#- Mais que t'est-il arrivé
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lolochaponnay · 10 months ago
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Un couple va se marier dans trois mois. D'un commun accord, ils ont décidé de rester vierges jusqu'à la nuit de noce. (C'est très rare, mais ça existe encore!). Un dimanche, ils se promènent à la campagne, quand ils voient un âne en érection. La fille s'évanouit immédiatement. Le gars fait son possible pour la réanimer, et lui demande : - Mais que t'est-il arrivé, ma chérie ? - Une grande frayeur. Quand j'ai vu le membre que peut avoir un âne...! Alors toi, qui es ingénieur...!
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matthias-songbook · 11 days ago
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GIVERZZ : tout à donner
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Formé par d'anciens de la scène indé française (Still Charon, The Sapphics, L'An2000, Penny Was Right), ce véritable supergroupe débarque avec l'addictif « White Slush ». Rencontre avec Clément (chant) et Wandy (guitare) pour une interview-fleuve jusqu'aux confins de l'Australie...
  Comment est né le projet ? Je crois savoir que vous êtes un peu un « supergroupe » comme on dit…
Clément : C’est un projet qui nous tenait à cœur depuis un petit moment. On a fait une coloc ensemble à Paris en 2011 avec Benoît (batteur) et Caradec (guitariste). Cette coloc s'est finie avec Wandy (guitariste) et Cara en 2021, donc ça a duré dix ans. On avait tous des projets chacun de notre côté et on s'est dit qu'on aimerait bien faire un projet tous ensemble. Ça nous a pris du temps, mais tous les quatre plus Guillaume (ex-bassiste) qui était avec moi dans les Sapphics, on a fini par trouver l'espace disponible.
Wandy : On est arrivés à Nantes, Guillaume est parti et c’est Clément qui connaissait Florian (ex-Still Charon) de Limoges, un super bassiste qui a pu le remplacer. On est restés à cinq.
Clément : C’est un groupe qui a longtemps été en gestation. On a commencé sur Paris, on répétait dans ma cave à Issy-les-Moulineaux, avec une batterie électronique pour pas faire trop de bruit.
Wandy : C’était bas de plafond aussi !
Clément : Puis on a commencé à tous déménager vers Nantes, et le projet s'est complètement arrêté. À ce stade on répétait peut-être une fois tous les ans, voire tous les deux ans. Pour l'anniversaire de Cara, on a joué nos quatre chansons. On a essayé de garder le groupe sans qu'il n'existe vraiment. Mais quand on est tous arrivés sur Nantes finalement, on s'est dit « Vas-y on reprend » et cette fois-ci, on y fout un vrai coup. Au début, c'était quand même un projet...
Wandy : Blague ?
Clément : Je dirais pas blague, mais c’était un projet pour se faire plaisir. On avait encore tous nos groupes à côté. Donc, au tout départ, c'était pas si évident que ça, et ça l'est devenu quand on est arrivé sur Nantes. À ce moment-là j'avais plus de groupe, Cara s’était éloigné de Penny Was Right, L’An2000 (groupe de Wandy et Benoît, ndlr) était en repos, donc on avait tous du temps. Guillaume a dû nous quitter parce qu'entre le boulot et les enfants, il n'arrivait pas à tout maintenir de front et comme Wandy a dit, Florian nous a rejoint. Voilà la formule actuelle !
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Pour rappel, ça s'appelait GRAS avant, c'est ça ?
Clément : Absolument. Moi j’étais pas forcément fan ! (rires) J’ai beaucoup poussé pour changer de nom. Je m’y retrouvais pas trop.
Wandy : C’était très détente quoi !
Clément : Je trouvais que ça sonnait pas très bien avec le projet qu'on amenait derrière. J'ai beaucoup poussé pour qu'on change. Benoît était plutôt d’accord, Wandy et Cara étaient plutôt du genre à dire « Ouais on aime bien. »
Wandy : Personne n'était fermé au changement, mais disons qu’il y’en a à qui ça allait mieux qu’à d’autres ! (rires)
Et comment vous avez choisi GIVERZZ au final ?
Wandy : C’est Clément qui a trouvé ! Comment ça t'est venu ?
Clément : On est passé par je sais pas combien de noms avant de s'arrêter sur celui-là. C’est surtout les deux Z à la fin, je voulais un truc qui sonne comme les noms qu'on aime bien, Skegss, FIDLAR - bon c’est un acronyme, mais…
Wandy : Graphiquement c'est joli, tu regarde à la fin, il y a un truc esthétique.
Clément : Je voulais un nom en un mot, et pouvoir le distordre un petit peu. J’avais proposé deux ou trois noms avec les deux Z comme ça, et c'est celui-ci qui a retenu l’attention.
Et tous ces anciens projets, vous pensez qu’ils ont nourri celui-ci ?
Clément : On a tous amené quelque chose. Chacun arrive avec sa patte, son vécu. C’est un des trucs qui justement nous a pas mal coincés puis décoincés dans la composition. Au départ, chacun avait une idée très arrêtée sur les chansons. Jusqu'au moment où on s'est rendu compte que chacun amenait une part de lui dans chaque morceau, ça a fini par nous débloquer. Par exemple, les sons de guitare de Wandy et de Cara se mélangent très bien. J'aime beaucoup la musicalité de Wandy, les arpèges qu'il peut amener. C’est un élément qu’il ramène de L’An2000 et on le retrouve ici, à sa manière. Pareil pour ma voix, j’y mets peu de différence avec ce que je faisais dans les Sapphics, même si je suis un petit peu moins gueulard peut-être. Mais ça reste quelque chose qui vient de là.
Wandy : On a tous l'habitude de travailler avec nos anciens groupes. Moi j'ai l'habitude de bosser avec Benoît et pour le coup, on a peut-être notre façon de faire de la musique. Au début c'est un peu compliqué de faire la même chose avec des gars différents. Tu te retrouves dans une salle à composer et le travail n'est pas le même, tu vas bosser avec les sensibilités différentes de chacun alors qu’on aime pas forcément les mêmes choses, même si la base est quand même là. Même si t'as ta façon de jouer, tu vas amener une musicalité ou une rythmique qui vont être plus ou moins différentes. Pour Cara par exemple, je ne sais pas s’il y a énormément de choses qui changent par rapport à Penny Was Right, mais en tout cas, tout ça, ça se lie bien. En gros toutes les musicalités font que ça fait le son de GIVERZZ et pas juste ceux de nos anciens groupes.
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En parlant de composition, comment ça se passe tous ensemble ? Chacun amène des idées ou c’est plus « vertical » ?
Clément : Au début sur Paris,  on bossait pas mal les idées ensemble. C’était un peu comme ça venait. « Ah tiens vas-y je vais bosser ça » et puis on décortiquait le truc ensemble. Mais au bout d'un an, on s’est rendu compte que c’était assez limitant cette façon de faire. Quand on s'est retrouvé à vraiment composer, cette méthode a fini par ne plus marcher des masses. On brodait vachement. Cara est pas à l'aise là-dedans, il aime bien pouvoir potasser un peu le truc chez lui, et je crois que ça a commencé à mieux marcher pour nous à partir du moment où une personne arrivait avec une idée déjà bien établie. Il enregistre une base, des fois avec du refrain ou un semblant de mélodie de chant, voire un chant déjà fait. Une espèce de maquette du truc quoi, histoire que tout le monde se mette dans l'ambiance et que chacun puisse après derrière dire « Moi je changerais bien ça. » Quand on fonctionne comme ça en partant d'un produit déjà fini, qu’on a déjà déblayé à au moins 50%, c’est plus facile de créer des changements, d'amener de nouvelles choses.
