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#Agnès Hardy
odnagnisul · 2 years
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100 livres à avoir lu dans sa vie (entre autres):
1984, George Orwell ✅
A la croisée des mondes, Philip Pullman
Agnès Grey, Agnès Bronte ✅
Alice au Pays des merveilles, Lewis Carroll ✅
Angélique marquise des anges, Anne Golon
Anna Karenine, Léon Tolstoï
A Rebours, Joris-Karl Huysmans
Au bonheur des dames, Émile Zola
Avec vue sur l'Arno, E.M Forster
Autant en emporte le vent, Margaret Mitchell
Barry Lyndon, William Makepeace Thackeray
Belle du Seigneur, Albert Cohen
Blonde, Joyce Carol Oates
Bonjour tristesse, Françoise Sagan ✅
Cent ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez
Charlie et la chocolaterie, Roald Dahl ✅
Chéri, Colette
Crime et Châtiment, Féodor Dostoïevski
De grandes espérances, Charles Dickens
Des fleurs pour Algernon, Daniel Keyes
Des souris et des hommes, John Steinbeck ✅
Dix petits nègres, Agatha Christie ✅
Docteur Jekyll et Mister Hyde, Robert Louis Stevenson ✅
Don Quichotte, Miguel Cervantés
Dracula, Bram Stocker ✅
Du côté de chez Swann, Marcel Proust
Dune, Frank Herbert ✅
Fahrenheit 451, Ray Bradbury ✅
Fondation, Isaac Asimov
Frankenstein, Mary Shelley ✅
Gatsby le magnifique, Francis Scott Fitzgerald ✅
Harry Potter à l'école des sorciers, J.K Rowling
Home, Toni Morrison
Jane Eyre, Charlotte Bronte
Kafka sur le rivage, Haruki Murakami
L'adieu aux armes, Ernest Hemingway ✅
L'affaire Jane Eyre, Jasper Fforde
L'appel de la forêt, Jack London ✅
L'attrape-cœur, J. D. Salinger ✅
L'écume des jours, Boris Vian
L'étranger, Albert Camus ✅
L'insoutenable légèreté de l'être, Milan Kundera
La condition humaine, André Malraux
La dame aux camélias, Alexandre Dumas Fils
La dame en blanc, Wilkie Collins
La gloire de mon père, Marcel Pagnol
La ligne verte, Stephen King ✅
La nuit des temps, René Barjavel
La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette ✅
La Route, Cormac McCarthy ✅
Le chien des Baskerville, Arthur Conan Doyle
Le cœur cousu, Carole Martinez
Le comte de Monte-Cristo, Alexandre Dumas : tome 1 et 2
Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo ✅
Le fantôme de l'opéra, Gaston Leroux
Le lièvre de Vaatanen, Arto Paasilinna
Le maître et Marguerite, Mikhaïl Boulgakov
Le meilleur des mondes, Aldous Huxley
Le nom de la rose, Umberto Eco
Le parfum, Patrick Süskind
Le portrait de Dorian Gray, Oscar Wilde ✅
Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupery ✅
Le père Goriot, Honoré de Balzac ✅
Le prophète, Khalil Gibran ✅
Le rapport de Brodeck, Philippe Claudel
Le rouge et le noir, Stendhal ✅
Le Seigneur des anneaux, J.R Tolkien ✅
Le temps de l'innocence, Edith Wharton
Le vieux qui lisait des romans d'amour, Luis Sepulveda ✅
Les Chroniques de Narnia, CS Lewis
Les Hauts de Hurle-Vent, Emily Brontë
Les liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos ✅
Les Malaussène, Daniel Pennac ✅
Les mémoires d'une jeune fille rangée, Simone de
Beauvoir
Les mystères d'Udolfo, Ann Radcliff
Les piliers de la Terre, Ken Follett : tome 1
Les quatre filles du Docteur March, Louisa May
Alcott
Les racines du ciel, Romain Gary
Lettre d'une inconnue, Stefan Zweig ✅
Madame Bovary, Gustave Flaubert ✅
Millenium, Larson Stieg ✅
Miss Charity, Marie-Aude Murail
Mrs Dalloway, Virginia Woolf
Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, Harper Lee ✅
Nord et Sud, Elisabeth Gaskell
Orgueil et Préjugés, Jane Austen
Pastorale américaine, Philip Roth
Peter Pan, James Matthew Barrie
Pilgrim, Timothy Findley
Rebecca, Daphne Du Maurier
Robinson Crusoé, Daniel Defoe ✅
Rouge Brésil, Jean Christophe Ruffin
Sa majesté des mouches, William Goldwin ✅
Tess d'Uberville, Thomas Hardy
Tous les matins du monde, Pascal Quignard
Un roi sans divertissement, Jean Giono
Une prière pour Owen, John Irving
Une Vie, Guy de Maupassant
Vent d'est, vent d'ouest, Pearl Buck
Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline ✅
Total : 37/100
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lonesomemao · 10 months
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DESIR CHINOIS
Agnès Varda
Grande dame du cinéma français
Grâce à elle
Le sombre et le clair
S'épousent dans une lumière nouvelle
Qui n'est ni l'enfer ni le paradis
Hardie elle dit
Mercredi 13 d »cembre
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reginadeinisseni · 10 months
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Nous sommes tous des assassins (1952) Bande Annonce VF [HD]
Un soldato, ottuso e ignorante, sopravvissuto alla seconda guerra mondiale, continua a uccidere una volta finita la guerra. Quando provoca la morte di una guardia, viene condannato alla ghigliottina. Il suo difensore farà emergere durante il processo le responsabilità sociali dei suoi comportamenti devianti.
Note Cayatte, giornalista e avvocato, al 13° film affronta il suo tema prediletto: il film è un appassionata requisitoria contro la pena di morte. Alle volte un po' didascalico, ma nel complesso un'opera avvincente. Scritto dal regista con Charles Spaak. Premio speciale della giuria a Cannes.
Siamo tutti assassini (Nous sommes tous des assassins) è un film del 1952 diretto da André Cayatte, vincitore del Premio Speciale della Giuria al 5º Festival di Cannes.[1
Titolo originale Nous sommes tous des assassins Paese di produzione Francia, Italia Anno 1952 Durata 115 min Dati tecnici B/N Genere drammatico Regia André Cayatte Soggetto André Cayatte, Charles Spaak Sceneggiatura André Cayatte, Charles Spaak Fotografia Jean Bourgoin Montaggio Paul Cayatte Musiche Raymond Legrand Scenografia Jacques Colombier Interpreti e personaggi Marcel Mouloudji: René Le Guen Raymond Pellegrin: Gino Bollini Claude Laydu: Philippe Arnaud Louis Seigner: abate Roussard Georges Poujouly: Michel Le Guen Louis Arbessier: avvocato del tribunale dei minori René Blancard: Albert Pichon Amedeo Nazzari: dottor Detouche (versione italiana) Jean-Pierre Grenier: dottor Detouche (versione francese) Yvonne Sanson: Yvonne Le Guen (versione italiana) Jacqueline Pierreux: Yvonne Le Guen (versione francese) Antoine Balpêtré: dottor Albert Dutoit Léonce Corne: capitano Girard Henri Crémieux: avvocato di Bauchet Jean Daurand: Girard, l'uomo della cabina telefonica Yvonne de Bray: prima cenciaiola Lise Berthier: seconda cenciaiola Guy Decomble: un ispettore Monette Dinay: la ragazza di Charles Julien Verdier: Bauchet Yvette Etiévant: moglie di Bauchet Juliette Faber: Francine Saulnier Paul Faivre: Biribi Anouk Ferjac: Agnès Paul Frankeur: Léon, capo delle guardie Renée Gardès: madre di Le Guen Jérôme Goulven: Noblet Elisabeth Hardy: madre della bambina François Joux: Saulnier Alinda Kristensen: donna svedese Charles Lemontier: procuratore Roland Lesaffre: detenuto barbiere Liliane Maigné: Rachele Daniel Mendaille: carceriere capo Eliane Monceau: amica di Dutoit Jacques Morel: Charles Jean-Paul Moulinot: direttore della Santé Lucien Nat: avvocato dell'accusa Line Noro: Louise Arnaud, madre di Philippe Marcel Pérès: Malingré André Reybaz: padre Simon Alexandre Rignault: gendarme Solange Sicard: madre di Agnès Sylvie: Laetitia Bollini, madre di Gino Georges Tabet: la pianista Jean-Marc Tennberg: Fredo André Valmy: il piccolo Louis François Vibert: madre di Mousset Henri Vilbert: signor Arnaud
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atelierscarole · 7 years
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Mini gravure, maxi mouche. D'Agnès Hardy. Visible pendant l'expo collective "émincé". https://www.facebook.com/events/758893897635030
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ozu-teapot · 4 years
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Jane B. par Agnès V. | Agnès Varda | 1988
Jane Birkin, Laura Betti
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the-vellichor · 5 years
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Hi Laurence! What kind of music do you enjoy listening to? Do you listen a lot of french music? Thank you!
