#énergie du jour
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Horoscope Poisson du Jour 🌊
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PUISSANT RITUEL POUR AVOIR SON VISA ACCEPTE
Si vous souhaitez étudier ou travailler à l’étranger, il est possible d’obtenir un visa pour un séjour temporaire sur place. Pour obtenir un visa, vous devez fournir des informations sur votre identité et le motif de votre séjour. Vous devez remplir plusieurs documents pour obtenir un visa. Ensuite, vous devez l’envoyer à l’ambassade ou au consulat pour inspection. Si vous avez besoin d’un visa…
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Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
youtube
(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
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C R I M S O N . V E I L forum rpg urban fantasy de type créatures et gangs avec concept de doubles identités secr��tes (tw : violence, sang, chasse) ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨ Scarborough. Il y a quelque chose dans ce nom qui écorche la langue en y laissant sa marque, raclant la gargue pour s'extirper presque douloureusement des lèvres. Ici, les apparences sont trompeuses, se fardant d'un monticule de faux semblants au cœur de la station balnéaire britanique. Les jours d'été sont doucereux, idéaux pour flâner naïvement le temps d'un après-midi à sombrer dans l'oisiveté. Puis, il y a la sorgue qui tombe, ne laisse qu'un empire des lueurs artificielles devenues floues sous une brume dominante, sertie d'une âcre fragrance d'iode.
Alors les ombres sortent, sournoises chimères aux babines avides dégueulant de crocs affutés qui entament leur ballet nocturne. Les masques tombent jusqu'à l'aube naissante et plus rien ne paraît alors rassurant. Les bêtes grouillent, se dévoilent, se croisent à l’abri des mires aveugles d’êtres humains pour qui elles ne sont que des histoires fantaisistes que l'on conte aux bambins. Les griffes se ferment sur les chairs et les disparitions vont bon train. Enfin jusqu'à-ce que les projectiles filent, tentant de protéger les pauvres égaré.es de leurs funestes étreintes. Parce qu'il y a toujours eu les proies, toujours eu les traqueurs en un jeu sempiternel. Si bien qu'on ne sait plus vraiment qui sont les prédateurs et qui sont les proies.
Peut-être que dans tout ça votre charmante voisine vous offrant d'alléchantes pâtisseries n'est autre qu'une chasseuse de monstres aguerrie une fois le crépuscule tombé, que votre collègue de bureau se révèle être un bestiau assassin faisant bonne figure afin de mieux se fondre dans la masse, que cet aimable facteur fait partie d'un organisme secret mettant à mal l'humanité lorsqu'il ne livre pas le courrier.
Et vous, au fond, qui êtes-vous réellement ? ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨
Encore un énième univers porté sur les bestioles et pourtant, Crimson Veil vous proposera quelque chose en plus pour pimenter le jeu. Le forum possèdera un concept d’identités secrètes, où seul le staff connaîtra la véritable espèce ou rôle au sein des organisations de chaque personnage. Le but sera évidemment de jouer le jeu, d’en dévoiler le moins possible, laisser des indices s’échapper de temps à autre et dissimuler les crasses sous quelques balises hide bien placées. Les membres d’une même organisation ou d’une même espèce, pourront se reconnaître entre eux bien entendu, à comploter paisiblement à l’abri des regards dans des zones secrètes. Bien sûr, le forum demande pas mal d’aménagements pratiques afin que les mystères soient viables au maximum, les réponses quant à l’organisation des choses arriveront en temps voulu.
Et ça ne risque pas de vriller city tout ça ? Et bien mon petit Philibert, le jeu sera agrémenté de plusieurs espèces non jouables sous forme de PNJ capables de semer le trouble et donner du rebondissement entre les diverses intrigues. Même les créatures les plus hostiles pourront se faire croquer par plus gros qu’elles.
Le nom de Scarborough, petite ville côtière du Yorkshire, en Angleterre, vous est peut-être familier. En effet, une partie de l’univers reprendra le lore et quelques petites choses à son forum grand frère, Noctivagus, ouvert en septembre 2020 et qui a fermé ses portes en 2023. De nombreuses choses seront cependant intégralement revues et adaptées (nombre et types de créatures, gangs, système de jeu, codage et design, etc.). Reprendre cette base et réhabiliter ce forum sous une toute nouvelle forme permettra également de gagner en temps et en énergie durant la construction (big brain mouve). À bientôt donc pour une toute nouvelle aventure.
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Apprends à partir, mais surtout, apprends à rester là où on t’aime pleinement. Mets ton énergie là où elle a du sens. Cherche des cœurs qui battent au même rythme que le tien, des personnes qui veulent être avec toi sans hésitation, qui te respectent et te le prouvent chaque jour. Ces gens-là existent, mais tu ne les trouveras pas si tu restes accroché à ceux qui te délaissent. Respecte-toi. Demande-toi : es-tu un vieux mouchoir qu’on utilise et qu’on jette selon les humeurs ? Bien sûr que non ! Alors arrête de placer ton énergie là où elle est gaspillée, là où elle nourrit des illusions. Rester par peur d’être seul, c’est choisir une solitude bien plus cruelle : celle d’être ignoré aux côtés de quelqu’un. Crois-moi, cette solitude-là pèse bien plus lourd que celle d’une chambre vide. Ne laisse jamais une personne te montrer qu’elle ne veut pas de toi deux fois. Relis cette phrase. Comprends-la profondément. Elle peut changer ta vie. L’amour, l’attention, l’attachement… Ce sont des cadeaux qu’on partage, pas des choses qu’on mendie. Si quelqu’un te fait comprendre, par ses mots ou son silence, qu’il ne veut pas de toi, pars. Même si ton cœur te supplie de rester, même si tes souvenirs te chuchotent que les choses vont s’arranger. Non, elles ne vont pas forcément s’arranger. Alors aime-toi assez pour dire “je mérite mieux”. Parce que tu le mérites, pleinement. Tu vas y arriver, je crois en toi.
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21« Pourquoi tremblez-vous ? »
Lilia X Reader
à la demande de @confuseuniverse j’espère que sa te plaira 💛
Dans l'arrière-boutique du magasin de Lilia, une douce lumière filtrée par une fenêtre poussiéreuse éclairait les étagères chargées de livres anciens et d'objets mystérieux. Reader, vêtue d'une robe sombre, se tenait au milieu de ce sanctuaire de savoir, entourée de volumes reliés en cuir dont les titres dorés brillaient faiblement. L'odeur des pages jaunies et du vieux papier emplissait l'air, créant une atmosphère à la fois nostalgique et envoûtante.
