#étrennes
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Aux Buttes Chaumont 🧸Jouets
Affiche 🖍🖌de Jules Chéret de 1898
Bel après-midi 👋
#art#illustration#affiche#jules chéret#art nouveau#aux buttes chaumont#jouet#étrennes#lithographie#belaprèsmidi#fidjie fidjie
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COUTUME | Étrennes et nouvel an : origine et histoire ➽ http://bit.ly/Etrennes-Nouvel-An Le premier endroit de l’histoire romaine nous apprenant la coutume des étrennes est de Symmachus, auteur ancien, qui nous rapporte qu’elle fut introduite sous l’autorité du roi Tatius Sabinus, adversaire de Romulus, qui reçut le premier la verbène (verveine) du bois sacré de la déesse Strénia, pour le bon augure de la nouvelle année
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24 décembre : la veille de Noël, une grande partie du monde s'échange des cadeaux
Au fil des années, le soir de Noël (ou le lendemain matin) est devenu la principale occasion de s’échanger des cadeaux, même les Chinois et les Japonais s’y sont mis. La coutume, toutefois, est relativement récente, même dans le monde chrétien où, autrefois, les cadeaux s’offraient le 6 décembre ou le 6 janvier selon les régions ou encore pour le jour de l’An, mais jamais à Noël.
La tradition a commencé à poindre dans la seconde moitié du XIXe siècle, avec l’invention des coutumes de Noël, telles qu’on les connaît aujourd’hui. On doit cela à la bourgeoisie anglaise qui a fait d’une fête religieuse, Noël, une fête familiale, visant en particulier les enfants auxquels la société de l’époque commençait à s’intéresser.
La coutume a vite traversé la Manche et en décembre 1893, Le Bon Marché, le grand magasin parisien, inaugurait la première vitrine de Noël. C’est à la même époque, que la figure de Saint Nicolas a inspiré la création du Père Noël, dont l’image sera récupérée au début du XXe siècle par la firme Coca-Cola qui lui donnera une notoriété mondiale. C’est ainsi, qu’en un siècle, la nuit du 24 au 25 décembre s’est imposée comme la principale date de distribution des cadeaux. Cette coutume s’est surtout installée après la Seconde Guerre mondiale pour devenir peu à peu incontournable dans tous les pays à la fin du XXe siècle.
Longtemps dans l’est de la France et dans tout le monde germanique, c’était le 6 décembre, jour de la Saint-Nicolas, que l’on offrait cadeaux et friandises aux enfants. La date existe toujours, mais elle est aujourd’hui bien moins importante que Noël. Dans d’autres régions de France, c’était au jour de l’An, selon une tradition qui remonte aux Romains, que les enfants recevaient des étrennes. Ce mot provient de Strenia, le nom de la déesse romaine fêtée le premier jour de l’année. En Grèce, c’est toujours le 1er janvier, jour de la Saint-Basile de Césarée que l’on s’offre des présents. Mais en Russie, par mimétisme avec la tradition occidentale (mais avec le calendrier Julien), c’est traditionnellement dans la nuit du 6 au 7 janvier que sont déposés les cadeaux. Pour ne plus rien à voir avec le monde ruse, en 2023, les Ukrainiens ont abandonné cette date pour la nuit du 24 au 25.
Selon la coutume religieuse, l’échange de cadeaux rappelle les offrandes des Rois mages au Jésus nouveau né. C’est la raison pour laquelle, les enfants espagnols ne recevaient leurs cadeaux que dans la nuit du 5 au 6 janvier, avec l’arrivée des Rois mages. En Italie, c’est la même nuit qu’une sorcière du nom de Befana, dépose des présents destinés aux enfants. Befana serait une déformation du mot Épiphanie. Ces coutumes existent toujours, mais en Italie comme en Espagne, le poids symbolique de Noël a pris le dessus pour les dernières générations d’enfants. Seuls les Arméniens sont restés fidèles à la nuit du 5 au 6 janvier, assimilée à leur nuit de Noël. Mais pour ne pas frustrer leurs enfants, ils marquent aussi le 24 décembre.
Pour contrer l’hégémonie symbolique du Père Noël, l’Église catholique a longtemps suggéré de faire dire aux enfants que c’était le Petit-Jésus qui distribuait des cadeaux. L’argument n’a guère tenu et l’Église a fini par abdiquer face au personnage hégémonique. Noël est aujourd’hui une fête mondialisée au point que même les Iraniens ou les Coréens s’échangent eux aussi des cadeaux à Noël, fête perçue comme une coutume occidentale, à vocation consumériste, sans signification culturelle ou religieuse.
Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 23 décembre 2023
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Pas de cadeaux pour toi!
Figurez-vous que l’origine des étrennes remonte à la Rome antique, et que le mot “étrennes” serait dérivé de “Strena”, du nom de la déesse de la santé. Les Romains, qui avaient bien compris que le sucre c’est la vie, s’offraient le jour du nouvel an des figues, des dates, du miel, soit plein de douceurs qui symbolisaient toutes les bonnes choses qu’ils souhaitaient voir arriver dans l’année à…
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#anecdotes#étrennes#cadeaux#curiosité#etrennes#fantasy#histoire#historique#lecture#livre#noel#nostalgie#roman#saint nicolas
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Since we are the 31st of December, here is your yearly reminder that in France, before Christmas became such a thing, it was on New Year's that a supernatural old man visited your house in the night to leave gifts behind (or beat you up if you were naughty)... Let us commemorate the memory of our defunct Father January, another one of the fallen figures of old folklore: Père Janvier, Père Chalande, Bonhomme Janvier, Papa Chalande, Bonhomme Etrennes, Bonhomme l'Année...
#a lot of those are actually unclear if they are father january father christmas or father whipper#as the three were often confused#but i'll still include them#father january#père janvier#new year's eve#new year's night#new year#bonhomme étrennes#bonhomme janvier#french folklore#père chalande
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Brassaï, Étrennes utiles, 1950s
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Embroidered book binding from 1804, Napoleonic era. Les Étrennes à la rose ou Le Rosier d'amour. Paris, Janet.
(Drouot)
#RELIURE BRODÉE#embroidery#embroidered#books#book binding#napoleonic era#napoleonic#first french empire#french empire#French art#France#book covers#book cover#cover#french#19th century#1800s#vintage books#auction#druout#auctions#history#Paris
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Le jour de l'an, by Paul Gavarni, 1835.
New Year's day gifts, like les étrennes? Another 1830s doll, and a bust of Napoleon on the mantel.
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A Pygmalion, Jouets et étrennes, par Lem, 1899.
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Poisson d'avril
There are several theories about the origins of April Fool's day - here's the most famous one: before 1564, the French population lived according to the Julian calendar, which began the year on March 25th, when the first days of spring arrived. In 1564, King Charles IX abandoned the Julian calendar for the Gregorian (by the Edict of the Roussillon). From then on, the year began on January 1st.
However, it was customary to give gifts to celebrate the new year in the week that followed, until April 1st. This custom originated from a pagan practice in Rome in honour of the goddess Strenna, hence the "étrennes". In 16th-century France, this calendar change escaped many, not to mention those who were reluctant. They all continued to celebrate the New Year as before. The shift made the day for jokers and April 1st became a kind of fool's day.
Nowadays, in primary school, French children draw and cut out paper fish and tape them to the backs of their classmates and relatives. When the person finds out they've been fooled, the child cries out "Poisson d'avril!"
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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It was [une étrenne] [which] Anne [gifted] Henry. He was overjoyed because the symbolism was transparent. She had remembered her journey around Brittany with Claude and Louise of Savoy in the summer of 1518, when the citizens of Nantes had presented Francis with a silver-gilt ship jewel whose meaning was that his subjects were safe in storms so long as he was at the tiller. Now she gave Henry a smaller, modified version of the same device: a 'fair diamond' set in a 'ship in which a solitary damsel is tossed about'. As the means to convey a message, it was brilliantly choreographed.
Hunting the Falcon: Henry VIII, Anne Boleyn, and The Marriage That Shook Europe, John Guy & Julia Fox
#out of context this seems way too suppositional but the letter says he's overjoyed. so. it's not#julia fox#john guy#(granted the rest is suppositional...but highly plausible. something i really loved about this book#was that it went deep into anne's background to make plausible connections about her choices of the mid 1520s through the 1530s#)#anne boleyn#henry viii#there's a reason this gift is used so often as a narrative device it's a harbinger of sorts#she'll stay in the eye of the storm and then she'll be cast out into the same storm(s) . and the weeping commences ...#i would be ives researched this gift and read starkey's interpretation and went *cracks knuckles* in his draft of the line#'sunshine and storms'#*bet#also a 'power-player and a power-dresser' (i've always imagined this gift was wearable#like a final return of all the pins he gifted her with in 1526)#you didn't generally gift someone with a piece featuring a diamond if they weren't going to wear it#(jf and jg also theorize this so my theory was vindicated)
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Le Jouet, Francis Veber, 1976
Un classique du cinéma français à voir ou à revoir
Pour Michel Bouquet en exécrable patron.
