#290924
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#hope the quality is okay:D#not sure what i feel about this coloring lmao but i had to start somewhere#911#911 abc#911 on abc#911edit#911 edit#911gifs#911 gifs#buddie#buddieedit#eddia diaz#eddiediazedit#evan buckley#evanbuckleyedit#911verse#my gifsets#290924#had to start with a super simple gifset lmao#im 100% prepared for this to get 0 notes cause ive been inactive for so long and barely posted 911#but whatever making this made me happy <3#no.18#9111
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Seonghwa // 290924 Paris Fashion Week
credit bylilyli
#ateez#seonghwa#park seonghwa#absolutely insane i won't ever stop thinking about him#and now i'm leaving again#might gif more of this seonghwa when i hopefully have a job in a couple of days
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[290924]
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290924 - Gala Competition at Esplanade Mall, Klang. Dance titled "Princess Nile" All the best and they won Silver for this dance.










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200924 urgence constante
+ L'importance, dans le combat, de désacraliser
240924 Va courir. Et surtout arrĂȘte de rĂ©flĂ©chir, c'est ce que tu fais de pire.
270924 Et s'il y a du soleil, j'en prends, et s'il y a de la pluie, je laisse tomber.Â
+ Les arbres trÚs excités du chemin.
+ Image: un gros pull à capuche jeté sur le haut d'une porte vitrée: que faire de la moitié déformée et qui pend derriÚre...
+ What you do and how then call you for doing it (the hair voltige lady) - Juan Carlos
+ Chill with violence (Juan Carlos)
280924 Ex-Hood (Josias)
290924 "in spite of suffering" (Leonard Cohen)
300924 Jean-Louis Dessalles: "Ce qui nous survit, à long terme, ce sont des informations, pas des molécules."
021024 Chanson du pianiste fantÎme et on n'entend que le bruit des touches de piano pianotées, pas les notes (mais je chante)
+ Tu es le pied
Et moi l'antenne
Tu fais l'angle obtusÂ
Je reste droitÂ
Je capte tout
Le pied regarde
Au ras du solÂ
Voit la merdeÂ
Sous sa semelle
Sent sans sentir
Je reste droit
Je capte tout
Je sais dĂ©jĂ Â
Un pied qui regarde
C'est ridicule
Une antenne
C'est un fouÂ
On n'a rien Ă se dire
Mais si l'on se disait tout
On verrait bien.
+ Moving forwards under falling leaves and rain - eyes open wide on the way - shining shapes brown and grey - going thoughtless into the white noise - Moving forwards under falling leaves and rain - certain of my goal - proud of my senses - eyes closed at times - Moving forwards under falling leaves and rain - not escaping anything - not trying to remember - but every now and then, an idea's putting a smile on my face - Moving forwards under falling leaves and rain -Â
+ J'arrĂȘte de faire du style. Parce que je veux raconter simplement qu'en montant les escaliers en essayant de ne pas faire de bruits avec mes pieds, dĂ©jĂ , ça me brĂ»le moins dans les jambes, et en plus, ça me fait remettre en question le souvenir que j'ai de mon pĂšre qui m'obligeait Ă faire comme ça, enfant, ce que je considĂ©rais comme une violence. J'arrĂȘte de croire sans regarder. J'arrĂȘte de dire que je ne peux pas trop me servir de mon ordinateur parce que je ne peux pas trop rester devant un Ă©cran Ă cause de mes yeux qui me font mal: dĂ©jĂ , ça n'est que l'oeil droit, et puis, avec tous les e-mails que j'Ă©cris, avec toutes les vidĂ©os Youtube que je regarde, et avec tout le porno que je me tape, en fait je peux bien taper ce que je veux. En plus, j'ai dĂ©cidĂ© d'arrĂȘter le porno, au moins pendant 90 jours, ce qui nous rendra au 1er janvier 2025, et dans l'espoir d'en ĂȘtre sevrĂ© ce jour-lĂ .Â
J'arrĂȘte de rĂȘver autrement que la nuit, je reprends mon passĂ© le plus important et je le rĂ©vise. Je suis en psychothĂ©rapie depuis environ un an, je crois que ça m'aide Ă arriver lĂ oĂč j'en suis. Et Ă l'Ă©crit, j'en suis peut-ĂȘtre Ă ce moment oĂč j'ose Ă©crire franchement, d'un trait brut, avec la confiance que c'est dans cette honnĂȘtetĂ© que va venir s'installer un style, une patte, quelque chose qui en fait n'a pas à ĂȘtre beau exprĂšs, mais que je vais laisser ĂȘtre. Je fais un saut risquĂ© en avant, comme je le conseille autour de moi si souvent. Comme je le fais, de mieux en mieux, en chantant sur scĂšne avec Josias, comme je le fais de mieux en mieux en disant non aux prĂ©tendants que je ne veux pas garder dans ma vie.
