#290924
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epiaphany · 5 months ago
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♡。゚.(*♡´‿` 人´‿` ♡*)゚♡ °・ boyfriends™
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dlsintegration · 5 months ago
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seonghwasblr · 5 months ago
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Seonghwa // 290924 Paris Fashion Week
credit bylilyli
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annaxmalina · 5 months ago
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[290924]
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awarree · 5 months ago
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290924
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atmysa · 5 months ago
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dlsintegration · 5 months ago
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ginette2ndgirl · 4 months ago
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290924 - Gala Competition at Esplanade Mall, Klang. Dance titled "Princess Nile" All the best and they won Silver for this dance.
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gedjub · 4 months ago
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200924 urgence constante
+ L'importance, dans le combat, de désacraliser
240924 Va courir. Et surtout arrête de réfléchir, c'est ce que tu fais de pire.
270924 Et s'il y a du soleil, j'en prends, et s'il y a de la pluie, je laisse tomber. 
+ Les arbres très excités du chemin.
+ Image: un gros pull à capuche jeté sur le haut d'une porte vitrée: que faire de la moitié déformée et qui pend derrière...
+ What you do and how then call you for doing it (the hair voltige lady) - Juan Carlos
+ Chill with violence (Juan Carlos)
280924 Ex-Hood (Josias)
290924 "in spite of suffering" (Leonard Cohen)
300924 Jean-Louis Dessalles: "Ce qui nous survit, à long terme, ce sont des informations, pas des molécules."
021024 Chanson du pianiste fantôme et on n'entend que le bruit des touches de piano pianotées, pas les notes (mais je chante)
+ Tu es le pied
Et moi l'antenne
Tu fais l'angle obtus 
Je reste droit 
Je capte tout
Le pied regarde
Au ras du sol 
Voit la merde 
Sous sa semelle
Sent sans sentir
Je reste droit
Je capte tout
Je sais déjà 
Un pied qui regarde
C'est ridicule
Une antenne
C'est un fou 
On n'a rien à se dire
Mais si l'on se disait tout
On verrait bien.
+ Moving forwards under falling leaves and rain - eyes open wide on the way - shining shapes brown and grey - going thoughtless into the white noise - Moving forwards under falling leaves and rain - certain of my goal - proud of my senses - eyes closed at times - Moving forwards under falling leaves and rain - not escaping anything - not trying to remember - but every now and then, an idea's putting a smile on my face - Moving forwards under falling leaves and rain - 
+ J'arrête de faire du style. Parce que je veux raconter simplement qu'en montant les escaliers en essayant de ne pas faire de bruits avec mes pieds, déjà, ça me brûle moins dans les jambes, et en plus, ça me fait remettre en question le souvenir que j'ai de mon père qui m'obligeait à faire comme ça, enfant, ce que je considérais comme une violence. J'arrête de croire sans regarder. J'arrête de dire que je ne peux pas trop me servir de mon ordinateur parce que je ne peux pas trop rester devant un écran à cause de mes yeux qui me font mal: déjà, ça n'est que l'oeil droit, et puis, avec tous les e-mails que j'écris, avec toutes les vidéos Youtube que je regarde, et avec tout le porno que je me tape, en fait je peux bien taper ce que je veux. En plus, j'ai décidé d'arrêter le porno, au moins pendant 90 jours, ce qui nous rendra au 1er janvier 2025, et dans l'espoir d'en être sevré ce jour-là. 
J'arrête de rêver autrement que la nuit, je reprends mon passé le plus important et je le révise. Je suis en psychothérapie depuis environ un an, je crois que ça m'aide à arriver là où j'en suis. Et à l'écrit, j'en suis peut-être à ce moment où j'ose écrire franchement, d'un trait brut, avec la confiance que c'est dans cette honnêteté que va venir s'installer un style, une patte, quelque chose qui en fait n'a pas à être beau exprès, mais que je vais laisser être. Je fais un saut risqué en avant, comme je le conseille autour de moi si souvent. Comme je le fais, de mieux en mieux, en chantant sur scène avec Josias, comme je le fais de mieux en mieux en disant non aux prétendants que je ne veux pas garder dans ma vie.
J'arrête de vouloir faire du style pour entamer ce projet qui s'appelle encore Marseille mais dont le nom évoluera, je crois. Je vais parler de mon père, de la ville que je connais en puzzle, de mon frère, peut-être un peu de ma mère, de Fabien, de Nicolas, de violence et de croyance, de trajets aller-retour du Grau du Roi à Marseille en passant à côté d'Arles et de vacances, d'immeubles, beaucoup, de nuits dehors et dedans, de lits, de jeux, d'avions et de femmes... J'ai ouvert une liste, je la refermerai quand ça fera trop. Je vais m'efforcer de ne pas m'arrêter à ce début de texte. Je tape depuis que je suis rentré de la bibliothèque, il y a peut-être dix minutes, et j'ai peu eu besoin de regarder l'écran.