Wandy : T’as l'ambiance qui va être faite pour après peut-être déconstruire la structure et les mélodies, etc. Donc ça mâche un peu le travail, ça rend les choses un peu plus faciles aussi.
Clément : Au lieu d'amener juste un riff et dire « Ouais j'ai trouvé ce riff-là, vas-y on développe ! » Ça, ça donnait pas grand chose. En fait, ce riff-là, tu peux l'amener dans un morceau complètement construit ou dans une espèce de maquette, rajouter une basse ou une batterie de logiciel derrière. Tu définis un petit peu ton ambiance. C’est là qu'on peut broder derrière, et ça marche beaucoup mieux que si on avait juste amené le riff à la guitare et qu'on l'avait joué à vide devant tout le monde.
Wandy : On met pas mal son ego de côté. C'est bien, parce que ça nous apprend à bosser à plusieurs. Cinq, c'est quand même un bon groupe ! On était trois dans L'An2000, même si toi Clément vous étiez déjà cinq (au sein des Sapphics, ndlr). Mais c'était un peu la première fois qu'on bossait à autant. C’est pas mal de mettre son ego de côté, d’écouter les uns les autres et d'essayer de ravaler sa fierté sur la matière qu’on ramène individuellement.
Ce morceau, « White Slush », est hyper entêtant, et je crois reconnaître un petit peu vos influences, notamment celles de la West Coast. Qu’est-ce que vous amenez individuellement et collectivement à ce niveau ?
Wandy : On a pas mal de références communes : tout ce qui va être Skegss, FIDLAR, toute la scène un peu australienne... Violent Soho...
Clément : Hockey Dad aussi... Tu dis West Coast américaine, mais on est beaucoup plus braqués sur l'Australie. Skegss, Dune Rats, Violent Soho, c'est les trois influences de départ. Il y a aussi une base de FIDLAR, donc il y a bien un peu de cette West Coast, mais dernièrement, l'Australie a vachement pris de place dans nos têtes. Tous les ans on va à Binic (dans le cadre du Binic Folks Blues Festival, ndlr), c'est une programmation à 50% australienne. C’est un endroit où on chope un petit peu des idées, des influences aussi. Il y a beaucoup de groupes australiens qui nous parlent beaucoup.
Wandy : Un peu de garage ensoleillé ! (rires)
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J’ai l’impression que se lancer dans un groupe à guitares, en chantant en anglais, en France en 2025, c’est limite revendicatif. C’est important pour vous de rester fidèles à vos influences ?
Clément : Je crois que je suis incapable de chanter en français - en tout cas pas comme je le fais là. Il faudrait que je reparte de zéro quasiment. Je le vois là, on fait une reprise en français et je sens que je la chante pas pareil. J’ai fait que de l'anglais pendant quinze ans, du coup j’ai plein de choses à revoir si je veux chanter en français. Tu chantes pas exactement pareil. Je sais pas comment dire, mais dans les intonations par exemple, t'as pas les mêmes accroches sur les mêmes sons... C’est quelque chose qui se réapprend. Si tu me laisses trois ou quatre ans, peut-être que je pourrais te sortir un set crédible, mais ça demande du temps. Alors que sur l'anglais, je le fais depuis dix, quinze ans, ça me pose moins de problème. Parfois c'est peut-être plus long de trouver, d’écrire parce que c’est pas ma langue maternelle. Le manque de vocabulaire peut me frustrer aussi, mais au final je sais faire que ça.
Wandy : Et il le fait bien !
Et cette scène nantaise, elle ressemble à quoi ? Vous vous sentez pas trop seuls ?
Clément : On a fait assez peu de rencontres pour le moment...
Wandy : On n'est pas encore calés dans le milieu.
Clément : Mais il y a de chouettes artistes ! Rien qu’avec ce qui a émergé après la fin de Von Pariahs : Swirls, Pamela, Tantric Club, Mad Foxes, Tickles... Y a plein de groupes cool ! Treaks aussi.
Wandy : Y a une bonne grosse scène indé bien cool à Nantes. Et pour les lieux, y’en a toujours, ça se renouvelle quand même pas mal.
Clément : Là par exemple, on est à la Lune froide. C’est cool !
Wandy : GIVERZZ, c’est un tout petit truc pour l’instant. On essaie de voir ce que la recette donne sur scène et au final, on prend un plaisir énorme à jouer ensemble devant des gens. Personnellement, j'ai envie de faire que ça ! Pour l’instant ça s’est très bien passé, on a une bonne réception.
Clément : Moi ça faisait des années que j'avais pas fait ça. Et j'avais une petite appréhension, à me demander si j’en étais encore capable, voire si j’en avais encore envie. Et en fait j’avais juste oublié à quel point c’était cool. C’est génial, et très addictif.
Sans gâcher l’effet de surprise, le clip de votre premier morceau, « White Slush », a de la gueule. Comment vous avez fait ?
Wandy : Petit bonus qui s'appelle Benoît Aubert, batteur du groupe, réalisateur dans le civil. C'est un gars très talentueux qui a fait énormément de clips. C’est à lui qu’on doit ceux de L’An2000 notamment, on a la chance de l'avoir et pour le coup il a fait un travail assez exceptionnel en terme d'image et même d’idées. On les a eues plus ou moins ensemble, mais il les a concrétisées. Il gère tout quoi, de A à Z ! (rires)
Clément : On a la chance de pouvoir être assez autonomes là-dessus. Lui, c'est un peu « Monsieur Image » du groupe, on l'a missionné pour valider toute la partie visuelle, même si on a tous notre mot à dire, bien sûr. Mais globalement, c'est lui qui a le plus de légitimité sur l'identification du groupe. Il savait déjà qu'il voulait clipper les morceaux et continuer comme ça tant qu’il aurait envie de le faire. C'est cool de l’avoir !
Et la suite, c’est quoi pour GIVERZZ ? Me dites pas que vous avez pondu un clip aussi travaillé sans qu’il y ait autre chose derrière…
Wandy : L’Olympia déjà ! (rires)
Clément : D’ici fin d'année, début d'année prochaine, on aimerait bien commencer à enregistrer quelque chose…
Wandy : On n’est pas encore sûrs du format, mais on peut prévoir au moins un EP. L’été dernier, on a enregistré deux titres, dont « White Slush ». L’autre viendra plus tard. Et puis le but c'est d'aller jouer quoi !
Clément : Déjà, dans un premier temps, faire des concerts pour défendre ces deux titres. Et puis dans un deuxième, enregistrer la suite. Mais ce n'est pas pour tout de suite, ce sera plutôt fin d'année.
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Pour écouter « White Slush » et tous les futurs morceaux de GIVERZZ :
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christophe76460 · 20 days ago
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À SAVOIR SUR LE DÉMON « INCUBE ET SUCCUBE » 👈
👉 Incube : C'est un démon qui se pose sur les gens pendant qu'ils dorment. A celui-ci, le nom qui traduit est " Paralysie du sommeil ", qui est celle que quand tu dors, quelque chose monte en toi, et commence à te serrer le cou, et tu ne peux rien faire absolument. Tu peux crier, mais personne n'écoute. Même si vous voyez ce qui se passe, vous ne pouvez rien faire.
👉 De même, ils ne vous paralysent pas seulement, ils agissent à travers leurs peurs, et absorbent leur énergie à travers des relations sexuelles et des orgasmes multiples. Parfois, la victime, au réveil, ne se rappelle rien, mais elle se sent extrêmement épuisée, et pense qu'elle a simplement eu un cauchemar ou des rêves érotiques. Quelques lèvent avec des bleus et des morsures sur le corps.