J'arrĂȘte de vouloir faire du style pour entamer ce projet qui s'appelle encore Marseille mais dont le nom Ă©voluera, je crois. Je vais parler de mon pĂšre, de la ville que je connais en puzzle, de mon frĂšre, peut-ĂȘtre un peu de ma mĂšre, de Fabien, de Nicolas, de violence et de croyance, de trajets aller-retour du Grau du Roi Ă Marseille en passant Ă cĂŽtĂ© d'Arles et de vacances, d'immeubles, beaucoup, de nuits dehors et dedans, de lits, de jeux, d'avions et de femmes... J'ai ouvert une liste, je la refermerai quand ça fera trop. Je vais m'efforcer de ne pas m'arrĂȘter Ă ce dĂ©but de texte. Je tape depuis que je suis rentrĂ© de la bibliothĂšque, il y a peut-ĂȘtre dix minutes, et j'ai peu eu besoin de regarder l'Ă©cran.
+ Et voilĂ que j'ai envie d'Ă©crire sur tout. Me libĂ©rer de l'onanisme dont j'Ă©tais l'esclave manuel et mental m'offre dĂ©jĂ , dĂšs le premier jour de la victoire, l'appĂ©tit de donner aux rĂ©alitĂ©s qui m'intĂ©ressent une face de plus. Je viens d'ĂȘtre objet de la magie du miel comme je ne l'avais jamais vĂ©cu. Ăa n'est rien puisque c'est connu, et pourtant j'en suis heureux et j'ai envie de le dire: mon palais me brĂ»lait Ă cause de tout ces bonbons au chocolats mangĂ©s plus tĂŽt Ă la bibliothĂšque, j'ai tout de mĂȘme mangĂ© des lĂ©gumes rĂąpĂ©s, du fromage et du pain grillĂ©, souffrant un peu de leur passage dans ma bouche, et voilĂ l'idĂ©e qui me vient d'Ă©teindre le feu avec du miel, mieux qu'avec de l'eau tiĂšde, me suis-je dit en pensĂ©e, et j'ai eu raison, l'effet en a Ă©tĂ© immĂ©diat! Et j'ai ajoutĂ© une seconde cuillĂšre Ă la dose initiale, par gourmandise, oui (du miel de bruyĂšre, achetĂ© au pays basque avec Manon, envoyĂ©e dans un colis par ses soins!), mais aussi pour continuer de sentir le miracle en mĂȘme temps que de le vivre. J'ai commencĂ© de me relire, mais je me suis retenu de le faire plus: je ne veux pas entendre  ma voix, mon style peut-ĂȘtre, je veux continuer d'Ă©crire pour le plaisir d'Ă©crire, la joie de dire, l'Ă©merveillement trĂšs actuel des mots qui me viennent et qui ne se bousculent pas dans ma tĂȘte, qui sortent gentiment par mes doigts, qui disent juste ce que je veux dire. Moi-mĂȘme, je ne me force pas, c'est dĂ©licieux! Je repense Ă la nuit derniĂšre oĂč je me suis dit, Ă plusieurs reprises, que tout mouvement, tout changement, chaque toucher, virement du corps vers l'autre cĂŽtĂ©, chaque bout de rĂȘve Ă©tait agrĂ©able, dans ce temps limitĂ© (et comment dire le contraire d'arrĂȘtĂ©?). Au rĂ©veil, j'avais mal Ă la hanche, Ă l'Ćil, au ventre. J'ai Ă©crit un jour qu'il se passe la nuit des choses terribles dans le corps et qu'il faudrait ne pas ĂȘtre lĂ , eh bien, la nuit derniĂšre, c'Ă©tait le contraire. Je sens que les sons, la musique, recommence Ă guider le choix de ce que je dis, je laisse faire mais je garde le sens comme prioritĂ©, c'est certainement cet Ă©quilibre-lĂ qui vaut le mieux. J'ai l'impression de dĂ©rouler un fil que j'ai enroulĂ© jusque lĂ , Ă©conomisant mes efforts avec la