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#(papier toilette) noyau
bearbench-img · 4 months
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シン
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トイレットペーパーの芯は、ロール状のトイレットペーパーの中心にある空洞の管のことです。通常は紙製で、トイレットペーパーが巻かれる中心部分を形成します。芯の役割は、トイレットペーパーを巻き取るための支持体として機能し、ロール状の形状を保持します。また、トイレットペーパーを使用した後に芯が残ると、再生紙のリサイクルなどの目的で再利用されることもあります。一部のトイレットペーパーの芯は、中にチューブがない完全に空洞のデザインであり、環境に配慮した選択肢として人気があります。
手抜きイラスト集
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Logique du complotisme, compotisme de logique
Il y a encore des journalistes assez illettrés (attention: pléonasme inside) pour oser ânonner les mots "complotisme", "complotiste"...
Rappel : "complotiste" est un terme péjoratif employé par des sujets pour qui la difficulté de réfléchir a été évitée avec succès, c’est ainsi que l’accusation de "complotisme" (cf. "adepte de la théorie du complot") est censée frapper d’infamie, de discrédit et d’opprobre publique celui à qui elle s’adresse (tandis que celui qui la profère cherche tacitement l’assentiment des "gens de bien" qui se font fort de ramener toute pensée critique au rang d’une croyance aux martiens et à la platitude de la Terre). Comme disait Paul Valéry: «Qui ne peut attaquer le raisonnement attaque le raisonneur.»
En disant: «c’est celui qui dit qui l’est», la sagacité verbale des enfants rejoint la vérité en tant que contingente de la psychanalyse, la contingence, c’est que lorsque tu parles de quelqu’un d’autre, tu parles de toi parlant de quelqu’un d’autre, et tu en dis toujours plus sur toi que sur ce dont tu parles, ce que tu dis c’est toi, non seulement c’est toi qui le dis, mais c’est toi qui es parlé par ce que tu dis, car en vérité c’est de toi que tu parles, et tu ne le sais pas (en l’occurrence c’est toi qui y crois dans cette fumeuse et doublement mal nommée "théorie du complot"...)
La croyance est toujours croyance dans la croyance de l’Autre, personne ne peut croire "directement" quelque chose, croire présuppose toujours la croyance en quelqu’un d’autre qui y croit.
Cela tient d’une part à la structure du langage, la nécessité de la présence d’un Autre (qui garantit le sens de la parole), et d’autre part au noyau sémantique même du verbe croire, sa consistance logique que nous devons obligatoirement supposer: je ne peux pas croire si je ne peux pas croire d’abord que je crois croire, pouvoir croire (à quelque chose ou quelqu’un) présuppose nécessairement que je crois que je crois, cela s’appelle la réflexivité.
Le phénomène de la rumeur permet d’illustrer que la croyance est toujours croyance dans la croyance de l'Autre...
Une rumeur court par exemple qu'il va y avoir une pénurie de papier-toilette...
Je sais bien que c’est une rumeur, et donc que c’est probablement faux, mais comme il y a des gens qui y pensent, je me dis qu'il vaut mieux quand même que j'aille acheter du papier-toilette, parce que s'il y en a d'autres assez stupides pour y croire vraiment, à cette ridicule histoire de pénurie de papier-toilette, il n'y aura plus de papier-cul en magasin pour moi quand j’en aurai vraiment besoin !
Ce faisant, j'aurai contribué à rendre vraie la rumeur de la pénurie tout en prétendant ne pas y croire.
Voilà pourquoi la croyance — et c'est encore plus vrai lorsqu'elle se manifeste dans sa détermination oppositionnelle : l'incroyance — opère toujours par procuration, c’est toujours d’abord croire qu'il y a quelqu'un d'autre qui y croit... à ma place! Quelqu’un qui en soupçonne un autre de croire fanatiquement en son Dieu est donc nécessairement un croyant qui s’ignore, puisqu’il croit (et donc ne sait pas) que quelqu’un croit à sa place.
Le langage, avant de signifier quelque chose, signifie toujours d’abord pour quelqu’un.
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davidfakrikian · 1 year
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DVDvision - La Collection Épisode 4
On continue l'histoire de DVDvision vol.1 avec l'épisode 4, le premier numéro réalisé dans des conditions (presque) stables !
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Numéro 4 - Mai 2000 - 
108 pages
Editeur : Seven Sept
Directrice de publication : Véronique Poirier 
Rédacteur en chef : David Fakrikian
Rédacteurs principaux : Yannick Dahan, Tim Lucas, William Kalay, Christophe Lemaire, Stéphane Lacombe, Fathi Beddiar, Benjamin Rozovas, Rafik Djoumi, David Martinez.
Sommaire : La tétralogie Alien, Le Projet Blair Witch, Easy Rider remaster.
DVD : Spécial bandes annonces, conception par Christelle Gibout.
Notes : Enfin un numéro réalisé dans des bonnes conditions. Le fait que nous commencions à nous relaxer est évident dans l'éditorial, que je trouve très arrogant (vu notre apparition récente sur le marché), mais visionnaire, et justifié. Aujourd'hui, évidemment, tous les éditeurs ou presque ont fait les erreurs sur lesquelles nous les mettions en garde, et le marché du DVD/Blu-ray/UHD en souffre. 
Pour bien marquer le coup sur ce numéro, j'approche Tim Lucas, créateur du magazine Video Watchdog (qui reste à ce jour le meilleur magazine DVD du monde), pour apporter une petite contribution avec la traduction d'un de ses articles clés récent, sur Le Projet Blair Witch. Un autre article est acheté à Widescreen magazine, contant l'histoire de la restauration du film culte Easy Rider. Couplé à Alien, ces trois dossiers marquent enfin, de manière très affirmée, les différents axes rédactionnels du magazine. 
Le week-end du bouclage, le budget pigiste étant pulvérisé par les achats et les traductions des articles anglais, je suis resté au bureau du vendredi matin au dimanche-après midi, dormant sur le canapé dans le bureau de Véronique, et mangeant du fast food sur place. J'avais emporté ma brosse à dents, et je me suis lavé les cheveux dans le lavabo des toilettes. Pendant que je finissait les chroniques, rédigées la nuit, sous divers pseudonymes, (nous utilisions des pseudonymes lorsque nous n'étions par satisfait de l'un de nos textes),  un mail de Tim Lucas est arrivé dans ma boite : "Toujours au bureau à cette heure ? Bienvenue dans le monde de l'édition !". Même aujourd'hui, ce ne me fait toujours pas rire. 
C'est pendant la conception de ce numéro que nous avons appris que HK magazine s'arretait. Les rédacteurs de HK étant employés par la même compagnie que DVDvision, nous nous sommes aussitôt mis d'accord pour qu'ils nous rejoignent à temps plein. Bien que non indiqué dans l'ours, c'est donc dès ce numéro que Leonard Haddad commence à mettre en forme les articles (un art dans lequel il excelle, pouvant transformer en quelques minutes un papier incohérent et illisible en un article de premier choix), tandis que David Martinez, qui depuis la création du magazine faisait office de conseiller non-officiel de la rédaction, commence à y écrire. 
Avec ces deux lascars, le magazine va enfin trouver un noyau rédactionnel stable. L'art d'un rédacteur en chef est de bien savoir s'entourer, et un mag de cinéma (ou de DVD) doit toujours commencer par plusieurs passionés discutant entre eux des journées entières, chose impossible bien entendu a réaliser avec des collaborateurs externes. Le rôle que vont jouer Leonard Haddad et David Martinez dans l'existence du magazine est très important. Si DVDvision n'aurait jamais existé sans l'impulsion première que je lui ait donnée, la revue n'aurait pas eu le même impact, sans l'apport de ces deux excellents journalistes. 
Cependant, nous sommes encore loin, à ce moment là, de constituer une vraie rédaction : nous n'avons pour matériel que trois bureaux et trois ordinateurs placés dans un couloir. Il faudra encore attendre un peu avant que tout cela devienne plus professionel... 
Un grande partie des dossiers de ce numéro est maquettée officieusement, par Paola Boileau (HK), Philippe Lambert ayant été lessivé par le bouclage précédent. Il peaufine cependant tout le rubriquage et le dossier principal sur Alien. 
