au sein de l’Assemblée nationale, accompagnée de plusieurs collègues députés. Ce moment d’échange a permis d’écouter leurs préoccupations et de leur donner un relais direct auprès des instances décisionnelles. Cette réforme, dans son état actuel, est inapplicable et dangereuse. Elle menace la qualité de la formation des futurs médecins et aggravera la désertification médicale dans nos territoires. Je m’engage à défendre une réforme juste, préparée et respectueuse de la réalité du terrain? Lors de mon intervention parlementaire, j'ai également mis en lumière une nomination controversée : celle de Guillaume Bailly, non spécialiste en médecine générale, à la tête de la commission de pilotage de la 4ème année de médecine générale. Cette décision inquiète les internes et soulève des doutes sur la capacité du gouvernement à mener cette réforme dans l’intérêt des professionnels de santé et des patients. J'ai réitéré mon appel à une prise de responsabilité immédiate de la part du gouvernement pour garantir : une meilleure santé mentale des internes ; une formation médicale solide et équitable ; une lutte réelle contre les déserts médicaux, au bénéfice de tous les Français". Read the full article
0 notes
Text
Spiders ‘smell’ with their legs – new research
See on Scoop.it - EntomoNews
As spiders do not have antennae as insects, it’s long been a mystery how they can smell.
------
NDÉ
Traduction
Les araignées ont toujours vécu aux côtés de l'homme. Il est donc surprenant de constater tout ce que nous ignorons encore à leur sujet. L'un des mystères les plus anciens concerne la manière dont les araignées détectent les odeurs. Aujourd'hui, nos dernières recherches ont enfin percé le secret.
Dans une étude publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, nous avons démontré que les araignées mâles utilisent des poils olfactifs appelés sensilles à pores ("wall-pores sensilla" en anglais) sur leurs pattes comme un « nez » pour détecter les phéromones sexuelles émises par les araignées femelles.
Notre découverte met fin à une décennie de recherche de ces sensilles insaisissables, qui ont maintenant été identifiées et cartographiées. Elle ouvre également la voie à des études approfondies sur le mécanisme qui sous-tend l'olfaction des araignées.
Bien que les araignées - qui évoluent depuis environ 400 millions d'années - soient réputées pour leur sens des vibrations et certaines, comme les araignées sauteuses, pour leur excellente vision, on sait étonnamment peu de choses sur leur sens de l'odorat. De nombreux éléments ont montré que les araignées peuvent détecter des odeurs telles que les phéromones sexuelles, mais deux grandes questions étaient restées sans réponse.
Premièrement, les araignées n'ayant pas d'antennes comme les insectes, quel était leur principal organe olfactif ? Deuxièmement, des études antérieures avaient suggéré que les araignées n'avaient pas de sensilles, ces structures spécialisées comme celles sur lesquelles les insectes s'appuient pour sentir. Sans ces sensilles, comment les araignées pouvaient-elles détecter les odeurs ?
Notre étude a permis de résoudre ces questions sans réponse. Nous avons découvert des sensilles multi-pores sur les pattes ambulatoires des argiopes-frelons mâles (Argiope bruennichi) et démontré qu'elles peuvent les utiliser pour détecter les phéromones sexuelles en suspension dans l'air avec une grande sensibilité.
Nous avons montré que ces sensilles à multiples pores latéraux ne sont pas propres aux argiopes-frelons, mais qu'elles sont répandues dans tout l'arbre taxonomique des araignées.
Traduit d'après DeepL et ChatGPT
------
L'étude
Olfaction with legs—Spiders use wall-pore sensilla for pheromone detection | PNAS, 06.01.2025 https://www.pnas.org/doi/full/10.1073/pnas.2415468121
Image : Semischematic (A–C) and schematic (D) reconstruction of a wall-pore sensillum on a walking leg of an A. bruennichi male and of a wp-sensillum of an insect (E).
(A) Overview of cellular anatomy in longitudinal view. Sensilla are innervated by 1 to 4 (here 3) receptor cells. Mind that the distal processes of the accessory sheath cells are not depicted in (A) but in (B) and (C).