Elle s'affairait à ranger les livres, ses doigts glissant sur les couvertures rugueuses, découvrant des titres fascinants sur les arcanes de la magie et les secrets de la divination. Chaque ouvrage semblait murmurer des histoires anciennes, des connaissances oubliées, et Reader ne pouvait s'empêcher de s'arrêter pour feuilleter quelques pages, absorbant l'information avec avidité.
Les objets qui l'entouraient ajoutaient à l'ambiance mystique de la pièce. Des cristaux scintillants, des bougies aux formes étranges, et des instruments de divination tels que des tarots et des runes étaient disposés sur des tables en bois usé. Reader prenait soin de ne pas déranger ces trésors, les manipulant avec précaution, comme si chaque objet détenait une magie propre.
La lumière du jour, bien que tamisée, mettait en valeur les particules de poussière dans l'air, donnant à l'espace un aspect presque féerique. Reader se sentait à la fois excitée et honorée d'être là, dans ce lieu chargé d'histoires et de savoirs. Elle savait que chaque minute passée dans cette arrière-boutique était une étape vers la maîtrise de la divination, une passion qui brûlait en elle.
Cela faisait des mois que Reader avait pris ses fonctions d'assistante auprès de Lilia, et l'atmosphère dans l'arrière-boutique avait évolué, chargée d'une tension subtile. Les murs, autrefois témoins d'un apprentissage studieux, semblaient maintenant vibrer d'une nouvelle énergie, une complicité teintée d'une affection grandissante. Reader, souvent plongée dans ses tâches, ne pouvait s'empêcher de ressentir une chaleur diffuse chaque fois que Lilia s'approchait, ses yeux perçants et son sourire énigmatique éveillant en elle des émotions qu'elle n'avait pas anticipées.
Leurs échanges, d'abord simples et professionnels, avaient pris une tournure plus personnelle. Reader se surprenait à apprécier chaque moment passé en sa présence, que ce soit lors des leçons de divination ou dans les instants plus informels où elles partageaient des anecdotes sur leurs vies. Lilia, avec sa sagesse et sa bienveillance, était devenue une figure centrale dans l'univers de Reader, mais cette proximité la plongeait dans un tourbillon d'émotions contradictoires.
Dans l'arrière-boutique, les livres et les objets magiques semblaient témoigner de cette tension. Chaque interaction était un mélange d'excitation et d'anxiété, un ballet délicat entre l'envie de se rapprocher et la peur de franchir une limite. Elle se concentrait sur les tâches, mais son esprit vagabondait souvent.
Les jours passaient, et Reader se retrouvait de plus en plus souvent à dérober des regards furtifs à Lilia, observant la façon dont elle se déplaçait dans la pièce, sa grâce naturelle et son aura magnétique captivant son attention. Les éclats de rire de Lilia, les moments de complicité, tout cela ne faisait qu'accentuer sa nervosité, rendant chaque instant partagé à la fois précieux et angoissant.
Lilia poussa doucement la porte de l'arrière-boutique, un léger tintement de cloche résonnant dans l'air. Elle entra avec une grâce naturelle, ses yeux pétillants d'excitation.
"Reader, est-ce que tu veux apprendre à lire les lignes de la main ?" demanda-t-elle, sa voix douce et engageante.
Reader, plongée dans ses pensées, leva les yeux et sentit son cœur s'accélérer. "Oui, bien sûr, j'aimerais beaucoup ça," répondit-elle, un léger sourire sur les lèvres.
Alors qu'elles s'installaient, Lilia s'approcha un peu plus, leurs corps presque en contact. Reader pouvait sentir la chaleur émanant de Lilia, et une vague de nervosité l'envahit. Lilia prit délicatement la main de Reader, ses doigts effleurant la peau, et commença à tracer les lignes avec son propre doigt.
"Regarde ici," dit Lilia, son regard concentré sur la paume de Reader. "Cette ligne ici représente ta vie, et celle-là, tes émotions."
Reader, à ce moment précis, commença à trembler légèrement, ses mains trahissant son agitation intérieure. Lilia, remarquant le changement, leva les yeux, un mélange de curiosité et d'inquiétude sur son visage.
"Pourquoi trembles-tu ?" demanda-t-elle, sa voix empreinte de douceur.
Reader, prise au dépourvu, chercha une réponse. "Je… je ne sais pas," mentit-elle finalement, détournant le regard, la chaleur de la proximité de Lilia rendant la situation encore plus intense.
Lilia, toujours attentive, continua d'explorer les lignes de la main, mais une ombre de doute passa sur son visage. Reader se sentait piégée entre l'envie de se rapprocher et la peur de dévoiler ses véritables sentiments.
Lilia plongea son regard dans celui de Reader, ses yeux pétillants d'une compréhension silencieuse. Un sourire délicat se dessina sur ses lèvres, comme si elle pouvait percevoir la tension qui flottait dans l'air.
"Tu sembles nerveuse," dit-elle d'une voix douce, tout en frottant tendrement la main de Reader.
Reader, surprise par ce geste réconfortant, se sentit un peu plus à l'aise, mais l'angoisse persistait. "C'est juste… un peu nouveau pour moi," avoua-t-elle, sa voix à peine audible.
"Ne t'inquiète pas," répondit Lilia avec un sourire chaleureux. "Je vais te faire un thé, ça devrait t'aider à te détendre."
Elle se leva avec une légèreté gracieuse, un sourire satisfait aux lèvres, heureuse de ce qu'elle avait lu dans les lignes de la main de Reader.Lilia se dirigea vers la petite cuisine, ses mouvements fluides et naturels.
"Quel type de thé préfères-tu ?" demanda-t-elle en fouillant dans les placards, un éclat de malice dans les yeux. "Nous avons du thé vert, du thé noir, et même une infusion de camomille."
Reader, se sentant un peu plus détendue, répondit : "La camomille serait parfaite, merci."
"À tes ordres," dit Lilia en riant, ajoutant quelques feuilles de camomille dans une théière. Elle se retourna alors vers Reader, un sourire complice sur le visage.
Reader, touchée par l'attention de Lilia, ne pouvait s'empêcher de sourire à son tour, la chaleur de l'instant chassant peu à peu son anxiété.
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Arcane- Jinx/Harley Quinn
J’ai presque fini la série Arcane. Il ne me reste plus que trois épisodes mais c’est un truc de ouf. Le générique de la saison deux et incroyable. Ce qui est magnifique dans cette production, c’est que l’AI n’a pas été utilisée, elle n’est qu’un outil complémentaire. Le visuel est extraordinaire conçu à l’ancienne avec des graphismes mélangeant la 2D et la 3D. Si l’AI avait été utilisée le rendu n’aurait jamais été aussi magnifique. Surtout pour les personnages, leurs mouvements, leurs expressions faciales, leurs émotions. Cette série est le résultat d’un travail créatif, réalisé par des artistes et des graphistes hyper talentueux. Il y a que quatre séries à ce jour qui m’ont donné autant d’émotions en les regardant et Arcane en fait partie.