👉 À la fin, la personne se sent triste, et s'ennuie. Elle se sent non aimée, rejetée, certaines arrivent jusqu'au point de se faire tuer.
Il y a deux types de ce démon.
Incube, qui est le masculin, et succube qui est le féminin. Ces êtres prennent la forme d'une femme ou d'un homme très sexy. La personne le sent au-dessus de son corps, sans pouvoir bouger, et ça excite tellement la personne au point d'atteindre l'orgasme. Parfois tu te sens bien, tu peux aimer, et tu ne te réveilles pas.
👉 Ça t'est déjà arrivé ?
👉 ce que tu dois faire.
👉 Chaque jour Avant de dormir il faut prier et méditer la parole de Dieu.
👉 il faut marcher dans la sainteté .
👉 évite de regarder de films 🎥 ou de revues pornographie.
👉 Quand ça arrive, tu dois bouger jusqu'à ce que tu te réveilles,
👉 crier ne sert à rien. car il fera tout ce qu'il veut avec toi.
👉 Quand tu te réveilleras, tu vas penser que c'était un cauchemar,
👉 Quand tu te réveilleras, Il ne faut pas reste tranquille non plus, Alors, assieds-toi, et commence à prier, utilise tes armes spirituelles, va te battre jusqu'à ce que tu sois sûr que tu as gagné. N'oubliez pas que nous sommes plus que vainqueurs en JÉSUS CHRIST
👉 Luc 10:18-20
👉 Romains 8:37
👉 Partagez massivement enfin d’alerter tes amis .
Le Seigneur Dieu vous bénira.
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basilepessoart · 2 months ago
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Salome,
Tu est beaucoup trop bête, flemmarde et inculte pour savoir à quoi se réfère "collabos" et "collaborationniste" qui sont dans 2 de mes textes Fb du jour... Idem pour regarder The List, et lire son texte... Par contre pour sauter sur ton clavier pour écrire à un autre enculé dans ton genre, qui, lui, débile aussi mais moins inculte que toi, connaît Anne et moi, mais bave les mêmes délires que toi sur nous.. Moralité l'un est en transfert de garde à vue vers HP, toi c'est fait.
Les flics t'ont dit qui je suis et pourquoi il t'est arrivé ce qui vient de t'arriver. Tu les as traités de tarés. Minable petite fille égotique...
Tu ne sais rien ou quasi de ce qui arrive en France. APPRENDS. Et ceci n'est que le terrorisme officiel, qui n'est qu'une partie de notre calvaire.
Et bien sûr, il n'est rien arrivé à Anne...
Si tu avais réfléchi deux minutes, tu aurais vu que je dis que les victimes de violence de rue ou assimilé en Occident sont blanches, asiatiques et juives...déjà ça ne colle pas avec tes classifications de gauchiste...mais non...
Ton monde et celui de ton pote est frelaté. Vous détruisez tout. Les petites salopes de Français qui envahissent Lisbonne te disent jamais pourquoi ils sont là...je connais ces rats...ils ont rien à faire au Portugal...et si tu continues, tu devras aussi le quitter. On a une idée de destination...tu devines ?
BP.
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yes-bernie-stuff · 7 months ago
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Dieu conduit notre vie
Un événement totalement inattendu t'est-il déjà arrivé? Peut-être était-ce une surprise qui t’a profondément réjouit ou, au contraire, une tragédie qui a affecté ta vie. En effet, chacun de nous sommes confrontés à des moments dans la vie que nous ne pouvons anticiper.
Malgré cela, nous continuons à avoir des projets et des rêves pour nos vies. Ainsi nous pouvons planifier nos futures études ou d'autres projets d'avenir. Mais nous ne pouvons pas prévoir l'imprévisible puisque nous ignorons tout de l'avenir. Nous ne savons même pas ce qui arrivera dans les prochaines minutes. Nous avons appris dans les Écritures que Dieu est omniscient, ce qui signifie qu'il sait tout ce qui arrivera partout dans le monde.
En effet, il possède une connaissance absolue de tout événement et action qui se produisent. Plus encore, il est également souverain, ce qui signifie qu'il contrôle tout ce qui se passe dans le monde. Cela signifie que bien que nous puissions planifier notre vie dans les moindres détails selon nos désirs, Dieu est finalement celui qui dirige nos pas. Il a le pouvoir de changer la direction qu'ont pris nos vies, au même titre qu’il nous guide au cœur de ce qui est le mieux pour nous.
Prends le temps de réfléchir aux rêves et aux projets que tu as pour ta vie. As-tu déjà soumis ces projets à Dieu dans la prière? Cela ne signifie pas que tu ne dois pas avoir des projets pour ta vie, mais plutôt que ce que tu planifies ne doit être ni en contradiction ni au détriment des plans de Dieu pour ta vie.
Prends un moment pour demander à Dieu de diriger tes pas. Demande-lui de te révéler tout désir ou tout projet qui ne vient pas de lui. Soumets-lui tes projets afin que tu sois plus enclin à le suivre partout où il te conduit. Remercie-le pour sa bonté et sa grâce qui te guident dans ta vie.
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manue-ringo · 2 years ago
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Chapitre 77 : Le plan
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Ça a l'air d'aller mieux on dirait. J'en déduis que vous vous êtes expliqué. Dit-elle, son regard scrutateur cherchant à percer le mystère de son partenaire.
C'est vrai, en effet. Je pense qu'elle est prête à faire des efforts. En-tout-cas, je l'espère. Répondit Mulder, une lueur d’incertitude dans sa voix. Il se rassurait lui-même, mais son regard trahissait une nervosité persistante.
Je l'espère aussi. Ça n'a rien à voir, mais ou en est-elle en ce qui concerne Raines ? Tu as du nouveau ? Demanda-t-elle son ton prenant une note d'inquiétude.
À dire vrai, je n'en ai aucune idée. Je ne manquerais pas de lui en parler dès demain. Il faut que je sache. Affirma-t-il d’un air résolu, sa détermination masquant une anxiété latente. Ses pensées tourbillonnaient autour de l’ombre qui planait sur Parker, son instinct de protection s’éveillant.
Oui, l'heure tourne et nous n'avons encore aucune piste là-dessus. C'est inquiétant. Je compte sur toi pour veiller sur Parker. J'ai bien peur qu'elle ne décide de commettre un acte qu'elle regretterait. Surtout après ce qu'il t'est arrivé. Dit elle, la préoccupation marquée sur son visage. Ses mots pesaient lourdement dans l’air, comme une promesse de responsabilité.
Tu as raison. Ça n'arrivera pas, je te le promets. Je m'en occupe. Assura-t-il, la conviction dans sa voix tentant de masquer l'angoisse qui le rongeait.
Le lendemain matin, Mulder entreprit de reprendre ses recherches sur son mystérieux agresseur. Bien qu'il semblait avoir de grandes chances que Raines soit le principal suspect, le jeune homme restait tout de même prudent. D'autant plus qu'il ne possédait à l'heure actuelle d'aucune preuve pour le prouver. Aussi, en fouillant dans ses mails, Mulder fut interpellé par l'un d'entre eux. Il l'ouvrit puis s’aperçut avec stupeur qu'il s'agissait d'un document sensible émanant du Centre.