Hello, 
Agnès Obel, Alela Diane, Alice Phobe Lou, Alt-J, Amy Winehouse, Anna of the North, Aurora, Beirut, Billie Eilish, Billie Marten, Birdy, Bon Iver, Daughter, Devendra Banhart, Dillion, First Aid Kit, FKA twigs, Florence + the Machines, HAIM, Joni Mitchell, Jorja Smith, Keaton Henson, Laura Marling, Lykke LI, Lorde, Maggie Rogers, Marina and the Diamonds, Nina Simone, Rosalia, Sabrina Claudio, Sigrid, Solange, Sufjan Stevens, St. Vincent, Tom Rosenthal. 
Classical/Instrumental: Nils Frahm, Olafur Arnalds, Michael Nyman, Jean-Michel Blais, Alexandra Stréliski. 
Quebec/Canadian (but don’t necessarily sing in french): Aliocha, Beyries, Charlotte Cardin, Coeur de Pirate, Daniel Bélanger, Feist,  Arcade Fire, Liana, Matt Holubowski, Milk and Bone, Patrick Watson, Pierre Lapointe, Safia Nolin, Leonard Cohen, Loud, Elisapie Isaac. 
French/Belgium/Swiss: Vendredi sur Mer, Pomme, Clara Luciani, Juliette Armanet, Angèle, Charles Aznavour, Françoise Hardy. 
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claudehenrion · 5 years
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Notre Histoire au jour le jour - ( II ) : …s'est-elle suicidée ?
  Indépendamment de la “crise” psycho-pathologique et hospitalo-budgétaire en cours (220 000 cas recensés dans le monde entier, dont 98 % sont ou seront guéris, et 9000 morts, en tout, à ce jour), il faut bien trouver une ou des raison(s) au mouvement de panique qui semble toucher tout le monde et ne pas connaître de frontières que, pourtant, on ferme, hardi, petit, comme si un poste de Douane avec gabelous et pandores en masques de papier et tampons obligatoires, allait stopper un seul virus, le temps d'une vérification d'identité. L’autre réalité est : l'Occident, naguère aimé, envié et copié, est maintenant rejeté, un peu partout dans le monde.
 Toute cette panique, parfois exagérée, a une explication au moins : le besoin apparent de paniquer un peu trop est que le vrai problème est ailleurs : à force de traficoter en dépit du bon sens les règles millénaires sur lesquelles reposait notre civilisation (qui a un effet d'entraînement sur la Terre entière), on a “modifié son génome” et sa “raison d'être”, ce qui ne pouvait que finir par rebuter, un jour ou l'autre, ceux qui estiment avoir des raisons de les refuser : l'original vaut toujours mieux que la copie (même signée Voltaire ou Rousseau). Ils estiment (et c'est leur droit) que leur “raison raisonnante” à eux n'est pas inférieure à la nôtre, et ils rejettent donc les conclusions auxquelles nous arrivons… qu'ils voient comme autant d'échecs. De plus en plus d'entre nous, d'ailleurs, pensent globalement qu'ils n'ont pas complètement tort sur le fond (même si la manière n’est pas la bonne).
 Le rejet qui frappe l'Occident tient plus à cette évolution, qui est relativement récente, et à la perte de la raison d'être de notre ancien message civilisateur (car le nouveau “ne tient pas la route”) qu'à son contenu intrinsèque ou qu'à sa substance. Ce qui est en cause, c'est notre athéisme systémique et non-discutable, notre refus de tout garde-fous, notre universalisme sans limites ou notre manie de remettre en question les raisons historiques des “pourquoi” de feu- nos règles et nos modes de fonctionnement : à partir du moment où elle était déclarée dépassée par ceux qui croient savoir, la Bible judéo-chrétienne devait être remplacée par un nouveau “Livre Sacré”, genre néo-iso-bible. Pour notre  malheur, c'est l'option “politiquement correcte”, dite “progressiste” et donc mortifère jusque dans ses moindres détails, qui a triomphé. Nous n'avons pas fini de payer, et très cher, les conséquences d'avoir préféré la raison à l'intelligence et un soi-disant “progrès” à tous les “acquis” concrets qui ne demandaient qu'à être améliorés à la marge…
 Car là où il y avait opposition (parfois confrontation) entre deux croyances, deux perceptions et deux sensibilités (NDLR - par exemple entre la préexistence de valeurs éternelles et le triomphe immédiat de la “raison raisonnante”… ou bien entre la priorité du “devoir” sur le droit qu'il induit et la soumission au seul “droit” qui ne connaît plus de contre-partie… ou encore entre une vocation de l'homme à l'éternité –aujourd'hui confirmée par la génétique et l’‘éternité’’ de l'ADN– et la certitude indémontrable que “le destin post mortem de l'homme” se ramène à celui de “la fourmi écrasée”…), il n'y a plus de place que pour une seule et unique série de “réponses-solutions” définitives, obligatoires et incontournables, auxquelles on ne peut que se soumettre : plus aucune question n'est autorisée ! Comme le disait il y a peu la néo-sulfureuse Agnès Buzyn (on voit, depuis 48 heures, à quel point j'avais eu raison de mettre en garde contre elle !) : “Eh ! bien NON ! Voilà !” (sic !).
 Libéralisme, mondialisation, multiculturalisme, diversité, progressisme, mais aussi soumission aux idées les plus “contre nature”, expérimentations prétendues “sociétales”, sans filet mais toutes farfelues, fausse écologie dévoyée, politisée et devenue punitive, soumission à des idées et à des gourous sans la moindre compétence (pensons à la mortifère Greta Thunberg, qui fait de tels ravages), préséance de la loi sur la raison, préférence donnée à la spontanéité sur le savoir, au “avoir envie” sur le “avoir raison” et à la fausse évidence sur la démonstration (donc au féminisme fondamentaliste qui ne mène qu'à la mort de toute humanité), fin de la liberté de penser et de dire (et de presque toutes les autres ‘’libertés fondamentales’’, au profit d'une soumission –l'islam, déjà?– à ce qui semble “correct”), faux égalitarisme sans fondement… sont les nouvelles divinités que ce qui reste de notre civilisation perdue dans sa décadence, cherche en vain à imposer, à nous d'abord, mais aussi au monde… à qui on voudrait faire croire (ce qu'il refuse avec sagesse) qu'il n'y a plus de bien ni de mal, ni sexes, ni Dieu, ni religion (autre que secrète, honteuse, et méprisée… ou islamique !), ni famille, ni Nation, ni hérédité… “Et en même temps…” , ajoute notre Président, hélas contaminé par ces troubles de la pensée, les seules vertus de demain seraient une tolérance aux nouvelles idées intolérantes aux anciennes, le laïcisme le plus religieusement fanatique qui puisse être, et un moralisme rigide qui se définit lui-même comme une absence de morale. Autrement dit, il n'y aura pas de “demain’’ : l'Histoire est en train de se suicider, devant nos yeux qui restent ‘’grand-fermés’’ !
 Notre soi-disant universalisme post-moderne est tout sauf neutre, et notre prétention à le dire adaptable à tous et partout est un mensonge... auquel beaucoup d'entre nous ont cru. Toutes ou presque toutes nos lois dites humanistes sont anti-humaines… ce qui explique leur rejet par un nombre croissant de ’'systèmes de références” différents de celui, illogique au nom de la logique et irrationnel au nom de la raison, dans lequel laxisme, intellectualisme et fascination pour les mots creux et les concepts vides nous ont fait plonger. Depuis quelque 30 ans, il ne flotte dans l’air que des idées intrinsèquement mauvaises pour l'Homme et l'humanité !  (NDLR – on rappelle que l'universalisme est “une croyance en une vérité fondamentale  (…) dans laquelle les individus sont compris comme des éléments interactifs d'un tout : la société. En ce sens, l'universalisme s'oppose à l’individualisme, qui considère les individus indépendamment les uns des autres”)..
