#2020 Cadillac CT5 Dimensions
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engineofficia · 5 years ago
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2021 Cadillacs CT5 Interior, Specs, Dimensions
2021 Cadillacs CT5 Interior, Specs, Dimensions
2021 Cadillacs CT5 Interior, Specs, Dimensions – Today we’re gonna get a look at the all-new 2021 Cadillacs CT5. This one is finished off in black Raven. It has an MSRP of just over 46,000 dollars.
2021 Cadillacs CT5 Changes Exterior Design
Starting upfront, we’re gonna take a look at a signature lighting design from Cadillac. And that is the vertical DRL. You can see it running on the outermost…
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blogueericdescarries · 4 years ago
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L’inspirante Cadillac CT4-V !
Le 18 novembre 2020
Comme je l’ai annoncé la semaine dernière après mon essai de la Cadillac CT5-V, cette semaine sera une suite logique du reportage de la semaine dernière alors que je vous transmets mes impressions sur la Cadillac CT4-V. Mais avant de débuter, telle ne fut pas ma surprise de lire l’article d’un jeune journaliste que je respecte concernant la CT4 dans un grand journal montréalais de dimanche. Il considère la CT4 une de ses grandes déceptions de 2020.
Malgré tout le respect que je lui dois, je me demande si nous avons conduit la même voiture. Car, dans mon cas, j’ai été enchanté de la CT4 dans sa version de performance V. Il faut dire que j’en suis l’évolution depuis son dévoilement à Detroit il y a deux ans! De plus, j’ai conduit l’auto pendant une semaine tout de suite après la CT5. Plus ironique encore, je ne suis pas nécessairement un amateur de Cadillac (je possède deux Lincoln) et qui plus est, je suis de l’âge où l’on devrait rechercher des Cadillac! Mais, je vous le dis tout de suite, ce n’est pas la Caddy qui aurait fait rêver votre père, ni même votre grand-père!
Au départ, il faut dire que cette petite berline de Cadillac a toute une tâche à accomplir. En effet, elle est la seule de souche nord-américaine à se mesurer à des icônes comme les Mercedes-Benz de Classe A, les Audi A3 ou les BMW de la Série 2. Évidemment, elle n’affiche pas le style de ces voitures européennes mais plutôt un style bien à elle quoique inspiré des autres Cadillac. On y voit même des ressemblances étonnantes avec la CT5. Mais les deux autos sont vraiment différentes. Toutefois, rassurez-vous, cette fois, Cadillac n’a pas répété son erreur des Cimarron des années quatre-vingt (des horribles autos basées sur une coque de Cavalier sans grande finition!). Déjà, je dois vous dire que c’est même mieux que les ATS qui les précédaient. Cependant, vous aurez compris que la direction que Cadillac prend avec ses versions V (incluant la finition Blackwing à venir) est inspirée des exploits en course de la grande marque américaine. Encore le weekend dernier, Cadillac a remporté le trophée du constructeur de l’année de la série IMSA Weather Tech Sports Car Challenge avec ses prototypes à moteur V8 central! Les CTS du passé ont aussi écumé les circuits routiers américains il y a quelques années dans les divisions de voitures de production (saviez-vous que Cadillac avait déjà participé aux 24 Heures du Mans au début des années cinquante?).
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La «petite» Cadillac CT4-V est plus impressionnante qu’il n’y paraît. (Photo Éric Descarries)
Je vous laisse juger de vous-mêmes des lignes de la CT4-V. Moi, je les trouve modernes sans les exag��rations que l’on voit sur certaines autos asiatiques. Elles représentent bien l’ADN de Cadillac sans obligatoirement copier ce qui se fait ailleurs.
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Même de l’arrière, la CT4-V a toute une présence sur la route. (Photo Éric Descarries)
Plusieurs observateurs ont noté que l’intérieur de la CT4 manque de panache. Jusqu’à un certain point, c’est vrai. Mais cette fois, Cadillac ne nous offre pas un intérieur surchargé de chrome et de faux-bois (ce que ces mêmes observateurs reprochaient à Cadillac dans le passé!). Il est donc sobre mais demeure relativement bien fini. Le tableau de bord n’affiche pas une ligne remarquable mais tout y est bien disposé alors que l’instrumentation (numérique reproduisant des cadrans ronds) y est claire et précise. J’ai bien aimé, encore fois, l’affichage du compteur de vitesse en réflexion à l’intérieur du pare-brise! On peut le neutraliser si l’on n’aime pas! Moi, je trouve que c’est un élément de sécurité important. Le conducteur retrouvera le levier de changements de vitesses à la console (un peu large, je l’avoue).
