#“Ah ouais génial. Ça devrait être amusant.”
Explore tagged Tumblr posts
lolochaponnay · 3 months ago
Text
C'est un mec qui raconte à son pote: "Oh je sais pas si je te l'ai dit, mais j'ai rencontré ma femme dans une partouze." "Ah ouais génial. Ça devrait être amusant." "Pas vraiment: ce soir-là elle était censée rester à la maison avec les gosses".
0 notes
luma-az · 6 years ago
Text
Fanfic My Hero Academia : Ambition masquée #8
Début de la fic ici, ici ou ici.
Résumé : Bakugo Kastuki, né Sans-Alter, déteste les héros et leur arrogance. Devenu policier, il met un point d'honneur à arrêter les vilains avant eux, même si les risques qu'il prend lui valent des reproches de sa hiérarchie. Malgré son sale caractère, il n'effraie pas le héros Red Riot, qui le séduit peu à peu… mais leur relation ne sera pas si simple.
Pairing : Bakugo Katsuki x Kirishima Eijirou
Avertissement : jurons. Beaucoup.
Taille : 20k mots
Publication d'un nouveau chapitre tous les mercredis
Chapitre 8 : de quoi tu te mêles ?
   Tout le monde s'est lancé. Kirishima fait parti de la première ligne - que ce soit pour défoncer les murs à coups de poing ou protéger les héros qui attaquent à distance derrière lui, il est toujours en première ligne. Et Bakugo devrait être en première ligne avec lui, balançant ses explosifs pour lui dégager le passage.
Mais puisque le monde est ce qu'il est, l'officier est bien forcé de monter son propre assaut de son côté.
Les héros attaquent bruyamment l'entrée du repère des yakuza, tandis que d'autres héros guettent à l'arrière tous ceux qui tenteraient de s'enfuir, plus deux héros volants sont postés sur le toit au cas où. A priori, ils ont pensé à tout. Sauf si on utilise deux secondes sa cervelle. Le repère des yakuza est un immeuble miteux, doté d'un magasin de disques au rez-de-chaussée - tu parles d'une couverture de merde, qui utilise encore des disques de nos jours ? Il est coincé entre deux autres immeubles. Et que Bakugo soit damné s'ils ne se sont jamais donné la peine de percer le mur vers un autre immeuble pour avoir une sortie de secours.
L'officier a tous les renseignements sur le voisinage, la question de savoir s'il fallait évacuer les civils s'était posée. Il sait donc quel appartement est vide et la propriété d'une compagnie aux origines obscures. La même qui possède le fameux magasin de disques toujours vide. Évidemment que c'est par là qu'ils vont fuir.
Après avoir prévenu Hidoineko pour être couvert auprès de la hiérarchie, Bakugo se lance à son tour dans la bataille. Il entend le boucan des héros qui défoncent l'immeuble d'à côté et sans doute un grand nombre de portes blindées, tout en montant les escaliers quatre à quatre. Il n'a aucun mal à trouver la porte du bon appartement.
Ce n'est pas le moment de guetter et de cueillir ceux qui sortent en catastrophe, ils peuvent aussi bien se réfugier dans cet appartement pour des heures, le temps que les héros rentrent bredouilles. Non, il est temps de surprendre un peu ces salopards.
Bakugo a mis sa tenue de combat et ses énormes gants de protection. Il est normalement trop près de la porte pour lui lancer une fiole de nitro et se protéger de l'explosion, mais il le fait pourtant - en utilisant les gants pour protéger son visage et en s'accroupissant pour réduire sa zone d'impact, ça passe. Et c'est important pour le timing. Seconde 1, la porte explose, seconde 2, l'officier bondit à travers les débris, genoux mortellement renforcés en avant, prêt à fracasser des crânes, tout en tenant deux autres explosifs dans les mains. Ce n'est pas parce qu'il ignore encore ce qui se passe à l'intérieur qu'il ne doit pas être prêt à tous les massacrer.