Je me suis laissée portée par mon imagination entre une alliance explosive ou une confrontation destructrice de Jinx/Harley Quinn
Jinx : La Reine du Chaos de Zaun
Jinx, le tourment de Zaun, est une explosion en marche. Son passé tragique et son esprit brisé en ont fait une anarchiste imprévisible. Elle est la personnification de la douleur transformée en chaos : chaque détonation de sa mitraillette, chaque bombe, est une manifestation de ses démons intérieurs. Sa force réside dans son imprévisibilité, un feu d’artifice qui explose sans avertissement. Ses actions destructrices, font de Jinx un symbole de liberté, malgré elle, pour ceux qui se sentent opprimés par les règles et les normes de la société.
Harley Quinn : La Reine de Gotham
Harley Quinn, la princesse du crime, sa folie est différente. contrairement à Jinx, elle tire sa force de sa conscience aiguë de sa propre folie. C’est une survivante qui joue avec les failles des autres, qu’elles soient mentales ou physiques.
La méthode : Jinx est plus impulsive et imprévisible, tandis qu'Harley est plus calculatrice et manipulatrice.
L'esthétique : Leurs styles vestimentaires et leurs armes reflètent leur personnalité complexe. Jinx est plus sombre et punk, tandis qu'Harley est plus excentrique et colorée. (Référence à Arlequin personnage de la Commedia Dell’Arte).
Si Jinx et Harley Quinn se retrouvaient face à face, ce serait un duel psychologique. L’instabilité brutale de Jinx contre la malice raffinée de Harley. Ce serait comme voir deux tornades s’écraser l’une contre l’autre, avec une énergie dévastatrice qui consumerait tout autour.
Une alliance de leurs talents dévastateurs. Jinx apportant ses armes explosives et sa soif de destruction, Harley ajoutant sa stratégie vicieuse et son charisme dangereux. À elles deux, elles ne renverseraient pas seulement les règles : elles détruiraient le jeu entier. Aucun système, aucune ville, aucun ennemi ne survivrait à cette combinaison. Elles ne laisseraient derrière elles qu’un monde à feu et à sang, un chaos où elles seules se tiendraient debout, ricanant au milieu des cendres.
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Le dernier arrêt|Ni-ki
✦ Fandom : Enhypen ✦ Personnages : Ni-ki et narratrice ✦ Genres : Horreur, surnaturel, thriller psychologique ✦ Nombre de mots : 2k ✦ TW : Angoisse, isolement, réalité altérée, perte d’un être cher ✦ Résumé : Une jeune femme prend le métro comme à son habitude lorsque soudain, un arrêt brutal plonge le wagon dans le noir. Lorsqu’elle retrouve la lumière, tous les passagers ont disparu. En sortant, elle découvre une ville étrange, floue et irréelle. Elle y retrouve Ni-ki, un ami proche, mais quelque chose en lui semble différent, mélancolique. ✦ Note de l'autrice : L'idée de cette histoire m'est venue un jour où le métro que je prends habituellement a eu un arrêt d'urgence, plongeant les passagers dans l'obscurité totale pendant quelques instants. Ce moment suspendu, à la fois angoissant et fascinant, m'a rappelé une légende urbaine japonaise autour d’une station de métro fantôme : Kisaragi Station.
Le métro gronde sous terre, ses vibrations secouant doucement les passagers qui s’accrochent aux barres métalliques. J’ai mes écouteurs sur les oreilles, la musique couvrant le son mécanique du train. C’est mon quotidien, une routine invariable, où chaque station est un point fixe, une habitude rassurante. Les lumières artificielles défilent à travers les fenêtres, projetant leur lueur blafarde sur les visages fatigués. Une autre journée qui commence, sans surprise, sans éclat. Mais soudain, tout bascule. Un choc brutal me projette presque en avant. Le métro s’arrête, si brusquement que les passagers autour de moi émettent des exclamations de surprise, certains tombent, s’accrochent aux sièges. Puis, sans prévenir, les lumières se mettent à clignoter furieusement avant de s’éteindre complètement. Le noir m’enveloppe. J’entends des cris, des murmures paniqués. Une voix étouffée quelque part appelle quelqu’un, mais le son est comme aspiré par l’obscurité. Le silence tombe, lourd, oppressant, et mon cœur s’accélère, battant la chamade dans ce néant.
Quand les lumières se rallument, tout est différent. Autour de moi, il n’y a plus personne. Le wagon est vide. Je me redresse lentement, mes mains tremblantes agrippées à la barre devant moi. Les sièges désertés, les fenêtres plongées dans un noir d’encre... Je me sens soudain très petite dans cet espace immense et déshumanisé. Je fais quelques pas, mes chaussures crissant légèrement sur le sol.
— Est-ce qu’il y a quelqu’un ?
Mais aucune réponse ne vient, juste le bourdonnement léger des lampes au-dessus de ma tête. Je me dirige vers les portes, poussée par une curiosité irrésistible et une peur que je ne peux pas ignorer. Celle-ci s’ouvre automatiquement devant moi et je me retrouve dans une station qui m’est inconnue.
L’autre côté est un monde que je ne connais pas. Ou du moins, pas tout à fait. La ville est là, mais elle semble floue, comme une peinture à moitié effacée. Les rues sont vides, les bâtiments s’élèvent, grandioses et menaçants, leurs contours ondulant légèrement, comme dans un rêve. Le ciel est d’un gris étrange, un mélange d’aube et de crépuscule, sans soleil, sans lune. Une lumière diffuse éclaire tout, sans jamais vraiment chasser les ombres. Les murs des bâtiments sont ornés de motifs étranges, et l’écho de mes pas résonne comme une mélodie oubliée. L’atmosphère est chargée d’une énergie singulière, une sensation à la fois familière et terrifiante. Je scrute l’horizon, espérant voir un signe, quelque chose qui m’expliquerait où je suis. Je devrais avoir peur. Tout dans ce moment me crie de faire demi-tour, d’attendre que la réalité se réinstalle. Mais il y a quelque chose d’irrésistible dans cette lumière, une curiosité qui me pousse à avancer. Je marche, le cœur battant, cherchant un signe, quelque chose de familier. Et puis, je le vois. Assis sur un banc, au bout d’une ruelle étroite. Il semble tellement réel, et pourtant, il y a quelque chose d’étrange en lui. Ses yeux, d’habitude pétillants de vie, sont maintenant sombres, presque insondables.