 Aujourd'hui, musulmans, hindouistes, shintoïstes, haredim, ex-communistes se disant confucéens, “Trump-ettistes” américains, et même ceux de nos proches voisins que nous disons “populistes”… sont vent debout contre nos interruptions de grossesses/assassinats d'embryons, nos mariages qui n'en sont pas, nos enfants sans père et nos soumissions à tous les cauchemars que la science prétend rendre disponibles…. comme si le fait qu'une manipulation soit ou semble possible in vitro (à ses conséquences “n-ièmes” près !) la rendait ipso facto acceptable in vivo (conséquences comprises, mais sans pouvoir savoir lesquelles) voire souhaitable, économiquement, humainement, socialement et autrement !
 De “il est techniquement possible de le faire”, nous sommes tombés à : “il faut donc le faire”… Préparons-nous à payer très cher cette soumission indigne aux diktats d'une minorité de technodoules (néologisme que je fabrique du grec τέχνη, tékhnê –savoir-faire, et δουλεία, douleia –soumission) et de technologues sans foi ni loi, sans morale et sans pudeur, qui ne trouvent leur force que dans un soutien par “la Presse”, (ce porteur infecté d'idéologies périmées et mortifères) et par “le monde du spectacle” (qui n’est plus que celui de notre décadence, cf. la récente soirée des ‘’Césars’’!). Corrigerons-nous le tir avant qu'il ne soit trop tard ?
 Le “progressisme” rétrograde qui tient le haut du pavé en France (et ailleurs aussi, parfois, mais de manière moins agressive, donc moins perverse, à terme) est une pandémie bien plus grave que celle, actuelle, qui permet à nos “leaders” de se prendre pour de petits dieux : ils se sont arrogé le pouvoir d'arrêter la vie ! On peut donc redouter le pire, et nous vivons, confinés, un avant goût des catastrophes à venir : des inconscients ont ouvert toutes grandes les portes à… personne ne sait quoi. Mais ‘’ça’’ devrait ressembler beaucoup moins à un paradis qu'à un enfer.
H-Cl.
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violettedarval · 5 years
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Dans la fournaise
Seconde lettre de Violette à Louise
La Chapelle-près-Sées, le 27 juin 1927
Louise, ma tendre gousse.
J’ai été transportée de joie en lisant que cette nouvelle petite pensionnaire que tu appelles Ninon, était venue vers toi. Bonne comme tu es, je sais que tu en feras ta petite femme chérie, que tu la protégeras des grandes sottes comme tu le fis avec moi, et qu’en retour elle saura bien te gâter de ses « doigts de fée » ainsi que tu l’écris avec fausse mièvrerie, ma garce.
Comme promis, voici enfin des nouvelles de mon arrivée chez les Darval. Je dois t’avouer que rapidement, toutes mes appréhensions m’ont abandonnée. Madame Darval m’a accueillie avec une émotion bien visible, et comme elle gardait longtemps mes mains dans les siennes, j’ai ressenti qu’elle s’interdisait un transport plus chaleureux. J’étais moi-même bien émue, et je n’en pouvais plus de contenir mes larmes. Depuis que les Darval m'ont fait part de leur souhait de faire de moi leur fille, tout dans cette histoire me semblait appartenir à une autre que moi, n'être qu'une fantaisie. Ce n'est qu'une fois descendue de l'omnibus, quand je m'engageai dans la cour et la vis enfin, souriante, devant le perron, que je compris que j'étais bel et bien arrivée aux Tertres. Que j'étais arrivée chez moi ! Elle m'avait fait préparer un en-cas gargantuesque et je dus lui jurer que j’allais éclater pour qu'elle m'autorise enfin à poser ma fourchette et me laisse aux bons soins des jumelles, Agathe et Agnès. Elles m'invitèrent en riant à découvrir la maison. Il semble qu'elles étaient, elles aussi impatientes de mon arrivée. On jurerait deux sages poupées de porcelaine, mais dès qu'elles s'animent, elles ne sont que courses, rires, gestes impatients et petits cris d'excitation. Oh comme elles te feraient tourner la tête, ma vrille !
La maison est spacieuse mais sobre, et les pièces du rez-de-jardin, grand ouvertes sur le dehors, ajoutent à l'impression de liberté qui règne ici. Les murs sont couverts de livres, et décorés sans ostentation, d'aquarelles signées de madame Darval ou des jumelles. La sobriété de la maison évoque plus un lieu d'études qu'une demeure bourgeoise. Les chambres sont à l'étage, et mes nouvelles sœurs m’ont conduite avec empressement à la mienne. Elle est spacieuse, confortable et ses hautes fenêtres donnent sur le parc qui s’étend jusqu’à la rivière.
J'ai rencontré Étienne, l'aîné. Plutôt grand, élancé mais bien fait, il a de grands yeux clairs et son regard semble toujours tourné en lui-même, comme flottant dans quelque rêve. Il ne m’a saluée que poliment mais j’entends qu’un garçon de cet âge ne se soucie guère d’un tendron comme moi. Pour ce qui est de monsieur Paul, je ne ferai pas sa connaissance avant le mois de juillet, que ses affaires retiennent sur Paris. J'écris « Madame » et « Monsieur » mais il faut que je me discipline bien vite à les appeler « Père » et « Mère » sans quoi je leur causerai de la peine.
~
La vie ici est loin des mœurs bourgeoises comme je pouvais les concevoir. La petite bonne Lorette, son mari Émile — l'homme à tout faire du domaine — mais aussi les fermiers voisins et les gens du bourg s’adressent tous à Mère et aux jumelles avec liberté, sans leur donner du « Madame » ou du « Mademoiselle », simplement par leurs prénoms, et elle les traite avec amitié. Pour ce qui est de l’emploi de nos journées, il suit ce que Mère nomme le rythme d'été. Elle consacre sa matinée à nos leçons de chant, de piano, de peinture ou de broderie, ou à l'étude d'un sujet dont nous faisons la demande. Agathe et Agnès ne se quittent pas et agissent comme une seule âme, jouant à quatre mains ou peignant la même toile. Elles excellent en peinture, mais ne sont pas en reste pour ce qui est du chant et du piano, et Agnès a un vrai talent pour le violon.
Nous prenons tous part aux tâches domestiques et devons travailler au moins trois demi-journées par semaine aux champs. Il en ira de même toute l'année. Cela fait partie, pour mère, de notre éducation. Si les travaux sont durs, j'avoue qu'ils me vivifient et que je n'en apprécie que mieux les moments d'oisiveté. Les autres après-midi sont libres et nous prenons le dîner vers sept heures. S’ensuit une bonne heure de lecture faite par l’un d’entre nous d’un ouvrage de son choix. Je dis l’un car les gens de maison et de jeunes gens des environs participent à ce moment. Paysans et domestiques semblent bien instruits et parlent tous un français soutenu. Aucune censure ici. Les ouvrages les plus libertins ont leur place, et j'avoue qu'il n'est pas rare que les jumelles et moi étouffions de petits rires dont mère attend patiemment la fin avant de demander au lecteur de reprendre. J'emporte toujours un livre que je dévore en une nuit ou deux. Enfin à moi Wilde, Leroux, London, Artaud et Gide ! Quant à Etienne, qui passe de longs temps près des chevaux, dont il a la charge et qui sont sa passion, nous ne le voyons qu’aux repas et aux lectures. Mais j'aurai le plaisir de l'avoir pour moi chaque dimanche matin, car il sera mon professeur d'équitation. Voilà semble-t-il, la vie en été aux Tertres : active mais au fond très douce, studieuse mais bien libre !