(B) Cross-section through the mid-region of the sensillum shaft showing numerous wall pores. The shaft wall cuticle is perforated, giving it a double-walled appearance.
(C) Cross-section through the basal region of the sensillum shaft which lacks wall pores. Section levels for (B) and (C) are indicated by lines in A.
(D) Schematic representation of a wp-sensillum featuring the most important similarities and differences compared with (E) insect wp-sensilla.
(E) Representative wall-pore sensillum of insects adopted from Wehner & Gehring: Zoology, Thieme 2013.
Labels: asc accessory sheath cells, cu leg cuticle, de dendritic processes, ds dendritic sheath, ecm extracellular matrix, epc epidermal cell, gc glial cell, isc inner (glandular) sheath cell, isl inner sensillum lymph space, lca longitudinal shaft wall canals, msc median sheath cell, osc outer sheath cell, osl outer sensillum lymph space, pasc digitiform distal processes of accessory sheath cells, rc chemoreceptive cell, sca spoke canals, so socket, swc shaft wall cuticle, wp wall pores.
0 notes
Link
0 notes
Text






Avec Christine, on a fêté nos 40 ans d'amitié en faisant un voyage de 15 jours en Sicile. Nous voici maintenant à Piazza Armerina, à l'intérieur des terres.
Non loin, la Villa del Casale (bâtie fin IIIe s. apr. J-C.) aux mosaïques romaines grandioses (3500m² de surface !!).
L'extraordinaire ambulatoire de la Grande Chasse : des animaux exotiques (ici un oryx, un rhinocéros, un taureau furieux, une panthère chassant un dromadaire....) sont acheminés en carriole, embarqués sur des galères puis débarqués pour les Jeux du Cirque à Rome. Le personnage central sur la 1ère photo a des airs de....maffioso (désolé !). Quant aux postures de ceux tirant le taureau par ses cornes jusqu'à la galère, elles sont finement restituées.
Cette mosaïque fait 60 mètres de long !
#sicile#italie#piazza armerina#villa del casale#mosaïque#archéologie#rome antique#dromadaire#chameau#taureau#panthère#léopard#oryx#antilope
5 notes
·
View notes
Text
La convalescence après une liposuccion est une période qui nécessite attention, patience et suivi rigoureux des recommandations médicales pour garantir une guérison optimale et des résultats esthétiques satisfaisants. Voici un guide détaillé étape par étape pour comprendre ce processus :
Immédiatement après l’intervention
1. Retour à la maison
Type d’intervention : La liposuccion est réalisée en ambulatoire dans la plupart des cas, sauf pour des liposuccions étendues nécessitant une surveillance hospitalière.
Accompagnement nécessaire : En raison des effets de l’anesthésie (locale ou générale), il est impératif d’être accompagné par un proche pour rentrer chez soi en toute sécurité.
2. Port de vêtements compressifs
Importance : Ces vêtements sont conçus pour :
Réduire le gonflement (œdème).
Faciliter la rétractation de la peau.
Maintenir les tissus dans leur nouvelle position.
Durée de port : Généralement 4 à 6 semaines, en continu pendant les deux premières semaines, puis selon les recommandations du chirurgien.
3. Apparition de symptômes normaux
Gonflement : Le corps réagit à la procédure en accumulant des liquides dans la zone traitée. Ce gonflement peut durer plusieurs semaines.
Ecchymoses : Des bleus peuvent apparaître sur les zones liposucées. Ils s’estompent généralement après 2 à 4 semaines.
Engourdissement : Une sensation de perte de sensibilité dans la zone traitée peut survenir et persister plusieurs mois avant de disparaître.
4. Gestion de la douleur
Niveau de douleur : La douleur est habituellement modérée, comparable à des courbatures. Des analgésiques sont souvent prescrits pour la soulager.
Sensation de tiraillement : Certains patients ressentent une tension due au processus de guérison des tissus.
Première semaine post-opératoire
1. Repos modéré
Il est conseillé de se reposer les premiers jours, mais pas d’immobilité complète.
Marches légères : Dès le lendemain de l’intervention, des déplacements doux sont recommandés pour prévenir les caillots sanguins et améliorer la circulation.