— Ni-ki ! j’appelle, en courant vers lui.
Il tourne la tête, et son regard se pose sur moi, mais je ne vois pas la chaleur et l’amitié que j’ai toujours connues. Il y a une distance, une sorte de mélancolie dans son expression. Je m’arrête devant lui, haletante, et il me regarde de ses grands yeux sombres, une expression douce, mais indéchiffrable sur le visage.
— Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Est-ce que je suis en train de rêver ? je demande, tentant
de reprendre mon souffle.
Il hausse les épaules, un léger sourire aux lèvres. Il s’avance, et je sens mon cœur se serrer. Il a toujours été celui qui m’apportait du réconfort, celui qui me faisait rire. Mais maintenant, il semble comme un étranger, perdu dans une réalité qui m’échappe.
— Viens, suis-moi.
Sa main se tend dans ma direction et j’hésite, quelques secondes, avant de lier nos doigts entre eux.
Nous marchons ensemble, et le monde autour de nous change au gré de nos pas. Des scènes de notre vie se dessinent, flottant comme des souvenirs projetés. Je vois la forêt où nous avons marché, un jour d’été, le soleil perçant à travers les branches, sa main tendue vers moi pour m’aider à franchir un ruisseau. Je revois cette soirée dans mon appartement, des pizzas sur la table, nos rires résonnant contre les murs alors que nous nous moquions des personnages d’une série stupide. Des simples moments de bonheur.
—Tu te souviens de ça ? je demande, pointant du doigt l’image de nous deux, assis sur le
canapé, riant aux éclats.
Il acquiesce, ses yeux rivés sur le souvenir, une amertume que je ne comprends pas dans son regard.
— Oui, murmure-t-il, c’était une excellente soirée.
Sa voix est douce, mais il y a quelque chose de triste, une profondeur qui me fait frissonner. Les souvenirs continuent de se matérialiser autour de nous, flous mais si vivants, et je suis happée par cette sensation étrange, cette nostalgie qui m’envahit de plus en plus. Pourquoi tout me donne l’impression que chaque seconde peut être la dernière ? Je lève les yeux vers lui, le cherchant du regard comme pour trouver un sens à tout ça, mais il l’évite soigneusement. Une certaine peur commence à naître dans mon esprit, comme si je sentais au fond de moi qu’il y a quelque chose que je devrais comprendre, une vérité enfouie derrière ce calme irréel.
— Pourquoi est-ce que tout semble si…
Je cherche le mot, mais il m’échappe.
— Pourquoi suis-je ici, Ni-ki ?
Il détourne les yeux, et le décor change à nouveau. Nous sommes sur un toit, le vent soufflant et emportant avec lui les feuilles mortes qui virevoltent autour de nous. Je me souviens de ce jour – nous avions passé l’après-midi sur ce toit, à parler de nos rêves, de nos secrets, à regarder la ville s’étendre à nos pieds. Mais ici, dans ce monde étrange, tout semble amplifié. Les couleurs sont plus vives, les émotions plus intenses, presque douloureuses.
— Parfois, dit-il, sa voix portée par le vent, il y a des choses qu’il faut accepter, même si
on ne les comprend pas tout de suite.
Je fronce les sourcils, cherchant à saisir ce qu’il essaie de me dire. Il me regarde alors, ses yeux brillants d’une tristesse indéchiffrable, et il tend la main.
— Viens.
Je la saisis, et une chaleur douce m’envahit. Nous dansons, là, au milieu de ce toit fantomatique, sans musique, juste le bruissement des feuilles dans les arbres et le battement irrégulier de mon cœur. Ses bras m’entourent, et je ferme les yeux, laissant la chaleur de sa présence m’envelopper, un instant hors du temps. Ses doigts finissent par se resserrer un peu autour des miens, sa main froide pressant contre la mienne. C’est si étrange, ce contraste. Lui qui, habituellement, est toujours plein d’énergie, là, il semble s’effacer, comme une ombre. Il relève la tête, son visage prenant une expression douce mais empreinte de ce trouble insaisissable.
— Je suis content que tu sois là.
Ses paroles me troublent profondément. Il y a quelque chose dans sa voix, une forme de résignation qui me fait comprendre qu’il y a plus que ce qu’il laisse paraître. Nous reprenons notre route, et je remarque que nos souvenirs s’estompent peu à peu, remplacés par des fragments de paysages incertains, de ruelles silencieuses et de lieux inconnus. À chaque pas, l’atmosphère semble se faire plus lourde, plus oppressante, comme si le temps lui-même ralentissait. Il me regarde cette fois avec une intensité qui me fige, avant de murmurer, presque trop bas pour que je l’entende :
— Il est temps.
Mes doigts se serrent instinctivement autour de sa main, refusant de lâcher prise, refusant de croire qu’il puisse y avoir quelque chose d’inéluctable ici. Puis, je le sens se détacher, doucement, comme un rêve qui s’évanouit au réveil. J’ouvre les yeux en sursaut dans le métro, la lumière crue des néons m'aveuglant un instant. Le brouhaha du train, les grincements des rails, tout semble étrangement familier. Je prends une grande inspiration et réalise que ma main est posée sur celle de Ni-ki, assis à côté de moi, un sourire tranquille sur le visage. Je me tourne pour l’observer alors qu’il me semble perdu dans ses pensées, sa tête se balançant au rythme de la musique qu’il écoute. Sa présence devrait me rassurer, mais pourtant, un sentiment, pesant, continue de courir dans mon esprit. Je sais que ce n’était qu’un rêve, mais il reste en moi comme une brume tenace, une sensation qui refuse de disparaître. Ses doigts, sous ma main, sont tièdes, bien réels cette fois, mais je n’arrive pas à chasser la trace de cette froideur qui s’était imprimée dans ma mémoire. Il pivote enfin la tête dans ma direction, son casque dorénavant autour de son cou, et m’adresse un sourire amusé.
— Ça va ? me demande-t-il sans doute à cause de mon regard insistant, on dirait que t’as
vu un fantôme.
— Oui… enfin, non. Ce n’est rien. J’ai juste fait un rêve étrange. je termine en secouant la tête, tentant de rire pour dissiper le malaise qui commence à s’installer.
Ni-ki se penche vers moi, et je peux lire l’amusement dans ses iris foncés.
— Du genre ? T’as rêvé de moi, c’est ça ?
Sa voix prend une intonation malicieuse, et je vois son sourire s’étirer.
— Allez, avoue. Tu te languis de moi jusque dans tes rêves maintenant ?