De son côté, Parker passait en revue le dossier médical du Docteur Raines envoyé par le coroner en charge de l’enquête. Bien qu’elle connaissait déjà le dossier par cœur, la jeune femme voulait être sûre de ne pas être passée à côté de quelque chose. Un détail qui pourrait conforter ses doutes. Elle savait que ce qu’elle venait de découvrir sur le Centre était bien plus grave qu’elle ne l’avait imaginé. Les pensées de la jeune femme furent interrompues par un appel de Mulder. Elle hésita un moment avant de décrocher.
Quoi ! Lança-t-elle, impatiente.
Désolé pour le dérangement, mais j'ai quelque chose d'important à vous montrer. Vous avez une minute ? Demanda-t-il, la tension palpable dans sa voix.
Si c'est vraiment important, oui. Dit-elle d'une mine contrariée. Répondit-elle d’un ton contrarié, son cœur s'accélérant. Un frisson d'anticipation la parcourut.
Je suppose que vous préféreriez que je passe vous voir.
Elle eut un petit sourire puis reprit :
C'est vrai que votre bureau me tape sur le système en effet. Écoutez, j'ai des infos importantes à vous dévoiler aussi. Rejoignez-moi après le boulot, je serais dans ma voiture. Mieux vaut prendre ses précautions. Je vous rappelle plus tard. Parker raccrocha, l'excitation mêlée à une pointe d’inquiétude.
En début de soirée, les deux agents se retrouvèrent près de leurs véhicules respectifs. Parker l'attendait dans sa voiture, nerveusement tapotant le volant. Mulder s'approcha d'elle, veillant à rester discret.
Personne ne vous a vu ? Demanda-t-elle, ses yeux cherchant les alentours, la tension dans l'air.
Non, je ne pense pas. Bon. Que vouliez-vous me montrer ? Demanda-t-il avec sérieux, la détermination de son regard trahissant son anxiété.
Elle lui montra une photocopie d’un schéma top secret venant du Centre. Mulder s'en saisit, ses yeux s'écarquillant de surprise.
Attendez, comment est ce que…
D'accord, je vois. Votre bande de geeks vous l'a envoyé. C'est de cela dont je voulais vous parler. Vous en pensez quoi ? S'interrogea t-elle avec inquiétude.
Et bien pour tout vous dire, ça ne me surprend pas. Mes craintes ne font que se confirmer. Si vous voulez mon avis, il y a de grandes chances que le Centre vise une production à grande échelle à travers la planète. Peut-être qu'ils cherchent à créer une sorte de super armé. Dit-il fasciné.
Vous êtes sérieux ? Après tout, plus rien ne me surprend. J'ai demandé à votre trio de choc de creuser un peu plus sur le sujet. S'ils parvenaient à accéder à l'une de leurs bases secrète, nous pourrions enfin être fixés et arrêter cette folie pure. Je n'aime pas ça du tout agent Mulder. J'ai l'impression d'avoir aggravé les choses depuis que j'ai quitté le Centre. Avoua-t-elle, désemparée. Son visage se fermait sous le poids de la culpabilité.
Cessez de vous faire du mal Parker. Vous n'y êtes pour rien. Tout ceci aurait fini par arriver de toute façons. Ne vous en faites pas, nous finirons par trouver un moyen de mettre fin à tout cela. Lui assura-t-il avec conviction, son regard ancré dans le sien, une connexion silencieuse se tissant entre eux.
C'est bien joli tout ça, mais vous avez un plan ? Demanda-t-elle, l’irritation s’installant dans sa voix.
Pas pour le moment. Mais j'y travaille. Dit-il avec obstination.
Parker le regardait avec désobligeance. Elle ajouta :
Vous semblez un peu trop sur de vous trésor. Vous n'avez aucune idée de ce à quoi vous avez à faire. Croyez-moi. Lança-t-elle, sa voix se haussant. La frustration était palpable, et elle s’efforçait de garder son calme, mais la tension entre eux était électrique.
C'est aussi pour cela que nous devons nous montrer extrêmement prudents. Et ça vaut aussi pour cet homme que vous recherchez. Renchérit-il, se crispant un peu, sentant l’orage se former autour d’eux.
Parker eut un rire amer, elle ajouta :
Que cherchez-vous à me dire exactement ? Vous craignez que je fasse une bêtise ? Pas la peine de me faire la morale, compris ? Je ne suis pas stupide. Ses mots résonnaient comme un défi, une provocation qui cherchait à masquer sa vulnérabilité.
Je n'ai jamais dit ça. C'est juste que… Laissez tomber. Dit-il, agacé, mais la tension entre eux ne faisait que croître.
À cet instant, ils aperçurent au loin leur supérieur marcher près de leurs véhicules. La panique s'insinua dans leurs esprits.
Et merde. Qu'est-ce que Skinner fait là ? Je crois qu'il nous a vu. Bordel, ce type a les yeux partout ! S'exclama Parker, l'anxiété tordant son estomac. Son cœur battait à tout rompre, une vague d’adrénaline envahissant son corps.
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marciamattos · 2 years ago
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LES OLIVIERS DE VINCENT VAN GOGH
TEXTE DE MOULOUD MAMMERI.
L'olivier, il a vu naître, vivre, et mourir nos pères et les pères de nos pères
L’olivier est un symbole vivace dans les civilisations méditerranéennes.
C’est, par excellence l'Arbre nouricier des paysages méditerranéens.
Voici un texte peu connu de Mouloud Mammeri dans lequel l'homme de lettres loue sa ténacité, sa prodigalité, et ses vertus.
L'olivier ! Naturellement ce n'est pas original, mais on a les arbres que l'on peut et celui-là a toutes les vertus. D'autres essences ont plus de prestige. La littérature les a chantées sur tous les tons. Elle a dit la beauté rectiligne des cèdres, ceux du Liban, dont elle a même entendu les chœurs, mais les nôtres ne sont pas moins altiers ni moins harmonieux ; je les trouve même plus humains. T'est-il arrivé de contempler vers Tikjda ces cimetières de cèdres calcinés, dont les cœurs tragiques ne disent que l'insupportable mort ? Vous (vous, c'est tout ce qu'il y a au Nord de la méditerranée) avez évoqué les hêtres, les trembles, les peupliers, invoqué les chênes consacrés au gui l'an neuf.
En Russie, j'ai tant entendu de guitares et de voix conter au bouleau la peine des amants, leurs amours et leurs nostalgies, que j'aimais les bouleaux avant d'en avoir jamais vu. Plus tard, j'y ai retrouvé les couleurs pastel, la blancheur liliale, les feuilles tendres, les fûts frêles et droits. Mais qu'importe ! C'étaient les arbres d'autres climats que celui dont j'avais respiré l'ardeur de l'été, les soleils pâles de l'automne.
L'arbre de mon climat à moi, c'est l'olivier ; il est fraternel et à notre exacte image. Il ne fuse pas d'un élan vers le ciel comme vos arbres gavés d'eau.
Il est noueux, rugueux, il est rude, il oppose une écorce fissurée mais dense aux caprices d'un ciel qui passe en quelques jours des gelées d'un hiver furieux aux canicules sans tendresses. A ce prix, il a traversé les siècles. Certains vieux troncs, comme les pierres du chemin, comme les galets de la rivière dont ils ont la dureté, sont aussi immémoriaux et impavides aux épisodes de l'histoire ; ils ont vu naître, vivre, et mourir nos pères et les pères de nos pères. A certains on donne des noms comme à des amis familiers ou à la femme aimée (tous les arbres sont chez nous au féminin) parce qu'ils sont tissés à nos jours, à nos joies, comme à la trame des burnous qui couvrent nos corps.
Quand l'ennemi veut nous atteindre, c'est à eux tu le sais, qu'il s'en prend d'abord. Parce qu'il pressent qu'en eux une part de nous gît… et saigne sous les coups.