2. Surveillance des incisions
Nettoyage : Les petites incisions réalisées pour insérer les canules doivent être maintenues propres et sèches.
Changement des pansements : Suivez les recommandations du chirurgien pour éviter les infections.
Fermeture des incisions : Les points ou bandes de suture se résorbent ou sont retirés lors d’une consultation ultérieure.
3. Suivi médical
Un rendez-vous est souvent prévu pour vérifier l’évolution de la cicatrisation et ajuster les soins ou recommandations si nécessaire.
Deuxième à quatrième semaine post-opératoire
1. Réduction progressive des symptômes
Le gonflement commence à diminuer significativement, bien qu'il puisse persister un léger œdème, surtout en fin de journée.
Les ecchymoses s'estompent, laissant place à une coloration normale de la peau.
2. Reprise des activités légères
Les activités quotidiennes peuvent être reprises dès la deuxième semaine si elles ne nécessitent pas d’effort physique intense.
Travail de bureau : Reprise possible après 1 semaine dans la majorité des cas.
3. Ajustement des vêtements compressifs
À partir de la troisième semaine, il peut être conseillé de porter la gaine seulement le jour ou la nuit, selon l’évolution.
Un mois et plus après l’intervention
1. Reprise des activités physiques
Les activités physiques légères (yoga, marche rapide) peuvent être intégrées après 4 semaines.
Sport intense : Il est recommandé d’attendre 6 semaines ou plus, selon les indications du chirurgien.
2. Résultats visibles
Les contours du corps commencent à se définir davantage à mesure que le gonflement diminue.
Résultats finaux : Ils apparaissent généralement entre 3 et 6 mois, lorsque l’œdème résiduel disparaît complètement.
3. Amélioration de la cicatrisation
Les petites cicatrices laissées par les incisions s’atténuent progressivement. Des crèmes cicatrisantes ou des traitements au laser peuvent être proposés pour optimiser leur apparence.
Conseils pratiques pour une récupération optimale
1. Alimentation et hydratation
Riche en protéines : Favorise la réparation des tissus.
Évitez le sel : Réduit la rétention d’eau et l’œdème.
Hydratation constante : Accélère le processus de récupération.
2. Suivi des recommandations médicales
Visites de suivi régulières : Elles permettent au chirurgien de surveiller la guérison et de prévenir d’éventuelles complications.
Respect des consignes : Ne pas retirer le vêtement compressif trop tôt ou reprendre des activités physiques avant le délai recommandé.
3. Pratiques spécifiques
Massages lymphatiques : Recommandés dans certains cas pour réduire l’enflure et favoriser la circulation sanguine.
Évitez le tabac et l’alcool : Ces substances ralentissent la guérison et augmentent le risque de complications.
Risques et complications possibles
Bien que rares, voici ce à quoi il faut prêter attention :
Infections : Rougeur, écoulement anormal ou fièvre.
Asymétries : Des imperfections mineures peuvent apparaître mais sont souvent corrigées lors de la cicatrisation finale.
Thrombose : Rare mais grave, elle se manifeste par des douleurs dans les jambes ou une sensation de lourdeur.
Conclusion
La convalescence après une liposuccion est une période essentielle pour garantir le succès de l’opération. En suivant attentivement les recommandations du chirurgien et en adoptant un mode de vie sain, vous maximiserez vos chances d’obtenir les résultats souhaités tout en minimisant les complications. Patience et rigueur sont vos meilleurs alliés pendant cette phase !
0 notes
Text
La convalescence après une liposuccion est une étape cruciale pour assurer une guérison optimale et des résultats satisfaisants. Voici ce à quoi vous pouvez vous attendre, ainsi que les étapes et les conseils pour une récupération réussie :
Immédiatement après l’intervention
Retour à la maison :
La liposuccion est souvent réalisée en ambulatoire, vous pourrez rentrer chez vous le jour même.
Une personne devra vous accompagner en raison des effets résiduels de l’anesthésie.
Port d’une gaine de contention :
Un vêtement compressif est généralement prescrit pour réduire le gonflement, favoriser la rétractation de la peau et maintenir les tissus en place.