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La Cadillac CT4 ne présente pas un tableau de bord très «design» mais tout y est bien disposé. (Photo Éric Descarries)
Les sièges ne sont pas tant élégants qu’ils sont pratiques avec des supports latéraux solides. Ils sont chauffants ou ventilés alors que le volant est chauffant. Et celui-ci permet une bonne prise! Quant aux places arrière, elles sont confortables mais comme c’en est le cas pour toutes (ou presque) les berlines de ce créneau (incluant les sacro-saintes européennes), l’espace pour les jambes des occupants peut être relativement limité (alors que la CT5 procurait beaucoup de place!). Enfin, le coffre est quand même respectable. Évidemment, il s’agrandit en abaissant les dossiers des sièges d’arrière.
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Les dimensions extérieures de la CT4 ne lui permettent pas d’offrir autant de place pour les jambes à l’arrière que la CT5. (Photo Éric Descarries)
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Le coffre est relativement utile avec de bonnes dimensions. (Photo Éric Descarries)
En ce qui a trait à la mécanique, la CT4 de base arrive avec un quatre cylindres de 2,0 litres qui n’est certes pas un foudre de guerre. Toutefois, la CT4-V est livrée d’usine avec un quatre cylindres de 2,7 litres turbocompressé (originalement conçu pour la camionnette Silverado mais qui fait très bien dans la petite Cadillac…de tout façon, de nos jours, la plupart des moteurs de camionnettes viennent de voitures et vice versa!) qui développe pas moins de 325 chevaux ce qui n’est pas loin des 360 chevaux de la CT5-V !  La boîte de vitesses auto de la version de base est à huit rapports mais la CT4-V a droit �� celle à dix rapports! De base, toutes les CT4 sont à propulsion (ses concurrentes sont à traction) mais la V que j’ai conduite était à traction intégrale, un choix que je crois sera unanime parmi les acheteurs de la marque (et qui sera très utile en hiver). Je ne peux malheureusement pas vous parler de la version Blackwing qui n’est pas encore dévoilée (plusieurs observateurs croient que celle-ci aura l’ancien moteur V6 de 3,6 litres turbocompressé de l’ancienne CTS-V mais moi, je m’attends plutôt au V6 turbo de la CT5-V avec un peu plus de puissance…). La suspension est indépendante aux quatre roues alors que le freinage se fait via des disques aux quatre roues avec la technologie Brembo à l’avant.  
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Pour le moment, le moteur le plus puissant de la CT4-V est ce quatre cylindres turbocompressé de 2,7 litres. (Photo Éric Descarries)
Sur la route
C’est ici que mes opinions doivent différer. J’ai conduit les deux Cadillac l’une derrière l’autre. Alors que je n’ai pas été impressionné outre mesure par les 360 chevaux de la CT5-V, le quatre cylindres de la CT4-V m’a beaucoup plu. Ses temps d’accélérations de 0 à 100 km/h approchaient ceux de la CT5 tournant autour des six secondes alors que les reprises étaient plus qu’amusantes. Il est vrai que le son du quatre cylindres est plus rauque que celui du V6 mais le «petit» moteur m’a tellement paru plus vivant, plus agile que je ne peux que le vanter. Incidemment, ce même moteur est beaucoup plus silencieux en vitesse de croisière! Il faut dire que la boîte à dix rapports a beaucoup contribué à la sensation de «sportive» que la CT4-V m’a procurée. Les gros pneus Continental 235/35R19 ont fort probablement contribué à la bonne tenue de route de la CT4-V dans les virages serrés des petites routes où je l’ai essayée. Quant au freinage, inutile de vous dire qu’il m’a paru très puissant !
Au niveau de la consommation, j’ai obtenu une moyenne à la pompe (selon mes calculs) de 10,94 l/100 km alors que l’ordinateur de bord indiquait 10,6! Très près et fort possiblement équivalent à ce que la concurrence m’aurait donné!