On voit tout de suite la différence de style, et je m'aperçois avec le recul, que la direction artistique de Paola Boileau pour les dossiers Easy Rider et Blair Witch, que nous concevons ensembles dans une atmosphère très créative, va devenir la base des maquettes de tous nos dossiers futurs.
Joel Casano, qui concevait jusque-là les couvertures de HK magazine, et avait commencé à travailler avec nous sur le précédent numéro, nous rejoint cette fois régulièrement, et il n'y a pour la première fois pas eu de problème sur la couverture.
Mon seul regret dans ce numéro est le DVD, qui ne présente que des bandes-annonces diverses. Mais ce sont les aléas des droits d'édition de matériel promotionnel. 
La citation de ce numéro : "Putain, c'est pas mon jour !"  (Leonard Haddad, après qu'on lui ait appris que le magazine HK s'arrete, et que le café qu'il se préparait lui ait explosé à la figure - avril 2000)
copyright © David Fakrikian 2006-2008 / DVDvision.fr
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wewillpunkyou · 7 years
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Concert: Neck Deep au Petit Bain (Paris - 18 octobre 2017) et au Connexion Live (Toulouse - 03 novembre 2017)
           Si vous partagez notre avis sur le fait que The Peace and the Panic est l’un des albums phares de cette année 2017, il y a de grandes chances pour que vous soyez aussi d’accord avec nous pour dire que la tournée européenne de Neck Deep a été un franc succès. La France, parfois laissée de côté, a cette-fois ci été bien gâtée avec un premier arrêt au Petit Bain de Paris, le mercredi 18 octobre, suivi d’une date de fin de tournée mémorable au Connexion Live de Toulouse, le 3 novembre dernier. Vos chroniqueuses préférées de We Will Punk You! étaient présentes sur ces deux dates et vous en parlent aujourd’hui avec passion.
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             Déjà, ce n’est pas un, ni deux, mais bien TROIS (3!!) groupes de folie que les gallois ont embarqués avec eux. Ferventes défenseuses des tournées à mille groupes (c’est toujours plus de fun), nous avons un peu pleuré de joie en voyant l’annonce des noms. Déjà revendiquées fans de Real Friends et d’As Is It, nous avons découvert Blood Youth sur scène ainsi qu’autour d’une rencontre sur le toit du Petit Bain avec Kaya Tarsus, le frontman du groupe. Plus bruyants que les trois autres, ils se sont cependant très bien intégrés à la tournée et l’enchainement des quatre actes s’est fait sans aucune gêne. Les groupes comme Blood Youth sont la raison pour laquelle nous aimons tant les premières parties : on y découvre des petites perles et ça nous fait toujours plaisir.
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             Sur cette tournée, Blood Youth ont interprété des chansons de leur premier album très prometteur Beyond Repair, ainsi que trois titres extraits de leurs deux premiers EPs tout aussi séduisants ; Closure et Inside My Head. Si les musiciens de Blood Youth sont vraiment très bons, nous tenons particulièrement à souligner l’habilité des paroles chantées par le groupe. Leurs chansons transpirent la justesse et l’honnêteté. Sur Failure, un vrai parallèle se crée entre l’angoisse et la haine qui s’en échappent et celles qui se délivrent en nous. Sur Closure, Kaya nous raconte son ras-le-bol général en s’exprimant avec colère ; « My heart is closed to everyone I see, this is what I call Insanity! ». Il nous explique d’ailleurs : « Tout ce que j’ai jamais écrit m’est arrivé dans la vie, c’est personnel mais je pense que c’est une très bonne chose de les laisser sortir. Tu vois quand quelqu’un te dit ‘quand tu es énervé tu devrais juste crier de toutes tes forces’ ? Je peux faire ça tous les soirs ! Je joue le set et après je m’effondre ; je m’évanouis même parfois. » Autant d’énergie, c’est la meilleure façon possible pour commencer la soirée en beauté. Le set se poursuit avec les deux autres premières parties.
 [Setlist complète: 24/7, I Remember, Reason To Stay, Failure, Making Waves, Closure.]
              Real Friends et As It Is se sont échangés les deuxième et troisième positions de passage lors des différentes dates. A Paris, ce sont les Américains de Real Friends qui ont ouvert le show en second ; et à Toulouse, c’était As It Is. Mais peu importe l’ordre de passage, l’ambiance reste la même. As It Is nous présentent un set énergique, joyeux, entrainé par un frontman qui ne tient pas en place, qui sautille sans cesse sur scène et qui rend l’ensemble du set particulièrement théâtral. Patty Walters, dont le coiffeur semble être en prison, est l’un des êtres humains les plus passionnés qu’il nous ait été donné de rencontrer. Accompagné du guitariste et deuxième voix occasionnelle Benjamin Langford-Biss (qui, lui, n’a jamais eu de coiffeur), du batteur Patrick Foley et d’Alistair Testo à la basse, ils forment à eux quatre As It Is, suite au départ d’Andy Westhead un peu plus tôt dans l’année. Les personnalités attachantes des membres et l’apport parfois plus « pop » qu’ils donnent à la scène, – notamment de par la voix extrêmement spéciale de Patty – fait qu’après la sortie de leur deuxième album, ils ont déjà une fanbase solide, jeune et dévouée dans de nombreux pays. La France n’y fait pas exception : aux premiers rangs, tout le monde connaît les paroles et chante avec le groupe. Un vent de communion puissant souffle sur le public tandis qu’ils interprètent leurs chansons les plus populaires.
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             Une petite date dans une salle incomplète comme celle de Toulouse n’aurait pas été si mémorable si elle n’avait pas été rythmée par les célèbres blagues qui accompagnent la fin d’une tournée. Avant même la fin d’Okay, première chanson interprétée, la scène se retrouve couverte de morceaux de pain et de carottes râpées. On n’est vraiment pas pro gaspillage, mais bon, c’était quand même un peu drôle… La vraie partie hilarante réside dans le numéro de batterie spectaculaire interprété par Foley… à l’aide de baguettes de pain. Bien joué ! Ce n’est pas vraiment le même son que l’on obtient avec, mais c’est rigolo. Il n’y a pas beaucoup de sérieux dans cette prestation mais nous, ça nous convient. On rigole, on participe aux circle pits absurdes autour de l’ingé-son et c’est une vraie bonne ambiance qui se crée dans la salle malgré le nombre peu élevé de personnes présentes à Toulouse – une atmosphère qui a mis un peu plus de temps à s’alléger à Paris. Le climat s’assombrit légèrement à l’approche du duo terrible Soap/No Way Out, à savoir les deux meilleures chansons d’As It Is ; titre certifié par We Will Punk You!. Ben et Patty se donnent la réplique sur Soap, chanson inspirée par la bataille mentale entre soi-même et une version plus idéalisée de soi-même. C’est beau, authentique, parfaitement interprété dans une mise en scène recherchée. Ce sont de vrais artistes qui évoluent sur un ton alternant entre drame et comédie.  Le monologue parlé qui accompagne No Way Out nous explose le cœur comme à chaque fois. Pendant tout le set toulousain, les quatre groupes se sont amusés à échanger leurs membres et à faire n’importe quoi. Quand vient le moment d’interpréter Dial Tones, la dernière chanson, plus rien n’a de sens sur scène : Ben a abandonné sa guitare, récupérée par Patty, il hurle dans le micro et frappe sur les cymbales. À la fin de la chanson, ils sont désormais une dizaine sur scène, un des membres de Real Friends s’est emparé de la basse, Dani et plusieurs autres membres du crew et des trois groupes viennent démonter la batterie et débrancher les fils alors même que le groupe continue de jouer… Bref, une bonne partie de rigolade pour tout le monde.
 [Setlist complète: Okay, Patchwork Love, Concrete, No Way Out, Soap, Pretty Little Distance, Hey Rachel, Dial Tones.]
              À peine le temps de nettoyer correctement la scène que Real Friends sont déjà installés. Leur set s’ouvre sur Mess, single extrait de leur dernier album The Home Inside My Head. « I’m still a lost boy ! » répète la foule avec entrain. Au bout de quelques minutes seulement de spectacle, nous décidons d’accorder au chanteur Dan Lambton le titre de personne la plus drôle de notre scène musicale, lui permettant au passage de détrôner une bonne dizaine de nos blagueurs préférés (Awsten Knight, Alex Adam, Costello et tous nos autres copains musiciens à l’humour lourd et incertain).