L'olivier, comme nous, aime les joies profondes, celles qui vont par-delà la surface des faux-semblants et des bonheurs d'apparat. Comme nous, il répugne à la facilité. Contre toute logique, c'est en hiver qu'il porte ses fruits, quand la froidure condamne à mort tous les autres arbres. C'est alors que les hommes s'arment et les femmes se parent pour aller célébrer avec lui les rudes noces de la cueillette. Il pleut, souvent il neige, quelquefois il gèle. Pour aller jusqu'à lui, il faut traverser la rivière et la rivière en hiver se gonfle. Elle emporte les pierres, les arbres et quelquefois les traverseurs. Mais qu'importe ! Cela ne nous a jamais arrêtés ; c'est le prix qu'il faut payer pour être de la fête. Le souvenir émerveillé que je garde de ces noces avec les oliviers de l'autre côté de la rivière - mère ou marâtre selon les heures - ne s'effacera de ma mémoire qu'avec les jours de ma vie.
Et puis quoi ? Rappelle-toi : l'olivier c'est l'arbre d'Athéna, déesse de l'intelligence. Athéna, sortie toute armée du cerveau de Jupiter (n'est-ce pas une merveilleuse chose que de pouvoir ainsi à l'agréable et utile, joindre l'intelligence ?), Athéna, déesse aux symboles libyens (l'égide dit Hérode c'est le nom berbère du chevreau et c'est vrai, c'est le même mot qu'on emploie aujourd'hui : Ighid).
Te dirai-je, Jean, qu'il ne me déplaît point que l'arbre de nos champs plonge si loin les racines de son inusable vitalité ; les dieux de ces temps traversaient les mers pour aller féconder d'autres terres (et de quelle façon !). L'arbre et sa couleur bi-chrome : les feuilles sont vertes d'un côté, blanches de l'autre et tu ne sais jamais, quand tu es dessous, quel ton va prendre sous le vent la chevelure diaprée qui chatoie par-dessus toi.
Je sais, des fois âpres et exclusives sont venues depuis, des fois nées dans les déserts sans arbres qui ont relégué les divinités humaines et douces "dans le linceul de pourpre où dorment les dieux morts" : nous n'avons plus, hélas, la déesse casquée, mais Jean, il nous reste au moins l'arbre de ses vœux, celui dont elle fit don à la plus humaine des cité.
Mouloud Mammeri (1917-1989),
écrivain, anthropologue et linguiste algérien.
http://concours-photo-olive-de-tunisie.2010.over-blog.com/pages/Lolivier_il_a_vu_naitre_vivre_et_mourir_nos_peres_et_les_peres_de_nos_peres-2670038.html
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nael-opale · 4 years ago
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Dans l'euphorie du moment, je réalise que j'ai oublié de partager l'avancée de mon travail pour une version épurée des affiches, entamé avec le Duc d'Aquitaine...
Bohort ne se planque peut être pas, mais tout ce que nous avons même après la sortie du trailer, c'est cette affiche et des théories de la souffrance
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Pour ceux qui doivent vivre avec des maladies invisibles et qui ne se sentent compris par personne. La citation préférée d'un médecin de famille était : ′′ Ça ne peut pas vraiment être si mal si tu travailles encore et que tu fais tout ce que tu fais." Je lui ai dit que je ne savais pas que j'avais le choix. Des années dans la douleur, la fatigue et les nombreux changements en moi sans raison ni raison apparente... Cachant tout de quelqu'un d'autre, en prétendant être meilleur que vous l'êtes ; jusqu'à ce que cela cesse de Peu importe à quel point tu veux être fort. Puis arrive le moment où ils vous disent ce que vous avez... Vous avez des sentiments mitigés : vous savez enfin ce que vous avez, mais comment faites-vous avec ? Manque d'encouragement, vouloir se coucher, prendre des médicaments fréquemment ; avoir une pharmacie entière sur la table de chevet. Ensuite, les réponses quotidiennes :
′′ Pourquoi avez-vous si grossi ?",?", J ' ai ce bon régime si vous faites de l'exercice."
′′ Cette fois, de beaux cheveux sont horribles maintenant et ils tombent.
Qu ' est-ce qui t'est arrivé ??"....
Tout cela est vrai et c'est pourquoi je le partage !
Les maladies silencieuses et invisibles existent...
Quand vous avez une maladie invisible, il est difficile de discuter avec des ignorants de votre point de vue.
La vie prend de nombreux tournants !!!
Marre de se faire dire :
* Êtes-vous allé chez le médecin ?
* Avez-vous essayé ça ?
* Avez-vous essayé ça ?
* Je ne sais pas ce que nous pouvons faire d'autre pour vous...
Oui, oui ! J ' ai essayé et j'ai encore tout essayé !!!
Les médecins disent que cette maladie est éternelle. Que je ne guérirai pas. Je n'abandonne pas cependant, mais je veux faire comprendre aux autres :
* La sieste ne me guérira pas mais ça m'aidera...
* Je ne suis pas paresseux, je prends des médicaments et ça me fatigue parfois.
* Je ne suis pas en colère mais parfois nerveux dans la douleur.
* Je lutte quotidiennement avec la douleur, les problèmes d'agilité, la fatigue, la critique de mon environnement. La chose la plus frustrante, c'est quand les gens me regardent et me disent ′′ ça ne peut pas être si mal ; tu as l'air bien. Malgré le fait que mon corps souffre d'agonisation partout, naturellement j'ai l'air bien, j'essaie toujours d'être belle, c'est une maladie ′′ invisible. Cette maladie me touche physiquement, mentalement et émotionnellement. Parce que les maladies rares auto-immunes ne peuvent pas être vues, mais nous les ressentons. Et ils sont là... Attaque silencieuse mais surtout douloureuse. S'il vous plaît, pour moi et en honneur de quelqu'un qui s'oppose à la
- Maladie de Crohn
- Maladie des Hashimotos
- Malade des tombes
- Dépression
- Craintif
- maladie auto-immune
- Syndrome de l'ovaire polykystique.
- Parthrite rhumatoïde.
- Douleur chronique
- Endométriose
- sclérose en plaques
- Myasthénie Gravis
- hypertension poumonaire
- lipoedème
- Syndrome de fatigue chronique
- Diabète
- Fibromyalgie
- Raynaud et Sclérodermie
- Lupus
- Neuralgie de trigminal
- épilepsie
- Cancer
- addiction
- Hyperthyroïdie
- Hémochromatose
- Sarcoïdose
- achalasie
- Petite neuropathie fibre
- polyneuropathie
- maladie de Lyme
- maladie de Scheuermann
- maladie de Meniere
- Neurite vestibularis
ou toute autre maladie que vous ne voyez pas est en difficulté
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bluejevergade · 6 years ago
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Jour 1 : Night Club
La musique assourdissante continuait d'envahir la pièce alors que les gens se pressaient sur la piste de danse. La plupart des filles se déhanchaient, attisant l’appétit sexuel de la plupart des mâles présent. Certains c’étaient retirés dans des coins plus à l’abri des regards, se livrant à des activités intimes avec le frisson de l'interdit. D'autres regardaient les gens danser, appuyé sur le mur, un verre à la main et le regard enflammé. D'autres, comme Jacklyn, restait à côté du comptoir, autant pour regarder, essayé de trouver une proie avec qui passer la nuit, que pour discuter avec les barmans.
-Alors ?
Jacklyn soupira et regarda son ami.