Pour Fabrice Greco en insolent (et touchant) rejeton de la famille Rambal-Cochet.
Pour Pierre Richard en François Perrin, journaliste jouet et jouet journaliste.
Derrière ce film familial, une question toujours d’actualité:
Est-ce que tout peut s’acheter ?
Pour les amateurs de pantalons délicieusement évasés, ce film est un véritable régal.
Nous sommes en 1976, année qui marque l’apogée de cette coupe chère à nos cœurs : le bas s’élargit, ce qui confère à la démarche un dynamisme séducteur. Presque tous les personnages en portent un. Mais la manière diffère. Petit horizon des styles des personnages principaux…
Les chemises à carreaux et à rayures composent majoritairement la garde-robe de François Perrin. On le voit souvent dans un costume bleu clair en denim fatigué dont le col rebique. On a là le look typique du petit employé/ancien chômeur. Look qui fait tout son charme…
Avec Monsieur Blénac, nous entrons dans un tout autre registre vestimentaire. Il arbore avec prestance la panoplie chic du DRH de France Hebdo. Ses costumes sont bien coupés, les teintes sont souvent unies, des boutons de manchettes parachèvent l’ensemble. Le tout est d’un goût exquis. Il n’en reste pas moins dans l’air du temps: pantalon patte d’éléphants, teintes et motifs audacieux, vestes à large encolure…
Un régal pour les yeux ! (Ah! Si j’avais 80 ans de plus…)
Cette panoplie chic peut cependant être mise à mal par les lubies du patron.
On monte en gamme, avec le style du fils Rambal-Cochet. Le fils à papa étrenne de belles chemisettes, des shorts et pantalons taillés sur mesure. Jetez un œil à ce pattes d’éléphants taille haute en denim en bas à gauche… merveilleux, n’est-ce pas ?
Pour Rambal-Cochet, un costume noir à rayures blanches porté sous une chemise blanche. Une cravate rouge sang achève de lui donner un air carnassier. Le patron de France-Hebdo est au-dessus des modes, aussi ne s’embarrasse-t-il pas de patte d’éléphants. Une allure austère qui vise à montrer l’étendue de son pouvoir.
Vous savez ce qu���il vous reste à faire…
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@madparis #Jouets et Étrennes - #Jour 16 - #CalendrierdelAvent.#AventCalendar
Un petit retour en arrière sur le début des grands magasins et notamment lorsque l’enfant devient objet de marketing ⬇️ https://vagabondageautourdesoi.com/2024/12/16/jouets-et-etrennes-jour-16-calendrier-de-lavent/
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Les pétales de Flore.
Chapitre 3 : Les pétoches du concierge.
Monsieur Dauloir, dans sa loge sombre où trônaient des piles de journaux et des bibelots poussiéreux, attendait avec impatience l'arrivée des courriers. Il se réjouissait à l’idée de découvrir le contenu des lettres de ses locataires, un petit plaisir secret qu’il s’accordait souvent.
Lorsqu’il reconnut l’écriture de Madame Cermoir, son cœur battit plus fort. Se pourrait-il qu’il s’agisse encore de l’un de ces billets passionnés que lui adressait le mystérieux Armand, débordant de détails sur les charmes et le corps de la botaniste qu’il aimait embrasser et caresser ? Ou bien allait-il tomber sur une correspondance ennuyeuse sur une plante quelconque, rédigée par un de ses collègue ?
Avec des gestes malhabiles, il passa la lettre au-dessus d’une casserole d’eau fumante, un vieux truc qu’il utilisait pour décoller les cachets sans laisser de traces. La vapeur monta doucement, et Monsieur Dauloir, la langue coincée entre les lèvres, s’appliqua à soulever le triangle de papier qui fermait le pli. Lorsqu’il réussit enfin, il déplia la lettre et commença à la lire.
Dès les premières lignes, son visage se décomposa. Ses mains tremblèrent alors qu'il lisait la découverte de la Diphylleia grayi. Avec une angoisse croissante, il retourna l’enveloppe pour vérifier si les fameux pétales y étaient encore. Mais bien sûr, il n’y trouva rien. En sueur, il observa la surface de l’eau dans la casserole : rien. Se jetant à terre, il examina le parquet gras et poussiéreux de sa loge, fouillant chaque recoin à la recherche des précieux pétales. Mais ils étaient introuvables.
Prise de panique, il feuilleta fébrilement son vieux dictionnaire, cherchant en vain une mention de cette mystérieuse plante. Il se tourna ensuite vers sa Maison Rustique, son manuel de jardinage de référence, mais là encore, aucune trace de la Diphylleia grayi.