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             Brian Blake (batterie), Kyle Fasel (basse), Dan Lambton (chant), Dave Knox et Eric Haines (guitares) nous présentent une formation joyeuse tant à Paris qu’à Toulouse. Ayant dû reporter leur précédente tournée européenne suite à quelques soucis de santé mentale, ils sont apparus sur scène plus en forme que jamais ! Les blagues se sont enchainées dans la bonne humeur et là encore, c’est un public heureux et cohésif qui chante en cœur et s’essaye aux mosh pits. La beauté du set, ce sont toutes ces chansons tristes qui s’enchainent avec tant de légèreté. Si l’optimisme s’entend clairement sur certaines pistes, les thèmes généraux abordés par Real Friends gravitent pour la plupart autour d’un noyau sombre : manque, nostalgie, abandon, solitude, isolement, impression agaçante de ne pas être à sa place. On n’y prêterait presque pas attention si le groupe n’était pas si inclusif et bienveillant. Entre deux plaisanteries, le chanteur prône l’importance d’être attentif et doux, de respecter cette ‘safe place’ qu’est notre scène musicale et de promouvoir l’amour de soi et des autres. Pour la dernière date du tour, alors qu’ils entament la dernière piste de la soirée avant l’entrée en scène de Neck Deep, des centaines d’avions en papier jaillissent de part et d’autre du balcon et des côtés de la scène. Pas de raison pour qu’As It Is et Blood Youth soient les seuls à subir ce traitement et à se faire saboter leur set ! La scène est très rapidement couverte de plusieurs avions, de serviettes de bain, de feuilles de papier toilette et – après tout, on est France, c’est rigolo…- de baguettes de pain. C’est sous les éclats de rire que Real Friends terminent par Late Nights In My Car. Dave se lance dans la foule avec sa guitare, Dan rigole tellement qu’il avale un mot sur deux et parvient tout juste à formuler « If you never break, you'll never know how to put yourself back together ». C’est la pagaille complète mais tout le monde a l’air tellement heureux et ça fait chaud au cœur. Ce n’est pas évident de se rendre compte qu’une belle complicité s’est développée entre les quatre groupes au cours de la tournée, et qu’ils sont tristes de devoir se quitter.
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  [Setlist complète: Mess, Colder Quicker, Loose Ends, I’ve Given Up On You, Summer, Maybe This Place Is The Same, I Don’t Love You Anymore, Late Nights In My Car.]
              La folie continue très vite avec les stars de la soirée : Neck Deep. Venus nous présenter sur scène leur dernier album The Peace and the Panic, Ben Barlow, Sam Bowden, Fil Thorpes, Matt Wills et Dani Washington ont réussi à concocter une setlist capable de satisfaire à la fois les fans de la première heure et les nouveaux arrivés. S’ouvrant sur le rythme dansant d’Happy Judgement Day, Le show parisien a été rythmé du début à la fin par des mosh pits sans répits et du crowdsurf en continu. À Toulouse, c’était très légèrement plus calme mais tout de même bien sportif ! Ben Barlow s’avance vers son micro et chante : « Oh what a time to be alive ! ». Si cette première phrase s’applique bien à notre état d’esprit du moment, le reste de la chanson résonne comme une longue plainte contre la société actuelle et contre ce que l’Homme a fait de notre monde. Neck Deep fait partie de ces groupes qui touchent aux sujets importants et n’hésitent pas à utiliser leur voix pour passer les messages qu’il faut, ce qui participe bien grandement à l’amplification de notre amour pour eux.
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             Deux classiques de Neck Deep s’ensuivent. Lime St. et Gold Steps sont deux chansons qui mettent tout le monde d’accord ; toutes les deux tirées de l’album Life’s Not Out To Get You sorti deux ans plus tôt. On y retrouve certaines des paroles les plus cultes du groupe qui reviennent souvent dans les fanarts et autres tatouages ; « I've been moving mountains that I once had to climb » ou encore « I swear to God you save me ». La bonne ambiance règne dans le pit, tout le monde se pousse dans une entraide parfaite, parfumant la pièce d’un soupçon de sûreté encore parfois trop ignoré dans certaines foules de notre scène. Les mouvements ralentissent à peine lorsque viennent les titres les plus doux, qui sont aussi les plus récents singles : Parachute, In Bloom, quelles merveilles pour les oreilles.
             Le vrai changement de plateau s’opère lorsque Ben et Fil interprètent ensemble Wish You Were Here, chanson écrite en hommage à leurs pères décédés au cours de l’année précédente. L’émotion est forte au Petit Bain, le discours du chanteur est déchirant et les mains se nouent entre elles dans le public – que l’on est déjà eu à faire le deuil d’une personne aimée ou non, la tristesse se ressent ; « Now I'll always remember it as the song that your life ended with ». S’ensuit ensuite Part Of Me, chanson emblématique du groupe qui rend particulièrement bien en live, lorsque le public reprend en cœur les dernières paroles du refrain. Ces deux chansons représentent une coupure qui prépare particulièrement bien au grand final. Cependant, nous en regrettons l’absence à Toulouse, le set ayant du être écourté.
             Vient l’heure de Can’t Keep Up the Roots et de leur dernière chanson désormais légendaire Where Do We Go When We Go. Le batteur de Blood Youth nous avouera plus tard dans la soirée que le côté un peu diva du guitariste Sam Bowden les a freiné dans leur envie de réduire la scène en miettes à la fin de leur set. Sam adore faire des blagues mais quand ça le concerne, ça ne le fait plus trop rire, paraît-il. Quoi qu’il en soit, ils se sont également pris un peu de pain sur la figure.  Et pour terminer la tournée en beauté, quoi de mieux qu’une petite invasion de scène improvisée ? « Pain, pain, go away! Come back another day! » ; L’atmosphère enfantine reprend le dessus et nous perdons un peu le sens de ce qu’il se passe dans la salle. Tout le monde danse, rigole, s’amuse ; aucune douleur à l’horizon, hormis celle qui surviendra plus tard au moment de réaliser que le concert est déjà fini !
[Setlist complète: Happy Judgement Day,  Lime St., Gold Steps, Motion Sickness, What Did You Expect?, Parachute, Kali Ma, Rock Bottom, Citizens of Earth, Don’t Wait, In Bloom, December, Wish You Were Here, A Part of Me, Can’t Keep Up the Roots, Where Do We Go When We Go.]
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Nouveaux produits bâtiment : JACKON – Qboard® basiq reno : Le nouveau panneau d’aménagement toutes finitions pour les murs et les sols
Le blog du bâtiment : Grâce au nouveau panneau de construction Qboard® basiq reno, la réalisation de murs et de sols devient encore plus facile et toujours plus rapide. Cette innovation du fabricant JACKON Insulation permet de créer des surfaces parfaitement lisses. Doté d’un revêtement non tissé sur ses deux faces, il permet d’être carrelé, enduit ou recouvert de peinture ou de papier peint, en un tour de main. Extrêmement léger et stable, Qboard® basiq reno est facile à découper et très résistant à la pression. Hydrofuge, il est utilisableégalement dans les pièces humides comme les salles de bains.
Avant l’application de la surface de finition, tous les contours des panneaux et les champs visibles sont renforcés par une bande d’armature. Dans les lieux propices à l’humidité comme les salles de bains, l’herméticité des bords des panneaux est assurée par une bande d’étanchéité.
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  Des possibilités d’aménagement multiples
Le revêtement spécifique non tissé permet de recouvrir le panneau avec tout type de finition : carrelage, enduit, papier peint, peinture… Ainsi, sur un même mur, il est possible de réaliser une partie avec du papier peint et une autre avec du carrelage.
  Des bords amincis pour une surface plane
Grâce à ses bords amincis, les raccords entre les panneaux sont traités facilement avec une spatule et de la bande d’armature. Résultat, une pose parfaite avec des joints ajustés au millimètre près et une surface toujours aussi plane. Il n’est même plus nécessaire de recouvrir entièrement le panneau avec de l’enduit. Un gain de temps considérable pour l’artisan???!
Avec son cœur en polystyrène extrudé (XPS), Qboard® basiq reno est imputrescible, stable et applicable sur de multiples supports. Il est disponible en deux dimensions, 1200 x 600 mm et 2600 x 600 mm, et en deux épaisseurs.