~
Mais toute cette liberté et ces nouveaux visages, ces corps, me portent sur les sens. Dès le matin je pars dans des rêves de chair, de douceurs et de caresses. Et si je vois onduler les reins de Lorette qui s'affaire à l'office, si j'aperçois la courbe rose et ronde d'un sein de maman Marthe, ou si j'aperçois les jumelles en train de se blottir l'une contre l'autre quand une brise vient surprendre leur sieste sous le saule, je ne peux plus en détacher l'image de ma pensée. Le plus dévorant de tous les feux est celui que je ressens auprès des garçons et des hommes. Les muscles roulant sous la peau d'Antoine, un garçon de ferme encore jeunot dont le regard me fait fondre, les grandes mains et la voix à la fois douce et basse d’Étienne, ou la stature imposante et les muscles ronds des bras d’Émile, me plongent dans des songes qui prennent le dessus sur la réalité quand je me figure prise par l'un d'eux, dans des fantaisies où celui que le hasard aura élu finit par s'emparer de ma rosette.
Dans la fournaise de certains après-midi, quand l'incendie est trop ardent, profitant de ce que mon ablette est bien enroulée dans le fond de ma culotte, je m'assois sur un banc à l'écart, ou mieux sur la balancelle, et confie aux mouvements de mon bassin et à la pression de mes cuisses le soin de la branler. L'expression de mon plaisir se résume alors à quelques hoquets, quelques soupirs retenus en gorge, et la joie de sentir enfin s'épancher ma sève en de longs jets qui souillent mes dessous et mon intimité, jusque dans le sillon de mes fesses.
Au moins, les heures d'études, et de travaux aux champs me détournent-elles de toutes ces envies. Mais est-il normal d'être à ce point dévorée de désir ? Et quelles en sont les issues ? Car, si grâce aux bons soins de ton cœur et de ton corps, je n'ai plus de peine à aimer celle que je suis, en revanche je ne sais toujours pas comment avouer ma différence aux autres. Et quand bien même je saurais comment le faire, dois-je me précipiter sur le premier venu pour éteindre l'incendie qui me ronge ? Je souhaite que le garçon qui brisera ma tirelire ait certaines qualités. Un drôle qui te ressemblerait un peu, ma tribade d'amour, coquin et hardi comme un diable, doux et câlin comme un ange, franc et gentleman comme Arsène Lupin. Suis-je trop exigeante, ma petite gougnotte ? Tu me le diras.
~
Je pense tous les soirs bien à toi et te serre très fort, ma Louisette, ma tendresse. Parfois, au milieu de toute cette nouveauté, ta douceur et le nid rassurant de nos draps manquent à mon cœur comme tes mains et ta bouche manquent à mon sucre d’orge, ainsi que tu l’appelais tendrement avant de bien me le sucer, gloutonne ! Quand j'y repense, cette période de ma vie était bien sereine. Et malgré les arôme enivrants de ces chairs, malgré le parfum de cette liberté toute nouvelle, ce sont les effluves de ta petite figue que j'ai en mémoire quand, le soir, je me fais des gentillesses qui me réjouissent et parfois, t’invitent jusque dans mes rêves. Dis-moi vite ce qu'il advient de toi et de ta nouvelle tribade !
Ta tendre fourreuse,
Violette
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stainedglassgardens · 6 years
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Favourite films watched in 2018
I arranged them into broad categories -- other than that they’re in no particular order.
Indie
River of Grass, Meek’s Cutoff and Night Moves (Kelly Reichardt, 1994, 2010 and 2013)
Tangerine and The Florida Project (Sean Baker, 2015 and 2017)
We Need to Talk About Kevin (Lynne Ramsay, 2011)
Winter’s Bone (Debra Granik, 2010)
Kumiko, the Treasure Hunter (David Zellner, 2014)
Ginger & Rosa (Sally Potter, 2012)
Cracks (Jordan Scott, 2009)
I Am Not a Witch (Rungano Nyoni, 2017)
Turn the River (Chris Eigeman, 2007)
Hello I Must Be Going (Todd Louiso, 2012)
Shuttle Life (Tan Seng Kiat, 2017)
On Body and Soul (Testről és lélekről, Ildikó Enyedi, 2017)
Vagabond (Sans toit ni loi, Agnès Varda, 1984)
Easy Living (Adam Keleman, 2017)
Mother of George (Andrew Dosunmu, 2013)
Khadak (Peter Brosens and Jessica Hope Woodworth, 2006)
Shirkers (Sandi Tan, 2018)
Comedy
Lipstick Under My Burkha (Alankrita Shrivastava, 2016)
Addicted to Fresno (Jamie Babbit, 2015)
The Spy Who Dumped Me (Susanna Fogel, 2018)
Edge of Seventeen (David Moreton, 1998)
Secretary (Steven Shainberg, 2002)
Experimental
Scorpio Rising (Kenneth Anger, 1963)
Always Shine (Sophia Takal, 2016)
The Midnight Swim (Sarah Adina Smith, 2014)
La Jetée (Chris Marker, 1962)
Daisies (Sedmikrásky, Věra Chytilová, 1966)
Classics
Reflections in a Golden Eye (John Huston, 1967)
Dead Ringer (Paul Henreid, 1964)
Horror
Creep and Creep 2 (Patrick Brice, 2014 and 2017)
The Poughkeepsie Tapes and As Above, So Below (John Erick Dowdle, 2007 and 2014)
Raw (Grave, Julia Ducournau, 2016)
Cargo (Ben Howling and Yolanda Ramke, 2017)
Hard Candy (David Slade, 2005)
Snowtown (Justin Kurzel, 2011)
Banshee Chapter (Blair Erickson, 2013)
Mandy (Panos Cosmatos, 2018)
Science fiction
Primer and  Upstream Color (Shane Carruth, 2004 and 2013)
Resolution and The Endless (Justin Benson and Aaron Moorhead, 2012 and 2017)
Midnight Special (Jeff Nichols, 2016)
Arrival (Denis Villeneuve, 2016)
Into the Forest (Patricia Rozema, 2015)
Ex Machina (Alex Garland, 2014)
Under the Skin (Jonathan Glazer, 2013)
Liquid Sky (Slava Tsukerman, 1982)
Bird Box (Susanne Bier, 2018)
Action
Hell or High Water (David Mackenzie, 2016)
M.F.A. (Natalia Leite, 2017)
Revenge (Coralie Fargeat, 2017)
Brick (Rian Johnson, 2005)
Full list of 306 films watched in 2018 under the cut!