Il est cueilli en plein vol par une gerbe visqueuse et gluante, qui le colle au mur. Ça ne l'empêche pas de lancer ses explosifs à l'aveugle malgré la fumée, mais ils heurtent quelque chose de solide, de massif, qui n'était pas là à l'instant d'avant... un Alter de durcissement, comme Kirishima ? Qu'est-ce que...
L'espèce de mucus qui l'entoure est à présent dur comme de la pierre, et Bakugo a beau essayer, il reste cloué au mur comme un insecte.
La fumée se dissipe un peu, il voit que c'est le plancher qui lui fait face : un des yakuza a soulevé le sol entier comme un simple tapis et l'a laissé là, à la verticale. À présent ils sont sûrement tous en train de s'enfuir. Bordel !
Bakugo tente de se débattre, prêt à s'arracher les membres pour s'échapper du carcan qui l'enserre, hors de question de laisser ces salauds s'en tirer aussi facilement...
Il sent alors des bruits sourds de coups frappant inlassablement un mur. Red Riot ! Lui, il a dû comprendre... Puis la course des héros qui s'engouffrent dans l'appartement et le fouillent. Ils n'ont pas trop mal à retrouver Bakugo, qui leur crie de bouger leur cul, les yakuzas sont en train de s'enfuir !
Sans faire remarquer que c'est sans aucun doute de sa faute, les héros continuent leur fouille de l'immeuble et des environs. Sauf Red, qui est resté à côté de lui, complètement affolé, en train de dire des choses que Bakugo ne comprend pas. Malgré son casque de protection, trop d'explosions dans un espace confiné l'ont rendu momentanément sourd. Et ce n'est pas plus mal. Jamais il ne s'est senti aussi humilié !
Le héros tente de le dégager du mur et finit par arracher le plâtre. C'était ça ou les vêtements du policier, et en dépit de ce respect de sa pudeur, Bakugo peste tout ce qu'il peut. Au moins, en coupant toute sa tenue, il aurait récupéré sa liberté de mouvement, là il est toujours coincé, le mucus vitrifié le bloque dans une position qui l'empêche de marcher ou de baisser les bras. Kirishima lui fait remarquer quelque chose, et voyant qu'il n'est pas entendu fait des gestes vers son visage. Ah. Il est sans doute inquiet pour les brûlures. Comme si l'officier n'avait pas l'habitude. Pas de quoi...
Sans doute excédé de se faire engueuler par le blond, Red a fini par attraper son petit ami et le porter jusqu'à l'infirmerie. Ils traversent à l'envers le champ de bataille, laissant tout le monde, héros et policier, voir le spectacle : l'officier Bakugo Katsuki en tenu de combat complète, prêt pour des assauts non déclarés qui sont sa spécialité, bloqué comme un bleu par ces stupides yakuza et sauvé par un de ces héros qu'il déteste, en train de hurler pour qu'on le repose à terre.
Bakugo préfèrerait exploser sur place sous l'effet de sa propre fureur que de subir une humiliation pareille. Mais il ne peut pas se défendre et doit subir jusqu'au bout la décision unilatérale de Kirishima.
.
Trois heures plus tard, Bakugo a enfin le droit de quitter l'infirmerie. Son équipement est en piteux état, mais au moins ses brûlures sont guéries et il a retrouvé son ouïe. Juste à temps pour entendre le sermon du commissaire, ainsi que celui de Miruko. Génial.
Au final, l'héroïne aux grandes oreilles n'est pas la pire. Elle lui reproche évidemment d'avoir fait cavalier seul alors qu'il avait découvert le moyen de fuite des yakuza, mais elle semble comprendre. En fait, elle semble même combattre son amusement. En même temps, difficile de trouver quelqu'un qui comprenne mieux qu'elle le désir de bondir au cœur du danger, ça pourrait être le résumé de sa carrière entière.
Le commissaire se contente de rétrograder Bakugo et de lui retirer la coordination de l'enquête, sans le suspendre. Là aussi, ça aurait pu être bien pire. Il s'était attendu à bien pire. Hidoineko a bien présenté l'affaire et le chef semble convaincu que Bakugo n'a compris qu'à la dernière minute, trop tard pour signaler aux héros par où les yakuzas allaient s'échapper. Ça ne lui donne pas le droit de foncer seul avec du matériel non règlementaire, mais ça passe. Un blâme a dû s'ajouter à sa collection dans son dossier. Aucune importance.