Avec la gamme de panneaux d’aménagement intérieur Qboard® de JACKON Insulation, c’est un véritable jeu d’enfant de créer des formes originales sans maçonnerie. Meubles de salle de bains, plans de toilettes, habillage de baignoire, banquettes, cloisons, receveurs de douche, murs ou encore sols, l’artisan dispose d’une diversité d’aménagement illimitée.
  Caractéristiques Qboard® basiq reno :
Panneau d’aménagement toutes finitions
Non-tissé spécifique sur les deux faces
 Bords amincis pour une surface plane
Noyau en mousse de polystyrène extrudé (XPS)
Forte résistance à la compression > 200 kPA
Facile à découper
Revêtements multiples : carrelage, enduit, peinture, papier peint…
 Épaisseur : 12,5 mm et 20 mm
Dimensions : 1200 x 600 mm, 2600 x 600 mm
  www.jackon-insulation.fr
Article : http://feeds.feedblitz.com/~/461825278/0/isolationcomblesperdus
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Baskets Golden Goose Pas Cher Guide qui vous aidera à démarrer un petit groupe
Chaque caisse est un soldat de vos services militaires qui se bat pour obtenir votre indépendance économique personnelle. S'il vous plaît ne passez pas chaque partie de votre succès. N'achetez que des choses dont vous avez réellement besoin. Au cas où vous emporteriez chez vous une annonce de presque tout l’argent que vous avez dépensé et ce au cours de la fin de leur semaine, pour avoir l’impression que vous soyez consterné par le fait que les choses que les gens dépensent sont votre argent en fait pas vraiment besoin. Le montant spécifique surprendra peut-être aussi des gens, utilisez des ceintures pour tenir compte du fait que vous atteignez leur objectif vers un nouvel avenir plus acquis. Déterminer de rester simplement aussi oublier dans la région de montrer votre contenu. Cette marchandise est un passif majeur qui n’est pas considéré comme un atout. Si vous souhaitez développer votre indépendance financière, vous devez acheter des actifs et non pas réellement des passifs. Je ne parviens pas à me souvenir exactement de ce modèle mais du mélange que j’ai pu. Peut-être tout au long d'une impression ou du dernier spectacle d'écriture de la journée, malheureusement, merci néanmoins à Dieu avec de petits miracles. Enfin, chaque modèle de régime qui m’a récemment aidé à perdre du poids - me fait sentir beaucoup plus vigoureux et plus jeune. Vraiment étonnant, en fait, combien de briquets Nous nous sentons tous au sujet de mon pied. Ce dispositif est une reformulation du 21ème siècle digne de confiance en raison de la présence d’un produit sur les habitudes alimentaires qui dure depuis un certain temps. Certaines ressources massives sont nouvelles 'é Golden Goose Pas Cher astiques'. Ils peuvent avoir votre cadre en consacrant du temps dans la formation pour que les propriétaires Golden Goose Soldes uissent avoir un travail plus exigeant. Une personne peut construire votre tête pour être parfois plus efficace - pour prendre une bonne dé Golden Goose Femme Solde ision plus rapidement, pour vous inciter à gagner beaucoup plus d'argent. Les gens le mettent en pratique chaque instant et le considèrent comme un moyen de conserver leur argent. Maintenant, il y aura généralement une entreprise qui se fera un plaisir d'offrir des tarifs et des citations relatives aux avantages, alors vous vous interrogez sur le moment où il fonctionne pour couvrir votre voiture avec une assurance voiture. Rappelez-vous que dès le premier semestre de mon école de technologie, mon compagnon de chambre préféré a couru un pari que quiconque pourrait trouver parmi les assurances de voiture ou de camion les moins chères obtiendrait probablement toute la voiture pour trouver la journée. Ce serait vraiment probable lorsque l’idée viendra du jour au Baskets Golden Goose Pas Cher endemain. Vous auriez supposé que nous examinions à l'origine l'Out Golden Goose. Chaque jour, nous chercherons probablement via Internet des taux d’assurance accident pour déterminer si des frais supplémentaires pourraient être ajoutés. Cela a commencé une routine pour la plupart d'entre nous. Premiers pas que vous pouvez faire pour vous familiariser avec le piège naturel de la vie de votre visiteur au sein de votre entreprise Web. Ils y sont amenés par un excellent noyau de recherche ou par un contenu écrit ou un support vidéo de votre choix. Ils visitent la page Web d'atterrissage et votre société tente de leur permettre de la diriger vers la nouvelle page de fans de vente où ils peuvent avoir à contribuer à la création de cette solution. Acheter ou ne pas trop acquérir. Une fois que Daniel est pris au dépourvu, des témoins disent que Howard K. Demanding (supposé père de DannieLynn) évacue les substances qui semblaient être illégales dans les toilettes. Finalement, sa maladie est dominée par une surdose de chien par une combinaison mortelle de médicaments prescrits. Toute la question relative à l'endroit où cette personne a obtenu ces médicaments sur ordonnance n'a en aucun cas été répondue pour vous aider à la cotation en bourse. Après quelques minutes (ou heures) fiévreuses mais agréables, vous semblez être dans votre magasin et le tour est joué: muses sur papier, à la fois une pépite fantastique également considérablement brillante accompagnée de potentiel.
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saleshoesggdb-blog · 5 years
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Golden Goose Pas Cher Guide sur la manière de démarrer une nouvelle petite organisation
Chaque vente est un soldat pour votre marine qui lutte pour votre indépendance financière. Il suffit de ne pas passer chaque étape que vous é Golden Goose Pas Cher ablissez. N'achetez que des choses dont vous avez réellement besoin. Tandis que vous emportez chez vous un magazine de l’argent que vous dépensez et que vous examinez autour de vous au cours des semaines à venir, vous pouvez vous attendre à ce que mon mari et moi soyez surpris de voir des choses que les gens dépensent avec votre argent réel complètement besoin. Vous voyez, le montant peut peut-être surprendre également votre organisation, pour cette raison, resserrez beaucoup de ces ceintures dès que vous vous dirigez vers un avenir plus sûr. Opérez simplement et oubliez de montrer votre matériel. Cette activité est un passif fiable, probablement pas un atout. Si votre entreprise souhaite obtenir une indépendance financière, vous devez acheter des actions et non pas réellement des passifs. Je ne me souviens pas comment je suis tombé sur ce point, mais sur le mélange que je fais. Peut-être tout au long d'un journal ou d'un vrai talk-show de la journée, mais il remercie néanmoins Dieu à cause de petits changements. Enfin, une bonne option de régime qui me permet de perdre du poids me permet, à moi et à mes amis, de nous sentir plus vigoureux et plus jeune. C'est vraiment étonnant de constater combien je me sens plus léger au sujet de mes chaussures. Ce logiciel est une re-formulation digne de confiance du 21e siècle en un produit de nutrition que l’on n’a vu que récemment. Certains équipements sont très élastiques. Ils peuvent avoir votre humanité en consacrant du temps à la formation finale pour que les familles puissent faire un travail plus traditionnel. Votre entreprise peut rassembler votre intelligence pour être plus compétente - pour prendre une meilleure décision plus rapidement, pour vous permettre de gagner beaucoup d'argent. Les gens en ont certainement pour leur argent et en prenaient soin, dans la perspective d'un plan visant à économiser de l'argent. Présent sera une seule entreprise qui sera disposée à offrir des prix pour recevoir des avantages que vous Golden Goose Femme Solde aisserez entrevoir quand il apparaît à niveau votre voiture avec l'assurance automobile. Partenaire, rappelez-vous le moment de l'organisation, au cours du semestre de modèle, de certains de mes camarades de chambre et / ou de moi-même, j'ai eu droit à un devis qui, selon les experts, permet à celui qui trouve fréquemment les assurances les moins chères d'obtenir une voiture en raison du week-end. Cela devait vraiment garantir quand viendrait le moment de dater la nuit. Vous avez probablement un plan que nous allons examiner par la Outlet Golden Goose. Chaque jour, sans aucun doute, nous recherchons en ligne une assurance auto pour commencer à voir si un particulier pourrait détruire l'autre grand. Cela s'est transformé en habitude pour les États. Les premières actions semblent disponibles sur la moto de la vie entièrement naturelle de tout visiteur au sein de votre site Web. Ils sont généralement corrigés par un noyau de recherche approprié ou par un contenu écrit ou un support vidéo de votre domicile. Ils peuvent être achetés sur une page Web large et une personne tentera de guider les gens vers un autre rapport de vente où ils se trouvent - ce qui finit par provoquer cette tendance. Pour choisir ou probablement pas pour sélectionner. Après que Daniel ait détecté qu'il ne réagisse plus, des témoins de cette scène ont déclaré que pour finir, Howard K. Stringent (un soupçon supposé de DannieLynn) avait fait spécifiquement son apparition quand on vous prescrivait des médicaments dans une toilette donnée. Finalement, sa mort est maîtrisée par une surdose de difficultés - combinaison mortelle de médicaments. Vous voyez, la question à propos de l'endroit où votre ex a obtenu tous les remèdes sur ordonnance n'a pas été traitée sans raison dans les délais. Après plusieurs minutes fébriles, puis à nouveau agréables (ou des heures), vous avez un aperçu de votre liste et le tour est joué: Muses sur papier, à peu près toutes les pépites âgées sont généralement rougeoyantes et utilisent le potentiel.