Il doit être porté en continu pendant les premières semaines.
Gonflements et ecchymoses :
Un œdème (gonflement) est normal et peut durer plusieurs semaines.
Les ecchymoses autour de la zone traitée disparaissent généralement en 2 à 4 semaines.
Première semaine
Repos modéré :
Le repos est essentiel, mais il est conseillé de marcher doucement pour stimuler la circulation sanguine et éviter les caillots.
Gestion de la douleur :
Des analgésiques peuvent être prescrits pour gérer l'inconfort. La douleur est généralement légère à modérée.
Soins des incisions :
Les petites incisions utilisées pour insérer les canules doivent rester propres et sèches.
Des pansements seront changés régulièrement selon les instructions du chirurgien.
Gonflements persistants :
Bien que les résultats commencent à apparaître, le gonflement peut cacher les contours finaux.
Deuxième à quatrième semaine
Reprise des activités légères :
Vous pourrez reprendre des activités légères après 7 à 10 jours.
Les mouvements brusques ou les efforts physiques intenses sont encore à éviter.
Port continu de la gaine :
La gaine de contention doit être portée selon les recommandations (généralement 4 à 6 semaines), parfois seulement le jour ou la nuit à partir de la deuxième semaine.
Réduction du gonflement :
À ce stade, la majeure partie de l'œdème commence à se résorber, révélant progressivement les résultats.
Après un mois et plus
Reprise du sport :
Les activités sportives intensives peuvent être reprises après 4 à 6 semaines, avec l’accord du chirurgien.
Résultats visibles :
Les contours du corps deviennent plus nets, mais il faut généralement attendre 3 à 6 mois pour voir les résultats définitifs.
Cicatrisation :
Les petites cicatrices s’estompent progressivement et deviennent souvent invisibles avec le temps.
Conseils pour optimiser la récupération
Hydratation : Buvez beaucoup d’eau pour favoriser la récupération.
Alimentation équilibrée : Une alimentation riche en protéines et en nutriments essentiels soutient le processus de guérison.
Massage lymphatique : Dans certains cas, des massages drainants peuvent être recommandés pour réduire l'œdème et améliorer la circulation.
Évitez le tabac et l’alcool : Ces substances ralentissent la guérison.
Suivez les instructions du chirurgien : Respectez toutes les recommandations post-opératoires pour éviter les complications.
Risques et signes à surveiller
Infection : Rougeur, fièvre ou douleur inhabituelle autour des incisions.
Saignements : Des saignements persistants ou abondants nécessitent une consultation immédiate.
Gonflement extrême ou asymétrie marquée : Signalez tout changement inquiétant à votre chirurgien.
Conclusion
La convalescence après une liposuccion demande de la patience, mais avec des soins appropriés et un suivi rigoureux, les résultats finaux offrent un contour du corps amélioré et harmonieux. Suivre les conseils de votre chirurgien est la clé d’une récupération rapide et réussie.
0 notes
Text
20 novembre 2023/partie.3: Du coup j’avais rdv en fin de journée avec une infirmière pour qu’elle me place tout le matériel afin de passer l’examen de polysomnographie. Cela peut se faire soit en milieu hospitalier, soit en ambulatoire. Dans mon cas c’est donc à domicile. Mon père m’a accompagné et récupéré en voiture car autrement ça aurait été galère en transport avec tous ces câbles. C’est bizarre mais à un moment les électrodes sur mon torse et mon dos chauffait beaucoup, sensation étrange.. normalement avec mon pacemaker il n’y a pas de problème mais je me demande si ça a un quelconque effet. Bref suite dans la prochaine publication pour mieux vous expliquer tout ça!





7 notes
·
View notes
Text
La greffe de cheveux est une technique de chirurgie esthétique qui consiste à transplanter des follicules pileux dans les zones dégarnies du cuir chevelu pour redonner densité et volume aux cheveux. C’est une solution durable pour les personnes touchées par la calvitie, la perte de cheveux due au vieillissement ou certaines maladies. Ce guide détaillé présente les indications, les techniques de greffe, le déroulement de l’intervention, la convalescence, les résultats et les précautions à prendre.