Lorsque Bakugo sort du bureau de son chef avec ordre de rentrer chez lui, il n'a qu'une envie, c'est d'obéir pour une fois. Dormir jusqu'à oublier chaque détail de cette horrible journée. Demain, il sera peut-être prêt à faire face aux conséquences de son lamentable échec. Mais certainement pas ce soir.
Il ne peut retenir un grognement instinctif en voyant que Kirishima l'attend dans le couloir.
Encore en tenue, le héros lui demande avec inquiétude :
« Bakugo ! Est-ce que ça va ? Qu'est-ce qui s'est passé ? Tu veux que je te raccompagne ?
Le blond sent son sang bouillir à cette seule idée. Comme si Red n'en avait pas assez fait comme ça... Non, c'est pire que ça. Tout ce que le héros a fait, et surtout tout ce qu'il a vu, ne pourra jamais s'effacer. Bakugo a été humilié, et jamais au grand jamais il ne pourra parler à Kirishima sans que cette humiliation ne vienne le hanter.
Il ne peut pas parler librement ici, au milieu des policiers, et sans dire un mot il agrippe fermement le bras du héros et l'entraine derrière lui jusqu'à son propre bureau. Son partenaire n'est pas dans les parages, sans doute occupé à rôder quelque part où on ne risque pas de le faire travailler. Ça fera l'affaire.
Kirishima le regarde comme une bombe prête à exploser. Comme s'il pouvait le désamorcer juste en disant doucement :
— Katsuki...
La bombe explose et le blond se met à hurler :
— QU'EST-CE QUE TU ES VENU FOUTRE ICI ? TU T'ES PAS ASSEZ MOQUE DE MOI ?
— Hein ? Katsuki, personne ne se moque de toi ! Je veux juste voir si tu vas bien ! J'étais inquiet !
— TU CROIS QUE JE SUIS PAS CAPABLE DE M'EN SORTIR TOUT SEUL ? QUE J'AI BESOIN D'UN PUTAIN DE HÉROS DE MERDE POUR ME BABYSITTER ?
— Kastuki, arrête !
— J'AI PAS BESOIN DE TOI ! J'AI JAMAIS EU BESOIN DE TOI  ! J'AI PAS BESOIN QUE TU ME COLLES ET QUE TU T'INQUIÈTES COMME SI J'ÉTAIS UNE PAUVRE PETITE MERDE QUI SERT A RIEN !
—J'ai jamais...
—J'EN AI RIEN A FOUTRE DE CE QUE TU PENSES ! OUAIS, JE SUIS SANS-ALTER, ET ALORS ? TU CROIS QUE TU VAUX MIEUX QUE MOI ? TU CROIS QUE TU PEUX ME REGARDER DE HAUT ET ME PROTÉGER ?
— BAKUGO !
Cette fois Kirishima s'est vraiment mis en colère. Il semble complètement dépassé par la vague de fureur qui s'est abattue sur lui, mais n'a pas l'intention de se laisser faire plus longtemps et il crie à son tour :
— QUEL RAPPORT ÇA A AVEC LES SANS-ALTERS ? TU AS FONCÉ TOUT SEUL ! DES QUE J'AI ENTENDU LES EXPLOSIONS J'AI SU QUE TU ÉTAIS LÀ ET JE SUIS VENU EN RENFORT ! JE N'AI JAMAIS PENSE QUE TU AVAIS BESOIN D'ÊTRE PROTÉGÉ, BORDEL, ALORS NE M'ENGUEULE PAS PARCE QUE JE SUIS UN HÉROS ! TU LE SAVAIS DEPUIS LE DÉBUT ! ARRÊTES D'INVENTER LA MOITIE DE L'HISTOIRE TOUT SEUL DANS TA TÊTE !