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Baskets Golden Goose Pas Cher Guide avec Démarrer pratiquement n'importe quelle petite entreprise à domicile
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refairesatoiture · 7 years
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Nouveaux produits bâtiment : JACKON – Qboard® basiq reno : Le nouveau panneau d’aménagement toutes finitions pour les murs et les sols
Le blog du bâtiment : Grâce au nouveau panneau de construction Qboard® basiq reno, la réalisation de murs et de sols devient encore plus facile et toujours plus rapide. Cette innovation du fabricant JACKON Insulation permet de créer des surfaces parfaitement lisses. Doté d’un revêtement non tissé sur ses deux faces, il permet d’être carrelé, enduit ou recouvert de peinture ou de papier peint, en un tour de main. Extrêmement léger et stable, Qboard® basiq reno est facile à découper et très résistant à la pression. Hydrofuge, il est utilisableégalement dans les pièces humides comme les salles de bains.
Avant l’application de la surface de finition, tous les contours des panneaux et les champs visibles sont renforcés par une bande d’armature. Dans les lieux propices à l’humidité comme les salles de bains, l’herméticité des bords des panneaux est assurée par une bande d’étanchéité.
  Des possibilités d’aménagement multiples
Le revêtement spécifique non tissé permet de recouvrir le panneau avec tout type de finition : carrelage, enduit, papier peint, peinture… Ainsi, sur un même mur, il est possible de réaliser une partie avec du papier peint et une autre avec du carrelage.
  Des bords amincis pour une surface plane
Grâce à ses bords amincis, les raccords entre les panneaux sont traités facilement avec une spatule et de la bande d’armature. Résultat, une pose parfaite avec des joints ajustés au millimètre près et une surface toujours aussi plane. Il n’est même plus nécessaire de recouvrir entièrement le panneau avec de l’enduit. Un gain de temps considérable pour l’artisan???!
Avec son cœur en polystyrène extrudé (XPS), Qboard® basiq reno est imputrescible, stable et applicable sur de multiples supports. Il est disponible en deux dimensions, 1200 x 600 mm et 2600 x 600 mm, et en deux épaisseurs.
Avec la gamme de panneaux d’aménagement intérieur Qboard® de JACKON Insulation, c’est un véritable jeu d’enfant de créer des formes originales sans maçonnerie. Meubles de salle de bains, plans de toilettes, habillage de baignoire, banquettes, cloisons, receveurs de douche, murs ou encore sols, l’artisan dispose d’une diversité d’aménagement illimitée.
  Caractéristiques Qboard® basiq reno :
Panneau d’aménagement toutes finitions
Non-tissé spécifique sur les deux faces
 Bords amincis pour une surface plane
Noyau en mousse de polystyrène extrudé (XPS)
Forte résistance à la compression > 200 kPA
Facile à découper
Revêtements multiples : carrelage, enduit, peinture, papier peint…
 Épaisseur : 12,5 mm et 20 mm
Dimensions : 1200 x 600 mm, 2600 x 600 mm
  http://bit.ly/1ok3kql
Source : http://bit.ly/2wVx3K0
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La croyance est croyance dans la croyance de l’Autre, le sujet ne peut croire sans s’identifier à l’autre qui y croit.
L’athée véritable est rare: il ne croit pas qu’un autre y croie.
Si je peux toujours croire à travers l’autre (qui croit à ma place) je ne peux pas savoir à travers l’autre..
Cela tient à la structure du langage, la nécessité de la présence de l’Autre (avec un grand A, qui garantit sens et non-sens de la parole…), et d’autre part au noyau sémantique du verbe croire, sa consistance logique que nous devons obligatoirement supposer: je ne peux pas croire si je ne peux pas croire d’abord que je crois croire, pouvoir croire (à quelque chose ou quelqu’un) présuppose nécessairement que je crois que je crois, cela a pris pour nom: réflexivité.
Le phénomène de la rumeur permet d’illustrer que la croyance est toujours croyance dans la croyance de l'Autre...
Une rumeur court par exemple qu'il va y avoir une pénurie de papier-toilette...
Je sais bien que c’est une rumeur, et donc que c’est probablement faux, mais comme il y a des gens qui y pensent, je me dis qu'il vaut mieux quand même que j'aille acheter du papier-toilette, parce que s'il y en a d'autres assez stupides pour y croire vraiment, à cette ridicule histoire de pénurie de papier-toilette, il n'y aura plus de papier-cul en magasin pour moi quand j’en aurai vraiment besoin !
Ce faisant, j'aurai contribué à rendre vraie la rumeur de la pénurie tout en prétendant ne pas y croire.
Voilà pourquoi la croyance — et c'est encore plus vrai lorsqu'elle se manifeste dans sa détermination oppositionnelle : l'incroyance — opère toujours par procuration, c’est toujours d’abord croire qu'il y a quelqu'un d'autre qui y croit... à ma place!
Le langage, avant de signifier quelque chose, signifie d’abord pour quelqu’un.
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Petite mise au point sur ceux qui traitent l’autre de complotiste (qu’il stigmatisent de ne pas croire les billevesées véhiculées dans les médias...)
En disant: «c’est celui qui dit qui l’est», la sagacité des enfants rejoint la vérité en tant que contingente de la psychanalyse, la contingence, c’est que lorsque tu parles de quelqu’un d’autre, tu parles de toi parlant de quelqu’un d’autre, et non seulement tu en dis toujours plus sur toi que sur ce dont tu parles, mais ce que tu dis c’est toi, non seulement c’est toi qui le dis, mais c’est toi qui es parlé par ce que tu dis, car en vérité c’est de toi que tu parles, et tu ne le sais pas (en l’occurrence c’est toi qui y crois dans cette fumeuse et mal nommée "théorie du complot"...)
La croyance est toujours croyance dans la croyance de l’Autre, personne ne peut croire "directement" quelque chose, croire présuppose toujours la croyance en quelqu’un d’autre qui y croit.
Cela tient d’une part à la structure du langage, la nécessité de la présence d’un Autre (qui garantit le sens de la parole), et d’autre part au noyau sémantique même du verbe croire, sa consistance logique que nous devons obligatoirement supposer: je ne peux pas croire si je ne peux pas croire d’abord que je crois croire, pouvoir croire a quelque chose ou quelqu’un présuppose nécessairement que je crois que je crois.
Le phénomène de la rumeur permet d’illustrer que la croyance est toujours croyance dans la croyance de l'Autre...
Une rumeur court par exemple qu'il va y avoir une pénurie de papier-toilette...
Je sais bien que c’est une rumeur, et donc que c’est probablement faux, mais comme il y a des gens qui y pensent, je me dis qu'il vaut mieux quand même que j'aille acheter du papier-toilette, parce que s'il y en a d'autres assez stupides pour y croire vraiment, à cette ridicule histoire de pénurie de papier-toilette, il n'y aura plus de papier-cul en magasin pour moi quand j’en aurai vraiment besoin !
Ce faisant, j'aurai contribué à rendre vraie la rumeur de la pénurie tout en prétendant ne pas y croire.
Voilà pourquoi la croyance — et c'est encore plus vrai lorsqu'elle se manifeste dans sa détermination oppositionnelle : l'incroyance — opère toujours par procuration, c’est toujours d’abord croire qu'il y a quelqu'un d'autre qui y croit... à ma place!