-Personne. Y'a bien le grand costaud, là-bas, mais vu comment il se colle à la fille, j'ai pas intérêt à m'en approcher…
Hiccup finit d'essuyer son verre et le rangea. On lui demanda une bouteille de vodka (buvez avec modération, les enfants!) Il encaissa le jeune homme qui lui la commanda et lui donna. Le jeune homme partit avec la bouteille avant de la lâcher par accident et de crier. Il revint au comptoir pour en demander une autre, et Hiccup lui fit payer de nouveau 75 euros avant de lui en donner une deuxième. Il revint vers Jacklyn.
-Pourquoi t'essaye pas avec lui ?
-il est carrément trop bourré… Après tout, il ne verra rien.
Jacklyn finit son verre et Hiccup sourit.
-Je vais essayer. Au pire, je pourrais toujours boire gratos. Souhaite-moi bonne chance.
-Merde, mon grand.
Jacklyn lui sourit et alla s'installer à côté du jeune homme à la bouteille de vodka.
Deux heures et demie plus tard, Hiccup sortit de la boite en saluant ses collègues. Il chercha ses clés dans ses poches quand il entendit un bruit. Il se retourna et vit l'ombre de Jacklyn approcher.
-Tu n'es pas encore rentré ?
-Hiccup… Tu peux me ramener ?
-Bien sûr. T'as un peu trop picolé ?
-Ben, en fait...
Jacklyn s'approcha un peu plus et finit sous la lumière du réverbère. Il avait un œil au beurre noir et avait la lèvre ouverte. Son débardeur et sa jupe étaient tachés de sang.
-Putain, mais il t'est arrivé quoi ?
-En fait, le mec n'était pas si bourré que ça…
Hiccup ouvrit la portière.
-J't'emmène à l'hôpital.
-Non. Non, s'il te plaît…
Hiccup soupira, sachant qu'il ne le ferait pas changé d'avis. La première et seule fois où Hiccup l'avait conduit aux urgences, l'infirmière avait regardé Jack de haut en bas et lui avait demandé pourquoi un garçon s'était habillé en fille, et que ce n'était pas étonnant qu'il se soit fait frapper. Depuis, Jack refusait d'y mettre les pieds.
Hiccup le ramena chez lui, et, assit sur le rebord de la baignoire, le soignait comme il pouvait. Quand il eut fini de lui nettoyer le sang qu'il avait sur le visage, il referma sa boite de pharmacie.
-Tu vas m'expliquer ce qu'il t'est arrivé ?
Jacklyn soupira.
-La même chose que d'habitude. On s'est tripoté, et quand il avait que j'avais un service trois pièces, il a dessaoulé en deux secondes et m'a mis une droite en me traitant de pédé. La routine, quoi.
Hiccup soupira.
-Jack… Pourquoi tu fais ça, aussi…
Jacklyn détourna le regard.
-Je t'ai déjà expliqué… Si je m'habille comme ça, c'est que...
-Non, pas ça. Je sais pourquoi tu préfères être en fille. Pourquoi tu vas toujours en boîte pour trouver des coups d'un soir ? Tu pourrais pas essayer sur internet ? Tu trouverais certainement…
-J'aime bien le contacte humain, coupa Jacklyn. Je ne le trouve pas sur internet. J'ai déjà essayé. Une fois, j'ai donné rendez-vous à un mec, mais il est venu avec ses copains pour me traiter de monstre, alors…
-Tous les mecs ne sont pas des connards, tu sais…
-Pff… Qu'est-ce que tu en sais…
Jacklyn lui avait dit ça sur un ton désabusé et le regard qu'il jeta à Hiccup lui brisa le cœur. Mais le brun dit avec humour.
-Je suis un mec, je te signale !
C’eut le mérite de le faire sourire.
-Tu en connais beaucoup des mecs que ça ne dérange pas d'avoir un petit copain qui aime se travestir en fille ? Parce que si tu en connais, présente-les moi…
-Y'a moi, déjà. Et je ne pense pas que ce genre de chose gêne Killian non plus. Bien sûr, tu devras accepter son poulet de compagnie et Kia, sa sœur qui est un peu… Beaucoup barré, mais…
-Toi ? Coupa Jacklyn, surpris.
-Bien sur, sourit Hiccup. Moi, ça ne me dérange pas, ce genre de chose. Et franchement, ajouta-t-il en se levant, c'est loin d'être la chose la plus bizarre que j'ai pu voir.
Il rangea sa boite à pharmacie.
-Je peux rester là, ce soir ? Demanda Jacklyn. Je ne veux pas réveiller Bunny, il doit se lever d'ici quelques heures.
Hiccup lui sourit.
-Non, vas-y. Je prendrais le canapé.
Trois mois plus tard.
-Excusez-moi ?
Hiccup se retourna en mettant le torchon avec lequel il s’essuyait les mains sur son épaule.
-Oui ?
-Je cherche mon copain ? Vous l'avez sûrement vu. Il est plutôt grand, brun, tatoué, adorablement mignon…
Hiccup sourit et se pencha vers Jacklyn.
-Non, je l'ai pas vu. Mais si tu veux, ma beauté, ajouta-t-il en lui caressant doucement la joue, doucement, gagnant un rougissement de son petit copain, j'ai ma pause bientôt.
-Alors j'attendrais, sourit Jacklyn.
Hiccup lui sourit et appela son collègue.
-Eret ? Tu peux prendre ma place, je prends ma pause.
-Ça roule !
Hiccup fit le tour du comptoir et prit la main de Jacklyn. Ils se dirigèrent vers les toilettes, histoire de passer un peu de bon temps, quand on les interpella. Ils reconnurent sans mal le jeune homme qui avait commandé deux bouteilles de Vodka parce qu'il était trop saoul pour tenir la première correctement.
-Fais gaffe, dit-il à Hiccup. C’est pas une nana. C'est un pédé qui s'habille en meuf.
-Un quoi ? Fit Hiccup en faisant semblant d'avoir mal entendu.
-C'est un mec ! Dit le jeune alcoolisé.
Hiccup lui sourit et lui mit les mains sur les épaules.
-Ah, ça ! Oui, je suis au courant ! Merci !
Il reprit la main de son petit copain et s'enferma dans les toilettes les plus proches.
-Bande de pédés, continua le jeune en continuant à boire.
Et bien qu'Hiccup se serait volontiers chargé de lui donner une bonne leçon, Jacklyn le distrait en l'embrassant. Et alors qu'il passait sa main sous sa jupe, il se dit que finalement, il s'enfichait.
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keigo-tagami32 · 2 years ago
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Yandere Hawks x civil Reader
Chapitre 1: le début d'un poursuite.
Mon histoire va avoir plein de lemon de sang de drogue fin bref plein de chose pas pour les petits ou les gens trop sensibles.
Mots rouge hawks
Vers autre personnage
Le debut et la fin du lemon sera signalé par 🍋
Quand sa sera le moment où il drogue sa sera💉
Le sang la torture et autre sera🩸🫣
Voilà je vous dirai quand sera fini par les même emoji
bonne lecture
Je suis entrain de rentrer chez moi, avec plein de course dans les mains. J'ai même pas eu le temps de mettre ma clé dans la serrure que quelqu'un m'appelle depuis mon balcon. ( Je vis seul mes parent son mort très jeune.)
Ta besoin d'aide Baby Birds ?
Non merci mais attends tu ai ...
Oui je suis Hawks je t'observe depuis un moment tu sais.
Ah bon pourquoi tu m'observer enfin attend je vais t'ouvrir ma fenêtre quand je rentre.