Bakugo sent lâcher en lui la toute dernière digue. Tout, il veut tout détruire, pièce par pièce, à commencer par le grand roux qui se permet de lui faire la leçon. Comme s'il ne voyait pas très bien ce qui se passait. Embrasé par la fureur, son esprit lui semble plus lucide que jamais, et il voit très clairement le seul et unique fait qui importe : jamais il ne pourra rester avec quelqu'un qui le regarde de haut. Pas alors qu'il doit le détruire, comme il a détruit tous les obstacles qui se sont dressés sur sa route.
D'une voix froide comme un scalpel de glace, Bakugo assène :
— Oui, c'était une erreur depuis le début.
Interloqué, Kirishima hoquète :
— Qu... Qu'est-ce que tu veux dire ?
— Toi et moi. C'était une putain d'erreur. Je le savais, je savais que ça n'allait jamais marcher, mais j'ai craqué. On a fait semblant tous les deux, mais c'est de la merde. Alors on va arrêter les frais maintenant.
— Que... Qu'est-ce que tu veux dire ? Comment ça, semblant ? Katsuki, QU'EST-CE QUE TU RACONTES ?
Le héros a les larmes aux yeux, mais elles ne coulent pas, il ne semble pas encore comprendre, ou ne pas vraiment y croire. Et dans sa fureur, incapable de voir autre chose que ce qu'il est prêt à voir, que ce qui lui fera vraiment mal, Bakugo n'y voit que le choc d'être dépossédé alors qu'il pensait pouvoir garder le blond pour toujours. Juste un réflexe égoïste d'un putain de héros. Bakugo enfonce le clou :
— OUI, C'EST FINI ENTRE NOUS ET JE VEUX PLUS JAMAIS TE REVOIR, ESPÈCE D'ABRUTI ! C'EST ASSEZ CLAIR COMME ÇA, TON PETIT CERVEAU ARRIVE À IMPRIMER ?
— Mais tu... Tu ne peux pas... C'est... c'est vraiment ça que tu veux ? Juste parce que...
— TOUT CE QUE JE VEUX C'EST QUE TU DÉGAGES ! DÉGAGE DE MON PUTAIN DE BUREAU ET DÉGAGE DE MA PUTAIN DE VIE ! JE VEUX PLUS JAMAIS REVOIR TA SALE TRONCHE DE HÉROS, C'EST CLAIR ?
Kirishima a l'air prêt à pleurer, mais il lutte pour garder son calme et tente de protester :
— C'est injuste, Katsuki ! Je comprends que tu sois fâché, mais tu ne peux pas dire que c'est de ma faute ! Tu peux pas juste tout arrêter comme ça sans m'expliquer...
— JE PEUX PAS ? ET BIEN REGARDE-MOI FAIRE, CONNARD ! »
Sans hésiter davantage, le blond profite du manque de garde du héros pour lui tordre le bras dans le dos, le traine jusqu'à la porte et le jette dehors d'un même élan, avant de lui claquer la porte au nez.
Puis il reste quelques instants immobile au milieu du bureau, tremblant presque sous l'effet de l'adrénaline, tentant peu à peu d'admettre pleinement ce qu'il vient de faire. C'était la décision la plus impulsive de sa vie, mais ça n'en fait pas pour autant une mauvaise décision, non ?
Eijirou ne revient pas.
Ce qui est parfait. Ça veut dire qu'il a compris le message. Donc c'est bon. Bakugo Katsuki est à nouveau un homme libre, qui n'aura plus à se soucier d'avoir un abruti de héros dans les pattes.
C'est absolument parfait.
C'est complètement merdique.
 Première fois que j'écris une scène de rupture... et ben c'est super dur ! J'ai dû m'y reprendre à quatre fois et à chaque fois j'avais l'impression de les torturer. Je crois bien que jamais je n'écrirais de angst XD
Mais promis ce n'est pas la fin, on se retrouve la semaine prochaine pour la suite ! La fic devrait faire douze chapitres et un épilogue plutôt que dix chapitres comme je le pensais au début.
0 notes