January
The Devil’s Candy (Sean Byrne, 2015)
A United Kingdom (Amma Asante, 2016)
Creep (Patrick Brice, 2014)
The Witch (Robert Eggers, 2015)
The Blues Brothers (John Landis, 1980)
The Lost Boys (Joel Schumacher, 1987)
Midnight Special (Jeff Nichols, 2016)
Arrival (Denis Villeneuve, 2016)
We Need to Talk About Kevin (Lynne Ramsay, 2011)
Life (Daniel Espinosa, 2017)
Logan (James Mangold, 2017)
Creep 2 (Patrick Brice, 2017)
The Discovery (Charlie McDowell, 2017)
Otherlife (Ben C. Lucas, 2017)
The Dressmaker (Jocelyn Moorhouse, 2015)
Bokeh (Geoffrey Orthwein and Andrew Sullivan , 2017)
February
Get Out (Jordan Peele, 2017)
The Handmaiden (아가씨, Agassi, Park Chan-wook, 2016)
Brick (Rian Johnson, 2005)
Looper (Rian Johnson, 2012)
Winter’s Bone (Debra Granik, 2010)
Thelma (Joachim Trier, 2017)
The Guest (Adam Wingard, 2014)
Beach Rats (Eliza Hittman, 2017)
Let the Right One In (Låt den rätte komma in, Tomas Alfredson, 2008)
Cameraperson (Kirsten Johnson, 2016)
Sweet Bean (あん, An, Naomi Kawase, 2015)
The Hallow (Corin Hardy, 2015)
Cloverfield (Matt Reeves, 2008)
10 Cloverfield Lane (Dan Trachtenberg, 2016)
The Cloverfield Paradox (Julius Onah, 2018)
Moonlight (Barry Jenkins, 2016)
28 Days Later (Danny Boyle, 2002)
Take Shelter (Jeff Nichols, 2011)
Ginger Snaps (John Fawcett, 2000)
River of Grass (Kelly Reichardt, 1994)
Old Joy (Kelly Reichardt, 2006)
Reflections in a Golden Eye (John Huston, 1967)
March
Raw (Grave, Julia Ducournau, 2016)
Palo Alto (Gia Coppola, 2013)
By the Sea (Angelina Jolie, 2015)
Lady Bird (Greta Gerwig, 2017)
Jupiter Ascending (The Wachowskis, 2015)
Irreplaceable You (Stephanie Laing, 2018)
Kumiko, the Treasure Hunter (David Zellner, 2014)
Annihilation (Alex Garland, 2018)
Ravenous (Les Affamés, Robin Aubert, 2017)
The Bad Batch (Ana Lily Amirpour, 2016)
Notes on Blindness (Peter Middleton and James Spinney, 2016)
Breathe (Respire, Mélanie Laurent, 2014)
Night Moves (Kelly Reichardt, 2013)
Carol (Todd Haynes, 2015)
Lovesong (So Yong Kim, 2016)
Upstream Color (Shane Carruth, 2013)
April
ARQ (Tony Elliott, 2016)
Primer (Shane Carruth, 2004)
Meek’s Cutoff (Kelly Reichardt, 2010)
Certain Women (Kelly Reichardt, 2016)
The Lady from Shanghai (Orson Welles, 1947)
Waking Life (Richard Linklater, 2001)
Roman Holiday (William Wyler, 1953)
American Honey (Andrea Arnold, 2016)
Maurice (James Ivory, 1987)
The Silent House (La Casa Muda, Gustavo Hernández, 2010)
Viral (Ariel Schulman and Henry Joost, 2016)
Buster’s Mal Heart (Sarah Adina Smith, 2016)
Waitress (Adrienne Shelly, 2007)
Grey Gardens (Albert and David Maysle, 1975)
Ginger & Rosa (Sally Potter, 2012)
Cracks (Jordan Scott, 2009)
Into the Forest (Patricia Rozema, 2015)
A New Leaf (Elaine May, 1971)
Vertigo (Alfred Hitchcock, 1958)
The Beguiled (Sofia Coppola, 2017)
Scarface (Brian De Palma, 1983)
The Violent Years (William Morgan, 1956)
The Ritual (David Bruckner, 2017)
Casting JonBenet (Kitty Green, 2017)
Slums of Beverly Hills (Tamara Jenkins, 1998)
We’ve Forgotten More Than We Ever Knew (Thomas Woodrow, 2017)
Love and Other Cults (Kemonomichi, Eiji Uchida, 2017)
You Were Never Really Here (Lynne Ramsay, 2017)
Shirley: Visions of Reality (Gustav Deutsch, 2013)
Catfight (Onur Tuckel, 2017)
Pyewacket (Adam MacDonald, 2017)
May
Lick the Star (Sofia Coppola, 1998)
Scorpio Rising (Kenneth Anger, 1963)
Novitiate (Maggie Betts, 2017)
The Tree of Life (Terrence Malick, 2011)
The Happiest Day in the Life of Olli Mäki (Hymyilevä mies, Juho Kuosmanen, 2016)
Dead Reckoning (John Cromwell, 1947)
Human Flow (Ai Weiwei, 2017)
Mystery Train (Jim Jarmusch, 1989)
Dawson City: Frozen Time (Bill Morrison, 2016)
The Killing of a Sacred Deer (Yorgos Lanthimos, 2017)
I Am Not a Witch (Rungano Nyoni, 2017)
Cléo from 5 to 7 (Cléo de 5 à 7, Agnès Varda, 1962)
Orbiter 9 (Órbita 9, Hatem Khraiche, 2017)
M.F.A. (Natalia Leite, 2017)
Lipstick Under My Burkha (Alankrita Shrivastava, 2016)
Kedi (Ceyda Torun, 2016)
Deidra and Laney Rob a Train (Sydney Freeland, 2017)
The Most Dangerous Game (Irving Pichel and Ernest B. Schoedsack, 1932)
Girl Asleep (Rosemary Myers, 2015)
Always Shine (Sophia Takal, 2016)
The Monster (Bryan Bertino, 2016)
Desert Hearts (Donna Deitch, 1985)
Addicted to Fresno (Jamie Babbit, 2015)
Beyond a Reasonable Doubt (Fritz Lang, 1956)
The Fits (Anna Rose Holmer, 2015)
Hell or High Water (David Mackenzie, 2016)
The Midnight Swim (Sarah Adina Smith, 2014)
The Quiet Hour (Stéphanie Joalland, 2014)
Synchronicity (Jacob Gentry, 2015)
Who’s Afraid of Virginia Woolf? (Mike Nichols, 1966)
Pod (Mickey Keating, 2015)
Turn the River (Chris Eigeman, 2007)
Tangerine (Sean Baker, 2015)
Frequencies (Darren Paul Fisher, 2013)
Spring (Justin Benson and Aaron Moorhead, 2014)
Time Lapse (Bradley D. King, 2014)
Meet Me There (Lex Lybrand, 2014)
Ex Machina (Alex Garland, 2014)
The Florida Project (Sean Baker, 2017)
Berberian Sound Studio (Peter Strickland, 2012)
Laggies (Lynn Shelton, 2014)
Starlet (Sean Baker, 2012)
Dead Ringer (Paul Henreid, 1964)
The Doom Generation (Gregg Araki, 1995)
The Riot Club (Lone Scherfig, 2014)
Berlin Syndrome (Cate Shortland, 2017)
Dude (Olivia Milch, 2018)
Nightcrawler (Dan Gilroy, 2014)
June
Hello I Must Be Going (Todd Louiso, 2012)
Romy and Michele’s High School Reunion (David Mirkin, 1997)
Mystery Road (Ivan Sen, 2013)
The Double (Richard Ayoade, 2013)
Dear White People (Justin Simien, 2014)
The Selfish Giant (Clio Barnard, 2013)
Don’t Breathe (Fede Álvarez, 2016)
Marina Abramović: The Artist is Present (Matthew Akers, 2012)
Hot Bot (Michael Polish, 2016)
Beneath the Harvest Sky (Aron Gaudet and Gita Pullapilly, 2013)
Tim’s Vermeer (Teller, 2013)
The Firefly (La Luciérnaga, Ana Maria Hermida, 2015)
Twinsters (Samantha Futerman and Ryan Miyamoto, 2015)
Resolution (Justin Benson and Aaron Moorhead, 2012)
Enemy (Denis Villeneuve, 2013)
Mother of George (Andrew Dosunmu, 2013)
We Are What We Are (Jim Mickle, 2013)
The Battery (Jeremy Gardner, 2012)
Crystal Fairy & The Magical Cactus (Sebastián Silva , 2013)
Boy (Taika Waititi,2010)
The Perks of Being a Wallflower (Steven Chbosky, 2012)
White Bird in a Blizzard (Gregg Araki, 2014)
The American (Anton Corbijn, 2010)
Ocean’s Eight (Gary Ross, 2018)
Compliance (Craig Zobel, 2012)
Seeking a Friend for the End of the World (Lorene Scafaria, 2012)
Weekend (Andrew Haigh, 2011)