Pris d’un malaise, suant et blanc comme un linge, il se remit debout en s’appuyant difficilement sur une chaise. Il s’assit avec précaution, se prit la tête entre les mains et réfléchit à la situation, aux conséquences et à ce qu’on allait dire de lui. Il serait la risée de ses collègues et Madame Cermoir n’aurait d’autre choix que d’en parler au propriétaire de l’immeuble. S’en était fini de lui, de son travail, de son logement, de ses étrennes. Il ne serait plus rien.
En désespoir de cause, Monsieur Dauloir décida de tenter le tout pour le tout. Il courut jusqu’au petit parc situé à proximité de l’immeuble et cueillit à la hâte quelques pétales de pâquerettes. De retour dans sa loge, il les plongea dans une solution d’eau de Javel, espérant que cela les rendrait translucides comme les pétales de la mystérieuse Diphylleia grayi. Mais le résultat fut désastreux : les pétales devinrent rabougris, fripés et à peine translucides. Résigné, le visage défait, il les glissa dans l’enveloppe et attendit, la peur au ventre, l’inévitable confrontation avec Madame Cermoir.
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When talking about the French Père Noël, we have to talk about a variation of his that is NOT Saint Nicolas. I already evoked several times the various names of the Christmas gift-giver (Père Noël, Bonhomme Noël) and how he was tied to the gift-giver of the beginning of December (Saint Nicolas). But there was also a gift-giver at the end of the year... A gift giver of New Year's Eve or New Year's Day. Remember when I talked before of "Père Etrennes" or "Bonhomme Etrennes"? The "étrennes" are a French tradition whose closer English equivalent would be the word "handsel/hansel".
The étrennes were originally gifts that were given to friends, family and other next of kind at the beginning of January to celebrate New Year. Today the tradition has massively evolved - étrennes are given at the end of December rather than early January, it is money rather than gifts, and they are now a gesture of kindness destined to those employed by you or that work for the community (the fireman, the mailman, the housekeeper, the garbage collector...). But despite this evolution, "étrennes" stayed associated with an appreciative and kind giving gesture around New Year. And where there's gifts, there's a gift-giver...
This website presents us with this picture, a 1930s postcard, and says it could be the Père Fouettard... or the Père Janvier (Father January).
In the French region of Bourgogne, there was no "Père Noël" or Father Christmas in the early 20th century: rather there was Father January, Père Janvier, who came around New Year to give the étrennes - the gifts. By the 1930s the tradition was still very strong, especially in the Morvan and the Nivernais - as well as in the Nord-Pas-de-Calais (Father January had moved to the North of France when in the mid 19th century a lot of people from the Morvan went to work in the mines there). And from the 1930s to the 1960s, in all those areas, there was a transition from Père Janvier to Père Noël, resulting in the children of those three decades to have the benefit of two mysterious supernatural benefactors coming at the end of the year... Before Père Janvier stopped coming by the 60s, definitively replaced by Père Noël (the Americanized one of course, remember post-50s Père Noël is just Santa Claus with a different name).
This other website goes into more details about the world of Père Janvier - or rather of Bonhomme Janvier (Old Man January/The January Man).
Le Père Janvier, or Bonhomme Janvier, existed for a very long time in the tradition of the Berry region, before the Père Noël was even introduced. Not just in the Berry, but also in the Morvan and in all of Bourgogne - and even in many others areas of France! Lyon knew of him, the Haute Marne, Saône-et-Loire, Ardèche - they all had records of Father January, this white-bearded old man that brought gifts to children on the 1st of January. In the Berry region, the Père Janvier usually left sweets inside in their slippers for New Years Day, and on New Years Eve chimneys were carefully cleaned up so he could enter the house unsoiled.
And just like Saint Nicolas or Père Noël, Bonhomme Janvier ALSO was followed by Père Fouettard, with his wicker basket filled with "martinets" (beating/whipping tools for naughty children):
While sometimes Bonhomme Janvier brought many toys or sweets (found in the children's shoes or "sabots" placed by the chimney), there was one tradition according to which Janvier only ever brought one item per person, not more - with sometimes a sweet or candy to accompany it (often it was a pipe made of sugar). Tradition claimed it was because Père Janvier hated greedy or gluttonous children - but more realistically, it was probably just a tale invented by poor families to justify the lack of gifts...
And of course, as Père Noël arrived in the 20th century, Bonhomme Janvier slowly faded away...
#french folklore#christmas lore#père janvier#father january#father christmas#new years eve#new years day#new year folklore#père noël#père fouettard
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