Je sens mes joues s’échauffer et je secoue vivement la tête pour le faire cesser.
— Ce… n’est pas ce que tu crois, je balbutie, tentant de minimiser. C’était différent.
Il écarquille légèrement les yeux, feignant une expression d’incrédulité exagérée.
— Oh, différent comment ? Genre, romantique ? Tragique ?
Son visage s’approche du mien, l’air faussement sérieux.
— Ou bien, était-ce un rêve où tu me déclares ton amour éternel avant de t’enfuir dans le
coucher de soleil ?
Je me mordille la lèvre, cherchant quoi répondre, mes mains moites de gêne.
— Rien de tout ça, d’accord ? C’était…
Je cherche à détourner la conversation, mais il éclate de rire, ravi de ma réaction, et me pince gentiment l’épaule.
— Relax, dit-il en riant, ses doigts toujours entremêlés aux miens. Je te taquine.
Un sourire naît malgré moi, même si je détourne un peu les yeux pour échapper à son regard perçant. Sa main serre la mienne avec chaleur, et je sens mon cœur se calmer, même si quelque chose continue de me hanter.
La voix du conducteur annonce notre prochaine station, puis soudain, un flash de lumière intense envahit le wagon. Un bruit assourdissant secoue le métro, un grondement puissant qui résonne dans mes os. Le train tremble, et tout se passe en une fraction de seconde. J’entends des cris, je sens le sol se dérober sous mes pieds, et tout autour de moi se transforme en un chaos terrifiant. Le souffle d’une explosion ébranle la rame, le monde autour de nous devenant un tourbillon de poussière et de débris, et je perds pied, me sentant aspirée par un vide abyssal. Dans le tumulte, je m’accroche désespérément à la main de Ni-ki, le seul repère, le seul ancrage que j’ai dans ce monde qui s’effondre autour de moi. Je tente de murmurer son nom, mais ma voix se brise dans le bruit assourdissant. Alors que le train s’immobilise enfin, le silence s’installe progressivement, lourd et oppressant. Autour de nous, des débris jonchent le sol, et la lumière faiblit. Dans ce calme étrange, je ressens la chaleur de sa main… ou plutôt, je sens cette chaleur s’éteindre. Je tourne lentement la tête vers lui, mon cœur s’arrêtant presque en voyant son visage, calme, paisible. Il me regarde sans me regarder, ses yeux empreints de cette même mélancolie qui m’avait troublée plus tôt. Et là, je comprends. Ma gorge se serre alors que je ressens l’absence de chaleur à travers son épiderme, cette sensation glaciale qui remonte le long de mon bras.
— Ni-ki… je murmure, une larme roulant sur ma joue.
Mais il ne répond pas. Ses yeux restant fixés sur moi, empreints d'une tendresse infinie, comme un dernier adieu silencieux.
❥ Les histoires ne s’achèvent jamais vraiment, elles restent suspendues entre les pages et les cœurs qui les lisent… Merci d’avoir voyagé avec moi ღ © schizophrenic-writer 2025.
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7/07/2024 – Personnellement, je ne trouve que des motifs de me réjouir à l’énoncé des résultats du troisième tour des consultations populaires. Les élections européennes ont concrétisé, par et dans le système, le colère de ces dix millions de Français qui refusaient leur disparition (je ne détaillerai pas, ici et maintenant, les raffinements du supplice mortel auquel ils sont quotidiennement soumis et que, de toute façon, chacun connait). Ce coup de semonce a été confirmé par un premier tour euphorisant. Mais ce qu’il faut voir, c’est que ledit système a réagi d’abord avec véhémence, puis avec un véritable manque de discernement, produit du court-termisme très en vogue au Château depuis de nombreux mois. Ce que je retiens :
• Le Front Populaire sera défunt dans moins de quinze jours. Alliance de carpes puant la vase et de lapins myxomateux, cet équipage n’avait pour seul objectif que de préserver les pré-carrés, les chasses gardées et autres prébendes de la gauche dite institutionnelle, ou historique, ou progressiste, ou républicaine... qu’importe, ce ne sont là que libellés ronflants imaginés comme autant de certificats de moralité par les zélotes d’une presse subventionnée par l’État et les affairistes. Le Front Populaire va crever la gueule ouverte et la haine qui caractérise les rapports politiques au sein de la gauche va se raviver de plus belle. J’attends avec une impatience gourmande le nom des tenants d’un prochain gouvernement “reflétant les sensibilités différentes, mais complémentaires, exprimées par une majorité de Français dans les urnes, à l’issue du second tour des élections législatives”. Miam !
• Ceux qui imaginaient qu’un RN en majorité absolue pourrait gouverner ce pauvre pays : réveillez-vous ! Ce parti est compatible avec tout ce que l’Occident a produit de notoirement pourri depuis vingt-cinq ans. Il est pour tout ce que nous vomissons, vous et moi. Il est donc la négation de notre substance même. Sa défaite n’est regrettable que parce que son arrivée à la tête du pays aurait accéléré le processus de décomposition totale de la société française.
• La catastrophe économique pendante va probablement se déclencher quelque part entre la clôture des JO et la fin de l’année. L’insolvabilité du gouvernement de la France aura des conséquences inouïes et c’est là, sûrement, que l’extrême-gauche aura se revanche, massivement aidée par les Nouveaux Français du Sud-Orient.
• Ceux, enfin, qui voudraient concocter des phrases définitives sur le destin du pays devraient économiser leur encre ou leur salive. Ce que le bon sens exige que nous observions, c’est que les Français se sont choisi un parlement à leur hauteur. La photographie de la Chambre des Députés donne une image assez honnête et fidèle des mentalités de nos contemporains, quelque part entre le “sauve-qui-peut” et le “no pasaran”. Personnellement, j’en suis à me demander, très sincèrement, s’il reste quelque chose à sauver – et surtout, sauver pour qui ? Pour quoi ?
• Environ dix millions de Français ont exprimé assez clairement leur désir de survie. Demain, après l’accumulation de nouvelles catastrophes encore plus outrageantes, plus saignantes, toujours plus insupportables, ce nombre gonflera dans des proportions inattendues. Par pour de bonnes raisons, d’un point de vue intellectuel – mais ce n’est plus le sujet. Les rangs seront encore plus garnis et des vocations – sans doute inattendues et surprenantes – se feront jour pour guider ces énergies. C’est à partir de ce moment qu’il sera permis d’espérer, même un tout petit peu, car la force du nombre sera déterminante.
J.-M. M.