Car le langage, avant de signifier quelque chose, signifie toujours d’abord pour quelqu’un.
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La croyance est toujours croyance dans la croyance de l’Autre, personne ne peut croire "directement" quelque chose, croire présuppose toujours la croyance en quelqu’un d’autre qui y croit.
Cela tient d’une part à la structure du langage, la nécessité de la présence d’un Autre (qui garantit le sens de la parole), et d’autre part au noyau sémantique même du verbe croire, sa consistance logique que nous devons obligatoirement supposer: je ne peux pas croire si je ne peux pas croire d’abord que je crois croire, pouvoir croire a quelque chose ou quelqu’un présuppose nécessairement que je crois que je crois.
Le phénomène de la rumeur permet d’illustrer que la croyance est toujours croyance dans la croyance de l'Autre...
Une rumeur court par exemple qu'il va y avoir une pénurie de papier-toilette...
Je sais bien que c’est une rumeur, et donc que c’est probablement faux, mais comme il y a des gens qui y pensent, je me dis qu'il vaut mieux quand même que j'aille acheter du papier-toilette, parce que s'il y en a d'autres assez stupides pour y croire vraiment, à cette ridicule histoire de pénurie de papier-toilette, il n'y aura plus de papier-cul en magasin pour moi quand j’en aurai vraiment besoin !
Ce faisant, j'aurai contribué à rendre vraie la rumeur de la pénurie tout en prétendant ne pas y croire.
Voilà pourquoi la croyance — et c'est encore plus vrai lorsqu'elle se manifeste dans sa détermination oppositionnelle : l'incroyance — opère toujours par procuration, c’est toujours d’abord croire qu'il y a quelqu'un d'autre qui y croit... à ma place!
Car le langage, avant de signifier quelque chose, signifie d’abord pour quelqu’un.
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«Il n'y a pas de solution parce qu'il n'y a pas de problème.»
La formule de Marcel Duchamp ne nous indique-t-elle pas que la façon de poser un problème est toujours déjà le problème?
Dans le monde inversé, les enmasqués s’imaginent que ce sont eux les vertueux, qu’ils sont du côté du Bien, ils font la morale aux autres, les traitant d’égoïstes, indisciplinés, mettant la vie des autres en danger, narcissiques, psychotiques, bla-bla-bla... et puis quoi encore?
N’est-ce pas précisément l’inverse qui est vrai?
«Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux»: ayant fondé la Thèse n° 9 de son livre La société du spectacle sur une phrase extraite de la Phénoménologie de l’Esprit, de Hegel («Le faux est un moment du vrai»), Guy Debord a entrepris il y a une cinquantaine d’années la critique de ce qu’il a appelé "la société du spectacle" (qui aujourd’hui encore bat son plein).
Pour lui: «Le spectacle en général, comme inversion concrète de la vie, est le mouvement autonome du non-vivant» (Thèse 2).
Adoptant la méthode de l’inversion pour développer ses thèses sur l’aliénation, Debord s’est appliqué à déployer une "philosophie" qui repose sur la vie érigée en principe ou en croyance: la vie serait la "réalité réelle" dont «les images se sont détachées» (Thèse2).
Le "monde" s’en trouve lui-même coupé en deux, avec d’un côté la "vraie vie" et de l’autre le spectacle «qui est le cœur de l’irréalisme de la société réelle» (Thèse 6) où s’égare la conscience quotidienne dans son mode de survie halluciné.
Dans ce contexte du monde inversé, l’énoncé de 1967 «le vrai est un moment du faux» devient en 1988 (dans les Commentaires sur La société du spectacle, à l’époque du "spectaculaire intégré") : «il n’y a plus rien de vrai.»
La question qui se pose aujourd’hui est donc: comment dévoiler la vérité derrière le fétichisme et la fausse conscience qui règneraient en maîtres dans ce monde puisque la réalité capitaliste est un mensonge sur la "réalité réelle" (et que dès lors nous ne devrions pas nous étonner que l’appréhension du virus soit aujourd’hui loin de ce qu’on veut bien lui faire dire)?
Il s’agit non pas de la vérité du virus, mais de la vérité sur le virus (réel) à articuler avec sa contagion (idéologique).
Considérant ainsi que l’"événement" au sens fort du terme se situe au-delà de l’enchaînement des causes et des effets, nous nous heurtons aux plus grandes difficultés pour dire la «vérité», et on peut alors y voir manipulations secrètes ou conspirations, ce dont on ne se prive pas (sur les enmasqués qui traitent les autres de "complotistes" cf. infra*)...
Quant à Giorgio Agamben (Le Monde, 24 mars 2020), reprenant la flèche de Debord, il en conclut, lui, à une «...conspiration pour ainsi dire objective qui semble fonctionner en tant que telle», qui n’est pas sans se rapprocher de la position analytique pour laquelle le véritable complot est exempt de comploteur, puisque c’est du fait du langage lui-même, de la primauté du signifiant sur le sujet, que nous sommes amenés à alimenter (sans le savoir, ce qui ne nous exonère pas de notre responsabilité) une croyance dans le «pouvoir» de l’Autre qui nous rend victimes de forces irrationnelles-impénétrables...
NB: La perspective psychanalytique procède de ce genre de retournement (ou d’inversion) pour retrouver la modalité de la contingence à laquelle la logique convoque implacablement les corps parlants, c’est ainsi que ceux qui traitent les autres de complotistes (qu’ils stigmatisent de ne pas croire les billevesées véhiculées dans les médias...) sont à appréhender à la manière dont s’apostrophent les enfants: en disant: «c’est celui qui dit qui l’est», la sagacité enfantine rejoint la vérité en tant que contingente de la psychanalyse, la contingence, c’est que lorsque tu parles de quelqu’un d’autre, tu parles de toi parlant de quelqu’un d’autre, et non seulement tu en dis toujours plus sur toi que sur ce dont tu parles, mais ce que tu dis c’est toi, non seulement c’est toi qui le dis, mais c’est toi qui es parlé par ce que tu dis, car en vérité c’est de toi que tu parles, et tu ne le sais pas (en l’occurrence c’est toi qui y crois à cette fumeuse et doublement mal nommée "théorie du complot"...)
La croyance est toujours croyance dans la croyance de l’Autre, personne ne peut croire "directement" quelque chose, croire présuppose toujours la croyance en quelqu’un d’autre qui y croit.
Cela tient d’une part à la structure du langage, la nécessité de la présence d’un Autre (qui garantit le sens de la parole), et d’autre part au noyau sémantique même du verbe croire, sa consistance logique que nous devons obligatoirement supposer: je ne peux pas croire si je ne peux pas croire d’abord que je crois croire, pouvoir croire a quelque chose ou quelqu’un présuppose nécessairement que je crois que je crois.
Le phénomène de la rumeur permet d’illustrer que la croyance est toujours croyance dans la croyance de l'Autre...
Une rumeur court par exemple qu'il va y avoir une pénurie de papier-toilette...
Je sais bien que c’est une rumeur, et donc que c’est probablement faux, mais comme il y a des gens qui y pensent, je me dis qu'il vaut mieux quand même que j'aille acheter du papier-toilette, parce que s'il y en a d'autres assez stupides pour y croire vraiment, à cette ridicule histoire de pénurie de papier-toilette, il n'y aura plus de papier-cul en magasin pour moi quand j’en aurai vraiment besoin !
Ce faisant, j'aurai contribué à rendre vraie la rumeur de la pénurie tout en prétendant ne pas y croire.
Voilà pourquoi la croyance — et c'est encore plus vrai lorsqu'elle se manifeste dans sa détermination oppositionnelle : l'incroyance — opère toujours par procuration, c’est toujours d’abord croire qu'il y a quelqu'un d'autre qui y croit... à ma place!
Car le langage, avant de signifier quelque chose, signifie toujours d’abord pour quelqu’un.
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L’Autre, l’idéologie, la croyance
Les débiles mentaux parlent de "l’autre", ils prétendent "protéger les autres" comme si cet Autre qu’ils invoquent à tout bout de champ avait pour eux la moindre once d’altérité, comme s’il était ….autre!