Une berline Cadillac CT4 V-Series débute à 45 398$. Celle qui a servi à ce reportage incluait des options comme un toit ouvrant de 1295 $, un ensemble Technologie de 1350 $, une sellerie perforée de 1845 $, une illumination avant d’appoint de 475 $, des étriers de freins Brembo avant de 685 $, des jantes spéciales de 3062 $. Ajoutez à cela l’ensemble audio Bose et le système de navigation de 920 $, l’ensemble d’avertissement Driver Awareness de 925 $ et l’aide à la conduite de 1425 $ (en plus de la taxe d’accise de 100 $ pour la climatisation et les frais de transport et de livraison de 2100 $ et on obtient une facture de 59 580 $ …plus taxes! Ne manquait plus que le système de conduite automatique Super Cruise!
Je suis demeuré avec une bonne impression de cette «petite» voiture que je n’ai pas hésité à recommander à un de mes amis qui y était intéressé (il vise plus la version de base mais avec la traction intégrale). C’est fou comment beaucoup de gens croient qu’il faille éviter les autos américaines pour des raisons quelque fois débattables. Dans le cas de la CT4, surtout dans sa version V, je ne vois pas pourquoi on devrait la dénigrer face à sa concurrence étrangère. Je crois que cette «petite» Cadillac est enfin la bonne réponse de Cadillac à cette concurrence !
À venir, la Kia K5
La semaine dernière, j’ai eu l’opportunité de conduire un peu en «avant-première» la nouvelle berline K5 de Kia, une «grande» voiture intermédiaire qui remplace maintenant la Kia Optima (née Magentis) avec laquelle j’ai couvert quelque centaines de kilomètres durant la même journée. C’était, bien entendu, en vue du vote à l’AJAC pour le titre de Voiture de l’Année (il n’y aura pas eu de TestFest ou Festival des Essais cette année, COVID oblige). J’ai bien aimé ce que j’y ai vécu mais je préfère garder mes opinions pour un reportage après une semaine complète avec cette auto. Ce sera certes pour les semaines à venir…
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La nouvelle Kia K5 présente une ligne plutôt moderne et surprenante pour une berline de cette catégorie. (Photo Éric Descarries)
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fokohow · 4 years ago
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CADILLAC XT6: 10 THINGS TO KNOW
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Here are 10 things you might want to know about the new 2020 Cadillac XT6.
Not only did I recently take advantage of a round trip between Montreal and Quebec City to familiarize myself with the XT6 SUV, I also experienced Cadillac’s online service (Cadillac Live) for an hour to discuss 10 things you should know in greater depth. Or what I thought I knew…
1 Hello, I’m listening!
Cadillac Online is a web-based conversation between you and a Cadillac expert. Please note that I do not write “sales consultant”. The expert will talk to you about all aspects of any Cadillac product except price. To negotiate, buy or lease, you will need to contact a Cadillac dealer.
The expert will be happy to pass the baton to the franchisee you already know, or he will suggest two or three based on your postal code. Either way, everyone knows everything about us these days…
2 Secret Fortress
They are several experts walking around, camera in hand, in what looks like a vast futuristic showroom where at least one of every Cadillac currently on the Canadian market is assembled. The exact location of the white cave is kept secret. All we know is that it’s somewhere in Ontario. Come to think of it, it may be the underground bunker used by Mike Myers to shoot his Austin Powers trilogy. Except that the expert I talked to didn’t look at all like Dr. Evil.
3 Very Special Agent
Her name was Amy. Originally from Saguenay, she has been working for Cadillac Online since the beginning of the digital initiative in March 2019. As soon as we connect, go ahead and ask all your questions. Amy is the one holding the camera and pointing it at the part of the vehicle you are interested in. You’re actually driving around the XT6 with her. You can see her (when she points the lens at her face) but she can’t see you, so you can store at the poolside, Amy won’t mind.
4 An invention from here
She told me that her conversations with potential clients can last three minutes (she is given a specific glue) or an hour and a half (probably the client really wants to talk that day). This unique service is available seven days a week, in both official languages, until one o’clock in the morning on weekdays.