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Petit extrait de l'introduction du livre "Le Pouvoir Secret de la Cage de Chasteté"
Tout a commencé il y a environ cinq ans. Cadre moyen dans une entreprise moyenne, je vis avec ma femme Lyana et mes enfants dans une ville de province moyenne. Nous fêtons à cette époque notre 45ème anniversaire et nos 25 ans et quelques de vie commune. Sur le plan sexuel, nous nous retrouvons également dans la moyenne: il y a des hauts et des bas, comme dans tous les couples, mais les périodes vraiment difficiles qui ont suivi la naissance des enfants sont désormais derrière nous. Certes, après 25 ans de routine, le désir s’est quelque peu émoussé, mais la volonté partagée de continuer à avancer ensemble nous permet heureusement d’entretenir la flamme. Encore mieux, nous restons tous les deux animés par une bonne dose de curiosité et d’attrait pour la nouveauté, qui se conjuguent avec une grande ouverture d’esprit, un certain mépris pour les conservatismes et les tabous. Cette complicité et cette liberté nous ont poussé à explorer (et souvent à abandonner aussitôt faute d’y trouver un plaisir commun) certaines pratiques « originales ».
C’est ainsi qu’une cage de chasteté a fait un jour son apparition dans le tiroir de notre chambre à coucher au milieu de quelques autres gadgets achetés sur un site de vente en ligne. Au début, il ne s’agissait que d’un jeu sexuel occasionnel et de courte durée, destiné seulement à « faire monter la pression » pour pimenter une soirée. Jusqu’au jour où j’ai franchi le pas en portant la cage pendant toute une journée au travail.
Premier effet waouh: l’excitation d’avoir cet objet accroché autour de la partie la plus sensible de mon anatomie, l’anticipation de la soirée érotique qui allait suivre, avec en plus le supplément d’adrénaline causé par la peur que quelqu’un ne se doute de quelque chose; toutes ces choses se sont révélées produire un summum d’excitation et de tension sexuelle. Pourtant, paradoxalement, je ne me suis jamais senti aussi efficace pour faire mon job. C’était comme si toute mon énergie sexuelle, à défaut de pouvoir se déployer dans une érection, venait doper ma concentration et ma vivacité. Progressivement, j’ai appris à porter la cage de plus en plus longtemps. Finalement, un jour, j’en ai confié la clé à Lynia.
Deuxième effet waouh: alors que nous étions habitués à faire l’amour entre une fois par semaine et une fois tous les quinze jours, nous sommes brutalement revenu au stade « jeune couple » avec des moments intimes trois ou quatre fois par semaine. Quand Lyana m’a lâchée, après un orgasme incroyable, d’une intensité inédite, « si j’avais su que ça produisait cet effet, j’aurais mis ta bite sous clé beaucoup plus tôt! », j’ai compris que ce jeu sexuel ne ressemblait à aucun autre.
Enfin, le troisième effet waouh a été provoqué par notre fille, âgé d’une douzaine d’années à cette époque –la vérité sort toujours de la bouche des enfants, même quand ce sont déjà des pré-ados. « C’est vraiment super, papa, tu es beaucoup beaucoup plus cool en ce moment, plus patient et plus disponible pour nous. Il y a quelque chose qui a changé au boulot ou quoi? ».
Lyana m’a fait un clin d’oeil avant de me glisser discrètement: « La cage de chasteté, une méthode de développement personnel qui vous étonnera… il y a un bouquin à écrire, là ».
Le titre a un peu évolué en cours de route...
#cage de chasteté#locked cock#empowerment#empoweryourself#empoweredwomen#permanent chastity#tantric#tantra#kundalini yoga#karezza
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"Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
[...] Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?" Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament personnel de l'enfant avec la Tradition : la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons ? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille ?"
Lounès Darbois, août 2023.
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RITUEL DU CADENAS MAGIQUE D'AMOUR POUR ATTACHER SON PARTENAIRE
Un puissant rituel de magie blanche pour évoquer l’amour bloquant un cadenas pour charmer un homme ou une femme pour l’empêcher de partir.Vous doutez de votre relation avec votre partenaire car votre proche peut vous dire sans prévenir qu’il ne veut plus de cette relation. Alors maintenant, il est temps pour vous de l’arrêter avec un puissant rituel de cadenas pour qu’il ne vous quitte pas et ne…
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#amour#anges#arts divinatoires#astrologie#avenir#énergie#énergies#éveil spirituel#bien être#bienveillance#bonheur#carte du jour#cartes#cartomancie#clairvoyance#coaching#combien de temps pour un retour affectif#développement personnel#divination#esotérisme#guadeloupe#guidance#guidance du jour#guyane#horoscope#intuition#lausanne#lithothérapie#love#magie
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Avez-vous l’habitude de conserver des objets inutiles, en pensant qu’un jour, qui sait quand, vous pourriez en avoir besoin ?
Et en vous ? :
Avez-vous l’habitude de garder des reproches, du ressentiment, de la tristesse, des peurs et plus encore ?
Il est nécessaire de faire de la place, de laisser un espace vide, pour permettre à de nouvelles choses d’arriver dans votre vie.
Il est nécessaire de vous débarrasser de toutes les choses inutiles qui sont en vous, et dans votre vie afin que vienne la prospérité.
La force de ce vide est une force qui va absorber et attirer tout ce que vous souhaitez.
Tant que vous retenez matériellement, ou émotionnellement des sentiments anciens et inutiles, vous n’aurez pas de place pour de nouvelles opportunités.
Tout est énergie, et l'énergie doit circuler...
Nettoyez vos tiroirs, les armoires, les ateliers, le garage….
Donnez ce que vous n’utilisez plus…
L’attitude qui consiste à garder un amas de trucs inutiles enchaîne votre vie en bas.
Ce ne sont pas les objets que vous gardez qui font stagner votre vie…
Mais plutôt l’attitude de garder…
Quand nous gardons en réserve nous envisageons la possibilité du manque, de la pénurie, qui entraîne frustrations, découragement, etc...
Nous croyons que cela pourrait manquer demain, et que nous ne serons pas capables, de satisfaire ces besoins.
Avec cette idée, vous envoyez à votre cerveau, et à votre vie deux messages :
Que vous ne faites pas confiance à l’avenir.
Et que vous pensez, que ce qui est nouveau et ce qui est meilleur, ne sont pas pour vous.
Pour cette raison vous vous réconfortez en conservant de vieux trucs inutiles.
Débarrassez-vous de ce qui a perdu ses couleurs et son éclat …
Laissez entrer chez vous et en vous-mêmes ce qui est nouveau… C’est pourquoi, après avoir lu ceci… Ne le gardez pas…Faites-le circuler.