petite satisfaction de prĂ©parer un moment, ce mouvement qui commence. Ce soir, je suis heureux d'Ă©crire et ça ne me paraĂźt pas vain. Je pense bien Ă Manon et Ă d'autres lecteurs potentiels mais lĂ aussi, Ă©quilibre: je laisse cette considĂ©ration sur le bord de la route. Je fais l'expĂ©rience de dire et je jouis du processus, pour moi, et je montrerai ça demain ou plus tard, si j'en ai l'envie. Je sens mon attention dĂ©viĂ©e, ma concentration dĂ©croitre. Ăvidemment, le grand responsable en est ce smartphone allumĂ© sur le cĂŽtĂ© droit du bureau. Mais voilĂ que ce mot, bureau, me replonge dans les images qui viennent de moi: mon bureau! J'en parle, oui, d'habitude, mais ça me donne rarement la fiertĂ© que je ressens Ă l'instant prĂ©sent. J'Ă©cris un texte sur mon bureau, je tape un texte, je rĂ©dige en inventant des phrases qui traduisent ce que je ressens! FiertĂ©, je vais de l'avant, vorwĂ€rts, comme j'aime le dire! Je suis sĂ©chĂ©, je m'arrĂȘte, de parler cette fois. Â
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290924
groceries fo today
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ay (290924)
Amor, han sido dĂas tan turbulentos desde mi regreso y en cada uno de ellos ha existido y estado presente nuestro grande amor.
anoche tuve un desliz de locura.. el desequilibrio de mi madre, la adicciĂłn, tu rostro consternado, mi decisiĂłn a hacer lo que tenĂa que hacer, y terminar haciĂ©ndolo. Ir a de vigilia a estar con nuestro Señor y volver a tus brazos que me esperaban en mi cama, junto a mi hijo, al que tambiĂ©n amas... Pero lo que quiero destacar, es que hoy hablamos sobre hacer el amor, te lo verbalicĂ© mirĂĄndote a los ojos, hice un juego, un simulacro, siendo que ya te habĂa bebido por completo anteriormente... pero no fue ahĂ. Fue despuĂ©s, que tĂș me dijiste que me suba en ti, y yo diciendo no, invoquĂ© la doctrina, la verdad que adoptamos, y te dije que no... que tranquilo, pero aĂșn asĂ te encajaste en mi, dos veces te roguĂ© salirte, y a la tercera, entrĂł de una manera tan perfecta, tan predestinada y bendita, que las palabras de mi boca solo reforzaron que siguieras entrando y saliendo de mi hasta recibir tu Ă©xtasis que me baña. No sĂ© si estarĂ© siendo injusta, pero encuentro en mi memoria pocos momentos tan sublimes de hacer el amor... La seriedad de tus ojos, la precisiĂłn de tus palabras, la vibraciĂłn que se siente en cada disparo. Me has hecho tan feliz amor, tan feliz.
Y no contento con eso, estando encima de mi, me miras, me besas, me acaricias, bajas por mil pensamientos mientra sigues en mis entrañas haciéndote cada vez mås pequeño... no pude calcular el tiempo, no hubiese deseado hacerlo.
sólo sé que te amo Alen Carrizo, y que todo, todo, todo, es un camino trazado por algo mås grande, que vale la pena, porque en esta vida si merecemos ser plenos y felices.
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ăăăăăăžăăŁăă«èĄăă
ăăăŸăăȘăæ©äŒæ„œăăăŸđ”
290924/0014
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