Cadillac Live was created for Canadians, and then Americans followed suit in January of this year. Natalie Nankil, Senior Director of Communications for General Motors products, admits that the service is still “a little too well kept secret” but now that the pandemic has gotten people used to talking about Zoom and online shopping is on the rise, the virtual showroom’s popularity is expected to snowball.
5 From the place
The first aspect of the XT6 that Amy wants to highlight is its three rows of seats. Those in the middle easily disappear from the path to the folding seats, but you have to step over a high threshold and endure cruel padding for the buttocks. On the other hand, the high clearance smiled perfectly at my sombrero.
My laziness also loved the 50/50 seatbacks in the back seat that lower and raise at the touch of an electric switch. Standard, too.
In the Premium Luxury model, the cabin is clad in exotic wood, while in the Sport, the cabin prefers carbon fiber. On the outside, the two versions stand out mainly through the use of chrome or blacked-out edging, but only the Sport is available with the optional 21-inch soles.
6 Mission luxury
In addition to good old-fashioned buttons on the panel, console and steering wheel, a rotary joystick allows you to manipulate the 8″ center screen without smudging it with fingerprints. The 14-speaker Bose Performance Series sound system helps us better understand what Hubert Lenoir is saying. Plus, six USB jacks, one pair per row of leather thrones.
The XT6 comes with a host of driving aids, but the optional ones are just as numerous as the standard ones. What about the Super Cruise? You know, GM’s artificial intelligence that governs its semi-autonomous driving system (the equivalent of Tesla’s Autopilot and Nissan’s ProPILOT). The gizmo is currently available on the Cadillac CT5, CT5-V, CT4-V and Escalade 2021, but not yet for the XT6, and no one has been able to tell me when this gap will be filled.
7 A little publicity?
Built at the Spring Hill, Tennessee plant, the Cadillac XT6 first made its world debut at the 2019 Detroit Auto Show – the last in its long history to be held in January – and its Canadian debut at the Toronto Auto Show in February of that year. GM immediately positioned it between the XT5 and the Escalade.
During the last six months of 2019 when the XT6 went on sale, 46 units were sold in Quebec. Far, far behind the two leaders in the luxury mid-size SUV segment, the Lexus RX (940) and the Mercedes-Benz GLE (885). At least the little brother XT5 saved face with 788 contracts.
8 In the bowels
The 310-horsepower 3.6L V6 is certainly not exclusive to the XT6. Lift the hood of the XT5, a Colorado or Canyon, the Traverse/Acadia/Enclave trio (identical platform to the Cadillac) or even a Camaro LS or LT and there it is, all dashing. At the very least, it puts two cylinders to rest when the power of the V6 isn’t needed. Add to this good idea the 9-speed automatic transmission plus the four driving modes, and you can expect fuel consumption of between 9 and 12 liters per 100 km.
9 Confort sportif
The Sport model’s all-wheel drive (AWD) makes its occupants feel more agitated, while the firmness of the shocks continually yo-yoes with the nature of the surface encountered under the tires and the steering wheel, with its heightened sensitivity, wiggles a little more in the driver’s palms.
10 Figures
What does the 2863 mm wheelbase and 5050 mm length of the XT6 tell us? That they slightly exceed the dimensions of a class-leading Lexus RX. The 356, 1220 or 2228 liter capacity, depending on the number of reclining backrests, also looks good, as does the towing capacity of 1814 kg (4000 lbs). In short, starting at $61,098 (compared to $87,698 for the V8-powered Escalade), the XT6 is aimed above all at the followers of a brand whose prestige still overshadows the many assets of the vast competition. At least in their eyes… and certainly according to Amy!
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jesusvasser · 7 years ago
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Deep Dive: Cadillac’s New, Exclusive 4.2-Liter Twin-Turbo V-8
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Whatever you do, don’t call it Northstar. According to John Rydzewski, assistant chief engineer of the all-new 550-hp Cadillac V-8 engine, the powerplant was called many things during its roughly four-year development, but in the end they’re just calling it exactly what it is: twin-turbo 4.2-liter V-8. No funny alphanumerics or drawing on history here. Considering the Cadillac brand’s devotion to letters and numbers for all of its nameplates except the Escalade, we’re a little surprised something like NS2 didn’t wiggle its way into its lexicon.