1. Qu’est-ce que la Greffe de Cheveux ?
La greffe de cheveux est une intervention chirurgicale qui consiste à transférer des follicules pileux d’une zone donneuse (souvent à l’arrière ou sur les côtés de la tête, où les cheveux sont naturellement résistants à la calvitie) vers une zone receveuse, qui présente une faible densité capillaire ou une perte de cheveux.
Objectifs : Redonner de la densité, redessiner la ligne capillaire, combler des zones dégarnies et restaurer une chevelure naturelle.
Indications : Cette intervention est adaptée aux hommes et aux femmes souffrant de calvitie androgénétique (alopécie), de perte de cheveux localisée ou de cicatrices alopéciques.
2. Techniques de Greffe de Cheveux
Il existe principalement deux techniques de greffe de cheveux, la FUE (Follicular Unit Extraction) et la FUT (Follicular Unit Transplantation), chacune ayant des avantages et des spécificités. Une troisième technique, DHI (Direct Hair Implantation), est également de plus en plus populaire.
2.1. Technique FUE (Follicular Unit Extraction)
La technique FUE consiste à extraire individuellement les follicules pileux de la zone donneuse à l’aide d’un micro-punch, puis à les transplanter dans la zone receveuse.
Avantages : Moins invasive, ne laisse pas de cicatrice linéaire visible, idéale pour les petites zones de greffe et permet une récupération plus rapide.
Inconvénients : Elle peut être plus longue à réaliser, car chaque follicule est prélevé individuellement.
2.2. Technique FUT (Follicular Unit Transplantation)
Également appelée technique de la bandelette, la FUT consiste à prélever une bande de cuir chevelu de la zone donneuse, à découper cette bande en unités folliculaires, puis à les implanter dans la zone dégarnie.
Avantages : Permet de prélever plus de greffons en une seule séance, adaptée pour les grandes zones dégarnies.
Inconvénients : Laisse une cicatrice linéaire à l’arrière de la tête, nécessite un temps de récupération plus long et n'est pas recommandée pour les personnes souhaitant garder les cheveux très courts.
2.3. Technique DHI (Direct Hair Implantation)
La technique DHI est une variation de la FUE. Elle utilise un stylet spécial (appelé implanteur Choi) pour extraire et implanter les follicules directement, sans phase de préparation.
Avantages : Meilleur contrôle de l’angle et de la profondeur de l’implantation, idéal pour des résultats précis.
Inconvénients : Peut être plus coûteuse et demande une expertise particulière.
3. Consultation Préliminaire et Planification
La consultation avec le chirurgien capillaire est une étape cruciale avant l’intervention, permettant de déterminer le plan de traitement personnalisé.
Analyse du Cuir Chevelu : Le spécialiste examine la densité capillaire de la zone donneuse, l’ampleur de la calvitie, et évalue la qualité des cheveux.
Détermination du Nombre de Greffons : Le chirurgien estime le nombre de greffons nécessaires en fonction des zones à traiter, de la densité souhaitée et du type de chevelure.
Prise en Compte des Attentes du Patient : Le chirurgien discute avec le patient des résultats souhaités, en ajustant les attentes aux réalités de la greffe.
4. Déroulement de l’Intervention
La greffe de cheveux est une procédure ambulatoire, réalisée sous anesthésie locale, ce qui permet au patient de rester éveillé durant l’intervention.
Étapes de la Greffe de Cheveux
Anesthésie Locale : Le chirurgien applique une anesthésie locale sur les zones donneuse et receveuse pour éviter toute douleur.
Préparation et Extraction des Greffons :
FUE : Les follicules sont extraits un par un à l’aide d’un micro-punch.
FUT : Une bandelette est prélevée, puis découpée en unités folliculaires sous microscope.
Préparation de la Zone Receveuse : Le chirurgien crée de minuscules incisions dans la zone receveuse en déterminant l’angle, la densité et l’orientation des implants pour un résultat naturel.
Implantation des Greffons : Les follicules sont insérés dans les incisions. La technique DHI permet de le faire directement sans incision préalable.