Under the Skin (Jonathan Glazer, 2013)
July
Martha Marcy May Marlene (Sean Durkin, 2011)
Safety Not Guaranteed (Colin Trevorrow, 2012)
Hard Candy (David Slade, 2005)
Duck Butter (Miguel Arteta, 2018)
The Artist (Michel Hazanavicius, 2011)
Another Earth (Mike Cahill, 2011)
Melancholia (Lars von Trier, 2011)
Woodshock (Kate and Laura Mulleavy, 2017)
Hanna (Joe Wright, 2011)
Snowtown (Justin Kurzel, 2011)
Aloft (Claudia Llosa, 2014)
A Fantastic Woman (Una mujer fantástica, Sebastián Lelio, 2017)
The Feels (Jenée LaMarque, 2017)
The Endless (Justin Benson and Aaron Moorhead, 2017)
Shuttle Life (Tan Seng Kiat, 2017)
I Origins (Mike Cahill, 2014)
The Taking of Deborah Logan (Adam Robitel, 2014)
Chasing Ice (Jeff Orlowski, 2012)
Manchester By the Sea (Kenneth Lonergan, 2016)
The Bar (El Bar, Álex de la Iglesia, 2017)
Mr. Roosevelt (Noël Wells, 2017)
Woman Walks Ahead (Susanna White, 2017)
The Manual (William Magness, 2017)
The Conjuring (James Wan, 2013)
Oculus (Mike Flanagan, 2013)
The Eye (Pang brothers, 2002)
August
The Overnight (Peter Brice, 2015)
Axolotl Overkill (Helene Hegemann, 2017)
Little Sister (Zach Clark, 2016)
Witchfinder General (Michael Reeves, 1968)
Secretary (Steven Shainberg, 2002)
The Quiet Earth (Geoff Murphy, 1985)
The Hunger (Tony Scott, 1983)
They (Anahita Ghazvinizadeh, 2017)
Revenge (Coralie Fargeat, 2017)
Cargo (Ben Howling and Yolanda Ramke, 2017)
Fast Times at Ridgemont High (Amy Heckerling, 1982)
Radius (Caroline Labrèche and Steeve Léonard, 2017)
17 Girls (17 Filles, Delphine Coulin and Muriel Coulin, 2011)
The Deuce of Spades (Faith Granger, 2011)
The Bank Job (Roger Donaldson, 2008)
La Jetée (Chris Marker, 1962)
Train to Busan  (부산행, Busanhaeng, Yeon Sang-ho, 2016)
As Above, So Below (John Erick Dowdle, 2014)
Liquid Sky (Slava Tsukerman, 1982)
Wild Zero (Tetsuro Takeuchi, 1999)
Multiple Maniacs (John Waters, 1970)
The Lifeguard (Liz W. Garcia, 2013)
The Umbrellas of Cherbourg (Les Parapluies de Cherbourg, Jacques Demy, 1964)
The Beales of Grey Gardens (Albert Maysles, David Maysles and Ian Markiewicz, 2006)
The Edge of Seventeen (Kelly Fremon Craig, 2016)
Salesman (Albert Maysles, David Maysles and Charlotte Zwerin, 1969)
Easy Living (Adam Keleman, 2017)
Going Back (Adam Keleman, 2010)
A Series of Acts (Adam Keleman, 2006)
Long Days (Adam Keleman, 2012)
Okja (Bong Joon-ho, 2017)
Before I Fall (Ry Russo-Young, 2017)
The Poughkeepsie Tapes (John Erick Dowdle, 2007)
Three Colours: Blue (Krzysztof Kieślowski, 1993)
Three Colours: White (Krzysztof Kieślowski, 1994)
Three Colours: Red (Krzysztof Kieślowski, 1994)
Island of Lost Souls (Erle C. Kenton, 1932)
Khadak (Peter Brosens and Jessica Hope Woodworth, 2006)
The Lure (Córki dancingu, Agnieszka Smoczyńska, 2015)
Vagabond (Sans toit ni loi, Agnès Varda, 1984)
Little Evil (Eli Craig, 2017)
September
The Harder They Come (Perry Henzell, 1972)
Isle of Flowers (Ilha das Flores, Jorge Furtado, 1989)
Beat Girl (Edmond T. Gréville, 1960)
On Body and Soul (Testről és lélekről, Ildikó Enyedi, 2017)
Village of the Damned (Wolf RIlla, 1960)
Tampopo (タンポポ, Tanpopo, Juzo Itami, 1985)
Mustang (Deniz Gamze Ergüven, 2015)
Outside In (Lynn Shelton, 2017)
Voyeur (Myles Kane, 2017)
The Land of Steady Habits (Nicole Holofcener, 2018)
Clouds of Sils Maria (Olivier Assayas, 2014)
Already Tomorrow in Hong Kong (Emily Ting, 2015)
Tig (Kristina Goolsby and Ashley York, 2015)
Shortwave (Ryan Phillips, 2016)
The Loss of a Teardrop Diamond (Jodie Markell, 2008)
Sexy Beast (Jonathan Glazer, 2000)
October
The Most Assassinated Woman in the World (La Femme la plus assassinée du monde, Franck Ribière, 2018)
I Think We’re Alone Now (Reed Morano, 2018)
The Woman Who Left (Ang Babaeng Humayo, Lav Diaz, 2016)
The Babysitter (Brian Duffield, 2017)
The Frighteners (Peter Jackson, 1996)
Emelie (Michael Thelin, 2015)
21 Grams (Alejandro González Iñárritu, 2003)
Apostle (Gareth Evans, 2018)
Phantasm (Don Coscarelli, 1979)
Banshee Chapter (Blair Erickson, 2013)
Joshua (George Ratliff, 2007)
Office (오피스, Hong Won-chan, 2015)
The Nightmare (Rodney Ascher, 2015)
The Spy Who Dumped Me (Susanna Fogel, 2018)
Before I Wake (Mike Flanagan, 2016)
The Most Unknown (Ian Cheney, 2018)
Private Life (Tamara Jenkins, 2018)
Octavio is Dead! (Sook-Yin Lee, 2018)
Leave No Trace (Debra Granik, 2018)
Cube (Vincenzo Natali, 1997)
Galveston (Mélanie Laurent, 2018)
Growing Up Coy (Eric Juhola, 2016)
Texas Chain Saw Massacre (Tobe Hooper, 1974)
November
Murder My Sweet (Edward Dmytryk, 1944)
Madeline’s Madeline (Josephine Decker, 2018)
Out of the Past (Jacques Tourneur, 1947)
Mandy (Panos Cosmatos, 2018)
Crossfire (Edward Dmytryk, 1947)
The Lobster (Yorgos Lanthimos, 2015)
Silent Light (Stellet Licht, Carlos Reygadas, 2007)
Shirkers (Sandi Tan, 2018)
Berlin Express (Jacques Tourneur, 1948)
Red Road (Andrea Arnold, 2006)
Angels Wear White (嘉年华, Vivian Qu, 2017)
Interstellar (Christopher Nolan, 2014)
The Italian Job (F. Gary Gray, 2003)
In the Aisles (In den Gängen, Thomas Stuber, 2018)
Edge of Seventeen (David Moreton, 1998)
Mad Max: Fury Road (George Miller, 2015)
Columbus (Kogonada, 2017)
I Don’t Feel at Home in this World Anymore (Macon Blair, 2017)
The Full Monty (Peter Cattaneo, 1997)
Daisies (Sedmikrásky, Věra Chytilová, 1966)
Blue My Mind (Lisa Brühlmann, 2017)
December
The Tokyo Night Sky is Always the Densest Shade of Blue (夜空はいつでも最高密度の青色だ, Yozora wa itsudemo saiko mitsudo no aoiro da, Yuya Ishii, 2017)
Michael Lost and Found (Daniel Wilner, 2017)
The Trader (Sovdagari, Tamta Gabrichidze, 2018)
Valley Girl (Martha Coolidge, 1983)
The Kindergarten Teacher (Sara Colangelo, 2018)
Everything Beautiful is Far Away (Pete Ohs and Andrea Sisson, 2017)
McQueen (Ian Bonhôte and Peter Ettedgui, 2018)
Better Watch Out (Chris Peckover, 2016)
I Feel Pretty (Abby Kohn, 2018)
Eighth Grade (Bo Burnham, 2018)
A Simple Favor (Paul Feig, 2018)
Bombshell: The Hedy Lamarr Story (Alexandra Dean, 2017)
Grandma (Paul Weitz, 2015)
Bird Box (Susanne Bier, 2018)
The Man in the Wall (האיש שבקיר‎, Evgeny Ruman, 2015)
Tout ce qui brille (Géraldine Nakache and Hervé Mimran, 2010)
Gas Food Lodging (Allison Anders, 1992)
Love, Cecil (Lisa Immordino Vreeland, 2018)
21 notes · View notes
popbee · 5 years
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法國女生夏日穿搭教室:漫不經心的時尚氣質,原來是靠這些單品打造!