Puissent la prospérité et la paix venir à vous rapidement…
Le principe du vide de Joseph Newton ❤❤❤
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Si la playstation ou les jeux vidéos ou les "problèmes de riches blancs privilégiés du cul" ça vous intéresse pas, ne vous infliger pas ce post, je vous en tiens pas rigueur.
J'ai juste besoin de déverser ma rage et ma frustration quelque part.
J'ai voulu prendre l'édition des 30ans de la PS5 pour mon Monsieur pour qui la PS1 est sa toute première console, celle de son coeur, un cauchemar, je suis pleine de haine.
Quelle riche idée d'en faire 12'300 pour le monde entier, apparement il y en avait que 400 pour la France, donc probablement max 50 pour la Suisse, c'est pas du tout n'importe quoi et débile.
En Suisse, 1 SEUL magasin pour tout le pays prenait les précommandes, sans aucunes annonces (ça faisait des jours qu'on était plusieurs à chercher, demander, se passer des infos... Une galère sans nom) je suis tombée dessus par HASARD évidemment y a plus rien.
Le fameux lien pour commander directement sur le site de Playstation n'existe pas ici, donc c'est mort, j'ai essayé malgré tout via le Luxembourg et la France, j'ai fait des refresh depuis 4h ce matin, à 10h lors de l'ouverture je me suis fait jeter 5-6fois de la file d'attente BREF...
Sur Ebay elle se revend déja pour 10'000 $, y a des sale fils de pute de scammer qui en ont 200 en stock...
Je veux tellement lui faire plaisir, je sais qu'il est déçu et la déception chez les autres ça me crève le coeur, je supporte pas.
J'ai une telle rage, c'est totalement disproportionné, foutez-vous de moi, mais décevoir ou voir la déception c'est juste pas possible.
Ça m'a pompé un stress et une énergie énorme, et voir des joueurs et des passionnés se faire niquer par des bots, ça m'achève.
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dimanche ennui donc liste (certainement pas exhaustive) de moi à moi des artistes que j'ai déjà vu en concert, de ceux que je vois bientôt, de ceux que j'aimerais voir et de ceux que je RÊVE de pouvoir écouter en live un jour:
concerts faits dans un ordre totalement approximatif:
julien doré (petite, j'étais amoureuse de lui et je me souviens d'avoir eu mal au cœur quand il chantait winnipeg)
jeanne cherhal (petite aussi, j'étais absorbée car elle avait chanté quelques chansons suspendue à un cercle en l'air)
olivia ruiz (toute mon enfance)
la grande sophie
the dedicated nothing (ils ont fait un album on en a plus jamais entendu parler et je les avais vu dans une boutique longboard comme c'était des surfeurs mdr)
the dø (dans un festival paumé en vendée, j'étais la plus heureuse)
george ezra
the black lilys
radio elvis 2x
feu! chatterton 3x (j'ai l'impression de faire l'amour quand j'entends arthur teboul chanter en live, un des trois concerts était en plein air vers l'océan c'était beau et poétique)
grand blanc
jumaï
chevalrex
pr2b
clarika (toute mon enfance, dans la voiture avec ma mère)
the limiñanas (inattendu, jamais écouté avant de les voir mais si cher à mon cœur maintenant)
girls in hawaii (souvenirs d'adolescence)
genghar (concert avec mon père dernièrement, j'écoutais beaucoup adolescente aussi)
sallie ford 2x
norma 2x (elle fait fondre mon cœur j'aimerais qu'elle perce)
mattiel
the twilight sad
las aves
prudence (la chanteuse de the dø, on avait gagné un concours avec ma sœur!!)
cate hortl
clara luciani 3x
pomme 2x
franz ferdinand 2x
arctic monkeys 2x (dont une fois catastrophique à rock en seine, des amitiés se sont brisées, des crises d'angoisses, un son merdique)
the strokes (son merdique et problèmes techniques car rock en seine mais j'étais au max)
ledher blue
the cure (que dire de plus??? 3h de the cure en live c'est le paradis)
depeche mode (que des bangers, je m'en remets pas encore)
pi ja ma (choupette, je l'aime depuis la nouvelle star)
delilah bon (à la fin de son concert on a eu droit à tous les chants de manifs de gauchos sans aucune raison pendant 20 minutes et c'était génial)
kalika
fontaines dc (je veux les revoir)
ethel cain (c'était thérapeutique)
angel olsen
lucy dacus (très vite)
tamino 4x (je l'adore de tout mon cœur mais je fais une pause je l'ai trop vu)
ko ko mo 7x ou plus?? (découverts dans un festival paumé en vendée, depuis on les voit tous les ans)
jesse jo stark (trop sexy)
clemence violence
hachiku
jen cloher (lesbiennes australiennes je vous aime)
dynamite shakers
odezenne (j'ai pu chanter je veux te baiser en live c'était fantastique)
georgio (marque le début de la fin d'une amitié mais j'étais tellement heureuse ce soir là)
slowdive
frank carter and the rattlesnakes (ma sœur qui se fait une entorse dans un pogo)
the mysterines
yeule (premier concert toute seule, il m'a fait du bien)
sorry (chanteuse toute timide toute choupi mais génial et j'ai pu crier les paroles de there's so many people that want to be loved)
alexandra savior (écoutez là c'est un ordre)
sarah maison
sextile (concert génial soirée traumatisante)
wunderhorse (de vrais anglais qui s'en branlent de tout c'était cool)
no elevator
emma peters (j'écoute pas mais sympa)
skip the use (j'y allais en mode souvenirs, j'avais jamais écouté ses récents albums et le gars est trop chaud en live)
agar agar
nada surf (le chanteur est trop gentil <3)
hoorsees
adrien gallo (à défaut d'avoir pu voir les bb brunes... et j'étais aussi amoureuse de lui petite)
therapie taxi
nova twins (un de mes meilleurs concerts elles avaient une énergie trop folle)
la femme (mes meilleurs pogos)
tori amos (concert avec ma mère, icone)
l'impératrice 3x (2 fois sans que je veuille vraiment juste ils étaient dans des festivals et j'en peux plus leur scéno c'est toujours la même et c'est mou)
terrenoire
snail mail (mou)
parcels (j'écoute pas mais en concert c'est fou)
tame impala (l'impression d'avoir pris du lsd pendant 1h30)
gaz coombes (le chanteur de supergrass!!)