J'attends Baby Birds
Je me suis dépêche de rentre de pose les sacs sur le contour,et monté jusqu'à ma chambre pour enfin ouvrir ma porte vitrée.
Désolé si j'ai mis longtemps, j'ai fait le plus vite possible.
T'inquiète pas bon on discute ou tu veux regarder un film?
Bah att il est qu'elle heure ?
Je regarde mon réveil ll est 18h30 je commence a descendre avec Hawks a mes talons. Quand je suis allé à la cuisine il m'a suis partout, même quand je suis allé dans ma chambre il est venu s'installer a coter de moi.
Ta un petit amie?
Non pas intéressé et toi une petite copine ?
Non j'ai une crush qui va bientôt m'aimer mais pas pour tout de suite.
Ah ok je pensais que tu étais en couple mais je me suis trompé.
Ahaha mais t'est fan de moi en plus?
Quoi je sais pas de quoi tu parle.
Alors c'est quoi les figures de moi et pleins d'autre héros ?
Bah je ehh...
Je me suis retourné pour être dos a lui, avec des rougeurs qui ont commencé a arrivés sur mes joues.
Ne sois pas timide en plus je t'aime bien!
Comment sa on se connait que depuis quelques minutes ?
Oui mais tu vois c'est pas la première fois que je te vois aussi belle, gentil et maintenant que je pense tu et aussi timide.
Ah bon je suis flattée que le numéro 2 Hawks ma vu moi une chose si petit et moche.
Tu est pas moche t'est magnifique, et en plus j'adore tout chez toi t'est passe temps, comme la musique le dessin et autre. J'adore te voir sourire même quand je te vois te déshabiller tu est parfait !!
Eh c'est un peu bizarre tu ma vue nue?
Oui car je voulais voir si tu est une personne qui a un passé compliqué, mais tu n'a pas de passe et c'est pas la première fois que je vois nue.
Ah ok bon je vais me changé tu peut partir s'il te plaît.
C'est pas la première fois que je te vois nu tu peut faire devant moi t'inquiète pas.
Ok mais tu me touche pas alors.
T'inquiète pas Baby Birds j'adore te voir faible t'est trop craquante !
Je commence a me déshabiller je pouvais sentir que Hawks me lâché pas du regard, même quand je me suis accroupi il m'a regardé. J'ai même senti une de ses plumes se mettre a côté de moi, j'ai essayé plusieurs fois de me caché mais il m'a dit des mots qui mon sentir bien pas du tout stressé.
Y/n c'est bon calmé je suis sur le lit, mes plumes vont te tenir si tu tombe ou ton habite tombe je peut t'aider comme ça.
J'ai un problème tu peut allé chercher une culotte s'il te plaît j'ai oublié, je ne peut pas bougé car je sens que mes problème arrive.
Ok Y/n attend je vais le faire.
Attend je t'ai pas dit ou....
J'ai pas eu le temps de finir la phrase qui ouvre mon tiroir avec mes culotte, il choisit une culotte noir très fine.
Voilà attend je peut te la mettre S'il te plaît ?
Si tu veux fait attention je suis sensible
PDV Hawks
Je commence par apporté de l'eau a Y/n qui a un somnifère dedans, puis je l'habille avec un t-shirt assez petit pour m'aidé a peu plus tard.
Je lève les yeux pour voir le verre vide et elle semble assez bien le prendre, je la porte en mode princesse, et la pose sur le lit avec la couverture dessus.
Je vais dans le salon si tu a besoin de moi d'accord.
Oui merci ( baille)
Je commence a partir et ou bout de 5 minutes je rentre dans la chambre pour la voir endormi, je la porte en vérifiant que tout sois fermé et pars l'emmène chez moi.
Esclipe arrivé chez Hawks
Je l'emmène dans ma chambre en la menottent au lit, oui je m'endors heureux j'ai enfin la personne que j'aime a côté de moi.
Tu est a moi Y/n personne ne t'aura.
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christophe76460 · 2 months ago
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À SAVOIR SUR LE DÉMON « INCUBE ET SUCCUBE »
Incube : C'est un démon qui se pose sur les personnes pendant qu'ils dorment. A celui-ci, le nom qui traduit est " Paralysie du sommeil ", qui est celle que quand tu dors, quelque chose monte en toi, et commence à te serrer le cou, et tu ne peux rien faire absolument. Tu peux crier, mais personne n'écoute. Même si vous voyez ce qui se passe, vous ne pouvez rien faire.
De même, ils ne vous paralysent pas seulement, ils agissent à travers leurs peurs, et absorbent leur énergie à travers des relations sexuelles et des orgasmes multiples. Parfois, la victime, au réveil, ne se rappelle rien, mais elle se sent extrêmement épuisée, et pense qu'elle a simplement eu un cauchemar ou des rêves érotiques. Quelques lèvres avec des bleus et des morsures sur le corps.
À la fin, la personne se sent triste, et s'ennuie. Elle se sent non aimée, rejetée, certaines arrivent jusqu'au point de se faire tuer.
Il y a deux types de ce démon.
Incube, qui est le masculin, et succube qui est le féminin. Ces êtres prennent la forme d'une femme ou d'un homme très sexy. La personne le sent au-dessus de son corps, sans pouvoir bouger, et ça excite tellement la personne au point d'atteindre l'orgasme. Parfois, tu te sens bien, tu peux aimer, et tu ne te réveilles pas.
Ça t'est déjà arrivé ?
ce que tu dois faire.
Chaque jour Avant de dormir, il faut prier et méditer la parole de Dieu.
il faut marcher dans la sainteté .
Évite de regarder de films
Ou de revue pornographie.
Quand ça arrive, tu dois bouger jusqu'à ce que tu te réveilles,
crier ne sert à rien. Car il fera tout ce qu'il veut avec toi.
Quand tu te réveilleras, tu vas penser que c'était un cauchemar,
Quand tu te réveilleras. Il ne faut pas rester tranquille non plus, Alors, assieds-toi, et commence à prier, utilise tes armes spirituelles, va te battre jusqu'à ce que tu sois sûr que tu as gagné. N'oubliez pas que nous sommes plus que vainqueurs en JÉSUS-CHRIST
Luc 10:18-20
Romains 8:37
Partagez massivement enfin d’alerter tes amis .
Le Seigneur Dieu vous bénira.
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yes-bernie-stuff · 8 months ago
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Fort dans l'espérance
Le Psaume 31 est une prière sincère du roi David, un homme qui a connu de nombreux défis et épreuves tout au long de sa vie. C'est un rappel puissant que même dans les moments les plus sombres de nos vies, Dieu reste inébranlable et fidèle à ceux qui le cherchent.
Dans le Psaume 31:21-22, David se sent piégé. Il se souvient d'un moment où il se trouvait dans une ville assiégée, se sentant coupé de la vue de Dieu, submergé par des sentiments de désespoir et d'isolement. Mais, David n'a pas oublié la fidélité de Dieu. Il a imploré sa miséricorde et Dieu a entendu son appel. Il lui a répondu et tendu sa main.
T'est-il arrivé de te sentir piégé?
Ce passage est un rappel que l'amour et la miséricorde de Dieu ne sont jamais loin. Lorsque nous l'appelons avec ferveur, il entend nos cris et répond avec compassion.
"Soyez forts et prenez courage, vous qui vous attendez à l’Eternel."
Psaumes 31:25 BDS
Ce verset est un cri de ralliement, une invitation à ancrer nos âmes dans l'espérance qui vient de notre relation avec Dieu. Mais, il y a deux choses dont nous devons nous rappeler concernant l'espérance dans le Seigneur.