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General Motors devotees will remember the Northstar as the first and—aside from the engine powering the limited first-gen Corvette ZR-1—the only DOHC V-8 that GM has produced. It was a silky-smooth mill in its day that served in the top-range Caddys, Oldsmobiles, Pontiacs, and Buicks. But this new engine isn’t much like that one.
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Starting at the top, it certainly looks different. That’s because the rotocast aluminum heads have a reversed flow, creating what is called a “hot V,” to feed two Mitsubishi Heavy Industries TD03 twin-scroll turbochargers nestled in the valley of the engine. This arrangement is common among the German automakers, with Audi, Porsche, Mercedes, and BMW all running hot-V twin-turbo V-8s. Positioning the turbos as close to the exhaust ports as possible is advantageous to response and efficiency, and it also simplifies exhaust plumbing to allow the turbos to receive even exhaust pulses from a cross-plane V-8. Air-to-liquid intercoolers also located atop the engine reduce the intake temperature before the air makes its way through cast aluminum intake manifolds and into the cylinders.
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The sandcast aluminum block is a clean-sheet design, according to Cadillac, and it is fitted with a 10-quart sump, cross-bolted main bearing caps, a forged steel crankshaft and connecting rods, pistons from Mahle, and 5000-plus-psi direct fuel injection. The compression ratio is 9.8:1. The exhaust manifolds are integrated with the hot side of the turbo housings, which encase titanium turbine wheels spinning at up to 170,000 rpm while pressurizing the intake manifolds with as much as 20.0 psi of boost.
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Both intake and exhaust camshafts feature cam phasers. Hydraulic lifters acting on roller finger followers can deactivate valves, enabling cylinder deactivation and V-4 operation to save some fuel. The 4.2’s default firing order is 1-5-4-3-6-8-7-2, which is different from that of GM’s venerable small-block engine, and then changes to to 1-4-6-7 in V-4 mode.
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Cadillac says the new 4.2 is actually a little lighter and a little more compact than the LT4. We find this hard to believe, considering compact dimensions are among the biggest selling points of GM’s small-block. Engineers point to the shorter block (by 50 mm), made possible by bore spacing down to 96.0 mm from 111.7 mm in the small-block.
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For now, this new 4.2 will live exclusively in the Cadillac CT6. It will launch in the freshly unveiled CT6 V-Sport with an estimated 550 horsepower at 5700 rpm and 627 lb-ft of torque from 3200 to 4000 rpm. (Ninety percent of the torque is available as low as 2000 rpm.) That’s breathtaking torque, as in it takes the breath out of the competition. The 553-lb-ft BMW M5 is the closest, but an M5 beater the CT6 V-sport is not. Its mission isn’t too dissimilar from that of a V-8–powered Mercedes-Benz S-class, which is to deliver ultrasmooth and quiet operation while still being able to outrun the vast majority of cars on the road when called on.
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After the V-Sport launches, a 500-horse version of the 4.2 will join the CT6 ranks sometime in the first few months of 2019, with the only differences being a slightly different exhaust and ECU tuning. All V-8–powered CT6s will receive the 10-speed automatic transmission and an all-wheel-drive transfer case. The front axle runs through the oil pan, ensuring the engine is mounted mostly behind the axle line for optimal weight distribution. While Cadillac’s representatives won’t talk about future product, they made it clear to us that there is potential left untapped in the engine to make an even more powerful version.
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Cadillac CT6: The Everything-You-Need-to-Know Review
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2020 Cadillac CT5 Spied: Renewing the Fight with BMW’s 3-series
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2019 Cadillac XT4 Crossover Interior Spied: Buttons Are Back
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Character, specifically under-the-radar smoothness, is the reason for a Cadillac-only V-8. Sure, Cadillac could have slapped an equally powerful small-block in the CT6’s bay and been done with it. While a pushrod V-8 is a very versatile engine, subtlety isn’t on its résumé. Brand president Johan de Nysschen, formerly of Infiniti and Audi, was brought on board to make Cadillac a serious player in the luxury segment. To succeed, Cadillac needs special elements, things it can call its own, and a Caddy-only V-8 is a great start. We can’t wait to see what’s coming next.
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