"Tu aimeras ton prochain comme toi-même" disent les Écritures, voilà un commandement qui confine à l'impossible, et donc au réel. Dans nos sociétés où la novlangue triomphante sape méthodiquement tout accès au réel, le "prochain" est:
• soit ravalé à la dimension imaginaire du "semblable" (mon image dans le miroir)
• soit cantonné à sa dimension symbolique-abstraite de "sujet des Droits"…
et je peux donc m'imaginer que mon prochain est celui à qui je dois faire du Bien, celui pour lequel je sais ce qui est Bon (pour lui), bref celui qui est pareil que Moi.
Mais le "prochain" dont parlent les Écritures, ce n'est précisément pas le semblable ni l'abstrait, le prochain du Décalogue c'est l'Autre dans sa radicale altérité, l'Autre de l'abîme du Réel, l'Autre en tant qu'il est inassimilable, répugnant, capricieux, incontrôlable, révoltant, bref l'Autre qui se situe par delà le Bien. (Il convient de noter que pour la psychanalyse, la limite entre soi et l'Autre n'est pas une limite extérieure à soi-même, c'est la séparation, l'écart, la barre qu'il y a entre soi et même.)
L'Autre dans l’enseignement lacanien, c'est l'heteros en tant que “différence absolue”, ce qui permet à l’Autre de couvrir des champs différents qui ne se recouvrent pas: l'Autre, c'est le grand Autre, le lieu du langage (qui permet sens et signification), l'Autre c'est le trésor des signifiants, l'Autre c'est le corps, l'Autre c'est le lieu de la parole, la mère c'est l'Autre pour l'enfant, l'Autre sexe c'est toujours le sexe féminin, (raison pour laquelle, chez Lacan, aimer une femme c'est toujours de l’ordre de l'hétérosexualité…)
La jouissance de l'Autre est impossible à celui qui parle comme tel…
L'Autre n'existe pas, ce qui s'écrit S(Ⱥ).
Puisque l'Autre c'est la différence absolue, il n'existe pas d'Autre de l'Autre pour le garantir, donc pas de métalangage.
Lorsque l'Autre est évoqué, pour savoir de quel Autre il est précisément question, il faut le situer dans son contexte…
La croyance est toujours croyance dans la croyance de l’Autre, personne ne croit "directement" quelque chose, croire présuppose toujours la croyance en quelqu’un d’autre qui y croit…
Cela tient pour partie à la structure impliquant la nécessité de l’Autre (qui garantit sens et non-sens de la parole), et au noyau sémantique du verbe croire, la consistance logique que nous devons obligatoirement lui supposer: je ne peux pas croire si je ne peux pas croire d’abord que je crois croire, pouvoir croire à quelque chose ou en quelqu’un présuppose nécessairement que je crois que je crois.
Le phénomène de la rumeur permet d’illustrer que la croyance est toujours croyance dans la croyance de l'Autre...
Une rumeur court par exemple qu'il va y avoir une pénurie de papier-toilette...
Je sais bien que c’est une rumeur, et donc que c’est probablement faux, mais comme il y a des gens qui y semblent y croire, je me dis qu'il vaut mieux quand même que j'aille acheter du papier-toilette, parce que s'il y en a d'autres assez stupides pour y croire vraiment, à cette ridicule histoire de pénurie de papier-toilette, il n'y aura plus de papier-cul en magasin pour moi quand j’en aurai vraiment besoin !
Ce faisant, j'aurai contribué à rendre vraie la rumeur de la pénurie tout en prétendant ne pas y croire.
Voilà pourquoi la croyance — et c'est encore plus vrai lorsqu'elle se manifeste dans sa détermination oppositionnelle: l'incroyance — opère toujours par procuration, c’est toujours d’abord croire qu'il y a quelqu'un d'autre qui y croit... à ma place!
Le langage, avant de signifier quelque chose, signifie toujours d’abord pour quelqu’un.
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Idéologie, complotisme et psychanalyse
L'idéologie libérale-libertaire aura tiré son efficacité narcotique d’un demi-siècle de propagande intensive appelée "culture" (plus précisément: "l'industrie du divertissement culturel"...) qui loin de permettre au sujet de s'extraire des déterminations de sa réalité sociale, lui aura fait croire que son adhésion à l’enfumage "sociétal" offre une échappatoire au réel traumatique...
«Le fascisme peut revenir sur la scène à condition qu’il s’appelle antifascisme.»
(Pier Paolo Pasolini, Lettres luthériennes – 1976)
Dans le monde inversé, les enmasqués d’aujourd’hui s’imaginent que ce sont eux les vertueux, qu’ils sont du côté du Bien, ils font la morale aux autres, les traitant d’égoïstes, indisciplinés, mettant la vie des autres en danger, narcissiques, psychotiques, bla-bla-bla... et puis quoi encore?
N’est-ce pas précisément l’inverse qui est vrai?
«Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux»: ayant fondé la Thèse n°9 de son livre La société du spectacle sur une phrase extraite de la Phénoménologie de l’Esprit, de Hegel («Le faux est un moment du vrai»), Guy Debord a entrepris il y a une cinquantaine d’années la critique de ce qu’il a appelé "la société du spectacle" (qui aujourd’hui encore bat son plein).
Pour lui: «Le spectacle en général, comme inversion concrète de la vie, est le mouvement autonome du non-vivant» (Thèse 2).
Adoptant la méthode de l’inversion pour développer ses thèses sur l’aliénation, Debord s’est appliqué à déployer une "philosophie" qui repose sur la vie érigée en principe ou en croyance: la vie serait la "réalité réelle" dont «les images se sont détachées» (Thèse2).
Le "monde" s’en trouve lui-même coupé en deux, avec d’un côté la "vraie vie" et de l’autre le spectacle «qui est le cœur de l’irréalisme de la société réelle» (Thèse 6) où s’égare la conscience quotidienne dans son mode de survie halluciné.
Dans ce contexte du monde inversé, l’énoncé de 1967 «le vrai est un moment du faux» devient en 1988 (dans les Commentaires sur La société du spectacle, à l’époque du "spectaculaire intégré") : «il n’y a plus rien de vrai.»
La question qui se pose aujourd’hui est donc: comment dévoiler la vérité derrière le fétichisme et la fausse conscience qui règneraient en maîtres dans ce monde puisque la réalité capitaliste est un mensonge sur la "réalité réelle" (et que dès lors nous ne devrions pas nous étonner que l’appréhension du virus soit aujourd’hui loin de ce qu’on veut bien lui faire dire)?
Il s’agit non pas de la vérité du virus, mais de la vérité sur le virus (réel) à articuler avec sa contagion (idéologique).
Considérant ainsi que l’"événement" au sens fort du terme se situe au-delà de l’enchaînement des causes et des effets, nous nous heurtons aux plus grandes difficultés pour dire la «vérité», et on peut alors y voir manipulations secrètes ou conspirations, ce dont on ne se prive pas (sur les enmasqués qui traitent les autres de "complotistes" cf. infra)...
Quant à Giorgio Agamben (Le Monde, 24 mars 2020), reprenant la flèche de Debord, il en conclut, lui, à une «...conspiration pour ainsi dire objective qui semble fonctionner en tant que telle», qui n’est pas sans se rapprocher de la position analytique pour laquelle le véritable complot est exempt de comploteur, puisque c’est du fait du langage lui-même, de la primauté du signifiant sur le sujet, que nous sommes amenés à alimenter (sans le savoir, ce qui ne nous exonère pas de notre responsabilité) une croyance dans le «pouvoir» de l’Autre qui nous rend victimes de forces irrationnelles-impénétrables...
NB: La perspective psychanalytique procède de ce genre de retournement (ou d’inversion) pour retrouver la modalité de la contingence à laquelle la logique convoque implacablement les corps parlants, c’est ainsi que ceux qui traitent les autres de complotistes (qu’ils stigmatisent de ne pas croire les billevesées véhiculées dans les médias...) sont à appréhender à la manière dont s’apostrophent les enfants: en disant: «c’est celui qui dit qui l’est», la sagacité enfantine rejoint la vérité en tant que contingente de la psychanalyse, la contingence, c’est que lorsque tu parles de quelqu’un d’autre, tu parles de toi parlant de quelqu’un d’autre, et non seulement tu en dis toujours plus sur toi que sur ce dont tu parles, mais ce que tu dis c’est toi, non seulement c’est toi qui le dis, mais c’est toi qui es parlé par ce que tu dis, car en vérité c’est de toi que tu parles, et tu ne le sais pas (en l’occurrence c’est toi qui y crois à cette fumeuse et doublement mal nommée "théorie du complot"...)