Tout d'abord, l'espoir n'est pas uniquement de l'optimisme. C'est une confiance profonde dans son caractère et dans ses promesses. C'est avoir la conviction que Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse (Psaume 46:2 LSG) et que son amour pour nous est inébranlable et immuable (Psaume 136:26 BDS). Lorsque nous plaçons notre espoir en Dieu, nous puisons dans une source de force qui transcende notre situation.
Ensuite, l'espérance dans le Seigneur n'est pas passive, mais active. Elle nous permet d'affronter les défis en sachant que nous ne sommes pas seuls dans nos batailles. Notre espérance repose sur celui qui entend nos cris et répond avec amour et miséricorde.
Dans les moments de détresse, lorsque tu te sens coupé de la vue de Dieu, souviens-toi des merveilles de son amour manifestées dans la vie, la mort et la résurrection de Jésus-Christ. En lui, tu trouveras l'expression ultime de l'amour indéfectible de Dieu pour nous.
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unjourdemai · 2 years ago
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Rêves stupides. Même les bons sont mauvais, car ils vous rappellent à quel point la réalité n'est pas à la hauteur. Je sais quand m'arrêter. Je sais quand laisser aller les choses. Je sais quand passer à autre chose. Mais « je sais » est différent de « je peux ». Vous aimez les gens. Ils vous déçoivent. Mais parfois, ils ne le font pas. Ils continuent juste à vous aimer, à travers tout cela, attendant que vous vous réveilliez et que vous les appréciez. Dire : "Je t'aime". Je t'ai toujours aimé en retour. La vie est courte, non ? Nous le savons tous les deux. Et si tu étais ma chance ? Et si tu étais la chose qui me rendrait le plus heureux ? Tout le monde peut se permettre de donner un sourire. Rien dans la vie ne t'est arrivé. C'est arrivé pour toi. Chaque déception. Chaque tort. Même chaque porte fermée a contribué à faire de vous ce que vous êtes. Soyez patient quand les choses ne vont pas bien. Acceptez que ce qui vous appartient vienne à vous de la bonne manière au bon moment. Un jour, quelqu'un va vous serrer si fort dans ses bras que tous vos morceaux brisés se recolleront. N'introduisez pas dans votre vie des personnes qui vous pèsent. Et faites confiance à votre instinct. Les bonnes relations font du bien. Ils se sentent bien. Ils ne font pas mal. La lutte dans laquelle vous vous trouvez aujourd'hui développe la force dont vous avez besoin pour demain. Il y a des choses qu'il faut oublier si on veut continuer à vivre. Les étoiles ne peuvent pas briller sans obscurité. Quiconque arrête d'apprendre est vieux, qu'il ait vingt ou quatre-vingts ans. Quiconque continue d'apprendre reste jeune. La plus grande chose dans la vie est de garder un esprit jeune. Je ne veux pas être à la merci de mes émotions. Je veux les utiliser, les apprécier et les dominer. Un inventaire minutieux de toutes vos expériences passées peut révéler le fait surprenant que tout s'est passé pour le mieux. Il n'y a que deux jours dans l'année où rien ne peut être fait. L'un s'appelle hier et l'autre s'appelle demain, donc aujourd'hui est le bon jour pour aimer, croire, faire et surtout vivre.
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kagamitsurugi-mrcl · 3 years ago
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Nino : du coup Luka t'a laissée croire qu'il sortait avec Marinette alors que pas du tout ?
Kagami : ouais, c'est l'idée.
Nino : je sais ce que ça fait, t'inquiète. j'ai cru qu'Alya me trompait, moi aussi, mais en fait ils étaient juste bons potes.
Kagami : ça t'est arrivé combien de fois ?
Nino : bah, une. pourquoi ? ça s'est passé plus d'une fois avec Luka ?
Kagami : en moyenne trois fois par semaine.
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theaucaramel · 3 years ago
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Le Temps d'un Soir
Mini One-Shot.
Sa vision était troublée, son être était vidé. Son ivresse le jouait quelques tours.
Il était Minuit, Maxence était avachi sur un comptoir, dans un bar. Quoi de mieux après une sale journée et un rejet aussi fort qu'un typhon.
Il buvait cul sec n'importe quel alcool présent et puis peu lui importait si il tombait raide mort après s'être rempli de divers breuvages, tous aussi exotiques les un des autres. C'est yeux lui picotait et sa gorge était en feux , mais peu importe, peu importe.
Il avait considéré se confesser à sa bien-aimée, le cœur léger ; mais aurait il pus envisager un tel refus ? Elle lui avait jeté un regard plein de dédain et de dégoût, lui avait lancée une centaine d'injures, toutes si hardies et blessantes.
Le loser qu'il était, avait trouvé refuge dans un bar, à minuit, il faisait tard, le bar se vidait peu à peu et le silence pouvait refaire surface, seulement.. la cloche retentit.
Il sentit une présence à côté de lui, incapable d'avoir de la motivation, il demeura immobile.
《 Maxence ?》une voix apaisante demanda.
《Qu- quoi ?
- Maxence....
- GE-George ?
- Je.. J'aurais jamais cru te voir ici .
- Me voilà... 》
Je leva la tête et d'un mouvement las, je pris ma main comme accoudoir. George, George Froster était à côté de moi ce soir glacial, c'est un collègue , où je travaille tout le monde le connais et tout le monde l'aime également, bref.
Nous restâmes comme ça pendant un certain moment, avant qu'il engage une conversation.
《 T'est... Célibataire ? C'est juste une petite question .
- Parce que toi tu l'est ? Je croyais que tu étais déjà avec quelqu'un.. sinon oui.
- Oui haha...Si ça ne te dérange pas trop j'aimerai savoir ce qui ta mis dans un tel état..?
- Un rejet. C'est une raison futile n'est-ce pas ?
- Non, pas vraiment. C'est bizarre que ça soit si soudain, mais..puis-je t'invité chez moi ?
- Pourquoi pas, je n'ai pas une course à faire, ça ne me coûte rien. 》
Son cœur redevint léger et il suivit en essayant tant bien que mal de ne pas tomber derrière son ami.
Une fois arrivé à la demeure du brun, Maxence était fatigué, on dirait que l'ivresse semblait le rattraper , il regarda pour une millième fois George, il ne sait pas si sa vision le trahis ou si c'était bel et bien la réalité mais George lui semblait plus attrayant, non pas que il n'était pas attrayant car chaque hommes et femmes dans son entreprise le trouvait splendide mais il aurait jurer que George était plus attrayant.
《 Maxence ça va ?》
Il se rapprocha du brun.
《M-Maxence ?》
Leur corps n'était plus qu'à quelque centimètres. Son visage semblait si proche, il ne pensa plus, il laissa un baiser chaste au brun, il s'attendit à un refus immédiat mais, le contraire se passa.
Il recula son visage et contempla George, ses yeux brillaient et il affichait un sourire. Il prit la main de Maxence est alla dans sa chambre, il le regarda avec insistance .
《Tu veux le faire c'est ça ?
- Oui..》
Il baissa sa tête. Je le poussa doucement sur le lit, et me mis à califourchon sur lui, ils se déshabilla et je fis de même, nous laissant seulement avec un caleçon. Nos peaux se touchaient, laissant une douce chaleur et ses yeux criait le désir. La nuit fût remplie de bruits de plaisir , un peu plus haut et un peu plus bas.
Ce fût une nuit phénoménale. Et j'étais heureux de me retrouver avec mon véritable bien-aimé à côté, le désir s'échapper et l'amour commençais à paraître. Mes sentiments ont fleuris, juste le temps d'un soir.
Mots : 644
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