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法國女生的穿搭品味向來被受推崇,由 Coco Chanel、Jane,到 Jeanne Damas⋯⋯她們每一位由頭到腳的穿搭總散發著低調的時尚氣質,集知性、優雅、隨性於一身,是一種漫不經心、毫不費力的時尚。談到「法式風格」,或者你會聯想起條紋 T-shirt、畫家帽、芭蕾舞鞋這些永不過時的經典單品,還以為法國女生都不追潮流。不!其實法國女生也會追潮流的,只是她們不盲目追潮流,只選適合自己的,再巧妙地將「潮流」與「經典」完美融合。以下這些就是今季法國女生大愛流行的單品,想穿出漫不經心的知性氣質?今次就讓我們給你一點靈感吧。
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-Outfit Idea #01 -
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cardigan, wide-leg pants, straw bag & strappy sandals (all from agnès b.), beret (X-Girl/HBX.com)
Cardigan & Beret
Cardigan 平日對於我們來說就是一款外套,不過如果你有留意 POPBEE 的報導,或者你都知道法國女生由初春開始已賦予了它全新的穿法——將開胸外套直接當上衣來穿。除了之前我們推介的「開胸外套+牛仔褲」造型外,換上一條闊腳褲也是不錯的選擇,因為闊腳褲的喇叭形剪裁在視覺上能拉長腿部線條,記得把 cardigan 往褲子裡 tuck-in,就能令雙腿看上去更修長。而想進一步加強整體造型的法式味道,不妨可以選擇配搭畫家帽來點綴。
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-Outfit Idea #02 -
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floral dress (ba&sh), bucket bag (Staud /HBX.com),hair bow (Bianca and Red /a beautiful store), leather belt (Maison Kitsuné), necklace (Swarovski), ballet flats (Stylist’s own) Tea Dress & Hair Bow
看過法國 IT girl Jeanne Damas 的 Instagram,或者你也會發現她非常鍾情一款叫��tea dress」的單品。Tea dress 起源於古代的歐洲的,當時貴族小姐整天都要穿上束胸與禮服,只有在下午茶時間才可脫去束胸,換上 tea dress 享用點心。時至今天演變成一款優雅又富女人味的裙子,通常採用 V 領、 開衩、收腰與 A 字型剪裁,配合碎花圖案設計,也是法國女生常穿的單品。 Tea dress 除了優雅外,穿上可以散發法國女孩那種漫不經心的慵懶時尚感,而且大 V 領設計更是相當顯瘦!最後不妨可以加上一個蝴蝶結髮飾來增加自己的氣質。
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-  Outfit Idea #03 -
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ruffled blouse , ankle boots & crossbody bag (all from Claudie Pierlot), blazer (Maje), denim skirt (Maison Kitsuné), pearl hair clip (Stylist’s own) 
Ruffled Blouse & Oversized Blazer
法國女生的穿搭總是帶著知性與率性,想輕鬆穿出這種感覺,一件 oversized blazer 就幫到你。一復剪裁修身的單色西裝外套容易予人一種拘謹的印象,換成剪裁寬鬆的 oversized blazer 除了穿得更舒適外,也多了一份隨性的時尚感。而顏色與材質方面,格紋款或麻質款都是法國女生的最愛。至於上衣,不要選一般的襯衫,有荷葉邊或通花款式能夠令造型變得更加時尚,最後加上一條長款牛仔裙與 ankle boots,打造出集知性、時尚與隨性於一身的法式上班穿搭。
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-Outfit Idea #04 -
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milkmaid blouse (DVF) , straight-leg jeans (agnès b.), silk sacrf (Hermès),
leather belt (Maison Kitsuné), mini bag (By Far /HBX.com), strappy sandals (Sandro), earrings (John Hardy), necklace(COS), bracelets & ring (Swarovski)
Milkmaid Top & Strappy Sandals
早前為大家介紹過 2019 的 No.1 必備上衣是 Milkmaid Top,這款靈感是來自牛奶場女工服裝的上衣通常都採用泡泡袖加上方領設計,除了能遮手臂外,大方領設計可以露出鎖骨,非常顯瘦,加上帶著幾分小性感非常適合夏季,因此最近在法國時尚女生間相當流行。至於法國女生今季最愛的鞋子,首選幼搭帶有跟涼鞋(同時有 floss heels 之稱號),幼帶設計精緻又富女人味,而且還能突顯腿部線條。
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Minibag
近幾季時尚界流行起精緻小巧的手袋,就連一眾法國女生也大愛,愈小就愈時尚。今個夏天想要免去了累贅感,就精簡行裝吧!將沉甸甸的大包包換成 mini bag,走起路來自然就變得輕鬆優雅。人氣品牌 By Far 這款就是不錯的選擇,這個保加利亞品牌深受超模 Bella Hadid 的喜愛,在 Instagram 上超紅,此款小手袋除了可手提外,另附有長肩帶可作 crossbody bag 使用。
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- Outfit Idea #05 -
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off-shoulder top (Claudie Pierlot), floral skirt (Maison Kitsuné), basket bag (Celine),  straw hat (Standard / a beautiful store),  strappy sandals (agnès b.), Sunglasses (Super), necklace (Swarovski)
Off-shoulder
Top & Straw Bag
法國女生在穿搭上不會過份性感,恰道好處的小性感除了能低調地突顯女人味外,也能讓造型更吸睛,因此走健康性感的露肩裝絕對是夏日必備。款式方面,除了白色外,簡約的條紋款都是時尚法國女孩的最愛,下身不妨可以配上小碎花裙,加上草帽、涼鞋與本季大熱的籐織袋,就是一個休閒又時尚的夏日法式造型。
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相關文章:
法國女生有多愛這件外套?到了夏季,也要換成短袖繼續穿! 走在巴黎街頭,你會發現法國女生最常穿的基本單品是這 5 件! 法國女生這樣穿:用你衣櫃已有的這單品來搭配牛仔褲,輕鬆穿出法式知性氣質! 時尚造型從不以浮誇設計取勝!這 5 件隨性舒適的單品才是法國女生的必備配搭 Follow us on Facebook: fb.com/POPBEE Follow us on Instagram: Instagram.com/POPBEE
Styling/ Angel Fong Assisted by / Rachel Sy Photo / Mandy Kan Layout / Angel Fong Video / Angel Yip Model/ Addie S.@Sun Esee Make Up & Hair/ Man Lo Special Thanks / Between Haru (@betweenharu__) for the beautiful location
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emmaharrows · 6 years
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#52FilmsByWomen Challenge 2018
2017 list
Blame (dir. Quinn Shephard)
The Bye Bye Man (dir. Stacy Title)
Raw (dir. Julia Ducournau)
One of Us (dir. Heidi Ewing and Rachel Grady)
The Breadwinner (dir. Nora Twomey)
On Body and Soul (dir. Ildikó Enyedi)
Cléo From 5 to 7 (dir. Agnès Varda)
Becks (dir. Daniel Powell and Elizabeth Rohrbaugh)
To Die in Jerusalem (dir. Hilla Medalia)
A Wrinkle in Time (dir. Ava DuVernay)
Furlough (dir. Laurie Collyer)
A Thousand Acres (dir. Jocelyn Moorhouse)
Pitch Perfect 3 (dir. Trish Sie)
I Feel Pretty (dir. Abby Kohn and Marc Silverstein)
You Were Never Really Here (dir. Lynne Ramsay) 💖
Zama (dir. Lucrecia Martel)
Ratcatcher  (dir. Lynne Ramsay)
Blockers (dir. Kay Cannon)
Say Her Name: The Life and Death of Sandra Bland (dir. Kate Davis and David Heilbroner)
Love, Gilda (dir. Lisa D'Apolito)
Mary Shelley (dir. Haifaa Al-Mansour)
Ava (dir. Sadaf Foroughi)
Kedi (dir. Ceyda Torun)
Viva (dir. Anna Biller)
Ava (dir. Léa Mysius)
RBG (dir. Julie Cohen and Betsy West)
Cargo (dir. Ben Howling and Yolanda Ramke)
The Tale (dir. Jennifer Fox)
Summer 1993 (dir. Carla Simón)
Nancy (dir. Christina Choe) 
Bombshell: The Hedy Lamarr Story (dir. Alexandra Dean)
The Year of Spectacular Men (dir. Lea Thompson)
Women Who Kill (dir. Ingrid Jungermann)
Set It Up (dir. Claire Scanlon)
Leave No Trace (dir. Debra Granik)
Woman Walks Ahead (dir. Susanna White)
Novitiate (dir. Maggie Betts)
What Will People Say (dir. Iram Haq)
The Galapagos Affair: Satan Came to Eden (dir. Daniel Geller and Dayna Goldfine)
The Miseducation of Cameron Post (dir. Desiree Ahkavan)
The Beaches of Agnès (dir. Agnès Varda)
Madeline's Madeline (dir. Josephine Decker)
Concussion (dir. Stacie Passon)
To All the Boys I've Loved Before (dir. Susan Johnson)
Tank Girl (dir. Rachel Talalay)
The Bookshop (dir. Isabel Coixet)
Pick of the Litter (dir. Don Hardy Jr. and Dana Nachman)
Night Comes On (dir. Jordana Spiro)
I Think We're Alone Now (dir. Reed Morano)
All About Nina (dir. Eva Vives)
High Life (dir. Claire Denis)
Can You Ever Forgive Me? (dir. Marielle Heller) 💖
What They Had (dir. Elizabeth Chomko)
Rafiki (dir. Wanuri Kahiu)
Shirkers (dir. Sandi Tan)
Private Life (dir. Tamara Jenkins)
Tiny Shoulders: Rethinking Barbie (dir. Andrea Blaugrund Nevins)
Mary Queen of Scots (dir. Josie Rourke)
Capernaum (dir. Nadine Labaki) 💖
Bird Box (dir. Susanne Bier)
Destroyer (dir. Karyn Kusama)
The Land of Steady Habits (dir. Nicole Holofcener)
The Long Dumb Road (dir. Hannah Fidell)
On the Basis of Sex (dir. Mimi Leder)
bold = particularly recommended
💖 = major faves
@fuckyeahwomenfilmdirectors
5 notes · View notes
liliesofpur-i-ty · 7 years
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movies i saw in 2017
Jean Renoir, La regle de jeu
Jean Genet, Un chant d’amour
Jean Genet, An Interview with Antoint Bourseiller
Jack Hill, Spider Baby or, The Maddest Story Ever Told
Derek Jarman, The Last of England
Raoul Peck, I Am not Your Negro