La croyance est toujours croyance dans la croyance de l’Autre, personne ne peut croire "directement" quelque chose, croire présuppose toujours la croyance en quelqu’un d’autre qui y croit.
Cela tient d’une part à la structure du langage, la nécessité de la présence d’un Autre (qui garantit le sens de la parole), et d’autre part au noyau sémantique même du verbe croire, sa consistance logique que nous devons obligatoirement supposer: je ne peux pas croire si je ne peux pas croire d’abord que je crois croire, pouvoir croire a quelque chose ou quelqu’un présuppose nécessairement que je crois que je crois.
Le phénomène de la rumeur permet d’illustrer que la croyance est toujours croyance dans la croyance de l'Autre...
Une rumeur court par exemple qu'il va y avoir une pénurie de papier-toilette...
Je sais bien que c’est une rumeur, et donc que c’est probablement faux, mais comme il y a des gens qui y pensent, je me dis qu'il vaut mieux quand même que j'aille acheter du papier-toilette, parce que s'il y en a d'autres assez stupides pour y croire vraiment, à cette ridicule histoire de pénurie de papier-toilette, il n'y aura plus de papier-cul en magasin pour moi quand j’en aurai vraiment besoin !
Ce faisant, j'aurai contribué à rendre vraie la rumeur de la pénurie tout en prétendant ne pas y croire.
Voilà pourquoi la croyance — et c'est encore plus vrai lorsqu'elle se manifeste dans sa détermination oppositionnelle : l'incroyance — opère toujours par procuration, c’est toujours d’abord croire qu'il y a quelqu'un d'autre qui y croit... à ma place!
Car le langage, avant de signifier quelque chose, signifie d’abord pour quelqu’un.
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Idéologie, complotisme et psychanalyse (rappel)
L'idéologie libérale-libertaire aura tiré son efficacité narcotique d’un demi-siècle de propagande intensive appelée "culture" (plus précisément: "l'industrie du divertissement culturel"...) qui loin de permettre au sujet de s'extraire des déterminations de sa réalité sociale, lui aura fait croire que son adhésion à l’enfumage "sociétal" offre une échappatoire au réel traumatique...
«Le fascisme peut revenir sur la scène à condition qu’il s’appelle antifascisme.»
(Pier Paolo Pasolini, Lettres luthériennes – 1976)
Dans le monde inversé, les emmasqués d’aujourd’hui s’imaginent que ce sont eux les vertueux, qu’ils sont du côté du Bien, ils font la morale aux autres, les traitant d’égoïstes, indisciplinés, mettant la vie des autres en danger, narcissiques, psychotiques, bla-bla-bla... et puis quoi encore?
N’est-ce pas précisément l’inverse qui est vrai?
«Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux»: ayant fondé la Thèse n°9 de son livre La société du spectacle sur une phrase extraite de la Phénoménologie de l’Esprit, de Hegel («Le faux est un moment du vrai»), Guy Debord a entrepris il y a une cinquantaine d’années la critique de ce qu’il a appelé "la société du spectacle" (qui aujourd’hui encore bat son plein).
Pour lui: «Le spectacle en général, comme inversion concrète de la vie, est le mouvement autonome du non-vivant» (Thèse 2).
Adoptant la méthode de l’inversion pour développer ses thèses sur l’aliénation, Debord s’est appliqué à déployer une "philosophie" qui repose sur la vie érigée en principe ou en croyance: la vie serait la "réalité réelle" dont «les images se sont détachées» (Thèse2).
Le "monde" s’en trouve lui-même coupé en deux, avec d’un côté la "vraie vie" et de l’autre le spectacle «qui est le cœur de l’irréalisme de la société réelle» (Thèse 6) où s’égare la conscience quotidienne dans son mode de survie halluciné.
Dans ce contexte du monde inversé, l’énoncé de 1967 «le vrai est un moment du faux» devient en 1988 (dans les Commentaires sur La société du spectacle, à l’époque du "spectaculaire intégré") : «il n’y a plus rien de vrai.»
La question qui se pose aujourd’hui est donc: comment dévoiler la vérité derrière le fétichisme et la fausse conscience qui règneraient en maîtres dans ce monde puisque la réalité capitaliste est un mensonge sur la "réalité réelle" (et que dès lors nous ne devrions pas nous étonner que l’appréhension du virus soit aujourd’hui loin de ce qu’on veut bien lui faire dire)?
Il s’agit non pas de la vérité du virus, mais de la vérité sur le virus (réel) à articuler avec sa contagion (idéologique).
Considérant ainsi que l’"événement" au sens fort du terme se situe au-delà de l’enchaînement des causes et des effets, nous nous heurtons aux plus grandes difficultés pour dire la «vérité», et on peut alors y voir manipulations secrètes ou conspirations, ce dont on ne se prive pas (sur les emmasqués qui traitent les autres de "complotistes" cf. infra)...
Quant à Giorgio Agamben (Le Monde, 24 mars 2020), reprenant la flèche de Debord, il en conclut, lui, à une «...conspiration pour ainsi dire objective qui semble fonctionner en tant que telle», qui n’est pas sans se rapprocher de la position analytique pour laquelle le véritable complot est exempt de comploteur, puisque c’est du fait du langage lui-même, de la primauté du signifiant sur le sujet, que nous sommes amenés à alimenter (sans le savoir, ce qui ne nous exonère pas de notre responsabilité) une croyance dans le «pouvoir» de l’Autre qui nous rend victimes de forces irrationnelles-impénétrables...
NB: La perspective psychanalytique procède de ce genre de retournement (ou d’inversion) pour retrouver la modalité de la contingence à laquelle la logique convoque implacablement les corps parlants, c’est ainsi que ceux qui traitent les autres de complotistes (qu’ils stigmatisent de ne pas croire les billevesées véhiculées dans les médias...) sont à appréhender à la manière dont s’apostrophent les enfants: en disant: «c’est celui qui dit qui l’est», la sagacité enfantine rejoint la vérité en tant que contingente de la psychanalyse, la contingence, c’est que lorsque tu parles de quelqu’un d’autre, tu parles de toi parlant de quelqu’un d’autre, et non seulement tu en dis toujours plus sur toi que sur ce dont tu parles, mais ce que tu dis c’est toi, non seulement c’est toi qui le dis, mais c’est toi qui es parlé par ce que tu dis, car en vérité c’est de toi que tu parles, et tu ne le sais pas (en l’occurrence c’est toi qui y crois à cette fumeuse et doublement mal nommée "théorie du complot"...)
La croyance est toujours croyance dans la croyance de l’Autre, personne ne peut croire "directement" quelque chose, croire présuppose toujours la croyance en quelqu’un d’autre qui y croit.
Cela tient d’une part à la structure du langage, la nécessité de la présence d’un Autre (qui garantit le sens de la parole), et d’autre part au noyau sémantique même du verbe croire, sa consistance logique que nous devons obligatoirement supposer: je ne peux pas croire si je ne peux pas croire d’abord que je crois croire, pouvoir croire a quelque chose ou quelqu’un présuppose nécessairement que je crois que je crois.
Le phénomène de la rumeur permet d’illustrer que la croyance est toujours croyance dans la croyance de l'Autre...
Une rumeur court par exemple qu'il va y avoir une pénurie de papier-toilette...
Je sais bien que c’est une rumeur, et donc que c’est probablement faux, mais comme il y a des gens qui y pensent, je me dis qu'il vaut mieux quand même que j'aille acheter du papier-toilette, parce que s'il y en a d'autres assez stupides pour y croire vraiment, à cette ridicule histoire de pénurie de papier-toilette, il n'y aura plus de papier-cul en magasin pour moi quand j’en aurai vraiment besoin !
Ce faisant, j'aurai contribué à rendre vraie la rumeur de la pénurie tout en prétendant ne pas y croire.
Voilà pourquoi la croyance — et c'est encore plus vrai lorsqu'elle se manifeste dans sa détermination oppositionnelle : l'incroyance — opère toujours par procuration, c’est toujours d’abord croire qu'il y a quelqu'un d'autre qui y croit... à ma place!
Car le langage, avant de signifier quelque chose, signifie d’abord pour quelqu’un.
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