+ Et voilà que j'ai envie d'écrire sur tout. Me libérer de l'onanisme dont j'étais l'esclave manuel et mental m'offre déjà, dès le premier jour de la victoire, l'appétit de donner aux réalités qui m'intéressent une face de plus. Je viens d'être objet de la magie du miel comme je ne l'avais jamais vécu. Ça n'est rien puisque c'est connu, et pourtant j'en suis heureux et j'ai envie de le dire: mon palais me brûlait à cause de tout ces bonbons au chocolats mangés plus tôt à la bibliothèque, j'ai tout de même mangé des légumes râpés, du fromage et du pain grillé, souffrant un peu de leur passage dans ma bouche, et voilà l'idée qui me vient d'éteindre le feu avec du miel, mieux qu'avec de l'eau tiède, me suis-je dit en pensée, et j'ai eu raison, l'effet en a été immédiat! Et j'ai ajouté une seconde cuillère à la dose initiale, par gourmandise, oui (du miel de bruyère, acheté au pays basque avec Manon, envoyée dans un colis par ses soins!), mais aussi pour continuer de sentir le miracle en même temps que de le vivre. J'ai commencé de me relire, mais je me suis retenu de le faire plus: je ne veux pas entendre  ma voix, mon style peut-être, je veux continuer d'écrire pour le plaisir d'écrire, la joie de dire, l'émerveillement très actuel des mots qui me viennent et qui ne se bousculent pas dans ma tête, qui sortent gentiment par mes doigts, qui disent juste ce que je veux dire. Moi-même, je ne me force pas, c'est délicieux! Je repense à la nuit dernière où je me suis dit, à plusieurs reprises, que tout mouvement, tout changement, chaque toucher, virement du corps vers l'autre côté, chaque bout de rêve était agréable, dans ce temps limité (et comment dire le contraire d'arrêté?). Au réveil, j'avais mal à la hanche, à l'œil, au ventre. J'ai écrit un jour qu'il se passe la nuit des choses terribles dans le corps et qu'il faudrait ne pas être là, eh bien, la nuit dernière, c'était le contraire.  Je sens que les sons, la musique, recommence à guider le choix de ce que je dis, je laisse faire mais je garde le sens comme priorité, c'est certainement cet équilibre-là qui vaut le mieux. J'ai l'impression de dérouler un fil que j'ai enroulé jusque là, économisant mes efforts avec la petite satisfaction de préparer un moment, ce mouvement qui commence.  Ce soir, je suis heureux d'écrire et ça ne me paraît pas vain. Je pense bien à Manon et à d'autres lecteurs potentiels mais là aussi, équilibre: je laisse cette considération sur le bord de la route. Je fais l'expérience de dire et je jouis du processus, pour moi, et je montrerai ça demain ou plus tard, si j'en ai l'envie.  Je sens mon attention déviée, ma concentration décroitre. Évidemment, le grand responsable en est ce smartphone allumé sur le côté droit du bureau.  Mais voilà que ce mot, bureau, me replonge dans les images qui viennent de moi: mon bureau! J'en parle, oui, d'habitude, mais ça me donne rarement la fierté que je ressens à l'instant présent. J'écris un texte sur mon bureau, je tape un texte, je rédige en inventant des phrases qui traduisent ce que je ressens! Fierté, je vais de l'avant, vorwärts, comme j'aime le dire! Je suis séché, je m'arrête, de parler cette fois.  
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elfuegointerior · 5 months ago
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290924
Soñé que mi tío Nacho cargaba un bebé y lo dejaba acostado sobre el barrote de una alcantarilla. Parecía que en cualquier momento podría caer e irse por el drenaje. Traté de rescatarlo, pero se me caía de las manos un poco más de un metro hasta el agua lodosa y estancada. Caía boca arriba y veía que en realidad se trataba de un juguete, aunque antes sí se movía y era un bebé real.
I dreamt that my uncle Nacho was holding a baby and laid it on the rail of a sewer grate. It looked like it could fall into the drain at any moment. I tried to rescue it, but it slipped from my hands and fell more than a meter into the muddy, stagnant water. It landed face up, and I saw that it was actually a toy, although before it had moved and had been a real baby.
Este sueño parece reflejar ansiedades sobre la protección y la seguridad de los vulnerables o la preocupación por perder algo valioso. El cambio de un bebé real a un juguete podría simbolizar la desmitificación de un miedo o la resolución de una preocupación que inicialmente parecía más grave de lo que era.
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atmysa · 5 months ago
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almostdailydrawing · 5 months ago
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290924
groceries fo today
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seoltang993 · 5 months ago
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290924
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arkhabian · 5 months ago
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[290924] Selamat ulang tahun, katanya.
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atmysa · 5 months ago
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virahalen · 5 months ago
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ay (290924)
Amor, han sido días tan turbulentos desde mi regreso y en cada uno de ellos ha existido y estado presente nuestro grande amor.
anoche tuve un desliz de locura.. el desequilibrio de mi madre, la adicción, tu rostro consternado, mi decisión a hacer lo que tenía que hacer, y terminar haciéndolo. Ir a de vigilia a estar con nuestro Señor y volver a tus brazos que me esperaban en mi cama, junto a mi hijo, al que también amas... Pero lo que quiero destacar, es que hoy hablamos sobre hacer el amor, te lo verbalicé mirándote a los ojos, hice un juego, un simulacro, siendo que ya te había bebido por completo anteriormente... pero no fue ahí. Fue después, que tú me dijiste que me suba en ti, y yo diciendo no, invoqué la doctrina, la verdad que adoptamos, y te dije que no... que tranquilo, pero aún así te encajaste en mi, dos veces te rogué salirte, y a la tercera, entró de una manera tan perfecta, tan predestinada y bendita, que las palabras de mi boca solo reforzaron que siguieras entrando y saliendo de mi hasta recibir tu éxtasis que me baña. No sé si estaré siendo injusta, pero encuentro en mi memoria pocos momentos tan sublimes de hacer el amor... La seriedad de tus ojos, la precisión de tus palabras, la vibración que se siente en cada disparo. Me has hecho tan feliz amor, tan feliz.
Y no contento con eso, estando encima de mi, me miras, me besas, me acaricias, bajas por mil pensamientos mientra sigues en mis entrañas haciéndote cada vez más pequeño... no pude calcular el tiempo, no hubiese deseado hacerlo.
sólo sé que te amo Alen Carrizo, y que todo, todo, todo, es un camino trazado por algo más grande, que vale la pena, porque en esta vida si merecemos ser plenos y felices.
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