Chris Marker / Walerian Borowczyk, Les astronoauts
Walerian Borowczyk, Les jeux des anges
Johannes Holzhausen, Das große Museum
Shuji Terayama, Pastoral: To Die in the Country
Aki Kaurismäki, Lights in the Dusk
Walerian Borowczyk, Théatre de Monsieur & Madame Kabal
Agnès Varda, Black Panthers
Sylvain Chomet, L’illusionniste
Jacques Tati, Mon oncle
Walerian Borowczyk, Une collection particulière
Katsuhiro Otomo, Akira
Xavier Dolan, Laurence Anyways
Pedro Almodóvar, Mujeres al borde de un ataque de “nervios”
Theo Angelopoulos, Landscape in the Mist
Theo Angelopoulos, Ulysses’ Gaze
Charlotte Zwerin / David Maysles / Albert Maysles, Running Fence
Peter Tscherkassky, Outer Space
Robin Hardy, The Wicker Man
Dario Argento, Suspiria
Nobuhiko Obayashi, House
Guy Maddin, My Winnipeg
Sofia Coppola, The Beguiled
Juho Kuosmanen, The Happiest Day in the Life of Olli Mäki
Jean Cocteau, Le sang d’un poète
Nikos Nikolaidis, Morning Patrol
Hitoshi Matsumoto, Symbol
Jacques Tati, Play Time
Arnaud Desplechin, Esther Khan
Peter Nestler, Am Siel
Jean-Christophe Averty, Alice in Wonderland
Carlos Enrique Taboada, Veneno para las hadas
Jean Renoir, Le grande illusion
Chris Marker, Description d’un combat
Chris Marker, Le fond de l’air est rouge
John Schlesinger, Billy Liar
Juraj Herz, Beauty and the Beast
Wong Kar-wai, In the Mood for Love
Nobuhiko Obayashi, Chris Marker, The Visitor in the Eye
Evan Johnson / Guy Maddin, The Forbidden Room
Chris Marker, Chats perchés
Peter Greenaway, The Draughtsman’s Contract
Peter Greenaway, A Zed & Two Noughts
Elichi Yamamoto, Beladonna of Sadness
Peter Greenaway, Drowning by Numbers
Jennifer Reeves, Trains Are for Dreaming
Jennifer Reeves, The Time We Killed
Jonas Mekas, Walden: Diaries, Notes & Sketches
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genevieveetguy · 6 years
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- Tell me one thing - are she and I the same to you? - No, very different. You make love better, you have fun. It's like a new wine for me. My head is spinning and your pleasure is in my heart. Like with Thérèse. She likes making love too - but she's calmer. I'm the one who leads the game. She likes me to have fun with her. She's tender - always there - and our kids look like her. You see, I'm being honest. - You taught me another game, we're more alike. Thérèse is like a hardy plant. You're like an animal set free. I love nature.
Le bonheur, Agnès Varda (1965)
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atelierscarole · 7 years
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Taon mort. Gravure d'Agnès Hardy. Visible pendant l'expo collective "émincé". https://www.facebook.com/events/758893897635030
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God Save My Shoes Trailer 3 min
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A documentary about the relationship between women and shoes. Set on a quest to decipher—from a psychological, sociological, historical, cultural, and erotic perspective—the fiery emotions that shoes exert on most women (and on quite some men), God Save my Shoes went from New York to Los Angeles, Paris to Milan, Toronto and Florence to interview extreme shoe collectors, everyday women, such celebrities as burlesque dancer Dita Von Teese, Fergie of the Black Eyed Peas, former Destiny’s Child singer Kelly Rowland, Paris opera ballerina Marie-Agnès Gillot, and Baroness Von Neumann. We also turned to fashion historian Valerie Steele of the FIT in New York, Toronto museum curator Elizabeth Semmelhack, women’s marketing expert Mary Lou Quinlan, industry mogul Vincent Camuto, Filipa Fino of Vogue USA, Caroline de Fayet of ELLE magazine, Moulin Rouge dancers, shoe fetishists, and such designers as Christian Louboutin, Manolo Blahnik, Walter Steiger, Pierre Hardy, Bruno Frisoni, Vivienne Westwood, Robert Clergerie… all those that play a role in the ubiquitous shoe phenomenon! Likes: 4 Viewed:
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lifejustgotawkward · 7 years
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365 Day Movie Challenge (2017) - #300: Sundays and Cybèle (1962) - dir. Serge Bourguignon
Many viewers have probably forgotten or perhaps never heard of the 1963 Academy Award winner for Best Foreign Language Film, but Sundays and Cybèle is a haunting, lyrically crafted gem, released at the same time that New Wave pioneers like Jean-Luc Godard, François Truffaut, Alain Resnais, Jacques Demy, Agnès Varda, Louis Malle and Claude Chabrol were counted among the dominant young artistic voices in French cinema. Serge Bourguignon was one of their contemporaries, but he never quite fit into the group, possibly because of Sundays and Cybèle’s critical/financial success overseas.
The story is simple: Pierre (Hardy Krüger), a pilot who has suffered from amnesia ever since a traumatic event from the French-Indonesian War in which his plane crashed and he killed a little girl, finds a new reason for happiness when he befriends Cybèle (enormously talented child actor Patricia Gozzi), who has been abandoned by her father at a convent. Pierre knows her only by the name given to her by the nuns, “Françoise,” but even so they unite over the shared burden of loneliness, quickly becoming dependent on each other for the kinds of comfort and conversation that that are not understood by the world of cynical adults. Of course, heads begin to turn in the small town of Ville-d’Avray; many locals are convinced that the bond between the emotionally damaged veteran and his young friend is not innocent or pure. Pierre’s girlfriend, Madeleine (Nicole Courcel), is also suspicious of the pair’s friendship, but even though in time she sees otherwise, she cannot avert the tragedy that strikes in the film’s final scenes.
Many of the images in Sundays and Cybèle float across the screen as though we are watching a dream. This is thanks to the evocative black-and-white cinematography by Henri Decaë (the masterful DP who shot Elevator to the Gallows, The 400 Blows and Léon Morin, Priest) and the lovely music by Maurice Jarre (the same year that he composed the score for Lawrence of Arabia). The ending is a tad rushed and some of the scenes showing tense interactions between Hardy Krüger and Nicole Courcel could have been shortened, but overall Sundays and Cybèle is a moving experience brimming with the bittersweet poetry of the human condition.
P.S. If you watch the film on the restored Criterion Collection DVD, do watch the interviews with Serge Bourguignon, Hardy Krüger and Patricia Gozzi. Bourguignon is a particularly fascinating figure since his directorial career was so brief; I don’t know why so many of his proposed projects fell through back in the day, but in the 2014 clip he appears to be quite charming.
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