inhaler
idles (de loin mdr)
foals (mouais)
wet leg (absolument génial premier rang à crier toutes les paroles, tellement qu'il a plu et qu'on a fini le concert dans la boue)
yeah yeah yeahs
izia
the murder capital (amoureuse)
suzie stapleton
maddy street (une copine de ma sœur, c’est trop bien)
origine club renommé bonne nuit (à revoir c’est des vendéens et j’adore les vendéens pas fachos)
alice et moi
prochains concerts:
stoned jesus
dionysos (cadeau de noël pour mes parents, ils nous ont bercé avec)
air
ethel cain (encore)
mannequin pussy
cherry glazerr
lana del rey!!!!!!!!!
ko ko mo (pour la millième fois mdr)
eartheather (j'ai eu une place alors qu'il n'y en avait plus??? yaayyy)
artistes que j'aimerais voir:
yoa
the marias (ils avaient annulé la seule date qu'ils faisaient en france alors qu'on avait nos places avec ma meilleure amie, on leur en veut encore)
anna calvi
bar italia
the last dinner party
coco & clair clair
dora jar
king krule (on m'a empêché de prendre une place la dernière fois car apparemment il chante mal en live)
beach house
lebanon hanover
japanese breakfast
mitski
sally dige
deerhunter
tove lo (je l'ai raté à rock en seine...)
tv girl
sir chloe
hooverphonic
tomberlin
portugal. the man
last train
baxter dury
sophie meier
thao & the get down stay down
fka twigs
elita
yelle (je serai une femme accomplie le jour où je l'aurai vu)
artistes que je rêve de voir dans mes rêves les plus fous:
lush
soko (elle soignerait tous mes maux)
pulp
garbage
fiona apple (c'est beau de rêver)
the smashing pumpkins
courtney barnett (c'est une nécessité je connais tout par cœur)
siouxsie sioux
björk (ratée en septembre dernier...)
eels (mes parents y sont allés sans moi et sans me le dire????)
alt-j (j'écoute depuis trop longtemps pour ne jamais les avoir vu)
cults
pixies
iggy pop (icone, il faut, et je suis amoureuse de lui)
new order
interpol
massive attack (si je craque pour rock en seine...)
emiliana torrini
deftones
she wants revenge
hope sandoval
sigur rós
arcade fire (je crois que le chanteur est un agresseur sexuel. bon.)
the last shadow puppets
the white stripes mais bon... ou jack white
madonna...... mais je suis pauvre
si une âme charitable a tout lu et veut me fournir de quoi me payer des places de concerts je suis preneuse lol merci
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VIRTUELLEMENT SENSIBLE...
Le virtuel peut ronger de l’intérieur. Il peut tuer à petit feu...
Sur la toile, on aime, on se « like » mutuellement, on se découvre... On s'aime et on se tue petit à petit... On exprime nos rêves, nos envies, nos angoisses, nos peurs... Mais isolés dans notre sphère réelle, on se retrouve seul !
Pas de réconfort, pas de regard tendre, ni de caresses. Il n'y a que les mots et leurs immenses pouvoirs. Les mots et les maux...
Face à nous mêmes, il n'y a que notre propre reflet dans ce miroir. Usés, fatigués par tant d'épreuves. Je suis las de tant de combats, les cernes se dessinent sur mon visage.
'' Je voudrais, j'aurais aimé '', ce sont des mots que nous écrivons tous. Sur cette toile, nous vidons ce que nous avons sur le cœur. Mais en déversant sur le web nos surplus de sentiments, nous oublions que nous éclaboussons les autres de nos ondes positives, négatives, de notre énergie.
Ces autres, ces « amis » si virtuels qu'ils soient que l'on voudrait rencontrer ou réconforter... Ils n'existent pas dans nos vies, mais ont une place dans nos cœurs... Ils sont là, on ne les réconforte pas comme on le voudrait, mais par la magie de nos échanges, on arrive un petit peu à améliorer leurs quotidiens !
Le désir d'établir des contacts est ancré dans la nature humaine. L'attirance est le fruit de notre chimie interne. Nous produisons des hormones qui créent l'intimité. Nous créons des ponts neuronaux qui relient, d'un cerveau à l'autre, d'un cœur à l'autre. Une fois formés, ces liens ne peuvent être rompus.
Nos cerveaux, nos systèmes nerveux tout entier sont conçus pour que nous tissions des liens profonds et durables... Briser ces connexions peut avoir de terribles conséquences...
Chaque jour, par nos partages, on arrive à dire à l'autre, qu'il soit proche ou qu'il soit loin : « Je suis là ! Et je pense à toi ! » « Ne lâche pas ! Tiens bon, courage, Je t'aime ! »
Mais le virtuel, possède également le pouvoir d'éloigner les cœurs... Un mot de plus, ou peut-être un mot de trop et c'est toute une phrase qui peut être lue dans un autre sens que celui que le cœur voulait exprimer, quiproquos, amalgames...
Tout s'enchaîne, tout doit aller vite, de plus en plus vite, nous ne prenons même plus le temps de vivre, à l'image de cette société aux profonds abîmes, aux valeurs oubliées. Et qui nous a conditionnés à ne plus penser par nous mêmes, qui nous a enseigné à privilégier le fast food émotionnel, l'avoir ayant pris le pas sur l'être, la surconsommation n'ayant d'égale que le paraître...
Alors le cœur triste et gros, le lien même par l'intangibilité du virtuel se brise. On clique sur le fatidique « supprimer » ! Mais même si virtuel qu'il soit, un lien du cœur reste égale à lui-même.
Le cœur n'arrive pas à faire la différence entre le réel et ce qu'il n'est pas. C'est l'aspect basique de l'humain...
Parfois, je sais que je suis perchée haut, que je peux sembler si solitaire ou provenir d'une autre planète. Je suis comme je suis, pragmatique, entière, authentique, unique et sincère.
Quand j'écris, je n'ai pas cette censure qui provient très souvent de la peur de ce que peuvent penser les autres. Mes mots sont « brut de cœur », sans artifice... Sans arrière pensée.
Mes mots ne sont que des mots qui proviennent du fond du cœur, avec une authenticité et une entièreté sans égales. Je sais que nous sommes loin, que peut-être, nous ne nous connaîtrons jamais.
Cependant si tu lis ces quelques mots amis Tumblr..MeWe..Facebook ou ami « liker »... Sache que je pense à toi... Que j'essaye à chaque instant d'avoir le cœur comme une jolie fleur, de m'ouvrir �� ce monde si froid et à la fois si envoûtant mais il y a des moments qui me rappellent que je ne suis qu'une femme faite de chair et de sang, aussi imparfaite soit-elle.
Je ne suis pas parfaite, je n'aspire pas à le devenir, loin de là... Et heureusement !!!
Le virtuel ne dispense pas d'être vrai et authentique. Du virtuel... Au réel, Quand les mots touchent, au delà des touches...
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