Durée de l’Intervention
L’intervention dure généralement entre 4 et 8 heures, selon le nombre de greffons. Le patient peut faire des pauses durant la procédure.
5. Convalescence et Soins Postopératoires
La période de convalescence après une greffe de cheveux est relativement courte, mais elle nécessite des précautions spécifiques pour assurer une bonne cicatrisation et favoriser la prise des greffons.
Soins Immédiats
Repos et Protection : Il est conseillé d’éviter tout frottement ou choc sur la zone greffée durant les premiers jours.
Éviter l’Exposition au Soleil et aux Chaleurs Intenses : Il est important de protéger le cuir chevelu de l’exposition directe au soleil et de ne pas utiliser de sauna ou de hammam pendant les premières semaines.
Pas de Lavage Immédiat : La zone greffée ne doit pas être lavée durant les 48 premières heures. Ensuite, un shampoing doux est recommandé selon les instructions du chirurgien.
Reprise des Activités
Activités Quotidiennes : La plupart des patients peuvent reprendre des activités légères dès 3 à 5 jours après l’intervention.
Exercice Physique Intense : Il est recommandé d’éviter les activités sportives et les efforts physiques intenses pendant 2 à 3 semaines pour éviter les risques de saignement ou de déplacement des greffons.
6. Résultats et Durabilité de la Greffe de Cheveux
Les résultats d’une greffe de cheveux apparaissent progressivement. La patience est essentielle, car le processus de repousse suit plusieurs étapes.
Chronologie des Résultats
Chute des Cheveux Greffés : Les cheveux greffés tombent souvent dans les 2 à 4 semaines suivant la greffe. Cela est normal et précède la repousse des nouveaux cheveux.
Repousse des Cheveux : Les nouveaux cheveux commencent à repousser à partir du troisième mois. Ils sont d’abord fins, mais s’épaississent progressivement.
Résultat Final : Le résultat final est visible entre 12 et 18 mois après l’intervention, lorsque les cheveux ont atteint leur pleine densité et longueur.
Durabilité
Résultats Permanents : Les cheveux greffés sont issus de la zone donneuse, naturellement résistante à la chute, ce qui garantit une durabilité à long terme.
Entretien des Cheveux Greffés : Une fois la greffe cicatrisée, les cheveux peuvent être traités normalement. Les produits de soins capillaires et les coiffures sont sans impact sur le succès de la greffe.
7. Risques et Effets Secondaires
Bien que la greffe de cheveux soit une intervention sécurisée, elle peut comporter certains risques et effets secondaires.
Infections et Inflammations : Bien que rares, des infections ou une folliculite (inflammation des follicules) peuvent survenir. Elles sont généralement traitées par des antibiotiques ou des soins antiseptiques.
Hématomes et Gonflements : Un gonflement temporaire autour du front et des yeux peut apparaître après l’intervention, mais disparaît en quelques jours.
Sensations de Picotements ou D’engourdissement : Certaines patients ressentent une perte de sensibilité temporaire ou des picotements, qui disparaissent en quelques semaines.
8. Précautions et Conseils pour un Résultat Optimal
Suivre les Instructions du Chirurgien : Le respect des recommandations postopératoires est essentiel pour une cicatrisation rapide et la réussite de la greffe.
Éviter le Tabac et l’Alcool : Il est conseillé d’éviter la consommation de tabac et d’alcool avant et après l’intervention, car ils peuvent ralentir la cicatrisation et la prise des greffons.
Consulter en Cas de Doute : Si le patient constate des douleurs inhabituelles, des saignements ou des rougeurs persistantes, il doit consulter son médecin.
Conclusion
La greffe de cheveux est une solution efficace et durable pour les personnes souffrant de perte de cheveux. Grâce aux avancées des techniques modernes, comme la FUE et le DHI, cette intervention est peu invasive et offre des résultats esthétiques naturels et permanents. Une bonne préparation, un suivi postopératoire rigoureux et le respect des recommandations du chirurgien permettent de maximiser la réussite de la greffe et d’obtenir une chevelure dense et naturelle.
0 notes